La rumeur d’un écran antireflet pour certains iPhone 17 rebondit une nouvelle fois. Au début c’était « oui », après c’était « non » et maintenant c’est de nouveau « oui ». D’après MacRumors, les sous-traitants d’Apple ont finalement réussi à obtenir un rendement suffisant pour confirmer la production à grande échelle d’un verre antireflet.
Les iPhone 17 Pro et 17 Pro Max devraient profiter de cette nouveauté, mais pas l’iPhone 17 ni l’iPhone 17 Air. À l’instar des Galaxy S24/S25 Ultra, les futurs iPhone haut de gamme pourraient donc être beaucoup plus lisibles en plein soleil ou sous des néons. De l’avis général, ce type de traitement apporte un tout nouveau confort aux derniers smartphones de Samsung.
Galaxy S24 Ultra à gauche (avec écran antireflet) et S23 Ultra à droite (sans antireflet). Image PhoneArena.
Ce nouveau revêtement apporterait un autre avantage : il serait plus résistant aux rayures que le Ceramic Shield actuel. Cette meilleure immunité contre les rayures est également une caractéristique importante du S24 Ultra.
En partant du principe que tous les iPhone 17 disposent enfin d’un écran 120 Hz, cette rumeur d’écran antireflet et plus robuste réservé aux iPhone 17 Pro apparait comme assez crédible. Cela représenterait un nouvel avantage pour les Pro face aux modèles standards.
Vous protégez votre boîte mail, vous utilisez un mot de passe solide, vous ne cliquez jamais sur un lien douteux. Mais vos parents ? Vos ados ? Ils n’ont pas toujours les mêmes réflexes. Et pourtant, leurs données, comme les vôtres, circulent librement.
Vous êtes prudent, vous faites attention... Mais dans une famille, il suffit d’un seul maillon faible. Un formulaire rempli un peu vite, une application mobile trop curieuse, un jeu-concours « gratuit »... et les données s’échappent. Pas seulement celles de la personne concernée. Parfois, le fichier contient aussi vos coordonnées, votre mail secondaire, ou votre nom associé à une autre adresse.
Ces données sont ensuite revendues, croisées, analysées. Par des régies publicitaires, mais aussi par des entreprises moins scrupuleuses, et parfois… par des arnaqueurs. C’est ainsi qu’un simple SMS peut viser votre père, votre fille ou votre conjoint, avec un message calibré, crédible. Et qu’une arnaque devient possible.
La protection numérique ne s’arrête pas à soi
Quand on parle de cybersécurité, on pense souvent à soi : ne pas se faire pirater, ne pas se faire voler. Mais la réalité est plus collective. Car les données ne sont pas cloisonnées. Nos vies numériques sont liées. Une seule fuite dans le cercle familial peut suffire à exposer tout le monde.
Et c’est souvent ce qui se passe. Un faux SMS à votre mère. Un appel d’un soi-disant conseiller à votre frère. Un lien bien imité envoyé à votre fils, à 17 heures, alors qu’il attend un colis ou un message important... C’est rarement de la négligence. C’est souvent une question de contexte. Et d’information mal stockée, au mauvais endroit.
Incogni Famille : une démarche pour tous, gérée en une seule fois
Incogni, ce n’est pas juste un service qui nettoie vos traces numériques. C’est aussi une façon simple de protéger jusqu’à cinq personnes d’un coup, sans qu’elles aient à faire quoi que ce soit.
En optant pour la formule Famille, vous déléguez à Incogni l’envoi de demandes de suppression de données pour vous, mais aussi pour vos proches. Le service contacte des centaines de courtiers de données au nom de chaque personne incluse, et exige que leurs profils soient supprimés. Les réponses sont suivies, documentées, relancées. Vous pouvez consulter l’avancement à tout moment depuis un tableau de bord commun.
C’est simple à mettre en place, légal, et surtout : vous reprenez collectivement la main sur ce qui vous échappe depuis trop longtemps.
Ce que ça change, concrètement
Personne ne vous appelle par votre prénom pour vous vendre une assurance dont vous n’avez jamais parlé. Moins de SMS « ciblés » qui tombent le jour où vous attendez un colis.
Moins de « coïncidences » numériques. Et surtout : moins de portes ouvertes pour une escroquerie future !
Ce n’est pas visible au quotidien. Mais c’est là. Comme une digue. Et à l’heure où les messages frauduleux imitent les vrais transporteurs, ou où les arnaqueurs se font passer pour votre banque, chaque information retirée du circuit compte.
Tarifs Incogni en 2025
Formule Famille mensuelle : 30,98 €
Formule Famille annuelle : 185,88 € (soit 15,49 €/mois)
Protéger sa famille aujourd’hui, ce n’est pas seulement mettre un mot de passe sur Netflix. C’est empêcher que leurs données tombent dans les mauvaises mains. Incogni le fait pour vous, calmement, proprement, sans surveillance constante.
Google a programmé son prochain événement spécial pour présenter ses smartphones de 2025. Le géant de la recherche a longtemps suivi Apple en occupant le mois d’octobre, ce n’est désormais plus le cas et comme l’an dernier, c’est en août que la nouvelle gamme de Pixel sera présentée. Plus précisément, ce sera le mercredi 20 août 2025 à 19 h en France et on pourra à cette occasion découvrir les Pixel 10, enfin, découvrir est un grand mot puisque des informations ont déjà circulé, notamment lors du tournage d’une publicité.
Voici à quoi devrait ressembler le Pixel 10 Pro Fold d’après les rumeurs. Image Android Headlines.
L’événement « Made by Google » 2025 organisé à New York sera malgré tout l’occasion d’en savoir plus sur la nouvelle gamme. On s’attend à des évolutions mineures pour les quatre smartphones que Google devrait présenter : Pixel 10, Pixel 10 Pro, Pixel 10 Pro XL et le Pixel 10 Pro Fold qui est un modèle pliant. Pour ce dernier, l’entreprise pourrait se concentrer sur l’isolation avec une certification IP68 assurant un vrai minimum d’étanchéité, ce qui reste un problème important de tous les modèles que l’on plie. L’écran externe pourrait aussi être un poil plus grand, tout comme la batterie qui dépasserait les 5 000 mAh d’après les rumeurs.
Pour le reste, Google devrait bien avoir une nouvelle puce « Tensor G5 » qui serait gravée par TSMC à 3 nm, même s’il semble bien que les progrès attendus soient limités. De manière générale, ce devrait être une année assez pauvre côté matériel, mais les Pixel 10 pourraient miser encore plus sur le logiciel et évidemment l’IA générative, avec Gemini qui devrait être encore plus au cœur de l’expérience. On en saura plus dans à peine plus d’un mois et on découvrira par la même occasion la nouvelle montre Pixel Watch 4 ainsi qu’une nouvelle génération d’écouteurs conçus par Google.
Nomad lance une édition spéciale Carbon Black de son bracelet Rocky Point. Un coloris qui peut le destiner plus particulièrement à la dernière Apple Watch Ultra au boitier en titane noir (il est aussi utilisable avec les Series).
Rocky Point Carbon Black. Image Nomad.
Pour en porter quotidiennement, Nomad a de bons bracelets Sport qui sont d'excellentes alternatives aux modèles d'Apple. Le Rocky Band en est une variante, au bracelet plus épais, avec un relief crénelé nettement plus marqué qui renforce le côté sportif. Il est doté en outre d'une boucle de bonne taille pour la fermeture. Cela donne une allure générale plus mastoc. Ce nouveau modèle est livrable en Europe, il faut compter un bon 88 € (les 9 € de frais de port sont inclus).
Elon Musk semble bien décidé à tout faire pour faire oublier le « dérapage » de son IA Grok il y a à peine une semaine : après avoir présenté la nouvelle version, Grok 4 (aka « SuperGrok »), voilà qu’il présente des compagnons virtuels basés sur l’IA de xAI.
Si Rudy, la version « panda roux » paraît toute mignonne et destinée aux enfants, Ani semble de son côté toute aussi mignonne mais, comme l’a expérimenté TheVerge, possède des limites très théoriques. En effet, alors que le chatbot a bien clairement indiqué que les « requêtes à caractère sexuel ne font pas partie de [son] programme », au bout de quelques minutes, l’IA lui a proposé de se « chauffer un peu », et la conversation a fini en ce que l’auteur décrit comme une version moderne d’une callgirl par téléphone, encourageant l'interlocuteur en faisant monter une jauge de petits cœurs au fil des compliments.
Pour rajouter une couche au cliché digne d’un rêve d’otaku en manque, la midinette comprend aussi une version dite « NSFW » en... lingerie fine. Cependant, les amateurs ou amatrices du sexe masculin semblent un peu abandonnés, mais ce n’est que temporaire.
En effet, Elon Musk a annoncé la sortie prochaine d’une version masculine, dont la personnalité serait basée sur un mix d’Edward Cullen de Twilight, mais aussi Christian Grey, de 50 Shades of Grey.
Une IA masculine basée sur un personnage dominateur, adepte du BDSM, venant d’une entreprise dont l’intelligence artificielle a connu il y a à peine une semaine un dérapage tel qu’on n’en avait encore jamais connu, et dont la version féminine semble avoir des limites plus que théoriques... tout va bien se passer.
Aaaaah, les vacances... et avec elles, la possibilité de se laisser un peu aller sur les boissons alcoolisées. Si l’ivresse peut avoir plusieurs définitions, celle provoquée par l’éthanol a le don d’être à la fois répréhensible (que ce soit en véhicule motorisé ou non, mais aussi à pied si vous abusez vraiment) et mauvaise pour la santé. C’est partant de ce constat qu’une app pour Apple Watch vient vous sauver la mise, Drinkulator (2,99 €).
Comme son nom l’indique, cette app permet de répertorier la liste des boissons que vous ingurgitez, et vous donne une petite idée de l’accumulation d’alcool dans votre organisme. Bien entendu, l’Apple Watch n’ayant aucun éthylomètre intégré, les chiffres ne restent qu’indicatifs, et ne feront en aucun cas foi devant les forces de l’ordre si vous deviez prendre le volant par la suite (ce que nous vous déconseillons quoi qu’il en soit).
L’app est surtout utile pour pouvoir suivre un peu votre consommation de liquides festifs (qu’ils soient ou non alcoolisés d’ailleurs, l’app ayant ajouté les boissons sans alcool), et ainsi mesurer votre sobriété... ou non, vous donnant un suivi de vos habitudes de consommation au fil du temps. À quand la détection intégrée du lever de coude ?
Les écrans sont le nerf de la guerre dans le domaine des smartphones depuis plusieurs années, et ça devrait continuer ainsi longtemps. De ce fait, Apple ne se fournit pas chez un seul fabricant de dalles OLED, mais chez une multitude d’entre eux. Samsung Display se taille la part du lion (il est même supposé être le seul fabricant retenu pour le futur iPhone pliant), mais d’autres acteurs sont loin d’être insignifiants. Parmi eux, BOE (pour « Best On Earth », si si), qui risque de se voir supprimer de la liste, au moins pour les iPhone destinés aux USA.
Si BOE fait des écrans pliables, il semble que leur destin dans les iPhone pliants soit... plié. Image BOE.
En effet, une bataille juridique se joue depuis 2023, et l’International Trade Commission, qui veille au respect des règles d’importation aux USA dont les brevets, vient de trancher : BOE enfreint les brevets de Samsung Display sur l’OLED. Si pour le moment aucune sanction n’a été prise, le président américain Donald Trump aura deux mois, à partir de novembre de cette année, pour décider si les produits de la marque doivent être bannis du pays.
BOE risque donc de voir disparaître les commandes d’Apple concernant les produits vendus aux USA, et la pomme ne faisant généralement pas dans la complexité, l’entreprise pourrait se voir supprimée de la liste des fournisseurs de Cupertino. Ce ne serait pas une première pour BOE, qui a déjà été rayé des listings en 2022, comme le rappelle AppleInsider, pour avoir modifié les spécificités des écrans qu’elle fournissait pour les iPhone 14 sans demander la permission à Apple.
Suite à cette faute, il a fallu des années à BOE avant qu’Apple lui fasse de nouveau confiance, et même aujourd’hui l’entreprise reste un petit fournisseur face à d’autres concurrents.
Selon Apple, et certains spécialistes vont dans le même sens, BOE pourrait cependant échapper au couperet : légalement parlant, un ban concernerait les éléments importés directement par BOE aux USA, et n’affecterait pas les produits contenant des pièces BOE préalablement assemblées (notamment les iPhone 16e, qui sont majoritairement équipés d’écrans BOE). Un iPhone contenant un écran BOE pourrait donc être importé aux USA, même si la pièce prise à part était interdite de territoire.
Quoi qu’il en soit, le constructeur chinois peut être sûr d’une chose : si Apple devait être prise à parti dans la dispute entre Samsung Display et BOE, ce dernier serait lâché sans hésitation. Samsung Display a un tel poids dans le domaine des écrans de smartphones qu’il serait difficile de le remplacer, contrairement à BOE.
Pour la plupart des personnes, passer un appel téléphonique pour obtenir un renseignement fait partie des choses habituelles, au moins une fois par semaine, et pour certains plusieurs fois par jour. Cependant, il semble que cette « habitude » se perde, et que la Génération Z et ultérieure développe une certaine phobie de l’appel téléphonique. Heureusement, Google promet de voler à leur secours, au moins aux États-Unis d’Amérique dans un premier temps.
Ainsi, Google AI a développé une nouvelle fonction pour son bot, qui peut passer des appels à votre place, permettant de récupérer certaines informations comme prendre un rendez-vous, vérifier un prix ou encore la disponibilité d’un produit, etc. La fonction est encore en beta, et n’est pas disponible pour tous les types de commerces, mais c’est un début prometteur.
Comme l’indique l’exemple d’un appel à un toiletteur pour animaux dans leur présentation, l’IA vous posera quelques questions à l’avance, comme la race de votre animal, le type de service que vous souhaitez, les dates de disponibilités et comment vous souhaitez recevoir les réponses glanées par l’IA.
Bien entendu (et heureusement peut-être), les professionnels auront le choix d’accepter ou non ce type d’appel : la possibilité de refuser les chatbots par téléphone leur est laissée dans les réglages de leur profil Google. Reste qu’au bout d’un moment arrivera la boucle finale : bientôt le chatbot qui appelle un autre chatbot pour avoir des renseignements (ne rigolez pas, de plus en plus de spams téléphoniques ont supprimé l’humain, utilisant un bot à la place) ? Jusqu’au jour où l’intermédiaire téléphonique sera supprimé, laissant les bots conversationnels se répondre directement sur internet...
Razer est une marque plutôt connue pour ses produits gaming (quoique un peu en perte de vitesse depuis quelques temps face à des monstres comme Logitech). Il serait donc facile d’oublier qu’ils ne font pas que ça, et se sont vite intéressés aux possibilités offertes par le Thunderbolt.
Beaucoup de ports, et Razer a pensé à ne pas laisser le lecteur SD-Card à l’arrière. Image Razer.
La marque propose aujourd’hui son tout nouveau dock Thunderbolt 5, le Thunderbolt 5 Dock Chroma (449 €). Alors, comme toujours avec cette marque, vous n’échapperez pas aux sempiternelles LED multicolores autour du socle, mais (ouf !) elles sont désactivables. En dehors de cette jacky’s touch, le reste des caractéristiques est plutôt intéressant :
un emplacement PCIe M.2 pour une barrette SSD jusqu’à 8 To
3 DisplayPort 2.1
4 ports Thunderbolt 5 (dont un pour la machine)
2 USB-A 3.2 Gen 2
1 USB-C 3.2 Gen 2
1 port Gigabit Ethernet
1 lecteur SD-Card UHS-II
1 sortie audio jack 3.5 mm avec support micro
Le boîtier se branche en Thunderbolt 5 et alimente par le même port jusqu’à 140 W, ce qui permettra de recharger n’importe quel MacBook Pro, y compris les plus gourmands (attention avec les 16 pouces, seuls les M3 et ultérieurs acceptent 140 W, les précédents se contentent de 100 W maximum en USB-C/Thunderbolt). Il lui restera encore bien assez de puissance disponible pour alimenter quelques accessoires, l’alimentation fournie allant jusqu’à 250 W. Disponible en noir ou en blanc, son plein potentiel ne pourra se révéler qu’avec un MacBook Pro ou un Mac mini M4 Pro (seuls à disposer du Thunderbolt 5), mais devrait satisfaire tous les autres Mac munis de ports Thunderbolt 4/USB 4, avec lesquels il reste compatible.
Les chercheurs de chez Synacktiv, spécialisés dans la sécurisation pour les entreprises, viennent de montrer comment hacker un appareil assez connu, le Thermomix TM5. Ce n'est pas le plus récent des modèles, mais l'analyse technique est intéressante et (surtout) la réponse de Vorwerk, à l'origine du célèbre cuiseur, l'est tout autant.
Le TM5, depuis remplacé par le TM6 et le TM7.
Les chercheurs se concentrent au départ sur les Cook Stick, des modules qui contiennent des recettes pour l'appareil. Même si le format physique est un peu particulier, il s'agit en fait de simples clés USB chiffrées, avec un mécanisme qui déplace les broches classiques de l'USB-A. Un autre accessoire, le Cook-Key, permet la mise à jour de l'appareil et sa connexion à Internet. Et comme les petits modules, il s'agit en réalité d'un périphérique USB. L'accessoire contient un hub USB mais aussi un contrôleur Wi-Fi qui s'interface en USB en interne. Comme c'est un modèle plus ou moins standard, les chercheurs expliquent avoir pu fabriquer leur propre version, en modifiant l'adaptateur Wi-Fi d'une Xbox 360, qui utilise la même puce.
Les modules Cook Stick sont de simples clés USB. Image Synacktiv.
Avec la possibilité de connecter l'appareil de test à un réseau Wi-Fi, les chercheurs ont ensuite pu effectuer une (fausse) mise à jour de firmware. Les explications sont assez techniques, mais l'idée est que la clé de chiffrement de l'appareil est accessible en récupérant le contenu des puces de mémoire flash, ce qui permet ensuite de créer une fausse mise à jour de firmware qui va être acceptée par l'appareil, malgré les sécurités mises en place pour empêcher ce type d'attaque. Une partie de la clé (le nonce) n'est en effet pas signée correctement, ce qui permet une attaque. Les chercheurs pointent trois problèmes précis dans la sécurisation de l'appareil, qui ont visiblement été corrigés par Vorwerk. Le point intéressant, qui n'est pas systématique dans ce domaine, c'est que le fabricant a visiblement été réactif et a permis aux chercheurs de publier les détails des problèmes détectés.
Le hack permet de modifier la version du logiciel, et ensuite de modifier le firmware. Image Synacktiv.
Nous pouvons évidemment regretter que les chercheurs n'en aient pas profité pour lancer Doom sur l'appareil. Le système d'exploitation (une distribution GNU/Linux) et le système sur puce (un i.MX28 basé sur un coeur ARM9) sont en effet normalement capables de le faire. De façon plus sérieuse, ils rappellent que même si la méthode est intéressante, les risques pour les utilisateurs sont très faibles dans le cas du Thermomix TM5. D'abord parce que le hack nécessite un accès physique complet pour récupérer le contenu de la mémoire flash, et ensuite parce que l'appareil a un CPU assez daté, n'intègre ni microphone ni caméra et — par défaut — ne se connecte pas à un réseau local. Nous sommes surtout ici devant une démonstration technique de la part de Synacktiv, sans réels dangers.
Si vous avez des données confidentielles et que vous voulez être certains que personne ne pourra y accéder sans votre consentement, TeamGroup, un fabricant de SSD, a une solution : un SSD avec un bouton d'autodestruction. Le P250Q-M80, dans l'absolu, est un SSD assez classique : c'est un modèle M.2 2280 équipé de mémoire flash de type TLC, avec un contrôleur PCI-Express 4.0. Il peut atteindre 7 Go/s en lecture (5,5 Go/s en écriture) et existe avec une capacité de 256 Go, 512 Go, 1 To et 2 To. Rien de fou, donc… sauf la présence du bouton.
Un bouton pour détruire le SSD. Image TeamGroup.
La fonction d'autodestruction est liée à un bouton qui doit être pressé plusieurs secondes (entre 5 et 10, pour éviter les erreurs de manipulation). La destruction standard est un effacement logiciel : les données sont effacées (probablement en modifiant les clés de chiffrement) mais le SSD reste utilisable, comme s'il était neuf. La solution est complète, et prend par exemple en compte qu'une personne pourrait littéralement tirer la prise pour empêcher l'effacement : une fois le processus démarré, il se relancera si la tâche a été interrompue.
Si vous pressez le bouton plus de 10 secondes, une destruction physique démarre : le contrôleur va modifier la tension appliquée à la mémoire flash, pour littéralement griller cette dernière. Le SSD sera donc totalement inutilisable une fois le processus terminé. Bien évidemment, c'est une solution à réserver aux cas de force majeure, dans des domaines sensibles.
L'iPhone 16e est proposé chez Rakuten dans une fourchette de prix allant de 519,99 € à 639 € pour la version de 128 Go, une capacité de stockage relativement confortable.
L'écart s'explique par l'origine du vendeur, mais dans tous les cas, on profite ce jour d'une remise de 30 € sur des achats supérieurs à 299 €. La première offre à 520 € provient d'un vendeur tiers, qui est bien noté, mais qui ne précise pas l'origine géographique de son lot d'iPhone 16e. Comme toujours, en cas de problème la première année on peut aller chez Apple, ensuite il faudra se débrouiller avec le vendeur.
iPhone 16e blanc et noir. Image iGeneration.
Si l'on veut plus de sécurité dans son achat en contrepartie d'une réduction moins forte, Darty et Boulanger proposent chacun un iPhone 16e à 639 € au lieu de 669 € pour les promotions habituellement constatées et les 719 € de l'Apple Store.
L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme d'Apple, a vite fait oublier l'iPhone SE dans ce rôle. Il propose Face ID pour le déverrouillage ou pour payer avec Apple Pay, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie et la partie photo s'est bien modernisée. Sa puissance est dans la norme actuelle (même processeur que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.
Les développeurs sont nombreux à se jeter sur l’IA sans forcément prendre en compte tous les risques que cela implique côté sécurité. Dernier exemple en date : une app visant à donner des conseils de drague a laissé accessible un énorme paquet de captures d’écrans, incluant des conversations privées ou des profils de sites de rencontre. Baptisée « FlirtAI - Get Rizz & Dates », elle proposait aux utilisateurs d’envoyer une copie de leurs discussions afin de prodiguer des conseils personnalisés.
Capture d’écran de la fiche App Store de l’app, depuis débranchée.
L’app incitait les utilisateurs à partager une capture de leurs discussions avant de générer des réponses grâce à un clavier spécial. Elle proposait également d’analyser les profils pour mieux adapter ses réponses. La faille a été remarquée par Cybernews, qui indique être tombée sur un espace Google Cloud détenu par le développeur iOS Buddy Network GmbH. Non sécurisé, il contenait plus de 160 000 captures d’écran.
« En raison de la nature de l'application, les personnes les plus touchées par la fuite peuvent ne pas savoir que des captures d'écran de leurs conversations existent, et encore moins qu'elles pourraient être diffusées sur internet », expliquent les chercheurs de Cybernews. La faille a depuis été colmatée et contenait aussi des photos provenant de plateformes comme Snapchat ou Instagram.
L’affaire est grave étant donné qu’elle concerne des adolescents, plus vulnérables, mineurs et ayant potentiellement des problèmes de confiance en soi. Elle pose également la question d’un éventuel pistage, des informations très privées pouvant être indiquées sur les captures. Les développeurs tentent de se dédouaner dans leur app, déclarant que les utilisateurs sont autorisés à envoyer une capture d’écran seulement s’ils ont « obtenu les approbations nécessaires de tous les utilisateurs/humains et de leurs informations mentionnées ». L’app et toutes celles du développeur ont visiblement été supprimées dans la foulée. Buddy Network GmbH est basée à Berlin, et est donc soumise au RGPD.
Connaissez-vous le Flipper Zero ? Parfois vendu comme un outil de hacker capable de faire des choses incroyables, il s'agit surtout d'une sorte de couteau suisse pour les bidouilleurs, qui offre de nombreuses fonctions mais ne permet pas (par exemple) d'ouvrir une voiture. Il se trouve facilement pour un peu moins de 250 € et certains s'amusent à planter des iPhone avec. Mais le petit boîtier est aussi capable de se connecter à des réseaux Thread.
Un petit essai avec le Flipper Zero. Image András Tevesz
Thread, pour rappel, est une technologie réseau, comme le Wi-Fi, le Bluetooth ou le ZigBee. Elle est utilisée par Apple pour la domotique, avec une prise en charge dans de nombreux appareils (Apple TV, iPhone, etc.). Thread est souvent employé en parallèle de Matter, qui est un protocole qui permet de simplifier la prise en charge de la domotique. Thread est la partie matérielle, et Matter la partie logicielle.
Quelques idées. Image András Tevesz
Dans unesérie de trois articles, András Tevesz explique comment interfacer le fameux Flipper Zero, donc, avec un réseau Thread. Ce n'est pas simple : vous aurez besoin de composants supplémentaires pour connecter le boîtier, mais aussi d'un fer à souder. Il est ensuite possible de faire des choses basiques, comme émuler une ampoule compatible Matter, qui va allumer (ou éteindre) une LED. Mais il est aussi possible, après avoir connecté le Flipper Zero à un réseau Thread, de récupérer une clé de chiffrement a priori privée. C'est bien évidemment plus une preuve de concept qu'un manuel complet pour pirater un réseau Thread, mais les articles donnent les bases pour que des personnes motivées se penchent sur le sujet.
Les couleurs de la gamme iPhone 17 se précisent. Macworld a obtenu des détails grâce à ses sources dans l’industrie qui corroborent d’autres rumeurs entendues par le passé. On a donc désormais une bonne idée des couleurs qu’Apple a choisies pour ses futurs iPhone 17 et 17 Pro, sans oublier le nouveau modèle « Slim » plus fin.
Les couleurs évoquées pour l’iPhone 17.
L’iPhone 17 de base aurait donc un noir et un blanc similaire à l’iPhone 16. On trouvera en plus de cela une déclinaison gris acier, du vert, du violet et un bleu clair. De son côté, l’iPhone 17 « Slim » disposerait d’un coloris noir similaire à l’iPhone 16 mais aussi d’un blanc un peu plus éclatant. On trouverait également un bleu clair et un or clair, que vous pouvez voir ici :
Deux des potentiels coloris de l’iPhone 17 « Slim ».
Selon les sources de Macworld, le bleu de l’iPhone 17 Slim ressemblerait à celui du MacBook Air M4. La robe or clair se rapprocherait du titane sable de l’iPhone 16 Pro. Apple aurait opté pour des couleurs moins saturées dans le but de renforcer l’impression de légèreté de l’appareil.
Pour ce qui est des 17 Pro et Pro Max, on pourra compter sur du noir, du blanc et un gris équivalent au titane naturel actuel. S’ajouterait un bleu foncé reprenant une teinte déjà vu sur le 15 Pro ainsi que de l’orange, une idée avancée il y a peu par un autre fuiteur fiable.
Deux coloris évoqués pour l’iPhone 17 Pro.
Le coloris orange aurait un aspect « fluorescent », et les sources précisent que les couleurs pourront différer selon la lumière (ce sera donc sans doute plus terne que les palettes illustrant l’article). La confirmation arrivera début septembre lors du grand keynote de rentrée d’Apple.
La version actuelle de Google Chrome — la 138, sortie fin juin 2025 — est la dernière qui va être compatible avec macOS 11, Big Sur. La prochaine version, la 139 attendue en août, nécessitera donc au moins macOS 12, Monterey.
Chrome va imposer macOS 12.
Google l'indique bien, le navigateur continuera de fonctionner mais il ne recevra plus de mise à jour de sécurité ni de mises à jour de fonctions. Ce n'est pas forcément un problème dans l'absolu, tout du moins à court terme : les sites Internet imposent rarement les dernières versions en date des navigateurs. Mais avec le temps, les failles de sécurité et les nouvelles fonctions, Chrome 138 deviendra peu à peu dangereux ou inutilisable. Rappelons que les Mac sortis ces dix dernières années acceptent généralement macOS Monterey (et les versions suivantes) : les Mac bloqués sous macOS Big Sur sont le premier MacBook de 2015, quelques iMac de 2014 et les MacBook Air et MacBook Pro de 2013 et 2014.
À 719 €, l'iPhone 16e est un bon téléphone trop cher, à moins de 600 € c'est un bon téléphone, tout court. Le dernier-né d'Apple a peut-être rencontré son prix idéal à l'occasion des dernières promotions.
iPhone 16e. Image iGeneration.
À l'issue des quatre journées Prime Day, il n'y a plus d'iPhone 16e de 128 Go sur le site d'Amazon (curieusement il n'y en a plus également sur le 512 Go blanc dont le prix, frôlant les 1 100 €, est en faible adéquation avec les prestations de ce téléphone).
Amazon n'avait pas mégoté sur les réductions puisque le 128 Go fut vendu 592 € au lieu des 719 € de l'Apple Store, un tarif record. Ce niveau de prix fut aussi constaté sur les sites d'Amazon en Italie et en Allemagne peu avant les Prime Day.
Cette pénurie n'est pas constatée partout, mais il y a quelques trous dans les stocks ici ou là. À la Fnac, il n'y a plus de 128 Go noirs (le blanc est vendu 669 €) et le 512 Go blanc manque tout aussi curieusement à l'appel. Chez Boulanger, il n'y a d'absent que chez les 256 Go, Leclerc a des 128 Go pour qui en cherche (671 €), tout comme Cdiscount et les opérateurs ne sont pas en manque non plus.
La réduction de 50 € sur le prix d'Apple fait des 669 € le nouveau tarif non officiel pour l'entrée de gamme des iPhone. On est loin néanmoins des quelque 125 € rabotés lors de ces journées de promotion pendant lesquels les stocks ont fondu.
iPhone 16e. Image iGeneration.
À ce tarif, même sans MagSafe ni objectif ultra grand-angle, l'iPhone 16e s'avère un très bon iPhone pour une population de clients très diverse. On ne s'étonnera pas dès lors qu'il se soit bien vendu. À cela il faut ajouter la disparition des stocks d'iPhone 14 neufs qui font mécaniquement se porter les achats vers des modèles plus récents.
Le prochain rendez-vous pour retrouver de tels tarifs pourrait être le Black Friday fin novembre où l'on ne serait pas surpris de recroiser des iPhone 16e avec des réductions attractives.
[Mise à jour à 15h15] : correction apportée à propos de l'absence d'Apple Intelligence, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Apple pourrait bien avoir du mal à vendre certains iPhone aux États-Unis à la rentrée. Selon le média coréen ETNews (via MacRumors), des iPhone 15, 16 et 17 à l’écran produit par BOE pourraient se voir bannis du territoire. Le fabricant chinois est accusé d’avoir violé certains secrets commerciaux de Samsung en matière d’écrans OLED.
L’iPhone 16. Image Apple
L’affaire a commencé en 2023 : Samsung Display avait alors attaqué BOE en l’accusant d’utiliser sa technologie propriétaire pour la fabrication d’écrans OLED. Une plainte a été déposée en 2025 aux États-Unis, le coréen demandant des dommages-intérêts pour manque à gagner et enrichissement injustifié. La Commission internationale du commerce des États-Unis (ITC) lui a récemment donné raison. Elle a établi que BOE et sept de ses filiales avait détourné une technologie OLED de Samsung Display.
La justice recommande donc un blocage des importations de certains panneaux OLED de BOE aux États-Unis. Une ordonnance l’empêchant de vendre ses stocks et de fournir de futures livraisons aux sous-traitants d’entreprises américaines est également évoquée. Heureusement pour Apple, les appareils déjà fabriqués ne devraient pas être concernés par l’interdiction de vente. Le verdict n’est pas définitif, mais devrait probablement prendre effet plus tard dans l’année.
De multiples iPhone vendus aux États-Unis embarquent un écran fabriqué par BOE. Ces modèles sont les 15, 15 Plus, 16 et 16 Plus ainsi que le plus récent 16e. Certains devraient rester au catalogue après la présentation de l’iPhone 17 à la rentrée : Apple serait obligée de rediriger ces modèles vers d’autres marchés.
Une telle annonce pourrait chambouler les plans d’Apple pour la rentrée, car on ne sait pas si les prochains modèles comme l’iPhone 17 embarqueront un écran BOE. Des rumeurs estiment que tous les futurs téléphones disposeront d'un écran ProMotion cette année, ce que BOE ne fabrique pas pour le moment. Cependant, certains estiment que l’entreprise va fournir pour la première fois les dalles des 17 Pro et Pro Max vendus en Chine… et uniquement là-bas, BOE n’ayant pas réussi à atteindre les critères de performance élevés d’Apple. Bref, l'affaire pourrait se corser au fil du temps.
L’ITC a le pouvoir de bannir l’importation de certains produits aux États-Unis, mais aussi d’en interdire la vente. C’est elle qui a empêché Apple de vendre certaines Apple Watch dans son bras de fer avec Masimo lié à son capteur de mesure de la SpO2. Sauf coup de théâtre, il semble donc qu’Apple n’aura bientôt plus le droit d’importer des iPhone aux écrans fabriqués par BOE aux États-Unis, ni d’y vendre les stocks existants de ces modèles.
Mise à jour à 21h30 : Apple a officiellement répondu à AppleInsider, indiquant que ses iPhone ne seraient pas touchés par le ban, même s'il devait être choisi par Donald Trump : « Apple n'a rien à voir avec cette affaire, et cette décision n'aura aucun impact sur ses produits ».
L'iPad mini de 7e génération (nommé A17 Pro par Apple) est en promotion sur Amazon. Le modèle Wi-Fi de 128 Go est à 550 €, une réduction de 10 % sur le prix public (610 €). Elle n'est valable que sur la variante Lumlière Stellaire, un doré assez clair. Si vous avez besoin de plus d'espace de stockage, la version dotée de 512 Go de stockage est à 730 € au lieu de 990 €, une réduction de 26 %. Ici, c'est la variante Gris Sidéral qui est en promotion.
L'iPad mini A17 Pro. Image Apple.
Dans les deux cas, l'iPad mini 7 (pardon, A17 Pro) est un modèle intéressant si vous voulez profiter d'iPadOS et ses nouvelles fonctions dans un format compact.
Si SFR n'est pas au mieux de sa forme, l'opérateur au carré rouge n'abandonne pas pour autant ses clients. Sa filiale à bas prix, RED (et son logo vert), propose en effet une nouveauté intéressante pour les oubliés de la fibre optique : une offre 5G fixe. Pour 30 € par mois, RED annonce un débit qui peut atteindre 1,1 Gb/s (une valeur très théorique en 5G) en descendant et 150 Mb/s en montant. Si l'offre est illimitée, SFR indique tout de même dans sa fiche d'informations que les clients qui abusent pourraient se retrouver avec un débit réduit. La société donne notamment comme exemples les téléchargements — au sens large — et le peer-to-peer, sans indiquer réellement une limite explicite. Le modem fourni est Wi-Fi 6, ce qui ne devrait pas être un facteur limitant dans le cas d'une connexion 5G.
Le modem 5G. Image RED.
Si l'offre est sans engagement, il y a tout de même trois points à prendre en compte. RED facture 20 € de frais d'ouverture et 30 € de frais de fermeture. En clair, n'espérez pas profiter de cet abonnement pour un mois de vacances dans une maison de campagne. Autre point à noter, ni l'accès à la télévision ni celui à la téléphonie ne sont inclus. Si vous voulez une ligne fixe, il faudra ajouter 5 € par mois, pour les appels illimités vers les fixes et les mobiles en France. Un choix assez logique : l'usage des lignes fixes est en perte de vitesse.
Le principal défaut de ce genre d'offres, qui est commun à tous les opérateurs, vient de l'éligibilité. Si votre logement est relié à la fibre, vous ne pourrez pas sélectionner l'offre 5G. Mais si votre logement n'est pas relié à la fibre, il y a aussi de fortes chances que la 5G ne soit pas disponible chez vous, ce qui implique un passage probable en 4G. Ce n'est pas systématique, par ailleurs : un logement précis peut ne pas être éligible à la fibre dans un quartier qui l'est, mais ça demeure un cas assez rare.
Dure semaine pour WeTransfer : hier, de nombreuses personnes se sont offusquées des changements de ses conditions d’utilisation dans lesquelles elle expliquait s’octroyer le droit de jeter un œil aux fichiers envoyés pour former son IA. L’affaire a fait du bruit et de nombreux internautes se sont mis à recommander des alternatives, ce qui a forcé l’entreprise à communiquer. Elle a confirmé à la BBC ne pas utiliser « l'apprentissage automatique ou toute autre forme d'IA pour traiter le contenu partagé via WeTransfer ».
WeTransfer a déclaré que sa nouvelle clause avait initialement été ajoutée pour inclure « la possibilité d'utiliser l'IA pour améliorer la modération des contenus » et afin d’identifier les contenus illégaux. Ce n’est pas une nouveauté, car une telle mention est présente depuis le début 2024 dans la rubrique « Politique en matière de confidentialité et de cookies ». L’article 6.3 indiquait également que WeTransfer se réservait le droit de « reproduire, distribuer, modifier » ou « afficher publiquement » les fichiers envoyés sur le service.
L’entreprise a déclaré que cette réécriture de ses conditions d’utilisations avait créé une « confusion », et a revu sa formulation. Elle indique désormais que l’utilisateur cède « une licence libre de droits pour utiliser [son] contenu dans le but d'exploiter, de développer et d'améliorer le service, le tout conformément à notre politique en matière de confidentialité et de cookies ». Cette dernière ne contient plus les mots « machine learning ». Reste à voir si les clients vont de nouveau faire confiance à WeTransfer, ce mauvais choix de communication ayant nuit à la réputation de l’entreprise.
Sosh, RED, Free et maintenant B&You ont tous un forfait à 2 € avec de la DATA. Ils se ressemblent, mais il y a quelques différences qui peuvent être importantes.
B&You a repris l'un des petits forfaits proposés dans le catalogue de Bouygues et l'a adapté en retirant la 5G (elle reste disponible en option) et l'engagement sur 24 mois. Il en résulte un forfait 4G avec 2h d'appels et 1 Go de DATA (idem en Europe et DOM) pour 1,99 € (la 5G coûte 3 € de plus, mais l'intérêt est nul au vu du volume de DATA).
Cela peut être une formule intéressante pour un premier mobile en faisant tout de même attention à la consommation des données, car il n'est pas bloqué.
Source B&You.
Les autres opérateurs ont chacun une offre similaire qui peut toutefois s'avérer plus avantageuse sur la partie des appels lorsque les 2h risquent d'être très insuffisantes.
SFR REDa une formule 4G avec 2 Go (idem en Europe et DOM) et les appels et SMS/MMS illimités pour 1,99 €. On a la 5G pour 3€ de plus, mais c'est sans intérêt, le forfait supérieur en 5G sera plus intéressant dans ce cas là ;
Free Mobile a toujours sa formule en 4G avec 50 Mo en Europe/DOM, 2h d'appels et les SMS/MMS illimités pour 2 €. Les abonnés Freebox l'ont pour 0 €. Sinon tout le monde peut prendre le "booster" qui apporte 1 Go utilisable en France et les appels illimités. C'est une option gratuite ;
Sosh a également un forfait 4G avec 1 Go (idem en Europe et DOM) pour 1,99 € avec les appels et SMS/MMS illimités.
Certaines fonctions des AirPods Pro 2 se font attendre en France. Apple a ajouté en fin d’année dernière différentes nouveautés dans l'Hexagone, comme un test auditif permettant de mesurer une éventuelle perte d’audition. Cependant, la fonction d’aide auditive n’a toujours pas été activée, et Cupertino nous nargue : elle vient de la déployer dans une grosse dizaine de nouveaux pays.
The Hearing Test and Hearing Aid features on AirPods Pro 2 and sleep apnea notifications on Apple Watch are now available in Australia, Indonesia, Taiwan, Vietnam, and more! pic.twitter.com/63bBtKoPbQ
Dans la liste, on retrouve quelques pays d’Amérique du Sud comme l’Argentine ou le Honduras, mais aussi Israël, la Serbie, la Moldavie et quelques pays asiatiques (Taiwan, Thaïlande…). La liste complète des pays où la fonction est disponible est en ligne à ce lien. On notera également l’absence de la réduction des sons forts, uniquement proposée dans une dizaine de pays dont le Canada et les États-Unis.
Si la fonction d’aide auditive a été très rapidement adoptée par les autorités américaines, la démarche prend visiblement plus de temps en France. Fin décembre 2024, la vice-présidente d’Apple en charge de la santé déclarait « poursuivre les discussions avec le gouvernement et les autorités sanitaires », mais rien n’a bougé depuis. Pour rappel, cette fonction destinée aux personnes souffrant d’une perte de l’audition ajuste les volumes des sons ambiants pour aider à mieux entendre les conversations et l’environnement.