France Identité continue de tester une mise à jour importante de son app et la dernière bêta en date apporte des améliorations attendues. Le gros morceau de cette future version est l'import de la carte grise que l'on peut d'ores et déjà essayer soi-même. Il y a encore des places dans le programme de bêta-test pour enregistrer son iPhone avec l'app TestFlight d'Apple.
Les pièces d'identité dans leur deux modes d'affichage sur l'écran d'accueil (la capture d'écran retire leur contenu). Image iGeneration.
Depuis la bêta de la mi-juin, la Carte grise a ainsi rejoint le Permis de conduire et la Carte d'identité qui est la première que l'on doit ajouter (lire aussi Carte d'identité : la demande de renouvellement sans motif de perte ou de vol est disponible). À propos de la Carte grise, cette nouvelle bêta indique qu'elle règle un bug d'importation pour les cyclomoteurs. Si vous aviez échoué précédemment, c'est l'occasion d'essayer à nouveau.
Second point intéressant, l'app de France Identité pourra servir à justifier sa réservation d'un billet Ouigo. Le contrôleur du train pourra vérifier simultanément votre identité et votre possession d'une réservation en règle. C'était déjà possible avec les TGV Inoui et les trains Intercités.
Enfin, de l'ordre du détail, un bouton dans l'écran d'accueil permet aux cartes enregistrées de s'afficher toutes au lieu qu'on alterne entre elles.
N’attendez pas d’éventuels AirTags 2 pour surveiller vos bagages cet été. Selon 9to5Mac, les balises Bluetooth de nouvelle génération ne seront commercialisées qu’à partir de cet automne.
Les AirTags 2 font parler d’eux depuis un moment : leur sortie avait été pronostiquée au départ pour fin 2024, mais force est de constater que ce sera pour cette année au mieux. Un lancement au cours des prochains mois est très crédible au vu des références trouvées dans iOS 18.6 et iOS 26.
Par rapport aux balises originales lancées en 2021, les AirTags 2 pourraient notamment avoir une puce U2 (déjà employée par les iPhone 15 et 16) leur conférant une portée largement supérieure, ce qui permettrait de les localiser encore plus facilement.
En attendant, les AirTags de 1re génération sont en promotion sur Amazon : comptez 56,80 € le lot de deux, 85,20 € le lot de trois ou 94,65 € le lot de quatre. Si vous n’avez pas besoin de la localisation précise (une fonction qui exploite la technologie UWB pour guider précisément jusqu’à la balise), il existe des traqueurs compatibles avec le réseau Localiser qui sont beaucoup plus abordables :
Plusieurs grands constructeurs ont manifesté leur peu d'intérêt à équiper leurs véhicules avec CarPlay Ultra, montre une enquête du Financial Times qui a sondé ces possibles partenaires d'Apple.
CarPlay exploite tous les écrans de la voiture, ici dans la DBX707 d’Aston Martin. Image Aston Martin.
Trois ans après son annonce, CarPlay Ultra est enfin devenu concret en mai dernier avec l'annonce de son intégration dans une Aston Martin. Le communiqué a cité en outre une utilisation à venir chez Hyundai/Kia/Genesis ainsi que Porsche à l'avenir. Mais c'est tout.
Cela fait peu, et très exclusif s'agissant d'Aston Martin, pour un système embarqué qu'Apple veut plus ambitieux que le CarPlay classique. La version Ultra peut prendre le contrôle de tous les écrans de la planche de bord et rendre compte des multiples capteurs et fonctions de la voiture. C'est justement cette intégration beaucoup plus poussée qui dessert CarPlay Ultra, au vu des réponses obtenues.
Renault, qui travaille avec Google et Qualcomm, trouve le principe trop intrusif. Il l'a fait savoir en disant en substance à Apple : « Ne tentez pas d'envahir notre propre système », raconte un responsable chez le fabricant français.
D'autres marques, qu'Apple avait citées parmi la douzaine supposément partenaires de CarPlay Ultra, ont pris du recul (ou Apple a mis la charrue avant les bœufs). Jaguar Land Rover en est toujours à évaluer cette version Ultra quant à Ford et Nissan/Infiniti ils n'ont pas voulu faire de déclarations sur une future utilisation. General Motors n'est pas mentionné, mais les choses sont plus simples avec ce groupe puisqu'il a déjà tiré un trait sur CarPlay tout court.
BMW a répondu qu'il s'en tient à la version toute simple de CarPlay, mais qu'il utilisera la mise à jour présentée lors de la WWDC. Pas d'Ultra non plus chez Audi qui semble vouloir s'en tenir au CarPlay classique, lui aussi.
Mercedes-Benz ne devrait pas y aller non plus, préférant rester maître du logiciel de ses véhicules et des services payants qui peuvent y être rattachés.
Interrogée par le FT, Apple assure que d'autres constructeurs seront présentés pour CarPlay Ultra et de demander un peu de patience : « Nous collaborons étroitement avec les constructeurs automobiles pour offrir le meilleur de l’iPhone et le meilleur de la voiture, et ce travail prend du temps ».
C’est une offre qu’on voit rarement descendre aussi bas, et pourtant elle tombe à pic. En plein cœur des soldes d’été, CyberGhost VPN propose son abonnement 2 ans à seulement 2,63 €/mois TTC, avec 2 mois gratuits en bonus, soit une réduction de -82 %. Une promotion qui s’adresse aussi bien aux nouveaux venus qu’aux habitués du VPN — et qui tombe à merveille pour les adeptes du Mac.
Qu’on navigue sur Safari depuis un MacBook Air ou qu’on télécharge en P2P sur un Mac Studio, la question de la confidentialité en ligne n’est plus accessoire. Le VPN s’est imposé comme une réponse simple et efficace à un problème structurel du web : tout ce que vous faites peut être surveillé, tracé ou vendu.
Avec CyberGhost, on ne parle pas d’une solution gadget. Ce service VPN basé en Roumanie (un pays sans obligation de conservation des données) a bâti sa réputation sur trois piliers : rapidité, ergonomie et fiabilité. Et son application macOS est un modèle du genre.
Compatible depuis macOS High Sierra (10.13), elle s’installe en quelques clics et ne réclame aucune connaissance technique. Une fois activée, elle chiffre automatiquement tout le trafic et masque votre adresse IP, sans ralentir votre navigation.
Une interface pensée pour le Mac (et pour ceux qui veulent juste que ça marche)
L’époque des VPN austères est révolue. L’interface CyberGhost sur Mac est claire, fluide, et adaptée aux habitudes des utilisateurs d’Apple. On retrouve un design épuré, des profils préconfigurés pour les usages fréquents (streaming, téléchargement, jeu en ligne), et une connexion en un clic.
On peut bien sûr personnaliser les réglages, mais l’intérêt de CyberGhost, c’est qu’on n’est jamais obligé de le faire. Tout fonctionne immédiatement, y compris les raccourcis clavier et les notifications système. Cerise sur le gâteau : la version Mac est native Apple Silicon.
Streaming, P2P, gaming : le VPN s’adapte à vos usages
Là où certains VPN imposent des compromis (un serveur rapide mais bloqué sur Netflix, ou inversement), CyberGhost fait le pari de profils spécialisés. Besoin d’un serveur capable d’accéder à Disney+, Hulu ou Netflix US depuis la France ? Il y a une catégorie dédiée. Idem pour le téléchargement en pair-à-pair, avec des serveurs optimisés pour la bande passante et la stabilité.
Même constat côté jeu vidéo : les serveurs gaming affichent de bons temps de réponse, y compris depuis des connexions mobiles. Si vous jouez sur GeForce NOW, Apple Arcade ou même via Steam Link, le VPN reste transparent : aucun décalage perceptible, et aucun message d’erreur de géolocalisation.
Une vitesse constante, même à l’autre bout du monde
CyberGhost aligne plus de 11 000 serveurs répartis dans une centaine de pays. Cette diversité géographique a deux avantages : on peut choisir des emplacements très spécifiques (utile pour contourner une censure, par exemple), et on évite les engorgements. En pratique, la vitesse reste stable, même quand on se connecte à des serveurs au Japon, au Canada ou en Australie.
Testé sur fibre, le débit descendant reste proche du maximum sans VPN (souvent autour de 90 à 95 %), y compris pour le streaming en 4K ou le téléchargement de gros fichiers. Côté upload, les performances sont également bonnes, ce qui en fait un bon allié pour les créateurs de contenus ou les sauvegardes chiffrées dans le cloud.
Respect strict de la vie privée : pas de logs, pas de pièges
CyberGhost applique une politique stricte de non-journalisation : aucune activité n’est enregistrée, aucune donnée personnelle n’est vendue. L’entreprise publie d’ailleurs régulièrement un rapport de transparence, détaillant toutes les requêtes gouvernementales reçues… et refusées.
En parallèle, l’abonnement donne accès à un bloqueur de pubs, à une protection contre les sites malveillants, et à une fonction de tunnel fractionné, utile si vous ne voulez chiffrer que certaines applications ou navigateurs.
Une offre sans risque (et sans entourloupe)
L’abonnement à 2,63 €/mois TTC est valable pour toute souscription sur 2 ans, avec 2 mois offerts. L’offre inclut la garantie de remboursement sous 45 jours : si vous n’êtes pas convaincu, vous pouvez annuler et être intégralement remboursé, sans frais ni justification.
Autre avantage : vous pouvez utiliser un seul compte sur jusqu’à 7 appareils en simultané, Mac compris, mais aussi iPhone, iPad, Apple TV (via Smart DNS), routeur ou même PC.
Microsoft prépare la fin de Windows 10, qui devrait commencer le 14 octobre 2025, même si la société commence à laisser un peu de rabs aux utilisateurs. En parallèle de cet événement, Microsoft communique aussi sur une de ses applications phares : Office 365. Au départ, Microsoft voulait abandonner la suite bureautique sous Windows 10 en même temps que le système d'exploitation, mais comme Windows 10 n'est pas réellement prêt à être abandonné, la firme de Redmond avait changé son fusil d'épaule.
Microsoft 365. Image Microsoft.
Dans le dernier post de blog en date sur le sujet, Microsoft précise les dates. Premièrement, Office 365 recevra encore des mises à jour de fonctionnalités sous Windows 10 jusqu'en août 2026. Vous aurez donc accès aux nouveautés de Word ou Excel pendant quelques mois après la fin officielle de Windows 10. C'est une bonne nouvelle pour ceux qui veulent profiter de l'année de support que Microsoft va finalement proposer de façon assez large.
Pour la fin des mises à jour de sécurité, la date est plus lointaine : Microsoft va en proposer jusqu'en octobre 2028. Ce n'est pas une date choisie au hasard : pour les entreprises, Windows 10 va être pris en charge aussi jusqu'en octobre 2028, contre des espèces sonnantes et trébuchantes.
Notons enfin que la société est plus généreuse avec Windows qu'avec macOS : sur les appareils Apple, Office 365 nécessite une des trois dernières versions majeures en date de macOS selon Microsoft. En pratique, la version distribuée sur le Mac App Store demande a minima macOS 13 (Ventura).
Le tour de France de l’application carte Vitale se poursuit. L’application peut désormais être activée sans France Identité dans deux nouvelles régions : la Bretagne et le Centre-Val de Loire. Cette activation individuelle est également disponible en Auvergne-Rhône-Alpes, en Bourgogne-Franche-Comté, dans le Grand Est, en Normandie, dans le Pays de la Loire et en Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Si vous n’habitez pas dans l’une de ces régions, vous pouvez utiliser l’authentification avec l’app France Identité pour profiter dès maintenant de l’application carte Vitale. Ce moyen d’activation fonctionne partout en France. Et si vous n’avez pas France Identité, encore un peu de patience : l’activation indépendante sera disponible sur l’ensemble du territoire d’ici cet automne.
Application carte Vitale. Image iGeneration.
Attention, nous avons remarqué que l’application plantait sur un de nos iPhone équipés de la bêta développeur d’iOS 26 (bêta 1 comme bêta 2). Si vous voulez vous en servir, restez donc sur iOS 18 pour le moment.
L’application carte Vitale vous permet d’avoir une version dématérialisée de votre carte verte sur votre iPhone ou votre smartphone Android ainsi que de consulter les dépenses de soins réalisées. Petite mise en garde : les professionnels de santé ne sont pas encore tous équipés pour lire le QR code affiché par l’app. Renseignez-vous auprès de votre médecin, de votre pharmacien et de vos autres interlocuteurs médicaux pour savoir s'ils prennent en charge l'application. Fin avril, elle comptait un million d'activations.
Le moniteur professionnel d’Apple est plus abordable que jamais. Le Pro Display XDR coûte seulement 4 008 € sur Amazon dans sa version de base ! Une super affaire, non ? Trêve de plaisanterie, le produit reste bien entendu inabordable pour le commun des mortels, mais c’est bien le prix le plus bas à ce jour, sachant qu’il coûte normalement 5 499 €. La réduction s’élève donc à 27 %.
Pro Display XDR (le pied n’est pas inclus). Image Apple.
Amazon fait également une remise significative sur le moniteur dans sa version avec verre nano-texturé : il est vendu 5 184 € au lieu de 6 499 €, soit 20 % de réduction. Dans les deux cas, le pied n’est pas compris, pas plus que le kit de montage VESA.
Le Pro Display XDR est un moniteur 6K de 32" véritablement destiné aux professionnels de l’image. Avec son rétroéclairage mini-LED, il est adapté aux montages vidéo et développements photo de pointe en HDR. Son lancement en 2019 et des rumeurs récentes autour d’un ou plusieurs nouveaux écrans le placent aujourd'hui dans une position peu amène. Mais qui sait, si vous avez besoin d’un Pro Display XDR immédiatement, vous serez content de l’avoir à tarif réduit.
Amazon propose une belle promotion sur l'Apple Pencil USB-C, son modèle avec la plus grande compatibilité. Il est à seulement 66,5 €, contre 90 € en temps normal. Cette version USB-C a l'avantage de fonctionner sur tous les iPad dotés d'une prise USB-C, sans devoir se poser la question « Pencil Pro ou Pencil 2 ? ».
Le Pencil USB-C. Image Apple.
Le Pencil USB-C perd quelques fonctions par rapport aux autres, comme la sensibilité à la pression et la prise en charge du tapotement sur le corps du stylet, mais il est moins cher et suffit amplement pour prendre des notes rapidement sur une tablette Apple. Seuls les adeptes du dessin se tourneront vers le Pencil Pro — en promotion à 130 € au lieu de 150 € — ou le Pencil 2 (101 € au lieu de 150 €). Enfin, vous l'avez deviné avec son nom, il se recharge en USB-C, en branchant directement un câble dans une prise escamotable.
À l’occasion des soldes, Carrefour commercialise l’AirPods Max à un tarif presque record. Le casque d’Apple est vendu 405,99 €, soit 174 € de moins que le prix public conseillé. On n’avait pas vu un tarif aussi bas depuis trois ans, quand le produit pouvait descendre jusqu’à 400 €.
Il y a toutefois deux éventuels freins à l’achat (outre le prix qui reste élevé dans l’absolu) : c’est la version Lightning qui est en vente, et ce uniquement dans le coloris rose. Si vous voulez profiter de l’audio lossless et de la connexion filaire, c’est le modèle USB-C sorti l’année dernière qu’il vous faut.
L’AirPods Max Lightning n’en reste pas moins un casque qui s’intègre parfaitement à l’écosystème Apple et qui propose une qualité sonore de premier plan, en particulier en audio spatial.
Apple continue son matraquage publicitaire autour de sa superproduction F1 le film et vient de franchir la ligne jaune. La Pomme a envoyé une notification Wallet (Apple Pay) aux utilisateurs américains d’iPhone dans laquelle elle mentionne une réduction de 10 $ pour l’achat de deux billets via le service Fandango jusqu’au 29 juin.
Qui l’eût cru, cette alerte impromptue a été très mal accueillie par les utilisateurs. « Il y a un moyen pour désactiver ce spam ? Je n’ai pas payé un iPhone plus de 1 000 $ pour recevoir des pubs », a réagi un client. Le problème, justement, c’est qu’il n’y a pas de bonne méthode pour désactiver cette notification publicitaire sur iOS 18. Il est possible de désactiver l’intégralité des notifications de Wallet, mais on perd alors des notifications utiles, notamment les confirmations de transactions.
En fait, il y a bien une option spécifique… mais seulement sur iOS 26, un système pour l’instant réservé aux développeurs. Il faut ouvrir le menu des notifications au sein de Wallet puis décocher « Offres et promotions ». Brad Pitt va donc plus vite que la musique.
La nouvelle option d’iOS 26 pour éviter les notifications promotionnelles liées à Apple Cartes. Image iGeneration.
Pour rappel, dans ses propres règles, Apple interdit aux développeurs d’envoyer « des messages non sollicités » via les notifications push et d’inclure de la pub dans les notifications.
En France, Apple n’a pas envoyé de notification sans demander l’avis de ses clients, mais elle utilise la plupart de ses canaux pour mettre en avant le fameux film. En ouvrant l’App Store ou l’app Apple TV, on tombe nez à nez avec des supports promotionnels. Et c’est sans compter les affiches placardées dans Plans ainsi que toutes les références lors du keynote de la WWDC 2025.
Si vous l’ignoriez encore, F1 le film sort donc en salle aujourd’hui en France et ce vendredi aux États-Unis.
Il y a les produits Apple que vous connaissez — et que vous pouvez acheter — et puis il y a les autres. Ceux conçus pour les ingénieurs d'Apple ou pour les Apple Store. Dans ces catégories, on trouve des câbles pour accéder à des prises cachées, des supports pour Apple Watch… ou l'iPort. Il s'agit d'un testeur de câbles USB-C qui a un petit air d'iPod.
Deux iPort. Image X.Un iPort qui démarre. Image X.
Vous trouverez de temps en temps des photos de ce dernier sur X, parfois dans des variantes. Les informations disponibles sont parcellaires, mais l'appareil sert à tester les câbles USB-C, avec une prise dans le bas du boîtier (qui sert probablement à l'alimentation pour la batterie interne) et deux prises dans la partie supérieure. Il y a un petit bouton qui ressemble à une molette d'Apple réduite et un écran eINK qui lui donne un air d'iPod de 6e génération avec sa coque en aluminium.
L'interface de test. Image X.L'intérieur d'un iPort. Image X.
Vous cherchez un bon porte-cartes pour votre iPhone mais ne faites pas trop confiance à celui en tissage fin d’Apple ? Vous regrettez l’ancien modèle en cuir ? Nomad vient de lancer un concurrent intéressant baptisé « Leather Mag Wallet ». Il peut accueillir jusqu’à 4 cartes différentes et s’attache en MagSafe. L’accessoire est également compatible avec le réseau Localiser.
Image Nomad
Ce Leather Mag Wallet est fait d’un cuir à tannage végétal qui devrait développer une jolie patine au fil du temps. Il est compatible avec toutes les coques MagSafe et peut être retrouvé via Localiser, où il indiquera sa dernière position. L’intégration est mieux faite que sur l’accessoire d’Apple étant donné qu’il est possible de le faire sonner pour le retrouver. Le produit fait 9mm d’épaisseur et se recharge via Qi ou MagSafe, avec une autonomie de 5 mois.
Image Nomad
L’accessoire est disponible en deux couleurs, à savoir noir et marron. Il est affiché au tarif de 79 € sur le site de Nomad, sachant qu’il faudra ajouter 9 € de frais de port pour une livraison dans l’Hexagone. Les produits de Nomad finissent généralement par arriver sur Amazon.
La Fnac réitère pour ce mercredi seulement son offre permettant de récupérer des bons pour l’achat de produits Apple. Le code SOL10 crédite ainsi 10 € sur la cagnotte des adhérents Fnac+ tous les 100 € d’achats.
Cette cagnotte sera mise à jour sous 48 h et devra être utilisée dans les 30 jours qui suivent. L’offre est réservée aux adhérents : si ce n’est pas le cas, vous pouvez glisser la carte Fnac+ dans le panier sachant qu’elle est facturée en ce moment 7,99 € la première année (avant de passer à 15 € par an).
Le récent iPhone 16e est éligible à cette promotion. Image iGeneration
L’offre est moins intéressante sur les produits à plus bas prix comme l’Apple TV, les AirPods ou le HomePod, mais reste pertinente si vous aviez prévu un achat. Le code est valable jusqu'à minuit.
C'était une bonne affaire à 799 € ça ne l'est pas moins avec 30 € supplémentaires retranchés pour ce MacBook Air 13" M2 avec 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. Darty, par l'entremise de Rakuten et d'un coupon de 30 € (RAKUTEN30), met cette configuration à 769 €. Les autres vendeurs comme la Fnac ou Boulanger sont restés sur 799 €.
MacBook Air M2 minuit. Image MacGeneration.
Lancé en 2022, le MacBook Air M2 reste très agréable à utiliser : il est léger, silencieux, performant et endurant (il tient sans aucun problème une longue journée). Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il reste tout à fait dans le coup aujourd’hui.
Les 16 Go de RAM sont suffisants pour les usages classiques et adaptés à la suite de fonctions d'Apple Intelligence. Les 256 Go de stockage peuvent, eux, être trop faibles pour certains qui stockent beaucoup en local plutôt qu'en ligne, mais sur la durée on peut pallier le problème avec un SSD externe. C’est un excellent ordinateur principal pour la majorité des utilisateurs et une très bonne machine secondaire pour ceux qui ont un Mac de bureau plus puissant.
Le MacBook Air 13" M4 passe la tête en dessous des 1 000 € chez Cdiscount qui vend 974 € la configuration avec 16 Go de RAM et 256 Go de SSD. Le prix affiché est de 999 € mais on peut retrancher 25 € avec le code 25DES249 dans la dernière étape de la commande. Apple fait ce modèle à 1 199 € et le mieux que l'on a vu jusque-là était chez Amazon avec 1 027 € [Mise à jour à 14h00] : Amazon a baissé son prix à 999 € sur les coloris Lumière stellaire et Minuit.
C'est un excellent tarif pour cette machine de la dernière génération dans les MacBook Air (sortie en mars). C'est une gamme sans véritable défaut, puissante avec le processeur M4, capable d'une autonomie qui affronte sans problème une très longue journée sinon plus et apte à gérer jusqu'à 2 écrans en plus de celui intégré lorsqu'on est chez soi.
Seuls les 256 Go pourraient être justes, mais cela dépend vraiment des usages de chacun, si l'on stocke beaucoup ou pas en local ou si on utilise surtout des services dans le nuage que ce soit pour ses fichiers, sa musique et ses photos. Enfin on ne perd rien à aller vers le 13" plutôt que le 15", l'unique différence est leur taille d'écran, même l'autonomie est similaire.
Les casques de Sony et Bose sont des habitués des soldes et leurs principaux modèles retrouvent leurs prix plancher habituels à cette occasion.
Le Sony WH1000XM4 perd ainsi 50 € supplémentaires sur son tarif de promo, il revient à 219,99 € chez Amazon, Darty, Boulanger et la Fnac. Notez que le Fnac ajoute 10 € par tranches de 100 € dépensés sur le compte Fnac+ de ses adhérents.
WH1000XM4. Image Sony
Même glissement pour le modèle au-dessus, le Sony WH1000XM5 qui est habituellement en promo à 329 € et que l'on a aujourd'hui pour 290 € sur Amazon, à la Fnac, chez Darty et Boulanger. La version plus récente, le WH1000XM6 n'a pas bougé de son prix de lancement de 450 €.
Vous le savez probablement, la fin de la prise en charge de Windows 10 est prévue pour le 14 octobre 2025. Après cette date, sur le papier, il est largement recommandé de passer à Windows 11, le « nouvel » OS de Microsoft. Ce qui semble logique aux yeux des utilisateurs de macOS — habitué à changer de système d'exploitation tous les ans — ne l'est pas nécessairement pour les utilisateurs de Windows 10, qui n'apprécient pas les changements esthétiques de Windows 11 ou qui ne possèdent pas un PC compatible.
Regardez comme elle a l'air heureuse d'utiliser Windows 11. Image Microsoft.
Jusqu'à maintenant, Microsoft avait uniquement annoncé une vague solution : la possibilité pour le grand public d'obtenir un an de sursis grâce à un programme payant (30 $ par an, probablement la même somme en euros). Mais un récent post de blog, Microsoft vient d'ajouter deux autres possibilités, plus ou moins gratuites. Elles sont disponibles dès maintenant pour les membres du programme Windows Insider (en gros, les bêta de Windows) et le seront courant juillet pour les utilisateurs standards.
Sauver dans le cloud ou utiliser des points Microsoft
La première est d'activer Windows Backup, une fonction qui permet d'effectuer une sauvegarde de vos données dans le service de cloud de Microsoft, OneDrive. Il n'y a pas de détails sur l'obligation de garder la sauvegarde active, mais il y a évidemment un point important à prendre en compte : Microsoft n'offre que 5 Go de stockage avec OneDrive (comme Apple avec iCloud). Le côté gratuit ne l'est donc pas nécessairement, au moins indirectement : vous risquez de devoir acheter de l'espace OneDrive pour en profiter.
Les choix. Image Microsofr.
L'autre option consiste à dépenser 1 000 points Microsoft Rewards. Vous ne connaissez peut-être pas ce programme, et il permet d'accumuler des points en effectuant des achats chez Microsoft, en jouant sur Xbox ou tout simplement en effectuant des recherches sur Bing… évidemment en étant connecté à votre compte Microsoft. Les 1 000 points nécessaires peuvent par exemple être obtenus en achetant un ordinateur portable de la gamme Surface (1 point par euro dépensé) chez Microsoft… mais du coup, vous n'aurez probablement pas besoin de prolonger la prise en charge de Windows 10.
Dans les deux cas, il s'agit probablement d'un moyen détourné pour Microsoft d'éviter de se retrouver avec des dizaines de millions de PC sans mises à jour tout en continuant à pousser Windows 11. Par ailleurs, le programme ESU (Extended Security Updates) se limite à environ un an pour le grand public. Pour les professionnels, il est possible d'obtenir les mises à jour pendant trois ans pour Windows 10, mais avec un coût qui va augmenter chaque année et qui est plus élevé au départ, 61 $ par utilisateur.
La panne d’hier soir a été réglée dans la nuit, tout est revenu au vert sur la page de statut d’Apple, y compris iCloud qui était concerné. Depuis trois heures du matin au pire, il ne devrait plus y avoir de problème avec les services en ligne de l’entreprise, tout du moins si l’on en croit les informations données sur le site.
Article original
Comme l'indique la page de support dédiée d'Apple — et comme vous l'avez peut-être remarqué —, une partie des services d'Apple sont dans les choux ce soir. Apple indique qu'iCloud.com et la version en ligne d'iWork ont des problèmes sérieux. De plus, le réseau Localiser, la synchronisation des photos, la connexion à un compte Apple, les courriels et iCloud Drive peuvent poser des problèmes chez certains.
Google a lancé son propre réseau de localisation il y a environ un an, et il y a visiblement une faille de sécurité qui traîne depuis ce moment : un malandrin qui trouve un traqueur compatible (comme le Chipolo Pop) peut le remettre à zéro et le lier à son compte, même s'il est encore lié à votre compte Google. Un problème qui n'existe pas avec les traqueurs qui emploient le réseau d'Apple.
Le Chipolo Pop peut être facilement lié à un autre compte Google que le vôtre. Image iGeneration.
C'est un double problème, en réalité. Le premier, c'est qu'une personne qui trouve votre traqueur peut littéralement le voler et l'utiliser avec son propre compte après l'avoir remis à zéro. Le second, lié, c'est qu'un traqueur remis à zéro n'apparaît plus sur le réseau, même s'il a été déclaré perdu sur le compte de son propriétaire. Chipolo le confirme d'ailleurs sur Reddit.
Avec un traqueur Apple, vous devez supprimer explicitement le traqueur pour le lier à un nouveau compte. Image iGeneration.
Chez Apple, le problème est moins important : une remise à zéro rend bien un traqueur invisible pour le réseau (même s'il est indiqué comme perdu) mais il est inutilisable tant que le propriétaire du traqueur ne l'a pas supprimé manuellement de son compte, dans l'application Localiser.
Rappelons par ailleurs que la possibilité de remettre à zéro un traqueur n'est pas une faille de sécurité ni un bug, mais bien une fonctionnalité importante : elle permet à une personne suivie d'empêcher le propriétaire du traqueur de la suivre, justement. Les solutions mises en place par Google et Apple pour détecter les traqueurs indésirables donnent la méthode pour remettre à zéro un traqueur, et elles sont documentées pour la majorité des modèles. Il s'agit juste d'une preuve de plus que les traqueurs ne sont pas conçus pour retrouver un objet volé, mais bien un objet perdu, et la nuance est importante.
Lors d’une récente interview, le patron d’Apple Music n’a pas mâché ses mots à l’égard de Spotify. « Je trouve ça fou qu’au bout de 20 ans, on continue toujours à proposer de la musique gratuitement, a asséné Oliver Schusser, dans une attaque à peine voilée vis-à-vis du numéro un du streaming. Je pense que c’est une terrible erreur. »
Et d’enfoncer le clou : « [À Apple], nous considérons la musique comme un art. Et jamais nous ne voudrions offrir de l’art gratuitement. » Ces déclarations incisives s’inscrivent dans un cadre particulier : Oliver Schusser était interrogé par le président de la National Music Publishers' Association (NMPA), qui représente les éditeurs américains de musique.
Alors que les montants reversés aux artistes par les services de streaming font toujours l’objet d’intenses débats, le patron d’Apple Music a rappelé la position (presque) unique de Cupertino dans le domaine. « Nous sommes le seul service qui n’a pas d’offre gratuite », a-t-il fait valoir, oubliant au passage Qobuz, Tidal et les mois d’abonnements gratuits distribués à la pelle.
Lorsqu’Oliver Schusser a évoqué le prix de l’abonnement à Apple Music, le président de la NMPA a glissé malicieusement qu’il espérait une augmentation. Qui dit abonnement plus cher, dit en effet plus de chance d’améliorer la rémunération des artistes.
Mais le prix du forfait n’est pas le seul élément qui compte dans le financement de l’industrie musicale. Oliver Schusser a souligné les accords passés avec les ayants droit pour ajouter les paroles des morceaux à son service, et ce « à une époque où le modèle de licences pour les paroles n’était pas très clair, et où internet était rempli de paroles publiées sans autorisation. » Pour lui, la reconnaissance du travail des artistes passe aussi par leur identification : « Pour chaque chanson, nous proposons ses crédits. On peut consulter qui a écrit le morceau, où et quand il a été écrit, et qui l’a interprété ».
Le natif d’Allemagne a taclé Spotify à plusieurs reprises, en critiquant notamment la diversification du leader du secteur : « Alors que d’autres s’éloignent de la musique pour investir dans d’autres types de contenus et créer des sortes de supermarché de l’audio, chez Apple Music nous restons totalement concentrés sur la musique. » Une critique un peu facile : Apple Music peut évidemment se focaliser sur la musique quand Apple a d’autres services à part entière consacrés aux podcasts et aux livres audio.
L’animateur Rauw Alejandro sur la station Apple Música Uno. Image Apple.
Le responsable a aussi tenu à rassurer l’audience d’auteurs et de compositeurs concernant l’intelligence artificielle, une technologie qui peut être utilisée pour inonder les services de titres générés en un tournemain. Apple a mis au point des outils pour repérer les morceaux générés par IA et les retirer promptement.
Mais il voit aussi dans l’IA un moyen de proposer de nouvelles fonctionnalités, comme AutoMix sur iOS 26 qui enchaîne parfaitement deux morceaux ou la traduction des paroles pour le mode karaoké. « Et nous avons toujours des humains qui s’assurent que les paroles sont correctement traduites », a précisé Oliver Schusser.
Au bout du compte, le patron d’Apple Music a encore voulu faire passer l’idée que son service se démarquait des autres par la place accordée à l’humain :
Lorsque nous avons lancé Apple Music il y a 10 ans, nous étions inquiets, profondément inquiets que le streaming transforme la musique en un produit de consommation. […] C'est pourquoi nous avons lancé Apple Music Radio. […] C’est vraiment l'endroit où les artistes peuvent venir rencontrer nos équipes, nos créatifs, et créer du contenu, que ce soit une émission de radio ou une interview.
Dans la gamme Beats, les Studio Buds ne sont pas les plus récents, mais les écouteurs intra-auriculaires qui intègrent une réduction de bruit ne déméritent pas en 2025. Lancés à 150 € en 2021, disponibles actuellement pour un peu moins de 190 €, ils sont en promotion à seulement 80 € sur Amazon.
Trois couleurs à 80 €. Image Beats.
Les variantes blanches, noires et rouges sont de la partie à ce prix, et c'est un excellent prix pour ces écouteurs. Comme tous les modèles Beats, ils ont l'avantage d'être bien intégrés avec les smartphones Android, en plus des appareils Apple. À ce prix, ils concurrencent par exemple les AirPods 4 sans réduction de bruit, très nettement plus onéreux.
Vos photos sont floues ou déformées ? Si vous n’avez pas pensé à nettoyer l’appareil photo de votre iPhone, iOS 26 peut vous suggérer cette petite action. Si le système détecte qu'un des objectifs est sale alors que vous vous apprêtez à prendre un cliché, il affiche le message suivant dans l’application Appareil photo : « Nettoyez la caméra arrière ».
Nouvel avertissement d’iOS 26 en cas d’objectif sale. Image iGeneration.
Nous avons réussi à provoquer cette alerte en mettant des gouttes d’eau sur l’appareil photo d’un iPhone 15 Pro. Alors que l’image était très nettement altérée, le message d’avertissement est apparu en haut du viseur. Le conseil fonctionne aussi bien pour la caméra arrière que la caméra avant.
Cette nouveauté est activée par défaut sur iOS 26. Si vous n’en voulez pas, vous pouvez la désactiver, mais il serait dommage de s’en priver. Elle se situe ici : Réglages > Appareil photo > Conseils de nettoyage de l’objectif. Elle n’est pas présente dans iPadOS 26.
Vous pouvez découvrir les autres nouveautés de l’appareil photo d’iOS 26 dans l’article suivant :
Un défaut majeur de SwiftUI, une des principales technologies de développement d’Apple, est finalement en passe d’être réglé. Ce framework qui permet de créer des interfaces pour iOS, macOS et les autres plateformes peinait jusque-là à gérer de longues listes.
La grande liste d’Hyperspace que SwiftUI avait du mal à gérer.
Le développeur John Siracusa l’avait relevé lors de la création de sa dernière application, Hyperspace : avec une liste comportant plusieurs centaines d’éléments, impossible d’obtenir un défilement fluide en utilisant SwiftUI. Même en mettant en place des astuces comme un chargement progressif du contenu, le framework n’autorise pas un défilement correct. Le développeur a dû se résoudre à coder cette partie de son app avec AppKit, le framework d’interface historique de macOS.
Ce problème va bientôt disparaître grâce aux avancées techniques de macOS Tahoe et d’iOS 26. Lors de la WWDC 2025, des ingénieurs d’Apple ont annoncé des gains spectaculaires de performances pour SwiftUI. Sur macOS, les listes ayant plus de 100 000 éléments vont se charger 6 fois plus rapidement et elles vont se mettre à jour jusqu’à 16 fois plus vite. En fait, plus les listes sont grandes, plus l’amélioration sera importante.
Amélioration des performances de SwiftUI pour les listes. Image Apple (WWDC 2025, session 256).
Parallèlement, une amélioration a été apportée sur le rendu des interfaces pendant le défilement, pour une fluidité et une réactivité accrue. Et pour aider les développeurs à déceler les problèmes de performances restants, un nouvel outil d’analyse est inclus dans Xcode.
Au bout du compte, faire défiler de longues listes sans saccades sera donc enfin possible dans les apps codées avec SwiftUI. Les développeurs qui se tenaient à l’écart de ce framework pourront, eux, franchir le pas.
C’est l’été et vous commencez à prévoir votre départ en vacances ? Que ce soit pour partir à une heure de route comme à l’autre bout du monde, il peut être intéressant d’acheter quelques objets techs qui pourront servir à toute la maison. Voyons ensemble les accessoires à ne pas oublier avant le départ.
Les chargeurs et autres câbles sont évidemment indispensables pour un déplacement sur plusieurs jours, et quelques achats pourront vous faire gagner de la place dans le sac et un meilleur confort une fois arrivé. Un bloc de charge avec plusieurs ports USB-C sera très pratique pour recharger différents appareils sans monopoliser toutes les prises d’un logement ou au pied du lit. UGREEN propose un modèle 65 W avec trois ports pour 28,79 € sur Amazon en cochant un coupon sur la fiche produit. Belkin affiche un modèle similaire à seulement deux ports pour 27,79 €, soit 44 % de remise sur son tarif habituel. Plus cher, mais pas inintéressant pour les tête en l’air, Twelve South dispose d’un bloc de charge 50W à deux ports et qui est compatible Localiser : il coûte 80 €.
Si vous avez prévu plusieurs heures de route, un chargeur allume-cigare pourra s’avérer utile pour éviter de vous retrouver sans GPS à mi-parcours. Belkin dispose là aussi de petits modèles basiques à 15 € qui feront l’affaire pour recharger deux appareils. UGREEN propose des modèles un peu plus poussés avec un câble rétractable intégré et plus de prises dont le tarif reste abordable et qu’il est possible d’obtenir en ce moment pour -20 % en cochant le coupon sur la fiche produit.
Ce chargeur pour automobile de UGREEN existe en plusieurs puissances, jusqu'à 145W. Image UGREEN.
Une batterie sera également un achat indispensable pour des vacances d’été, une période durant laquelle les smartphones chauffent vite et sont plus sollicités que d’habitude. Les modèles magnétiques/Qi2 sont les plus faciles à oublier, et nous avions pu tester la Anker MagGo Qi2 en début d’année dernière. Disponible en format 10 000 mAh, elle a l’avantage d'avoir un petit pied arrière (on pourra regarder une vidéo avec l'iPhone en charge par induction) et un écran indiquant ce qu’il reste d’autonomie. Elle est vendue 68 € en cochant le coupon de -15 % sur la fiche produit.
Certains préféreront les modèles plus classiques. Vous aurez l’embarras du choix chez UGREEN, qui dispose de nombreux modèles avec le câble de charge intégré allant jusqu’à 20 000 mAh pour les plus puissantes. Des déclinaisons plus festives et moins encombrantes de 10 000 mAh sont également en vente, sachant qu’il y a ici aussi de nombreux coupons.
Les traqueurs connectés seront bien utiles pour suivre vos valises ou pour glisser dans un porte-monnaie. L'AirTag d'Apple est en ce moment à 28,40 € chez Amazon au lieu de 39 €, tandis que les alternatives chinoises tombent à moins de 25 € les 4 avec une petite housse permettant de les accrocher à un porte-clés. Pour les portefeuilles, UGREEN propose un traqueur au format carte de crédit qui se fera facilement oublier, il est vendu un peu plus de vingt euros. Rappelons que si vous avez déjà des AirTags, les porte-monnaie avec emplacement dédié sont nombreux. On trouve des modèles allant de 21 € à d’autres coûtant plusieurs dizaines d’euros de plus. À vous de voir selon les commentaires, la qualité pouvant varier.
Un petit sac pour ranger tous vos câbles et autres chargeurs va se révéler nécessaire. Si on peut opter pour une trousse toute bête à 10 €, les accessoiristes en proposent certaines se voulant spécifiquement adaptées à tout votre matériel. Les tarifs ne sont pas les mêmes, mais c’est plus joli. On trouve du cuir chez Peak Design, du polyester chez Bellroy ou encore des matériaux recyclés chez Native Union. Attention, car les pochettes spécialisées ne sont souvent pas données : on peut alors se tourner vers une trousse de toilette, généralement moins chère.
Image Peak Design.
Terminons avec des accessoires qui pourront simplifier vos voyages à l’étranger. Un adaptateur universel est un indispensable dans lequel on vous conseille d’investir un peu pour éviter les soucis : Verbatim en propose un à 27,55 € et nous avions utilisé ce modèle, similaire mais avec plus de ports, d'Epicka, l'été dernier au Japon. Il est vendu moins de 50 € avec un coupon de réduction.
Image Amazon.
Si vous prenez l’avion, le AirFly sera bien pratique pour utiliser vos AirPods sur les systèmes de divertissement embarqués. Une version 2 est sortie il y a peu pour 60 €, mais vous pouvez sinon opter pour le modèle SE à 15 € de moins. Attention aux modèles tiers vendus pas cher mais qui risquent d’avoir des problèmes de latence. Si vous êtes prudents, une petite paire d’écouteurs filaires basiques ou un casque feront également un meilleur boulot que les oreillettes fournies pour peu que vous achetiez une rallonge afin de rester à l’aise. N’oublions pas le pèse-bagages numérique qui vous évitera bien des soucis à l’aéroport avec un bagage en surpoids au moment de l'enregistrement.
Voilà une offre qui envoie du Pathé : si vous réservez une place pour F1 le film dans un cinéma Pathé en utilisant Apple Pay, vous bénéficierez d’une réduction de 50 % sur le popcorn ! Si ce n’est pas l’intégration du hardware, du software et des services poussée par Apple à son paroxysme, je ne sais pas ce que c’est.
Avant de vous empiffrer en regardant Brad Pitt conduire un bolide, sachez que l’offre est uniquement valable du 25 juin au 8 juillet. La réservation doit s’effectuer sur l’application iPhone ou sur le site de Pathé. Vous recevrez un QR code à présenter en caisse ou à une borne. La réduction s’applique sur le gobelet de popcorn sucré, salé ou édition limitée le plus valorisé. La promotion est valable dans la limite des stocks disponibles, mais on ne craint pas trop une pénurie de popcorn.
Seuls les cinés Pathé proposent cette offre pour l’instant. Pourquoi eux, et pas d’autres ? Apple et Pathé entretiennent des relations étroites. Depuis 2019, cette chaîne de cinémas délivre des billets dématérialisés qui tirent parti de la puce NFC de l’iPhone pour la validation — dans la pratique, il faut souvent présenter le bon vieux QR code, les valideurs NFC n’étant pas toujours opérationnels, d’après mon expérience à Lyon.
Cette offre sur le popcorn rejoint une myriade d’initiatives d’Apple pour forcer le succès de son film : pubs dans Plans, fil conducteur du keynote de la WWDC 2025, bande-annonce spéciale dans l’application Apple TV… F1 le film sera projeté dans les salles obscures officiellement à partir de demain, mercredi 25 juin, mais des avant-premières ont lieu dès ce soir.
La gamme Philips Hue, vous ne le savez peut-être pas, n'est pas réellement une marque de Philips, le géant néerlandais. Les objets connectés Hue sont en réalité développés et commercialisés par Signify, qui est le nom actuel de la filiale Philips Lighting. Comme une page du site l'explique bien, la marque Philips est employée par Signify pour une partie de ses produits, pour des raisons historiques. Et ce point pourrait changer dans le futur.
Plus de Hue, moins de Philips. Image HueBlog.
C'est HueBlog qui l'a remarqué : les emballages des derniers produits Hue mettent en avant le nom Hue au détriment du nom Philips. La taille du logo Philips a été considérablement réduite sur les boîtes. Et c'est la même chose sur le site Internet : le logo en haut de la page met en avant le nom Hue, alors que l'ancienne version plaçait le logo Philips au même niveau. En bas de la page principale, la donne est la même : il y avait auparavant un blason Philips, il y a maintenant trois logos Hue et un texte qui indique « Hue est une marque Signify ».
L'ancien et le nouveau logo.À gauche, l'ancien blason Philips. À droite, les nouveaux logos.
Si Philips reste toujours de la partie, les changements sont probablement là pour permettre peu à peu de Signify de prendre la main et abandonner la marque historique.
Tesla a enfin lancé ses Robotaxis à Austin. Le service a fait ses débuts samedi dernier avec une petite flotte de test réservée à quelques utilisateurs triés sur le volet. Pas de vrai Robotaxi en vue, le véhicule dédié n’étant prévu que l’année prochaine au plus tôt. Il s’agit pour le moment d’un parc d’une grosse dizaine de Model Y… dans laquelle se trouve un employé de Tesla chargé de vérifier que tout se passe bien et de tout couper en cas de pépin.
Image Tesla
Les courses sont limitées à une zone plutôt tranquille de la ville d’Austin, le service ne permettant pas de se rendre dans les endroits potentiellement risqués comme les aéroports ou l’autoroute. Les Robotaxis sont fonctionnels de 6 heures à minuit et arborent un logo « Robotaxi » sur la portière dans une police cyberpunk. Si Tesla a donné accès au service à plusieurs influenceurs fans de la marque, elle n’a pas indiqué quand elle serait disponible au grand public.
Plusieurs testeurs ont eu des soucis à localiser là où le véhicule réservé les attendait. En entrant dans la voiture, les clients doivent confirmer leur identité à l’agent de sécurité installé à l’avant. Celui-ci reste ensuite silencieux, mais un opérateur peut être appelé à distance si besoin. Un panneau incite à mettre sa ceinture avant d’appuyer sur un gros bouton pour démarrer le voyage. La réservation se basant sur le compte Tesla, les utilisateurs retrouvent certains paramètres enregistrés, comme leurs préférences en matière de musique ou la connexion à leur compte Netflix.
Le voyage s’est globalement bien déroulé, les testeurs s’amusant avec les fonctions connectées de la voiture. L’écran principal affiche des données similaires à ce que l’on trouverait sur un Model Y classique. Un couac est tout de même à noter : l’un des véhicules a roulé sur la mauvaise voie pendant quelques secondes, en pleine journée dans une zone pas particulièrement chargée.
Rien de très impressionnant, et la comparaison avec Waymo est difficile. La filiale d’Alphabet dédiée à la conduite autonome a doublé ses trajets hebdomadaires en moins d'un an et dispose de 1 500 véhicules à San Francisco, Los Angeles, Phoenix et Austin. D’autres grandes villes américaines devraient suivre tandis que l’entreprise a signé un contrat avec le plus gros opérateur de taxis à Tokyo. De son côté, Elon Musk a promis de déployer plus d’une centaine de Robotaxis « d’ici quelques mois ».
Avec la première bêta de macOS Tahoe, l'icône du Finder a choqué certains utilisateurs historiques : les deux faces étaient inversées et la partie bleue passait de la gauche à la droite. Avec la bêta 2, sortie hier, l'icône reprend l'opposition classique en mode clair, avec la partie bleue à gauche. Mais ce n'est le cas que dans ce cas de figure : dans toutes les autres configurations, il reste « inversé ».
Clair, sombre, transparent. Image MacGeneration.
En mode sombre, le bleu passe dans la partie de droite, et le noir est en fond à gauche, tout comme dans le mode transparent. Le troisième mode de cette bêta 2, appelé Teinté, garde la même logique : le fond de l'icône est noir et les couleurs sont appliquées uniquement sur la partie de droite si vous êtes en mode sombre, et la partie de droite est plus claire avec un fond coloré si vous choisissez le mode clair.
Les variantes en mode clair. Image MacGeneration.Les variantes en mode sombre. Image MacGeneration.Les différentes options. Image MacGeneration.
Les transferts de fichiers entre les iPhone et les terminaux Android ainsi que les PC devraient enfin être simples comme bonjour. iOS 26 intègre le Wi-Fi Aware, une technologie de communication directe entre les appareils qui est multiplateforme et interopérable.
Chapeauté par la Wi-Fi Alliance, ce standard fonctionne en parallèle de la connexion Wi-Fi au réseau local. Cela signifie que les appareils restent connectés à internet durant son utilisation, la communication entre eux se faisant de pair-à-pair. Cela vous dit quelque chose ? C’est normal, le Wi-Fi Aware est en quelque sorte le cousin d’Apple Wireless Direct Link, le protocole propriétaire à la base d’AirDrop et AirPlay.
Dans une session de la WWDC 2025 et dans sa documentation technique, Apple indique que le Wi-Fi Aware peut servir à diffuser de la musique ou des vidéos vers un récepteur, à réaliser des transferts rapides de fichiers, à faire du partage d’écran, à contrôler des accessoires… voire à faire tout cela en même temps.
Android prenant en charge depuis longtemps cette technologie, les envois de documents et autres types de communication vers cette plateforme devraient s’en trouver grandement facilités. Une application iOS pourra échanger en direct avec un smartphone Samsung, Google ou autre, ainsi qu’avec une box Android TV ou même d’autres plateformes. Lors de la première connexion, il faudra juste confirmer le jumelage en saisissant sur le récepteur le code affiché sur l’émetteur.
Jumelage en Wi-Fi Aware. Image Apple (WWDC 2025, session 228).
Sans doute pour des raisons techniques, les iPhone et iPad les plus anciens ne prennent pas en charge le standard. Seuls les terminaux suivants sont compatibles avec le Wi-Fi Aware :
iPhone 12 et ultérieur
iPad 10 et ultérieur
iPad Air 4 (A14) et ultérieur
iPad Pro 11" M1 et ultérieur
iPad Pro 12,9" M1 et ultérieur
iPad mini 6 et ultérieur
En revanche, macOS Tahoe ne va pas en profiter, tout simplement parce qu’Apple n’a pas l’obligation d’intégrer le protocole dans son système d’exploitation de bureau, qui n’est pas concerné par le DMA.
Des zones d’ombres entourent cette nouveauté qui pourrait marquer un tournant dans l’interconnexion des iPhone et des iPad. Le menu de partage natif d’iOS 26 va-t-il lui-même montrer les appareils des autres marques à proximité ? Les créateurs d’apps vont-ils adopter le Wi-Fi Aware aux dépens d’AirDrop/AirPlay ou en complément ? Il faudra attendre le lancement officiel des mises à jour majeures pour avoir un début de réponse. Quoi qu’il en soit, on n’a pas fini d’entendre parler de cette technologie. Après avoir intégré sa version 4.0, Apple est tenue de prendre en charge la version 5.0, plus complète, dans iOS 27.
Il y a quelques semaines, Bouygues Telecom, Free et Orange activaient la 5G+ (ou 5G SA) sur les iPhone, grâce à une mise à jour des paramètres opérateurs. Mais cette activation n'était que technique pour Bouygues Telecom, et l'opérateur avait annoncé un lancement pour le 23 juin. Lancement qui a amené une déception pour les abonnés : la 5G+ n'est accessible qu'avec un abonnement précis, le plus cher.
Chez Bouygues Telecom, les contraintes sont en effet assez fortes : il faut un abonnement « 300 Go » (facturé 60 €/mois), être dans une zone couverte par la 5G+ et disposer d'un smartphone compatible. Chez Apple, ce sont les modèles de la gamme 15 et ceux de la gamme 16 (16e compris). Si vous avez un smartphone Android, les Xiaomi 14 et 14T Pro sont compatibles, tout comme de nombreux modèles Samsung (les Galaxy S21, S22, S23, S24 et S25, les Fold dès le 3, les Z Flip dès le 3, les A25, A26, A35, A36, A54, A55 et A56). Bouygues Telecom, heureusement, ne facture pas la 5G+. Enfin, si vous avez une carte SIM ancienne (incompatible), elle peut être remplacée — en payant — ou convertie en eSIM. Notons aussi que l'accès à la 5G+ n'est pas explicitement affiché, le logo ne change pas.
Attention, le fait d'avoir l'option activée dans les réglages de l'iPhone n'implique pas qu'elle est active sur votre forfait : elle doit être activée explicitement dans les réglages du site de l'opérateur, ce qui n'est possible que sur le forfait 300 Go.
Activer la 5G+. Image Bouygues Telecom.
Pour rappel, la 5G+ (ou 5G Standalone) peut être considérée comme la vraie 5G : elle repose sur des infrastructures dédiées qui permettent une meilleure latence et des débits plus élevés, alors que la 5G déployée jusqu'à maintenant emploie une partie des infrastructures du réseau 4G (LTE).
La deuxième bêta d’iOS 26 semble confirmer le futur iPhone 17 « Air ». Macworld a fouillé dans le code et remarqué que le fond d’écran avec des poissons-clown était disponible dans une nouvelle résolution : 420x912@3x. Cela donne du 1260 x 2736, soit la définition d’aucun iPhone actuellement sur le marché. Elle est cependant similaire à ce que l’on attend d’un éventuel iPhone 17 Air.
Cette résolution correspond à un écran de 6,6 pouces. C’est justement la taille qu’avait prédit Ming-Chi Kuo l’année dernière pour le futur iPhone 17 « Air ». La théorie a depuis été appuyée par Mark Gurman. Une résolution de 1260 x 2736 serait mieux qu’un iPhone 16 Pro (6,27") mais moins bien qu’un 16 Pro Max (6,8") pour un produit pouvant parfaitement s’installer entre les deux. Cet iPhone 17 « Air » arrivera directement livré avec iOS 26, et cette trouvaille semble montrer qu’Apple serre les derniers boulons.
On s’attend à ce que l'iPhone 17 « Air » embarque un écran ProMotion et une Dynamic Island. Son châssis devrait être très fin avec seulement 5,5mm d’épaisseur. Quelques compromis auraient dû être trouvés, comme l’absence de tiroir SIM, de téléobjectif ou de deuxième haut-parleur. On devrait cependant y trouver un bouton Action ainsi que la récente Commande de l’appareil photo. La présentation devrait avoir lieu en septembre, à l’occasion du grand keynote de rentrée.
iOS 26 ajoute un nouvel Assistant de récupération, disponible sur tous les iPhone compatibles avec la mise à jour. Celui-ci permet de remettre un téléphone sur pied sans Mac ou PC à portée de main. L’idée est d’essayer de réparer le problème avant de lancer une potentielle restauration. Sa présence a été confirmée dans la liste des changements de la seconde bêta d’iOS 26.
« L’assistant de récupération est un nouveau moyen de récupérer votre appareil s'il ne démarre pas normalement », explique Apple avant de préciser qu’il peut « rechercher des problèmes et tenter de les résoudre s'il en trouve ». Un iPhone sous iOS 26 démarrera dans ce mode de récupération si l'appareil a « rencontré un problème au démarrage ». On imagine qu’il se manifestera en cas de mise à jour interrompue ou d’autres soucis du genre.
Cette nouveauté fait suite à une fonction de restauration apparue l’année dernière, réservée aux iPhone 16 et l’iPad mini A17 Pro. Une fois le téléphone en mode récupération, l’utilisateur a la possibilité de le lier à un iPad ou un iPhone en Wi-Fi (et non plus uniquement à un Mac/PC) pour le restaurer. Le système invite à entrer un code apparaissant sur le second appareil, et prévient que la manœuvre va « mettre à jour l'iPhone vers une version plus récente d’iOS et revenir à un état fonctionnel ».
La fonction de récupération sur iOS 26. Image u/RipenedCoconut
iOS 26 devrait donc déployer cette fonction bien pratique à plus d’appareils. Elle est également mentionnée dans les notes de mise à jour de macOS Tahoe 26 et a visiblement eu droit à un ravalement de façade comme on peut le voir sur cette capture d’écran de MacRumors. Une bonne idée à une époque où tous les propriétaires d’iPhone n’ont pas forcément un Mac ou un PC sous la main. Un tel outil ne date pas d’hier : de premières traces avaient été repérées dans une bêta d’iOS 13.4.
La première bêta de macOS 26 a apporté un grand chamboulement : Apple a retouché l’icône du Finder. Cupertino avait trouvé de bon goût d’inverser les deux faces de l’icône, le visage bleu devenant blanc et inversement. Cette faute de goût a été réparée dans la seconde bêta de macOS 26.
Sur la bêta 1 (à gauche) et sur la bêta 2 (à droite). Image MacGeneration
La première version de l’icône du Finder aux deux faces est apparue dans Mac OS 7.5.3. Apple l’a parfois retouchée au fil des ans, sans changement aussi brutal. Cette inversion avait fait jaser, si bien que certains avaient rempli des rapports de bugs incitant Apple à revenir sur sa décision.
La nouvelle version rétablit les couleurs originelles tout en gardant un aspect Liquid Glass. Le côté gauche du visage est bleu, tandis que le côté plus clair arbore un dégradé mélangeant blanc et bleu. Notons que sur macOS 26, il est possible de faire en sorte que ses icônes soient transparentes ou d’une couleur spécifique.
La nouvelle option, avec l'arrière-plan activé.
Cette mise à jour revient également sur un autre changement controversé en ajoutant un bouton pour redonner un arrière-plan à la barre des menus. Apple avait livré sa première bêta sans aucun fond, ce qui permet certes de mieux voir son fond d’écran, mais qui peut entraver la lisibilité. L’option (désactivée par défaut) est à aller chercher dans les Réglages, rubrique Barre des menus. Ne reste plus qu’à cocher la case « Show menu bar background », qui n’a pas encore été traduite.
Apple a envoyé ce soir la seconde bêta d’iOS 26, qui apporte un Centre de contrôle plus lisible. C’est l’un des gros reproches faits à Liquid Glass, qui peut rendre certains éléments confus sur la première bêta. Les différents boutons sont désormais un peu plus opaques, ce qui ressort mieux même sur un arrière-plan très coloré.
Sur la bêta 1 à gauche, la bêta 2 à droite.
Sur un autre registre, cette mise à jour ajoute une nouvelle sonnerie ! Celle-ci était cachée dans les fichiers de la première bêta mais est maintenant facilement accessible depuis les Réglages. Il s’agit d’une variation de « Reflet », la sonnerie de base depuis l’iPhone X. La présentation dans les paramètres est étrange, Apple le proposant comme une « option » pour la sonnerie standard.
Dans les Réglages toujours, la section dédiée à ChatGPT indique désormais si les utilisateurs gratuits ont atteint la limite de génération d’images ou pour les autres requêtes. Certains fonds d’écrans de la catégorie « Collections » sont de retour après avoir brièvement disparu. Celui de base d’iOS 26 a d’ailleurs gagné un nouvel effet quand on bouge son téléphone.
Apple Music dispose désormais d'un widget Radio en direct, ce qui sera pratique pour CarPlay. Les expéditeurs inconnus ont dorénavant un badge de notification bleu et non rouge dans Messages, ce qui permet de faire une distinction visuelle. Enfin, les options accessibles depuis le bouton « … » de Safari ont été réorganisées.
Le nouveau widget d’Apple Music.
Cet article sera mis à jour en cas d’autres découvertes dans la soirée.
Si vous avez utilisé des applications GNU/Linux dans les années 2000, vous avez peut-être installé X11 sur un de vos Mac, pour prendre en charge les apps qui n'étaient pas pensées pour Mac OS X. Et si XQuartz (le successeur d'Apple X11) existe encore — il a même été mis à jour pour les puces Apple Silicon en 2021 —, les distributions GNU/Linux abandonnent peu à peu X11 et se tournent vers une solution assez proche de celle d'Apple.
Le fond d'écran d'Ubuntu 25.04.
X11 est un serveur graphique, en simplifiant la partie logicielle qui s'occupe de l'affichage des fenêtres. C'est surtout un vieux serveur graphique : il a été conçu dans les années 80 et a été remplacé assez largement dans les distributions GNU/Linux par Wayland. Apparu en 2008, il est devenu le serveur graphique par défaut dans beaucoup de distributions majeures ces dernières années. Ce qui a été annoncé récemment comme l'explique Next, c'est la fin de X11 dans deux variantes d'Ubuntu.
Ubuntu repose sur un environnement de bureau GNOME, et les développeurs à l'origine de ce dernier ont annoncé récemment que la version 49 (l'actuelle est la 48.2) allait désactiver X11 par défaut. Ensuite, dans la version 50, tout le code lié à X11 devrait être supprimé. Un changement qui devrait donc être répercuté dans Ubuntu 25.10, qui va sortir en octobre 2025 : GNOME 49 devrait être finalisé. Pour Kubuntu, qui repose sur KDE, la donne est la même : la version 25.10 devrait désactiver X11 par défaut. Dans le cas de KDE, il n'y a pour le moment pas de feuille de route pour l'abandon total de X11. Mais comme les différentes variantes d'Ubuntu reposent en partie sur des bases communes, il est probable que les futures versions des autres variantes suivent la même voie.
Le logo de XQuartz.
Dans tous les cas, il reste une solution qui est proche de celle qu'Apple emploie pour les anciennes applications qui nécessitent X11 : XWayland. L'idée est la même que XQuartz, dont nous avons parlé plus haut : proposer une solution qui va accepter les commandes liées à X11 mais effectuer le rendu avec un autre serveur graphique (Quartz sous macOS et Wayland dans les distributions GNU/Linux).
Grosse soirée pour les développeurs, qui peuvent désormais télécharger la seconde bêta de wachOS 26 et de visionOS 26. Une bêta publique est attendue début juillet, tandis que les versions finales n’arriveront qu’à l’automne. Nous reviendrons bientôt sur les nouveautés importantes de cette seconde cuvée (s’il y en a).
watchOS 26 amène un gros redesign de l’app Exercice ainsi qu’un portage de l’app Notes. Du côté de visionOS, la mise à jour donne accès à des widgets spatiaux qui restent collés sur les surfaces tandis que les Personas ont été améliorés.
Bonne nouvelle pour nos amis développeurs : en plus de la seconde bêta d’iOS 26, ils vont également pouvoir télécharger macOS 26 beta 2. Cette seconde version vient prendre la relève d’une toute première bêta, publiée après le keynote d’ouverture de la WWDC. Nous allons installer tout cela et reviendrons sur les nouveautés importantes.
macOS 26 apporte lui aussi l’interface Liquid Glass, une grosse refonte de Spotlight ainsi que du neuf pour les joueurs. Les activités en direct sont disponibles sur le Mac, tout comme l’app Journal. Si Apple suit son calendrier habituel, la bêta publique devrait arriver début juillet.
Apple vient d’appuyer sur le gros bouton rouge et d’envoyer la deuxième bêta d’iOS 26. Celle-ci est réservée aux développeurs et fait suite à une première bêta mise en ligne après la WWDC. Nous allons télécharger tout cela et vous tiendrons au courant s’il y a du nouveau. iPadOS 26 a également droit à sa mise à jour, tout comme tvOS 26.
La nouvelle cuvée de systèmes apporte principalement Liquid Glass, une interface faisant la part belle aux effets de transparence et autres reflets. iOS a également droit à une app Téléphone revue, tandis qu’Aperçu et une app dédiée aux jeux ont fait leur apparition. Une bêta publique arrivera probablement début juillet.
Chaque année, de nombreuses personnes testent une version bêta d'iOS pour découvrir les nouveautés avant les autres. Et chaque année, de nombreuses personnes regrettent d'avoir essayé une bêta, à cause des bugs, de l'autonomie en chute libre ou des applications qui ne fonctionnent pas. Malheureusement, le retour à la version précédente d'iOS n'est pas nécessairement simple. Petit guide.
La première chose, avant même de mettre une bêta, est évidemment de sauvegarder votre iPhone. Nous vous conseillons de faire une sauvegarde iCloud et une sauvegarde en local, sur un Mac ou un PC. Le but est simple : pouvoir revenir sur la version précédente du système. Et il vaut mieux effecteur deux sauvegardes, dont une en local, ce qui évite qu'iCloud efface une ancienne sauvegarde par manque d'espace.
Pour revenir à la version précédente d'iOS, vous aurez besoin d'un Mac (ou d'un PC) et d'un câble. Avant la restauration, nous vous conseillons de charger votre iPhone correctement — ne tentez pas avec 10 % de batterie —, d'être dans un endroit avec une connexion à Internet stable (votre ordinateur va devoir télécharger iOS 18.5) et de désactiver la localisation dans Réglages > [votre nom] > Localiser > Localiser mon iPhone.
Les boutons sous iOS 26. Image iGeneration.
Une fois l'iPhone connecté à votre ordinateur, il faut passer en mode restauration. La méthode est la même pour tous les iPhone compatibles et reste assez simple. Une fois l'iPhone allumé, il faut presser le bouton de volume vers le haut, puis le bouton de volume vers le bas et enfin presser le bouton latéral en le gardant enfoncé. L'iPhone va redémarrer après quelques secondes, puis afficher une et il faut continuer à garder le bouton enfoncé jusqu'à ce que l'écran qui permet la restauration apparaisse.
L'écran de restauration. Image Apple.
Sur le Mac, le Finder vous proposera de restaurer l'iPhone (iTunes ou Appareils Apple sur PC). Il suffit ensuite de choisir la restauration et de repartir de zéro avec iOS 18.5. La suite de l'opération est la même que pour l'installation d'un iPhone neuf, il faudra effectuer quelques réglages et récupérer la sauvegarde effectuée sur iCloud ou en local avec la bonne version d'iOS.
Le message du Finder.L'écran de restauration. Image iGeneration.
Attention à WhatsApp et à l'Apple Watch
Comme toujours, la restauration d'une sauvegarde va évidemment vous amener en arrière de quelques jours. Si certains jeux et applications sauvegardent les données sur iCloud, d'autres ne le font qu'en local. Une des apps qui peut poser des soucis est WhatsApp : vous risquez de perdre quelques messages lors de la restauration, et c'est un point qui peut énerver ceux qui veulent absolument une trace de tous leurs écrits depuis de nombreuses années.
Un autre problème courant va venir de l'Apple Watch. Si vous avez installé la bêta de watchOS 26, vous risquez d'être bloqué. watchOS 26 ne fonctionne en effet qu'avec iOS 26 et en revenant à iOS 18.5, vous allez donc casser le lien entre l'Apple Watch et l'iPhone. Comme Apple ne propose pas publiquement de méthode pour restaurer une Apple Watch avec un ordinateur, vous allez donc probablement devoir rester sur iOS 26 si vous avez installé watchOS 26.
Dans tous les cas, la méthode fonctionne pour revenir à la dernière version en date d'iOS, soit la 18.5. N'espérez pas installer une version plus ancienne : elles ne sont plus signées. Et si jamais vous n'avez pas effectué de sauvegardes avant de passer à la version bêta d'iOS 26, vous ne pouvez vous en prendre qu'à vous-même.
Notons que la méthode est similaire pour passer d'iPadOS 26 à iPadOS 18.5, mais que les boutons à presser sont un rien différent, comme expliqué chez Apple : il faut presser le bouton de volume placé le plus haut, puis celui le plus bas et enfin le bouton supérieur.
Enfin, pour ceux qui ont installé macOS Tahoe, il y a un peu plus d'options pour revenir à macOS Sequoia, ce qui devrait faire l'objet d'un second article. Par ailleurs, les Mac ont l'avantage de permettre d'installer deux systèmes d'exploitation différents, ce qui permet de tester une bêta sans trop de risques.