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Un SMS, un clic… et des données envolées : pourquoi Incogni devient indispensable 

Les escroqueries en ligne ne se contentent plus d’être maladroites : elles deviennent intelligentes, ciblées et crédibles.

Ce réalisme, souvent troublant, trouve sa source dans un trafic massif — mais légal — de données personnelles. Incogni propose d’y mettre un coup d’arrêt.

Une arnaque qui ne doit rien au hasard

Un simple message, à peine quelques mots : votre colis est en attente au relais, je n'ai pas pu laisser votre colis dans votre boîte aux lettres, etc. En apparence, rien d’inhabituel. Pourtant, derrière cette façade anodine, se cache un système bien huilé.

Ces SMS visent juste parce qu’ils sont alimentés par des fichiers contenant adresse, numéro de téléphone, nom, voire historique d’achat. Le piège est prêt, et l’usager moyen n’a que peu de chance d’y échapper.

Le cœur du problème se trouve en amont : les données personnelles ne sont pas seulement volées, elles sont revendues à grande échelle par des entreprises spécialisées — les fameux data brokers. Leur business ? Collecter, croiser, affiner des informations pour bâtir des profils monétisables.

Incogni : une solution automatisée pour disparaître des radars

Créé par Surfshark, Incogni se présente comme un agent numérique mandaté pour faire respecter le droit à l’oubli. Après autorisation, le service contacte automatiquement plus de 200 courtiers en données pour exiger la suppression des profils enregistrés, sur la base du RGPD (Europe) ou du CCPA (États-Unis).

L’objectif est clair : assécher les bases de données qui alimentent les fraudes ciblées. Moins de données disponibles, c’est moins d’attaques pertinentes — et donc moins d’arnaques qui font mouche.

Découvrir Incogni dès maintenant →

Une efficacité mesurable

Des tests indépendants confirment l’utilité du service. Selon Cybernews, Incogni est parvenu à faire supprimer 40 profils sur 49 en quatre semaines. D’autres sources parlent de plus de 100 suppressions en deux semaines, avec un tableau de bord qui détaille en temps réel les demandes envoyées, les réponses reçues et les suppressions confirmées.

L’effet est tangible : les spams diminuent, les appels suspects se raréfient, et les SMS frauduleux perdent en pertinence.

Un service passif mais puissant

L’un des grands avantages d’Incogni est sa simplicité. Une fois le mandat signé, aucune action manuelle n’est requise. Le service agit en continu, relance les courtiers récalcitrants et met à jour les résultats dans une interface claire. Il ne s’agit pas d’un simple nettoyage ponctuel, mais d’un processus de fond, pensé pour durer.

En savoir plus sur le fonctionnement d’Incogni →

Les tarifs d’Incogni en 2025

Voici les formules proposées :

  • Formule individuelle mensuelle : 14,48 €
  • Formule individuelle annuelle : 87,48 € (soit 7,29 €/mois)
  • Formule Famille mensuelle : 30,98 €
  • Formule Famille annuelle : 185,88 € (soit 15,49 €/mois)
  • Formule Unlimited annuelle : 12,99 €/mois (individuel) ou 25,49 €/mois (famille)

Pas une solution miracle, mais une avancée majeure

Incogni n’efface pas les publications sur les réseaux sociaux, ne nettoie pas les bases publiques ni les casiers judiciaires. Il ne fait pas tout. Mais il s’attaque à un pan souvent ignoré de l’hygiène numérique : les bases privées alimentées sans consentement explicite.

Tester Incogni gratuitement avec garantie de remboursement →

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Utilisez-vous Apple Intelligence sur votre iPhone ?

Depuis 3 mois, Apple Intelligence est utilisable en France sur les iPhone compatibles. Siri n'en profite pas encore autant qu'il le pourrait, mais plusieurs fonctions ont été saupoudrées dans le système et les apps.

Présentation du Siri plus personnel à la WWDC 2024. Image Apple/MacGeneration.

Outils de réécriture, générateur d'images et de Genmojis, assistance de ChatGPT pour des questions, résumé de courriels et de notifications, suggestions de réponses à des messages, reconnaissance de contenus visuels… il y a de quoi faire avec l'IA intégrée par Apple.

On peut utiliser certaines choses d'Apple Intelligence… ou s'en passer complètement. C'est l'objet de ce sondage : quel rapport entretenez-vous avec cette collection de fonctions ?

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Sortie de veille : un MacBook avec une puce d’iPhone, attrape-nigaud ou coup de génie ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Après l’arrivée des puces des Mac sur les iPad, et si c’est l’inverse qui se produisait ? D’après une rumeur qui prend de l’ampleur, un futur MacBook pourrait être équipé d’un processeur d’iPhone. Oui, la puce de l’iPhone 16 Pro pourrait venir faire battre le cœur d’un ordinateur. Faut-il s’attendre à un attrape-nigaud ou à un coup de génie de la part d’Apple ? On en discute dans cette émission.

Dans le reste de l’actu, Apple envisagerait de se lancer dans un nouveau business, le HomePod 2 est menacé par des pannes et les AirTags vont mettre fin aux valises perdues dans les aéroports.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

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  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez l’émission directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bon week-end !

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Un dirigeant de Microsoft conseille aux plus de 9 000 employés licenciés de se faire aider par l’IA

Récemment, Microsoft a décidé de faire du « nettoyage par le vide » dans ses équipes. Résultat : l’entreprise s’allège de 4 % de ses effectifs. Si le chiffre paraît petit, il représente toute de même plus de 9 000 personnes qui se retrouvent sans emploi, dont un bon nombre dans la division Xbox Games du géant du secteur.

Turn 10, éditeur de Forza Motorsport, a été fortement touché : ne resterait que de quoi faire tourner les serveurs, d’après des employés sur place. Image Xbox Game Studios.

Ainsi, King (le créateur de Candy Crush, racheté à grands frais par Microsoft en 2023 dans le groupe Activision Blizzard King) perd 10 % de ses employés, soit 200 personnes, le studio Turn 10 responsable de la série des Forza Motorsport perd 70 personnes, les jeux Perfect Dark et Everwild sont annulés, et le studio The Initiative qui devait concevoir le premier est fermé.

Microsoft s

Microsoft s'empare d'Activision Blizzard pour 69 milliards de dollars

Déjà en janvier 2024, Microsoft avait « allégé » de 1 900 employés sa nouvelle filiale Activision Blizzard, 1 000 personnes ont été remerciées encore en juin dans la branche HoloLens et Azure, et encore 650 de nouveau chez Activision Blizzard en septembre.

Face à ce raz-de-marée de licenciements, certains sont désabusés, désappointés et énervés, ce qui est compréhensible. En réponse, le responsable des Xbox Game Studios, Matt Turnbull, a tenté une aide sur LinkedIn, qui s’est révélée bien maladroite : alors que Microsoft a dégagé une grande partie de ses studios de jeux vidéos pour tout miser sur l’intelligence artificielle, engloutissant plusieurs milliards de dollars dans ChatGPT et Copilot, Matt Turnbull leur propose, comme rapporté par TheVerge, de se faire aider mentalement par... l’IA.

En ces temps difficiles, et si vous êtes en plein licenciement ou vous préparez à l’être, vous n’êtes pas seuls et vous n’avez pas à gérer seuls la situation. Je sais que ce genre d’outils peut provoquer de vives réactions chez certains, mais je m’en voudrais de ne pas vous donner les meilleurs conseils en ces circonstances. J’ai fait quelques essais sur la façon d’utiliser les outils de LLM (comme ChatGPT ou Copilot) pour vous aider à réduire la charge émotionnelle et la complexité mentale de la situation d’une perte d’emploi.

Et le dirigeant de dérouler ses idées de prompts pour l’IA, dans le texte qui a suivi. Si les conseils en question sont loin d’être bêtes, la démarche se révèle bien maladroite, envers des employés qui peuvent avoir l’impression d’avoir été jetés, justement, pour laisser plus de place à l’IA. D’autant plus dans le dernier paragraphe, proposant d’utiliser ChatGPT comme psychiatre personnel :

« J’ai la sensation d’avoir le syndrome de l’imposteur depuis que je me suis fait virer. Peux-tu m’aider à remettre mes idées en place, afin de me rappeler les domaines dans lesquels je suis bon ? »

S’étant sûrement rendu compte de ce manque de tact, Matt Turnbull a depuis supprimé son post. Même si l’idée était bonne, il reste tout de même à espérer que les personnes touchées par ces licenciements trouveront une écoute un peu plus humaine et chaleureuse qu’un bot conversationnel.

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Apple fait ses emplettes dans les start-up, entre avatars virtuels et monitoring de l’IA

Il y a une vie en dehors des grosses acquisitions, et si l’absorption de très petites start-ups ne fait pas les gros titres, ce n’est pas pour autant que ça n’arrive jamais, et qu’elles sont dénuées d’intérêt... Apple le sait bien, tout comme ses concurrents, et a encore récemment pioché dans ces jeunes pousses.

TrueMeeting, spécialisée dans les avatars numériques. Image TrueMeeting.

La première d’entre elles viendra sûrement renforcer les rangs des développeurs dédiés aux Personas de l’Apple Vision Pro : TrueMeeting permet, grâce à un scan « 3D » de l’utilisateur avec la caméra de son smartphone, de créer un avatar en trois dimensions pour ensuite l’utiliser dans des décors où il participera aux réunions à la place de l’utilisateur réel. Si l’idée est déjà bien avancée dans le Vision Pro, cette acquisition devrait permettre d’améliorer la technologie, et de se passer du casque de réalité augmentée pour créer l’avatar virtuel.

WhyLabs sera sûrement d’un grand intérêt pour le développement du LLM maison. Image WhyLabs.

WhyLabs, seconde acquisition du moment, est une entreprise travaillant le monitoring et l’évaluation des LLM et de tous les éléments dédiés à l’intelligence artificielle. Elle s’est fait une spécialité de surveiller les IA génératives afin qu’elles ne débordent pas de leur cadre imposé, traquant en temps réel les dérives, hallucinations et autres bugs de ces bots conversationnels. Mettant l’accent sur le respect des données privées des utilisateurs, voilà qui colle parfaitement avec l’idée qu’Apple a du développement d’un LLM. Si le prix de l’acquisition n’a pas été rendu public, la dernière valorisation donnait WhyLabs à 37 millions de dollars, ce qui en fait un « petit » achat pour Apple, mais qui pourrait avoir de grandes conséquences pour la suite.

Même si les gros titres s’intéressent toujours aux grands coups, comme le rachat de LoveFrom par OpenAI ou la possible acquisition de Perplexity par Apple, il ne faut pas oublier pour autant que le monde pullule de petites entreprises parmi lesquelles une pépite peut se cacher, et Apple ne l’a pas oublié. Après tout, n’a-t-elle pas commencé dans un garage ?

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Lancer un streaming sur une Apple TV grâce à une cartouche ? C’est possible avec le NFC

Vous aimez les formats physiques, mais comme beaucoup êtes passé dans le grand bain des diffuseurs de contenus ? Vous auriez toujours aimé pouvoir lancer une copie physique de Squid Game plutôt que d’utiliser de pénibles et long menus (ou pire, une recherche caractère par caractère sur la remote !) ? Des petits programmeurs ont pensé à vous, et ont décidé de mélanger Apple TV, NFC et impression 3D.

Grâce à ce petit projet mêlant un lecteur NFC, un lot de cartes NFC trouvable par 50 et de quoi les programmer pour un total d’une trentaine d’euros suivant les sources, voilà de quoi avec quelques lignes de code ne plus avoir à multiplier les clics si vous êtes du genre à voir et revoir en boucle toujours le même film.

Si à l’époque du dématérialisé et de l’écologie le projet peut avoir un côté un peu absurde, certains usages auxquels on ne pense pas immédiatement peuvent avoir tout leur sens : permettre à un enfant de lancer la lecture de son dessin animé préféré, ou à l’opposé à une personne âgée de démarrer la lecture d’une série ou d’un film sans avoir à apprendre le fonctionnement d’un appareil supplémentaire. L’idée peut même trouver sa place dans un lieu d’accueil spécialisé pour les personnes en situation de handicap. Et puis, ne sont-elles pas mignonnes ces petites cartouches à la croisée des mondes, entre GameBoy, Switch et un tout petit mini CED ?

Mise à jour : si le projet présente surtout l'usage avec Plex, on peut aussi accéder à d'autres services comme Netflix grâce aux deeplinks. Cet autre projet, que l'on pourra combiner avec le premier, en donne quelques exemples.

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Free Mobile va pousser la 4G dans la bande des 900 MHz

Dans le monde des fréquences de téléphonie mobile, les fréquences basses (sous 1 GHz) sont intéressantes : elles ont une portée plus élevée que les fréquences hautes. Mais elles ont aussi deux problèmes : elles sont rares et historiquement employées pour la 2G et la 3G. Le mouvement opéré par Free Mobile, repéré par Next, est donc intéressant : Free Mobile a 923 autorisations d'émettre en 4G dans la bande des 900 MHz, 607 de plus qu'en juin 2025.

923 sites autorisés en 4G à 900 MHz. Image ARCEP.

Pour Free Mobile, c'était un mouvement attendu : l'ARCEP a alloué un peu plus d'espace dans cette bande à l'opérateur (8,7 MHz au lieu de 7,6 MHz) en février 2025. Comme Free Mobile n'a pas de réseau 2G et que la 3G est largement en perte de vitesse chez les utilisateurs, l'opérateur peut allouer une bonne partie de la bande passante à la 4G. Ses concurrents, eux, attendront probablement la fin de 2G et de la 3G pour suivre cette voie.

Vers une meilleure couverture en 4G chez Free ?

En émettant en 4G dans cette bande, Free Mobile devrait permettre d'améliorer un peu sa couverture 4G, au détriment de la couverture 3G (ce qui a peu d'importance en 2025). Le seul point à ne pas oublier, c'est qu'avec 8,7 MHz, le débit maximal reste assez faible en 4G. En supposant un bloc de 5 MHz pour la 4G et le reste pour la 3G, la bande passante théorique est de 37,5 Mb/s en réception. C'est une valeur plus élevée que ce qu'il est possible d'obtenir en 3G, évidemment, mais ça reste assez faible à ce qu'il est possible d'obtenir avec les bandes de fréquences plus élevées ou en agrégeant plusieurs bandes. Mais pour ceux qui ne sont pas couverts par la 4G, c'est évidemment une avancée.

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Un premier pas vers le jailbreak de la Touch Bar : le système démarre en mode verbose

La Touch Bar des MacBook Pro est un ordinateur comme un autre, dans un sens. Et John (connu sous le nom Nyan Satan) vient de le montrer brillamment : dans une vidéo YouTube, on peut voir le système d'exploitation d'une Touch Bar démarrer en mode verbose, c'est-à-dire avec des messages de debug affichés à l'écran. C'est probablement un premier pas vers un jailbreak de l'accessoire d'Apple, au moins dans certaines versions.

La Touch Bar d'un MacBook Pro. Image MacGeneration.

John est déjà l'origine d'une curiosité : il a lancé Doom sur l'adaptateur Lightning vers HDMI d'Apple. Pour la Touch Bar, il explique qu'il s'agit de celle d'un MacBook Pro équipé d'une puce T1, apparue en 2016. Le système sur puce T1 est l'équivalent de la puce S1 des premières Apple Watch, et il anime le système d'exploitation de la Touch Bar, qui communique avec macOS à travers une liaison réseau en USB. Dans les MacBook Pro suivants, la Touch Bar fonctionne avec une puce T2, qui est l'équivalent de l'Apple A10 de certains iPhone, et est plus sécurisée. La Touch Bar a aussi été intégrée dans certains MacBook Pro Apple Silicon, les modèles 13 pouces équipés d'une puce M1 ou M2.

Sur la Touch Bar, la possibilité d'un jailbreak a tout de même moins d'intérêt que sur certains autres appareils Apple : elle peut déjà lancer Doom, et il est possible d'exécuter des applications dessus. Mais peut-être que certains trouveront des usages qui n'existent pas encore pour ce périphérique mal-aimé.

Doom tourne sur l

Doom tourne sur l'adaptateur Lightning vers HDMI d'Apple

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Guide d'achat : équipez votre iPhone pour des vacances au bord de la mer

Les vacances approchent doucement, et vous commencez déjà à planifier votre prochain séjour en bord de mer ? En complément de nos accessoires essentiels pour tout voyage, quelques achats malins pourraient vous faciliter la vie une fois les pieds dans le sable. Voici notre sélection des incontournables.

Le casque OpenSwim de Shokz.

Entre le sable et l’eau salée, la plage n’est pas vraiment le meilleur endroit où trimballer son iPhone. Les accessoiristes y ont pensé et proposent tout un tas de pochettes à bas prix permettant de facilement protéger votre smartphone. On trouve des modèles basiques à moins de 10 € et d’autres un peu plus chers qui seront sympas pour prendre des photos sous l’eau ou sur la plage sans stress. Ceux ne voulant pas barboter avec une pochette autour du cou pourront cacher leur accessoire dans un petit coffre-fort de plage. Et pour votre Apple Watch, les fabricants sont nombreux à vendre des coques de protections qui limiteront les dégâts en cas de souci.

Pour ceux qui veulent nager en musique, les casques à conduction osseuse vous permettront d’écouter albums et podcasts tout en ayant la tête sous l’eau. L’une des référence du domaine est l’OpenSwim de Shokz, qui permet d’embarquer 4 Go de MP3. Il coûte 159 € et pourra ensuite être utilisé pour du vélo ou de la course à pied. Des alternatives moins chères et compatibles Bluetooth sont proposées par des marques moins connues, mais il faudra bien vérifier les commentaires pour s’assurer de la qualité. Les nageurs pourront également investir dans un bracelet d’Apple Watch dédié : celui de Cupertino pensé pour la plongée est vendu 100 € là où son équivalent chez Band-Band est à 39,20 €. Amazon propose aussi des alternatives encore moins chères et dans différents coloris.

Le bracelet océan d’Apple. Image iGeneration

Les vacances sont un bon moment pour dévorer quelques bouquins. Une liseuse pourra s’avérer pratique, d’autant plus que les modèles récents sont pour la plupart résistants à l’eau. Le Kindle Paperwhite est une bonne pioche étant donné qu’il est également rétroéclairé : Amazon le facture 180 €. Un peu plus chère, mais avec un écran couleur, la Libra Colour est à 239 € et sera sans doute l’option la plus intéressante si c’est un aspect important pour vous. Et si vous cherchez à voyager léger, le Palma de Boox est une liseuse au format smartphone qui se fera facilement oublier au fond d’un sac.

Les vacances peuvent être un bon prétexte pour se remettre au sport, que ce soit la course ou via des randonnées. Pour commencer en douceur, un traqueur d’activité devrait faire l’affaire : on trouve des modèles vendus une cinquantaine d’euros chez Xiaomi ou Huawei. Fitbit propose un bracelet un peu plus cher (119 €), mais aussi une montre d’entrée de gamme qui a l’avantage d’avoir un écran plus grand. Vous pouvez monter en gamme en jetant un œil au catalogue de Coros, le fabricant proposant souvent un bon rapport qualité/prix. Et si vraiment vous ne pouvez pas attendre septembre pour acheter une Apple Watch, attendez plutôt une grosse promo sur les modèles précédents, les améliorations étant généralement assez mineures d’une année sur l’autre.

Kindle Paperwhite d’Amazon.

Pour les soirées pique-nique, une petite enceinte Bluetooth pourra se révéler sympathique. Nous recommandons souvent la Sonos Roam, qui a l’avantage d’être compatible AirPlay et qui sera donc plus pratique à la maison. Elle reste vendue 193 €, ce qui fera peut-être cher pour une utilisation ponctuelle. Un peu plus abordable, la nouvelle Beats Pill est résistante à l’eau et nous avait séduits par sa grande autonomie et sa compatibilité Localiser. Sinon, la SoundLink Flex de Bose coûte 130 €, et ceux cherchant un simple modèle premier prix pourront se tourner vers la JBL Go, sous les 40 €.

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Bouygues Telecom va ajouter 2 € à certains abonnements B&You… sauf si vous refusez rapidement

Bouygues Telecom vient de prévenir certains de ses abonnés B&You (l'offre à bas prix de l'opérateur) que leur abonnement allait gagner l'accès à la 5G — pour les abonnements uniquement 4G — et 20 Go de données supplémentaires à l'étranger (Europe et DOM). Cette offre B&You Max peut sembler intéressante pour l'été, surtout pour 2 €/mois avec un mois gratuit, mais elle cache quelque chose : elle sera automatiquement ajoutée à votre abonnement à partir du 9 août 2025 si vous ne la refusez pas explicitement.

Le message. Image iGeneration.

Il n'y a rien d'illégal dans l'absolu : tant que l'opérateur vous prévient un mois avant l'entrée en vigueur du changement et qu'il vous propose de refuser le changement, tout va bien. Dans la pratique, c'est une méthode souvent mal vue par les clients, qui n'apprécient pas toujours de se voir ajouter une option plus ou moins en douce. Bien évidemment, elle n'est pas imposée : vous pouvez vous rendre dans votre espace client pour refuser l'évolution de l'offre (ou appeler le service client). Cette possibilité doit être proposée gratuitement pendant quatre mois et la date avancée dans le message (« avant le 9 septembre 2025 ») semble d'ailleurs en dehors de délais, pour ceux qui ont reçu le message cette semaine.

Pour Bouygues Telecom, c'est surtout l'occasion d'essayer de grappiller quelques euros sur les abonnements, en prenant le pari qu'une partie de ses clients trouvera l'offre intéressante et qu'une autre lira le message d'information un peu trop rapidement.

B&You ajoute des frais de résiliation sur tous ses forfaits

B&You ajoute des frais de résiliation sur tous ses forfaits

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Promo : la batterie domestique Stream AC Pro d’EcoFlow à 713 € au lieu de 999

Que vous soyez déjà équipé en panneaux solaires ou que vous débutiez dans ce domaine, la batterie Stream AC Pro conçue par EcoFlow est intéressante pour stocker de l’énergie excédentaire et la redistribuer en fonction des besoins. D’une capacité de 1,92 kWh, elle doit uniquement être associée à un compteur connecté pour surveiller la production de panneaux solaires, même si ces derniers sont installés à un tout autre endroit. C’est une option très souple qui s’adapte à de multiples situations et qui est à un tarif intéressant en ce moment sur Amazon : 713 € au lieu de 999 en temps normal.

Image EcoFlow.

Pour ce prix, vous aurez un gros parallélépipède de 46 cm de haut et environ 25 cm de large comme de profondeur pour 21,5 kg. Cet appareil peut être installé n’importe où, en extérieur comme sur un balcon si vous avez une prise, ou bien à l’intérieur si c’est plus facile pour vous. Peu importe, il doit uniquement être relié à une prise électrique du logement pour fonctionner correctement. Cette connexion permettra de charger sa batterie jusqu’à 1 050 W et de la décharger en alimentant le réseau jusqu’à 800 W de puissance.

Pour qu’elle puisse fonctionner normalement, la batterie d’EcoFlow doit savoir à tout moment ce que produit ou consomme le foyer grâce à un compteur connecté installé dans le tableau électrique. Le fabricant accepte des produits tiers, notamment ceux de Shelly, ou commercialise son propre compteur à 129 €. Ce compteur comme la batterie seront reliés au réseau Wi-Fi et l’écosystème EcoFlow accordera les deux pour stocker toute l’énergie excédentaire produite par les panneaux la journée et redistribuer cette électricité quand le soleil baisse. Vous pouvez aussi charger la batterie de nuit pendant les heures creuses pour la redistribuer pendant les heures pleines, ce qui est surtout utile en hiver.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vous renvoie à ces deux articles de notre série sur les systèmes solaires. Si je n’ai pas testé le produit d’EcoFlow, je sais qu’il est très proche de ceux de Zendure et Anker que j’utilise encore au quotidien. Je peux ainsi témoigner que cela fonctionne bien à condition d’avoir des panneaux solaires, la rentabilité est sinon impossible à atteindre, et à condition d’accepter un système propriétaire qui dépend de serveurs tiers. EcoFlow ne fait pas mieux dans ce domaine, tout passera par l’app du fabricant.

La maison au soleil : test du Zendure Hyper 2000, une batterie de stockage pas que pour le solaire

La maison au soleil : test du Zendure Hyper 2000, une batterie de stockage pas que pour le solaire

La maison au soleil : la Solarbank 2 AC ajoute la charge depuis le réseau au système solaire d’Anker

La maison au soleil : la Solarbank 2 AC ajoute la charge depuis le réseau au système solaire d’Anker

En termes de prix, la batterie d’EcoFlow est bien placée face à ses concurrents. La Solarbank 2 AC d’Anker est vendue 900 € et sa capacité est inférieure (1,6 kWh) tout en faisant un petit mieux sur la sortie AC (1 000 W). Du côté de Zendure, l’offre la plus proche serait la SolarFlow 800 Pro qui est affichée à 959 € avec une fiche technique similaire et même si le fabricant fournit un compteur, cela reste nettement plus cher que chez EcoFlow.

Si vous avez des panneaux solaires, vous pouvez les relier directement à la batterie, mais ce n’est pas obligatoire. Image EcoFlow.

Comme toujours, ces systèmes sont modulaires et vous pourrez ainsi ajouter d’autres batteries pour stocker davantage d’énergie et fournir davantage de puissance. Un kit avec deux Stream AC Pro est ainsi proposé à 1  426 € au lieu de 1 899 avec l’avantage de pouvoir sortir jusqu’à 1 200 W sur le réseau électrique du logement. Dans tous les cas, les cellules LFP sont sûres et tiendront plusieurs milliers cycles sans problème, sachant que le fabricant offre une garantie de 10 ans sur ses produits. Ce qui est en stock sera livré d’ici une bonne dizaine de jours, dans d’autres cas il faudra attendre deux à trois semaines.

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MacBook Air M2 à 750 € ou Mac Studio M2 Max à 1 300 € ? Entre portable et fixe, il faut choisir

La Fnac et Darty proposent deux promotions intéressantes sur des Mac radicalement opposés : des MacBook Air M2 dès 750 € et des Mac Studio M2 Max à 1 301 € (avec Rakuten).

Le MacBook Air, le plus portable. Image Apple.

Pour les MacBook Air, le modèle M2 avec 16 Go de RAM et 256 Go de SSD est à 800 €, celui avec 8 Go de RAM et 512 Go de SSD à 810 € en gris sidéral ou en minuit. Les trois modèles sont disponibles sur Rakuten - via Darty - avec une réduction de 50 € avec le code ORDI50, soit 750 € (16 Go/256 Go) ou 760 € (8 Go/512 Go). Si vous préférez la Fnac pour une raison ou une autre, le modèle 8 Go/512 Go est au même prix en gris sidéral ou minuit. La déclinaison 16/1 To est à 1 240 € à la Fnac ou chez Darty en coloris gris sidéral, et même à 1 190 € via Rakuten avec le code vu plus haut. Dans tous les cas, le MacBook Air M2 reste un Mac portable performant et qui garde de bons arguments face à un modèle M4 à ce prix.

Le Mac Studio, le plus puissant. Image Apple.

Si vous préférez le confort et la puissance d'un ordinateur de bureau, le Mac Studio M2 Max (32 Go de RAM et 512 Go de stockage) est à 1 351 € à la Fnac, au lieu de 2 000 € quand il était encore en vente. La promotion est la même chez Darty, pour les soldes, et il est possible de gratter encore 50 € avec le code ORDI50 chez Rakuten (via Darty), soit un total de 1 301 €.

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Un (faux) traceur GPS sur les cartons des MacBook Air, pour dissuader les livreurs de les voler

Avec les nombreux MacBook Air en promotion, les vendeurs semblent avoir peur des malandrins : lors de l'achat d'un MacBook Air en promotion, nous avons remarqué un autocollant un peu étonnant sur le carton. Il montre un gros logo avec une cible et indique notamment ceci : « Équipement muni d’un système de localisation GPS ». Les vols seraient-ils si courants dans les services de livraison ? Probablement pas.

Le sticker sur le carton. Image MacGeneration.

Dans le bas de l'autocollant, on trouve aussi une mention : « Serial Number : TRNB59842114 / Traceur GPS utilisant la technologie LoRa ». LoRa est une technologie qui permet des transmissions à longue portée et à bas débit, avec une consommation très faible, mais un traceur équipé d'un récepteur GPS et d'une puce LoRa nécessite tout de même une source d'énergie. Nous avons donc dépiauté le carton pour tenter de trouver ce récepteur… sans succès. Et une simple recherche sur Google nous a mis la puce à l'oreille : on peut trouver des autocollants identiques pour quelques euros. Le point intéressant, c'est que le numéro de série de l'illustration est identique à celui indiqué sur notre carton… ce qui implique qu'il s'agit probablement uniquement d'une méthode de dissuasion.

Il est possible d'acheter le même facilement.

C'est finalement assez logique : même en supposant une éventuelle économie d'échelle, un dispositif de ce type aurait un coût probablement trop élevé pour rentabiliser réellement son implémentation en masse1. Mais pour un livreur qui aurait la mauvaise idée de tenter de voler un colis (en supposant qu'il se rende compte qu'il contient un ordinateur et pas de la litière pour hamsters), ce message menaçant peut suffire pour réduire des velléités malveillantes. C'est un peu l'équivalent des fausses caméras de surveillance ou des panneaux « Attention, chien méchant » pour Caramel, votre chihuahua. En résumé, c'est du flan, mais c'est (peut-être) efficace, et peu onéreux.


  1. Un autre MacBook Air, commandé en même temps, n'avait pas l'autocollant en question sur son carton.  ↩︎

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Nintendo bride l'USB-C sur la Switch 2, ce que même Apple n'a pas osé faire

Un peu avant l'arrivée de l'USB-C dans les iPhone, différentes rumeurs indiquaient qu'Apple allait intégrer des puces de sécurité dans ses câbles et ses accessoires, pour brider la norme. C'était relativement crédible : la méthode était déjà présente avec le connecteur 30 broches et les accessoires Lightning. Sous couvert de compatibilité, le programme MFi servait surtout à imposer une dîme aux accessoiristes. Si Apple ne l'a finalement pas fait — vous pouvez utiliser n'importe quel adaptateur USB-C vers HDMI avec un iPhone, par exemple —, ce n'est pas le cas de Nintendo : comme la Switch originale, la Nintendo Switch 2 intègre des mécanismes de « sécurité » qui brident la compatibilité.

La Switch 2 et son dock. Image Nintendo.

Prenons les bases : si vous branchez un accessoire USB-C sur une console (ou n'importe quel appareil compatible), il y a une négociation. Premièrement, l'accessoire indique à l'hôte (console, ordinateur, smartphone, etc.) le ou les profils USB PD pris en charge. La norme permet différentes tensions (5 V, 9 V, 12 V, etc.) et intensités (3 A, 5 A, etc.). Si l'hôte détecte un couple valable, il active la charge… et si ce n'est pas le cas, il ne démarre pas. Nous l'avons expliqué dans un exemple récent avec l'antenne Starlink Mini, qui ne démarre pas si le profil 20 V/5 A n'est pas de la partie. Dans le cas de la Nintendo Switch 2, l'alimentation doit proposer une tension de 20 V, même si la console peut en réalité se contenter d'une tension de 15 V.

Le dock officiel est (presque) obligatoire pour jouer sur un téléviseur. Image Nintendo.

Ensuite, l'accessoire va indiquer à l'hôte s'il prend en charge la vidéo, avec les différents modes pris en charge (qui dépendent en partie de la puce choisie pour une éventuelle conversion DisplayPort vers HDMI). Là encore, l'hôte peut accepter ou refuser. Enfin, les composants interfacés en USB sont connectés. Dans le cas d'un accessoire pour la Nintendo Switch 2, il peut par exemple s'agir d'un hub USB ou d'un contrôleur Ethernet. Dans la majorité des cas, les négociations sont standardisées, mais ce n'est pas le cas de la Switch 2, comme l'explique The Verge.

Une négociation propriétaire

En réalité, la console de Nintendo ajoute quelques messages propriétaires, a priori liés à une validation de la part de la firme japonaise. Sur le papier, c'est le même principe que les fameuses puces MFi : sans un composant qui va fournir les bons messages, rien ne s'active. Dans la pratique, comme pour la première Switch, les accessoiristes ont déjà trouvé la parade : quelques docks alternatifs existent déjà, comme chez Antank, SIWIQU ou Avermedia. Une mise à jour du firmware est parfois nécessaire, mais les solutions sont bien disponibles.

Un dock alternatif. Image SIWIQU.

L'article explique aussi que la console effectue nettement plus de vérifications sur la qualité du signal que la console précédente — un produit mal conçu au niveau physique ne devrait pas s'activer — et que le ventilateur intégré dans le dock officiel de la console ne refroidit pas directement la console elle-même. Divers essais montrent en effet qu'il sert uniquement pour les composants de la station d'accueil. Enfin, il faut prendre en compte un point important : si les docks alternatifs fonctionnent actuellement, il n'est pas exclu qu'une mise à jour du firmware de la console renforce la sécurité et casse cette compatibilité officieuse.

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Un site web pour décoder les pages sauvées en .webarchive par Safari

Avec Safari, si vous voulez sauvegarder une page pour la lire plus tard1, il est possible de faire Enregistrer sous… dans le menu Fichier. Le navigateur propose de sauver l'image en Source de la page (une page HTML brute, qui va dépendre du site pour une partie du contenu), en PNG (une nouveauté) ou en Archive web. Cette solution enregistre tout le contenu de la page (JavaScript et CSS compris) dans un fichier .webarchive un peu obscure. HTeuMeuLeu a donc décidé de proposer une méthode pour extraire correctement les données pour les lire n'importe où.

Safari propose trois choix. Image MacGeneration.

Son but de départ était simple : arriver à lire les données envoyées par des étudiants qui travaillaient visiblement sur des Mac. Les .webarchive sont pratiques pour envoyer le contenu d'une page, un seul fichier suffit, mais l'ensemble dépend de Safari. Il explique que le format d'Apple est un fichier XML qui contient des données compressées (un .plist). Il a développé un site Internet qui permet de décompresser les fichiers en question, et affiche la liste des fichiers présents dans l'archive (images, HTML, CSS, etc.). L'outil est open source si vous voulez l'héberger en local (c'est du JavaScript), pour éviter d'envoyer une archive qui pourrait contenir des données privées sur un site public.

Le site permet de récupérer tous les éléments de la page. Image MacGeneration.

  1. Ou pour garder une trace d'une éventuelle future modification.  ↩︎

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Promo : l'iPad 2025 revient à 349 €, une bonne tablette pour les enfants et les grands-parents

Le dernier iPad (la version sortie en mars) a retrouvé son prix le plus bas chez Amazon en Italie. Le vendeur le propose à 349 € dans trois de ses coloris. Une fois les frais de port (livrable entre les 7 et 9 juillet) et la TVA calculés, on retombe sur le même tarif (348,96 €).

Image Apple.

C'est un coup de pouce sur les promos qui accompagnent ce modèle chez différents vendeurs. En France il est autour de 390 €, à peine moins que le 409 € de l'Apple Store.

Il s'agit de la version 128 Go Wi-Fi, c'est confortable pour une tablette qui conviendra parfaitement à un usage familial, pour un jeune enfant ou pour un senior qui aurait besoin d'une tablette avec une bonne taille d'écran.

Son processeur A16 (le même que les iPhone 15) lui barre l'utilisation des fonctions d'Apple Intelligence, mais rien n'empêche d'installer l'app de ChatGPT ou d'utiliser son site web ainsi que ceux de ses concurrents.

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Ulanzi présente une station d'accueil au look de petit Mac Pro

Le fabricant d’accessoires Ulanzi vient de lancer une station d’accueil intéressante s'inspirant du design du Mac Pro, mais dans un format beaucoup plus compact. Avec ses dimensions de 143 x 50 x 61 mm, l’accessoire embarque un emplacement pour SSD NVMe et un paquet de connectiques. Le produit est construit en aluminium pour mieux s’inspirer de la machine d’Apple tout en garantissant un meilleur refroidissement.

Image Ulanzi

Au niveau de la connectique, on retrouve à l’arrière un port HDMI 4K 60 Hz, un jack 3,5mm, un port USB-C 40 Gbp/s et un second pour relier votre machine, sachant qu’il charge jusqu’à 85W. Sur la tranche, on découvre un duo d’USB-A 5 Gbp/s et 10 Gbp/s au côté de deux USB-C 10 Gbp/s. Notons également la présence d’un lecteur de cartes SD 4.0/UHS-II en plus d’un second pour les micro-SD.

Image Ulanzi

La partie inférieure peut être ouverte afin d’y installer un SSD NVMe M.2 pouvant aller jusqu’à 8 To. Un petit ventilateur est intégré tournant jusqu’à 8 800 tours/minute selon la température de l’accessoire, ce qui permet d’optimiser les performances de son disque.

Ulanzi a trouvé une astuce pour les propriétaires de Mac mini : cette station d’accueil est compatible avec une de ses coques pensées pour le récent modèle M4. Les deux peuvent se combiner pour faire une sorte de mini Mac Pro, résolvant par la même occasion le problème du bouton d’alimentation difficilement accessible. La station d’accueil est vendue 259 € sur le site du revendeur pour une expédition le 20 juillet, tandis que la protection pour Mac mini M4 est à 44 €. Ceux qui préfèrent passer par Amazon pourront attendre un peu le temps que tout cela arrive sur la page du fabricant.

Avec et sans la coque pour Mac mini M4. Image Ulanzi
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Promo : une batterie chameau de 27650 mAh capable de recharger Mac et iPhone à 114 € (-56 €)

Si vous avez besoin d’une batterie pour l’été susceptible de vous dépanner dans n’importe quelle circonstance, vous avez sans doute intérêt à jeter un œil à cette batterie externe 27650 mAh d’Anker qui peut envoyer jusqu’à 250 watts au total et 140 watts sur son port USB-C. Cet appareil est vendu 113,99 €, soit une réduction de 56 € sur son prix normal.

Cette batterie dispose de deux ports USB-C et un port USB-A. D’après le constructeur, elle permet de faire 4,7 recharges sur un iPhone 14 et 1,3 recharge sur un MacBook Air 2022. Elle est également capable de charger un MacBook Pro 16” M2 Pro jusqu’à 50 % en moins de 30 minutes.

Deux choses à savoir : il est possible de l’emmener avec soi dans un avion avec ses bagages à main. Elle répond aux exigences de la TSA. D’autre part, en connectant ses deux ports USB-C, il est possible de la recharger entièrement en 37 minutes.

La batterie d’Anker dispose d’un petit écran affichant un certain nombre d’informations en lien avec la ou les charges et que l’on peut également retrouver sur une application iPhone. Cette dernière permet également de retrouver sa banque d’alimentation en la faisant sonner. Cette batterie externe 27650 mAh est livrée avec une pochette de voyage.

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Développeurs : Technotes ajoute des notes de la communauté sur la documentation d’Apple

Technotes est une extension pour les navigateurs qui enrichit les pages de documentation destinées aux développeurs sur le site d’Apple. Même si l’entreprise a amélioré la situation ces dernières années, la documentation proposée par Apple est notoirement incomplète et l’idée du créateur de cette extension est de permettre à la communauté de développeurs de l’améliorer par des notes. Ce concept a été popularisé par des réseaux sociaux, X en tête, pour ajouter un contexte à une publication ou la corriger. Ici, n’importe quel développeur peut ajouter une précision, signaler que telle API ne fonctionne pas comme promis ou toute autre information qu’il juge utile.

Une note laissée par le créateur de Technotes, insérée par l’extension. Image MacGeneration.

Toutes les notes laissées par tous les développeurs seront visibles dès lorsque Technotes est installée dans le navigateur. C’est une extension et un service social à la fois, ce qui explique qu’un compte soit nécessaire pour soumettre des notes. Le service est entièrement gratuit pour le moment, même si des fonctionnalités payantes pourraient être ajoutées à l’avenir. Le créateur ajoute que le contenu reste la propriété exclusive de la personne qui le soumet et il note que son objectif est avant tout d’offrir un service utile à la communauté, pas nécessairement gagner de l’argent.

Malgré tout, une telle idée ne fonctionnera que si suffisamment de monde participe et c’est toute la difficulté du projet. Les pages de la documentation Apple avec des notes sont encore très rares (voici un exemple et un autre, vous les verrez si l’extension est installée et activée) et il faudra beaucoup plus de participants pour que ce soit réellement utile. Si vous voulez tester, vous pouvez installer l’extension sur Safari, Chrome et Firefox ainsi que tous les navigateurs qui acceptent les extensions de ces derniers.

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Promo : iPhone 16 à 712 € (-250 €), iPhone 16 Pro à 958 € (-270 €)

Les tarifs des iPhone 16 et 16 Pro en 128 Go ont repiqué du nez chez Amazon Italie et la remise est de l'ordre de 22 %. Ainsi, l'iPhone 16 est à 719 € (en vert, blanc et rose) qui se transforment en 712 € une fois recalculée la TVA et appliqués les frais de port pour une livraison entre le 7 et le 9 juillet. En France, Amazon fait au mieux 799 € et Apple est à 969 €. C'est 257 € de moins.

iPhone 16 Pro. Image Apple.

L'iPhone 16 n'a guère de défauts, il a gagné un bouton Action pour associer à une app, un raccourci ou une fonction et il dispose du bouton de commande de l'appareil photo, comme sur les Pro.

Même traitement pour l'iPhone 16 Pro dans tous ses coloris. Les 969 € deviennent 958 € avec les mêmes dates de livraison en France. Chez Amazon France ce sera 1 075 € au minimum (pour 1 229 € prix Apple), soit une économie de 271 €.

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L’iPhone redécolle en Chine, le Mac cartonne aux États-Unis : Apple souffle un peu avant les trimestriels le 31

C’est le 31 juillet qu’Apple publiera ses résultats financiers pour le compte du troisième trimestre 2025. Devant naviguer à vue dans un contexte international pour le moins complexe, Tim Cook a reçu quelques indicateurs qui ont pu, pendant un certain temps, lui redonner le sourire.

L’iPhone repart enfin de l’avant en Chine

À vrai dire, on avait fini par ne plus y croire, surtout dans le contexte actuel, mais, pour la première fois depuis deux ans, les ventes d’iPhone sont reparties de l’avant en Chine. D’après Counterpoint Research, les ventes de smartphones d’Apple ont progressé de 8 % entre avril et juin. Le directeur associé de Counterpoint Research, Ethan Qi, explique que cette résurgence est liée en grande partie au réajustement tarifaire initié par Apple une semaine avant le 618 Shopping Festival, une grande grande fête commerciale qui se déroule chaque année autour du 18 juin. De manière générale, Apple a été plus agressive sur le plan commercial, notamment avec l’iPhone 16. Ce qui au passage fait parfois le bonheur de certaines places de marché qui n’hésitent pas à importer ces modèles et à les vendre avec d’importantes réductions en Europe.

Apple Store de Jing’an à Shanghai le 31 mars. Crédit : Apple
Apple Store de Jing’an à Shanghai le 31 mars. Crédit : Apple

Le Mac est à la fête aux États-Unis

Si l’iPhone traverse une période difficile, le Mac, lui, est en pleine forme. Tout comme l’iPad, les ordinateurs d’Apple connaissent depuis plusieurs trimestres une période faste.

Au premier trimestre 2025, les ventes de Mac ont bondi de 28,7 % selon Canalys. Avec 2,7 millions de machines vendues, Apple est le quatrième constructeur aux États-Unis, dernière HP, Dell et Lenovo. La part de marché d’Apple est passée en un an de 14,2 % à 16 %. Apple croît quasiment deux fois plus vite que le marché.

La question concernant le marché américain est de savoir si Apple a constitué d’importants stocks avant le début de la guerre commerciale ou si elle profite grandement de la fin annoncée de Windows 10. En théorie, c’est le 14 octobre que Redmond cessera la prise en charge de son logiciel système. Dans de nombreux cas, le passage à Windows 11 nécessite de changer de machines. De nombreux clients, que ce soit dans le grand public ou dans le monde de l’entreprise, pourraient être tentés de switcher.

Dans un an, le 14 octobre 2025, Microsoft abandonnera Windows 10 : attention aux Mac Intel

Dans un an, le 14 octobre 2025, Microsoft abandonnera Windows 10 : attention aux Mac Intel

Ces différents indicateurs, ainsi que les rumeurs relatives à un intérêt d’Apple concernant Perplexity, ont permis au cours de l’action de repartir de l’avant : +5 % en une semaine, mais Apple enregistre une baisse de 12 % depuis le premier janvier. Parmi les « sept magnifiques », seuls Apple et Tesla sont dans le rouge cette année. Pendant ce temps, Nvidia continue d’avoir le vent en poupe et pourrait être la première société à dépasser prochainement le cap des 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière !

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Refurb : l’Apple TV 4K est de retour à 139 €

L’Apple TV 4K de la dernière génération est réapparue parmi les produits reconditionnés d’Apple. Le modèle 64 Go est toujours vendu 139 € et celui de 128 Go est à 159 €.

Il s’agit à chaque fois d’une réduction de 30 € sur le neuf. Cela reste intéressant, car l’Apple TV est assez peu en promotion et elle ne descend pas à ce niveau. Amazon vend les deux modèles à respectivement 163 € et 184 €. Sa présence sur le refurb est tout aussi aléatoire.

Apple TV 4K de 3e génération (2022). Image iGeneration.

En plus d’avoir le double de stockage, le modèle à 159 € dispose d'un port Ethernet et d’une compatibilité avec la technologie Thread. Si votre connexion Wi-Fi n’est pas terrible ou que vous avez des objets connectés récents, il faut aller vers ce modèle.

L’Apple TV 4K de 3e génération (sortie en 2022) est dotée d’une puce A15, d’une sortie HDMI 2.1 et du Wi-Fi 6. Elle est accompagnée par la télécommande USB-C en métal qui a remplacé le modèle Lightning plus fin, avec une surface en verre.

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Apple a creusé l’idée de proposer des services de cloud computing aux développeurs pour concurrencer AWS

Azure, AWS, ou encore GCP : ces noms sont pour la plupart inconnus du grand public, et pourtant, ils sont la colonne vertébrale de nombre d’apps utilisées tous les jours par des millions de personnes. Si la plupart de ces services sont hébergés sur des serveurs mêlant processeurs Intel ou maison avec des cartes spécialisées créées par Nvidia, Apple a pensé (et pense encore ?) pouvoir tirer son épingle du jeu, grâce à ses propres puces.

Le projet ACDC... voilà qui sonne bien. Image AC/DC.

C’est The Information qui a mis la main sur le projet, nommé ACDC en interne (pour Apple Chips in Data Centers) : jusqu’à présent, l’usage du cloud par les développeurs se bornait à avoir besoin de capacités de stockage confortables et d’une bande passante plus que large. Mais les besoins changent, et de plus en plus d’apps font appel au cloud pour des calculs en rapport avec l’IA. Et ça tombe bien : si Nvidia vient directement en tête pour ses monstres de puissance dédiés à l’IA, Apple n’est pas en reste, développant ses puces maison depuis 2010, et le Neural Engine intégré à celles-ci depuis 2017.

Dans le domaine, Apple est plutôt bien équipée pour venir croiser le fer avec les meilleurs du domaine : le nerf de la guerre dans les data centers, c’est l’efficience, domaine dans lequel les puces Apple sont loin d’être à la traîne. Au point que certaines start-up spécialisées utilisent des ordinateurs de la pomme pour effectuer des travaux dédiés à l’IA, comme Dragonfruit.ai, qui emploie des Mac mini sur de la reconnaissance d’objets, d’intrusion ou de vols à partir des flux des caméras de surveillance de boutiques et autres entrepôts. Amit Kumar, CEO de l’entreprise, ne cache pas son intérêt pour les SoC d’Apple :

Apple fait du calcul d’IA dans ses SoC depuis plus longtemps que n’importe qui. Quand Nvidia ne pensait encore qu’aux jeux vidéos, Apple était déjà en train de faire des calculs d’intelligence artificielle.

Pourtant, étrangement, Apple loue encore maintenant les serveurs de ses concurrents pour entraîner son IA, notamment chez Amazon et Google, où elle débourse 7 milliards de dollars par an. Pourquoi louer, alors qu’elle pourrait tout faire en interne ? Selon The Information, l’entraînement de l’IA étant la partie la plus gourmande dans la création de celle-ci, Apple n’a pas envie d’investir dans un nombre conséquent de NPU Nvidia pour qu’ils lui restent ensuite sur les bras, d’autant plus si elle compte utiliser sa propre architecture plus tard.

En interne, les développeurs utilisent des serveurs équipés de puces maison pour tester des services comme Photos, Apple Music, et bien entendu Siri, qui a été le premier à tourner sur les serveurs made in Cupertino. La pomme a aussi fait ses preuves avec des charges au nombre élevé de transactions, ses propres serveurs gérant les échanges d’Apple Wallet.

Apple a donc largement les capacités de proposer des services de cloud computing, ne serait-ce que grâce à la puissance de ses derniers processeurs. Cependant, le projet serait mis en péril par le départ de son créateur et défenseur, Michael Abbott. Ce dernier, responsable Cloud Engineering depuis 2018, est parti en 2023 et était l’instigateur de cette idée.

Depuis, plus rien ne transpire sur cette ambition de services de cloud computing. Mais le marché étant en pleine expansion, comme le montrent des services comme Google Cloud qui a rapporté 42,3 milliards de dollars à Alphabet en 2024, il serait dommage pour la pomme de laisser passer une telle possibilité...

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Apple sort des fonds d’écran aux couleurs de son nouvel Apple Store à Osaka

Les ouvertures d’Apple Store sont devenues rares, et celles amenant de nouveaux fonds d’écran de la part de la pomme encore plus. Raison de plus pour nous réjouir de l’ouverture du nouvel Apple Store d’Umeda, à Osaka.

Ouvrant dans un grand centre commercial au pied de la gare d’Osaka, le « Grand Front Osaka », il fera partie d’un ensemble de boutiques, restaurants et autres enseignes comme le Japon en a l’habitude près des grandes gares.

Ce nouvel Apple Store fait partie d’un plan plus large d’Apple consistant à redynamiser ses enseignes, en prévoyant d’ouvrir ou de moderniser 50 adresses d’ici 2027.

Le fond d’écran est prévu pour iPhone, iPad et Mac.

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Guerre commerciale : les produits fabriqués au Vietnam voient leur taxe multipliée par cinq

Alors que les différentes guerres bien réelles ont éclipsé le sujet de la guerre commerciale engagée par Donald Trump contre le reste du monde, les discussions ne se sont pas arrêtées pour autant. Et si produire en Chine promet de faire monter les taxes à un niveau stratosphérique, certains comme Apple pensaient s’en sortir en partant au Vietnam... mauvaise pioche.

L’usine Foxconn au Vietnam. Image Foxconn.

C’est AppleInsider qui fait le tour de la question, et rappelle quels produits Apple sont fabriqués au moins en partie au Vietnam :

  • les AirPods
  • les Apple Watch
  • les iPad
  • les Mac mini
  • les MacBook Pro

Si toute la production ne vient pas du pays pour chacun de ces produits, loin de là, la proportion devant ensuite arriver aux USA est loin d’être négligeable, et les nouveaux tarifs « négociés » avec Donald Trump sont une mauvaise nouvelle : jusqu’à maintenant, Apple payait environ 4 % de taxes d’importation sur les produits venant du Vietnam. La barre est maintenant à 20 %.

Si la taxe est multipliée par plus de cinq fois son montant initial, les choses auraient pu être pires pour Cupertino : certains produits qui ne font que transiter pour emballage ou autres modifications au Vietnam avant d’être envoyés aux USA se verront adjoindre une taxe de 40 % ! En retour, les produits US envoyés au Vietnam pourront passer comme une lettre à la poste, le pays ayant accepté le chiffre de 0 % pour les produits venant de l’Oncle Sam.

Petit à petit, les chiffres finaux arrivent pour les nouvelles taxes d’importation négociées dans cette guerre commerciale. Et comme c’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses, Tim Cook a dû sortir son boulier, qui doit bien surchauffer.

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Disney+ débarque sur la Freebox Révolution et Free offre six mois d'abonnement

Free vient (enfin) de proposer Disney+ sur la Freebox Révolution, un boîtier TV qui a près de 15 ans. Pour se faire pardonner l'attente pour les abonnés qui possèdent encore ce boîtier multimédia, Free en profite pour offrir six mois d'abonnement au service de streaming. C'est — comme chez Orange récemment — l'offre avec publicité qui est de la partie, un abonnement proposé pour 6 € par mois. Cette promotion est accessible dans votre espace abonné Freebox.

Six mois gratuits. Image Univers Freebox.

Par ailleurs, si la Freebox Révolution n'est pas la plus récente des Freebox, elle est encore proposée aux abonnés. Free vient même de mettre en avant une promotion intéressante, avec un an d'abonnement à 20 €/mois. Une offre intéressante par rapport à d'autres si vous avez besoin (ou envie) de l'accès à la télévision : les offres de Bouygues Telecom ou SFR dans la même gamme de prix se contentent d'une connexion à Internet.

Free propose un an de fibre optique à 19,99 € par mois avec la Freebox Revolution Light

Free propose un an de fibre optique à 19,99 € par mois avec la Freebox Revolution Light

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Le SOS d'urgence par satellite a sauvé un alpiniste aux États-Unis

La fonction SOS d'urgence par satellite d'Apple, apparue avec les iPhone 14, sauve des vies. L'exemple qui a été mis en avant dans les médias récemment devrait d'ailleurs probablement se retrouver dans un futur keynote, étant donné qu'Apple adore montrer que ses technologies peuvent aider les gens.

La montagne Snowmass, postée sur Instagram.

C'est la police du comté de Pitkin qui communique sur le sujet : un alpiniste de 53 ans qui descendait la montagne Snowmass s'est blessé au poignet et s'est retrouvé bloqué à environ 3 350 mètres d'altitude, près du lac Snowmass. La technologie d'Apple lui a permis d'appeler les secours dans une région où la téléphonie mobile traditionnelle ne fonctionne pas. Le communiqué de la police (sur Instagram) insiste sur le fait que la technologie peut vous aider et qu'il ne faut pas hésiter à l'employer : elle permet au MRA (Moutain Rescue Aspen) d'accélérer les recherches.

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Une extension Chrome et Firefox désactive le doublage par IA de YouTube

Depuis quelques mois, YouTube tend à traduire automatiquement les titres des vidéos dans la langue de l'utilisateur, mais aussi de traduire automatiquement le contenu des vidéos, avec dans de nombreux cas de l'audio généré par une intelligence artificielle1. Si ce comportement vous énerve et que vous utilisez Firefox ou Chrome, il existe une extension : YouTube No Translation.

Un exemple de titres de vidéos traduits automatiquement. Image iGeneration.

Elle effectue quatre opérations sur les vidéos. La première est de garder le titre original, sans afficher la traduction automatique. La seconde est d'empêcher la traduction de la description. La troisième va forcer la piste audio originale dans tous les cas, pour éviter que YouTube impose une version doublée ou générée par IA. Enfin, elle désactive les sous-titres générés automatiquement et force le cas échéant les sous-titres dans la langue originale de la vidéo, s'ils existent2.

MrBeast est mis en avant sur le site de l'extension, mais ses vidéos ne sont pas traduites par IA.

L'extension est gratuite mais l'auteur propose aux personnes qui apprécient son travail de l'aider... peut-être pour lui demander de développer une version pour Safari.


  1. Certains créateurs de contenu proposent des versions doublées avec des comédiens professionnels, comme le célèbre MrBeast.  ↩︎

  2. Certains créateurs de contenu proposent des sous-titres, avec parfois de petites blagues ou des traductions adaptées.  ↩︎

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L’iPhone 17 Pro Max pourrait avoir une grosse batterie de 5 000 mAh

La capacité de la batterie de l’iPhone 17 Pro Max pourrait déjà avoir fuité. L'utilisateur de Weibo Instant Digital a publié un post dans lequel il avance quelques prédictions. Selon lui, l’iPhone 17 Pro Max aurait une batterie d’environ 5 000 mAh. Si cela est vrai, il s’agirait de la plus grosse batterie jamais vue dans un iPhone.

Un iPhone 16 Pro Max. Image iGeneration

Dans sa publication, le fuiteur rappelle la capacité des batteries des modèles Pro Max, en partant du 11 jusqu'à la série 17. L’actuel 16 Pro Max a une batterie de 4 685 mAh pour une autonomie de 33 heures selon Apple. Le passage à 5 000 mAh pourrait permettre d’approcher les 35 heures, et peut-être même plus si la future puce A19 Pro se révélait plus économe. Reste à voir si l’optimisation d’iOS 26 sera suffisante, la mise à jour apportant de gros changements visuels probablement plus gourmands.

Instant Digital a eu quelques bons tuyaux par le passé : il avait vu arriver l’écran nanotexturé sur les iPad Pro, l’iPhone 14 jaune ou donné des détails sur l’Apple Watch Series 9. On l’a en revanche vu se planter sur les nouveautés d’iOS 17 ou la date de lancement d’un iPad Air en 2023. Les informations restent donc à prendre avec des pincettes.

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Amazon Prime Video accueille la plateforme france.tv

Visiblement, la bataille entre les chaînes de télévision française se déplace dans le monde du streaming : Netflix a annoncé récemment que le service va accueillir les contenus de TF1… et ceux de france.tv vont se retrouver sur Amazon Prime Video1.

L'intégration est bien mise en avant. Image iGeneration.

L'intégration est disponible dès aujourd'hui, et elle va permettre aux abonnés du service américain de retrouver les contenus de france.tv (Un Si Grand Soleil, Drag Race France, etc.) sur la page d'accueil du service. Il est aussi possible d'accéder au replay des chaînes, et même de profiter de France 2, France 3, France 4, France et franceinfo en direct. Les amateurs de sport seront aussi ravis, avec l'Euro de football féminin ou le Tour de France.

Quelques exemples de contenus. Image iGeneration.

L'intégration de france.tv est proche de celle d'autres services dans le service d'Amazon : vous allez devoir vous abonner au service, mais sans devoir payer. Ensuite, les contenus français seront proposés sur la page d'accueil, lors de vos recherches, etc. L'intérêt pour france.tv est évidemment de toucher plus de personnes, notamment les générations qui ont abandonné la télévision linéaire, ce que la moyenne d'âge des téléspectateurs de chaînes comme France 2 (plus de 62 ans) montre bien.

Il faut s'abonner (gratuitement) au service. Image iGeneration.
Netflix va diffuser les séries, émissions et rencontres sportives de TF1

Netflix va diffuser les séries, émissions et rencontres sportives de TF1


  1. À vous de décider où vont aller ceux du groupe M6.  ↩︎

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Le générateur de vidéos Veo 3 est désormais disponible en France dans l’application Gemini

Présenté lors du Google I/O du mois de mai, le générateur de vidéo Veo 3 est désormais disponible en France. Celui-ci permet de créer des vidéos de 8 secondes à partir d’une description textuelle. Le modèle a un temps d’avance sur le Sora d’OpenAI étant donné qu’il peut également créer une bande-son pour la vidéo (musiques, dialogues…). Le service est accessible dans l'application Gemini pour les abonnés à Google AI Pro (21,99 € par mois), sachant que le premier mois est offert afin d’essayer le service.

Veo 3 permet de créer des vidéos réalistes au rendu assez impressionnant. L’intégration dans l’app Gemini est simple : il suffit de lancer Gemini sur iOS et de choisir le modèle vidéo dans la liste. Ne reste plus qu’à décrire ce que l’on veut avant de l’envoyer à l’assistant. Les abonnés ont également accès à Veo 3 Fast, une version allégée plus rapide, mais plus limitée. Notons que chaque vidéo embarque le filigrane invisible SynthID, certifiant son aspect artificiel.

Si vous êtes intéressés, rappelons que le service est limité à 3 vidéos par jour avec le forfait AI Pro. Il donne aussi accès à NotebookLM, qui peut générer des podcasts à partir de documents. L’offre ajoute Gemini dans différentes applications Google, comme Gmail ou Docs. 2 To de stockage dans le nuage sont inclus. Ceux voulant générer des vidéos sans restrictions de nombre devront opter pour la formule Google AI Ultra à 274,99 €/mois.

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Starlink pourrait amener un Wi-Fi plus rapide et plus fiable dans les TGV

Si les trains à grande vitesse proposent du Wi-Fi depuis quelques années, la qualité de la connexion est au mieux moyenne : la SNCF emploie essentiellement des connexions 4G et 5G (sauf dans les gares, qui peuvent dans certains cas profiter d'une connexion fixe). Selon La Lettre, la SNCF prévoirait de passer sur une connexion satellite, avec un appel d'offres prévu en 2025. Les deux fournisseurs principaux seraient OneWeb et Starlink, mais la société d'Elon Musk a un avantage évident dans ce domaine.

L'opérateur Clarus utilise déjà Starlink. Image Clarus.

OneWeb et Starlink proposent une connexion à Internet accessible sur la majorité du territoire, avec une latence correcte et des performances suffisantes pour un TGV, pour peu que plusieurs antennes soient installées — cet article du Parisien indique que cinq à six antennes suffiraient pour tous les passagers d'un TGV —. Les deux solutions devraient permettre d'obtenir des performances nettement plus élevées que les connexions cellulaires… mais surtout plus fiables.

Si OneWeb est une société française (elle fait partie du groupe Eutelsat), elle part avec un problème : la constellation compte moins de satellites (environ 600) et ils sont en orbite à une altitude plus élevée (environ 1 200 km). Ce sont deux problèmes face à la solution de SpaceX, qui a une constellation bien plus dense (plus de 7 000 satellites) à des altitudes plus faibles. Selon BFM TV, il n'y aurait pas de préférence nationale dans ce domaine. Et sur le plan purement technique, Starlink est a priori un meilleur choix actuellement.

Pour le moment, l'appel d'offres n'a pas encore été lancé, et aucune décision n'est officiellement à l'ordre du jour : il faudra donc encore attendre un peu pour obtenir une connexion Wi-Fi fiable dans un TGV.

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Les identifiants d’une quinzaine de futurs Mac en fuite

Apple a un paquet de Mac en préparation, et si rien n’a été présenté officiellement, une nouvelle fuite permet de se faire une idée de ce qui nous attend dans les mois à venir. AppleInsider affirme avoir obtenu des informations de proches de Cupertino ainsi que les identifiants d’une quinzaine de Mac qui arriveront d’ici 2026. Un nouveau Mac Pro est visiblement au programme, tout comme deux configurations inconnues qui pourraient bien correspondre à un nouveau modèle d’entrée de gamme.

Image MacGeneration

Apple a un rythme de sorties plutôt bien calibré depuis quelques années, et certaines annonces sont logiques. Vous ne serez par exemple pas surpris d’apprendre qu’Apple va mettre à jour ses MacBook Pro à l’automne, tout comme l’année dernière et l’année précédente. Selon les informations d’AppleInsider, la machine serait toujours disponible en déclinaisons 14" et 16", avec à chaque fois une puce M5 Pro ou M5 Max. Les numéros quasi-identiques laissent à penser qu’il n’y aura pas de gros changements cette année en terme de design. D'autres rumeurs voient venir un modèle M5 à la même période.

Apple testerait un Mac mini M5 Pro (J873s). Aucun modèle M5 n’a été repéré, mais il serait très étonnant que Cupertino ne sorte qu’une déclinaison haut de gamme. Un autre Mac porte comme identifiant J833ct : il semble s’agir d’une version revue de l’iMac 24". La version M3 avait comme numéro J433, ce qui peut mener sur cette piste.

Apple n’a pas oublié les Mac haut de gamme et préparerait un nouveau Mac Pro à l’identifiant J704. La machine n’a pas été mise à jour depuis 2023 et se base actuellement sur une puce de la génération M2. Les bruits de couloirs le voyaient sortir avant la fin de 2025. Si on ne sait pas quelle puce il embarquera (une nouvelle M5 Ultra ?), on s’attend tout de même à un gros gain de performance.

Deux Mac Studio seraient en développement, à savoir J775c et J775d. Ce duo d’identifiants représenterait les deux configurations différentes. Un MacBook Air M5 devrait ensuite arriver en 2026. Selon AppleInsider, la machine aurait pour identifiants J813 et J815. On peut donc imaginer que les deux tailles de 13" et 15" n’évolueront pas.

Image MacGeneration

Tout cela est très classique, et les gros changements arriveraient plutôt fin 2026. Les rumeurs voient depuis longtemps venir un redesign du MacBook Pro. Les bruits de couloir affirment que la machine passerait à l’OLED et qu’elle disposerait d’un design plus fin et plus léger. D’autres estiment qu’il pourrait s’agir de modèles avec une connectivité cellulaire. Les sources d’AppleInsider semblent montrer qu’Apple restera cependant sur sa gamme traditionnelle au niveau des configurations :

  • K114c - MacBook Pro 14 pouces avec puce M6 Max
  • K114s - MacBook Pro 14 pouces avec puce M6 Pro
  • K116c - MacBook Pro 16 pouces avec puce M6 Max
  • K116s - MacBook Pro 16 pouces avec puce M6 Pro

Terminons en notant deux configurations inconnues, J804 et J700. Si le premier pourrait être un autre Mac Pro ou un MacBook Pro d’entrée de gamme, on ne sait pas trop à quoi correspond le second. Un fournisseur d’Apple a récemment évoqué un potentiel modèle avec une puce d’iPhone, que certains voient comme une version revue du MacBook Retina de 2015. Les rumeurs devraient préciser tout cela à l’approche de 2026. Une chose est sûre, on ne manquera pas de Mac sur les mois qui viennent.

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L'utilitaire pour faire tourner des LLM en local Ollama devient une application native

Grosse mise à jour pour l’application Ollama, qui permet de faire tourner un modèle de langage en local. Celle-ci s’occupe de préparer un serveur local avant de récupérer des modèles optimisés pour les ordinateurs grand public. Elle vient de passer en version 0.9.5, qui lui apporte une cure minceur en plus d’une connectivité réseau.

Installation d’Ollama, avec la fenêtre de réglages en arrière-plan.

Ollama est désormais une application native pour macOS, et ça se sent : on passe de 452 Mo à 115 Mo, et les temps de chargements sont réduits. L’app a également gagné une petite interface graphique pour les réglages, permettant de changer le dossier dans lequel sont sauvegardés les modèles. Pratique pour les garder sur un disque dur externe, ou simplement dans un autre endroit que le répertoire par défaut. Attention toutefois, car le gros de l’utilisation continue de passer par le terminal, comme nous l’avions expliqué dans notre guide :

Comment faire tourner DeepSeek-R1 (ou un autre LLM) sur votre Mac

Comment faire tourner DeepSeek-R1 (ou un autre LLM) sur votre Mac

Enfin, l’app s’ouvre à Internet et permet désormais d’exécuter un modèle sur un Mac avant d’y accéder depuis un autre appareil. On pourra par exemple faire tourner un LLM sur son Mac Studio constamment allumé, puis l’interroger depuis un simple MacBook Air en déplacement. Ollama est disponible sur macOS, Windows et Linux. Vous pouvez trouver plus d’informations sur son fonctionnement sur la page Github du projet.

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Apple rejoint discrètement Threads, le dernier réseau social de Meta

Apple est présente sur un réseau social supplémentaire : Threads. Au cas où vous l’auriez oublié, il s’agit du réseau lancé il y a deux ans par Meta pour concurrencer frontalement Twitter, transformé depuis en X par Elon Musk. Bien qu’elle n’ait encore rien publié sur Threads, Apple compte déjà 4,8 millions d’abonnés grâce à tous ceux qui la suivent déjà sur Instagram (les deux services sont fortement liés).

Ce réseau vient par ailleurs de gagner une fonction révolutionnaire : les messages privés. On peut maintenant envoyer des messages à ses followers Threads ainsi qu’à ceux sur Instagram ayant au moins 18 ans. Meta pourrait assouplir ces conditions au fil du temps.

Si vous avez rouvert Threads pour l’occasion, sachez que vous pouvez y retrouver MacGeneration. Nous relayons également nos articles sur X, Bluesky, Facebook et Mastodon, où nous avons même notre propre instance.

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Lexar lance un SSD MagSafe pour iPhone… bridé par les iPhone

Lexar vient d'annoncer un nouveau modèle de SSD externe MagSafe, l'ES5. C'est un SSD externe compact (la marque ne donne pas ses mensurations) qui se connecte en USB-C mais peut se fixer sur le dos d'un iPhone en MagSafe… ou d'un MacBook Pro selon la marque (avec une plaque qui se colle a priori sur la coque). Comme de nombreux SSD externes modernes, il résiste aux chutes (jusqu'à 3 mètres de hauteur) et est IP65, c'est-à-dire qu'il empêche la poussière de rentrer dans le SSD et peut être arrosé. Ce n'est pas réellement nécessaire avec les SSD, qui résistent bien aux éléments par défaut, mais les maladroits apprécieront.

Le SSD sur un iPhone. Image Lexar.

Le SSD externe est compatible USB 3.2 Gen 2x2, il peut donc atteindre 20 Gb/s (à peu près 2 Go/s en pratique)… si vous le branchez à un PC. Apple, dans ses systèmes sur puce, ne prend en effet pas en charge cette norme. Sur un iPhone 15 ou 16 Pro, un iPad ou un Mac, il sera limité à 10 Gb/s (environ 1 Go/s). Attention aussi à un point, les iPhone 15 et 16 possèdent une prise USB-C limitée à l'USB 2.0, soit 0,48 Gb/s (vers 35 Mo/s dans le meilleur des cas), comme certains iPad.

Vous aurez besoin d'une plaque pour l'accrocher à un Mac. Image Lexar.

Le SSD est livré avec un câble USB-C court, qui peut être fixé sur le SSD pour faire office de lanière, une idée intéressante. Le prix de ce SSD est de 150 € pour la version de 1 To et de 220 € pour celle de 2 To. Un tarif un peu plus élevé que la moyenne pour un SSD externe, qui peut se justifier par la compatibilité avec l'USB-C à 20 Gb/s (inutile si vous avez du matériel Apple) et l'aimant intégré.

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iPhone 17 Pro : changement en vue pour les aimants du MagSafe ?

Apple pourrait bien apporter du changement à son système d’aimants MagSafe sur le prochain iPhone Pro : les aimants ne formeraient plus un rond complet à l’arrière. Le parfois bien renseigné fuiteur Majin Bu a partagé aujourd’hui une photo de cette nouvelle disposition, qui devrait être exclusive aux iPhone 17 Pro. Ce serait la première fois qu'Apple change la forme des aimants du MagSafe depuis son arrivée avec l’iPhone 12.

New iPhone 17 Pro Magsafe Magnets

Full Article:https://t.co/72MLPOYWsD pic.twitter.com/4s33TCm9Xy

— Majin Bu (@MajinBuOfficial) July 2, 2025

Apple a visiblement prévu un gros changement de design pour l’iPhone 17 Pro, avec un bloc photo s’étendant sur toute la longueur à la manière des Pixels de Google. L’emplacement du logo devrait être abaissé pour un résultat plus esthétique… mais ne serait alors plus centré dans une potentielle coque MagSafe transparente. Apple aurait donc décidé de revoir la disposition des aimants avec un cercle ouvert laissant apparaître la fameuse pomme.

Apple aurait prévu de déplacer sa pomme au dos de l’iPhone 17 Pro

Apple aurait prévu de déplacer sa pomme au dos de l’iPhone 17 Pro

Cette nouvelle place ne devrait pas amener un grand changement pour l’utilisateur. Selon les sources spécialisées dans la fabrication d’étui de Majin Bu, les accessoires MagSafe existants resteront compatibles avec les iPhone 17 Pro malgré ce cercle plus ouvert. Il ne s’agirait donc que d’un changement purement esthétique, sans amélioration pratique. Le mystère sera levé en septembre, à l’occasion de la présentation des nouveaux téléphones.

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NimDoor : des hackers nord-coréens ciblent des entreprises de crypto via le Mac

Les chercheurs de SentinelLABS ont identifié un nouveau malware sophistiqué lié à la Corée du Nord qui s’en prend au Mac. Vous n’avez pas trop de crainte à avoir dans l’immédiat, sauf si vous travaillez dans le fabuleux monde des cryptomonnaies.

NimDoor, le nom donné à ce logiciel malveillant, cible en effet spécifiquement des entreprises opérant dans ce domaine. Les hackers affiliés à la Corée du Nord cherchent à exfiltrer des données sensibles (éléments du Trousseau d’accès, historique de navigation…), sans doute dans le but de récupérer des cryptomonnaies sonnantes et trébuchantes à la fin.

La fausse mise à jour de Zoom servant à démarrer l’attaque. Notez la faute « Zook SDK Update ». Image SentinelLABS.

L’attaque comporte plusieurs étapes. Les hackers commencent par se faire passer pour un contact de confiance de la cible sur Telegram et l’incite à planifier un appel Zoom via Calendly, un service qui permet de programmer des visioconférences. La victime reçoit ensuite un email d’hameçonnage dirigeant vers une fausse mise à jour de Zoom comprenant des scripts pernicieux.

Une fois exécutés, les scripts vont télécharger le malware, qui utilise de nouvelles ruses pour s’arroger des droits redoutables sur la machine infectée. Même après un redémarrage ou une interruption manuelle de la part de l’utilisateur, NimDoor peut continuer ses activités criminelles.

Pour se tenir à l’écart de ce logiciel malveillant, la première précaution à prendre est, comme souvent, de ne pas cliquer sur n’importe quel lien. Pour mettre à jour Zoom et vos autres applications, tenez-vous-en aux processus de mises à jour automatiques et aux sites officiels des éditeurs. Il est aussi important de tenir à jour votre version de macOS autant que possible, car Apple comble régulièrement des failles de sécurité.

Apple fait une nouvelle mise à jour de son antimalware XProtect

Apple fait une nouvelle mise à jour de son antimalware XProtect

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Microsoft Office 2021 pour Mac à 49,99 € : une aubaine à ne pas rater pendant les soldes d’été

C’est une rareté dans l’univers logiciel : un outil vieux de plus de 30 ans qui reste indispensable.

Pendant les soldes d’été 2025, Godeal24 casse les prix sur Microsoft Office, avec des licences à vie à partir de 15,29 €. Oui, à vie.

Il y a des logiciels qui traversent les décennies sans perdre leur pertinence. Microsoft Office fait partie de ceux-là. Word, Excel, PowerPoint, Outlook… des incontournables aussi bien pour les pros que pour les étudiants.

Et pour une fois, pas besoin d’abonnement : la suite Microsoft Office Home & Business 2021 pour Mac est proposée à 49,99 € au lieu de 249 €, avec licence définitive.

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Une licence à vie, sans abonnement ni cloud imposé

Avec cette offre, vous obtenez Word, Excel, PowerPoint, Outlook, OneNote et même Teams (en version de base), à installer sur un seul Mac. L’idéal pour les travailleurs indépendants, les étudiants ou les petites structures. Aucun abonnement, aucune connexion permanente requise.

Configuration requise : macOS 13 minimum, 4 Go de RAM, 10 Go de stockage disponible.

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Si vous voulez bénéficier des nouveautés comme l’IA Copilot ou des outils de design assisté dans PowerPoint, optez pour les dernières versions :

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Synology fait encore plus fort qu’Apple sur les prix des SSD

Vous trouvez qu’Apple abuse sur les prix des SSD des Mac ? Vous n’avez pas encore vu ceux de Synology. Le fabricant de NAS vient de commercialiser des SSD NVMe M.2 « Série Entreprise » à des tarifs démentiels.

Par exemple, le SNV5420-1600G, qui a une capacité de 1,6 To, est vendu en direct 636 €, voire plus cher encore chez des revendeurs. Or, un SSD de ce type coûte normalement une centaine d’euros. Le pire, c’est que les modèles de Synology ne sont même pas plus rapides que les autres. En fait, avec une vitesse de lecture séquentielle allant jusqu’à 3 Go/s, ils sont même plus lents.

Image Synology/MacGeneration

Pourquoi la marque taïwanaise ose un tel tarif déconnecté du marché ? Parce qu’elle compte sur son programme de certification pour pousser ses clients vers ses produits. Pour rappel, elle a récemment décidé d’imposer une liste exclusive de disques durs pris en charge par ses nouveaux NAS, au prétexte d’assurer le bon fonctionnement de l’ensemble.

Pour les SSD, il y a une nuance importante, indiquée dans la documentation :

Pour les HDD, la compatibilité est limitée à des modèles spécifiques pour garantir une fiabilité et des performances optimales. En revanche, aucune limitation de ce type n'est appliquée aux SSD, offrant aux utilisateurs la flexibilité de choisir des options tierces, avec une transparence assurée par des messages d'avertissement.

Autrement dit, les SSD Synology ne sont pas obligatoires. Cela étant, le fabricant ajoute sur la même page que « seuls les SSD de qualité entreprise figurent sur la liste [de compatibilité], ce qui offre aux utilisateurs la flexibilité de choisir des SSD tiers sans être limités aux options disponibles. »

Si tous les SSD sont compatibles, Synology met donc seulement en avant les siens, qui sont vendus à prix d’or. De plus, le fabricant dédaigne fournir une assistance technique si le SSD employé ne figure pas dans la fameuse liste. Synology affirme être ouvert à l’ajout d’autres marques à cette liste, mais à ce jour, seuls ses propres SSD y figurent.

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iOS 26 simplifie la connexion aux portails du Wi-Fi des hôtels ou des cafés

iOS et iPadOS 26 vont simplifier la vie des baroudeurs. Max Weinbach a remarqué que les informations entrées sur les portails des Wi-Fi publics étaient désormais synchronisées entre les iPhone et les iPad. Une nouvelle suggestion apparaît sur le clavier, invitant à remplir automatiquement les formulaires en se basant sur les données de l’autre appareil.

Oh cool iOS and iPadOS 26 synced the WiFi details from my iPad to my iPhone to connect to the WiFi pic.twitter.com/eGxkPRlTMa

— Max Weinbach (@MaxWinebach) June 30, 2025

Ce type de portail se retrouve généralement dans les cafés, les aéroports ou les hôtels. Ici, Max Weinbach a vu son iPhone lui proposer de compléter les informations précédemment entrées sur son iPad alors qu’il était à l’hôtel. Mark Gurman avait prédit l’arrivée de cette fonction en mai dernier, mais elle n’avait pas été mentionnée lors de la WWDC. De ce que nous avons vu, la nouveauté n’était pas activée sur la première bêta publique. Notons qu’elle fonctionne également sur les Mac tournant sous macOS 26.

iOS 26 sera disponible pour tous en septembre prochain. La mise à jour apporte principalement l’interface Liquid Glass, mais aussi une app Téléphone revue ou une nouvelle app Jeux. Le système est actuellement en bêta pour les développeurs, mais la première bêta publique ne devrait plus trop tarder de pointer le bout de son nez.

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Flitedeck : un CarPlay Ultra mais pour les vélos de route

Alors qu’Apple semble bien en difficulté pour imposer CarPlay Ultra, on se demande si elle n’aurait pas dû se pencher sur les vélos et proposer BikePlay lorsque l’on voit ce produit. Présenté en début d’année et remis en avant à l’occasion du salon Eurobike qui avait lieu à Francfort la semaine dernière, Flitedeck est un cockpit aux allures futuristes, dont l’ambition est de réinventer le guidon d’un vélo de route.

Vous l’aurez compris, ses deux cofondateurs ne sont pas fans des guidons actuels qui sont bardés d’objets à commencer par un ordinateur de vélo, une sonnette et un feu avant. L’écran tactile de Flitedeck occupe presque toute la surface du cintre. Il fait tout cela, et bien plus encore.

Image : Flite
Image : Flite

Sur son écran, Flitdeck affiche à la fois la navigation, les statistiques en temps réel que l’on trouve sur un ordinateur de vélo, comme les watts, votre cadence de pédalage, la distance parcourue ou votre fréquence cardiaque ainsi qu’un widget affichant la musique ou le podcast que vous écoutez. Le cintre intègre un feu avant et embarque un haut-parleur suffisant puissant pour faire office entre autres de sonnette. Flitdeck dispose également d’une fonction antivol.

Image : Flite
Image : Flite

Ce qui est intéressant dans ce projet, c’est que toute cette technologie n’a qu’un impact relativement limité sur le poids du guidon. Il pèse environ 800 grammes. L’autonomie annoncée est de 30 heures.

Ce projet, en gestation depuis 2019, est quasiment achevé. Les précommandes ont eu lieu cet hiver et les livraisons sont prévues pour le début de l’année prochaine. Toutefois, Ray Maker qui a pu approcher le prototype la semaine dernière, doute de la capacité de la société allemande à tenir les délais tant le prototype présenté semble en chantier. A noter qu’il a pu constater que l’ensemble est composé de trois écrans distincts.

Image : [Ray Maker](https://www.dcrainmaker.com/2025/07/flitedeck-handelbar-cockpit.html)
Image : Ray Maker

Ce projet très prometteur sur le papier soulève également plusieurs questions. Les appareils tactiles peuvent être très pratiques, mais leur utilisation est souvent moins agréable sous la pluie. Et puis, surtout, au lieu de contempler le paysage qui s’offre à nous, il est possible que l’on soit un peu trop attiré par ce si grand écran. Si tout ceci est alléchant, cela a également un prix : 2249 €. Il est disponible dans 24 tailles différentes. À noter que le financement de cette société au moins dans ses débuts est pour le moins assez original. Sa cofondatrice, Sabrina Fischer, dispose d’un compte OnlyFans où elle publie des photos et des vidéos avec sa monture… Cela a permis à cette jeune société de se développer sans perdre d’argent et sans avoir à chasser d’éventuels investisseurs.

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Promo : un switch Ethernet compact à moins de 15 €

Le problème des switchs Ethernet, c’est que cela prend de la place et, esthétiquement, dans un salon… Ugreen propose aujourd’hui en promotion un switch très compact avec seulement deux ports Ethernet Gigabit. L’UGREEN Switch Ethernet 2 Port 1000 Mbps RJ45 est proposé aujourd’hui avec une ristourne de 20% à 14,40 €.

Il n’aura pas sa place dans une baie, mais peut être intéressant dans un endroit où l’on a juste besoin de doubler les connexions Ethernet sans que cela se voie trop, dans un salon, par exemple. Cela peut aussi être intéressant pour les utilisateurs nomades.

Le switch dispose d’une coque en aluminium, de trois voyants réseau et d’un voyant d’alimentation. Au passage, et c’est une bonne chose, l’appareil possède un port USB-C pour son alimentation.

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FaceTime se met en pause sous iOS 26 s’il identifie de la nudité, même entre adultes consentants

FaceTime sous iOS 26 est capable d’identifier de la nudité et d’interrompre automatiquement le flux vidéo. Cela fait partie des nouveautés annoncées par Apple afin de protéger les mineurs, une précision que la bêta actuelle semble avoir oublié. Comme l’a noté @idevicehelpus@x (via 9To5 Mac), le message peut s’afficher sur un appareil, même si la conversation vidéo s’effectue entre adultes consentants.

Image iGeneration, capture d’écran @idevicehelpus@x et photo de fond Paul Magdas.

Le message occupe tout l’écran sur l’appareil de la personne qui affiche son corps de manière prononcée. Il indique que la diffusion de la vidéo et de l’audio a été mise en pause parce que du contenu « sensible » est montré. Un message conseille ensuite d’interrompre l’appel si l’utilisateur ne se sent pas confortable de le poursuivre et on a deux gros boutons, un pour reprendre la conversation normalement, l’autre pour mettre fin à l’appel.

Apple précise bien que l’analyse des images est entièrement réalisée en local, sans intervention d’un serveur distant. Ces premiers retours montrent que la fonctionnalité est en place, même si elle intervient sur des comptes Apple qui ne sont pas configurés comme des enfants, ce qui est probablement un bug de la bêta. On imagine que ce sera corrigé dans une future bêta d’iOS 26.

Notons qu’une option est proposée dans les réglages de FaceTime pour retirer l’affichage des « avertissements de contenu sensible ». Elle n’est pas nouvelle, puisqu’on la trouvait déjà sous iOS 18, et n’a peut-être aucune incidence sur la nouvelle fonctionnalité évoquée ici. Quoi qu’il en soit, elle n’était pas activée sur mon iPhone avec la bêta et on ne sait pas ce qu’il en est pour l’utilisateur qui a publié la capture d’écran. Je n’avais pas d’aubergine sous la main pour vérifier si l’option change quoi que ce soit à l’identification de contenus sensibles par FaceTime.

Cette option dans les réglages de FaceTime pourrait désactiver la nouveauté d’iOS 26, même si elle était déjà présente sous iOS 18. Image iGeneration.
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Autonomie : watchOS 26 anticipe les chutes de batterie

Apple travaille de manière à ce que ses logiciels systèmes surveillent davantage l’évolution de l’autonomie de ses appareils. Avec iOS 26, les iPhone compatibles avec Apple Intelligence, disposent d’un nouveau système de gestion « adaptative ». Si votre consommation est plus élevée qu’à l’accoutumée, cette fonctionnalité de gestion adaptative diminue « légèrement » les performances et la luminosité de l’écran pour préserver l’autonomie.

iOS 26 : Apple met de l’intelligence artificielle dans les batteries

iOS 26 : Apple met de l’intelligence artificielle dans les batteries

watchOS 26 est doté d’une fonctionnalité relativement similaire, mais plus minimaliste, sans doute liée au fait que les montres d’Apple ne sont pas équipées d’Apple Intelligence. Quoi qu’il en soit, comme le note 9to5Mac, si la batterie de votre Apple Watch diminue de manière excessive, vous en serez informés par un message d’alerte vous incitant à passer sur le mode économie d’énergie.

Benjamin Mayo explique que sa montre s’est retrouvée récemment avec 50 % d’autonomie restante à 19 heures. Habituellement, à cette heure de la journée, s’il n’a pas fait de sport, sa montre est plus proche des 75 %. Dans son cas, l’apparition de ce message n’est pas liée à une utilisation particulière de sa montre, mais à la bêta elle-même de watchOS.

Dans la vie de tous les jours, d’autres facteurs peuvent jouer sur l’autonomie de l’Apple Watch, comme une utilisation prolongée de son GPS, de sa puce cellulaire, de son haut-parleur ou encore d’un programme trop gourmand.

Ce qui est intéressant dans son cas, c’est que l’Apple Watch est pro active. Avec 50 % d’autonomie restante, on n’est pas devant le fait accompli et il est encore possible d’adapter son usage en conséquence.

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Pas d’iPad pliable avant longtemps ? Apple mettrait le projet sur pause

Si toutes les rumeurs se matérialisent, l’année scolaire qui s’ouvre en septembre promet d’être incroyablement riche en nouveautés. Apple semble déterminée à accroître considérablement son portefeuille de produits afin d’initier un nouveau cycle de croissance.

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

iPhone Air, Pro et pliable : Apple prépare de grands bouleversements

En 2026, Apple devrait céder aux sirènes des écrans pliables avec un iPhone qui promet d’être vendu à un prix particulièrement salé. Initialement, la firme de Cupertino avait prévu de recourir d’abord à cette technologie pour ses tablettes et ses ordinateurs, mais il semble qu’elle ait changé son fusil d’épaule.

De tels projets continuaient à être développés en parallèle, mais ils auraient été mis en pause si l’on en croit DigiTimes. Le site asiatique affirme qu’Apple retarde le lancement de l’iPad pliable en raison de difficultés de fabrication, de coûts de production élevés pour la technologie d’écran pliable, et d’une demande relativement faible des consommateurs pour les appareils pliables de grande taille.

Concept réalisé à l’aide d’une IA

Ce n’est sans doute que partie remise. Apple pourrait revoir sa décision, notamment si le prix des technologies des écrans pliables venait à baisser. Un iPhone doté d’une telle technologie pourrait y contribuer.

Reste que les rumeurs sur un tel appareil étaient plutôt vagues. Certains évoquaient une tablette équipée d’un écran OLED avec une taille susceptible d’atteindre les 20”. On aimerait bien voir comment iPadOS 26 se comporte avec ses avancées sur un tel appareil. Il était question d’une date de commercialisation, au mieux en 2026, au pire en 2028, mais il va sans doute falloir patienter davantage pour voir un tel appareil arriver sur le marché.

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CD Audio : quand un auteur veut tellement innover que son album se retrouve illisible

Lorde est une artiste Néo-Zélandaise qui a bien réussi à faire son trou dans le milieu pop, depuis son premier album en 2013. Assez poussée sur l’esprit écologique, elle a ainsi décidé que son album Solar Power ne sortirait pas en CD, mais uniquement au format dématérialisé. Si cette promesse n’a pas été tenue jusqu’au bout (une version vinyle étant sortie), la chanteuse a cédé aux demandes des fans pour son dernier album, mais n’a pas voulu faire « comme les autres ».

Image Reddit

Sort alors l’album Virgin, dans un plastique totalement recyclé et recyclable, et sans aluminium dans le « sandwich » qui compose le CD. Et c’est ainsi que commencent les problèmes...

Si les lecteurs optiques sont de plus en plus performants, et arrivent bien souvent à lire des galettes dans des états plus improbables les uns que les autres, il ne faut pas trop en demander non plus. Et Lorde est allée trop loin dans sa demande : de nombreux utilisateurs se plaignent sur Reddit et d’autres forums que le dernier album est impossible à lire dans leur autoradio, leur lecteur CD portable, lecteur de salon... si certains arrivent à lire la galette, ce n’est semble-t-il pas sans erreurs pour autant, l’un d’eux rapportant qu’il a pu ripper le CD, mais au prix de nombreuses erreurs et autres distorsions sonores.

Les presseurs de cette version CD n’ont d’ailleurs pas cherché à faire valider leur création selon le Red Book, le boîtier et le disque lui-même ne mentionnant nul part le réglementaire « Compact Disc Digital Audio ». On se rappellera d’ailleurs des fameux CD audio « anti-copie » qui pullulaient il y a quelques années, et qui eux non plus ne mentionnaient pas le fameux logo, leurs caractéristiques ne respectant pas le format original.

Les artistes cherchent toujours plus à se démarquer, afin de pousser à acheter la version physique de leur album plutôt que de l’écouter en streaming. Si l’innovation a du bon, il serait bien de se rappeler le but premier d’un support audio : être lu dans un maximum de lecteurs...

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Une multiprise avec ports USB bien pratique et compacte pour le bureau

Généralement, sur les bureaux, deux écoles s’affrontent : ceux qui veulent un lieu de travail bien propre, et les fans du plat de spaghettis où la mama n’y retrouverait même pas une boulette.

L’autre souci, c’est l’encombrement des multiprises : entre l’écran, le Mac, le chargeur de piles pour la Magic Mouse (pour ceux qui n’aiment pas les tortues sur le dos), pour l’iPhone, pour le dernier accessoire USB à la mode, la montre, la tablette,... on n’en finit plus.

Heureusement, fini la multiprise aussi longue que le bureau. Vous pouvez trouver maintenant des concentrateurs bien plus agréables à l’œil et plus pratique, comme celui proposé sur Amazon par Kemelo (20,99€), qui combine sur une forme relativement compacte 8 prises 230 volts avec 4 ports USB (maximum 3.4A). Trois de ces ports sont au format USB-A, le dernier en USB-C. Le tout est protégé par un para-surtenseur intégré (ce qui ne sera pas du luxe en ce moment). Qui plus est, si la prise murale est un peu trop loin du bureau (un comble, mais ça arrive), le câble secteur fait 5 mètres, de quoi parcourir la pièce !

Alors au final, dans quelle équipe vous trouvez-vous ? Team maniaque du rangement, ou spaghettis à volonté ?

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Crunchyroll prise la main dans le pot de confiture, en confiant les sous-titres à l’IA

L’intelligence artificielle peut avoir du bon : trouver rapidement des informations sans avoir à parcourir un site complet, résumer un texte,... mais n’en étant qu’à ses balbutiements, elle nécessite d’être surveillée, et son utilisation par une entreprise doit se faire en toute transparence. Deux règles que Crunchyroll a visiblement oubliées.

Pour une boulette, c’est une boulette... Image Crunchyroll.

C’est The Verge qui rapporte le malaise dans lequel le distributeur d’animés en ligne s’est mis, après la diffusion des derniers épisodes de Necronomico et de Cosmic Horror Show : les sous-titres contenaient de nombreuses erreurs dans de multiples langues, que ce soit anglais, allemand ou autres. Jusque là, le souci aurait pu passer pour des traducteurs un peu trop « tête en l’air », le fameux « stagiaire du dimanche ».

Mais quand le texte comprend en ouverture de l’allemand « ChatGPT said: », ou que la fin de l’épisode contient « Translated by: Translator’s name », le doute n’est plus permis.

Que l’industrie du divertissement s’intéresse de plus en plus à l’intelligence artificielle pour ce type d’usage paraît logique : non seulement l’IA peut être bien plus rapide qu’un traducteur en chair et en os, mais en plus... coûtera moins cher (il ne faut pas se faire d’illusions). Reste que dans ce cas, si l’usage d’une IA pour la traduction n’est pas mentionné, le minimum serait au moins de ne pas jurer ses grands dieux qu’on ne l’utilisera pas, comme l’a pourtant fait le patron de Crunchyroll en avril durant une interview donnée à Forbes, indiquant que l’entreprise « ne considère pas utiliser l’IA dans son processus créatif », et insistant sur le fait que l’intelligence artificielle pourrait être utilisée pour des recommandations, la personnalisation, mais en aucun cas sur le contenu lui-même.

Les entreprises sont en pleine découverte des possibilités offertes par les IA, et bien entendu, tentent de nouvelles approches pour minimiser les coûts, et maximiser les profits. Mais l’IA n’a pas bonne presse dans certains milieux, et celui de l’animé japonais est sûrement de ceux où elle est la plus détestée. Crunchyroll le sait pertinemment, a communiqué qu’elle ne sera pas utilisée pour les contenus et l’a fait par derrière, allant même jusqu’à l’économie d’une relecture humaine. Ce qu’on appelle se faire prendre la main dans le pot de confiture.

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SFR laisse fuiter sa nouvelle box, pour une sortie imminente

Alors que les indices amenant à la vente à la découpe de SFR se font de plus en plus nombreux et insistants, l’opérateur amène une petite surprise, un petit bonus pour celui qui reprendra la partie réseau : une toute nouvelle box. Celle-ci n’a pas encore été présentée officiellement, mais le directeur Réseaux et Services de SFR, Olivier Tailfer, a « laissé fuiter » l’information dans un post sur LinkedIn.

Si peu de détails sont connus pour le moment, le visuel montre déjà une box qui a à quelque chose près le même format que celle de son concurrent Orange, avec un affichage qui semble tactile et reposer sur un écran e-ink, comme proposé depuis quelques générations chez l’agrume.

Le Wi-Fi devrait rejoindre la dernière norme en vigueur, en proposant du Wi-Fi 7, et le reste des caractéristiques ne devrait plus tarder à être connu : le visuel sur la photo annonce un « lancement imminent », et le directeur déclare noir sur blanc que le produit « sera lancé dans les prochains jours ».

Si le lancement d’une toute nouvelle box peut paraître étrange alors que l’opérateur doit être revendu, commercialement les choses peuvent s’entendre : la sortie d’une nouvelle box juste avant ou même pendant les négociations permettent de présenter le réseau sous son meilleur jour, faisant preuve d’innovations et ne se reposant pas, plutôt que de laisser l’idée d’une belle endormie n’attendant que d’être cueillie. Reste à savoir si le repreneur donnera sa chance à cette box, et pendant combien de temps, avant de faire passer les abonnés sur autre chose.

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Kernel Panic : que valent les premières bêtas d’iOS et macOS 26 ?

Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Deux fois par mois, nous approfondissons un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.

La WWDC, c’était il y a quasiment un mois ! Les développeurs se sont jetés sur les bêtas des nouveaux systèmes, qui apportent principalement la nouvelle interface Liquid Glass. Celle-ci fait la part belle aux effets de lumière et de transparence. Son arrivée divise, certains y voyant un joli renouvellement là où d’autres reprochent un manque de lisibilité.

Ce n’est pas tout, car ces nouveaux systèmes apportent également un paquet de fonctions. Plusieurs apps ont été portées d’une plateforme à l’autre, comme Téléphone qui est désormais disponible sur iPad et sur Mac. iOS a de son côté gagné une app Aperçu. Le Vision pro n’a pas été oublié avec l’arrivée de nouveaux widgets restant ancrés dans le monde réel, tandis que le design de l’app Exercice de watchOS a été repensé.

Alors que la première bêta publique ne devrait plus tarder de pointer le bout de son nez, vous vous demandez sans doute ce que valent ces nouveaux systèmes. Cet épisode est l’occasion de tirer un premier bilan en compagnie de Florian et de Baptiste Dajon, développeur de l’app iOS Bandbreite travaillant pour la branche tech de Décathlon.

Bonne écoute !

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Polysoft va bientôt proposer un kit pour augmenter le stockage des Mac Studio M3/M4

Polysoft a mis à jour le Studio Drive, son kit permettant d’augmenter la capacité de stockage du Mac Studio pour bien moins cher que ce qu’en demande Apple. Si la première version était réservée aux modèles M1 et M2, Gilles Aurejac proposera bientôt une déclinaison pour les plus récentes versions M3 Ultra et M4 Max. Le matériel est disponible sur la boutique de Polysoft. Les kits sont pour le moment indiqués comme en rupture de stock.

Studio Drive. Image MacGeneration.

Les prix ne changent quasiment pas par rapport aux versions précédentes : comptez donc 399 € pour 2 To, 799 € pour 4 To ou 1 049 € pour 8 To. Seule cette dernière déclinaison est 100 € plus chère que sur les modèles M1 et M2. Cela reste une affaire face aux tarifs pratiqués par Apple, qui demande 750 € pour 2 To ou 3 000 € pour 8 To. On notera que Polysoft a ajouté une option 16 To (2 499 €), exclusive aux machines M3.

Nous avions eu l’occasion d’essayer le Studio Drive en 2024 et multiplié par 16 (!) le stockage d’une de nos machines. La démarche nous avait pris une heure, et nous n’avons pas eu de problème depuis. Chaque achat est lié à une garantie de 5 ans, tandis que les outils et manuels imprimés sont inclus. Les précommandes ne sont pas encore ouvertes suite à des incidents de livraison sur certains lots précédents, mais le site affirme que tout sera rentré dans l’ordre d’ici le mois d’août. Tout étant géré par une petite équipe, il faudra faire preuve de patience.

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Refurb : jusqu'à -370 € sur l'Apple Studio Display 5K

L'Apple Store a rempli dernièrement ses rayons en écrans Apple Studio Display reconditionnés. Les réductions par rapport au neuf, assez peu en promo, voire tout simplement en stock, sont de quelques centaines d'euros. Les quatre variantes sont disponibles :

Verre standard et verre nanotexturé. Images MacGeneration.

Si le budget est disponible, on peut préférer les modèles avec le verre nano-texturé pour son action sur les reflets. Mais cela vaut d'abord pour ceux dont l'environnement de travail est surplombé de néons ou d'éclairages directs. De même, si c'est dans vos moyens, préférez le pied avec l'inclinaison et la hauteur réglables pour ajuster la dalle au plus près.

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SFR : le retour à trois opérateurs se prépare chez Orange, Bouygues et Free

La vente de SFR et son partage entre ses concurrents ou des investisseurs est bien sur les rails mais le trajet reste sinueux. Depuis la mi-juin, Patrick Drahi a fait transmettre les informations financières de son opérateur aux parties intéressées relate BFM Business.

Image SFR

D'emblée, Orange est dans une situation différente de Bouygues et Free puisque sa place de leader sur le marché hexagonal l'empêche d'être trop gourmand. Pour les deux autres, il y a à boire et à manger chez SFR. Les abonnés SFR RED seraient ainsi moins courus que les clients fixe et mobile de SFR car moins rentables.

Ce parc de 20 millions d'abonnés mobile de SFR aiguise la convoitise de Bouygues et Free mais il y a un nœud dans l'affaire. Depuis 10 ans, SFR et Bouygues se partagent 15 000 antennes, explique BFM. Bouygues pourrait reprendre 50 % du capital du réseau pour un coût de 200 à 300 millions d'euros, cependant il exigerait en retour d'obtenir une plus grosse part des abonnés SFR.

Quant aux clients sur le fixe, ils sont 6,1 millions, et c'est Bouygues qui aurait la meilleure position pour en récupérer la plupart puisqu'il est derrière Orange et Free sur ce segment.

Orange et Free s

Orange et Free s'intéressent à SFR mais pas avec la même marge de manœuvre

Le réseau de fibre optique est un autre entremêlement à dénouer. Free et Bouygues se le répartiraient par zones géographiques. Ou SFR ferait entrer un fonds d'investissement qui achèterait le lot entier ou ce fonds pourrait s'adosser aux offres des deux opérateurs.

La partie entreprise de SFR est également un fromage guetté par Free qui y verrait un moyen de faire croitre son activité professionnelle. Orange aussi serait intéressé par les abonnés mobiles pro afin de consolider sa première place dans le secteur.

Et puis il y a 300 boutiques appartenant à SFR et leurs 2 000 salariés en plus de 300 autres magasins en franchise. Les trois concurrents seraient partants pour se répartir les parts de cet autre gâteau, sachant qu'il y aura inévitablement des doublons avec des magasins voisins.

SFR distribue ses 100 Go offerts après sa panne nationale

SFR distribue ses 100 Go offerts après sa panne nationale

Les patrons de chacun des opérateurs ne se sont pas encore rencontrés, ajoute BFM, les négociations sont menées pour le moment par leurs proches lieutenants assistés des banques d'affaire et avocats.

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Headphone (1) : Nothing dévoile son concurrent aux AirPods Max qui sortira le 15 juillet

Après les écouteurs, Nothing s’attaque au domaine des casques audio et vient de présenter le Headphone (1). Ce modèle se démarque par son design original doté d’éléments transparents caractéristiques de la marque. Créé en collaboration avec KEF, on nous promet donc un son « riche et naturel » avec des basses profondes, des médiums détaillés et des aigus nets.

Images Nothing

Ce gros casque de 329g mélangeant plastique et aluminium a l’avantage d’être un peu plus léger que les AirPods Max (387g). Il fait l’impasse sur les commandes tactiles pour mettre l’accent sur les boutons physiques, présentés comme plus fiables et plus précis. On y retrouve du classique, mais aussi une touche personnalisable via l’app sur laquelle on pourra configurer différentes actions (désactiver les micros, activer l’audio spatial…).

Le Headphone (1) est un casque audio sans-fil prenant en charge la lecture Lossless en USB-C ainsi que la norme Hi-Res Audio et le codec LDAC. L’annulation du bruit est évidemment au rendez-vous, tout comme la spatialisation du son et le suivi de la tête. Nothing vante également une bonne qualité d’appels grâce aux 4 micros dédiés et un algorithme adapté même aux environnements les plus bruyants.

Un coloris noir est aussi proposé. Image Nothing

Le fabricant affirme avoir mis le paquet sur l’autonomie, avec un casque tenant 35 heures avec l’ANC ou 80 sans. Une charge rapide de 5 minutes permet de récupérer plus de 2 heures de batterie. Deux coloris sont disponibles pour un tarif de 299 €. Les précommandes ouvriront le 4 juillet sur le site de Nothing et chez certains revendeurs. L’accessoire sera ensuite lancé officiellement le 15 juillet.

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SaferPhone : un forfait Orange avec des services de contrôle parental

Orange lance un forfait pour les moins de 18 ans assorti de fonctions de filtrage et de blocage de contenus indésirables ou menaçants. L'offre SaferPhone consiste d'abord en un forfait bloqué, sans engagement, de 5 Go avec les SMS et MMS illimités. Cette formule est vendue 9,99 € par mois (ou 5,99 € lorsqu'un parent est déjà abonné à l'internet fixe chez Orange). En ajoutant 4 € par mois on grimpe à 35 Go.

Cela fait (très) cher le giga-octet — pour 10 €, Sosh et ses concurrents proposent des formules avec 200 Go — mais l'opérateur se rattrape par des fonctions de contrôle parental proposées, sans frais immédiats, dans un Pack Protection Enfant :

  • gestion du temps d'écran par jour et par plage horaire (ce sera actif fin 2025, ndlr), coupure complète de l'internet en Wi-Fi et en 4G/5G à la demande, blocage des contenus inappropriés, géolocalisation en temps réel ;
  • filtrage des appels de spam et démarchage ;
  • abonnement d'un an au service SafeBear qui analyse les contenus échangés par l'enfant (à hauteur de 3 000 envoyés et reçus par mois) sur Instagram, X, Snapchat et TikTok (les autres sont promis à une date indéterminée). Le système avertit les parents en cas de détection de propos assimilables à du harcèlement. Au bout d'un an il faudra choisir l'une des formules payantes de SaferBear pour continuer de profiter de son service.
Image SaferBear.

Pour faire fonctionner cet ensemble de services et de logiciels, Orange rembourse 50 € sur 6 modèles de smartphones lorsqu'on n'est pas déjà équipé. Il y a 3 appareils Android qui coûteront, déduction faite de la remise, de 59 à 149 €. Et trois iPhone dont le 16e qui revient à 599 €. Mais au vu de son tarif élevé, l'opérateur a glissé deux iPhone SE et 12 reconditionnés, vendus 169 et 299 €.

Bouygues vend une montre pour enfants avec un forfait très encadré

Bouygues vend une montre pour enfants avec un forfait très encadré

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Nintendo affirme que la demande en Switch 2 « dépasse largement ses attentes »

La Switch 2 se porte bien, merci pour elle. Nintendo a récemment tenu sa grande rencontre annuelle avec les investisseurs, pendant laquelle le président Shuntaro Furukawa a rappelé avoir présenté ses excuses de ne pas pouvoir produire suffisamment de consoles pour tout le monde. « Actuellement, dans de nombreux pays, la demande de Switch 2 est supérieure à l'offre et nous ne sommes pas en mesure de la satisfaire », a-t-il déclaré avant de reconnaître que quelques actionnaires n’avaient pas encore pu mettre la main sur la machine. Un indice de plus (s’il en fallait) que la console cartonne.

La présentation de la Switch 2 avait pourtant été mouvementée. Beaucoup de joueurs ont été surpris par le prix de la machine (470 €) tandis que d’autres ont regretté un catalogue de lancement assez faiblard principalement constitué de Mario Kart World et d’une poignée de portages. Cependant, les grognons ne sont guère nombreux face aux fans de la marque : Nintendo a enregistré 2,2 millions de précommandes au Japon, puis annoncé 3,5 millions de ventes à travers le monde en l'espace de 4 jours. Les chaînes de production peinent à suivre, ce qui a forcé Shuntaro Furukawa à s’excuser une nouvelle fois :

En tant qu'entreprise, nous nous efforçons d'améliorer notre système de production afin de livrer le plus grand nombre d'unités possible. Nous demandons pardon pour les désagréments causés par cette demande initiale, qui a largement dépassé nos attentes.

Bien qu’elle soit sortie il y a quasiment un mois, la console est toujours difficile à trouver sur certains marchés, comme aux États-Unis ou au Japon. Sur l’archipel, les revendeurs et Nintendo sont obligés d’organiser des loteries pour répondre à la demande. Ce problème ne concerne heureusement pas la France, où les revendeurs ont plutôt cherché à casser les prix sur les jeux pour attirer le chaland. La console seule est toujours en stock à la Fnac sans délai particulier, tandis que le pack avec Mario Kart World peut être livré sous une semaine par Amazon.

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iOS 26 : des AirPods et des Beats peuvent mettre en pause la musique quand vous vous endormez

Liés à iOS 26, les AirPods disposent d’une nouvelle fonctionnalité pratique si vous avez l’habitude d’écouter de la musique ou un podcast dans le lit. Une option (désactivée par défaut) permet de mettre automatiquement en pause la lecture quand les écouteurs détectent que vous vous êtes endormis.

Apple ne précise pas comment cette fonctionnalité opère, mais il y a tout lieu de penser qu’elle se base sur l’accéléromètre compris dans les écouteurs, voire le capteur de détection de la peau. En tout cas, plus besoin de configurer le minuteur d’iOS ou de votre application audio pour que la lecture s’arrête toute seule quand vous êtes dans les bras de Morphée.

La nouvelle option pour. Image WatchGeneration.

Pour l’instant, cette nouveauté est réservée au firmware en bêta distribué en parallèle d’iOS 26. Elle est présente sur les AirPods Pro 2 et les AirPods 4, qui ont en commun la puce H2. On ne sait pas encore si elle sera disponible sur des modèles plus anciens équipés de la puce H1. D’après du code déniché par MacRumors, cette mise en pause automatique sera aussi proposée sur des écouteurs Beats (seuls les Powerbeats Pro 2 ont une puce H2).

La mise à jour sera disponible pour tous à la rentrée, au moment du lancement officiel d’iOS 26.

Vous endormez-vous avec vos AirPods dans les oreilles ?

Vous endormez-vous avec vos AirPods dans les oreilles ?

Comment déclencher l’appareil photo de votre iPhone avec vos AirPods

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Free propose un an de fibre optique à 19,99 € par mois avec la Freebox Revolution Light

La Freebox Revolution ne veut pas mourir. Lancée en 2010, la box de Free dans son édition Light fait l’objet d’une offre intéressante pour tous ceux qui sont intéressés par une connexion à Internet via la fibre optique sans se ruiner.

Cette promotion réservée aux nouveaux clients permet d’avoir jusqu’à 1 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en téléversement pour 19,99 € par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement. Notez cependant que l’offre passe à 29,99 € par mois au bout d’un an. Pour ceux qui l’avaient oublié, cette box, dessinée par Starck, intègre un lecteur Blu-Ray et un disque de 250 Go de stockage. Elle comprend également l’app TV OQEE de Free.

L’un des défauts de cette offre est sans doute le Wi-Fi. La box accuse son âge et n’offre pas de Wi-Fi 6. Notez toutefois que l’on trouve en ce moment même des routeurs Wi-Fi à très bon prix.

Si Free lance cette offre, c’est sans doute lié au fait que les promotions sur l’internet fixe sont assez nombreuses. SFR Red propose également une offre à 19,99 € par mois, mais sans décodeur télévision. Les débits proposés sont proches (1 Gbit/s dans les deux sens) et là aussi, on peut également regretter l’absence de Wi-Fi 6.

Mais à la fin des fins, l’offre la plus intéressante, c’est peut-être bien celle de Bouygues Telecom. Vous pouvez obtenir pour 23,99 € par mois son offre Pure Fibre qui propose jusqu’à 8 Gbit/s de débit dans le sens des téléchargements et un routeur Wi-Fi 7. Il ne reste plus qu’à financer éventuellement une Apple TV pour pallier l’absence d’un module pour la télévision.

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Produits Apple : vers une baisse de prix à la rentrée grâce à la faiblesse du dollar ?

Et si les nouveautés Apple de la rentrée étaient accompagnées par une baisse de prix ? Cela parait contre-intuitif tant il a été question de guerre commerciale au mois de mars, mais ce scénario n’est pas à exclure. En effet, la politique de Donald Trump a eu pour conséquence d’affaiblir le dollar ces derniers mois.

En début d’année, un euro s’échangeait environ 1,03 $. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le billet vert s’échange désormais à 1,18 $. Autrement dit, l’euro s’est apprécié de plus de 13 % en l’espace de quelques mois. Or, si le bitcoin peut connaître une hausse de cette ampleur en une seule journée, dans le domaine des devises, une telle évolution dans un tel laps de temps est tout sauf anecdotique.

Bien qu’il soit toujours très difficile d’anticiper les évolutions à venir du marché des changes, les observateurs estiment qu’il est assez probable que l’euro dépasse la barre des 1,2 $ prochainement. Certains estiment même que ce n’est qu’une étape et que le phénomène est appelé à se prolonger dans les mois à venir.

Apple a pour habitude de suivre d’assez près l’évolution des taux de change, surtout quand ils évoluent en sa défaveur. Quoi qu’il en soit, la firme de Cupertino fait régulièrement évoluer la tarification de l’App Store en cas de fluctuation importante. D’autre part, elle tend à ajuster ses tarifs lorsqu’elle commercialise de nouveaux produits.

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

MacBook : jusqu’où Apple ira-t-elle pour casser les prix ?

Autrement dit, si la tendance persiste, on pourrait observer des baisses de prix à la rentrée lors de la présentation de la nouvelle gamme d’iPhone. Il y a cependant deux facteurs qui pourraient annihiler ce mouvement de fond chez Apple.

À l’été dernier, sans doute au moment où sont fixés les prix chez Apple, l’euro s’échangeait dans une fourchette oscillant entre 1,08 $ et 1,12 $. D’autre part, toujours dans ce contexte incertain de guerre commerciale, Apple pourrait être tentée d’accroitre ses marges dans le Vieux Continent en ne faisant que peu évoluer ses prix, de manière à financer en partie la hausse des droits de douane aux États-Unis.

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Phone (3) : Nothing lance un haut de gamme au design toujours excentrique

Nothing a dévoilé un casque mais aussi et surtout le Phone (3) un modèle voulu plus haut de gamme que le Phone (2) lancé il y a deux ans mais qui conserve l'esthétique singulière de la marque britannique. Avec deux versions prévues à 849 et 949 € (256 et 512 Go) le Phone (3) se positionne clairement dans le haut de gamme.

Phone (3). Image Nothing.

Pour autant, là où Apple et Samsung, ses plus proches rivaux sur le papier, s'inscrivent dans une relative prudence en termes de design, Nothing joue clairement une autre partition pour se démarquer. Avec toujours ce recours à un look d'allure industriel, conçu en collaboration avec l'équipe suédoise de Teenage Engineering dont les produits ont eux-mêmes une forte personnalité.

Le Phone (3) est un grand téléphone de 6,67" (un poil en dessous d'un iPhone 16 Plus avec ses 6,7"), d'une grosse batterie de 5 150 mAh (4 685 mAh pour celle de l'iPhone 16 Pro Max) et d'un processeur Snapdragon 8s Gen 4 qui n'est pas le plus puissant du moment, mais il est sorti en avril et il met l'accent sur les tâches d'IA.

Image Nothing.

Les produits de Nothing se reconnaissent maintenant aisément, la marque s'est trouvé un style et elle s'y tient, ce modèle n'en dévie pas. Puisque tous les téléphones sont inévitablement assez identiques sur leur face avant, c'est la partie arrière qui devient le terrain d'expérimentations. Le dessin du Phone (3) suit le principe d'une division en 3 colonnes verticales dont la géométrie des lignes a été pensée pour s'inscrire dans le prolongement de celles du Phone (2) (voir l'explication des designers dans la vidéo ci-après). Plutôt qu'une face lisse sans motifs, l'arrière du Phone (3) semble tiré d'un dessin industriel que l'on n'aurait pas achevé pour laisser deviner les grandes masses internes.

Phone (2) et Phone (3). Image Nothing.

Aux trois objectifs photographiques, répond un nouvel arrivant, le Glyph Matrix. C'est un écran rond, micro-LED, associé à un bouton placé en dessous. Cet écran peut afficher un grand nombre de choses avec un style très typé fait de petits carrés : l'heure, des indicateurs de progression, la batterie, mais aussi une représentation très pixelisée de l'utilisateur qui voudra faire un selfie avec l'appareil photo arrière.

Le Glyph Matrix en haut à droite. Image Nothing.

Ce petit écran peut aussi générer des animations correspondant à un contact lors d'un appel. Et puisque les téléphones sont souvent sur vibreur, il a été conçu un moteur audio qui génère des séquences de sons très électroniques en fonction du nom de l'appelant. Les utilisateurs pourront par ailleurs créer des choses pour cet écran qui sert aussi à s'amuser. Par exemple avec un Pierre-feuille-ciseaux ou le jeu de la bouteille : elle tourne et c'est celui en face de qui elle s'arrête qui paye l'addition.

Le dos de ce téléphone est aussi pourvu d'un petit indicateur rouge qui peut s'allumer lorsqu'une vidéo est en cours d'enregistrement. Autre idée, après avoir posé le Phone (3) face contre table, un appui long sur l'Essential Key (l'équivalent du bouton Action) va automatiquement lancer la fonction dictaphone avec l'enregistrement de la conversation.

Image Nothing.

On aime ou on n’aime pas l'allure de ce téléphone, mais Nothing a le mérite de tenter quelque chose, et de s'y tenir, dans un domaine où les smartphones, en dépit de leurs différences, sont à peu près tous empreints d'un certain conservatisme dans leurs lignes.

Le Phone (3) sera en vente chez Amazon ou à la Fnac le 15 juillet, mais les précommandes débuteront le 4.

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Apple Store : le crédit à 0 % prolongé cet été

L’offre de crédit à 0 % se poursuit sur l’Apple Store. Apple n’a donné aucune date de fin pour cette opération lancée au début de l’année, mais son partenaire en mentionne une sur son propre site. Cetelem avait indiqué au départ que l’offre devait se terminer le 31 mars, puis le 30 juin. Voilà maintenant l’échéance repoussée au 20 août.

Ce crédit à 0 % permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Les intérêts habituels sont en fait pris en charge par Apple, qui mise sur de bonnes ventes pour absorber le coût de la promotion.

Attention, Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d’offre. L’établissement compte sur cette opération pour attirer de nouveaux consommateurs.

Produit Durée Taux débiteur
iPhone 12 mois 0 %
24 mois 0 %
iPad Air, iPad, iPad mini 4 mois 0 %
12 mois 0 %
36 mois 14,01 %
iPad Pro 4 mois 0 %
20 mois 0 %
36 mois 14,01 %
Apple Watch 4 mois 0 %
12 mois 0 %
24 mois 14,01 %
Apple Vision Pro 4 mois 0 %
24 mois 0 %
36 mois 14,01 %
Accessoires 4 mois 0 %
MacBook Pro, Mac Studio 4 mois 0 %
24 mois 0 %
36 mois 14,01 %
MacBook Air, Mac mini, iMac 4 mois 0 %
18 mois 0 %
36 mois 14,01 %

« Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », explique Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, la maison mère de Cetelem, aux Échos. Dans ce groupe, le montant moyen d'un crédit à la consommation pour un smartphone est de 700 € environ, contre 1 200 € pour un iPhone. On comprend l’appétit des organismes de crédit pour les clients d’Apple.

Si vous êtes étudiant, patientez un peu : l’offre Back to School devrait bientôt démarrer en France. Autrement, il y a de nombreuses bonnes affaires sur les Mac et les iPhone chez les revendeurs à l’occasion des soldes.

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Promo : l’iPad Pro M4 11" nano-texturé à seulement 1 581 € (38 % de réduction !)

Si vous envisagez de changer de tablette pour profiter d’iPadOS 26 dans de bonnes conditions à la rentrée, voici une offre qui pourrait vous intéresser : un iPad Pro M4 de 11" survitaminé avec 2 To de stockage et l’option verre nano-texturé pour seulement 1 580,98 €. Cette remise de 38 % est proposée sur Amazon France et permet d’économiser 978 € sur le tarif de l’Apple Store. Ne traînez pas si vous êtes intéressé, la plateforme indiquant qu’il ne reste plus qu’un seul modèle en stock.

Image iGeneration

L’iPad Pro M4 a inauguré un nouvel écran OLED en plus d’un design plus fin de seulement 5,3 mm d’épaisseur. Sa puce M4 offre des performances de pointe qui vous permettront de jouer ou de vous en servir comme alternative au Mac dans d’excellentes conditions. Son intérêt sera décuplé en septembre avec la sortie d’iPadOS 26, qui apporte un nouveau système de fenêtre plus proche du Mac.

L’option verre nano-texturé donne une meilleure lisibilité en réduisant les reflets. C’est un bonus appréciable à ce prix, par exemple si vous travaillez dans un environnement avec des néons ou à proximité d’une fenêtre. On notera également une promo sur l’Apple Pencil Pro chez Amazon qui pourra intéresser les créatifs. Le Magic Keyboard est de son côté facturé 349 €.

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Stockage cloud : l’offre pCloud Lifetime avec 70 % de remise jusqu’au 15 juillet

Pour la Fête Nationale, pCloud lance une opération inédite : du stockage cloud à vie et un gestionnaire de mots de passe inclus, à un tarif très bas. Une bonne fois pour toutes.

Entre un barbecue entre amis et les feux d’artifice, une autre liberté mérite d’être célébrée : celle de ne plus dépendre des abonnements mensuels pour protéger ses données. Le service suisse pCloud frappe fort avec une promotion limitée du 2 au 15 juillet 2025, proposant ses plans à vie avec pCloud Pass Premium offert. Une initiative qui sent bon l’indépendance — et les économies.

Promo pCloud Fête Nationale : les détails d’une offre qui change la donne

Ce n’est pas tous les jours qu’un acteur cloud propose un stockage à vie. Et encore moins avec un gestionnaire de mots de passe offert. Voici ce que propose pCloud jusqu’au 15 juillet :

Tous ces plans sont proposés en paiement unique. Pas d’engagement, pas de frais cachés. Vous achetez, vous gardez, point barre.

Un cloud qui se tient droit dans ses bottes

pCloud, c’est le sérieux suisse allié à la souplesse numérique. Là où d’autres multiplient les offres obscures, les limites mensuelles et les hausses tarifaires surprises, le service basé à Lausanne joue carte sur table : vous payez une seule fois pour un espace qui vous appartient, à vie.

Et vos fichiers ne sont pas envoyés n’importe où : ils sont stockés dans l’Union européenne, dans des data centers au Luxembourg. De quoi concilier performance, souveraineté numérique et confidentialité, avec le respect strict du RGPD à la clé.

Un outil taillé pour les familles, les pros… et ceux qui veulent dormir tranquille

Au-delà de la sécurité, pCloud se distingue par sa polyvalence. Que vous soyez photographe, parent soucieux de sauvegarder les archives familiales, ou freelance en quête d’un espace fiable pour vos livrables, pCloud s’adapte.

  • Sauvegarde automatique de vos dossiers importants (y compris ceux de votre ordinateur)
  • Accès à distance depuis tous vos appareils (ordinateur, téléphone, tablette)
  • Partage fluide et sécurisé de fichiers (liens publics, dossiers collaboratifs, demandes de fichiers)
  • Streaming de vidéos et de musiques directement depuis l’espace de stockage
  • Interface claire, application sobre, synchronisation rapide : rien de superflu

Et pour les utilisateurs avancés, une fonction de chiffrement côté client est disponible (en option payante). Elle permet que même pCloud ne puisse accéder au contenu.

Le gestionnaire de mots de passe pCloud Pass : votre cerveau de secours

Plus besoin de jongler entre une feuille Excel, le trousseau du téléphone et les onglets de navigateur ouverts à la va-vite. Avec pCloud Pass Premium, vous centralisez tous vos mots de passe, notes sécurisées, cartes bancaires et identifiants en un seul lieu, accessible uniquement via votre mot de passe maître.

Tout est chiffré de bout en bout. Le remplissage automatique fonctionne sur tous les navigateurs majeurs, et la synchronisation se fait sur l’ensemble de vos appareils.

Le plus ? L’outil propose aussi un générateur de mots de passe robustes et uniques. De quoi abandonner vos vieux “Motdepasse123” sans crainte d’oublier vos nouveaux sésames.

Pourquoi cette offre a du sens en 2025

Nous sommes cernés : notifications de piratage, fuites massives de données, fermetures de services, abonnements à rallonge… Le modèle pCloud tranche avec cet environnement anxiogène. Il propose une réponse claire, durable, souveraine : vous gardez le contrôle.

L'idée d’un cloud personnel, chiffré, basé en Europe, sans abonnement et sans espionnage, ça devient rare. Encore plus à ce prix-là.

Ajoutez à cela un gestionnaire de mots de passe robuste, inclus sans surcoût, et vous obtenez un vrai kit de survie numérique. Le tout, en une seule fois. Pas besoin d’attendre le Black Friday.

Mais attention : cette promotion n’est valable que jusqu’au 15 juillet 2025.

Saisir l’offre avant qu’elle disparaisse

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Apple condamnée à payer 110 millions pour un brevet sur la 3G

Apple doit s'acquitter de 110,7 millions de dollars (93 millions d'euros) de dommages et intérêts auprès d'un détenteur de brevets espagnol. TOT Power Control avait porté plainte en 2021 en affirmant que son invention était utilisée sans licence dans les transceivers (émetteur-récepteur) des appareils compatibles 3G d'Apple.

Image Apple.

Alvaro Lopez-Medrano, ingénieur et patron de cette société qui n'a d'autre activité que la défense de cette propriété intellectuelle, a mis au point un moyen de réguler la puissance utilisée en fonction des aléas du signal radio, résume Reuters.

Pour Apple, ces brevets n'ont pas de validité, mais le tribunal de l'État du Delaware en a décidé autrement, considérant qu'un des deux brevets revendiqués par le plaignant avait bien été enfreint. Apple a déclaré vouloir faire appel. LG et Samsung font face aux mêmes accusations et leurs procès sont toujours en cours.

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Soldes : -140 à -290 € sur l'iPad mini 7 Wi-Fi ou cellulaire

Pour les amateurs du plus compact des iPad, CDiscount poursuit ses bonnes promos sur l'iPad mini A17 Pro. Le modèle Wi-Fi de 256 Go est vendu 599 € sur deux coloris au lieu de 739 € (-140 €). Pour qui a vraiment besoin de stockage, la déclinaison de 512 Go est à 699 € au lieu de 989 € (-290 €) sur le coloris bleu.

iPad mini 7. Image iGeneration.

Si on préfère la variante cellulaire pour ne pas dépendre du partage de connexion de l'iPhone, il y a la version 128 Go en mauve à 599 € au lieu de 779 € (-180 €) et la 256 Go en bleu que le vendeur met à 699 € au lieu de 909 € (-210 €).

iPad mini 7. Image iGeneration.

L'iPad mini 7 (ou A17 Pro du nom de son processeur) est sorti à l'autonome dernier. Il a conservé son format compact qui facilite son transport en toute occasion, il est monté en puissance avec le processeur repris des iPhone 15 Pro qui lui ouvre les fonctions d'Apple Intelligence, il a modernisé sa partie Wi-Fi et Bluetooth, il est compatible avec l'Apple Pencil Pro et il a gommé un effet disgracieux du précédent modèle avec le rafraîchissement de l'écran lorsqu'on faisait défiler des pages. Ses prix de base sont plutôt élevés, mais ces promos atténuent fortement ce défaut.

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon

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Apple fait une nouvelle mise à jour de son antimalware XProtect

Apple distribue une mise jour pour XProtect, son système de détection et suppression de malware. C'est une opération de routine qui est effectuée automatiquement lorsque de nouvelles signatures de malwares sont repérées.

XProtect vérifie quotidiennement la disponibilité de ce type d'informations et, lorsque c'est le cas, il télécharge et installe automatiquement ces nouvelles références qui lui permettront le cas échéant de supprimer un malware qui aura trouvé son chemin sur votre Mac (détails du fonctionnement). La version la plus à jour d'XProtect est numérotée 5303, elle se destine à tous les macOS et couvre des variantes de malwares baptisés MACOS_SOMA_JUEN et MACOS_SOMA_LLJU.

Apple a mis à jour son antimalware XProtect, comme elle le fait régulièrement

Apple a mis à jour son antimalware XProtect, comme elle le fait régulièrement

Il y a plusieurs moyens de vérifier le numéro de version d'XProtect. Par le Terminal en tapant sudo xprotect check puis en saisissant son mot de passe de session. Ou en lançant l'utilitaire Informations système de son Mac, rubrique Logiciels puis Installation et en faisant défiler la liste tout en bas.

macOS 26 ne voit pour le moment que la précédente version 5302. Image MacGeneration.

Pour forcer la récupération d'une mise à jour, retour dans le Terminal en tapant sudo xprotect update et à nouveau son mot de passe de session. Il est possible cependant que cette version 5303 ne soit pas encore prête à la distribution sur iCloud. Dans ce cas, il suffit d'attendre un jour ou deux, l'installation se sera peut-être faite entre temps. Vérifiez tout de même que vous avez laissé active la récupération des mises à jour de sécurité.

Image MacGeneration.
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Air France teste l'utilisation des AirTags pour localiser un bagage égaré

Air France se prépare à utiliser les AirTags de ses passagers pour localiser un bagage égaré et rejoindre ainsi d'autres compagnies aériennes.

Le service est encore en test, nous a indiqué un contact, mais une page de formulaire pour soumettre la position de son AirTag est déjà visible. Avec elle on renseignera la référence de son dossier bagage et on collera un lien généré par Localiser qui permettra aux personnels d'Air France d'avoir un accès temporaire à la position de votre balise.

Image Lufthansa.

Cette possibilité est apparue avec iOS 18.2 à la fin de l'année dernière. Apple a travaillé avec une quinzaine de compagnies aériennes1 pour intégrer le suivi d'un AirTag (ou autre balise compatible Localiser) placé dans un bagage. Localiser permet de partager un lien de suivi de la balise située dans un bagage que l'on aura préalablement déclaré comme perdu. Le lien est valable une semaine et peut être révoqué à tout moment ou dès que le bagage est récupéré.

La compagnie peut exploiter cette géolocalisation et, si nécessaire, s'en servir avec la plateforme WorldTracer utilisée par les compagnies à travers le monde pour mettre en commun leurs efforts de recherche.

Partage temporaire d'une position depuis Localiser. Image iGeneration.

Apple avait publié une liste de ses premiers partenaires où Air France était absente, mais il y avait KLM Royal Dutch Airlines avec qui elle forme un même groupe, ce qui laissait espérer que la compagnie française allait suivre. Son site indique toujours que les AirTags ne sont pas pris en charge. Cela devrait donc changer et, dans le courant 2026, la fonction devrait être intégrée dans les outils des équipes responsables des bagages.


  1. Aer Lingus, Air Canada, Air New Zealand, Austrian Airlines, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Singapore Airlines, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, Virgin Atlantic et Vueling.  ↩︎

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L'absence de ventilateurs de certains Mac portable peut les protéger des malwares

Depuis des dizaines d'années, Apple tente de supprimer les ventilateurs de ses ordinateurs. Si cette solution n'est pas toujours gage d'efficacité — ceux qui ont utilisé un MacBook en 2015 comprendront —, elle a pourtant un mérite : elle protège l'ordinateur de certains malwares.

La raison n'est pas réellement liée directement à l'absence de ventilateurs, il s'agit d'un effet secondaire du fonctionnement de certains malwares. Les malandrins qui développent les logiciels malveillants veulent en effet généralement éviter que les experts en sécurité analysent ces derniers, et tentent donc régulièrement de vérifier si leur création tourne dans une machine virtuelle. En effet, les experts emploient fréquemment cette solution pour déterminer comment fonctionne un malware en toute sécurité. Dans la pratique, de nombreux malwares se désactivent s'ils détectent qu'ils fonctionnent dans une machine virtuelle, et deviennent donc inoffensifs.

Il n'y a pas de ventilateur dans le MacBook Retina de 2015. Image iFixit.

Le rapport avec la présence d'un ventilateur est donc indirect. Pour détecter une machine virtuelle, il est possible de vérifier la présence de certains fichiers ou de certains noms standardisés (par exemple celui du volume de stockage) ou la présence de pilotes associés à une machine virtuelle. Comme les experts en sécurité s'adaptent et tentent aussi de se cacher, une des voies choisies consiste à vérifier la présence de composants matériels qui devraient être présents mais ne le sont pas, comme un ventilateur pour le processeur. Les logiciels de virtualisation vont en effet souvent à l'essentiel, et ne renvoient donc pas les données liées aux composants matériels, comme la température du processeur ou la vitesse de rotation du ventilateur, ni même sa présence.

Le refroidissement passif étant une exception plutôt que la norme dans les PC, un ordinateur sans ventilateur peut être vu comme une machine virtuelle. Petr Beneš, un développeur, a récemment expliqué comment il a ajouté un ventilateur virtuel dans Xen, un hyperviseur. Cette solution permet en pratique de contourner une protection interne d'un malware pour qu'il s'exécute dans une machine virtuelle sans qu'il s'en rende compte. Mais sa solution montre aussi qu'un ordinateur sans ventilateur pourrait être protégé dans certains cas… de quoi favoriser ceux qui utilisent un ordinateur Apple passif. C'est le cas des MacBook sortis entre 2015 et 2017 mais aussi des MacBook Air depuis le modèle M1. Bien évidemment, il faut rester méfiant : les malwares peuvent intégrer d'autres solutions pour déterminer la présence d'une machine virtuelle, et le code peut avoir été adapté pour prendre en compte les exceptions, comme les ordinateurs d'Apple.

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« F1 » en streaming sur Apple TV+ : octobre 2025 aux États-Unis, novembre 2026 en France

Le nouveau film produit par Apple, F1 le film, a trouvé sa place dans les salles obscures (et climatisées), avec un bon démarrage à l'international, mais aussi en France ou aux États-Unis. Porté par Brad Pitt et réalisé par Joseph Kosinski — Tron : L'Héritage ou Top Gun: Maverick —, il est bien évidemment destiné à terminer sa vie sur les « petits » écrans, ceux d'Apple TV+. Mais quand pourra-t-il sortir sur le service d'Apple ?

« Il faut vraiment attendre si longtemps ? ». Image Apple.

Aux États-Unis, comme l'explique 9to5 Mac, c'est assez simple : rapidement. Il devrait être proposé à l'achat ou en location environ 45 jours après la sortie en salle. Comme il est sorti le 27 juin dans le pays, il sera donc disponible en théorie dès le 11 août 2025. C'est une estimation, pour une raison simple : il n'y a pas réellement de règles. L'accord tacite est d'attendre 45 jours si le film fonctionne bien dans les salles, sans qu'il soit imposé par les studios dans tous les cas. En pratique, c'est généralement un peu moins : Dark Horizons donne 27 jours en 2021, 38 jours en 2022, 39 en 2023 et 37 en 2024, en moyenne.

La sortie sur les plateformes de streaming, elle, est plus tardive… mais là encore, il n'y a pas de règles imposées. Le même site donne 128 jours après la sortie en salle en moyenne en 2021, 110 jours en 2022, 104 en 2023 et 99 jours en 2024. 9to5 Mac annonce entre et un et deux mois entre la sortie en location et la disponibilité en streaming, ce que la moyenne confirme à peu près. L'estimation d'une sortie durant le mois d'octobre 2025 est donc assez plausible : le film a du succès, donc il ne devrait pas arriver (trop) rapidement sur le service Apple TV+.

Des règles plus rigides en France

Dans notre pays, le film devrait être disponible dès le 25 octobre à la location, quand il sera probablement disponible sur Apple TV+ dans d'autres pays1. Vous pourrez aussi l'acheter sur iTunes (par exemple) et peut-être même en Blu-ray. Canal+ pourra ensuite le diffuser dès le 25 décembre pour ses abonnés et il faudra ensuite attendre fin novembre 2026 (soit 17 mois après la sortie en salle) pour le voir sur Apple TV+, sauf si Apple trouve un accord avec les autorités. Si F1 le film était un film Disney, il serait par exemple disponible à partir du 25 mars 2026.


  1. Nous pourrions vous parler d'un éventuel VPN qui sponsorise cette actualité pour vous localiser aux États-Unis… mais ce n'est pas le cas.  ↩︎

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Mactracker 8 synchronise votre collection de produits Apple sur tous vos Mac

Mactracker, véritable encyclopédie des produits Apple, gagne une fonctionnalité qui ravira les collectionneurs acharnés. L’application permet maintenant de synchroniser sur plusieurs Mac sa liste personnelle d’appareils. Ainsi, si vous avez méticuleusement consigné vos achats Apple dans Mactracker au fil des ans, cette longue liste sera accessible sur tous vos Mac.

Considérée pour le moment comme étant en bêta, la synchronisation repose sur iCloud Drive. Elle doit être activée dans les réglages de l’application. Si vous avez des collections personnelles différentes sur plusieurs Mac, le développeur Ian Page recommande de les exporter en premier lieu, puis d’activer la synchronisation et enfin de les importer. Cela aura pour effet de consolider toutes les entrées qui étaient stockées localement précédemment.

Mactracker 8. Image MacGeneration.

Mactracker 8 comprend d’autres améliorations dédiées à l’onglet My Models. On peut archiver des produits plutôt que les supprimer (il faut ouvrir leur fiche et cliquer sur l’icône de carton en haut à droite), les sections Recents et Categories ont été ajoutées dans la barre latérale, et on peut préciser la couleur du produit possédé le cas échéant.

Au passage, cette mise à jour actualise des informations et enrichit la base de données d’appareils supplémentaires. Sont ajoutés des produits récents (MacBook Air M4, iPad Air M3, iPad A16…) ainsi que d’autres plus anciens (batterie MagSafe), voire antiques (Apple Graphics Tablet).

Mactracker 8 demande macOS 10.14 Mojave au minimum. L’application est entièrement gratuite. Vous pouvez soutenir Ian Page en lui faisant un don. Mactracker dispose aussi d’une version iOS, mais celle-ci n’intègre pas encore l’option de synchronisation.

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Une faille Bluetooth permet d'écouter à travers un casque attaqué et d'extraire des données personnelles

De nombreux fabricants de casques Bluetooth ne développent pas leurs propres composants et se basent sur du matériel — et parfois du logiciel — fourni par une société tierce. Des failles dans ceux qui utilisent l'implémentation d'Airoha ont été montrées récemment par les chercheurs d'ERNW, et elle implique de gros risques : il est possible d'activer le microphone à distance ou de récupérer des informations personnelles, comme le contenu du carnet d'adresses d'un smartphone.

Certaines enceintes portables sont touchées. Image Marshall.

Elles se basent sur l'absence d'authentification dans un protocole de la marque, pour les marques qui emploient le SDK (le kit de développement) d'Airoha. De nombreux appareils sont vulnérables, et il n'y a qu'une condition selon les chercheurs : être à portée d'un périphérique Bluetooth (casque ou enceinte portable). Les modèles touchés, selon eux, proviennent de nombreux fabricants : Sony (CH-720N, Link Buds S, ULT Wear, WF-1000XM3, XM4, XM5, WF-C500, C510, WH-1000XM4, XM5, XM6, WH-C520, WH-XB910N, WI-C100), Beyerdynamic (Amiron 300), Bose (QuietComfort Earbuds), Jabra (Elite 8 Active), JBL (Endurance Race 2, Live Buds 3) ou Marshall (Acton III, Major V, Minor IV, Motif II, Stanmore III, Woburn III). D'autres marques moins populaires sont aussi de la partie, et probablement de nombreux autres modèles qui emploient les composants d'Airoha.

Des risques importants

La faille permet notamment de lire le contenu de la mémoire du contrôleur, qui peut contenir des informations sur ce que vous écoutez. Les chercheurs évoquent aussi la possibilité d'activer le microphone ou même d'effectuer des appels depuis un casque attaqué, s'il est relié à un smartphone. L'activation elle-même n'est heureusement pas discrète : si de la musique est en cours de lecture, l'activation du microphone devrait la couper. Mais si le casque est inactif et allumé (par exemple posé sur une table), le microphone peut être activé.

Des écouteurs Jabra touchés. Image Jabra.

Une autre attaque possible est la possibilité de récupérer des informations, comme le numéro de téléphone du smartphone ou le contenu du carnet d'adresses. Les casques demandent rarement l'accès à ces informations (c'est plutôt réservé aux autoradios) et les systèmes d'exploitation devraient vous demander l'autorisation de le faire, mais si vous ne faites pas attention ou si l'autorisation a déjà été donnée, les informations peuvent être exfiltrées. De plus, les chercheurs expliquent qu'il est possible de modifier le contenu du logiciel du casque pour que le malware se réplique.

Actuellement, la faille a été corrigée dans le SDK d'Airoha début juin, mais les constructeurs doivent mettre à jour le firmware de leurs appareils, et le distribuer massivement. Les chercheurs recommandent aux personnes qui peuvent être ciblées par une attaque de ce type (journalistes, hommes politiques, etc.) d'éviter d'utiliser un casque Bluetooth en public.

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Vision Pro : un ancien ingénieur d’Apple accusé d’avoir volé des secrets industriels pour Snap

Apple accuse un de ses anciens ingénieurs haut placés d’avoir volé des secrets industriels sur le Vision Pro, et ce en vue de s’en servir chez son nouvel employeur, Snap, rapporte SiliconValley.com.

Di Liu a participé à la R&D sur le casque de réalité virtuelle en tant qu’ingénieur senior. Après sept années passées à Cupertino, il a remis sa démission en arguant qu’il voulait passer plus de temps avec sa famille et prendre soin de sa santé. D’après la plainte d’Apple déposée contre lui, il a en fait dissimulé la signature d’un contrat d’embauche chez Snap, le créateur de Snapchat mais aussi des lunettes Spectacles, à un poste très similaire.

Trois jours avant son départ de Cupertino, Di Liu a téléchargé des milliers de documents internes comprenant des secrets industriels sur le Vision Pro (informations sur le contrôle qualité, les coûts de fabrication, la chaîne d’approvisionnement…) et les a transférés sur un espace de stockage en ligne personnel, selon Apple. De son côté, le fabricant des Spectacles, qui n’est pas incriminé dans ce dossier, affirme que ces allégations n’ont pas de lien avec son activité.

La firme de Cupertino accuse donc Di Liu d’avoir violé son accord de confidentialité. Elle réclame des dommages et intérêts ainsi que la restitution des documents volés. Ce genre d’affaires n’est pas une première. En 2021, par exemple, Apple avait poursuivi un de ses designers pour des fuites dans la presse. Le démêlé s’était soldé par un accord financier (confidentiel, lui) entre les deux parties.

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Google Keep disparait de l'Apple Watch après 6 ans de service

Google Keep a perdu son compagnon watchOS avec sa dernière mise à jour sur iPhone. L'app reste proposée sur iPad mais la version pour la montre qui était apparue en 2019 a été retirée. Google Keep sert à prendre des notes qui peuvent contenir du texte, des images ou pourquoi pas des tâches.

Google Keep en 2019. Image Watch Generation.

Le retrait de cette version se produit à un moment où Apple a justement créé une version watchOS de Notes qui fera partie des quelques nouveautés de watchOS 26 à la rentrée. L'un part quand l'autre arrive, peut-être est-ce une simple coïncidence ? Dans le même temps, Google a lancé hier sa première mouture watchOS de Google Agenda.

Google Keep enfin disponible sur iOS

Google Keep enfin disponible sur iOS

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iOS 26 : créez un rappel depuis Téléphone pour ne plus zapper de rappeler

Après avoir installé iOS 26, vous ne pourrez plus dire à vos collègues « oups, désolé, j’ai oublié de te rappeler ». L’application Téléphone comprend une nouvelle fonctionnalité pour ne pas oublier de rappeler un correspondant.

Dans la liste des appels, il faut faire glisser vers la gauche l’appel manqué, puis appuyer sur l’icône d’horloge et choisir l’heure du rappel (dans une heure, ce soir, demain ou personnalisé). Au moment voulu, une notification vous remettra en tête de rappeler votre correspondant.

Création d’un rappel téléphonique. Image iGeneration.

Si vous avez activé la nouvelle interface unifiée de Téléphone, le rappel apparaitra en haut de la liste, dans une nouvelle section nommée « Rappels ». Si vous êtes resté sur l’interface classique, le rappel remontera aussi en haut de la liste, mais il ne sera pas bien démarqué des appels récents. Cela évoluera peut-être avec les prochaines bêtas d’iOS 26.

Cette fonction ne concerne pas seulement les appels manqués, vous pouvez très bien définir un rappel pour une conversation téléphonique que vous avez tenue et qui mérite une suite.

Le rappel est visible dans l’app Rappels. Image iGeneration.

En plus de l’application Téléphone, le rappel créé est visible dans l’application Rappels. La notification reçue vient d’ailleurs de l’app Rappels, et non de Téléphone. Si vous fermez un rappel téléphonique dans une app, il est fermé automatiquement dans l’autre.

L’application Téléphone d’iOS 26 comprend d’autres nouveautés que nous avons présentées dans l’article suivant :

Découverte de Téléphone dans iOS 26 : nouvelle interface, appels inconnus, portages sur l’iPad et le Mac

Découverte de Téléphone dans iOS 26 : nouvelle interface, appels inconnus, portages sur l’iPad et le Mac

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