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La troisième bêta de macOS 15.5 est disponible

Nouvelle étape dans le développement de macOS Sequoia 15.5 avec cette troisième bêta. C'était morne plaine au rang des nouveautés pour les deux premières. Tout au plus avait-on remarqué le même petit changement apporté dans Mail sur iOS, avec un menu étoffé pour la gestion des catégories. La 15.4 avait été d'emblée plus intéressante avec le renfort d'Apple Intelligence, mais il n'y avait pas une foultitude de changements non plus.

macOS 15.4 : comment fonctionne la configuration rapide d

macOS 15.4 : comment fonctionne la configuration rapide d'un nouveau Mac avec un iPhone

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La troisième bêta d’iOS/iPadOS 18.5 est disponible

La troisième bêta d'iOS 18.5 est en téléchargement pour les développeurs, accompagnée de sa cousine iPadOS 18.5. Cette version s'annonce a priori plus légère que la précédente qui avait été lestée avec pas mal de changements en plus de l'arrivée d'Apple Intelligence dans plus de pays, dont la France. tvOS 18.5 est également de la partie.

Free Mobile améliore sa gestion de l

Free Mobile améliore sa gestion de l'eSIM sur iOS 18.5

iOS 18.5 facilite la désactivation du nouvel affichage dans Mail

iOS 18.5 facilite la désactivation du nouvel affichage dans Mail

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Barbee, une excellente alternative à Bartender pour nettoyer la barre des menus de son Mac

Barbee (7,99 €) n’a rien à voir avec la célèbre poupée de Mattel, cet utilitaire est une alternative à Bartender. Comme cette dernière, l’app permet principalement de nettoyer la barre des menus de macOS en masquant par défaut la plupart des icônes qui viennent parfois s’entasser dans le coin supérieur droit de l’écran de son Mac. Une fois active, elle vient masquer tous les éléments, sauf ceux que vous décidez de garder en permanence à l’écran, et les affiche ensuite au survol du curseur ou bien en utilisant l’une des multiples autres options proposées par le développeur.

Barbee en action avec plusieurs fonctionnalités : la barre des menus qui se masque sauf au survol, deux widgets (bleu et vert) et le logo d’Apple modifié en haut à gauche. Image MacGeneration.

L’app n’est pas nouvelle, loin de là, et cela se sent quand on l’essaie. Barbee propose énormément de fonctionnalités, à tel point qu’il faut prendre un petit peu de temps au départ pour en faire le tour. Il existe deux grandes manières d’afficher les icônes, soit directement dans la barre des menus, soit dans une deuxième barre en dessous. On peut ajuster les différentes méthodes pour afficher toutes les icônes, y compris en utilisant un raccourci clavier. Il y a aussi des réglages pour personnaliser l’interface d’Apple, en changeant la pomme sur la gauche ou bien en masquant l’encoche présente sur les Mac portables.

On peut même créer des widgets avec Barbee, des éléments d’interface qui flottent au-dessus des fenêtres de macOS et qui affichent l’un des éléments de la barre des menus. Si vous utilisez un outil de surveillance des performances du Mac, comme iStat menus, vous pouvez ainsi garder un œil sur des statistiques tout en gardant une barre nettoyée. Enfin, on peut créer des profils avec des configurations spécifiques et même des automatisations pour ajuster les paramètres en fonction d’autres critères.

Face à un Bartender au destin plus ou moins incertain depuis son changement de propriétaire l’an dernier, Barbee est une alternative qui mérite le détour si vous cherchez une app dans cette catégorie. Distribuée exclusivement sur le Mac App Store, elle est gratuite au téléchargement et propose un mode démo gratuit pendant trois jours. Au-delà, deux formules sont proposées : soit un achat définitif à 7,99 €, soit un abonnement annuel à 2,99 €.

Barbee nécessite macOS 11 au minimum et son interface est traduite en français.

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La dernière publicité d’Apple évoque une fonction d’Apple Intelligence qui est bien réelle et utile

Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…

Gomme magique : que vaut l’outil d’effacement d’Apple face à celui de Google ?

Gomme magique : que vaut l’outil d’effacement d’Apple face à celui de Google ?

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Word pour iOS peut transformer des notes orales en documents structurés grâce à Copilot

Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.

La fonctionnalité en action. Image Microsoft.

L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.

Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.

Les trois formats par défaut pris en charge par Word pour cette nouveauté. Image Microsoft.

Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.

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Un développeur a glissé un lecteur vidéo dans son app CarPlay, à l’insu d’Apple

Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.

Voir dans Threads

Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.

Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.

Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.

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Être poli avec ChatGPT coûte des millions de dollars en électricité pour OpenAI

À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.

Oups, désolé Sam. Image MacGeneration.

Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.

On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.

GPT-4o : OpenAI peine à suivre la demande pour son nouveau générateur d’images

GPT-4o : OpenAI peine à suivre la demande pour son nouveau générateur d’images

L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.


  1. Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses.  ↩︎

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Promo : l’Apple Watch Series 10 cellulaire à 450 € au lieu de 569 sur Amazon France

Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.

Image WatchGeneration.

La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.

Test de l

Test de l'Apple Watch Series 10 : ce n’est pas l’Apple Watch X, mais ce n’est pas grave

La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.

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Avec la Firefly, Nio espère concurrencer les citadines électriques européennes

Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.

La Firefly se distingue d’abord par ces feux en trois morceaux, une idée très originale qui lui donne une personnalité. Image Firefly.
On retrouve la même signature lumineuse à l’arrière. Image Firefly.
La voiture ne dépasse pas les 4 mètres de long, ce qui en fait une excellente candidate pour les villes européennes. Les roues ont été placées aux quatre coins pour maximiser l’espace intérieur. Image Firefly.

Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.

Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.

L’avant de la Firefly est minimaliste façon Tesla, avec l’essentiel des contrôles regroupés sur l’écran central. Le système d’exploitation est maison et les premiers retours saluent l’originalité et la qualité de l’interface. Image Firefly.
D’un point de vue pratique, l’absence de console centrale est un argument majeur avancé par le constructeur, même s’il y a en contrepartie moins de rangements et un seul porte-gobelet ainsi qu’un seul chargeur à induction. Image Firefly.
L’arrière est également spacieux pour un véhicule de cette catégorie, même si les plus grands adultes seront forcément à l’étroit derrière d’autres grands adultes. Image Firefly.

C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.

Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.

Le coffre à l’arrière est déjà de taille très correcte… Image Firefly.
… mais la Firefly se distingue surtout par l’immense frunk à l’avant. Pour parvenir à caser tout cet espace, le constructeur a toutefois sacrifié la pompe à chaleur. Image Firefly.
Le frunk dispose même d’un drain qui permettra de le transformer en glacière ou en espace de stockage pour des affaires très sales. Image Firefly.

Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.

Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.

Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.

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La zone des appareils photos au dos des iPhone 17 Pro serait si grande qu’elle pourrait être décorée

Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.

Image @MajinBuOfficial@x.

Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.

Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.

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Kwack fait cancaner le Mac à chaque fois que vous appuyez sur une touche de clavier

Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.

N’oubliez pas de mettre le son. Image MacGeneration.

Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal. ‍

Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.

Klack simule le son d’un clavier mécanique, même si votre Mac n’en a pas

Klack simule le son d’un clavier mécanique, même si votre Mac n’en a pas

Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.

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SFR Red augmente encore l’enveloppe data de son forfait à 10 € : 250 Go de 5G par mois

SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.

Capture site RED, image iGeneration.

Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.

Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.

Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.

Promo : SFR RED propose 100 Go de 5G pour 6,99 € par mois, un record

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Les ventes d’iPhone chutent drastiquement en Chine

Alors que la plupart des entreprises de la tech ont passé un premier trimestre très chahuté, Apple doit rajouter à ces « petits » soucis un autre problème : les ventes d’iPhone dans l’empire du milieu, pourtant l’un des plus gros marchés pour les fabricants de smartphones, chutent drastiquement, comme le rapporte 9to5Mac.

Si encore ses concurrents chutaient aussi... mais au contraire, les deux premiers du podium ont augmenté leur part de marché, et pas qu’un peu : Xiaomi passe de 13,8 % à 18,6 % par rapport à l’an dernier, et Huawei de 17 % à 18 %. Dans le même temps, Apple bon cinquième du classement perd 9 %, voyant ses chiffres de vente passer de 10,8 millions d’unités à 9,8 millions.

Quelles raisons peuvent expliquer un tel repli ? Si l’absence d’Apple Intelligence, quand les constructeurs locaux ont déjà intégré l’intelligence artificielle du pays dans leurs téléphones est un bon début, ce n’est pas pour autant la seule.

Même si c’est dans une moindre mesure qu’au Canada, la défiance envers les produits américains est présente en Chine, et joue en partie sur les ventes de la pomme. En effet, quel produit symbolise plus les USA que l’iPhone dans le monde, à part peut-être le Big Mac ou Coca-Cola ? D’autant plus que les autres géants de la tech tels Meta, Google ou encore Amazon n’étant pas présents dans le pays, Apple est de facto la plus belle cible pour montrer son mécontentement à propos de la politique US.

Cerise sur le gâteau, dernier caillou dans la chaussure, le gouvernement chinois propose à ses citoyens une prime d’aide à l’achat d’un smartphone. Prime qui a bien entendu un plafond tarifaire pour être délivrée, éliminant tous les iPhone à part les iPhone 16 et 16e. Or, les appareils les plus achetés généralement appartiennent à la gamme Pro, qui n’a pas le droit aux subsides, et se retrouve donc boudée.

Tous ces soucis mis bout à bout font s’effondrer la part de marché d’Apple en Chine, et la société redouble d’efforts pour revenir dans la course. L’arrivée d’Apple Intelligence dans le pays inversera-t-elle la tendance ? Rien n’est moins sûr...

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Incogni : la vie privée, enfin prise au sérieux (par quelqu’un d’autre que vous)

Il y a encore quelques années, la protection des données personnelles se résumait, au mieux, à une extension de navigateur pour bloquer les cookies. Puis le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est arrivé en Europe, suivi du CCPA californien, et la question a changé de ton. Elle s’est juridicisée. Soudain, nous avions des droits.... Mais entre le droit et son application concrète, un gouffre persiste. C’est dans cet interstice qu’Incogni s’est glissé.

Incogni, développé par Surfshark, n’a pas pour ambition de vous « protéger » de manière vague : sa mission est claire, précise et légalement fondée.

Il s’agit d’un agent automatisé qui agit en votre nom pour exercer votre droit à l’effacement auprès des courtiers de données (data brokers). Et là, on ne parle pas d’un coup d’éponge symbolique sur les cookies marketing : on vise les bases de données profondes, celles qui alimente les moteurs de scoring, les profils publicitaires avancés, les reventes croisées entre entreprises peu scrupuleuses.

Un fonctionnement sur mandat

Le service fonctionne sur mandat : une fois votre identité vérifiée, Incogni devient votre représentant officiel et envoie des demandes de suppression de données aux entreprises listées dans ses bases.

Ces demandes sont juridiquement contraignantes dans les pays couverts par le RGPD ou des lois équivalentes. En d’autres termes : elles ne relèvent pas d’un opt-out de confort, mais d’une obligation légale.

Une mécanique bien huilée… et plus intelligente qu’il n’y paraît

L’interface est dépouillée, volontairement. Mais derrière cette apparente simplicité se cache un moteur algorithmique qui cartographie en permanence l’écosystème mondial des courtiers de données. Incogni classe ces acteurs par juridiction, profil de risque, type de données collectées et réactivité historique face aux requêtes. Autrement dit, chaque demande est priorisée en fonction d’un indice d’impact potentiel.

En pratique, cela signifie que le service ne se contente pas d’une stratégie linéaire : il optimise vos chances de voir vos données supprimées là où elles posent le plus problème. Le suivi est granulaire : chaque entreprise contactée est affichée avec son statut (demande envoyée, en attente, acceptée, refusée, hors juridiction…), et les progrès sont consolidés dans un rapport de suppression.

Jusqu’où peut-on reprendre le contrôle ?

La question est cruciale : peut-on réellement purger sa présence numérique en utilisant un outil comme Incogni ? Réponse courte : non. Réponse longue : partiellement, mais de manière significative.

Pourquoi ? Parce que certains courtiers opèrent en dehors de toute juridiction protectrice. D’autres, plus pervers, masquent leur existence ou se déguisent sous des dizaines de marques. Et puis il y a les plateformes elles-mêmes (Google, Meta, Amazon…), dont les modèles économiques reposent sur la collecte — celles-là, Incogni ne les touche pas directement.

Mais là où l’outil excelle, c’est dans l’assainissement du marché gris : les courtiers semi-légaux, les revendeurs de listes marketing, les agrégateurs de profils socio-économiques utilisés par les assureurs ou les recruteurs. En quelques semaines, plusieurs dizaines de bases peuvent cesser de vous profiler. Et cela a un effet tangible : réduction des spams, fin de certaines publicités ultra ciblées, diminution des sollicitations commerciales obscures.

Une approche défensive, mais stratégique

Incogni s’inscrit dans une logique de défense active. Loin d’un gadget « privacy-friendly », c’est un outil pensé pour les individus lucides sur l’économie de la donnée. Celles et ceux qui savent que l’exposition numérique est un levier d’influence — commerciale, sociale, parfois politique — et qui choisissent de refermer les portes une à une.

Le modèle économique est transparent : abonnement mensuel ou annuel en illimité (7,29 € par mois ou 12,99 € par an), avec la possibilité d’annuler à tout moment. Pas de revente de données, pas de pistage parallèle : Surfshark joue ici la carte de la cohérence éthique, renforçant sa position sur le marché des services de protection numérique.

Essayez Incogni pour retirer vos informations personnelles du Web

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Un humanoïde boucle le semi-marathon de Pékin en 2h40

La pratique de la course à pied connaissant un succès grandissant, il est de plus en plus difficile de trouver un dossard pour participer à la course ou trail du coin. C’est d’autant plus vrai dans les grandes villes. Le week-end dernier, le Schneider Electric Marathon de Paris a ainsi attiré près de 57 000 coureurs.

Attention, les choses pourraient ne pas s’arranger avec l’arrivée d’un nouveau type de participant : les humanoïdes ! Ces derniers ont participé au semi-marathon de Pékin qui avait lieu hier. Les grandes entreprises de robotique étaient invitées à inscrire leurs champions pour une course qui se tenait en parallèle de ce rendez-vous prisé par les coureurs chinois.

La bonne nouvelle, c’est que nous, simples êtres humains, avons encore un peu de marge, sur ces bipèdes d’un nouveau genre. Tiangong Ultra de Beijing Humanoid Robot Innovation Centre a bouclé les 21,1 kilomètres en un peu plus de 2 heures et 40 minutes. Un temps qui reste à la portée de l’immense majorité des êtres humains.

Le robot en question a écopé d’une pénalité de dix minutes pour changement de batterie. Même au niveau du ravito, l’être humain a encore un peu de marge. Pour d’autres humanoïdes, la course s’est moins bien passé. L’un d’eux s’est écroulé sur la ligne de départ…

La question est de savoir si ce type d’événements va se multiplier et si, dans quelque temps, on aura des humanoïdes fabriqués par des entreprises du monde entier qui viendront faire la course. Avec une question derrière : seront-ils fair-play ? Les humains, hélas, ne le sont pas toujours…

@rmcsport

Plus gros craquage qu'on ait jamais vu dans une course de relais. On est sur un 4x200m féminin en Virginie. Inutile de vous préciser qu'elle a été disqulifiée.

♬ son original - rmcsport
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Promo : les AirPods Pro 2 à 220 € (-59 €)

Les AirPods Pro 2 sont en vente à 220 € chez Amazon Italie, soit 22 € de moins que le prix sur le site français et 59 € de moins aussi que l'Apple Store.

C'est une très bonne réduction que le site italien a l'air de faire sienne, elle s'inscrit dans le temps là où les autres vendeurs sont plus prompts à revenir se caler sur le prix d'Apple (la Fnac propose actuellement 279,99 €). Ce tarif comprend les frais de port et une livraison est possible pour mercredi prochain. Quant aux AirPods 4, les réductions en Italie sont au même niveau qu'en France (-10 %).

Le boitier des AirPods Pro 2 peut se charger sans fil, même au moyen du chargeur inclus avec les Apple Watch. Image Apple.

Les AirPods Pro 2 sont des écouteurs intra-auriculaires que l'on recommande sans hésitation1. En plus d’offrir une excellente qualité sonore et une très bonne réduction active du bruit, ils comprennent de multiples fonctionnalités avancées comme la détection des conversations, l’audio adaptatif, le volume person­nalisé, la possibilité de répondre par oui ou non à une notification par un mouvement de la tête.

Apple a encore élargi récemment la palette des fonctions de ces AirPods en activant en France il y a quelques mois le test d'audition et de réduction des sons forts.

AirPods Pro 2 : le test d’audition désormais disponible grâce à iOS 18.2

AirPods Pro 2 : le test d’audition désormais disponible grâce à iOS 18.2

AirPods Pro 2 : la petite sonnerie dans le boitier est normale

AirPods Pro 2 : la petite sonnerie dans le boitier est normale


  1. Apple trouverait un moyen de les rendre mieux recyclables ce serait la cerise sur le gâteau.  ↩︎

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Sortie de veille : le futur de l’iPad se trouve-t-il dans le Mac ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Et si cette fois, c’était la bonne ? Après des années passées à se chercher, iPadOS pourrait finalement libérer tout le potentiel des iPad. Apple n’irait plus chercher midi à quatorze heures, le système des tablettes pourrait directement s’inspirer de macOS. Une bonne stratégie ? On en discute dans cette émission.

Dans le reste de l’actualité, Donald Trump accorde un répit à Apple dans la guerre commerciale, l’Apple Watch fête ses dix ans avec un pin’s et les Mac Intel n’ont pas dit leur dernier mot.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

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  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez-la directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bon week-end !

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Quand Apple a sorti... une molaire

Le premier Mac à arborer des éléments plastiques transparents... l’iMac G3 ? Perdu. Le dernier à arborer le design beige... le PowerMac G3 Desktop ? Encore perdu. Quasiment oublié tant sa carrière fut courte et anonyme, un Mac unique étant donné son design et ses caractéristiques : le PowerMac G3 « All-In-One », affectueusement surnommé le « Molar Mac » (Mac molaire) par ses aficionados.

C’est le youtubeur Krazy Ken qui le rappelle à nos bons souvenirs, même si l’Europe ne l’a pas vraiment connu : et pour cause, il n’a été vendu que sur le sol US, et pendant seulement 9 mois. Sa carrière a démarré en avril 1998, en étant vendu uniquement sur le site Apple, et exclusivement réservé au marché de l’éducation. Face à la concurrence de l’iMac G3, il a disparu en janvier 1999, sans tambours ni trompettes.

Si son design criait à qui veut l’entendre qu’il était « le cul entre deux chaises », avec son écran 15 pouces, son teint beige adouci de formes arrondies et une légère transparence sur le dessus et le dos, ses caractéristiques étaient toutes aussi étranges : le PowerPC G3 à 233 MHz et le processeur graphique ATI Rage II ne choqueront personne pour l’époque, ni les 384 Mo de RAM maximum (pour 32 Mo en sortie d’usine). Mais les 3 extensions PCI, le disque dur et la prise SCSI, ou encore la présence de l’Apple Desktop Bus pour brancher le clavier et la souris sont les témoins d’une époque qui était sur le point de s’éteindre.

De la même manière, c’était le dernier Mac proposant à la fois un lecteur CD-ROM, un lecteur de disquette et un lecteur ZIP ! Il était aussi doté de deux prises casque en façade, permettant ainsi à deux élèves de suivre une vidéo en même temps sans gêner le reste de la classe.

Peut-être pas le plus beau, mais il a un côté attachant (le Mac, pas le youtubeur !). Capture MacGeneration.

Si la version de base était proposée en 233 MHz sans le lecteur ZIP à 1499 dollars, le haut de gamme à 1799 dollars proposait, en plus du lecteur ZIP et du processeur poussé à 266 MHz, une particularité rare : il intégrait une carte d’acquisition vidéo, avec entrées et sorties analogiques et S-Vidéo, permettant de faire du montage grâce au logiciel Avid Cinema fourni (Final Cut Pro n’était pas encore la propriété d’Apple à l’époque, mais de Macromedia).

Étrange, bizarre, ce petit bout d’histoire d’Apple un peu « Frankenstein » sur les bords témoigne d’une époque de révolutions : NeXT venait d’être rachetée, et Steve Jobs de reprendre les rênes de l’entreprise, s’apprêtant à modifier profondément la pomme et les produits qu’elle créera par la suite... époque de tous les dangers, dont les plus vieux se rappelleront tout de même avec une pointe de nostalgie.

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Clap de fin pour Mythic Quest, qui voit son épisode final modifié pour mieux clore la série

L’une des plus vieilles séries créées par Apple TV+ n’est plus : Mythic Quest, qui suivait une petite entreprise de jeux-vidéos, n’aura pas droit à une nouvelle saison. Et Apple en a profité pour revoir discrètement le dernier épisode suite à cette décision.

Les têtes ne devaient pas être plus joyeuses au moment de l’annonce du clap final... Image Apple TV+.

La série a été lancée le 7 février 2020, soit à peine quatre mois après le lancement du service Apple TV+. Au fil du temps, elle a gardé sa base de fans, et était plutôt bien vue des critiques... mais il semblerait que le nombre de spectateurs soit resté trop faible pour laisser continuer la série plus longtemps.

La décision d’arrêter là n’a, semblerait-il, pas été immédiatement tranchée. En effet, si Apple a annoncé publiquement la fin de la série, le dernier épisode laissait jusque-là entrevoir une ouverture laissant espérer une suite. Aucun espoir n’est possible maintenant : la fin a été discrètement modifiée pour fermer définitivement le scénario, comme le rapporte 9to5Mac qui qualifie cette modification de « syndrome George Lucas », le réalisateur bien connu ayant tendance à revisiter de temps en temps ses films, supprimant par la même les anciennes versions du commerce. L’équipe de production, tout en parlant de leur ressenti sur la fin de l’aventure, considère que cette modification leur a permis de mieux dire au revoir à leurs fans :

Toutes les fins sont difficiles. Mais après quatre saisons incroyables, Mythic Quest a atteint son chapitre final. Nous sommes fiers de notre travail, et du monde que nous avons créé – et profondément reconnaissants envers les acteurs et toute l’équipe, qui ont mis tout leur cœur dedans. À tous les fans, merci d’avoir joué avec nous. À nos partenaires chez Apple, merci pour avoir cru en notre vision depuis le début. Parce que les fins sont toujours difficiles, Apple nous a laissé faire une dernière retouche sur l’épisode final – pour que nous puissions dire au revoir, plutôt que de rester sur un Game Over.

Si la série principale est terminée, les fans pourront se consoler un petit peu, un spin-off nommé « Side Quest » étant disponible depuis le 26 mars, pour prolonger le plaisir avec quatre épisodes « explorant la vie des employés, des joueurs et des fans qui sont touchés par le jeu ».

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Un support pour Mac mini M4 qui en bouche un coin(-coin)

Vous voulez un peu de joie dans votre bureau ? Et si en bonus cette petite touche de gaité permettait de résoudre le souci le plus casse-pieds du Mac mini M4 ? Un accessoire présent sur AliExpress pourrait bien faire votre bonheur.

Avec le bouton enfin accessible, vous ne resterez plus le bec dans l’eau pour allumer votre Mac. Capture MacGeneration.

Si certains ont déjà proposé une solution pour déplacer le bouton d’allumage à un endroit plus accessible, le moins qu’on puisse dire, c’est que ces idées ne cassaient pas trois pattes à un canard : un petit levier en plastique, une base toute tristounette, pas de quoi en boucher un coin.

Ici, fin de la tristesse, fin du bouton inaccessible : non seulement vous allez rendre le sourire à vos amis, mais une fois qu’ils auront vu que le museau dépassant du support permet d’allumer la machine, ils en auront à coup sûr le bec cloué ! Si les designers d’Apple avaient provoqué un couac avec ce bouton mal placé, ce sera de l’histoire ancienne avec ce support, disponible pour 12,59 € sur le site chinois. Ainsi, même avec son bouton mal placé, votre Mac mini M4 ne restera pas le vilain petit canard de la famille.

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Spotify augmente ses tarifs au Benelux : bientôt en France ?

Vous êtes abonnés à Netflix et à Spotify ? Il est bien possible que vous ayez tiré la mauvaise pioche cette semaine : après le service de SVOD qui augmente ses tarifs en France, celui de streaming musical annonce lui aussi une nouvelle grille tarifaire, comme le remarque Numerama. Si la France est épargnée pour le moment, rien ne dit qu’elle ne suivra pas dans peu de temps.

Les nouveaux tarifs de Spotify au Luxembourg... Capture MacGeneration.

Le Benelux (pour Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) a en effet eu la surprise de voir les tarifs de Spotify augmenter aujourd’hui : chaque abonnement a pris entre 1 et 4 euros de plus. Tous les pays ne sont pas à la même enseigne, la Belgique ayant subi une inflation moins élevée que ses deux camarades. La grille tarifaire est maintenant la suivante :

  • Premium Individuel : Belgique 10,99 € => 11,99 €, Pays-Bas/Luxembourg 10,99 € => 12,99 €
  • Premium Duo : Belgique 14,99 € => 16,99 €, Pays-Bas/Luxembourg 14,99 € => 17,99 €
  • Premium Famille : Belgique 17,99 € => 20,99 €, Pays-Bas/Luxembourg 17,99 € => 21,99 €
  • Premium Étudiants : Benelux complet 5,99 € => 6,99 €

Si les tarifs étudiants ont vu leurs prix monter de manière similaire, ce n’est donc pas le cas des autres, qui montrent un écart d’un euro entre la Belgique et ses deux pays limitrophes.

Et la France ? Même si elle est pour le moment épargnée, il est bien possible que ce ne soit que pour une courte durée : Deezer a déjà augmenté ses tarifs, et l’entreprise suédoise serait bien tentée de suivre la marche... reste que Spotify est le seul service de musique en ligne à ne pas proposer d’abonnement « qualité CD », positionnement plus qu’étrange bien que ce manque n’ait pas l’air de jouer sur son nombre d’abonnés.

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Choosy permet de choisir un navigateur web différent en fonction du lien à ouvrir

Choosy (8,8 €) est un utilitaire qui doit être défini comme navigateur web par défaut de votre Mac et qui se charge ensuite d’ouvrir les liens dans le navigateur de votre choix, en fonction de règles que vous définissez. C’est loin d’être le premier du genre et l’app existe depuis quelques années, mais l’idée reste intéressante si vous avez l’habitude d’utiliser plusieurs navigateurs en parallèle et que vous cherchez une solution pour systématiquement ouvrir des sites web d’un côté ou d’un autre.

Quelques paramètres de Choosy : sélection des navigateurs à gauche, liste des règles au centre, détail d’une règle à droite. Image MacGeneration.

Une fois Choosy installée, vérifiez que l’app est bien définie comme le navigateur par défaut dans les Réglages Système, puis dans « Bureau et Dock » (ne demandez pas pourquoi). Ceci fait, c’est l’utilitaire qui fera l’intermédiaire pour tous les liens ouverts sur l’ordinateur. Dès lors, les règles configurées dans l’app prennent le relai et décident du comportement. Vous pouvez choisir la liste de navigateurs à utiliser, en les triant par ordre de priorité pour sélectionner d’abord celui qui est en haut de la liste. Vous pouvez configurer l’app pour ouvrir les liens dans le navigateur ouvert s’il n’y en a qu’un seul, puis d’afficher l’interface de Choosy dès lors qu’il y en a plus d’un.

Les règles sont aussi traitées par priorité, ce qui permet d’indiquer à l’app d’ouvrir systématiquement un site web dans un navigateur, ce qui sera probablement l’usage le plus courant. Le développeur de Choosy a ajouté de multiples options pour créer des règles sophistiquées et faire varier le comportement selon l’app où se trouvait le lien, selon l’origine du lien (on peut gérer différemment ceux qui arrivent par Handoff ou AirDrop, par exemple) et bien d’autres paramètres encore. C’est le genre d’utilitaire qui demande de prendre un petit peu de temps au départ pour l’appréhender pleinement, mais qui est indéniablement très puissant en contrepartie.

Quand aucune règle n’est prise en compte, Choosy affiche alors une interface qui permet d’ouvrir le lien dans un navigateur à choisir d’un clic. Elle peut reprendre la présentation du multitâche de macOS avec une barre horizontale, ou bien opter pour une version arrondie plus originale. Un paramètre permet de ne garder que les navigateurs web actuellement ouverts ou tous les afficher. Pour compléter le tout, Choosy dispose aussi d’extensions web pour les principaux navigateurs, dont Safari, ce qui permet de transférer l’URL en cours vers une autre app. Et pour les utilisateurs avancés, une API permet d’automatiser encore plus le comportement de l’app.

Les deux présentations pour le sélecteur manuel du navigateur web à utiliser lors de l’ouverture d’un lien. Image MacGeneration.

Choosy peut être téléchargée gratuitement et testée sans payer pendant 45 jours. Au-delà, une licence facturée 10 $ (8,8 €) est nécessaire et elle sera valide sur tous les Mac utilisés par une même personne. macOS 14.6 (Sonoma) est nécessaire pour installer l’app, dont l’interface n’est pas traduite en français.

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Doom, Mario, Civilization : les IA génératives peuvent-elles terminer des jeux des années 90 ?

Cela fait plusieurs mois que des petits malins s’amusent à essayer de faire jouer les IA génératives à des jeux vidéo : la chaîne Twitch Claude Plays Pokemon montre par exemple le modèle d’Anthropic tentant de venir à bout de Pokémon Rouge grâce à ses capacités de vision par ordinateur. Le chercheur Alex Zhang va plus loin et a créé VideoGameBench, un benchmark qui cherche à voir si les modèles d’IA peuvent terminer une vingtaine de jeux vidéo tournant en temps réel. Le test repose sur des titres des années 90 aux genres variés.

4 modèles d’IA jouant à Doom

Alex Zhang note que, si les LLM peuvent effectuer certaines actions complexes, ils sont bien en peine de venir à bout de jeux vidéo demandant de raisonner à court et à long terme, en plus de faire preuve d’intuition et de compréhension de l'espace. Son benchmark fournit l’essentiel à l’IA, à savoir l’image du jeu, une « manette » virtuelle et une indication claire si un jeu est terminé. Les titres présentés sont principalement des jeux Game Boy ou MS-DOS pour la bonne raison que les repères visuels sont plus simples que ceux des jeux plus récents, et car ils requièrent de faire appel à une manette comme à une souris, ce qui pose des défis variés.

Les genres sont multiples, avec de la plateforme (Super Mario Land) ou des titres plus calmes comme Pokémon Crystal ou Civilization 1. Certains jeux nerveux tels Doom ou Quake sont au programme, pour lesquels Alex Zhang a dû ruser : ceux-là se mettent automatiquement en pause lorsque le LLM « réfléchit », ce qui lui évite de se faire tuer directement par un ennemi lui tirant dessus.

VideoGameBench en action

Quelle observation tirer de tout cela ? Eh bien que les modèles d’IA doués de vision sont bien loin de pouvoir terminer un jeu complet, et qu’ils peinent globalement à arriver au bout du premier niveau de chaque titre. Les IA prennent entre 3 et 5 secondes pour effectuer une action, ce qui est bien trop lent pour certains jeux comme Mario où les premiers ennemis arrivent déjà plutôt lentement.

L’expérience met en lumière certaines difficultés des modèles, ayant parfois du mal à interpréter ce qu’ils « voient ». La vidéo ci-dessous montre Claude en train de gaspiller ses balles sur un ennemi… déjà à terre, ce qui l’empêche d’aller bien loin. L’IA a aussi du mal à être précise avec un combo clavier/souris, ce qui est capital dans des jeux comme Civilization ou Warcraft. Enfin, les modèles ne comprennent pas certaines mécaniques des jeux peu intuitives, qu’ils sont incapables de deviner sur le tas (par exemple les techniques pour battre un boss).

Alex Zhang n’indique pas quel modèle commercial est le plus efficace, mais explique que GPT-4o, Claude Sonnet 3.7, Gemini 2.5 Pro et Gemini 2.0 Flash sont incapables de venir à bout du premier niveau de Doom. Le projet est disponible gratuitement sur GitHub si vous voulez l’essayer en local.

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La Switch 2 sera en précommande aux États-Unis et Canada le 24 avril

En dépit d'une incertitude latente sur les droits de douane imposés par les États-Unis, Nintendo s'apprête à ouvrir les précommandes de Switch 2 en Amérique du Nord.

Image Nintendo.

Le 24 avril prochain, des Américains et Canadiens risquent d'interrompre leur activité pour quelque chose de plus sérieux : précommander leur Switch 2. Ils rejoindront les autres pays qui l'ont fait depuis le 8 avril. Devant les annonces de forte hausse des droits de douane américains sur des produits venant d'Asie, Nintendo avait temporisé pour les États-Unis et le Canada.

La Switch 2 est déjà disponible en précommande chez certains revendeurs, avec des promos

La Switch 2 est déjà disponible en précommande chez certains revendeurs, avec des promos

Après la phase des précommandes, ces deux pays recevront la Switch 2 le 5 juin, en même temps que les autres marchés. Le prix américain de la console n'a pas été modifié, il reste à 449,99 $. Pas de mouvements d'étiquettes non plus sur les deux jeux de lancement, Mario Kart World et Donkey Kong Bananza.

Image Nintendo.

Des augmentations ont pourtant été décidées, mais Nintendo les appliquera aux accessoires de sa console, ils représentent 5 $ de plus. Nintendo précise qu'au vu de la volatilité de la situation économique il ne s'interdit pas de reconsidérer le prix de n'importe lequel de ses produits.

Trop chère, la Switch 2 ? Nintendo répond que non

Trop chère, la Switch 2 ? Nintendo répond que non

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Netflix teste un moteur de recherche avec OpenAI et un nouvel écran d'accueil

Netflix a lancé le bêta-test d'un moteur de recherche fonctionnant avec les technologies d'OpenAI, le créateur de ChatGPT. Le service de streaming a confirmé une information de Bloomberg selon laquelle des utilisateurs en Australie et en Nouvelle-Zélande ont commencé à évaluer un moteur de recherche de films et de séries plus sophistiqué.

Image Netflix.

Ce test est pour l'instant limité à ces deux pays, mais Netflix prévoit de l'étendre à d'autres dans les semaines et mois à venir. C'est une option qui doit être activée, elle n'est pas imposée d'office à l'utilisateur. Autre particularité, elle n'est proposée que dans son app iOS. La porte-parole interrogée par The Verge a précisé qu'il n'était pas prévu d'aller sur d'autres plateformes dans l'immédiat.

Ce moteur accepte des requêtes en langage naturel, comme il est de rigueur pour les outils d'IA, et des critères plus larges comme l'humeur du spectateur. Il doit être possible d'obtenir des recommandations de films ou de séries en allant plus loin que les habituelles demandes sur un genre particulier de film ou le nom d'un acteur. Netflix n'en est qu'au tout début de l'évaluation de cette nouvelle approche, a précisé la porte-parole.

Ce moteur pourrait servir bien au-delà d'iOS puisque Netflix entend rendre son outil de recherche plus « interactif » grâce à l'IA générative. Gregory K. Peters, dans un échange hier avec les analystes, n'a pas donné plus de détails, mais on peut émettre l'hypothèse d'un moteur avec lequel on pourrait affiner sa recherche par des échanges successifs avec l'IA.

Dans le courant de l'année, Netflix prévoit aussi de déployer un nouvel écran d'accueil — il n'a pas évolué depuis une décennie — dans le but d'améliorer la découverte des contenus.

Une version de janvier 2024 du futur écran d'accueil. Image Netflix.

Cette refonte est en test depuis plus d'un an auprès d'un public restreint. Il devrait proposer par exemple une galerie d'affiches où la sélection d'un titre lance la lecture d'un extrait et affiche directement les informations principales, comme le font déjà d'autres services, tel Prime Video.

Netflix augmente ses prix en France sur fond de bons résultats

Netflix augmente ses prix en France sur fond de bons résultats

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Redonnez vie à vos photos floues : l'IA d’Aiarty passe à la vitesse supérieure

Il y a des photos qu’on aimerait pouvoir sauver. Des clichés de famille trop anciens pour être nets, des selfies pris dans l’urgence ou dans un endroit trop sombre, voire des images générées par IA dont le charme s'effondre au premier zoom.

Bonne nouvelle : vous pouvez désormais récupérer tout cela — sans sacrifier vos nerfs, ni votre portefeuille — grâce à Aiarty Image Enhancer, un logiciel dopé à l’intelligence artificielle, qui s’offre un joli coup de boost avec sa version 3.3.

Et comme c’est Pâques, Aiarty se lâche : - 39 % sur la licence à vie pour trois postes, avec mises à jour gratuites à vie, et en bonus un an de licences pour VideoProc Converter et Aiarty Image Matting. Voilà qui donne un tout autre goût au chocolat.

Une IA qui comprend vos images

Le cœur de Aiarty Image Enhancer, c’est une IA musclée mais nuancée, capable de repérer ce qui cloche dans vos photos — et de corriger sans dénaturer. Que ce soit un vieux portrait scanné, un groupe d’amis en basse lumière ou une création générée par IA, l’outil adapte sa retouche à chaque cas de figure.

Avec la mise à jour 3.3, la nouveauté majeure s’appelle AI Face Restoration. Derrière ce nom clinique se cache une fonctionnalité redoutable : elle repère automatiquement les visages, même dans les scènes de groupe ou sur des clichés RAW/DNG/TIFF, puis restaure les traits sans transformer vos proches en personnages de The Sims.

Elle affine la texture de la peau, ravive les yeux, redessine les contours… C’est subtil, mais diablement efficace.

Des modèles IA adaptés à chaque image

Sous le capot, Aiarty Image Enhancer embarque plusieurs modèles d’intelligence artificielle. Leur but ? Offrir le bon rendu, au bon moment.

  • More Detail GAN v3 : le modèle par défaut. Il excelle dans les détails fins : fourrure, cheveux, textures naturelles… Il donne du relief sans forcer.
  • AIGC Smooth v3 : parfait pour les œuvres générées par IA, l’anime, les illustrations et les textures lisses. Il élimine les artefacts, tout en respectant l’esthétique d’origine.
  • Real Photo v3 : pour les photos réalistes. Il améliore la netteté sans créer d’effet "retouche excessive".
  • Smooth Diff v2 : idéal pour les images à faible contraste ou bruitées. Il les rend plus nettes, lumineuses et fidèles.

Le tout fonctionne en un clic — pas besoin d’un doctorat en traitement d’image. Un guide pas-à-pas est disponible pour ceux qui veulent aller plus loin.

Bruit numérique, grain, ISO élevé : tout passe à la machine

Clichés pris de nuit, photos de concert ou animaux sauvages capturés à la hâte : tous souffrent souvent du même fléau, le bruit numérique.

Grâce à sa technologie d'analyse intelligente, Aiarty nettoie vos images sans les lisser à outrance. Il supprime à la fois le bruit de luminance et le bruit chromatique, pour des photos nettes, détaillées, et prêtes à l’impression — ou au post sur Instagram, selon vos ambitions.

Agrandissement d’image ? Jusqu’à 8 fois sans perdre en qualité

Vous avez une image en basse définition que vous rêvez d’imprimer en grand format ? Aucun souci. Aiarty Image Enhancer permet de l’agrandir jusqu’à 8 fois sa taille initiale, tout en conservant les détails. Résultat : des images qui peuvent atteindre le 4K, 8K, voire 32K sans flou ni pixellisation.

Et la version 3.3 ne fait pas que mieux : elle fait plus vite. Le rendu des modèles a été optimisé, et même les fichiers lourds (RAW, TIFF, etc.) sont traités avec une célérité appréciable.

Interface en français, sortie en HEIC : l’outil se francise et s’ouvre

Bonne nouvelle pour ceux qui préfèrent lire leur logiciel dans la langue de Molière : l’interface est désormais disponible en français. Et si vous êtes sur Mac ou que vous manipulez souvent des formats modernes, Aiarty Image Enhancer prend désormais en charge la sortie en HEIC, plus légère et plus efficace que le JPEG.

C’est un détail pour certains, un gain de temps et d’espace pour d’autres.

Une offre de Pâques à ne pas laisser filer

Soyons clairs : trouver un logiciel d'amélioration d’image réellement efficace, sans abonnement, avec mises à jour gratuites à vie et compatible sur trois postes, c’est rare. Ajoutez à cela deux outils complémentaires offerts (un pour convertir des vidéos, l’autre pour retirer des arrière-plans), et vous obtenez une offre difficile à battre.

Jusqu’à épuisement des stocks (ou expiration de la promo), vous pouvez profiter de -39 % sur la licence à vie d’Aiarty, avec garantie satisfait ou remboursé pendant 30 jours.

En clair : vous ne risquez rien à l’essayer — et tout à gagner si vous tombez sous le charme.

Pourquoi choisir Aiarty ?

Parce que ce n’est pas un simple gadget. Aiarty Image Enhancer ne se contente pas de « booster » artificiellement vos images : il les comprend, les analyse, et les restaure avec précision. Il agit comme un artisan numérique, discret mais redoutablement efficace ! Un clic, et l’IA fait le reste.

Alors, prêt à redonner une seconde vie à vos plus beaux souvenirs ? Jetez un œil à la version d’essai gratuite, ou profitez de l’offre de Pâques pour équiper votre machine à un tarif imbattable.

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Après les smartphones, voici une liseuse pliante avec un écran E Ink en couleur

On connaît bien maintenant les smartphones (ou tablettes, c’est selon le point de vue) pliants, mais une liseuse, c’est plus original. C’est le fabricant taïwanais Readmoo qui est le premier sur ce segment avec la mooInk V, une liseuse équipée d’un écran e Ink de 8 pouces qui propose des couleurs avec la même technologie Gallery 3 que celle du Remarkable Paper Pro. C’est remarquable ( ), parce que la dalle est bien plus épaisse que l’OLED qu’on retrouve sur tous les téléphones pliants, ce qui la rend bien peu adaptée à un appareil que l’on doit plier et déplier constamment.

Image Readmoo.

Cela explique sans doute pourquoi l’entreprise indique avoir travaillé pendant neuf ans sur son produit. Ses travaux ont permis de mettre au point un système qui devrait être capable de résister à 200 000 ouvertures et fermetures, ce qui devrait être suffisant pour quelques années d’utilisation intensive. Sur les quelques photos diffusées par Readmoo, on peut noter que l’appareil ne se referme pas parfaitement à plat, il reste un gros espace au niveau de la charnière quand la liseuse est pliée. C’est certainement un compromis qui a été rendu nécessaire par la technologie utilisée ici.

On distingue bien ici l’espace laissé par la charnière entre les deux parties de l’écran. Image Readmoo.

Le constructeur annonce aussi un appareil qui reste relativement léger avec 225 grammes sur la balance, ce qui est permis par l’utilisation d’un alliage d’aluminium et magnésium pour l’extérieur. Cela reste plus lourd que la moyenne des liseuses et il faudra vérifier à l’usage si c’est un handicap. En attendant, les avantages de l’écran pliant semblent assez évidents, en tout cas sur le papier : même si on ne connaît pas les dimensions exactes, Readmoo annonce que l’appareil est plus compact qu’un livre de poche une fois fermé. C’est nettement mieux que les liseuses de 8 pouces qui existent actuellement sur le marché.

On peut par ailleurs ouvrir complètement l’écran pour obtenir une liseuse plate similaire à la concurrence, ou bien conserver un angle, plus comme un livre. En calant son pouce au milieu, comme on le ferait avec un bloc de papier relié, le confort est peut-être amélioré, il faudra aussi attendre les premiers tests pour le vérifier. Malheureusement, Readmoo n’annonce pour l’heure aucune date de sortie, ni même un calendrier de précommande. On ne connaît pas non plus le prix de l’appareil, même s’il faut s’attendre à ce qu’il soit nettement plus élevé que ceux des liseuses traditionnelles.

Image Readmoo.
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Les agences immobilières peuvent intégrer DossierFacile sur leur site

Le service DossierFacile du gouvernement s'ouvre plus largement aux agences immobilières pour simplifier les démarches lors d'une recherche de location.

L'heure est bientôt à la recherche de logements pour les étudiants ou des salariés mutés et dans ce vaste domaine qu'est la recherche d'une location, DossierFacile est de nature à simplifier les démarches. Ce service peut être maintenant intégré par les agences immobilières.

DossierFacile existe depuis quelques années, c'est un service de l'État. Il permet à chacun de regrouper en ligne les pièces justificatives requises lorsqu'on postule pour une location. Ces documents sont vérifiés et validés par DossierFacile qui assure les destinataires de leur légitimité.

DossierFacile, la plateforme de l

DossierFacile, la plateforme de l'État qui protège les documents de votre dossier de location

Un lien permet ensuite de les transmettre aux agences qui les demandent, on s'épargne de multiples envois de pièce jointe qui peuvent tomber entre de mauvaises mains. Les documents transmis sont par ailleurs porteurs d'un filigrane qui précise qu'ils n'ont de valeur que dans le cadre d'une recherche de location.

Ce service est déjà utilisé par plusieurs acteurs de l'immobilier mais la liste ne comporte pas certains réseaux d'agences bien connus. Une API a été créée — DossierFacileConnect — pour intégrer le service aux sites des agences. Les aspirants locataires pourront alors s'identifier et déposer directement le dossier demandé ou créer un compte DossierFacile avant de poursuivre leurs démarches.

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Assistant d’évaluation : un rapport de bug peut servir à entraîner Apple Intelligence

Apple a la réputation de prendre soin des données personnelles de ses clients et de ne pas les réutiliser à tout bout de champ… ce qui est un problème à l’heure de l’intelligence artificielle générative, qui demande des quantités astronomiques de données pour améliorer les modèles. Cupertino a visiblement trouvé une pirouette : elle analyse les rapports de bugs envoyés via l’Assistant d’Évaluation pour former ses IA. La nouvelle passe mal auprès des développeurs.

Image : Joachim Kurz

Le changement a été pointé du doigt sur Mastodon par le développeur iOS Joachim Kurz. Il explique qu’il était en train de rédiger un rapport de bug à Apple quand il a pris le temps de lire attentivement la fenêtre d’avertissement apparaissant avant l’envoi final. Cupertino s’assure que l’utilisateur a bien les autorisations nécessaires pour envoyer son rapport, et prévient que les données fournies pourront servir à améliorer produits et services, mais aussi « à former des modèles Apple Intelligence et d'autres modèles d'apprentissage automatique ».

C’est un problème, car les informations partagées dans un rapport de bug peuvent être très personnelles. Dans ses conditions d’utilisations, Apple explique par exemple que les journaux détaillés peuvent contenir « des informations sur vos contacts, événements de calendrier et correspondance par courrier électronique ». Ce changement ne concerne visiblement pas l’Hexagone : Apple Intelligence n’est pas mentionné à l’envoi d’un rapport de bug sur l’Assistant d’évaluation avec un Mac réglé sur la zone France. Les mentions légales à accepter à la première ouverture de l’app n’y font pas non plus référence. Notre développeur iOS Artem (basé à Edinburgh) n'a pas réussi à afficher cette alerte malgré plusieurs essais.

Difficile de savoir de quand date ce changement, mais il pourrait être lié à un coup de pression lancé en interne par Craig Federighi, déterminé à faire accélérer les équipes sur les fonctions d’Apple Intelligence. En attendant, l’absence de possibilité de refus ne devrait pas inciter les développeurs à utiliser plus souvent l’Assistant d’évaluation, un outil déjà très critiqué. En novembre 2023, le créateur de l’extension Safari StopTheMadness appelait à son boycott : il déplorait la dégradation du traitement des rapports de bugs, ainsi que le système compliqué mis en place pour les traiter.

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macOS 15.4 ne blanchit plus le fond de l'écran

macOS 15.4.1 n'a pas apporté que des correctifs de sécurité importants, la mise à jour a effacé un bug avec les fonds d'écran qui n'était pas mentionné. On se demande parfois comment une mise à jour peut avoir une incidence sur certains éléments anodins de macOS, mais ce fut le cas avec la 15.4 de Sequoia.

Avec le bug. Image MacGeneration.

Lorsqu'on sélectionnait une couleur unie comme fond d'écran, en utilisant la palette de couleurs plutôt qu'en piochant parmi celles proposées par défaut, macOS blanchissait systématiquement le fond, façon Émail Diamant. Pas moyen de sortir des clous avec une autre couleur de son choix. On pouvait contourner le bug en créant une imagette de couleur pour la désigner comme image de fond.

Sans le bug. Image MacGeneration.

Quelle que soit la raison de ce (petit) problème, il a été supprimé à la fois dans macOS 15.4.1 et dans la seconde bêta du 15.5.

macOS 15.4 blanchit les fonds d’écran aux couleurs personnalisées

macOS 15.4 blanchit les fonds d’écran aux couleurs personnalisées

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Promo : l’Apple Watch Series 9 45 mm à seulement 299 €

L’Apple Watch Series 9 est en promo ce matin chez Boulanger. L’enseigne propose la montre en version 45 mm pour seulement 299 € : elle est disponible à ce prix en coloris lumière stellaire, argent et minuit. Le produit peut être livré à domicile ou bien retiré en magasin. En comparaison, l'Apple Watch SE est à 279 € chez Apple, tandis que la Series 10 coûte tout de suite 479 €.

L’Apple Watch Series 9. Image WatchGeneration

Cette Apple Watch sortie en 2023 est toujours une excellente montre. Elle embarque le même processeur que l’actuelle Ultra 2 et dispose de quasiment toutes les fonctions de la Series 10. On y trouve par exemple les notifications d’apnée du sommeil ou encore le geste « Toucher deux fois », ainsi qu’un capteur de température. Le suivi du rythme cardiaque ou l’ECG sont évidemment de la partie.

La Series 10 a apporté quelques changements, comme un écran plus grand et un design plus fin. Les prix ne sont pas les mêmes : il faudra compter au moins 450 € pour en profiter avec un boîtier 46 mm. Pour ce prix, vous gagnerez également un profondimètre et un capteur de température de l’eau. La S10 améliore aussi la recharge et le haut-parleur, qui peut servir à lire du contenu audio.

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Sosh frappe fort : 200 Go de 4G pour 10 €, les rivaux contre-attaquent

Mise à jour 19/04 — Une fois n’est pas coutume, c’est Sosh qui a redonné un coup de fouet aux promotions que l’on trouve sur le web depuis quelques jours. Pour concurrencer le forfait de l’opérateur historique de 200 Go en 4G à 10 € par mois, ses rivaux n’ont pas baissé les prix, mais augmenté les enveloppes de DATA dans leurs forfaits en promotion.

Ainsi, chez SFR, pour le même prix, vous avez désormais 250 Go de DATA au lieu de 200 Go. Autre avantage, SFR ne vous traite pas comme des gueux, ce forfait inclut la 5G ainsi qu’une enveloppe utilisable dans les DOM et l’UE de 38 Go au lieu de 26. L’offre de Sosh ne comprend que 20 Go à l’étranger. Si vous voulez payer encore moins cher, SFR Red propose pour 6,99 € par mois 100 Go de DATA. Les forfaits de SFR Red sont sans engagement.

Free, de son côté, a légèrement revu sa série spéciale proposée à 8,99 € par mois pendant un an. L’opérateur de Xavier Niel propose désormais une enveloppe de 150 Go par mois au lieu de 120, ainsi qu’une enveloppe de 30 Go à utiliser en Europe et dans les DOM. La 5G est bien entendu incluse. La grosse contrainte de ce forfait est qu’au bout d’un an, l’abonné migre automatiquement vers le Forfait Free 5G à 19,99€/mois avec 350 Go de DATA.

Article original — Cela fait quelques semaines que les opérateurs cassent les prix sur leurs forfaits mobiles. Sosh est le dernier à se joindre à la course : la filiale d’Orange vient d’annoncer une offre avec 200 Go de 4G pour 10 €. Elle comporte 20 Go d’internet mobile depuis la zone Europe et DOM, hors Suisse et Andorre. Les SMS et MMS sont illimités, tout comme les appels. La carte SIM ou eSIM est facturée 10 €.

Sosh s'aligne ici sur la concurrence. SFR propose la même offre au même prix mais en 5G et avec 38 Go en UE/DOM. Même chose chez B&You avec seulement 30 Go à l’étranger, sachant que le tarif passe à 6,99 € pour ceux ayant une box Pure Fibre. Seul Free ne s’est pour le moment pas joint à la fête, l’opérateur proposant simplement 120 Go pour 9 € par mois… pendant un an. Le forfait grimpe ensuite à 20 € par mois avec 350 Go.

B&You réduit le prix de son forfait avec 200 Go de 5G pour les abonnés B&You Pure fibre

B&You réduit le prix de son forfait avec 200 Go de 5G pour les abonnés B&You Pure fibre

Les opérateurs ont également des offres pour ceux n’ayant pas besoin d’autant de datas. RED propose 30 Go de 4G pour 5 €, là où Sosh affiche les 40 Go pour 6 € (tout comme Bouygues). Si vous visez une enveloppe de 100 Go, SFR a ce qu’il faut en 5G pour 7 € par mois. Les plus gros consommateurs pourront même monter à 350 Go pour 20 €.

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Google retire d'un coup sec son Assistant sur les montres Fitbit

Google Assistant disparait des montres Fitbit qui voient leurs capacités peu à peu diminuées comparées aux Pixel Watch. Quatre ans après l'acquisition de Fitbit par Google, les montres de ce pionnier des bracelets connectés perdent peu à peu de leur intérêt.

Fitbit Versa 4. Image Google.

Google a annoncé qu'il supprimait progressivement son Assistant des montres connectées de Fitbit. Il ne sera plus possible de commander une action à la voix comme on le faisait et comme il est possible ailleurs sur des montres concurrentes. Pour certains pays — c'est le cas de la France et d'autres en Europe, la seule solution de repli consiste à activer Alexa d'Amazon.

Dans son message, Google assure qu'il va continuer d'améliorer l'app de Fitbit et qu'il développe de « nouvelles fonctions épatantes ». Pas de quoi rassurer pour autant les utilisateurs de cette marque. Comme le rappelle Frandroid, Google a fait danser le tango à ses clients avec l'ajout de fonctions puis par des suppressions tout aussi visibles.

Google a également lancé ses Pixel Watch qui semblent un choix plus sûr. Quiconque préfère un format bracelet et qui se méfie de ce qui pourrait arriver à cette gamme de Fitbit n'aura toutefois rien à choisir dans le catalogue Pixel. Google ne s'est pas intéressé à cette catégorie.

Ce retrait de Google Assistant des Fitbit n'est pas une totale surprise. Avec l'avènement de Gemini, Google délaisse peu à peu son premier assistant et certaines de ses fonctions au profit du second.

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AltStore PAL simplifie l’installation d’apps non notarisées et l’activation de JIT

Inception chez AltStore, qui permet désormais d’installer… AltStore. Plus précisément, AltStore PAL, la boutique tierce téléchargeable officiellement pour iOS dans l’UE depuis l’année dernière, offre maintenant de télécharger AltStore Classic, l’utilitaire originel permettant de sideloader des applications non notarisées. La nouveauté permet de télécharger plus facilement différents programmes indisponibles par des voies classiques, comme l’émulateur de GameCube/Wii DolphiniOS ou le gestionnaire de machines virtuelles UTM.

Tout n’est malheureusement pas aussi simple qu’espéré si vous comptez en profiter : il faudra avoir installé AltServer sur son Mac pour télécharger une app proposée sur AltStore Classic. Une fois votre téléphone relié en USB, l’application demande d’entrer les identifiants de son compte Apple et l’UDID de son iPhone ou iPad, ce qui est la démarche habituelle pour ce type de bidouille. Notons qu’il est possible d’utiliser un compte Apple « jetable » étant donné que le programme s’en sert uniquement pour demander des autorisations sur les serveurs de Cupertino.

AltStore simplifie le sideloading donc, mais les développeurs ont également profité de cette mise à jour pour lancer StikDebug, une application disponible sur AltStore PAL permettant d’activer la compilation JIT (Just-In-Time compilation) pour certains programmes. Un tel débridage est indispensable pour obtenir de bonnes performances dans certaines apps, notamment sur les émulateurs. Apple refuse cette capacité technique à la plupart des développeurs, étant donné que JIT revient à créer du code natif qui ne peut pas être vérifié.

Les développeurs de Dolphin expliquent pourquoi ils n

Les développeurs de Dolphin expliquent pourquoi ils n'émuleront pas sur iPhone

StikDebug demande ici aussi pas mal de bidouille pour le premier lancement étant donné qu’il faudra générer un script d’appairage depuis son Mac, indispensable pour utiliser l’app. Il faudra de plus ajouter une configuration VPN pour l’occasion, l’appareil ayant besoin de se connecter à lui-même pour activer JIT. Bref, AltStore PAL et Classic ne vont pas vous permettre d’installer n’importe quel fichier .ipa sans vous prendre la tête, mais simplifie un peu la démarche pour les bricoleurs.

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Les dernières publicités de Beats vantent avec humour les mérites des nouveaux câbles colorés de la marque

L’actualité de Beats, ce sont des nouveaux câbles de charge de tous les couleurs, alors il fallait sans doute bien des publicités pour accompagner leur sortie. La marque a décidé de reprendre ses drôles d’enceintes personnifiées qui ont fait leur retour l’été dernier et qui servent de base à des brèves vidéos humoristiques. Chacun pourra juger de leur efficacité…

Une troisième vidéo est beaucoup plus conventionnelle, mais plus utile pour mettre en avant les qualités de ces produits. Ces câbles sont recouverts de tissu, ce qui est toujours plus agréable, ils sont censés être très résistants et s’adaptent à tous les besoins côté charge, y compris les charges rapides. Beats a conçu plusieurs modèles, en USB-C et même Lightning, et vous pouvez désormais les acheter sur l’Apple Store. Comptez 24,95 € pour un câble de 1,5 mètres, quel que soit la connectique et le coloris (noir, rouge et gris pour tous, bleu en plus pour l’USB-C).

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