Sony doit-elle se préparer à perdre un gros contrat ? D’après MacRumors, Apple envisagerait de créer ses propres capteurs photos pour ses produits, ce qui laisserait l’entreprise japonaise sur le côté. Après la puce centrale, le modem ou encore la puce Wi-Fi, le capteur photo sera-t-il bientôt un énième composant développé en interne ? La rumeur provient à la base de « Fixed focus digital », un utilisateur de Weibo qui donne de nombreuses informations sur le réseau social chinois et qui a souvent vu juste1, même s’il semble avoir retiré son message depuis la publication de l’article de nos confrères.
Bientôt un capteur conçu par Apple dans les iPhone ? Image iGeneration, photo de base capture d’écran Special Event septembre 2024.
Quoi qu’il en soit, la rumeur est aussi et peut-être surtout associée à un brevet obtenu par Apple. Le brevet US12342091B2 a été déposé en juin 2023 et il décrit plusieurs techniques pour améliorer les capteurs photos des smartphones, en particulier sur la plage dynamique. Apple estime pouvoir atteindre 20 valeurs d’exposition (on parle de « stops » dans le jargon), quand la majorité des capteurs actuellement sur le marché s’arrête à dix ou treize. Ce serait nettement mieux que la production destiné aux smartphones et même supérieur à ce que l’on retrouve dans certaines caméras professionnelles.
Pour réussir à enregistrer encore plus de lumière, les ingénieurs d’Apple ont imaginé un capteur constitué de deux couches superposées. Celle du dessus accueille les pixels (photosites), tandis que la couche inférieure intègre tous les autres composants qui se chargent du traitement, notamment pour gérer l’exposition ou encore réduire le grain numérique. Dans ce brevet, chaque pixel peut stocker une quantité variable de lumière en fonction de la scène grâce à un « condensateur d’intégration à débordement latéral » (Lateral Overflow Integration Capacitor, ou LOFIC), ce qui devrait permettre de mieux gérer des plans avec de forts écarts de luminosité. Le capteur pourrait également gérer le bruit numérique au niveau de chaque pixel, en tenant compte notamment de la température en temps réel.
Ce brevet décrit ainsi des techniques très évoluées pour améliorer la qualité des images produites par un petit capteur de smartphone. Est-ce suffisant pour déterminer qu’Apple remplacera Sony sur ce poste ? Pas forcément, il faut se souvenir que le système américain de brevets implique de déposer toutes les idées qui peuvent l’être et ce, même si l’entreprise n’a aucune intention de les exploiter. Cela dit, la photographie est un élément si important de l’iPhone qu’il serait parfaitement logique qu’Apple essaie de maîtriser encore plus toute la chaîne et développe à cet égard ses propres capteurs.
Reste à savoir si la théorie du brevet peut mener à de vrais gains en pratique et si Apple peut en effet abandonner Sony. Réponse, peut-être, dans quelques années.
Cinq sites qui proposent du contenu pornographique ont été mis en demeure par l’Arcom ce lundi 4 août, d’après Le Parisien. Xhamster, Xnxx, Xvideos, Xhamsterlive et Tnaflix n’ont pas mis en place de procédure pour vérifier l’âge de leurs visiteurs, ce qui ne respecte pas la législation française. L’autorité de régulation a constaté la non-conformité des cinq sites en fin de semaine dernière et elle les met en demeure d’ajouter cette vérification, sous peine d’amende, voire d’un blocage effectué par les fournisseurs d’accès à internet français.
Pour l’heure, Xhamster est librement accessible depuis la France, mais cela changera sûrement d’ici quelques semaines. Image MacGeneration, photos Maja Vujic et Vlad Deep sur Unsplash.
Les cinq sites, gérés depuis Chypre et la République Tchèque, ont trois semaines pour se mettre en conformité. L’amende potentielle prévue par la loi en vigueur peut s’élever à 250 000 € ou 4 % du chiffre d’affaires mondial, la somme la plus élevée étant retenue, rappelle Le Parisien. Sur le plan technique, l’Arcom a deux leviers sur lesquels jouer : le blocage au niveau des FAI et le déréférencement des moteurs de recherche. Ce dernier serait le plus gênant pour les sites, le blocage par les opérateurs se faisant au niveau du serveur DNS et les contournements sont très simples à mettre en œuvre pour les internautes.
On ne sait pas encore ce que comptent faire les propriétaires des cinq sites concernés. Comme Aylo à qui appartient PornHub et YouPorn, ils pourraient décider de fermer volontairement leur site en France, pour protester contre la législation locale. Ces gros sites pornographiques sont de nouveau inaccessibles depuis le pays depuis le 15 juillet dernier et pour l’heure, rien ne semble indiquer un retour en ligne. Par conséquent, l’Arcom n’a pas lancé de procédure à leur encontre : n’étant pas accessibles depuis la France, ils respectent la loi.
Quoi qu’il en soit, les grands gagnants devraient comme toujours être les mêmes : les services de VPN doivent se frotter les mains ce soir. Grâce à eux, les internautes français semblent venir d’un autre pays du point de vue des sites concernés, ce qui lève toute restriction mise en place spécifiquement pour la France. À chaque blocage, volontaire ou non, le nombre d’abonnés à ces services explose et la mise en demeure du jour ne devrait pas inverser la tendance.
Spotify annonce une nouvelle hausse de ses prix qui s’appliquera au cours du prochain mois dans « de multiples marchés en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique, Europe, Amérique-Latine et Océanie ». La liste de pays n’est pas connue, pas plus que la hausse à chaque fois, mais le service indique que les nouveaux prix peuvent être connus sur la page dédiée aux abonnements. En France, les tarifs n’ont pas bougé depuis la dernière hausse qui a eu lieu en juin dernier, si bien que les clients devraient être épargnés ce coup-ci.
Exemple de mail que Spotify va envoyer aux clients concernés par la hausse. Image Spotify.
En guise d’exemple, Spotify évoque une hausse de 1 € par mois sur un forfait de base dans un pays européen, passant de 10,99 à 11,99 €. C’est ce mouvement qui a déjà eu lieu au printemps en Belgique, au Luxembourg et dans plusieurs autres pays, qui ne semblent pas plus concernés. L’Italie comme l’Espagne affichent bien ce nouveau tarif, en revanche l’Allemagne semble rester pour le moment à 10,99 € par mois, peut-être pas pour très longtemps. Les clients concernés par la dernière hausse devraient recevoir un mail annonçant la mauvaise nouvelle, alors n’hésitez pas à témoigner dans les commentaires si vous en avez reçu un.
Ces hausses depuis le début de l’année ne s’accompagnent pas vraiment de nouvelles fonctionnalités, puisque l’on attend toujours l’audio sans pertes ou encore l’audio spatial, proposés par plusieurs de ses concurrents dont Apple Music. Le service pommé reste quant à lui sur les 10,99 € par mois en formule de base, un prix instauré à l’automne 2022. C’est aussi le prix de Tidal, alors que Deezer est lui aussi proposé 11,99 € par mois en France. Qobuz n’est plus si cher comparativement, à 12,49 € par mois et un accent porté sur la qualité.
En France, l’offre de base de Spotify est actuellement affichée à 12,14 €, puisque le service n’absorbe pas la taxe sur le streaming imposée dans le pays et ce depuis son apparition l’an dernier.
Les promos sur les stabilisateurs sont nombreuses cet été. En plus d’une remise sur le Osmo Mobile 7 de DJI (75,79 € au lieu de 99 €), Amazon propose aujourd’hui une grosse ristourne sur le Insta360 Flow 2 Pro. Ce stabilisateur prenant en charge DockKit et livré avec un support MagSafe est vendu 175,99 €, contre 219,99 € en temps normal. Cela représente 20 % de remise sur cet accessoire qui sera parfait pour les vidéastes ou ceux souhaitant filmer leurs vacances.
Image Insta360
Nous avions eu l’occasion d’essayer ce produit, qui stabilise votre téléphone grâce à de petits moteurs. Il permet d’éviter les tremblements sur vos vidéos pour un rendu beaucoup plus professionnels. Cette version dispose d’un trépied amélioré et d’une perche à selfie. Elle est compatible DockKit, une technologie d’Apple intégrée à iOS pour effectuer un suivi et contrôler un stabilisateur. Nous étions revenus sur ses avantages dans notre test de la première version :
Ce pack « Ultime » est intéressant car il contient l’adaptateur MagSafe, plus pratique que la pince de base. La batterie intégrée permet de recharger un iPhone pendant la prise vidéo, et l’application Insta360 est de bonne facture (même si un peu difficile à appréhender). C’est à notre goût le meilleur stabilisateur avec DockKit : vous ne devriez pas regretter votre achat.
Orange veut mettre un terme à son réseau historique en cuivre au plus vite et l’opérateur historique insiste lourdement sur ce point quand il croise une personne, en général âgée, restée à l’ère du téléphone fixe. La fibre optique est arrivée il y a peu de temps dans mon petit village breton et ma voisine de plus de 80 ans a eu un discours bien rodé de la part du commercial envoyé par Orange, sur la fin proche du cuivre et la nécessité de passer à la fibre au plus vite. Un discours qui a fait mouche, puisqu’elle a désormais une Livebox dans son salon, uniquement reliée au téléphone fixe qu’elle utilisait jusque-là via le cuivre.
« Allo ? Oui, j’aimerais payer beaucoup trop cher pour mon téléphone fixe, s’il vous plait. » Capture site Orange, Image MacGeneration.
Pour ses clients comme ma voisine, qui ne comptent pas acheter d’ordinateur ou de smartphone de leur vivant, le successeur de France Telecom propose des offres à l’ancienne. Il dispose en effet encore d’une gamme de téléphonie fixe comme du temps où l’on n’avait même pas d’ADSL et où on payait ses communications à la minute. Les plus jeunes qui me lisent vont croire que je me moque, mais c’est bien vrai : avant la généralisation de la téléphonie illimitée, chaque minute passée au téléphone était facturée, avec un tarif variable selon la destination. Ces offres n’ont pas disparu, malgré des tarifs délirants en 2025 et malgré l’absence de véritables avantages face aux offres classiques en fibre optique.
Comptez ainsi au minimum 22 € par mois pour un forfait téléphone sans communication incluse1, 29 € pour deux heures d’appels ou, pour les plus bavards, 44 € pour des appels illimités. Ces forfaits sont tous sans engagement, heureusement, mais ils demandent au minimum 55 € de plus le premier mois pour des « frais de mise en service », voire 119 € si un technicien doit se déplacer, ce qui est le cas lors d’une première installation de la fibre. Pour rappel, les offres en fibre optique d’Orange débutent à 30 € par mois, sans aucun frais à l’ouverture même si un technicien doit passer, avec des appels illimités et un engagement d’un an. Sans même parler de tout ce qu’elles fournissent en plus, de l’accès à internet à la télévision.
Le plus ridicule dans l’histoire, c’est que les offres de téléphonie fixe qui sont plus chères que la fibre optique sont pourtant associées elles aussi à une Livebox. Il s’agit de la quatrième génération avec son boîtier ONT séparé pour faire le lien avec la fibre optique, un modèle d’ancienne génération qui ne propose pas les meilleures performances du moment, ce qui n’a aucune importance dans ce cas d’usage. Il faut vraiment détester internet… ou se faire avoir par un commercial qui n’a pas le meilleur intérêt de ses clients en tête, malheureusement. Si c’était le cas, il y a fort à parier que bon nombre de personnes âgées pourraient bénéficier de l’offre « Coup de pouce internet », à 16 € par mois avec appels illimités, en plus de l’accès à internet et la télévision.
Pour le même prix (à 1 € près), vous aurez la même Livebox qu’avec la fibre de base chez Orange, mais seulement deux heures d’appels. Parce que, pourquoi pas. Capture site Orange, Image MacGeneration.
À noter que si une adresse n’est pas couverte par la fibre optique, Orange propose à la place un boîtier qui passe par les offres de Nordnet, pour le même prix. C’est le seul argument que l’on peut concéder à ces offres. Du point de vue des clients qui ne veulent pas s’embêter avec tout cela, leur ligne téléphonique sera maintenue quoi qu’il arrive et sans s’inquiéter de la technologie sous-jacente : fibre, satellite ou 4G. Ajoutons pour être complet que les communications téléphoniques incluent les mobiles sur ces offres de téléphonie pure, alors que c’est une option sur les offres complètes2.
Si vous avez un proche dans cette situation, vous pouvez gérer la transition vers l’après cuivre pour lui. Un abonnement fibre optique avec portage du numéro donnera le même résultat et si vous pouvez déplacer leur téléphone fixe depuis la prise murale vers celle de la box, vos proches n’y verront que du feu. Rappelons pour finir que la fermeture du cuivre ne sera pas aussi rapide que le commercial veut bien le dire : ce site officiel liste les dates connues, sachant que la fermeture se fera progressivement jusqu’en 2030 et que la majorité des communes n’ont pas encore de date.
La grille de tarifs est disponible dans ce document. Vers la France, il faut compter 0,078 € par appel puis 0,028 € par minute pour les appels vers des fixes et respectivement 0,161 € et 0,08 € pour les portables. ↩︎
Orange facture les appels vers les mobiles en France à 0,16 € par minute et propose deux options : 1 € par mois pour une heure d’appels ou bien 5 € pour des appels illimités. On reste de toute manière sous la barre des 44 € demandés pour l’offre de téléphonie fixe illimitée, avec encore une fois tous les autres avantages liés aux offres complètes. ↩︎
Cela fait longtemps qu’Apple réfléchit à un moyen d’intégrer un écran au boîtier de ses AirPods. Un premier brevet a été déposé dès 2022, dans lequel on découvrait un écran affichant des informations ou des apps. Apple cherche à améliorer son idée, et l’Office américain des brevets a récemment publié une autre demande de Cupertino dévoilant de nouvelles fonctions qui arriveront peut-être un jour. On peut notamment y voir un appareil photo ou une fonction pour se connecter facilement à certains accessoires filaires, comme une platine vinyle.
L’idée serait de proposer un boîtier plus polyvalent : il pourrait être relié à une platine en filaire afin de transmettre le son aux écouteurs. On pourrait également l’approcher d’un second boîtier pour lancer un partage audio avec un autre utilisateur, ce qui éviterait d’avoir à passer par son iPhone ou son Mac.
L’écran du boîtier est décrit comme indiscernable tant qu’il n’est pas allumé, et pourrait aussi servir à gérer le volume de plusieurs sources audio. On pourrait s’en servir pour rapidement lancer une playlist ou un livre audio. Un dessin montre une petite caméra en bas du boîtier, permettant de prendre une photo sans avoir à sortir son téléphone. Un autre indique qu’il serait possible d’écrire sur l’écran tactile, à la manière de ce que l’on peut faire sur l’Apple Watch.
Apple n’est pas le premier à avoir cette idée. JBL a par exemple une gamme « Tour Pro » dont le boîtier sert de transmetteur audio. Cependant, l’écran est un peu gadget et rend l’accessoire plus encombrant. D’autres écouteurs, comme les Pi8 de Bowers & Wilkins permettent de connecter le boîtier à une source pour en retranscrire l’audio.
Les iPad Pro M4 ont apporté une nouvelle technologie d’écran : le Tandem OLED. Plus fin que les écrans LCD et offrant de meilleures performances d’un point de vue énergétique, l’arrivée de ce nouveau type de dalle a été saluée par la critique. Le Tandem OLED ne devrait pas rester cantonné aux tablettes, et le site spécialisé The Elec affirme qu’elle arrivera par la suite sur les iPhone.
Image iGeneration
En pratique, le Tandem OLED consiste à placer deux diodes l’une sur l’autre avec une « couche de génération de charge » entre la même anode et la même cathode. On obtient ainsi une luminosité plus élevée et une durée de vie plus longue. Seuls les derniers iPad Pro embarquent cette technologie, et les écrans OLED de l'iPhone utilisent pour l’instant une unique couche de diode.
Apple voudrait apporter la technologie à ses téléphones dans une version remaniée. Ce ne sont pas toutes les diodes qui seraient doublées, mais seulement le sous-pixel bleu (le rouge et le vert restant sur une seule couche). Cette méthode est connue dans l'industrie sous le nom de « tandem simplifié ».
Selon The Elec, Apple aurait prévu un plan de production en deux ans pour accoucher d’une version qui sera optimisée pour les iPhone. Elle n’aurait cependant pas encore décidé si elle fera appel à LG ou à Samsung, ce qui laisse à penser que la nouveauté n’arriverait pas avant 2028. LG aurait un coup d’avance dans le domaine, ayant soumis l’idée d’iPhone Tandem OLED il y a quelques années tout en produisant plus de dalles d’iPad Pro que Samsung. Apple sollicitera sans doute les deux sur le long terme, la manœuvre lui permettant de faire jouer la concurrence tout en gardant de la marge niveau production.
Si votre véhicule n’est pas équipé pour CarPlay et que remplacer l’autoradio de base n’est pas une option, une bonne piste pourrait être l’installation d’un écran dédié à cette tâche. Cette catégorie de produits est toujours construite autour d’une petite tablette qui tourne sous Android et les prix sont vraiment bas, bien plus qu’on pourrait le penser. Ainsi, Amazon propose en promotion un écran de 7 pouces de la marque « TOUTBIEN » pour 49 €, son prix le plus bas, et il permet de bénéficier de CarPlay et Android Auto, y compris sans fil.
Image Amazon.
À un tel prix, il ne faut pas s’attendre à la meilleure dalle qui soit et le fabricant ne donne quasiment aucun détails, si ce n’est qu’elle est « HD », ce qui veut probablement dire 720p. L’écran tactile est résistif, il réagit à la pression, ce qui n’est certainement pas aussi confortable que les couches capacitives que l’on a sur nos smartphones. C’est toutefois une technologie qui était assez courante il y a encore peu dans l’industrie automobile et si votre voiture n’a aucun écran, ce sera toujours mieux que rien.
Les avis sont plutôt positifs pour l’appareil, qui fonctionne apparemment très bien et peut largement suffire en usage quotidien. Malgré son prix bas, l’écran est fourni avec un pied associé à une ventouse, pour le placer sur le pare-brise, ainsi qu’un double-face pour le mettre sur le tableau de bord. L’alimentation est fournie par une prise allume-cigare, également dans la boîte.
Si vous voulez ajouter CarPlay à un véhicule privé de la fonctionnalité, cela mérite un essai, surtout en promotion. Rappelons qu’Amazon a une politique très généreuse, avec 30 jours pour renvoyer gratuitement le produit s’il ne vous convient pas. Avis aux aoûtiens qui s’apprêtent à partir en vacances, c’est le meilleur moment pour tester un tel produit.
Apple devrait quelque peu modifier sa gamme cette année avec le lancement d’un iPhone 17 plus fin, mais les véritables changements arriveraient pour la génération iPhone 18. Selon les rumeurs, Apple aurait prévu de dévoiler son équivalent au Galaxy Fold au côté d’un nouvel appareil plus gros, sorte d’hybride entre un iPad et un MacBook également pliant. Ce projet plus ambitieux a pris du retard selon Jeff Pu. Si Apple avait dans l’idée de lancer la production des deux appareils d’ici la fin de l’année prochaine, le plus gros appareil arriverait finalement plus tard.
Le ZenFold 17 d’Asus pourrait s’approcher de ce qu’Apple aurait en tête pour son futur MacBook. Image Asus/MacGeneration.
Dans une note portant sur les derniers résultats trimestriels d’Apple, le généralement bien renseigné analyste de GF Securities a annoncé s’attendre à des changements « limités » cette année. Il affirme cependant avoir constaté des « progrès intacts » pour ce qui est de la production du premier iPhone pliant. On peut donc tabler sur une sortie à la rentrée de 2026.
En revanche, les choses seraient plus compliquées pour l’autre appareil, que certains présentent comme une tablette équipée d’un écran OLED avec une taille susceptible d’atteindre les 20”. Jeff Pu s’attendait à une production de masse au quatrième trimestre 2026 pour une sortie probable en 2027. Il explique aujourd’hui que ce nouveau produit devrait être repoussé, sans donner de raison particulière ou de fenêtre de lancement. Il y a peu, DigiTimes a assuré que le développement était mis en pause.
Les rumeurs sur la date de sortie de cet iPad pliant divergent selon les fuiteurs. Ming-Chi Kuo voit venir une sortie en 2027 au plus tôt, tandis que Mark Gurman évoquait plutôt 2028. Le concept même est encore flou : il semble s’agir d’un hybride de MacBook et d’iPad, mais il est difficile de savoir si ce sera plutôt un ordinateur ou une tablette. Il faudra voir quel système est embarqué dessus pour en avoir le cœur net.
Ubiquiti a annoncé un gros changement de politique en permettant d’installer UniFi OS sur n’importe quel matériel. Le spécialiste du réseau permettait jusque-là d’installer l’app Network sur du matériel tiers, néanmoins son système d’exploitation au complet nécessitait d’acheter un produit de la marque, par exemple une Dream Machine ou encore un Cloud Gateway. Ce ne sera plus forcément le cas avec la sortie à venir d’UniFi OS Server, une application que l’on pourra installer sur un serveur, qu’il soit virtuel ou dédié, ou même sur un petit ordinateur comme un Raspberry Pi.
Si vous ne connaissez pas le fabricant, petite piqûre de rappel. Ubiquiti vend du matériel varié pour créer un réseau en local, comme des switch Ethernet et des bornes Wi-Fi, ainsi qu’une gamme toujours croissante de produits connectés, que ce soit des caméras, des interphones et bien d’autres. Tout ce matériel est unifié ( ) par UniFi OS, un système d’exploitation maison qui permet de les configurer et de les faire travailler ensemble. Jusque-là, ce système était obligatoirement associé à du matériel vendu par le fabricant, comme je l’avais détaillé dans cette introduction à l’écosystème UniFi.
Cela ne devrait plus être le cas à terme et ce sera alors une excellente nouvelle si vous voulez utiliser des produits UniFi sans acheter un appareil dédié à leur gestion. Dans un premier temps, la version auto-hébergée d’UniFi OS ne proposera que deux apps de l’écosystème : Networks pour gérer le matériel réseau (bornes Wi-Fi, switch gérés, etc.) et Innerspace pour créer un plan de son intérieur et vérifier la portée des bornes Wi-Fi. Ubiquiti promet que d’autres apps seront ajoutées par la suite, sans donner de détails, même si on peut espérer un jour héberger Protect pour gérer les caméras de la marque ou encore Access pour tous les produits liés aux portes.
Il faudra attendre la sortie officielle d’UniFi OS Server pour avoir les détails techniques et notamment la configuration matérielle nécessaire. Ubiquiti annonce la prise en charge des CPU x86 et ARM64, ce qui veut dire qu’un Raspberry Pi pourrait suffire pour un déploiement local. Un serveur, virtuel ou dédié, sera sans doute plus indiqué pour de meilleures performances, bien que cela dépendra des besoins.
Cette nouveauté est plutôt pensée pour le monde de l’entreprise, pour les plus grands déploiements qui se font à l’échelle de plusieurs sites, mais elle devrait servir à tout le monde, y compris le particulier qui veut économiser sur le matériel. En effet, UniFi OS Server sera proposé gratuitement, un choix revendiqué de la part du constructeur, qui s’oppose ainsi à ses concurrents historiques où le paiement récurrent de licences est nécessaire.
Mise à jour le 04/08/2025 18:20 : une première version de l’article indiquait à tort que c’est la suite complète d’apps UniFi qui seront proposées par ce biais, alors que ce ne sera pas le cas dans un premier temps.
Les réfractaires au compteur Linky vont devoir mettre la main au porte-monnaie. Depuis le premier août, les clients d’Enedis n’étant pas équipés d'un boîtier vert payent de nouveaux frais : 7,78 € tous les deux mois sous prétexte de « relève payante ». Ceux n’ayant pas transmis à Enedis leur index de consommation d’électricité depuis plus d’un an se verront facturés d’une majoration de 4,97 €. Autrement dit, un supplément de 76,50 € par an.
Image Enedis
« Ces montants reflètent les coûts réels supportés par Enedis pour maintenir un système de transmission des signaux tarifaires adapté aux anciens compteurs, organiser des relèves manuelles à pied, assurer des contrôles de consommation et maintenir un lien client spécifique », a déclaré Enedis dans un communiqué. Les clients concernés sont 1,7 million et représentent moins de 5 % du total des compteurs. Environ 24 % d’entre eux refusent de communiquer leur index de consommation d’électricité.
Le compteur Linky est sujet de discorde depuis son lancement en 2015. Certains craignent pour la sécurité de leurs données, tandis que d’autres y voient des risques sanitaires liés aux ondes. Enedis avait prévenu il y a maintenant un an que la facture des récalcitrants allait augmenter. Elle pourrait être revue à la hausse dans les années qui viennent, la somme étant indexée sur une taxe fixée par la Commission de régulation de l’énergie. Les frais d’installation d’un compteur Linky sont pris en charge par l’opérateur.
Si le Studio Display est un peu trop banal pour vous, LG vient de lancer un modèle qui pourrait vous intéresser : le 40U990A-W. Derrière ce nom barbare se cache un moniteur externe à la dalle de 39,7", incurvée et compatible Thunderbolt 5. L’accessoire est vendu 1 599 € sur Amazon France.
LG vante une dalle 5K2K à la résolution 5120 x 2160 avec un ratio de contraste de 2000 : 1, soit le double d’un moniteur IPS classique. Sans surprise, les couleurs couvrent 99 % du DCI-P3 tandis que l’on nous promet un DisplayHDR 600 parfait pour la retouche photo et vidéo. La dalle VRR éclaire à 450 nits et est rafraîchie à 120 Hz.
Cet écran est l’un des premiers compatibles Thunderbolt 5, ce qui peut donner des débits de 80 Gb/s, et même 120 Gb/s dans certains cas. Il peut charger un Mac jusqu’à 96 W. Cependant, rappelons que seuls quelques Mac sont Thunderbolt 5 : le Mac mini M4 Pro et les MacBook Pro M4 Pro et M4 Max.
Côté connectiques, on peut noter la présence de deux HDMI 2.1, de deux Thunderbolt 5, de 4 USB-C, d’un DisplayPort et d’un RJ45. LG promet un son de bonne qualité avec deux haut-parleurs à double basses. Le pied est réglable en hauteur et peut être incliné de haut en bas ou sur les côtés. Un switch KVM est intégré pour changer rapidement de machine. Ce modèle peut être précommandé chez Amazon, qui annonce une livraison pour la mi-août.
À quelques semaines de la date fatidique, Google a finalement et heureusement changé ses plans concernant les liens raccourcis avec feu son service goo.gl. L’an dernier, le géant de la recherche avait annoncé la fin de la redirection de ces liens raccourcis vers leur page d’origine. La coupure devait avoir lieu le 25 août 2025, soit dans pile trois semaines, mais l’entreprise annonce avoir changé d’avis. Ces liens que l’on trouve un peu partout sur le web et notamment sur les réseaux sociaux à la fin des années 2000 ne devraient ainsi pas casser et mener nulle part, une excellente nouvelle.
Image MacGeneration.
Pour rappel, les raccourcisseurs de liens sont des services qui permettent d’obtenir une URL courte à partir de n’importe quel lien. Ils existent toujours et ont leur utilité notamment si on veut un lien permanent dont la destination peut varier, même s’ils sont moins populaires de nos jours, puisque tous les réseaux sociaux ignorent désormais les URL dans leur décompte de caractère. C’est en effet leur raison d’être initiale : les premières années, Twitter imposait une limite à 140 caractères tout compris et placer une longue URL dans un tweet pouvait bloquer la majorité, voire l’intégralité, du message. Comme bien d’autres acteurs, Google avait lancé son propre service, goo.gl, qui a fermé ses portes en 2019.
Depuis, s’il est impossible de créer un nouveau lien raccourci chez Google, les millions de liens existants continuaient de fonctionner normalement. L’entreprise indique dans sa communication avoir reçu de nombreux messages contre sa décision, signalant l’importance de cette immense collection existante et manifestement, cela a suffi à convaincre en interne de maintenir les redirections en place. Il faut dire que ce n’est pas une tâche gourmande en ressources et le créateur d’Android a bien assez de moyens pour maintenir quelques serveurs en place et rediriger pendant des dizaines d’années les liens goo.gl vers leur destination.
Seule ombre au tableau, Google prévient qu’une partie des liens seront bel et bien désactivés à partir du 25 août, sans préciser lesquels, ni même donner d’indication sur le nombre de liens concernés. Tout ce que l’on sait, c’est que si une URL goo.gl affiche le message d’alerte prévenant de la fin du service, alors il sera inactif le mois prochain. L’entreprise recommande d’ouvrir les liens à partir d’aujourd’hui pour savoir s’ils seront coupés ou pas à terme, on a vu plus pratique.
S'il y a bien un sujet clivant actuellement dans le grand monde de l'informatique, c'est celui de l'intelligence artificielle. Ce sujet, nous allons le démystifier dans une nouvelle série estivale sous la plume de Jean-Baptiste Leheup, créateur du site L’Aventure Apple et auteur de plusieurs ouvrages sur l’IA.
L’intelligence artificielle, il y a ceux qui sont pour, ceux qui sont contre, et ceux qui considèrent qu'ils ne sont pas concernés…
« L'IA ? Ah non, moi je n'en vois pas l'intérêt. On est encore en train de se créer un besoin qu'on n'avait pas avant. Tout ça c'est pour nous vendre le dernier iPhone. Et bonjour le bilan carbone ». Un utilisateur parmi d'autres.
C'est bien simple, on se croirait revenus aux débuts d’internet, il y a plus d’un quart de siècle. Les mêmes arguments, les mêmes réticences. Internet, on vivait très bien sans, aussi. Ça nous obligeait à acheter un Power Macintosh récent et à rajouter de la mémoire vive. Ça coûtait des sous. Et ça bouffait de l'électricité. Et pourtant, on y est tous passé.
Qu'elle soit vraiment « intelligente » ou non (vous connaissez déjà l'avis de Jean-Baptiste sur ce sujet), l'IA est une nouvelle révolution dans la grande histoire des révolutions technologiques. On a inventé la roue, puis on a chargé des bêtes ou des rivières de la faire tourner. On a ensuite inventé le moteur pour que la roue tourne plus vite et plus fort, et on l'a utilisé pour produire de l'électricité. On a maîtrisé l'électricité pour donner naissance à l'électronique, qui a permis de concevoir des ordinateurs pour triturer des informations, d'abord des chiffres, puis des textes, des images, des sons, des vidéos. Et pour interagir de manière naturelle avec les ordinateurs, on a inventé les interfaces graphiques. Et voici maintenant l'ère de l'IA, dont la dernière avancée, l’IA générative, donne à ces tas de ferraille la capacité d'apprendre et l'apparence d'une forme de compréhension.
La glorieuse histoire des révolutions techniques et technologiques, selon ChatGPT.
La question n'est plus d'y croire ou de ne pas y croire. L’IA est là ! Vouloir échapper à l'IA aujourd'hui, c'est comme vouloir échapper à la révolution industrielle ou à la généralisation de l'électricité au dix-neuvième siècle. Les humains ont passé une nouvelle étape, et ils ne feront pas marche arrière. Alors pour ne pas se contenter de regarder passer le train en restant sur le quai, MacGeneration vous propose cet été de faire un point sur les premières étapes de cette révolution que nous vivons ensemble, sans indulgence et sans dogmatisme.
Au programme de « L’IA est là », notre série estivale disponible exclusivement pour les membres du Club iGen :
Pendant les années 2000, les Apple Store ont été le fer de lance de la stratégie de distribution d'Apple. L'année prochaine, ce projet de boutique, initié par Steve Jobs et Ron Johnson, fêtera son 25e anniversaire. À ce jour, la marque à la pomme possède un réseau de 535 boutiques ouvertes dans un peu moins de 30 pays.
L'Apple Store de Bristol fermera définitivement ses portes à la fin de la semaine - image : Apple
Aux alentours des années 2010, il y avait quasiment une inauguration par semaine. Depuis, le rythme a quelque peu ralenti, la stratégie d'Apple aussi. Il n'est pas question d'offrir un maillage complet dans tous les pays.
Des fermetures inédites
Certaines boutiques commencent à accuser leur âge. Résultat, Apple procède depuis quelques années ici ou là à des rénovations, voire à des fermetures. Apple a fermé son magasin de Northbrook (États-Unis) en avril, prévoit d’en faire autant à Bristol (Royaume-Uni), Hornsby (Australie), Partridge Creek (Michigan) et surtout… pour la première fois, en Chine. Officiellement, il s’agit de cas isolés. Officieusement, Apple semble désormais plus flexible sur ses implantations et n’hésite plus à laisser filer un bail ou à relocaliser une boutique.
Cette politique de fermeture d'Apple Store est assez nouvelle. Quand cela se produit, c’est généralement à cause d’un manque de fréquentation, de problèmes de sécurité, de changements dans le quartier ou de difficultés liées au centre commercial. Pour l'instant, nous n'avons eu vent d'aucun projet similaire dans l'Hexagone.
En 2025, Apple mise sur les Emirats et l'Inde
Lors de la présentation des résultats financiers, Tim Cook a fait part de sa volonté d'ouvrir de nouvelles boutiques aux Émirats arabes unis et en Inde. Dans le premier, elle possède déjà quatre boutiques (deux à Dubai et deux à Abu Dhabi). Un cinquième devrait ouvrir ses portes à Al Ain d'ici la fin de l'année.
L'Apple Store de Mumbai - image : Apple
Mais à moyen ou long terme, c'est sans doute le marché indien qui importe le plus pour Apple. Tim Cook rêve sans doute de faire de ce pays un pôle aussi important que la Chine. Elle s'est lancée en 2023 avec deux boutiques : une à Mumbai et une autre à New Delhi. Cette année, elle prévoit d'en ouvrir quatre autres. Les lieux retenus sont: à Bengaluru, Delhi, Mumbai et Pune. Six boutiques au total donc à l'horizon fin 2025, c'est mieux que la Suisse et ses quatre boutiques, mais c'est encore loin de la Chine et de cinquantaine de magasins…
Apple est connue pour être très protectrice de son logo et de ses marques, et vient de le prouver une fois de plus en attaquant en justice la chaîne Apple Cinemas. Les avocats de la Pomme l’accusent d’utiliser « sciemment et intentionnellement le nom Apple pour semer la confusion à son profit ». La plainte a été portée auprès d’un tribunal fédéral du Massachusetts.
Le logo d’Apple Cinemas
Sur son site, on peut voir qu’Apple Cinemas a été lancée en 2013 et qu’elle disposait principalement de salles obscures dans le nord-est des États-Unis. Cependant, elle a ouvert un cinéma à San Francisco le mois dernier, ce que les avocats de Cupertino interprètent comme une volonté d’expansion dans tout le pays. Les salles Apple Cinema pourraient donc finir par se retrouver à proximité des Apple Store ou dans le secteur de l’Apple Park, poussant Cupertino à agir. Elle demande des dommages et intérêts ainsi que l’interdiction de continuer à utiliser cette marque.
Cupertino note que la marque crée la confusion chez certains, citant par exemple des commentaires de gens dans le flou sur les réseaux sociaux. Les articles mentionnant les nouvelles salles de cinéma sont obligés de préciser qu’il y a deux Apple différentes, ce qui montre qu’il y a un quiproquo. Cupertino rappelle qu’elle est fortement impliquée dans le monde du cinéma, proposant des films sur iTunes depuis 2005 avant de lancer Apple TV+ en 2019. Elle a même vendu une gamme d’écrans baptisée Apple Cinema Display il y a quelques années.
De son côté, Apple Cinemas aurait rapidement été prévenue que son nom pouvait porter à confusion : le bureau américain des brevets et des marques de commerce lui a refusé les marques « Apple Cinemas » et « ACX - Apple Cinematic Expérience » en 2024. Dans sa plainte, Apple explique avoir essayé plusieurs fois de résoudre l’affaire à l’amiable sans succès. Les fondateurs du groupe auraient choisi ce nom en lien avec un premier lieu d’implantation à l’Apple Valley Mall dans l’État du Rhode Island. Le cinéma n’a finalement jamais ouvert ses portes là-bas.
Si vous voulez ajouter un AirTag à une chaussure et que vous n’êtes pas un enfant ou adolescent en Amérique du Nord pour utiliser une paire de baskets Skechers, sachez qu’il existe des semelles dédiées à cette tâche. Elles viennent se positionner dans n’importe quelle chaussure existante et contiennent un emplacement pour caler le traqueur d’Apple sous la voute plantaire, qui correspond sans doute à la meilleure zone sous le pied pour une épaisseur plus importante.
Image Amazon.
On trouve de nombreux produits différents sur Amazon, certains pensés uniquement pour les enfants, d’autres aussi pour les adultes, à partir de 17 € la paire. Le concept est toujours le même et la réalisation semble varier peu d’un modèle à l’autre. Ces semelles sont toutes censées être suffisamment fines pour ne pas gêner, même si cela dépendra forcément du pied, et on peut toujours découper le bout pour s’adapter à différentes pointures. L’avantage d’Amazon, c’est que vous aurez trente jours pour vous décider et renvoyer facilement le produit s’il ne vous convient pas.
Comme souvent avec ce genre d’accessoires venus de Chine, vous ferez de belles économies en vous rapprochant de la source et en commandant les mêmes produits sur AliExpress. Comptez par exemple à partir de 6 € la paire pour ce modèle qui s’adapte à tous les pieds, même adultes ou à partir de 5 € pour cette variante plutôt pensée pour les enfants. La livraison est en général offerte pour les commandes qui dépassent 10 €.
Ceci n'est pas un dock USB-C pour Mac mini comme les autres ! Sa première particularité, c'est d'avoir un écran. Sa deuxième fonction est d’être un support pour accueillir un Mac mini M4 et lui donner l’apparence des premiers Mac.
Image 9To5 Mac.
Comme le montrent les photos publiées par 9to5Mac, le Wokyis Retro Dock donne au dernier Mac mini à la fois un côté rétro et un côté futuriste. Quoi qu'il en soit avec tous ces ports, une chose est certaine : Steve Jobs n'aurait pas approuvé !
Par rapport à un Mac Plus ou à un Mac SE, l’écran est physiquement nettement plus petit : 5″ contre 9″ pour les premiers ordinateurs d’Apple. Néanmoins la définition n'est pas le même monde non plus. Ce hub avec sa dalle IPS permet d'afficher en 1280x720 px, là où le Mac SE/30 était bloqué en 512x342. C'est aussi un produit ridiculement léger : le Wokyis Retro Dock pèse seulement 510 grammes, 18 fois moins que le Mac de la fin des années 1980.
Image 9To5 Mac.
Au niveau de la connectique, ce dock embarque 4 ports USB-A (10 Gb/s), 2 ports USB-C (10 Gb/s) et un port USB-C pour la connexion au Mac mini. Il propose également une sortie HDMI, un lecteur de carte SD + microSD 4.0 (UHS-II, 312MB/s) et vous permet d'étendre la capacité de stockage de votre ordinateur à l'aide d'un slot M.2 pour un SSD NVMe. Étonnamment, le port AppleTalk qu'on trouvait sur les Mac de l'époque est aux abonnés absents, tout comme la variante qui s'est imposée depuis : pas d'Ethernet ici.
Modèle 10 Gb/s : Il comprend un hub 13-en-1, un écran de 5 pouces, un emplacement NVMe (jusqu’à 8 To) et tous les ports essentiels. Le prix en précommande débute actuellement à environ 95 €, le prix final en boutique devrait tourner autour de 150 €.
Modèle 80 Gb/s : il offre des vitesses de transfert plus rapides pour le SSD et passe au DisplayPort 2.1 avec prise en charge de la 8K à 60 Hz. Le tarif en précommande commence à 180 €, pour un prix final autour de 350 €.
Nos confrères de 9To5 Mac ont pu utiliser le modèle entrée de gamme et il s'agit de l'un des meilleurs docks USB-C qu'ils ont pu utiliser. Non seulement ils le trouvent joli, mais, dans certains cas, l'écran intégré peut être très pratique, notamment lorsque l'on veut se faire un petit serveur et pouvoir l'utiliser facilement.
Payer ses impôts avec Apple Pay ? Ce n’est toujours pas possible. Ce qui est sûr en revanche, c’est qu’un des moyens de paiement actuellement acceptés pour cela vit ses dernières années. Comme le révèle le Monde, le Trésor public réfléchit très sérieusement à ne plus accepter les chèques. Si aucune décision n'est prise, il se murmure que le dernier centre de traitement des chèques par l'administration fiscale pourrait fermer ses portes à l'horizon 2027. Cette réflexion provoque l'ire des syndicats qui estiment que cette décision cache avant tout un plan de suppression d'une cinquantaine d'emplois.
Même Steve Jobs a signé des chèques - Image RR Auctions
Quoi qu'il en soit, cette réflexion illustre parfaitement la fin annoncée du chèque, cette spécificité française qui a toujours résisté (ou presque) à la modernisation. Alors que certains pays permettaient de prendre en photo un chèque depuis son smartphone pour l'encaisser, la France est toujours restée à l'écart de ce « mouvement ». À cause également de réglementations bancaires plus strictes.
88 % des chèques européens sont français
Ce désamour progressif des Français pour le chèque est particulièrement visible dans les statistiques. Il ne pèse plus que 3 % des transactions, contre plus de 37 % au début des années 2000. Ce phénomène, le Trésor public l'a également largement constaté : le nombre de chèques encaissés a fondu de 72 %, tombant à 39 millions en 2024. Et la chute s’accélère : -20 % rien qu’entre début 2024 et début 2025. Résultat, seuls 4,5 % des paiements au profit de l’État passent encore par chèque, pour à peine 1 % des montants. Mais malgré tout, le chèque demeure une exception française. Selon la Banque centrale européenne, la France est à l’origine de 88 % des chèques émis dans toute l’Union européenne.
Si une certaine partie de la population est attachée à ce moyen de paiement, beaucoup souhaitent sa disparition à commencer par les banques. Le chéquier est gratuit, mais son coût de traitement est plus élevé que les autres moyens de paiement. Plus problématique, s'il ne représente plus qu’une infime part des paiements en France, il est à l'origine de 30 % des montants fraudés.
Image : Apple
Alors, quand est-ce que la France rejoindra la Suède, la Bulgarie, la République tchèque, l’Estonie ou le Danemark, qui l'ont récemment supprimé ? La question reste encore tabou. L'autre moyen de paiement appelé éventuellement à disparaitre, c'est le cash. Toutefois, les mentalités à son sujet ont beaucoup évolué, et ce, de manière surprenante. Dans les faits, ce moyen de paiement a quasiment disparu en Suède et en Norvège. Dans le pays d'Ikea, certains établissements bancaires refusent même la monnaie et n'en délivrent pas.
Le cash n'a pas dit son dernier mot
La fin de l'utilisation de la monnaie semblait quasiment actée, mais le conflit en Ukraine a modifié la donne. Les responsables économiques et politiques n'ont pu que constater qu'en cas de guerre et d'atteinte des infrastructures ou des principaux systèmes d'information du pays, la monnaie pouvait avoir quelques avantages. C'est pour cela d'ailleurs que le ministère suédois de la Défense dans une brochure publiée en novembre 2024 pour préparer ses concitoyens « aux crises et à la guerre », recommande d'avoir entre autres toujours une réserve d'espèces à la maison.
Sans parler de guerre, cela peut aussi éminemment être pratique en cas de cyberattaques d'envergure, un phénomène qui n'est pas si rare que cela. Bref, si le chèque est en voie de disparition, les espèces ont encore un bel avenir !
Après l’annonce des résultats trimestriels, Apple ne chôme pas et continue son petit chemin, jalonné d’étapes marquantes, comme le dernier discours de Tim Cook aux troupes. Mais la suite du chemin ? Mark Gurman, comme tous les dimanches (ou presque) nous dévoile un bout de la carte qu’il a chipée dans les bureaux.
C’est le branle-bas de combat à Cupertino... heureusement, il y a la clim. Image Wikipedia/Daniel L. Lu, CC BY-SA 4.0.
Am I Going Insane? (Suis-je en train de devenir fou ?)
Les atermoiements d’Apple sur l’intelligence artificielle commencent à devenir légendaires... et il semble qu’ils ne soient pas totalement finis : si Cupertino a bien compris depuis quelques temps déjà qu’elle ne pourra pas faire sans l’IA, elle a mis encore plus de temps à comprendre que les chatbots permettant n’importe quelle recherche d’information sont l’une des clés principales. Au début, les choses étaient même claires : Apple ne fera pas de chatbot maison.
Et... raté. Les bots conversationnels font un carton, au point de venir de plus en plus tailler des croupières aux moteurs de recherche traditionnels. Eddy Cue l’a lui-même dit durant son audition dans le procès d’abus de position dominante de Google, la recherche est en train de se transformer, passant de la simple recherche par mots-clés à une IA permettant de poser sa question de manière claire, pour recevoir une réponse tout aussi organisée.
De ce fait, c’est la course : Apple a réorganisé toute la team responsable de l’IA, lui donnant l’acronyme AKI, pour Answers, Knowledge and Information (Réponses, Connaissance et Information). C’est Robby Walker qui aurait pris la tête du « A », directement sous la coupe de John Giannandrea (qui a encore quelques fonctions importantes finalement). Un nombre conséquent de développeurs de Siri l’auraient suivi, et la première étape franchie serait un « moteur de réponses », capable de fouiller le net pour trouver des réponses aux questions des utilisateurs.
Par la suite, ils seraient sur le développement d’une app individuelle, permettant d’interroger ce chatbot, tout en mettant en place l’infrastructure nécessaire à son intégration plus tard dans Siri, Spotlight et Safari. Pour ce faire, Apple a commencé à ouvrir des postes sur son site d’emplois, indiquant que « Notre travail est d’intégrer un système d’information intuitif dans nombre de produits iconiques d’Apple, incluant Siri, Spotlight, Safari, Messages, Lookup et plus. Rejoignez-nous pour concevoir le monde connecté à l’information du futur ! ».
Quoi qu’il en soit, Apple a maintenant pris le virage, et il semble qu’un chatbot de recherche équivalent à ChatGPT ou Perplexity soit maintenant sur de bons rails.
Age of Reason (l’âge de raison)
Il y a quelques jours, des clichés supposés de l’iPhone 17 Pro sont sortis sur X. L’info a pu paraître surprenante sur le moment, mais au final, l’est-elle tant que ça ?
Comme le rappelle Mark Gurman, même si trouver un produit encore en développement dans la nature peut surprendre, il n’y a rien d’anormal : tout comme les constructeurs automobiles sortent sur différents terrains leurs prototypes maquillés par des habillages plus ou moins complexes pour tester le véhicule dans différents scénarios, Apple teste ses futurs iPhone à l’extérieur bien avant leur sortie. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est impossible de reproduire en laboratoire les différents réseaux auxquels sera confronté le produit, et qu’il serait totalement inconscient de le sortir sans avoir fait un test sur le terrain au préalable.
L’employé pris en photo ne sera probablement pas puni, il a juste eu la malchance de tomber sur un passant qui savait exactement ce qu’il voyait, et il est fort probable que plusieurs terminaux du même genre circulent un peu partout (surtout aux USA évidemment, mais même ailleurs dans le monde) sans que personne ne s’en rende vraiment compte.
Ancient Warrior (Guerrier éternel)
Jeff Williams n’est désormais plus dans son rôle d’origine, l’ayant laissé à Sabih Khan. Mais il n’est pas pour autant parti d’Apple. D’ailleurs, le peut-on quand on a occupé un tel poste pendant des années ? Il semble que la pomme ait un terme pour cette transition qui se déroule sur des mois, voire des années, entre la fin officielle de contrat et la fin réelle de coopération. La chose a été vue avec Bob Mansfield, Jony Ive, Dan Riccio, ou encore Phil Schiller, et aurait un petit nom en interne : Hotel Cupertino.
Toute la symbolique du terme tient dans une définition : « You can check out anytime you like, but you can never leave » (Tu peux sortir quand tu veux, mais tu ne peux pas vraiment partir). Comme Jeff Williams, Luca Maestri est aussi dans cet « Hotel Cupertino », mais l’ex COO a quelques particularités :
il a reçu un poste de Senior Vice President qui a une date de péremption précise, à savoir fin décembre, concernant la tête du département design de l’Apple Watch. Maestri, lui, est resté Vice President pour huit mois, et Schiller est déjà dans son rôle « Apple Fellow » depuis plus de cinq ans.
Jeff Williams reste dans l’équipe de direction d’Apple, qui n’inclut pas les Vice President, jusqu’à son départ total. Il a ainsi un rôle bien plus décisionnaire que n’importe quel ancien client de cet « Hotel Cupertino ».
Ainsi les personnes aux postes les plus élevés de Cupertino partent, mais sans partir : ils prennent un autre poste plus discret, restent aux affaires sans être mentionnés en clair, ou quand il est vraiment temps de partir... restent en fait, en tant que « Apple Fellow ». Au final, une fois atteint un certain niveau, on ne quitte jamais vraiment Apple.
Jack the Stripper (Jack le déshabilleur)
Reste qu’en dehors de ces grands dirigeants, Apple a de quoi devenir paranoïaque avec ce qui se trame dans son équipe « foundation », dédiée à la recherche sur l’intelligence artificielle : en quelques semaines, l’équipe a perdu quatre de ses membres clés, partis rejoindre l’équipe de développement LLM de Meta.
Un Zuck bien content de ses prises... Image Wikipedia/Union européenne, CC BY 4.0.
Tout à commencé par Ruoming Pang, créateur de l’équipe foundation début juillet. Puis Tom Gunter et Mark Lee, qui étaient parmi les anciens du groupe. Pour finir, la semaine dernière, c’est Bowen Zhang, l’un des leaders restants qui est parti. Apple va devoir boucher la fuite rapidement, sous peine de se retrouver sans tête de pont dans le développement du LLM... ce qui ne pourrait pas plus mal tomber vu les étapes à franchir.
Apple et le monde de l’informatique en général sont dans une guerre permanente, souvent froide, mais avec plusieurs batailles rangées. En cette période, il semble toutefois que la guerre bien réelle soit déclarée, et si Cupertino a mis du temps à comprendre où était le terrain, elle a maintenant les deux pieds dedans. Le front est là, complexe, mais certains ennemis sont plus retors que d’autres : il va falloir faire attention à ne pas perdre plus de seigneurs de guerre partant vers la maison au pouce levé, sous peine de voir tous les bataillons se désorganiser...
C'est une semaine hautement symbolique pour Tim Cook. Il est devenu le CEO qui est resté le plus longtemps à la tête d’Apple. Le 24 aout prochain, il fêtera son quatorzième anniversaire à ce poste. Cet événement se produit alors que l'entreprise a annoncé d'excellents résultats trimestriels. Les ventes d'iPhone se sont brutalement réveillées, affichant une croissance de 13 %. Cela faisait près de 4 ans que la division iPhone n'avait pas connu une croissance à deux chiffres sur un trimestre. Le Mac poursuit également son rebond entamé il y a quelques trimestres.
Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes pour Tim Cook, s'il n'y avait pas cette petite musique en tâche de fond autour de l'intelligence artificielle. Chose rare, accompagné de Craig Federighi, il a réuni les employés de l’Apple Park dans le Steve Jobs Theater pour les rassurer à ce sujet.
Être patron d'Apple ne doit rien avoir d'une sinécure. Si l'on doit faire le bilan des deux septennats de Tim Cook, il faut absolument louer sa capacité à faire croitre Apple. Succès technologique, l'iPhone est devenu sous sa coupe un incroyable succès commercial. On a appris cette semaine que le smartphone d'Apple avait été vendu à plus de 3 milliards d'exemplaires. Il a réussi à faire des services un véritable pilier de la maison Apple. Plusieurs nouveaux produits, comme l'Apple Watch, les AirPods ou encore les AirTags, ont connu un succès certain, mais, depuis l'iPad, Apple n'a jamais été capable de commercialiser un produit de rupture connaissant un succès commercial foudroyant.
Et c'est sans doute la principale différence par rapport à l'époque de Steve Jobs. La vision à moyen ou long terme semble beaucoup plus hésitante. Les marchés financiers n'ont d'ailleurs pas manqué de sanctionner le retard d'Apple dans le domaine de l'intelligence artificielle. Star incontestée de la Silicon Valley pendant des années et des années, Apple vit désormais dans l'ombre de Nvidia et Microsoft.
Alors, certes, le mandat de Tim Cook n'est pas fini. Il ne prévoit pas de quitter son poste à court ou moyen terme, mais pour vous, qui a été le meilleur CEO d'Apple ?
Il suffit de presque rien. Une fausse relance d’un transporteur, un site cloné à la perfection, un formulaire trop rapide. L’arnaque moderne ne force plus la porte : elle vous laisse l’ouvrir vous-même.
Les derniers témoignages en ligne ont tous un air de déjà-vu. Une notification SMS prétend qu’un colis n’a pas pu être livré. L’utilisateur clique. Il tombe sur une page qui semble légitime. L’URL est propre, le logo familier. Le formulaire est clair, professionnel. À la fin, il entre ses coordonnées bancaires pour payer une « petite participation » à la reprogrammation. Et tout commence.
Quelques heures plus tard, parfois moins, la victime est appelée par un prétendu conseiller bancaire. Il explique avoir détecté une opération suspecte et demande de valider une « sécurisation ». Il guide la personne vers l’application de sa banque. Et si personne ne l’arrête, le compte est vidé en direct.
Une double escroquerie bien rodée
Cette attaque fonctionne en deux temps : le premier sert à récolter les données, le second à les exploiter. Mais ce qui la rend possible, c’est la qualité des informations utilisées dès le départ. Des noms, des adresses, parfois même des historiques de livraison crédibles. Les fraudeurs n’inventent plus : ils exploitent ce que le système leur donne.
Et ce système, ce sont les data brokers — des sociétés spécialisées dans la collecte et la revente d’informations personnelles. Une économie parallèle, opaque, et étonnamment légale. C’est cette mécanique que certains essaient aujourd’hui de briser.
Interrompre la chaîne
L’approche proposée par Incogni repose sur un principe simple : réduire votre présence dans ces bases de données.
Une fois inscrit, vous signez un mandat unique. Le service envoie alors, en votre nom, des centaines de demandes de suppression à des courtiers identifiés. Certains coopèrent immédiatement. D’autres traînent. Mais tous sont recontactés jusqu’à obtenir une réponse.
Chaque action est traçable. Chaque suppression confirmée. L’outil ne protège pas contre le message frauduleux, mais il réduit la probabilité qu’il vous vise avec assez de justesse pour être crédible. Ce n’est pas spectaculaire. C’est préventif. Et ça peut suffire à ne pas figurer sur la prochaine liste.
Tarifs Incogni en 2025
14,48 €/mois sans engagement
87,48 €/an pour la formule individuelle
185,88 €/an pour la formule Famille (15,49 €/mois)
Versions Unlimited disponibles à 12,99 €/mois (individuel) ou 25,49 €/mois (famille)
Majin Bu a légèrement revu les informations qu'il a publiées en fin de semaine concernant les batteries des prochains iPhone. Il y a eu une incompréhension entre lui et sa source. Les photos qu’il a dévoilées à la fin de la semaine dernière ne représentaient pas la batterie de l’iPhone 17 Air, mais celle de l’iPhone 17 Pro.
À gauche, la batterie de l'iPhone US. À droite, la batterie de l'iPhone chinois. Image Majin Bu
Si l'on en croit les photos qu'il publie, Apple va enfin exploiter le vide laissé par l'absence physique de lecteur de carte SIM. Depuis l'iPhone 14, les iPhone vendus aux États-Unis sont dépourvus d’emplacement SIM.
La nature ayant horreur du vide, Apple aurait enfin décidé d'exploiter cet espace en agrandissant la batterie. Mine de rien, la différence n'est pas négligeable. On peut légitimement penser que, si Apple passe enfin à l'action, c'est parce qu'Apple commercialisera des iPhone dépourvus d’emplacement SIM dans d'autres pays. Mi-juin, nous avions émis l'hypothèse que les iPhone 17 vendus en France seraient uniquement eSIM tant les opérateurs ont renforcé la prise en charge de cette technologie récemment.
On peut penser que toute l'Europe sera concernée par ce changement. À l'inverse, la Chine, pour des raisons réglementaires, n'est pas prête d'abandonner son lecteur. Les iPhone vendus en Chine ont une particularité unique : celle de disposer d'un double lecteur de cartes SIM.
Transfert rapide d’eSIM entre deux iPhone. Image iGeneration
Pour en revenir à la batterie de l'iPhone 17 Pro, Majin Bu semble indiquer que son boîtier en acier inoxydable offrirait une meilleure gestion thermique. Ce qui laisse espérer éventuellement des recharges plus rapides.
Petite précision par rapport à l'article publié vendredi, quand Majin Bu évoque une capacité annoncée de 2 900 mAh, il s'agit bel et bien de la capacité de l'iPhone 17 Air.