Microsoft veut éviter la présence d’écran bleu de plantage Windows dans l’espace public. L’entreprise a présenté un nouveau mode pour son système visant à éteindre l’écran automatiquement 15 secondes après un plantage. Appelé Digital Signage, il permet de s'assurer « qu'aucun écran Windows ni aucune boîte de dialogue d'erreur ne s'affichera » à l’écran en cas de pépin.
Images MacGeneration
L’écran devrait donc devenir noir le temps qu’un informaticien vienne bouger le clavier ou la souris. Le nouveau mode est activable facilement depuis les Paramètres de Windows. On peut y voir une réponse de Microsoft à certaines grosses pannes, comme celle de CrowdStrike, qui avait planté 8,5 millions d’ordinateurs sous Windows l'été dernier.
Dans les gares, les parkings ou les centres commerciaux, ces écrans bleus sont devenus un décor familier. Les panneaux d’affichage transformés en BSoD géants se retrouvent régulièrement moqués sur les réseaux et incarnent le cliché du PC qui plante. Microsoft espère rendre ces crashs un peu moins spectaculaires, quitte à les remplacer par un simple écran noir.
Microsoft indique que ce mode ne changera rien pour le mode kiosque, qui se destine aux écrans interactifs. Le nombre de « Blue Screen of Dead » en public ne devrait cependant pas baisser rapidement : il faut que la machine en question soit sous Windows 11 et à jour. Cela ne changera rien non plus pour les bugs se produisant avant le démarrage du système.
Images MacGeneration
Le « Blue Screen of Death » est sur la sortie depuis quelque temps. Microsoft a récemment décidé de remplacer l’historique teinte bleue par un noir plus simple ressemblant à celui qui apparaît durant les mises à jour de Windows 11. Apple s’est moqué de cette icône du bug pas plus tard que le mois dernier dans une publicité avec l’équipe des Underdogs.
Les numéros de téléphone sont au cœur de la simplicité et du succès de WhatsApp : il suffit d’entrer un numéro pour savoir si un contact utilise la messagerie. Mais ce principe peut aussi être détourné pour collecter les numéros de tous les utilisateurs, soit 3,5 milliards de personnes.
C’est ce qu’ont découvert des chercheurs en sécurité autrichiens, qui détaillent dans un article les failles leur ayant permis d’automatiser cette extraction. Avec 3,5 milliards de numéros, et parfois les photos de profil associées, « ce serait la plus grande fuite de données de l’histoire », affirment-ils. Le conditionnel n’est pas là par hasard : s’ils ont démontré la possibilité de siphonner ces informations, ils ont ensuite supprimé leur base avant d’alerter Meta.
Image WhatsApp
Le propriétaire de WhatsApp a corrigé la faille avant qu’elle ne puisse être exploitée par des malandrins et a récompensé financièrement les chercheurs. Néanmoins, ceux-ci estiment que Meta n’avait pas mis en place des protections suffisantes. Malgré un signalement déjà formulé en 2017, l’entreprise n’avait toujours pas limité la vitesse ni le volume de requêtes permettant de rechercher des contacts. « Si nous avons pu récupérer cela très facilement, d’autres auraient pu faire de même », a expliqué Max Günther à Wired.
Côté WhatsApp, la réponse se veut rassurante. « Nous travaillions déjà sur des systèmes anti-scraping avancés, et cette étude a été essentielle pour tester leur robustesse et confirmer leur efficacité immédiate. Nous n’avons trouvé aucune preuve d’abus de cette faille », a réagi Nitin Gupta, vice-président de l’ingénierie.
Si la découverte n’a finalement pas eu de conséquences pour les utilisateurs, elle rappelle l’échelle colossale de WhatsApp — et l’importance du chiffrement de bout en bout pour les messages, qui sont ainsi mieux protégés. Par ailleurs, WhatsApp développe depuis plusieurs mois un système de pseudos destiné à masquer son numéro de téléphone. Aucune date de déploiement n’a encore été annoncée.
L’accessoiriste Twelve South a récemment lancé un nouveau support pour tablette : le Curve Mini. Celui-ci vise à être facilement transportable afin de toujours avoir un support d’appoint avec soi. Il peut surélever la tablette de 15 cm, ce qui sera pratique pour les appels FaceTime ou pour regarder un film dans de bonnes conditions, même loin de la maison.
L’accessoire permet d’utiliser son iPad en mode paysage ou portrait, et peut être ajusté de manière précise. Sa base antidérapante et ses coussinets en silicone souple maintiennent la tablette stable. Le format est plutôt compact étant donné qu’il ne fait plus que 20 mm en position repliée. Un étui de support est inclus pour l’emporter facilement.
Le produit est disponible en 3 coloris, à savoir bleu, gris ou noir. Vous pouvez l’acheter directement sur le site de Twelve South, et on peut imaginer qu’il arrivera prochainement sur la boutique Amazon de l’accessoiriste.
Image Twelve South
Twelve South est connu pour ses différents supports, et en propose de nombreuses déclinaisons pour MacBook. Le modèle SE le plus abordable est à 26,89 €, quand on en trouve de plus gros à 53,90 €, et même une variante pliable à 89,95 €. La marque a aussi un modèle pour iPhone plutôt compact à 40,66 €.
Pour les tablettes, Twelve South commercialise le HoverBar Duo, que nous avions testé. C’est un produit intéressant si vous cherchez à transformer votre iPad en écran externe. Le bras articulé peut passer rapidement d'une base à une pince à clipser sur son bureau pour gagner de la place. L’accessoire est vendu 89,90 €, sachant qu’il existe une déclinaison grande taille pour 10 € de plus.
1Password revoit en profondeur sa méthode de déverrouillage sur les ordinateurs de bureau, avec à la clé davantage de souplesse et de fluidité. Le gestionnaire de mots de passe peut désormais se déverrouiller en même temps que votre Mac ou votre PC : dès que votre session est ouverte via Touch ID, votre mot de passe ou une autre méthode, le coffre-fort peut ouvrir sa porte immédiatement. Quelques secondes de gagnées à chaque utilisation, puisqu’il n’est plus nécessaire de déverrouiller l’application elle-même.
Les trois modes de déverrouillages proposés. Image MacGeneration.
Cette nouveauté est totalement optionnelle. Si vous préférez que 1Password reste indépendant de la session — par exemple sur un ordinateur partagé —, c’est tout à fait possible. L’éditeur a d’ailleurs revu entièrement les options de déverrouillage.
Trois modes sont maintenant proposés : Pratique, Équilibré et Strict. Pour chacun, l’application indique les changements par rapport à vos réglages actuels. Si vous utilisez 1Password depuis longtemps, vous remarquerez que le mode Équilibré est moins contraignant que les anciens réglages par défaut : il active le nouveau déverrouillage lié à la session, étend la mémorisation du mot de passe à 30 jours et repousse le verrouillage automatique à 8 heures.
Détails pour le mode Équilibré
À vous de choisir le compromis qui vous convient, sachant que renforcer la sécurité va souvent de pair avec une utilisation moins immédiate. Vous pouvez aussi conserver vos réglages actuels ou n’ajuster que certains paramètres. 1Password coûte environ 4 €/mois en formule individuelle et 8 €/mois pour l’offre famille.
Hier, Orange a annoncé l’arrivée imminente d’un service de SMS par satellite. Lancé le 11 décembre prochain, il va permettre au grand public d’échanger via la technologie Direct to Device (ou Direct to Cell), qui fonctionne comme une antenne-relais de téléphonie mobile dans l'espace ne nécessitant pas de matériel spécifique. L’opérateur a donné quelques détails supplémentaires à Next, qui a pu l’essayer en avant-première.
Image Orange
Rappelons que les iPhone ne seront pas compatibles dans l’immédiat. Seuls les Pixel 9 et 10 de Google auront cet honneur, mais d’autres modèles suivront par la suite. Pas de bol non plus pour les clients Sosh : la nouveauté sera réservée aux clients Orange 5G et 5G+.
Le service sera offert pendant 6 mois à partir du lancement avant d’être facturé 5 € par mois. Selon nos informations, les clients ayant accepté l’utilisation commerciale de leur IMEI et disposant d’un smartphone compatible seront automatiquement positionnés sur cet essai gratuit. Pour des raisons de sécurité, un délai de plusieurs jours est à prévoir avant l’activation.
Les SMS par satellite pourront ensuite être envoyés ou reçus en illimité depuis l’un des 36 pays éligibles. Il ne sera pas nécessaire d’avoir activé les données mobiles pour s’en servir, ce qui sera pratique à l’étranger afin d’éviter les hors forfait. Contrairement aux SMS d’urgence par satellite, l’utilisateur sera ici libre d’envoyer le texte qu’il veut et même sa position sous forme de coordonnées GPS.
Exemple de conversation par satellite. Image Orange
La connexion se fait via des satellites géostationnaires, situé à environ 36 000 km de la Terre. Le temps d’un aller-retour est de 240 ms, une limitation liée à la vitesse de la lumière. Il faudra donc prendre quelques habitudes par rapport aux messages classiques, comme le fait d’orienter son téléphone vers le satellite à l’envoi comme pour la réception. Les photos ne seront pas prises en charge, et il y a forcément un peu de latence. Selon Next, qui a pu essayer la nouveauté en avant-première, l’envoi et la réception se font « en quelques secondes ». Ces aspects moins pratiques font qu’on lui préférera sans doute le traditionnel roaming quand il est disponible.
Côté confidentialité, un responsable d’Orange a confirmé à Next que le service respectait le RGPD, tandis que son partenaire Skylo avait l’agrément de l’Arcep. Ils se basent sur les satellites de trois partenaires, à savoir Viasat, EchoStar et Immarsat. Skylo utilise des bandes de fréquences MSS aux alentours de 1,6 et 2 GHz, qui peuvent aussi servir à d’autres clients de Stylo. La fonction devrait être ouverte courant 2026 aux professionnels et aux entreprises.
Un mois seulement après sa sortie, il est d’ores et déjà possible de faire de bonnes affaires sur le MacBook Pro M5. Sur Rakuten, une réduction de 80 € est disponible sur le modèle avec 16 Go de RAM et 1 To de SSD à 2 049 € en saisissant le code « BLACK80 ». La machine est vendue par Darty, et pas par un obscur revendeur. Surtout, 184 € sont crédités sur la cagnotte ClubR, pour faire ensuite d’autres achats sur la place de marché.
MacBook Pro M5. Image Apple.
Même topo pour une autre configuration toujours vendue par Darty : le MacBook Pro M5 avec 24 Go / 1 To à 2 299 € profite d’une remise immédiate de 80 € et donne droit à 206 € de crédit sur la cagnotte Rakuten.
Le MacBook Pro M5 est un excellent ordinateur portable : puissant, polyvalent, endurant et doté d’un très bel écran. Il faut simplement garder en tête que lorsqu’il est poussé dans ses retranchements sur une longue durée, il peut devenir un peu bruyant, un trait que ses prédécesseurs plus discrets avaient fini par faire oublier. Quant aux MacBook Pro M5 Pro/Max, ils ne sont pas attendus avant le début de l’année prochaine et s’annoncent nettement plus onéreux.
Vous l’avez sans doute remarqué hier midi, une bonne partie du Net était en panne. Des sites comme X, Spotify ou le jeu League of Legends ont rencontré des problèmes pendant plusieurs heures suite à une panne de Cloudflare. L’entreprise a enquêté sur ce qui s’est passé et vient de dresser un premier bilan : la panne n’était pas liée à une cyberattaque.
La panne en question.
« Le problème n'a pas été causé, directement ou indirectement, par une cyberattaque ou une activité malveillante de quelque nature que ce soit », affirme le CEO de l’entreprise dans un billet de blog. Le souci a plutôt été causé par une modification des autorisations de l’un des systèmes de base de données lié au service de gestion de bots, surveillant le trafic automatisé. Cela a entraîné la création de plusieurs entrées dans un « fichier de fonctionnalités », qui a doublé de volume.
Ce fichier anormalement volumineux s’est alors propagé à toutes les machines du réseau. Celles-ci lisent ce document pour garder le système de gestion des bots à jour, via un logiciel qui s’attendait à un fichier d’une certaine taille. En recevant un document trop lourd, il s’est mis à planter. Les clients qui n’utilisaient pas ces règles de filtrage ont été beaucoup moins touchés.
Pour corriger le tir, Cloudflare a donc identifié et limité la propagation du fichier pour le remplacer par une version antérieure. Le trafic est revenu en grande partie vers les 14 h 30, et a été complètement rétabli à 17 h 06. L’entreprise promet désormais plusieurs mesures : mieux plafonner la taille des fichiers de configuration, renforcer les tests automatiques avant déploiement global et réduire la dépendance d’éléments critiques à un seul fichier central.
D’autres briques de Cloudflare ont été secouées, comme son CDN, le système de captcha et même son tableau de bord. Cette mésaventure nous rappelle qu’une majeure partie du web dépend d’une poignée d’acteurs. Cloudflare a précisé qu’il s’agissait de sa pire panne depuis 2019.
Aqara commercialise une nouvelle tête thermostatique, un appareil connecté qui vient remplacer la tête traditionnelle présente sur les radiateurs à eau. Le Thermostat de Radiateur W600 est vendu 50 € (promotion de lancement à la fin) et le produit présente l’avantage de fonctionner selon deux modes, à choisir en fonction de votre préférence. Par défaut, il travaille sur un réseau Thread et se connecte directement à la domotique par le biais du standard Matter. Si vous disposez d’un hub Aqara ou d’un contrôleur associé à une domotique ouverte comme Home Assistant, il est aussi possible de passer l’accessoire en Zigbee pour bénéficier de toutes ses fonctionnalités.
La tête thermostatique W600 en place sur un radiateur. Image Aqara.
Ce principe de la double connectivité est bien connu maintenant chez Aqara, on le retrouve sur tous ses les nouveaux produits de l’entreprise et je l’avais détaillé dans ce précédent test. Pour la tête thermostatique, le choix du Zigbee permettra surtout de lier plusieurs accessoires pour qu’ils fonctionnent de la même manière, ce qui est utile pour les pièces avec plusieurs radiateurs. On pourra aussi gérer un planning de chauffe depuis l’app Aqara, une fonctionnalité mal gérée par Maison par exemple.
En mode Zigbee encore, on pourra associer une W600 au thermostat W100 d’Aqara. Ce dernier est intéressant à la fois pour mesurer la température au milieu de la pièce et pour contrôler le chauffage avec ses boutons inclus. Si on privilégie Matter directement via Thread, il faudra prévoir d’autres dispositifs dans la domotique pour ajuster la consigne ou alors le faire directement sur la tête thermostatique, ce qui reste bien entendu possible.
Aqara annonce que son nouveau produit est plus silencieux (moins de 30 dB quand le moteur s’active) et bénéficie d’une meilleure compatibilité avec les radiateurs européens, tout en doublant l’autonomie des modèles précédents. Le fabricant indique ainsi que les deux piles AA incluses doivent tenir jusqu’à deux ans, ce qui est en effet élevé par rapport à ses concurrents. Si vous êtes intéressé, vous pouvez acheter un exemplaire sur Amazon à prix réduit pour le lancement : en saisissant le code AQARAW600 avant de payer, vous économiserez 15 %, soit 42,5 € au lieu de 50.
Le Hub M200 reprend le meilleur du M3 à petit prix
Autre nouveauté du jour pour Aqara, un nouveau pont de connexion avec l’arrivée du hub M200. Vendu 60 €, il prend la relève du hub M2 en l’améliorant avec plusieurs bonnes idées piochées du côté du hub M3, qui est toutefois quasiment trois fois plus cher. On retrouve ainsi deux modes d’alimentation au choix, soit de l’USB-C, soit de l’Ethernet PoE si vous disposez d’un switch qui intègre cette norme. Ce hub ne se contente pas non plus d’une puce Zigbee pour gérer jusqu’à 40 appareils Aqara, il dispose d’une puce Thread pour gérer jusqu’à 40 appareils Matter de toutes les marques. À ce titre, il peut devenir le centre de la domotique, si vous le souhaitez.
Le Hub M200 est un clone visuel du M2. Image Aqara.
Le M200 garde son émetteur infrarouge pour contrôler un téléviseur ou une climatisation. Autre petite nouveauté, on peut facilement le positionner au mur, voire au plafond, grâce à l’ajout d’un trou de vis sous la base. Enfin, il intègre toujours un haut-parleur, qui peut permettre de l’utiliser comme alarme.
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Amazon propose une promotion intéressante sur l’adaptateur Apple USB-C 140 W sorti en 2021. Celui-ci est affiché à 65 €, soit 40 € de remise. C’est le chargeur le plus puissant du catalogue Apple, pensé pour offrir une recharge rapide et efficace, que ce soit au bureau, à la maison ou en déplacement.
Cet adaptateur peut être utilisé aussi bien avec un câble USB-C vers MagSafe 3 qu’avec un câble USB-C classique. Grâce à la charge rapide, il suffit d’une trentaine de minutes pour qu’un MacBook Pro 16 pouces complètement à plat remonte à 50 % de batterie.
À noter que le câble de charge n’est pas inclus, comme souvent chez Apple, mais l’adaptateur reste une valeur sûre pour celles et ceux qui recherchent un accessoire fiable, certifié, et capable de délivrer toute la puissance nécessaire aux machines professionnelles les plus récentes.
À ce tarif, c’est une bonne occasion d’équiper un MacBook Pro, ou simplement de se constituer un chargeur de secours capable d’encaisser tous les usages.
Précisons enfin qu’Apple commercialise depuis peu un nouveau modèle, apparu avec les MacBook Pro M4. Celui-ci est vendu 113 €, ce qui permet de mesurer l’intérêt de la promotion actuelle sur la version 2021.
Voilà maintenant deux mois que iOS 26 et sa nouvelle interface Liquid Glass sont disponibles pour le grand public. Présentée comme une refonte majeure, cette interface avait suscité de nombreuses critiques lors de son dévoilement. Pourtant, sa mise à disposition n’a pas provoqué la vague de protestations que certains anticipaient. Apple semble toutefois avoir entendu une partie des remarques : à chaque mise à jour intermédiaire, l’entreprise ajuste par petite retouche Liquid Glass.
Apple : une transition sans stress
Avec le recul, ce qui surprend le plus, c’est la vitesse à laquelle les applications d’Apple adoptent les nouveaux canons graphiques d’iOS 26. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce ne sont pas les grands ténors de la suite Apple qui ont bénéficié les premiers d’un lifting Liquid Glass. La firme a plutôt commencé par moderniser ses « petites » apps : Apple Invitation, TestFlight ou encore Assistance Apple ont été parmi les premières à inaugurer la nouvelle interface.
Ces dernières semaines, le mouvement s’est étendu à des applications plus ambitieuses. GarageBand, Photomator ou Pixelmator Pro ont chacun reçu une mise à jour qui se résume avant tout à une nouvelle icône. Le dernier en date à profiter de cette transition est Apple Configurator, qui rejoint à son tour la longue liste des apps déjà passées à Liquid Glass.
Assistance Apple : avant / après. Image iGeneration
iWork a fait l’impasse sur sa mise à jour estivale
Pendant ce temps, les applications de la suite iWork — Pages, Numbers et Keynote — attendent désespérément leur refonte. Apple a pourtant l’habitude de mettre à jour sa suite bureautique dans la foulée d’une nouvelle version d’iOS. L’an dernier, par exemple, Pages 14.2 était sorti dès le 17 septembre.
Historiquement, Apple maintenait un rythme assez régulier, avec trois mises à jour par an : une première au printemps (mars/avril), une seconde autour de juin, puis une troisième en septembre ou octobre. Ces dernières années, ce cycle était devenu presque prévisible.
Image : Apple
En 2024, la firme avait même accéléré la cadence avec une quatrième mise à jour publiée en décembre, visiblement dictée par l’arrivée d’Apple Intelligence. Un effort conséquent… qui contraste fortement avec le silence radio de cette année autour d’iWork.
Cette année, les trois applications bureautiques d’Apple ont bien reçu leur habituelle mise à jour de printemps, mais ont ensuite fait l’impasse sur leur version estivale. Un silence inhabituel qui interroge : que se passe-t-il exactement ? Comment expliquer un tel retard alors que toutes les autres apps maison basculent progressivement vers Liquid Glass ?
Quelques indices commencent toutefois à émerger. Des captures d’écran qui circulent ici ou là sur le site d’Apple montrent qu’une version de Keynote intégralement revue à la sauce Liquid Glass est bel et bien dans les tuyaux. Le chantier semble donc en cours… mais visiblement plus complexe ou plus ambitieux que prévu.
Keynote à la sauce Liquid Glass
On peut supposer — ou espérer — que cette prochaine mise à jour s’accompagnera d’une véritable refonte en profondeur des trois applications d’iWork. L’un des enjeux majeurs pour une suite bureautique moderne est désormais l’intégration de l’intelligence artificielle générative. Microsoft a déjà pris une longueur d’avance sur ce terrain : dans Excel, Copilot peut aider l’utilisateur à rédiger des formules, analyser un tableau ou structurer une feuille de calcul. Et Redmond a annoncé fin septembre l’arrivée d’un « mode Agent » dans Excel et Word, capable de découper automatiquement une requête complexe en plusieurs étapes tout en explicitant son raisonnement.
Est-ce une piste pour l’équipe de développement d’Apple ? On en doute tant la firme apparaît aujourd’hui en retrait sur ces sujets.
Pour l’heure, le mystère demeure. Mais si Apple prend plus de temps que d’habitude, c’est peut-être — espérons-le — pour livrer une version véritablement ambitieuse de Pages, Numbers et Keynote. Une refonte qui ne se limiterait pas à Liquid Glass, mais qui redonnerait un nouvel élan à une suite longtemps appréciée pour sa simplicité, sa cohérence et son élégance.
Cela n’arrête pas ! Alors que l’on testait l’un des tous premiers détecteurs de présence sur pile destinés à Matter la semaine dernière avec le FP300 d’Aqara, les nouveautés arrivent toutes d’un coup sur ce segment. Deux jours après celui de SwitchBot, c’est au tour de Meross de présenter un produit sur le même segment. Le MS605 reprend l’aspect général du MS600, en fonctionnant sur une pile, ce qui permet de l’utiliser loin d’une prise. Le concept est à chaque fois le même : l’appareil intègre un détecteur de mouvements qui réveille le radar chargé ensuite de surveiller la présence grâce aux mouvements infimes.
Le MS605 ressemble comme deux gouttes d’eau au MS600, le câble en moins. Image Meross.
Pour rappel, la détection de présence se base sur un radar qui émet des ondes millimétriques, bien plus précises que les ondes infrarouges utilisées par les détecteurs de mouvements. Cela permet de suivre une présence, même si une personne reste assise, voire allongée : les mouvements les plus subtils sont toujours identifiés par le radar. En contrepartie, ce dispositif consomme bien plus d’énergie, ce qui veut dire qu’il a longtemps fallu se contenter de détecteurs alimentés en permanence. Ce n’est plus le cas désormais.
Meross a repris son détecteur de présence filaire comme base de ce nouveau produit. Le MS605 est ainsi visuellement identique au MS600, sauf qu’il n’a plus le câble USB qui était indispensable à son alimentation. En comparant les deux produits, le fabricant note que le radar inclus dans cette version sans fil est moins précis, qu’il travaille sur une distance plus courte (4 m maximum) et que l’appareil ne peut plus identifier la distance des personnes détectées. C’est logique, tous les modèles sur une pile doivent faire des concessions pour offrir une bonne autonomie et ce ne sont pas des fonctionnalités indispensables pour la majorité.
En parlant d’autonomie, Meross annonce jusqu’à trois ans grâce à sa pile CR123A, un standard un petit peu plus cher que les piles bouton choisies par Aqara même si on peut s’en tirer à moins de 2 € l’unité. Pour atteindre une telle durée de vie, le fabricant a aussi abandonné le Wi-Fi qui servait à connecter le MS600, au profit du Thread, bien plus économe. Pour exploiter l’appareil, vous aurez ainsi besoin d’un routeur de bordure Thread, ce qui signifie un HomePod mini, HomePod 2 ou une Apple TV 4K avec Ethernet dans l’univers Apple. Il est nativement Matter et pourra rejoindre tous les écosystèmes de domotique qui gèrent le standard.
Comme sur le FP300, Meross a prévu une option pour ajuster la distance de détection de la présence, avec toutefois une option supplémentaire et plutôt bien trouvée sur le papier. Dans l’app du fabricant, on peut diviser la zone devant le capteur en trois parties et les gérer différemment, pour n’identifier des mouvements qu’à un endroit ou pour créer des automatisations spécifiques. Ce n’est pas aussi sophistiqué que les zones du FP2 d’Aqara, mais c’est peut-être tout aussi efficace. Si je peux tester l’appareil, je ne manquerai pas d’essayer cette capacité originale.
Le MS605 permet de définir dans l’app trois zones en fonction de la distance et on peut même les gérer différemment dans la domotique, ici dans Maison. Image Meross.
Comme sur son précédent produit, Meross a intégré un capteur de luminosité qui est utile pour créer des automatisations plus intelligentes. Le capteur de mouvements basé sur les infrarouges peut être associé à un capuchon qui limite son fonctionnement en hauteur, une option intéressante pour éliminer les détections liées aux animaux. Enfin, on retrouve une fonction d’apprentissage « par IA », à exécuter quand la pièce est vide pour améliorer la détection en ne tenant pas compte des plantes ou rideaux qui bougeront en permanence. Par rapport au MS600, ce nouveau modèle a un dernier avantage qui est unique à ma connaissance sur ce marché : une certification IP67 qui permet d’envisager sereinement un placement dans une salle de bain.
Le MS605 est actuellement en précommandes sur le site du constructeur, avec des livraisons promises pour la fin du mois de décembre. Si c’est probablement raté pour en placer sous le sapin, cela reste une excellente affaire sur le papier : le détecteur de présence est vendu en temps normal à 37 €, mais il est en promotion à 31 €. On peut même le commander par paquets de deux, voire quatre, pour couvrir toutes les pièces.
À l’approche du trentième anniversaire de Toy Story, le Steve Jobs Archive a mis en ligne une vidéo « jamais vue auparavant » montrant Steve Jobs évoquant les débuts et la vision de Pixar. L’entretien, daté du 22 novembre 1996 — exactement un an après la sortie du film en salles — offre un éclairage rare sur la manière dont Jobs percevait alors l’avenir de l’animation numérique.
Dans cette séquence, Jobs revient sur les débuts du studio, sur le modèle économique qu’il entendait construire et sur la dynamique entre technologie et créativité. Pour rappel, Pixar est né lorsque Steve Jobs a racheté la division « Computer Graphics » de Lucasfilm en 1986, avant d’en faire une entreprise indépendante. Il en restera l’actionnaire majoritaire jusqu’à la vente du studio à Disney, en 2006.
Ce que révèle la vidéo inédite de 1996
La vidéo montre un Steve Jobs enthousiaste, convaincu depuis longtemps que l’animation par ordinateur allait bouleverser l’industrie. Il explique comment il a rencontré Ed Catmull et pourquoi il a immédiatement adhéré à leur objectif : réaliser le premier long-métrage entièrement animé par ordinateur. Toy Story, sorti dix ans plus tard, a donné raison à cette intuition.
Jobs raconte également qu’il ne se considérait pas comme un cinéaste, mais comme quelqu’un chargé de créer l’environnement où les talents — qu’ils viennent d’Hollywood ou de la Silicon Valley — peuvent travailler ensemble en véritables pairs. Cette rencontre entre deux cultures, selon lui, est ce qui a rendu Pixar unique et lui a permis d’attirer les meilleurs profils.
Il revient aussi sur le modèle économique du studio. À l’époque, l’animation numérique servait surtout à produire des publicités ou des effets spéciaux pour d’autres, un secteur peu rentable car déconnecté des recettes finales. Pixar a choisi de sortir de ce modèle pour se concentrer sur des films dont le studio possédait une part significative, notamment grâce à un accord alors inédit avec Disney. Jobs insiste sur un point transmis par le géant de l’animation : un film doit être « monté » avant d’être animé, l’animation étant trop coûteuse pour tout refaire.
« L’histoire avant la technologie » : la philosophie Pixar selon Jobs
Enfin, Jobs rappelle une conviction forte : la technologie vieillit, mais une grande histoire, elle, traverse les générations. Si Toy Story doit encore être regardé dans soixante ans, ce ne sera pas en raison de ses prouesses techniques, mais grâce à son récit et à ses personnages. « Aucune technologie ne peut transformer une mauvaise histoire en une bonne », résume-t-il.
Cette vidéo inédite rappelle à quel point Steve Jobs considérait Pixar comme un projet profondément culturel, et pas seulement technologique. Pour lui, le studio représentait l’alliance idéale entre créativité, innovation et exigence narrative.
Le Steve Jobs Archive, lancé en 2022 par Laurene Powell Jobs, Tim Cook et Jony Ive, s’est donné pour mission de préserver et de transmettre cet héritage. Le site rassemble des citations, des photos, des vidéos et des e-mails de Steve Jobs, et propose des bourses destinées aux jeunes créateurs qui souhaitent, eux aussi, « penser différent ». Cette vidéo inédite sur Pixar s’inscrit parfaitement dans cette démarche, en offrant un nouveau regard sur une période clé de la carrière de Jobs.
Mais que se passe-t-il dans la division WhatsApp ? Depuis quelques semaines, l’application de messagerie semble lancée dans un marathon de nouveautés : prise en charge des messageries tierces, arrivée d’un compagnon pour l’Apple Watch, mise à jour majeure de l’app Mac…
Et ce n’est pas tout. Avez-vous déjà tenté de gérer plusieurs comptes sur un seul appareil ? C’est un enfer. Aujourd’hui, la seule solution consiste à installer WhatsApp Business pour prendre en charge un second compte. Autant dire que ce n’est ni élégant, ni vraiment pratique.
Bonne nouvelle : cette galère touche visiblement à sa fin. WhatsApp est en train de tester la prise en charge native du multi-compte dans la version bêta de son application pour iOS. Plusieurs testeurs voient désormais apparaître une nouvelle section dans les réglages, baptisée « Account List », qui permet d’ajouter un second compte puis de passer de l’un à l’autre en un instant, sans déconnexion et sans manipulation compliquée. Chaque compte conserve son historique, ses préférences et ses réglages de notification, ce qui rend le changement totalement transparent.
Concrètement, le passage d’un compte à l’autre se fait en un geste. Dès lors que deux profils sont configurés, il suffit d’ouvrir la section « Account List » dans les réglages pour afficher ses comptes et en sélectionner un. WhatsApp a même prévu des raccourcis : un appui prolongé sur l’onglet Réglages affiche directement la liste des comptes, et un double-tap sur cet onglet bascule immédiatement vers le compte suivant. La transition se fait sans redémarrage de l’application et sans authentification supplémentaire.
WhatsApp a également repensé ses notifications. Lorsqu’un message arrive sur un compte inactif, l’alerte indique clairement de quel profil elle provient. Cette précision évite toute confusion et permet de garder une vue claire sur ses différentes identités, qu’elles soient personnelles ou professionnelles.
Le multi-compte, une brique essentielle avant les pseudos
Si WhatsApp accélère aujourd’hui sur cette fonctionnalité, c’est aussi parce que l’app prépare une évolution majeure : la possibilité d’utiliser un pseudonyme en guise d’identifiant, à la place du numéro de téléphone. Cette transition nécessitera forcément une gestion plus souple de plusieurs identités au sein de la même application. Le multi-compte natif apparaît ainsi comme une brique essentielle de cette future architecture.
Pour le moment, cette nouveauté n’est disponible qu’à un nombre limité de testeurs via TestFlight. WhatsApp n’a pas encore communiqué de date de lancement officielle, mais l’avancement des tests laisse clairement penser que la sortie générale ne devrait plus tarder.
Après avoir distribué il y a quelques jours de nouveaux firmwares pour les AirPods Pro 2 et les tout nouveaux AirPods Pro 3, Apple poursuit sur sa lancée et met cette fois à jour plusieurs accessoires de sa gamme. Sont concernés : l’adaptateur secteur USB-C 140 W, le Magic Trackpad 2, les Magic Trackpad USB-C, ainsi que les Magic Keyboard avec Touch ID — en version classique ou avec pavé numérique. Ces mises à jour restent assez rares, ce qui rend cette diffusion notable.
Pour le moment, Apple ne détaille pas le contenu de ces nouvelles versions. L’entreprise se contente d’indiquer qu’elles sont disponibles, sans préciser les correctifs ou optimisations qu’elles contiennent. Dans la majorité des cas, il s’agit de petites améliorations de performances, de corrections de stabilité ou de mises à jour de sécurité. Le Magic Keyboard, par exemple, n’avait pas reçu de mise à jour depuis plus d’un an, ce qui laisse supposer qu’un certain nombre de correctifs dormaient dans les cartons.
Les accessoires USB-C lancés en octobre 2024 reçoivent ici leur tout premier firmware. Jusqu’à présent, le Magic Trackpad USB-C fonctionnait avec la version 3.1.1, tandis que les Magic Keyboard USB-C — qu’ils intègrent Touch ID ou Touch ID avec pavé numérique — utilisaient la version 3.1.4. Après cette mise à jour, tous ces modèles passent désormais à la même version 3.1.9, ce qui homogénéise la gamme.
Les anciens accessoires ne sont pas oubliés. Le Magic Trackpad 2, qui reposait jusqu’ici sur le firmware 3.1.1, passe à la version 3.1.8. De son côté, l’adaptateur secteur USB-C 140 W évolue de la version 1.4.73 à la version 1.4.84. Ces révisions restent très discrètes, mais elles contribuent le plus souvent à améliorer la fiabilité des accessoires au fil du temps.
Comme toujours pour ce type de produits, les utilisateurs n’ont strictement rien à faire. Les mises à jour s’installent automatiquement lorsque l’accessoire est connecté ou appairé à un appareil fonctionnant sous iOS, iPadOS, macOS, tvOS ou visionOS. Tant que l’accessoire est utilisé normalement, la mise à jour finit par s’appliquer en arrière-plan, sans aucune intervention manuelle.
« Information importante concernant la sécurité de vos données. » Quand un email débute ainsi, ce n’est jamais de bon augure. Ces derniers jours, des patients ont été alertés par leurs soignants d’une possible fuite de données personnelles, y compris médicales, après une cyberattaque visant un prestataire.
L'entreprise concernée est Weda, une filiale de Vidal qui édite un logiciel de gestion de dossiers patients utilisé par environ 23 000 clients (médecins généralistes, cabinets de santé, sages-femmes, etc.).
Email d’un professionnel de santé à la suite de la cyberattaque de Weda. Capture d’écran MacGeneration.
Selon les documents transmis par Weda à ses utilisateurs et consultés par Le Monde, la société a détecté « un pic anormal d’activité sur l’un de [ses] comptes clients » dans la soirée du 10 novembre. Ce compte, appartenant à un médecin qui avait quitté son cabinet, a servi à accéder à des dossiers de patients qui n’étaient pas les siens. L’éditeur a d’abord coupé les accès du compte concerné, mais devant de nouvelles activités anormales sur d’autres comptes dans la foulée, il a décidé à 23 h de totalement fermer l’accès à son logiciel pour stopper l’intrusion.
Comme Weda fonctionne entièrement dans le cloud, les professionnels de santé se sont retrouvés dans l’incapacité de consulter les dossiers médicaux ou d’échanger des documents, et ce jusqu’au 14 novembre. Depuis cette date, le service a été partiellement rétabli, mais certaines opérations restaient encore impossibles aujourd’hui même, comme la création de nouveaux dossiers.
Le prestataire a demandé à ses clients d’informer eux-mêmes leurs patients, arguant qu’il « ne peut pas légalement se substituer à l’obligation de notification réglementaire » en tant que « sous-traitant ». Les emails envoyés par les cabinets sont très vagues, l’étendue exacte des données potentiellement compromises demeurant inconnue. L’entreprise n’a pas répondu aux questions du Monde.
Apple déploie un nouveau firmware en bêta pour les AirPods Pro 3. Portant le doux nom « 8B5025a », il est réservé aux développeurs pour l’instant, mais il y a des chances pour qu’il arrive bientôt aux membres du programme de bêtas publiques.
Le dernier firmware stable pour les AirPods Pro est le 8B25. Il « [corrigeait] des bugs et [apportait] d’autres améliorations », sans plus de précision. Vous pouvez vérifier la version du micro logiciel de vos AirPods dans Réglages > [nom de vos AirPods] > Version. Si vous êtes développeur ou testeur public, vous pouvez choisir d’activer ou non les mises à jour bêta juste en-dessous.
Klarna, un service qui permet de payer en plusieurs fois sans frais, sera bientôt compatible avec Apple Pay en France. Le géant du paiement fractionné a annoncé qu’il allait prendre en charge la méthode de paiement d’Apple « dans les prochaines semaines » dans l’Hexagone.
Cette nouvelle arrive au moment où Klarna fonctionne avec Apple Pay au Danemark, en Espagne et en Suède. La combinaison des deux services était déjà en place depuis quelques quelques mois en Amérique du Nord et au Royaume-Uni.
Intégration de Klarna à Apple Pay. Image Apple.
Concrètement, lors d’un règlement avec Apple Pay (dans un magasin, sur le web ou dans une app), en touchant l’option « Autres cartes et options de paiement différé », les clients peuvent sélectionner Klarna et voir les offres de paiement fractionné disponibles. Sont généralement proposés des paiements en trois fois sans frais ou un règlement différé à 30 jours.
La fintech suédoise, qui est récemment entrée en bourse, revendique 111 millions de clients à travers le monde grâce à sa présence sur de nombreux sites web. Ce partenariat avec Apple intervient dans le sillage de l’abandon d’Apple Pay Later.
L’Asus ProArt PA27JCV est proposé aujourd’hui à 675 €, soit son prix le plus bas jamais constaté sur Amazon. En temps normal, il est vendu 799,99 €. À ce prix, c’est l’un des écrans 5K les plus abordables du marché. Ce modèle de 27 pouces affiche une définition 5K de 5 120 × 2 880 pixels. Il dispose d’une dalle IPS 60 Hz offrant une bonne homogénéité lumineuse, un traitement antireflet et une restitution des couleurs solide pour cette gamme tarifaire. La luminosité atteint environ 400 nits, un niveau suffisant pour un environnement de travail standard. Le contraste se situe autour de 1 000:1. Le moniteur couvre un espace colorimétrique étendu (sRGB 100%, AdobeRGB 95%, DCI-P3 99%) avec une calibration d’usine assurant une justesse correcte dès la sortie du carton.
Image : MacGeneration
La connectique repose sur un port USB-C (65 W) permettant de recharger un ordinateur portable tout en transférant l’image, complété par un HDMI 2.0 et un DisplayPort 1.4. Le pied permet un réglage en hauteur, en pivot et en inclinaison, ce qui facilite son intégration sur un bureau.
Nous avions testé ce modèle à sa sortie et l’expérience s’était avérée très positive. L’Asus ProArt PA27JCV offre une expérience satisfaisante pour un usage professionnel général et pour les tâches créatives non expertes. La dalle affiche un rendu précis, avec des couleurs vives, une bonne lisibilité des polices et une luminosité correcte. L’homogénéité globale s’avère similaire à celle observée sur un iMac 27” Intel, ce qui permet de l’utiliser sereinement dans un environnement de travail exigeant sans devoir recourir à des écrans haut de gamme beaucoup plus onéreux. Les analyses plus poussées réalisées par des spécialistes de la colorimétrie ne mettent pas en avant de défauts majeurs, ce qui confirme la solidité technique de la dalle.
L’absence de Thunderbolt constitue l’un des principaux compromis du produit, mais elle reste cohérente avec son positionnement tarifaire. Les finitions en plastique rappellent qu’il s’agit d’un moniteur pensé avant tout pour rester posé sur un bureau, sans ambition de rivaliser avec les standards de fabrication d’Apple. Le pied réglable assure cependant une bonne ergonomie, ce qui compense la sobriété de la construction.
Pour celles et ceux qui recherchent un moniteur 5K polyvalent, précis et financièrement accessible, cet Asus ProArt PA27JCV à 675 € constitue une très belle opportunité !
Apple vient de publier un long communiqué de presse qui montre une des nouveautés des Apple Watch de 2025 : l'impression 3D employée pour le châssis en titane. Soyons clairs, le communiqué… est un communiqué. C'est une ode aux ingénieurs d'Apple, avec un peu de storytelling qui s'approche de « C'était impossible, mais nous ne le savions pas alors on l'a fait ». Mais ce n'est pourtant pas dénué d'intérêt.
L'impression 3D aide la planète. Image Apple.
Les rumeurs sur de l'impression 3D couraient depuis des années. Apple explique qu'on parle d'impression 3D, car c'est un procédé additif : la poudre de titane est appliquée couche par couche pour créer le châssis, au lieu de partir d'un bloc brut et d'enlever de la matière (procédé soustractif). Cette solution permet de réduire les besoins en titane, ce qui est une bonne nouvelle pour la planète, mais aussi pour le portefeuille d'Apple.
Nous ne sommes évidemment pas devant une imprimante 3D classique : Apple a développé un système avec des lasers (six) qui permettent d'appliquer les différentes couches (900). Comme le titane devient dangereux quand il est chauffé et exposé à de l'oxygène, la machine doit aussi contrôler la teneur en gaz. La fabrication d'un châssis demande 20 heures selon Apple, avec de la poudre de titane très fine (aux environs de 50 microns). Une fois le châssis obtenu, il est nécessaire de récupérer la poudre restante, ce qui a aussi demandé des développements spécifiques.
Les étapes selon Apple.
Cette impression 3D n'est visiblement pas juste un gadget ou un moyen d'économiser un peu de titane : le communiqué explique que la technique a permis d'améliorer l'intégration de l'antenne dans les modèles cellulaires, en améliorant la zone dans laquelle la pièce en plastique qui doit laisser passer les ondes est installée. Elle est aussi employée pour le connecteur USB-C de l'iPhone Air, qui est très fin. Il est presque dommage de voir qu'Apple a abandonné le titane pour les iPhone Pro cette année...
Google vient d'annoncer et de lancer Gemini 3, son nouveau (et évidemment meilleur) modèle de langage. Il arrive moins d'un an après Gemini 2.0 et prend la première place dans les classements des LLM, devant ses concurrents ChatGPT, Claude ou Perplexity (selon Google et des sites dédiés).
Gemini 3 est le meilleur. Image Google.
Gemini 3 est accessible en preview dès maintenant, dans tous les logiciels et services qui utilisent Gemini. Google met en avant un point : Gemini 3 est conçu pour éviter les clichés et la flatterie et pour vous indiquer ce que vous devez entendre et pas ce que vous voulez entendre. C'est évidemment une référence directe aux dernières versions de ChatGPT, dont la version 5.1 a pris une voie différente, avec de nombreuses personnalités.
Gemini 3 doit offrir de meilleures capacités de déduction (même si certaines études montrent que les LRM ne pensent pas) et comprendre le contexte d'une question sans précisions particulières. Il peut analyser du contenu que vous lui fournissez, mais aussi vous proposer des réponses sous la forme d'images, de texte ou même de mini applications, intégrées directement dans l'interface.
L'AI Mode, absent en France. Image Google.
Gemini 3 Pro est disponible dans l'interface web et dans l'app mobile, pour tous les utilisateurs. Les contraintes classiques sont présentes : les utilisateurs gratuits ont des limites d'utilisation, contrairement à ceux qui payent. Comme l'indique Numerama, il y a un petit bémol à prendre en compte si vous êtes en France : l'intégration dans le navigateur (AI Mode) n'est pas disponible, faute d'accords. Cet AI mode peut par exemple créer des mini sites dans ses réponses.
Si tout se passe comme prévu, Gemini 3 pourrait motoriser la prochaine version de Siri, avec — qui sait — un assistant enfin capable d'effectuer les tâches demandées. Et Google annonce aussi que Gemini 3 va peu à peu remplacer les anciennes versions dans les nombreux endroits où son modèle est implanté.
Pour terminer, nous pourrions évidemment demander à Grok ce qu'il en pense (non, en fait), mais il ne faut pas oublier une chose : dans le monde palpitant des LLM, un modèle n'est pas longtemps le meilleur modèle.
Depuis des dizaines d'années, une des excuses quand un programme a un gros bug va être « C'est pas moi, c'est Murphy » « Ce sont les rayons cosmiques ». En effet, et c'est un fait communément admis (et a priori faux), les fameux rayons cosmiques pourraient modifier la valeur d'un bit dans de la mémoire vive, et donc causer un plantage. Ou pire, comme en Belgique en 2003 (à Schaerbeek), modifier le résultat d'une élection : un candidat avait reçu 4 096 votes en trop, une erreur qui a été attribuée à un rayon cosmique, ou plus exactement à une erreur de la mémoire vive de la machine à dépouiller.
Une représentation imagée des rayons cosmiques. Image CNRS.
La solution classique pour éviter les erreurs en question va être d'utiliser de la mémoire ECC, à correction d'erreur. C'est une technologie qui permet de détecter et de corriger les erreurs dans certains cas, et de les détecter dans d'autres. Elle est rarement employée, car elle a un coût, qui est généralement simple à calculer : une barrette de mémoire doit contenir neuf puces au lieu de huit dans une configuration classique. Apple, avec certains Power Mac et ses Mac Pro, a longtemps intégré de la mémoire ECC, mais a abandonné cette technologie avec les puces Silicon.
Une barrette de RAM ECC, avec neuf puces. Image Crucial.
Mais des chercheurs qui viennent de publier une étude sur arXiv — une plateforme de prépublication —, eux, pensent que les rayons cosmiques ne provoquent pas d'erreurs. Pour le prouver, ils ont étudié le comportement de deux superordinateurs espagnols. Le premier est un système équipé de mémoire DDR3 avec correction d'erreurs, le second une sorte de prototype de test basé sur des puces mobiles, qui intègrent de la mémoire LPDDR3 (comme celles de nos smartphones et Mac) à la même fréquence, mais sans correction d'erreurs au niveau matériel. Les deux centres de données sont placés dans une région proche, à une altitude faible (environ 100 mètres au-dessus du niveau de la mer) et dans une zone assez proche de deux stations capables de mesurer le flux des rayons cosmiques.
Et les conclusions de l'étude, avec de nombreuses analyses statistiques dont nous vous passons les détails, montrent qu'il n'y a pas de corrélation entre le niveau d'émissions des rayons cosmiques et les erreurs dans la mémoire vive des deux centres de données. Pour eux, les rayons cosmiques n'influent pas sur la mémoire vive de solutions (à peu près) modernes et les personnes qui l'affirment habituellement le font généralement sans avoir réellement vérifié cette possibilité. Ils expliquent tout de même que l'altitude à laquelle se trouve le centre de données pourrait avoir un impact (l’atmosphère fait office de bouclier), mais que cette hypothèse n'a pas été testée.
Les erreurs existent bien tout de même
Il faut bien prendre en compte un point : si les chercheurs considèrent que les rayons cosmiques ne causent pas d'erreurs dans la mémoire vive, ils n'affirment évidemment pas qu'il n'y a pas d'erreurs. Elles sont parfaitement documentées et les contrôleurs ECC peuvent comptabiliser les erreurs corrigées et celles qui ne le sont pas, mais les causes possibles ne sont pas les rayons cosmiques. Il peut s'agir de puces défectueuses, de parasites, de défauts liés à la qualité de l'alimentation, etc.
Parfois, l'erreur est visible. Nous avons modifié un bit de cette image.
Enfin, il faut le rappeler, les erreurs arrivent aussi sur nos appareils. Mais dans les faits, elles posent rarement de réels problèmes. D'une part, elles sont bien moins nombreuses statistiquement sur un appareil avec 8 ou 16 Go de RAM que sur un superordinateur doté de plusieurs milliers de gigaoctets de mémoire vive, et d'autre part, elles sont parfois sans effet. Si un bit qui change de valeur se trouve dans une zone inutilisée, il n'a évidemment aucun effet. Et si une erreur (et donc pas un rayon cosmique) change la valeur d'un bit de la vidéo que vous êtes en train de regarder, vous ne verrez probablement pas qu'un pixel de l'image a vu sa couleur subtilement changer pendant 1/30 de seconde. Mais de temps en temps, comme expliqué au début, l'erreur peut avoir des conséquences, qui vont plus loin qu'un écran bleu.
La troisième bêta d’iPadOS 26.2 publiée en début de semaine continue de réparer le multitâche. La mouture annuelle de l'OS pour tablette a en effet amené un nouveau système de fenêtrage ayant également fait disparaître quelques fonctions. Après Slide Over, c’est désormais un autre geste important qui signe son grand retour : le glisser-déposer des apps.
Ouverture d’une app par glissement avec Split View. Vidéo MacGeneration
Pour en profiter, il faudra être dans le nouveau mode de fenêtrage libre d’iPadOS 26. La nouveauté fonctionne aussi avec Stage Manager, mais pas sur le mode le plus simple. Il est également nécessaire d’avoir une fenêtre ouverte, sans quoi le geste va seulement faire glisser l’icône sur la grille d’app.
Une fois cela fait, vous pouvez tirer une icône provenant de n’importe où, que ce soit du dock, de la bibliothèque d’apps ou de Spotlight. La faire glisser à droite ou à gauche lui donne un aspect rectangulaire : cela signifie qu’elle occupera une moitié de l’écran, se préparant à activer Split View. Si elle a un simple format carré, elle s’ouvrira de manière classique.
Les apps peuvent être ouvertes par glissement de n’importe où, y compris depuis Spotlight. Vidéo MacGeneration
Slide Over, qui est revenu avec iPadOS 26.1, profite également de la nouveauté. Il est possible de faire glisser une fenêtre tout à droite ou tout à gauche de l’écran, ce qui fait afficher une petite flèche. L’app passera alors directement en mode Slide Over une fois relâchée. Il n’est toujours possible d’en ranger qu’une seule dans ce tiroir.
Passage d'une app sur Slide Over. Vidéo MacGeneration
Si vous avez déjà une application ouverte dans Slide Over ou deux en simultané dans Split View, vous pouvez faire glisser une fenêtre par-dessus l'une des applications ouvertes pour la remplacer. Contrairement à iPadOS 18, l'app en dessous reste ouverte, ce qui vous permet d'y revenir si vous fermez la nouvelle application. iPadOS 26.2 est actuellement en bêta développeur et devrait sortir pour tous début décembre.