En octobre dernier, on vous annonçait la sortie de Beneath, le FPS lovecraftien sous-marin qui nous avait autant enthousiasmés qu’une huître avariée. Visiblement conscients que leur jeu ressemblait à une murène accidentée de la route, les développeurs de Camel 101 viennent de sortir une mise à jour ajoutant un mode rétro. L’idée : coller un bon vieux filtre avec de gros pixels et un effet VHS sur les textures et les modèles 3D, afin de transformer les graphismes ratés en choix artistique assumé. Malin. L’autre avantage, c’est qu’il n’y a plus de dissonance avec le gameplay, digne du début des années 2000.
Force est de constater que ça fonctionne presque, et si on n’avait que ça à faire, on aurait bien lancé le jeu pour voir ce qu’il donne. Si vous aviez acheté le jeu à sa sortie et que vous l’aviez immédiatement remisé dans un coin de votre bibliothèque Steam, c’est peut-être l’occasion de lui redonner une chance. Comme ça, vous pourrez nous faire un retour !
Pour les autres qui auraient l’envie saugrenue d’acheter Beneath, vous pouvez le retrouver à –20 %, soit 16 € sur Steam et l’Epic Games Store, ou 15 € sur GoG.
Initialement prévu pour le 24 octobre 2024, puis reporté en 2025 sans plus de précisions, la sortie de l’accès anticipé de Terminator: Survivors, le FPS d’action solo, coop et multi se déroulant dans l’univers de la licence Terminator, a été finalement reportée. Ça n’étonnera personne, étant donné que plus aucunes nouvelles n’avaient été communiquées depuis le dernier trimestre 2024. Ainsi, en ce début de semaine, le studio Nacon Milan a publié un billet de blog Steam pour officialiser cette annonce et informer que le jeu sera désormais une aventure uniquement solo. Cette fois-ci, les devs jouent la carte de la sécurité en précisant qu’une date de sortie sera annoncée ultérieurement (il faut en déduire que c’est peut-être déjà râpé pour 2026). Pour terminer sur une note positive, des playtests fermés seront prochainement organisés et si vous souhaitez y participer, il vous suffit de vous inscrire en cliquant sur ce lien.
En attendant des news plus rassurantes (une première vidéo de gameplay, par exemple) et l’accès aux playtests, vous pouvez toujours ajouter Terminator: Survivors à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes emballés par la nouvelle proposition du studio.
Le week-end dernier, les tests alpha de PUBG: Black Budget se sont déroulés. Si la plupart des influenceurs consciencieux se sont précipités pour tester ça, à la rédac, on a préféré attendre les retours. Pour rappel, il s’agit d’un projet d’extraction shooter de Krafton, qui tente de s’immiscer sur le territoire d’Escape from Tarkov. En plus des mécaniques classiques de loot et d’extraction, ils rajoutent une zone qui rétrécit, comme dans les battle royale. Sur le papier, le jeu ne manque pas d’idées intéressantes : une carte 3D diégétique honteusement copiée sur celle de Beautiful Light, des clés universelles par niveau de sécurité, un drone d’extraction qu’on peut améliorer (et qui peut se faire dégommer en plein vol), et une planque personnalisable pour les fans des Sims.
Mais du côté du gamefeel et du gameplay, c’est pour l’instant une autre histoire. D’après le YouTuber belge SixOneZil, qu’on cite souvent chez NoFrag, l’exécution n’est vraiment pas ouf. Il décrit même le gunplay comme « extrêmement mauvais » ; génial pour un FPS ! Côté technique, malgré des visuels qui ne casseront pas trois pattes à un canard, le jeu propose a priori des performances dégueulasses et de nombreux crashs. Certes, c’est de l’alpha, mais la partie sur le feeling fait tout de même un peu peur. Espérons que les développeurs se sortent les doigts, pour qu’on puisse profiter des bonnes idées de mécaniques dans des conditions correctes.
Une nouvelle phase d’alpha fermée va se dérouler le week-end prochain. Si vous voulez participer, vous pourrez sans doute récupérer une clef en regardant un stream pendant 30 minutes, comme la semaine dernière. Et si PUBG: Black Budget vous intéresse, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Les développeurs de GSC Gameworld semblent bien en forme pour cette fin d’année, puisqu’ils continuent d’enchaîner les mises à jour de contenu pour S.T.A.L.K.E.R. 2: Hearth of Chornobyl. Un mois après la publication de leur patch 1.7 qui se concentrait sur l’équilibrage et l’ajout de nouvelles fonctionnalités, c’est au tour de la mise à jour Stories Untold d’ajouter 5 à 6 heures de contenu via une suite de missions. Cette nouvelle intrigue promet d’enrichir les régions existantes de la Zone de 7 nouveaux emplacements, mais également d’une nouvelle arme dérivée du GP37 (le G36, pour nos amis gunfreaks). Cette mise à jour apporte également son lot de modifications aux modes de difficulté « Master » et « Expedition », jugés trop punitifs par la communauté. Pour la liste complète des modifications, c’est par ici.
GSC Gameworld recommande malgré tout la désactivation des mods pour le moment. Et c’est bien dommage, tant S.T.A.L.K.E.R. 2 semble toujours dépendre d’eux, aussi bien pour des raisons de stabilité que d’équilibrage. Notre recommandation : attendez une à deux semaines que les différents mods soient mis à jour avant de vous (re)lancer dans l’aventure.
On l’avait découvert lors du Latin American Games Showcase de juin 2024, The Path Into The Abyss est un S.T.A.L.K.E.R.-like développé sous Unreal Engine 5 par un studio argentin. Et quand on parle d’inspiration du titre de GSC Game World, on devrait plutôt employer le terme « copie », que ce soit au niveau de la direction artistique, du bestiaire ou des mécaniques de gameplay. Seul le scénario diffère légèrement, puisqu’on se retrouve dans un Buenos Aires postapocalyptique dévasté par une invasion extraterrestre. La semaine dernière, les développeurs ont publié une démo de la version pré-alpha pour montrer leur projet.
On est évidemment allés voir ce que ça donnait, et nos premières impressions sont plutôt bonnes : c’est assez joli, le feeling est correct et le jeu ne prend pas trop le joueur par la main – la mort est punitive, pensez à sauvegarder. En revanche, les stutters sont nombreux et le FOV n’est pas réglable. Mais rien qui ne puisse être corrigé au cours du développement. On n’a pas testé très longtemps, donc si ça se trouve, la boucle de gameplay est rapidement chiante, mais c’est tout de même encourageant.
Si vous voulez essayer la démo de The Path Into The Abyss, rendez-vous sur la page Steam dédiée. Et si vous êtes convaincus, n’oubliez pas d’ajouter le jeu à votre liste de souhaits. Pour l’instant, aucune date de sortie n’a été annoncée.
Après avoir accouché de The Ascent en 2021, un action-RPG cyberpunk en 3D isométrique plutôt bien reçu malgré ses nombreux bugs, Neon Giant s’est mis en tête de passer au FPS. C’est lors des Game Awards qu’il a été révélé : il s’agit de NO LAW, qui sera édité par Krafton. Si vous nous lisez régulièrement, vous êtes peut-être tombés sur les nombreuses news à propos de l’éditeur coréen, qui tente de la mettre à l’envers aux anciens dirigeants d’Unknown Worlds (Subnautica 2), mais aussi sur sa décision de placer l’IA au cœur de son entreprise. Ce qui est néanmoins rassurant dans ce projet de jeu d’infiltration et d’action à la première personne, c’est que l’équipe de développement reste plus ou moins indépendante et choisit ses outils et sa pipeline de production, comme l’indique l’un des cofondateurs du studio à nos confrères de Gamesindustry.biz. Même si c’est une filiale du géant coréen, ils restent aux commandes, et se sont restreints à une quarantaine d’employés pour garder une échelle humaine et faciliter la communication – notamment sur leurs outils un peu spécifiques et capricieux. A priori, Krafton n’a donc pas imposé l’IA chez Neon Giant. Cependant, rien n’indique que le studio ne l’utilise pas déjà dans ses process actuels.
Mais assez causé business, penchons-nous sur le trailer, qui est tout de même assez alléchant. Le rendu visuel semble plutôt réussi, avec une ville cyberpunk limite rétrofuturiste et très lumineuse, mise en valeur par l’Unreal Engine 5. Les développeurs disent s’inspirer des films des années 80, comme Judge Dredd, Robocop et The Running Man. La direction artistique rappelle également les jeux d’Arkane, avec cet effet presque cartoon sur les bords, tout en restant un peu réaliste. Pour le gameplay, on nous promet qu’on pourra choisir entre infiltration et foncer dans le tas, mais dans tous les cas, le jeu a l’air bien sanglant, pour notre plus grand plaisir. D’autre part, on peut déceler une autre filiation avec les immersive sim du studio lyonnais dans le coup de pied dévastateur, qui n’est pas sans rappeler Dark Messiah of Might & Magic ou Deathloop. Le passage sur les toits fait évidemment aussi penser à Anger Foot, dans un autre style.
On ne va pas se mentir, cette première présentation est assez enthousiasmante, et on a hâte d’en voir plus. Mais pour l’instant, aucune date de sortie n’a encore été évoquée. En attendant, si NO LAW vous titille la moustache, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits sur Steam ou l’Epic Games Store.
Parmi les multiples annonces du Game Awards 2025, une avait particulièrement intrigué la rédac, à savoir celle des devs d’Endnight Games (The Forest et Sons of The Forest). Dans cette vidéo, on y aperçoit un voyageur spatial victime d’un crash sur une planète inconnue, et les dernières secondes laissent apparaitre un sobre Forest 3. Là où bon nombre de joueurs devaient s’attendre à une suite directe, l’équipe de dev a probablement fait le choix de rompre avec l’intrigue principale pour proposer un contexte futuriste et un nouveau héros. Néanmoins, l’ADN de la licence semble intact, puisque c’est encore de la survie dans un environnement hostile.
Ce nouvel épisode paraît pour le moins original. La faune et la flore aliens sont plutôt beaux et dépaysants. En termes de gameplay, le personnage pourra compter sur un bras robotique et divers équipements (pistolet plasma, drones de reconnaissance…) afin d’analyser les différents biomes, de récolter des ressources et probablement de créer un campement. Pour le moment, Forest 3 n’a ni de date de sortie annoncée, ni de pages sur les différents stores. On reste dans l’attente de nouvelles infos de la part du studio pour en apprendre davantage.
Si vous avez eu votre dose de FPS durant le Game Awards 2025 et êtes en recherche d’expériences nouvelles, sachez que Frictional Games, le studio derrière la licence Amnesia et SOMA, a dévoilé ONTOS, une aventure aux frontières de la réalité se déroulant sur un avant-poste lunaire. Vous y incarnerez Aditi Amani en quête de réponses sur l’héritage laissé par son père, un esprit brillant érigé en qualité de prophète. Si vous êtes un aficionados du travail dudit studio, vous vous rendrez très vite compte que quelque chose cloche dans ces lieux. Et pour cause, plus vous progresserez en résolvant des énigmes, plus la réalité se fissurera pour révéler la vérité.
L’ambiance du jeu est particulièrement glauque et dérangeante. La direction artistique est plutôt réussie avec des environnements variés et beaux. Les personnages présentés n’inspirent pas confiance et les choix que vous déciderez de prendre, auront un impact sur l’issue de votre périple.
ONTOS sortira courant 2026. En attendant l’annonce d’une date plus précise, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, Epic Games Store ou GoG, si vous êtes intéressés.
Il faut croire que c’est la mode, puisque lors des Game Awards 2025, on a découvert un nouveau Souls-like dark fantasy en vue subjective : Decrepit. Mais passer après Valor Mortis, qui nous avait laissé une très bonne impression en pré-alpha, ne sera pas une mince affaire. La grosse différence est ici le nombre de personnes à travailler sur le projet, parce qu’apparemment, il n’y a qu’un développeur solo derrière le studio Jämmerdal Games. Même si ça n’atteindra certainement pas la qualité du titre de One More Level, le trailer d’annonce est tout de même assez impressionnant. Certes, les environnements semblent très restreints, puisqu’on se trouve dans une sorte de donjon, mais le bestiaire est original, les animations ont l’air correctes et les graphismes ne sont pas dégueu. Cependant, tout paraît trop propre, très aseptisé, presque clinique. Peut-être qu’un petit filtre post-process pour salir l’image suffirait à donner un rendu un peu plus dark fantasy ?
Si l’on jette un œil sur la chaîne YouTube du studio, on peut voir que le développeur travaillait déjà sur le projet début 2023. Ce n’est donc pas un jeu développé à la va-vite pour surfer sur les annonces des copains. Au niveau des mécaniques de gameplay, pas de surprises : on nous promet des morts définitives, de l’équipement à looter, des zones interconnectées, etc. Il y aura aussi quelques éléments de méta-progression comme dans tout bon roguelite, avec des améliorations à trouver dans les niveaux. Mais d’après le développeur, c’est surtout la connaissance du château qui permettra au joueur de s’améliorer, notamment en découvrant des raccourcis, donnait plus rapidement accès au boss qui vous a éclaté au run précédent. Rien de bien original, mais si c’est bien exécuté, ça pourrait être chouette.
Pour l’instant, il est difficile de savoir si le feeling sera bon en se fiant uniquement aux bribes de gameplay du teaser. Mais le projet donne tout de même un peu envie. Decrepit est prévu pour 2026, sans plus de précision. En attendant d’en savoir plus, si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Il y a quelques jours, nos confrères de Gamesindustry.biz annonçaient que le chinois Tencent se séparait de Bulkhead (Battalion 1944) et que ce dernier était racheté par un consortium de trois fonds d’investissement. L’un d’eux est la société mère de Team17, qui édite notamment WARDOGS, le prochain jeu du studio britannique. On apprend également qu’un autre de ces fonds est géré par l’équipe dirigeante de Bulkhead. Cela fait beaucoup de rapprochements, qui devraient déboucher sur une forme de collaboration entre studios des différents groupes. Ce ne sera franchement pas du luxe pour le créateur de Battalion 1944, qui n’était clairement pas un pro de la communication, ni même des choix de design. Dans tous les cas, ils semblent confiants quant à une date de sortie en accès anticipé l’année prochaine pour WARDOGS, leur mélange de Battlefield et de construction de bases.
Point positif : tous les développeurs du studio restent à leur poste. Ce qui inquiète, en revanche, c’est cette petite phrase : « Super Media Group (ndlr, le fonds dirigé par les chefs de Bulkhead) explore également la possibilité de codévelopper les prochains opus de la franchise Hell Let Loose de Team17. » Mais laissez donc Hell Let Loose: Vietnam tranquille ! Vous avez déjà votre WARDOGS qui a l’air un peu naze, ne venez pas casser le jouet des autres !
Si vous souhaitez plus d’infos, notamment sur qui possède quoi et quelle société a des parts dans qui, n’hésitez pas à consulter l’article d’origine sur Gamesindustry.biz (en anglais). On suivra avec attention les implications du studio dans le développement d’Hell Let Loose: Vietnam, ou dans d’hypothétiques spin-off, comme Hell Let Loose: Black Cab ou Hell Let Loose: Fish & Chips Simulator. Pour WARDOGS, l’engouement est un peu moindre, mais sait-on jamais : ce sera peut-être le premier projet de Bulkhead à ne pas finir encastré dans le mur.
CULTIC s’apprête à accueillir un cadeau sous le sapin de nöel, avec Home For Cultmas, une mise à jour gratuite prévue pour le 18 décembre. De quoi occuper vos soirées pendant les fêtes, puisque les cultistes n’ont visiblement pas prévu de vous laisser passer un Noël tranquille.
I’ll Be Home For Cultmas!, la nouvelle carte ajoutée, est présentée comme un hommage à certaines des inspirations de CULTIC. L’occasion pour Jason Smith de s’autoriser un peu plus de liberté que d’habitude. Au programme : un nouvel arsenal, un nouvel ennemi, et évidemment des paquets de cultistes à défoncer au fusil à pompe et à réduire en petits morceaux sanguinolent à la dynamite.
La durée de vie annoncée est comparable à celle d’Interlude, soit environ 60 minutes de jeu. La mise à jour sera également l’occasion d’essayer les modifications de la branche bêta comme l’automap, les ajustements d’équilibrage, le nouveau modèle de dégâts de brûlure, et d’autres améliorations de confort.
Si vous ne possédez pas encore le jeu (on ne le dira pas à Stuka) vous pouvez toujours vous l’acheter sur Steam pour un peu moins de 10 €, ou avec le chapitre 2 pour 19,5 €.
La semaine dernière, on a découvert un nouveau rétro-FPS low poly qui a l’air intriguant, Skarven. Il s’agit d’un projet de jeu narratif et d’action développé par le studio Mygind Mathorne, composé d’un certain Mygind (peut-être développeur sur Deep Rock Galactic ?) et Bo Mathorne, un réalisateur de films d’animation, connu pour The Backwater Gospel. Côté direction artistique, c’est très chouette et on sent franchement la filiation, même si les pixels sont ici très apparents.
Pour l’instant, on ne peut se baser que sur les promesses de la page Steam, qui indique que les développeurs se sont « inspirés de [leur] amour commun pour Half-Life et l’âge d’or des FPS narratifs ». L’aventure devrait être linéaire, mais proposera des combats, des énigmes, de l’exploration et de la narration environnementale, le tout dans un monde sans temps de chargement. Le tout sera peuplé de créatures a priori belliqueuses, inspirées du folklore danois. Difficile de se faire une idée pour l’instant, puisque la vidéo ne contient aucun gameplay, et aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été évoquée. On sait uniquement que le développement a commencé en 2024, comme l’indique Mygind sur la page LinkedIn du studio.
En attendant d’en savoir plus, si Skarven vous intéresse, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits Steam.
Blood est (encore) de retour d’entre les morts, cette fois avecBlood: Refreshed Supply, nouveau remaster officiel du chef d’œuvre de Monolith, signé Nightdive Studios. Sur le papier, tout y est : corrections de niveaux, support 4K, framerate débloqué, intégration des mods, nouvelles campagnes, IA retouchée, et bien plus encore… Mais quelques minutes suffisent à comprendre que quelque chose ne va pas. L’illusion est là tant qu’on ne regarde pas de trop près, mais commence à s’effriter dès qu’on gratte un peu la surface.
Genre : Rétro-FPS, action-horreur |Développeur : Monolith / Nightdive Studios | Éditeur : Warner Bros. Games, Atari, Nightdive Studios | Plateforme : Steam |Prix : 27,99 €|Langues : Anglais |Configuration recommandée : CPU Intel Core i5 / AMD Phenom II, GPU Direct X11 / Vulkan 1.1, 2 GB de RAM |Date de sortie : 04/12/2025 |Durée : environ 20 heures avec les campagnes additionnelles.
Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.
I live… Again!
Le gameplay reste intact, on retrouve Blood, avec son feeling, sa nervosité, et son ambiance qui fonctionnent encore parfaitement aujourd’hui. Côté gameplay et level design, rien n’a changé… ou presque. Le shotgun reste une merveille de brutalité, la dynamite est toujours suicidaire, et les niveaux conservent leur architecture labyrinthique, leurs secrets absurdes et leur humour noir. L’ajout du support des mods, de Marrow, ou encore Deathwish (pas encore disponible) ainsi que la présence de Cryptic Passage, sont appréciables… même si ce dernier reste séparé, comme si intégrer un add‑on de 1997 relevait de l’exploit.
I live… Again! (and again, and again, and again, and again)
Un remaster mi-cuit, mi-saignant
Si le gameplay d’origine tient encore admirablement la route, dès qu’on s’intéresse au remaster lui‑même, les ennuis commencent. Les hitboxes, par exemple, sont parfois étranges : j’ai vu des fusées éclairantes et du TNT passer à travers les ennemis comme si de rien n’était. Les animations des armes semblent ralenties, presque molles, comme si Caleb commençait à avoir de l’arthrose. J’ai également remarqué des problèmes de rendu des sprites sur les objets, ou comme par exemple sur les effets de flammes ou d’explosions. Et pour ambiancer le tout, le mixage audio est un désastre : beaucoup de sons se chevauchent, saturent, s’écrasent les uns sur les autres ; cela en devient pénible et m’a agacé à plusieurs reprises pendant les combats un peu chargés. J’ai également rencontré d’autres problèmes désagréables, comme des ennemis qui deviennent parfois invulnérables en tombant au sol, qui apparaissent soudainement à coté de moi, ou des scripts qui se déclenchent quand ils en ont envie. Le nombre de bugs de cette nouvelle édition n’est pas rassurant quand on pense aux nombreux problèmes encore présents dans Blood: Fresh Supply. Et comme si tout cela ne suffisait pas, même les cutscenes censées être améliorées peinent à convaincre. Ce n’est pas nul, mais on n’en a franchement rien à carrer.
Je suis le cerbère de la porte, êtes-vous le maître des clefs ?
J’ai quand même apprécié quelques petits changements dans cette édition. Les bandes‑son interchangeables, par exemple : pouvoir passer d’une OST à l’autre selon l’humeur, ça donne un petit vent de fraîcheur. Les effets météorologiques ajoutés — ou plutôt réintégrés, puisqu’ils avaient été abandonnés à l’époque — apportent un peu de vie aux environnements, même si ça reste discret. J’ai également aimé les modifications apportées au comportement de quelques ennemis qui modifient légèrement la manière de jouer : les bouchers et les gargouilles de pierre peuvent désormais nous toucher même quand on est accroupi, ce qui casse certaines habitudes. Les gargouilles se permettent même maintenant de jeter des os depuis les airs, ce qui rend leurs attaques plus imprévisibles et oblige à bouger davantage. C’est subtil, mais ça a changé le rythme et ma manière d’affronter ces monstres.
One Unit Whole Fresh Supply 1.5
J’avais espéré, lors de l’annonce au PC Gaming Show Tokyo Direct, une mise à jour avec un travail de préservation sur le jeu lui même, et un making‑of à la hauteur de ce monument du FPS. Certes, quelques ajouts sont appréciables, mais ils ne suffisent vraiment pas à compenser le reste. Blood: Refreshed Supply n’est pas la version définitive attendue par la communauté, mais bel et bien un patch payant, avec quelques options en plus et une poignée de bugs offerts. Quand on fait payer ce prix-là pour une mise à jour de Blood, il faut vraiment aimer les bains de sang, d’autant plus avec des alternatives gratuites qui font beaucoup mieux comme NBlood. La communauté l’a compris et les joueurs ont sorti les fourches… et les ont plantées directement dans le cadavre encore tiède de Blood: Refreshed Supply.
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Censé être le pinacle du Game Awards 2025, le dernier reveal du showcase a été amené par un Geoff Keighley enflammé, fidèle à sa réputation d’homme sandwich. Avec un enthousiasme proportionnel au nombre de zéro figurants sur le chèque (a priori plutôt élevé), celui-ci nous a survendu le clou spectacle : l’annonce de Highguard. Il n’aura fallu que quelques secondes aux joueurs du monde entier pour constater avec stupeur ce qu’on leur montrait et à peine plus pour qu’ils expriment leur immense déception face au énième hero-shooter générique développé par le studio Wildlight composé d’anciens devs de Titanfall et d’Apex Legends (ça vend du rêve, tout même). Les plus radicaux n’ont pas mâché leurs mots en qualifiant même le jeu de Concord 2, rien que ça !
En dehors de cette mise au pilori que n’avaient certainement pas prévu les devs, Highguard se présente comme un free-to-play PvP où des équipes de trois joueurs mènent une lutte sans merci pour la prise de contrôle d’un continent mythique. Pour ce faire, il vous faudra récupérer le brise-bouclier vous permettant de casser la défense de la base adverse, puis la détruire. Qui dit hero-shooter, dit forcément des personnages avec des capacités spéciales et un ultime comme dans Overwatch, donc attendez-vous à découvrir probablement différentes classes.
Concernant la direction artistique, il est vrai que ça a l’air peu inspiré et très générique, à l’instar de ce qui se fait sur le marché du free-to-play. Du côté du gunplay, ça paraît plutôt mou même si l’action présentée est nerveuse et rapide. À la rédac, ce genre de jeux n’est pas trop notre came, mais on sait reconnaître de bonnes idées. Ici, ce n’est franchement pas le cas, et on aurait pu espérer mieux de la part de vétérans de l’industrie vidéoludique.
Même si l’accueil du public est bien loin d’être chaleureux, le jeu est prévu pour le 26 janvier 2026. Mais ça ne vous coûtera rien d’essayer, si ce n’est quelques précieuses heures de votre vie. En attendant la sortie de Highguard, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes un tant soit peu emballés.
En juillet dernier, Romero Games voyait son FPS annoncé en 2022 partir à la benne, Microsoft lâchant le projet comme une vieille merde en même temps que 9 000 de ses salariés. Cela s’était accompagné par le départ de la quasi-totalité des employés du studio irlandais, mais apparemment, il restait tout de même un petit noyau composé des directeurs des différents départements et de John Romero, bien sûr. Il y a quelques jours, nos confrères d’Eurogamer ont rapporté que le cocréateur de DOOM avait accordé une interview, révélant qu’un nouveau titre était en cours de développement.
En effet, le studio est redevenu indépendant et travaille sur un jeu de bien plus petite envergure. John explique que le travail réalisé pour le projet annulé est partiellement sauvé, car ils en réutilisent de nombreux éléments. Les développeurs ne repartent donc pas de zéro. Pour autant, on nous dit que ce nouveau jeu n’aura « rien à voir » avec le précédent. On apprend par ailleurs que ce dernier avait englouti environ 50 millions de dollars jusqu’à son annulation. Comme on ne sait pas ce que c’était avant, on n’est pas plus avancés, mais on suppose que ce sont au moins des briques de gameplay. Apparemment, le design est complètement différent, et les développeurs seraient très enthousiastes. Au cours de l’interview, John affirme qu’il n’a « jamais joué à un jeu comme celui-là », mais on se gardera bien de le croire sur parole. Il nous avait fait le coup pour Daikatana, et a priori, nous ne sommes toujours pas ses putes.
Hier est sorti Sanctuary of Sarras, un DLC pour Tainted Grail: The Fall of Avalon. Il s’agit d’un RPG que l’on avait testé lors de son accès anticipé, mais qui ne nous avait pas franchement convaincus à l’époque : buggé, techniquement à la ramasse et ennuyeux… Mais au fil des années, il s’est apparemment beaucoup amélioré, car à sa sortie en 1.0 en mai 2025, il avait reçu de très bonnes critiques. On n’avait malheureusement pas eu l’occasion de se repencher sur son cas, mais si les Skyrim-like sont votre came, il y a de bonnes chances que ça vous plaise.
Revenons à l’actualité avec l’ajout de ce nouveau contenu (payant). Les développeurs parlent d’une extension plutôt que d’un DLC, compte tenu de ce qu’il apporte. OK, c’est 15 balles, mais on nous annonce 4 nouveaux boss, 12 nouveaux ennemis et une vingtaine de donjons réalisés à la main. Ils ont également ajouté une nouvelle mécanique de progression alternative, proposant un autre arbre de compétences. Un tel tarif ne semble donc pas déconnant. Les joueurs déjà conquis par le jeu de base semblent d’ailleurs ravis, au vu des premiers retours très positifs.
En plus de cette extension, le studio Questline en profite pour déployer le patch 1.15, principalement focalisé sur les performances pour les PC d’entrée de gamme ou vieillissants – ainsi que sur les consoles, qui rentrent donc dans cette même catégorie. Évidemment, il y a aussi tout un tas de corrections de bugs, d’ajustements et d’ajouts de contenu, dont vous pouvez consulter la liste dans le billet de blog Steam dédié.
Si l’extension Sanctuary of Sarras vous tente, vous pouvez la retrouver sur Steam pour un peu moins de 15 €. Et si vous n’avez pas le jeu de base, vous pouvez choper un bundle avec Tainted Grail: The Fall of Avalon et son extension pour moins de 46 €.
Lors du Day of the Devs qui s’est déroulé le 10 décembre dernier, on a pu découvrir Stretchmancer, un puzzle game avec une mécanique de jeu vraiment originale. Le concept est simple : avec la main droite, on peut étirer le décor en le poussant, tandis qu’avec la main gauche, on le tire. Cela permet d’agrandir des passages, de rapprocher des plateformes, etc. Comme l’expliquent les trois développeurs du studio Triangle Wave, il s’agissait initialement d’un projet imaginé lors d’une game jam. Apparemment, ça a convaincu du monde, puisqu’ils l’ont transformé en jeu commercial.
On ne va pas se mentir : la direction artistique est atroce, mais la mécanique intrigue suffisamment pour qu’on y jette un œil dès que possible.
Aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été annoncée pour Stretchmancer, mais si le concept vous fait de l’œil, vous pouvez d’ores et déjà ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
À l’occasion du Day of the Devs de la semaine dernière, le studio canadien Eldamar, qui réalisait jusqu’à présent des assets graphiques et des filtres pour l’édition de photos, a présenté son premier jeu, Lucid Falls. Encore un jeu d’horreur, nous direz-vous, mais au moins il a l’air joli. Sur la fiche Steam, on peut aussi lire qu’il devrait proposer un peu plus que de la fuite face à des monstres cauchemardesques : il y aura la possibilité de manipuler la gravité et le temps pour se frayer un passage dans nos « rêves » lucides et résoudre des énigmes.
On peut également voir dans la vidéo que notre personnage tient une masse ; espérons qu’elle ne serve pas uniquement de décoration. À la rédac, on est donc plutôt intrigués, mais sans être trop impatients non plus.
Si vous êtes intéressés par Lucid Falls, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam en attendant une annonce de date de sortie.
Parmi les multiples annonces du Game Awards 2025, Saber Interactive (World War Z et Warhammer 40,000: Space Marine 2), le studio derrière le développement de John Carpenter’s Toxic Commando, a profité de l’occasion pour annoncer que leur jeu sortira le 12 mars 2026 et que les précommandes sont également ouvertes. Dans ce FPS PvE jusqu’à 4 joueurs se déroulant dans un monde envahi de zombies dirigés par le Bourbier Suprême, votre équipe de mercenaires devra remplir diverses missions dans de vastes zones semi-ouvertes. Durant votre exploration, vous pourrez récupérer divers butins (des armes, des ressources et autres matériaux), utiliser des véhicules pour vous déplacer sur la carte et user des vos pouvoirs contre les ennemis.
Outre les séquences de gameplay bien sanglantes, le trailer est également une parfaite démonstration du Swarm Engine, le moteur maison du studio créé à l’origine pour les hordes de zombie de World War Z et utilisé dans d’autres productions par la suite. On peut notamment citer SnowRunner, dont la physique « réaliste » des véhicules a l’air d’être réutilisée dans John Carpenter’s Toxic Commando.
Entretemps, nos confrères d’IGN nous ont gratifié d’une vidéo de gameplay d’environ 25 minutes. En gros, on y aperçoit :
Des personnages avec des pouvoirs bien distincts, à l’exemple de celui qui balance des lasers mortels ou l’autre qui utilise un drone dont les tirs peuvent être boostés par son pouvoir
Des combats avec des hordes de zombies plutôt impressionnantes (quand il y en a) et des spéciaux que l’on a déjà vu et revu
Une mécanique de loot essentielle pour l’obtention d’un meilleur équipement et d’armes via un système de rareté/puissance, ou encore l’utilisation et la réparation de véhicules
Divers véhicules à manier ayant des fonctionnalités variées (le grappin pour le 4×4 et l’autodestruction pour le véhicule de police) qui s’embourbent plus ou moins vite (offrant un aspect plutôt réaliste), et associés à un système de progression lié à la conduite de ces derniers
Des missions fedex demandant de parcourir la carte pour pouvoir progresser
De plus, les environnements sont plutôt beaux et surtout boueux, parfait pour ceux qui veulent prendre soin de leur peau. Le gunplay, quant à lui, a l’air bon avec l’emploi d’un arsenal varié. À la rédac, on reste assez enthousiastes, même si on se doute que le jeu sera probablement truffé de DLCs d’armes, de skins ou de missions à venir.
Si vous êtes convaincus et être prêts à lâcher du pognon avant la sortie de JohnCarpenter’s Toxic Commando le 12 mars 2026, vous pouvez précommander les différentes éditions (standard et Blood) sur Steam ou l’Epic Games Store, soit 40 € pour la première et 50 € pour la seconde.
Annoncé durant le IGN Fan Fest 2025: Fall Edition, Zone 4: Apophis (anciennement Apophis), la nouvelle extension gratuite de Deazone: Rogue, s’est trouvée une date de sortie. Ce sera donc le 17 décembre que vous pourrez découvrir les 8 nouvelles missions, le nouveau système de progression des armes, l’élément radiation, les ennemis et boss propres à ce nouveau contenu. Le gameplay a l’air toujours aussi nerveux avec une IA ennemie bien agressive. Ça sera aussi l’occasion pour la rédac de relancer quelques parties en coop pour découvrir cette zone.
Si vous êtes intéressé par Deazone: Rogue et son DLC gratuit prévu pour le 17 décembre prochain, sachez que les devs ont d’ores et déjà informé qu’il y aura une réduction à venir pour les ventes d’hiver à partir du 18 décembre jusqu’au 5 janvier sur Steam et vous pourrez ainsi économiser quelques euros au lieu de payer plein pot.
Annoncé pour le premier trimestre 2026, 5 Bits Games, le studio indé derrière DeadCore sorti en 2014 et son remaster dévoilé en ce début d’année, a récemment publié une nouvelle bande-annonce sur leur chaîne officielle YouTube. Dans cette dernière, on découvre de nouvelles séquences de gameplay et la date de sortie, fixée au 15 janvier 2026. Pour rappel, DeadCore Reduxproposera des graphismes et sons retravaillés, un système de classement, ainsi qu’un nouveau niveau nommé The Gateway. À la rédac, on avait plutôt apprécié la démo qui est d’ailleurs toujours disponible depuis la page Steam, si vous souhaitez vous faire votre propre avis.
En attendant la sortie prévue pour janvier 2026, vous pouvez toujours ajouter DeadCore Redux à votre liste de souhaits Steam. Si ça vous intéresse, vous pouvez également jeter un œil à notre interview d’Antoine, l’un des devs du studio 5 Bits Games, effectué pendant le NoScope spécial du Stunfest 2025.
Durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025, le studio Freshly Baked Games a dévoilé son nouveau jeu, Queen’s Domain, un RPG d’action et de dark fantasy. Échoué sur les rivages de l’île de Neasied, vous partirez à la recherche de votre père et découvrirez le sombre secret qui entoure ce lieu. Vous pourrez utiliser diverses armes et les améliorer pour combattre ennemis et boss. Et si vous êtes emballés par le concept, une démo est d’ores et déjà disponible depuis la page Steam du jeu.
Les décors ont l’air plutôt beaux et réussis pour du rétro. En termes de gameplay, les ennemis ne semblent pas froncer les sourcils à l’impact des coups et foncent tête baissée sur vous pour mieux se prendre la massue dans la tronche. Le développement du jeu ayant à peine débuté, les devs vont probablement peaufiner cet aspect dans les mois à venir.
En attendant de nouvelles infos sur Queen’s Domain, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressés.
Il y a quelques jours, Team17, via IGN, a publié un nouveau trailer pour Hell Let Loose: Vietnam, focalisé sur le gameplay. Préparez des draps propres, car ça va tacher. Même si l’on ne voit que de trop courtes séquences, le jeu a l’air d’être extrêmement beau. À tel point qu’il est même difficile de croire qu’il s’agit de vrai gameplay. L’absence d’interface pourrait être un indice, même s’il ne serait pas aberrant de l’avoir masquée pour la vidéo.
On nous montre des passages plutôt impressionnants en bateau et en hélicoptère, le joueur installé derrière des armes montées, ainsi que de jolies explosions. On peut également apercevoir notre personnage, a priori blessé, se faire traîner par un coéquipier tout en tirant avec son flingue. Les échanges de tirs avec des pétoires iconiques de la guerre du Vietnam, telles que la M60, semblent aussi franchement cool, et on a vraiment hâte de mettre les mains sur le jeu. Ah oui, on a oublié : Hell Let Loose: Vietnam est la suite d’Hell Let Loose, un milsim orienté sur le jeu en équipe, mais un peu moins technique que Squad. Et même si le premier a été développé par un autre studio, il a ensuite été repris par Expression Games, qui travaille sur son petit frère. D’où notre engouement.
Si vous aussi êtes impatients de voir tourner Hell Let Loose: Vietnam pour de vrai, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Pour l’instant, le jeu est prévu pour 2026, sans plus de précisions.
Il y a deux semaines, Fullbright, a priori uniquement composé de Steve Gaynor, l’un des fondateurs du studio en 2012, a révélé son nouveau walking sim, Springs, Eternal. Si le premier titre, Gone Home, avait fait grand bruit et rencontré un certain succès, le projet suivant, Tacoma, n’avait pas marqué les esprits malgré un modèle assez similaire. Ce qui avait bien marqué, en revanche, c’était l’hémorragie de personnel, réduisant les effectifs de 20 à 1, à cause du comportement manifestement inadapté de notre bonhomme. Maintenant seul à la barre – et ça se sent au niveau de la réalisation –, il nous présente donc Springs, Eternal, un walking sim avec des visuels rétro façon PSOne, et une ambiance un peu inquiétante.
La page Steam nous donne quelques détails : on incarnera une personne en plein deuil et on pourra rencontrer une douzaine de personnages. Le jeu ne devrait durer que deux ou trois heures, et on nous promet un peu d’exploration et de déduction pour débloquer des lignes de dialogue. Pourquoi pas, pour les fans du genre.
La date de sortie de Springs, Eternal n’a pas encore été évoquée. Mais s’il vous intrigue, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.