Quand le patient est convaincu qu’une personne familière se dissimule sous les traits d’un ou plusieurs individus. Un trouble neuropsychiatrique parmi les plus fascinants.
« Neurobizarre » (4/7). Certains patients ayant perdu la vue dans la moitié ou la totalité du champ visuel conservent la capacité d’y percevoir inconsciemment des objets. Une singularité qui lève le voile sur certains mécanismes perceptifs.
« Le prix du savoir » (4/7). Aux XVIIᵉ et XVIIIᵉ siècles, les besoins de financement des savants coïncident avec le désir de rayonnement des monarchies par les sciences, et donnent naissance aux académies. Les scientifiques tireront profit de la compétition entre puissances européennes pour faire avancer leurs recherches.
Depuis 2024, l’association prodigue des soins à des femmes en situation de grande exclusion. Déjà très active en Ile-de-France, l’organisation va se rendre sur les routes de Marseille à l’automne et en Corrèze en 2026.
Un groupe de chercheurs de l’Université libre de Bruxelles (VUB) étudie des carottes glaciaires antarctiques vieilles de dizaines de milliers d’années. Le but : décrypter le réchauffement climatique.
L’équipe de Bruxelles a effectué des prélèvements de glace à proximité de station de recherche belge Princesse Elisabeth, en Antarctique.
Si l’éruption est impressionnante, l’épaisse fumée qui s’échappe du volcan ne menace aucune zone d’habitation, a déclaré l’antenne locale du ministère des situations d’urgence russe.
Capture d’écran d’une vidéo de la première éruption depuis plus de 450 ans du volcan Kracheninnikov, situé sur la péninsule russe du Kamtchatka, prise depuis un hélicoptère. (Instagram :@artemsheldr)
Quelques jours après le puissant séisme qui a frappé la péninsule du Kamtchatka où il se trouve, des colonnes de cendres atteignant 6 000 mètres s’échappent du volcan, ont rapporté les autorités russes, précisant qu’aucune habitation n’est menacée alentour.
Durant sa mission de six mois, Crew-11 simulera des scénarios d’alunissage qui pourraient se produire près du pôle Sud lunaire dans le cadre du programme Artemis mené par les Etats-Unis pour retourner sur la Lune.
Les deux astronautes américains Zena Cardman et Mike Fincke, le Japonais Kimiya Yui et le Russe Oleg Platonov ont décollé à 11 h 43, heure locale (17 h 43 à Paris), du Centre spatial Kennedy, en Floride, à bord de la fusée Falcon-9.
L’équipage comprend les deux Américains de la Nasa Michael Fincke (tout à gauche) et Zena Cardman (troisième en partant de la gauche), le Russe Oleg Platonov (deuxième en partant de la gauche) et le Japonais Kimiya Yui (tout à droite).
Une association conservatrice a obtenu en Conseil d’Etat que les noms des membres des groupes de travail de la HAS soient rendus publics dès le début de leurs travaux. Une décision qui nuit à la sérénité de ceux-ci, fustige l’autorité, qui en appelle au législateur.
Les deux planètes les plus brillantes du ciel vont passer le 12 août à moins d’un degré l’une de l’autre : suivez leur rapprochement apparent chaque matin vers l’est-nord-est.
Le document, publié le 29 juillet, expose les arguments qui ont conduit l’administration Trump à revenir, mardi, sur une décision-clé datant de 2009 pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre, mettant encore un peu plus à mal la lutte contre le changement climatique aux Etats-Unis.
L’agence spatiale russe Roscosmos et la NASA sont convenues de continuer à exploiter ensemble la Station spatiale internationale, a annoncé jeudi le directeur russe après la première rencontre en face-à-face avec son homologue américain depuis 2018.
Le directeur de l’agence spatiale russe Roscosmos, Dmitry Bakanov, assiste à une réunion du Comité d’Etat, au cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, le 7 avril 2025.
L’édition 2024 avait accueilli le chiffre sans précédent de 187 000 participants. La carte des événements est disponible sur le site de l’Association française d’astronomie.
« Everest business » (5/6). En proposant d’accélérer la nécessaire acclimatation des corps au manque d’oxygène en altitude par une inhalation préalable du gaz, un anesthésiant sans effets secondaires, le guide autrichien Lukas Furtenbach rêve d’attirer sur le Toit du monde une clientèle encore plus riche et pressée.
Une équipe internationale a publié, le 31 juillet, dans la revue de biologie « Cell », une surprenante découverte : l’apparition de tubercules chez l’ancêtre de la pomme de terre, il y a 9 millions d’années, est née d’une hybridation avec un pied de tomate sauvage.
La décision de la revue Science de rétracter une publication de 2010 prétendant avoir découvert une bactérie « alien » permet de revenir sur cet épisode navrant, avec quelques leçons pour le futur et un aspect méconnu.
L’environnement médical repose sur le soin et la confiance : des valeurs qu’on imagine mal voir trahies par des soignants ayant délibérément ôté la vie à leurs patients. Panorama d’un phénomène à la fois rare et terrifiant.
Sur 237 214 médecins en activité figurent 118 957 femmes et 118 257 hommes, selon les données de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques publiées lundi, au 1ᵉʳ janvier. Cette féminisation de la profession n’atteint pas tous les niveaux hiérarchiques.
La catastrophe qui a fait 230 000 morts en Asie du Sud-Est en décembre 2004 a déclenché une prise de conscience internationale. En deux décennies, les modèles se sont considérablement affinés et des systèmes d’alerte ont été mis au point.
Une équipe de chercheurs de l’université Harvard a exploré les facteurs environnementaux et génétiques qui pourraient influencer le sexe à la naissance. Des résultats à prendre avec précaution.
Les rouages des robots conversationnels demeurent très opaques, mais des chercheurs commencent à localiser les « neurones » qui stockent les informations et prennent des décisions-clés.
« Neurobizarre » (3/7). Après un AVC ou un accident, certaines personnes récupèrent l’usage de la parole mais avec un accent étranger. L’origine de ce syndrome, lésionnel ou fonctionnel, discutée dès sa découverte il y a plus d’un siècle, reste encore floue.
« Le prix du savoir » (3/7). L’érudit italien de la Renaissance a constitué d’immenses collections naturalistes, en partie financées sur ses propres deniers de professeur d’université. Il s’est aussi appuyé sur de vastes réseaux de correspondants à travers l’Europe, et a su s’attirer la protection de puissants.
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