L’icône littéraire irlandaise, Sally Rooney, risque la prison. En cause : sa décision de verser ses revenus à Palestine Action, une organisation classée terroriste depuis peu par le gouvernement britannique.
La vice-Première ministre britannique Angela Rayner a démissionné du gouvernement ce vendredi 5 septembre. Angela Rayner a admis ne pas avoir payé l'intégralité de ses taxes immobilières en recourant à des montages financiers.
Les membres de la « Coalition des volontaires » se sont réunis jeudi 4 septembre pour discuter des garanties à apporter à l’Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie. Vingt-six États ont affirmé leur volonté de déployer des moyens terrestres, navals ou aériens aux côtés de Kiev pour assurer une sécurité durable. Ankara est prête à jouer les premiers rôles dans le volet maritime qui prévoit la surveillance de la navigation en mer Noire, dont l'accès via les détroits turcs a été fermé au début du conflit. Entretien avec le politologue Ahmet Insel, auteur de « La Nouvelle Turquie d'Erdogan, du rêve démocratique à la dérive autoritaire », La Découverte.
Installé à Jülich, en Allemagne, Jupiter est officiellement entré en service ce vendredi 5 septembre. Présenté comme le premier supercalculateur « exascale » du Vieux Continent, il occupe l’équivalent d’un demi-terrain de football et aligne près de 24 000 processeurs, pour un coût total estimé à 500 millions d’euros. Sa puissance de calcul – un milliard de milliards d’opérations par seconde – le place parmi les machines les plus performantes du monde.
L'administration Trump va mettre fin à plusieurs programmes de sécurité en Europe, notamment sur son flanc est, à proximité immédiate de la Russie. Des centaines de millions de dollars en moins qui alarment les pays de l'Otan qui font face à Moscou.
En Turquie, l'étau judiciaire se resserre autour du principal parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP). Les arrestations dans ses rangs se multiplient ces derniers mois, et le parti se prépare à affronter une audience capitale, le 15 septembre, qui pourrait aboutir à la révocation de toute sa direction actuelle. Le CHP organisait le jeudi 4 septembre des rassemblements dans toute la Turquie pour dénoncer ce qu'il qualifie de « coup d'État judiciaire ».
Le Royaume-Uni, par son soutien politique et militaire à Israël, se rend coupable du « génocide » en cours à Gaza, accuse Jeremy Corbyn. L’ex-dirigeant du Parti travailliste, aujourd’hui député indépendant, a réuni jeudi 4 et vendredi 5 septembre des dizaines de témoins (journalistes, juristes, travailleurs humanitaires et professionnels de la santé) pour évoquer les responsabilités de Londres dans la guerre qui dure depuis bientôt deux ans. La première journée de débats s’est avérée poignante et - sans surprise - très critique à l'égard du gouvernement.
N'importe quelle force occidentale en Ukraine sera une « cible légitime » pour l'armée russe, a prévenu, vendredi 5 septembre, le président russe Vladimir Poutine, au lendemain d'une réunion des alliés européens de Kiev consacrée aux garanties de sécurité.
La catastrophe du funiculaire de la Gloria à Lisbonne, mercredi 3 septembre, a fait seize morts et 21 blessés. Les habitants de la capitale portugaise mais aussi les touristes sont sous le choc alors que trois jours de deuil ont été décrétés et que l’enquête se poursuit.
Le 4 septembre 2015, dans un discours devenu historique, la chancelière Angela Merkel décidait de ne pas fermer la frontière entre l’Autriche et l’Allemagne. Près d’un million de migrants arriveront cette année-là. Dix ans plus tard, quel bilan tirer de cette vague migratoire sans précédent ?
L’Europe multiplie les initiatives diplomatiques pour soutenir l’Ukraine. Au lendemain d’un dîner à l’Élysée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assisté ce jeudi à Paris à un sommet de la « coalition des volontaires », réunissant principalement des pays européens. Objectif : garantir la sécurité de l’Ukraine à l’issue d’un cessez-le-feu et s’imposer, malgré l’imprévisibilité des États-Unis, face au président russe Vladimir Poutine.
C’est un scandale qui déstabilise l’Italie. Il y est question de photos de femmes volées, dévoyées, sur des sites pornographiques avec commentaires dégradants à l’appui. Même la présidente du Conseil Georgia Meloni, directement visée par ces contenus sexistes, a annoncé une enquête et des sanctions. Une affaire qui vient aussi questionner la vigilance et le contrôle des plateformes en ligne.
Mettre en œuvre activement et efficacement aux yeux du pouvoir tout ce qui découle de la décision de Vladimir Poutine d’envoyer ses soldats en Ukraine, ou bien simplement être réputé avoir formulé des réserves en privé : dans la Russie de « l’opération spéciale », c’est un facteur décisif qui fait et défait les carrières, y compris au cœur même du pouvoir.
La France et la Suisse ont signé jeudi 4 septembre à Genève deux accords sur la gestion des eaux du lac Léman et du Rhône, face à l'accroissement des risques associés au réchauffement climatique, et ce, alors que le débit du fleuve diminue depuis les années 1960.
« C'est la première avancée concrète aussi sérieuse », a déclaré jeudi 4 septembre le président ukrainien depuis Paris, après l'engagement pris par 26 pays de déployer des troupes en Ukraine ou d'être présents sur le sol, en mer ou dans les airs pour garantir la sécurité du pays après un hypothétique cessez-le-feu avec Moscou.
Réunion des alliés de l'Ukraine ce jeudi à Paris, ceux de la coalition internationale qui souhaitent d'une part assurer Kiev de garanties de sécurité, une fois la guerre terminée, et d'autre part obtenir un investissement plus important de la part des Américains. C’est peut-être à Washington en premier lieu que s'adressent les Européens et l'Otan, parce que la fin de la guerre ne semble pas pour tout de suite. Les efforts de paix de Donald Trump patinent et Vladimir Poutine, fort de ses soutiens internationaux, paraît plus inflexible que jamais.
L'avion à bord duquel voyageait la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, dimanche 31 août, a fait l'objet d'un brouillage GPS en Bulgarie, un phénomène fréquent dans cette partie d'Europe de l'Est. Mais pourquoi soupçonne-t-on la Russie d'être à l'origine de cette opération ?
Le funiculaire de la Gloria à Lisbonne, l'une des attractions touristiques de la capitale du Portugal, a déraillé et s'est écrasé mercredi 3 septembre. Le bilan s'élève, jeudi, en début d'après-midi, à 16 morts et 5 blessés graves, selon le Premier ministre du pays. Le pays observe une journée de deuil national.
L’Élysée accueille jeudi 4 septembre une réunion de la « coalition des volontaires » pour l’Ukraine en présence de Volodymyr Zelensky. Plusieurs dirigeants européens doivent faire le déplacement alors que d’autres participeront par visioconférence. Cette réunion, convoquée par Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer, a été précédée mercredi 3 septembre d’un diner de travail entre les présidents français et ukrainien.
Le Parlement grec a adopté, mercredi 3 septembre, une loi controversée prévoyant des « retours forcés » de demandeurs d'asile déboutés. Avec ce texte, le séjour illégal dans le pays est désormais criminalisé et passible de peines de prison allant de deux à cinq ans.
Le célèbre funiculaire de la Gloria, dans l'un des quartiers les plus touristiques de Lisbonne, a déraillé le mercredi 3 septembre 2025, faisant de nombreuses victimes. Annoncé par le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa sur le site de la présidence, l'accident a fait au moins 17 morts et 21 blessés selon un niveau bilan des secours publié à 9h30 TU. Le Portugal observe une journée de deuil national le 4 septembre.
Toute opposition politique est désormais illégale en Géorgie : mercredi 3 septembre, le Parlement géorgien a adopté un rapport qui interdit les partis d'opposition. Alors que les manifestations contre Rêve géorgien, la formation pro-russe au pouvoir accusée de dérive autoritaire, se poursuivent de façon quotidienne, la répression va crescendo dans le pays où toutes les voix dissonantes sont réprimées.
C’est une ligne de fracture qui divise aussi l’Ukraine. L’Église orthodoxe est désormais plus que jamais déchirée dans le pays. En 2018, Kiev a voulu créer sa propre Église orthodoxe d’Ukraine, pour rompre avec l’Église orthodoxe russe et son patriarche Kirill trop proche de Poutine. Depuis, 2 000 paroisses ont rompu leurs liens avec Moscou. Mais ce n’est pas suffisant, une loi vient aujourd’hui permettre la poursuite en justice des congrégations qui se livreraient à de l’ingérence russe sur le territoire. Reportage dans la région de Kiev d’Emmanuelle Chaze.