Suisse: une votation pour que l'économie ne consomme pas plus que les limites naturelles terrestres
« Celui qui croit à une croissance infinie dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste ». Signée de l’économiste Kenneth Boulding, cette phrase reflète un peu le sens du texte soumis au vote des Suisses ce dimanche 9 février : les électeurs doivent dire s’ils acceptent ou non de limiter la taille de l’économie à ce que peut supporter la planète.