« Les Etats-Unis ne sont pas en guerre avec l’Iran », assure le vice-président J.D. Vance, tandis que le ministre de la Défense estime le programme nucléaire iranien « dévasté ».
Pour le chercheur Bertrand Badie, les frappes américaines déclenchées par Donald Trump sur les sites nucléaires pourraient offrir des cartes de négociations à l’Iran.
Le président américain, qui s’est longtemps présenté comme un faiseur de paix, a procédé à un revirement dans sa propre doctrine et dans celle de Washington face à Téhéran, qui ont toujours nourri des relations très tendues.
Le président des Etats-Unis Donald Trump a affirmé ce dimanche que l’armée américaine avait « totalement » détruit les capacités d’enrichissement nucléaires iraniennes, au dixième jour de la guerre entre la République islamique et Israël.
L’Allemagne et la Grande-Bretagne appellent l’Iran à négocier, l’Arabie saoudite affiche sa « grande préoccupation » et le Congrès américain est divisé, même chez les républicains.
Les Etats-Unis de Donald Trump ont bombardé les trois sites nucléaires iraniens, des frappes « très réussies » selon Donald Trump qui menace l’Iran d’attaques plus importantes s’ils ne « font pas la paix ».
Les frappes se poursuivent au neuvième jour de la guerre entre l’Iran et Israël, ce dernier affirmant avoir repoussé d’au moins deux ans « la possibilité » pour Téhéran « d’avoir la bombe nucléaire ».
La grande anthropologue américaine Anna Tsing, autrice du « Champignon de la fin du monde », était de passage à Paris pour son nouveau livre. L’occasion de parler avec elle du président américain, mais aussi de saumons, de moustiques et d’histoires.
Plus d’une semaine après le début de la guerre entre l’Iran et Israël, Donald Trump a critiqué le rôle des Européens, après une rencontre à Genève entre ministres des Affaires étrangères européens et iranien.
Six mois après son retour à la Maison-Blanche, les chercheuses et les chercheurs travaillent à déchiffrer le mouvement MAGA. Rendons hommage à leur ténacité.
Une semaine après le début de la guerre entre Israël et la République islamique, l’Iran et des pays européens ont discuté vendredi à Genève du programme nucléaire iranien. L’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont notamment exhorté le pays à « poursuivre leurs discussions avec les Etats-Unis ».
Alors que la communauté internationale craint un embrasement dans la guerre entre Israël et l’Iran, notre journaliste François Reynaert décrypte comment ce nouveau conflit bouleverse les alliances dans la région.
Le débat pourrait avoir lieu mercredi prochain à l’Assemblée nationale. Emmanuel Macron veut également réunir les chefs des partis politiques pour échanger sur ce conflit mais aussi sur Gaza et l’Ukraine.
Cette virtuose du târ et du setâr, deux instruments à cordes traditionnels iraniens, installée en France depuis dix-huit ans, s’inquiète pour sa famille qui vit sous les attaques israéliennes en Iran.
Une réunion se tient à Genève ce vendredi entre des ministres européens et l’Iran pour avancer vers une solution diplomatique après une semaine de conflit alors que le président américain maintient l’ambiguïté sur une éventuelle intervention directe.
Plusieurs dizaines de personnes meurent toujours chaque jour à Gaza depuis le début du conflit entre Israël et l’Iran, en particulier lors de distributions humanitaires. « La probabilité de famine grandit » dans l’enclave, a noté l’ONU en début de semaine.
Ami intime du président américain, cet ancien magnat de l’immobilier a été propulsé au coeur de l’équipe Trump comme émissaire spécial pour le Moyen-Orient. C’est lui qui dirigeait les pourparlers avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien… jusqu’à l’attaque israélienne.
Suspendu de ses fonctions, le policier est poursuivi pour « homicide par imprudence » après avoir serré le cou d’une personne dans une rue de Madrid, décédée dans la foulée.
Depuis le début de l’attaque israélienne en Iran, le 47ᵉ président des Etats-Unis entretient le doute sur son éventuelle participation au conflit. Une prérogative qui revient, selon la Constitution américaine, au Congrès.
Pilonné et infiltré par Israël, affaibli à l’intérieur et à l’extérieur de ses frontières, le régime des mollahs fait face à la plus sérieuse menace depuis 1979.
Le fossé se creuse entre l’Occident et les peuples du Sud. Ce n’est plus un écart : c’est un abîme. Pour une majorité croissante dans le monde arabe, en Afrique, en Asie, l’Occident a perdu toute crédibilité morale.
Agé de 86 ans, l’ayatollah Khamenei occupe la fonction politique et religieuse la plus élevée en Iran, celle de guide suprême de la révolution islamique. Il a pris la suite de Khomeini en 1989.
Le militant communiste libanais condamné en 1987 pour « complicité d’assassinats » saura le 17 juillet, par une décision de la cour d’appel de Paris, s’il est remis en liberté après quarante années en prison.
Après de nouvelles frappes entre Téhéran et Tel-Aviv, l’hôpital Soroka de Beersheva, dans le sud d’Israël, a annoncé avoir été touché, provoquant l’indignation du Premier ministre Benyamin Netanyahou.
Les réactions diplomatiques et politiques occidentales à la guerre lancée par Israël contre l’Iran révèlent la persistance de l’idéologie néoconservatrice.
Le ministre de l’Intérieur a lancé mercredi et jeudi une opération nationale de contrôle contre l’immigration illégale. Yann Manzi, cofondateur d’Utopia 56, déplore la « stigmatisation d’une population, en la pointant du doigt ».
Lors d’un conseil de défense et de sécurité nationale à l’Elysée, Emmanuel Macron a demandé au ministère des Affaires étrangères de « faciliter le départ » des Français qui veulent quitter les deux pays en guerre. Plusieurs pays européens, dont l’Allemagne et l’Italie, ont rapatrié ce mercredi des centaines de leurs ressortissants.
Le duel de Tel-Aviv avec Téhéran avait lieu par procuration, le voilà qui éclate au grand jour en un conflit brûlant. L’Etat hébreu peut-il faire tomber le régime des mollahs et avec quelles conséquences ?
Le démocrate Brad Lander était venu au tribunal aider un migrant menacé d’expulsion quand il a été arrêté et menotté par la police fédérale de l’immigration.
Pour l’historien Alain Ruscio, les observateurs de la vie politique française qui ont cru discerner dans le discours de Bruno Retailleau à l’égard de l’Algérie une nouveauté se sont lourdement trompés. Le locataire de la Place Beauvau se situe dans la droite ligne d’une tradition française toujours vivace : le refus obstiné, contre le cours de l’histoire, de l’indépendance d’un Etat algérien au sud de la Méditerranée.
Après des mois de tension avec l’Iran, l’Etat hébreu a lancé dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin une opération d’ampleur contre le régime des mollahs, ciblant des infrastructures nucléaires, des bases de missiles ainsi que la chaîne de commandement militaire. Retrouvez notre dossier spécial sur ce nouveau front dans l’inextricable conflit au Moyen-Orient.
Un collectif de femmes et de personnes queer de l’ethnie baloutche, discriminée par le pouvoir chiite en raison de sa confession sunnite, condamne l’« agression » de l’Etat hébreu qui « ne libérera pas le peuple iranien, ne mettra pas fin à l’oppression, ne fera que semer la haine et la vengeance ».
En invoquant la menace de l’obtention de la bombe nucléaire par l’Iran et la nécessité d’une guerre préemptive, l’Etat hébreu ne peut s’appuyer sur aucun texte international.
Depuis le début de l’échange de missiles entre Téhéran et Tel-Aviv, Donald Trump maintient l’ambiguïté sur une intervention militaire américaine en Iran. Ces dernières heures, les spéculations s’intensifient alors que les Etats-Unis sont le seul pays à disposer d’une bombe assez puissante pour atteindre le site nucléaire iranien de Fordo.
Seuls les Etats-Unis disposent d’une bombe assez puissante pour atteindre le site nucléaire iranien de Fordo, profondément enterré, que l’armée israélienne souhaite détruire.
Donald Trump a assuré que son pays pouvait aisément tuer le guide suprême iranien, au moment où les spéculations s’intensifient sur une éventuelle participation directe des Etats-Unis au conflit.
Des « Chariots de Gédéon » au « Lion qui se lève »… Le Premier ministre israélien ne cesse de citer la Bible dans ses discours et s’inspire du Livre saint pour choisir le nom de ses opérations militaires.
Le président français a aussi affirmé ce mardi lors du G7 que l’on avait « besoin des Etats-Unis pour faire revenir tout le monde autour de la table des négociations ».