L’ancien dirigeant a été interpellé mardi en application d’un mandat de la Cour pénale internationale. Des dizaines de milliers d’hommes, pour la plupart pauvres, auraient été tués dans le cadre de sa guerre meurtrière contre les stupéfiants, souvent sans qu’il soit prouvé qu’ils étaient liés à la drogue, selon des organisations de défense des droits humains.