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Libre arbitre de Didier François - "A House of Dynamite", le film sur le nucléaire, diffusé sur Netflix, qui agace le Pentagone

Sorti le 24 octobre sur Netflix, "A House of Dynamite" ranime l'anxiété nucléaire. Un jour, l'armée américaine découvre qu'un missile nucléaire s'apprête à s'abattre sur la ville de Chicago. Mais ce film agace le Pentagone, en plus de réveiller une certaine anxiété nucléaire notamment à cause des menaces russes, et il tente de rassurer les populations. 

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Tesla: les actionnaires approuvent le plan de rémunération proposé à Elon Musk

Les actionnaires du groupe Tesla, réunis jeudi 6 novembre en assemblée générale à Austin (Texas) où se trouve le siège du spécialiste des véhicules électriques, ont approuvé à plus de 75% la résolution portant sur le nouveau plan de rémunération du patron Elon Musk, a annoncé un responsable du groupe.

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Comment Donald Trump a transformé la Maison Blanche ?

De la salle de bal qu'il souhaite faire construire dans l'aile est à la roseraie, désormais pavée en passant par le «Bureau ovale» recouvert de dorures, le président américain Donald Trump multiplie les chantiers au cœur du pouvoir. Un bureau ovale à son image, un an après son élection.

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COP30: Emmanuel Macron rencontre le président brésilien Lula

Emmanuel Macron a appelé jeudi 6 novembre à Belem, en Amazonie brésilienne, les dirigeants du monde à choisir le "multilatéralisme face au repli sur soi", "la science face à l'idéologie" et "l'action face au fatalisme".

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Soudan: "Nous avons tous intérêt à ce que cette crise cesse", explique Mamadou Dian Balde, directeur régional de l'agence de l'ONU pour les réfugiés pour l'Afrique de l'Est

Les paramilitaires au Soudan, en guerre contre l'armée depuis plus de deux ans, ont annoncé jeudi 6 novembre leur accord à une trêve humanitaire proposée par les pays médiateurs. Mamadou Dian Balde, directeur régional de l'agence de l'ONU pour les réfugiés pour l'Afrique de l'Est a pris la parole sur BFM2.

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Royaume-Uni: deux détenus libérés par erreur, le gouvernement face aux critiques

Un Britannique libéré lundi par erreur d'une prison londonienne s'est rendu de lui-même aux autorités, a annoncé la police jeudi, qui est en revanche toujours à la recherche d'un Algérien lui aussi relâché par méprise. Ces deux cas sont survenus quelques jours après la libération par erreur d'un demandeur d'asile éthiopien. Ils ont plongé encore davantage le gouvernement dans l'embarras, et suscité des critiques sur le fonctionnement du système pénitentiaire.

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