Alerte après la détection d’un drone près des sites militaires stratégiques de la rade de Brest ; narcotrafic et assassinat de Mehdi Kessaci ; Bretonne battue aux élections pour la présidence de la Coordination rurale… On fait le point sur les informations de la mi-journée de ce mercredi 19 novembre 2025.
Emmanuel Macron estime que ce sont « parfois les bourgeois des centres-villes qui financent les narcotrafiquants », selon la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon.
Les principales maisons d’édition de BD estiment que le prochain festival d’Angoulême, prévu fin janvier, n’aura pas lieu, de nombreux auteurs voulant boycotter cette édition.
Des sanctions administratives contre les passagers aériens indisciplinés sont entrées en vigueur : fichage, amende et interdiction de vol sont désormais possibles. Elles s’ajoutent aux sanctions pénales.
Le Sénat entame, ce mercredi, son marathon budgétaire par l’examen du budget de la Sécurité sociale. De la suspension de la réforme des retraites au dégel des prestations sociales, voici les points chauds que vont étudier les sénateurs pendant les sept prochains jours.
Les cas d’intoxications au protoxyde d’azote sont en hausse en raison d’une « consommation complètement banalisée », s’inquiète Guillaume Grzych, biologiste et président de Protoside, réseau dédié à la prévention et la prise en charge de ces patients.
Une proposition de loi va être déposée au Sénat, ce mercredi, pour mettre fin à la prescription qui empêche les victimes de viol sur mineurs d’accéder à la justice et pour élargir la définition de l’inceste aux cousins germains.
« Non, je ne me tairai pas » face au narcotrafic, a déclaré ce mercredi, dans une tribune publiée dans Le Monde, Amine Kessaci, le frère de Mehdi, abattu jeudi à Marseille par deux personnes à moto.
Créer une affiche, mettre en forme son programme ou même truquer une vidéo ? L’intelligence artificielle devient l’arme de candidats aux élections municipales, malgré les inquiétudes suscitées par certaines de ses utilisations. L’IA est un sujet incontournable, qui est au cœur du congrès de l’Association des maires de France (AMF), ce mercredi.
Moyennant plus de 200 M€, un chantier de trois ans va totalement réhabiliter l’ex-siège de CNP Assurances, au-dessus de la gare Montparnasse. Immeuble de grande hauteur, il sera entièrement couvert de vitres avec, pour ses futurs locataires, une vue à couper le souffle sur Paris.
INFO LE TÉLÉGRAMME. Un drone a été repéré par des militaires chargés de défendre les emprises stratégiques de la presqu’île de Crozon (29), dans la nuit du lundi 17 novembre au mardi 18 novembre 2025. Une enquête a été ouverte.
Emmanuel Macron a déclaré ce mardi qu’« acheter de la cocaïne » ou « du cannabis » signifiait « de fait être complice [de] réseaux de criminalité organisé ».
La machine à calculer inventée en 1642 par Blaise Pascal doit être mise aux enchères ce mercredi à Paris. Mais ce mardi, le tribunal administratif a suspendu provisoirement la délivrance d’un certificat d’exportation.
Après un recours de l’UFC-Que Choisir, le tribunal judiciaire de Nanterre a autorisé la poursuite de la commercialisation des eaux Perrier sous l’appellation « eau minérale naturelle ».
Lors d’un sommet franco-allemand consacré à la « souveraineté numérique » de l’Europe, Emmanuel Macron a déclaré que l’Europe refuse « d’être un vassal » des États-Unis et de la Chine.
Un homme a été tué ce mardi par balle dans les quartiers Nord de Marseille, a appris l’AFP. C’est le troisième homicide en plein jour dans la cité phocéenne depuis début octobre.
Au vu de la montée de la menace cyber russe, l’armée française doit renforcer ses capacités pour mieux se défendre et attaquer, estime le patron du Commandement de la cyberdéfense. La Bretagne aura un rôle clé dans ce mouvement.
Selon l’AFP, l’enquête sur l’assassinat de Mehdi Kessaci à Marseille a été transférée à la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) à Paris.
Le maire de La Turballe a dénoncé ce mardi « un harcèlement constant des services municipaux et des élus » de la part d’une administrée, dont il a publié le nom et l’adresse sur les réseaux sociaux. Son but ? « Interpeller les pouvoirs publics » afin de « trouver des solutions pour accompagner cette personne ».