↩ Accueil

Vue lecture

En Chine, Macron aura droit aux pandas, mais pas aux concessions géopolitiques

Le président français rencontre son homologue chinois à Pékin, alors que les négociations sur le plan de paix américain pour l’Ukraine se poursuivent. Si Emmanuel Macron, qui aura notamment l’honneur de rendre visite aux pandas de Chengdu, est accueilli “en grande pompe”, il arrive en réalité “en position de relative faiblesse” pour négocier avec Xi Jinping, observe la presse internationale.

© PHOTO ADEK BERRY/GETTY IMAGES/AFP

Le président français Emmanuel Macron et son homologue français Xi Jinping à Pékin, le 3 décembre 2025.
  •  

“Soumission” ou “pas en avant” ? Le Liban accepte des négociations directes avec Israël

Pour la première fois depuis plus de trente ans, Beyrouth a dépêché un responsable civil, à Naqoura, pour un échange direct avec des représentants israéliens dans le cadre du mécanisme de surveillance de la trêve entre Israël et le Hezbollah. Pour une grande partie de la presse libanaise, cette initiative vise à éviter une nouvelle guerre. Les médias proches du “parti de Dieu”, eux, y voient un “péché”.

© PHOTO RAMIZ DALLAH/ANADOLU/AFP

Des soldats de la Force intérimaire des Nations unies (Finul) dans le sud du Liban, le 15 novembre 2025.
  •  

En Palestine, “les méthodes extrêmes d’Israël sont devenues la norme”, déplorent plusieurs ONG

Un rapport publié par douze ONG israéliennes s’alarme de la forte augmentation du nombre de Palestiniens tués, des déplacements forcés et massifs de population à Gaza ainsi que de l’expansion de la colonisation juive et du durcissement de la répression en Cisjordanie.

© Photo Ammar Awad/REUTERS

En Cisjordanie occupée, un “avant-poste” colonial juif implanté sur les terres du village arabe de Douma, à proximité de la grande ville palestinienne de Naplouse.
  •  

Si Trump injurie les Somaliens, c’est par “calcul politique”

La récente sortie outrancière du président américain contre les membres de la communauté somalienne vivant dans l’État du Minnesota, qualifiée d’“ordures”, n’est pas passée inaperçue en Afrique.

© PHOTO DOUG MILLS/NYT

Le président Donald Trump lors d’une réunion à la Maison-Blanche, à Washington, le 2 décembre 2025.
  •  

Macron en Chine : la presse en appelle à la “tradition française d’autonomie stratégique”

La pesse chinoise salue la visite de trois jours à Pékin et Chengdu du président français, Emmanuel Macron, en lui enjoignant d’affirmer l’autonomie de la diplomatie française face à l’unilatéralisme trumpien, mais aussi face à la Commission européenne.

© Huanqiu Shibao

La une du “Huanqiu Shibao” en date du 4 décembre 2025.
  •  

L’Afrique du Sud et le Rwanda en lutte pour accueillir un Grand Prix de Formule 1… et bien plus

Candidats favoris pour l’attribution d’un Grand Prix de Formule 1 africain, l’Afrique du Sud et le Rwanda entretiennent une rivalité qui dépasse le cadre sportif depuis de nombreuses années.

© Photo TAYFUN COSKUN/Anadolu/AFP

Le logo de la F1 avant le Grand Prix de Las Vegas 2025, le 19 novembre 2025, à Las Vegas, Nevada, États-Unis.
  •  

Vladimir Poutine à New Delhi : Narendra Modi pris en étau entre l’Occident et la Russie

Le président russe, Vladimir Poutine, est attendu jeudi 4 décembre à New Delhi, où il sera accueilli en grande pompe, sous le regard attentif des partenaires européens et américain de l’Inde. Un “exercice d’équilibriste périlleux” pour le gouvernement de Narendra Modi.

© Photo SAJJAD HUSSAIN/AFP

Un panneau d’affichage avec les portraits du président russe, Vladimir Poutine (à gauche), et du Premier ministre indien, Narendra Modi, à New Delhi, le 4 décembre 2025.
  •  

Bruxelles privilégie l’utilisation des avoirs russes pour aider Kiev, au grand dam de la Belgique

La Commission européenne a présenté mercredi deux options pour fournir 90 milliards d’euros à l’Ukraine sur les deux prochaines années : emprunter sur les marchés internationaux ou utiliser les avoirs russes gelés, une solution qu’elle juge préférable. Cette position irrite la Belgique, où est détenue la majorité de ces avoirs, rapporte la presse européenne.

© Photo Yves Herman/REUTERS

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors d’une conférence de presse consacrée au financement de l’Ukraine pour 2026 et 2027, à Bruxelles, le 3 décembre 2025.
  •  

La “doctrine Donroe” : comment Trump tente de mettre au pas l’Amérique latine

Menaces militaires, droits de douane punitifs ou plans de sauvetage économique, la Maison-Blanche manie la carotte et le bâton sur tout le continent latino-américain, dans une sorte de remise au goût au jour par Donald Trump de la doctrine Monroe, qui prévalait au XIXᵉ siècle. Tour d’horizon du “New York Times”.

© Dessin de Fares Garabet, Syrie. Cartoon Movement

“Je vois un navire vénézuélien qui manœuvre.”
  •  

Alep reste hantée par les fantômes d’Assad et de la guerre

Un an après le renversement de Bachar El-Assad, la deuxième ville de Syrie porte encore les stigmates du conflit, dont elle fut l’un des épicentres. Mais, surtout, les divisions et la peur instillées par la dictature déchue restent vives, raconte “L’Orient-Le Jour”.

© Dessin d’ALE+ALE, Italie.

  •  

Vladimir Poutine en Inde : des liens renforcés malgré la pression des États-Unis

Le président russe effectue une visite officielle de deux jours en Inde à l’occasion de la 23e édition d’un format bilatéral annuel. C’est le premier déplacement de Vladimir Poutine dans ce pays depuis la guerre lancée contre l’Ukraine. La presse russe lui accorde “une importance symbolique considérable” et évoque les sujets qui devraient être à l’agenda des discussions.

© Photo Vladimir Smirnov/REUTERS

Le président russe, Vladimir Poutine, et le Premier ministre indien, Narendra Modi, lors du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), le 1er septembre 2025, à Tianjin, en Chine.
  •  

Donald Trump multiplie les propos racistes contre les Somaliens et les autres réfugiés

Ce n’est pas la première fois que le président s’en prend aux réfugiés africains. Mais sa dernière sortie sur les Somaliens vivant aux États-Unis, traités d’“ordures”, est particulièrement choquante par son caractère ouvertement raciste et décomplexé, souligne “The New York Times”.

© photo ANDREW CABALLERO-REYNOLDS/AFP

Donald Trump lors d’une réunion à la Maison-Blanche, le 2 décembre.
  •  

En Syrie, l’anniversaire de l’offensive rebelle célébré à la gloire du nouveau pouvoir

Les célébrations de la chute de l’ancien régime de Bachar El-Assad ont débuté le 27 novembre, date anniversaire du lancement il y a un an de l’offensive éclair dirigée par Ahmed El-Charaa, fêté comme l’homme fort de la révolution. Mais pour certains, ce récit glorificateur occulte les facteurs régionaux qui ont précipité l’effondrement du régime et sert surtout à renforcer la légitimité d’un pouvoir que certains contestent.

© PHOTO LOUAI BESHARA/AFP

Des manifestants célébrant le premier anniversaire de la chute de Bachar El-Assad, le 28 novembre 2025 à Damas (Syrie).
  •  

Explosions sur un pétrolier au large de Dakar : la guerre russo-ukrainienne change-t-elle d’échelle ?

Un pétrolier turc, chargé de pétrole russe, a connu des avaries suspectes, sous la forme d’une série d’explosions, au large de Dakar. Si les autorités sénégalaises n’excluent aucune hypothèse, il s’agit là du troisième incident en trois jours impliquant des navires transportant du pétrole russe.

© PHOTO Yoruk Isik/REUTERS

Le pétrolier “Mersin”, opéré par un armateur turc mais battant pavillon panaméen, traverse le Bosphore à Istanbul, en Turquie, le 13 août 2025.
  •  

Emmanuel Macron en visite à Pékin avec un triple “sentiment d’urgence”

Le président français, Emmanuel Macron, a atterri à Pékin dans la matinée du mercredi 3 décembre pour y rencontrer son homologue, Xi Jinping, à la suite du voyage que celui-ci a mené en France l’année dernière. Derrière les cordialités diplomatiques, plusieurs urgences sont à l’ordre du jour, décrypte la presse chinoise.

© PHOTO LUDOVIC MARIN/AFP

Le ministre des Affaires étrangères chinois, Wang Yi (à droite) accueille le président français, Emmanuel Macron, sur le tarmac de l’aéroport de Pékin, le matin du mercredi 3 décembre 2025.
  •  

Après le Venezuela, Donald Trump menace ouvertement la Colombie

Les relations déjà glaciales entre le président des États-Unis et son homologue colombien, Gustavo Petro, ont franchi un nouveau seuil critique, plongeant une alliance historique dans une crise ouverte, marquée par des menaces militaires inédites.

© PHOTOs ANDREA ARIZA, BRENDAN SMIALOWSKI/AFP

Les présidents colombien et américain Gustavo Petro et Donald Trump.
  •  

Accord RDC-Rwanda : la paix selon Trump s’effondre déjà sur le terrain

Le président congolais, Félix Tshisekedi, et son homologue rwandais, Paul Kagame, sont attendus jeudi 4 décembre à Washington pour la signature d’un accord de paix censé faire taire les armes dans l’est de la RDC. Il s’agirait là de l’aboutissement d’un long processus diplomatique sous l’égide des États-Unis et du Qatar. Mais, sur le terrain, cette paix semble plus que fragile.

© PHOTO ANDREW CABALLERO-REYNOLDS/AFP

La rencontre de Donald Trump avec la ministre des Affaires étrangères de la RDC, Thérèse Kayikwamba Wagner (à droite), et le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe (premier rang à gauche), à la Maison-Blanche, le 27 juin 2025.
  •  

La construction d’une usine d’armement ukrainienne au Danemark divise le voisinage

La première pierre de l’usine ukrainienne de production de carburants pour missiles a été posée le 1er décembre dans une commune danoise. C’est une première dans un État membre de l’Otan, qui inquiète certains habitants alors que d’autres la jugent nécessaire. Le gouvernement, lui, assure qu’il n’y a aucun souci à se faire, y compris au sujet de la corruption.

© PHOTO Bo Amstrup/Ritzau Scanpix/REUTERS

Le ministre de l’Économie danois, Morten Boedskov (à gauche), serre la main du directeur pour le Danemark de la firme ukrainienne Fire Point, lors de la pose de la première pierre de son usine de production de carburants pour missiles et drones, le 1er décembre 2025, dans la localité de Vojens (ouest du Danemark).
  •  

En s’entourant de personnes faibles, Ursula von der Leyen a affaibli l’Union européenne

La deuxième Commission européenne présidée par Ursula von der Leyen est entrée en fonction le 1er décembre 2024. Douze mois plus tard, son bilan est accablant, accuse depuis l’Italie “Il Foglio”, qui dénonce le fait que l’Allemande a politiquement éliminé ses “ennemis” à l’intérieur de la Commission. En vidant celle-ci de sa substance.

© PHOTO MARTIN BERTRAND/HANS LUCAS/AFP

La présidente de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, à Bruxelles, en Belgique, le 5 mars 2025.
  •  

De Gaza à l’Ukraine, la méthode Trump pour régler les conflits

Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce numéro, nous revenons sur la politique étrangère du président américain et sa méthode pour imposer partout des accords de paix toujours favorables aux intérêts américains. Pressions, menaces, ultimatums et marchandages : tous les moyens sont bons. Avec des résultats dans certains conflits, mais à quel prix ? s’alarme la presse internationale.

La Une de “Courrier international” daté du 4 décembre 2025.
  •  

Comment la cybercriminalité menace Internet

Vous êtes en terminale ou en première spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP) ? La Lettre de l’éduc est pour vous. Chaque semaine, Benjamin Daubeuf, professeur agrégé d’histoire-géographie, vous conseille la lecture d’un article d’actualité qui résonne avec votre programme. Cette semaine, nous attirons votre attention sur une analyse qui revient sur les façons dont les cyberattaques peuvent mener à une paralysie totale d’Internet.

© “Courrier international”

La Lettre de l’éduc, révisez les programmes d’histoire-géographie avec “Courrier international”, par Benjamin Daubeuf.
  •  

Une longue réunion à Moscou et un avertissement “singulièrement menaçant” de Poutine à l’Europe

Sans surprise, la rencontre organisée mardi 2 décembre à Moscou entre Steve Witkoff, Jared Kushner et Vladimir Poutine n’a rien donné. Le président russe a même durci le ton vis-à-vis des alliés européens de Kiev, affirmant que la Russie était “prête” en cas de conflit avec l’Europe.

© KRISTINA KORMILITSYNA/AFP

Vladimir Poutine face à Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le beau-fils du président américain, le 2 décembre au Kremlin.
  •