Bruxelles acte la fin de l’approvisionnement en gaz russe à l’horizon 2028, marquant une rupture politique majeure. Si cette décision est forte, la presse moscovite s’inquiète, relativise ou cherche les solutions de remplacement face aux conséquences économiques encore incertaines pour la Russie.
Nommé le 19 octobre représentant du président américain pour l’Irak, l’homme d’affaires d’origine irakienne Mark Savaya s’est fait un nom en fondant une entreprise à succès de vente légale de marijuana dans le Michigan, où il a fait campagne pour le locataire de la Maison-Blanche. Son action a déjà porté ses fruits, raconte le média irakien “Jummar”.
Le président américain, Donald Trump,, saluant ici le Premier ministre irakien, Mohamed Chia Al-Soudani, le 13 octobre 2025 en Égypte, a choisi l’homme d’affaires Mark Savaya comme envoyé spécial en Irak.
Une médiation américaine serait-elle sur le point de tourner la page de plusieurs décennies de fâcheries entre le Maroc et l’Algérie, sur fond d’avenir du Sahara occidental, et ce en seulement soixante jours ? C’est en tout cas ce que semble suggérer Steve Witkoff, l’envoyé spécial du président américain pour le Moyen-Orient. Les commentateurs, en particulier algériens, restent sceptiques.
Une grande incertitude plane encore sur la prochaine rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump dans la capitale hongroise. Si cette dernière se confirme, l’avion présidentiel russe risque de devoir emprunter un itinéraire assez improbable.
Le président russe, Vladimir Poutine, à Anchorage, en Alaska, où il s’est rendu pour un sommet consacré à l’Ukraine avec son homologue américain, Donald Trump, le 15 août 2025.
Un sondage annuel, en place depuis 2014, montre qu’en 2025 la proportion de citoyens de Corée du Sud qui pensent que la réunification avec le Nord n’est pas nécessaire atteint les 51 %. Un changement de perception historique.
La justice polonaise a relâché l’un des suspects ukrainiens du sabotage des gazoducs sous-marins reliant l’Allemagne à la Russie, après avoir refusé de le remettre aux autorités allemandes. Selon la presse européenne, il s’agit d’un sérieux revers pour les enquêteurs, qui pourrait tendre les liens déjà fragiles entre Berlin et Varsovie.
Le chancelier allemand, Friedrich Merz, et le Premier ministre polonais, Donald Tusk, lors d’un sommet organisé à Copenhague, au Danemark, le 2 octobre 2025.
Illustration réalisée le 20 octobre 2025, représentant le logo d’AWS (Amazon Web Services) et un câble Ethernet cassé, le jour de la panne mondiale d’AWS. (REUTERS/Dado Ruvic/Illustration).
Dans un article d’opinion pour “Oukraïnska Pravda”, un journaliste ukrainien analyse la crise énergétique qui frappe ce territoire séparatiste de Moldavie né de l’effondrement soviétique. Il affirme que Moscou, en utilisant le gaz comme arme politique, a fini par affaiblir son propre bastion, désormais contraint de composer avec les décisions de Chisinau.
Les médias russes proches du Kremlin observent avec satisfaction la perspective d’un sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump à Budapest, dont la date n’est pas encore confirmée. S’ils espèrent une relance du dialogue entre Moscou et Washington, ils y voient surtout un “coup politique” infligé à l’Union européenne, impuissante.
Le président américain, Donald Trump, salue son homologue russe, Vladimir Poutine, sur le tarmac après leur arrivée à la base interarmées Elmendorf-Richardson d’Anchorage, en Alaska (États-Unis), le 15 août 2025.
Après une escalade des tensions contenue sous la pression de Washington, les émissaires de Donald Trump et les médiateurs arabes tentent de consolider la trêve entre Israël et le Hamas à Gaza, ébranlée le week-end dernier. Un enjeu de crédibilité pour le président américain.
Un panache de fumée s’élève après une frappe israélienne sur Gaza, le 19 octobre 2025, un peu plus d’une semaine après l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.
La région se porterait mieux sans la “constellation des cauchemars” composée du Premier ministre israélien, du mouvement islamiste palestinien et du Hezbollah libanais, estime l’éditorialiste en chef du site libanais “Daraj”. Même si la chute du régime de Bachar El-Assad en Syrie montre que c’est possible, de nombreux obstacles subsistent.
Selon une enquête menée relayée notamment par le site “Raseef22”, l’industrie de cette drogue de synthèse, qui a prospéré à la faveur de la guerre syrienne et inondé le Moyen-Orient, résiste au changement de pouvoir à Damas.
L’ombre de la Turquie plane sur l’élection présidentielle en République turque de Chypre du Nord, non reconnue sur le plan international, sauf par Ankara. Le président nationaliste sortant, Ersin Tatar, est très proche du leader turc, Recep Tayyip Erdogan. Son opposant, Tufan Erhürman, en position de favori, milite pour des négociations visant à une réunification de l’île.
Le président de la République turque de Chypre du Nord, Ersin Tatar (au centre), lors d’une parade militaire commémorant l’invasion turque de 1974, dans la partie nord de Nicosie, le 20 juillet 2025.
Lors de sa conversation téléphonique du 17 octobre avec Donald Trump, le président russe aurait à nouveau exigé que l’Ukraine cède à la Russie la région de Donetsk, révèle le “Washington Post”. En échange, Vladimir Poutine serait prêt à des concessions concernant deux autres régions partiellement conquises par les forces russes, celles de Zaporijia et Kherson.
Les familles d’otages et leurs partisans brandissent des pancartes sur la « place des Otages » à Tel-Aviv (Israël) le 18 octobre 2025, pour réclamer de retour de toutes les dépouilles des prisonniers du Hamas à Gaza (REUTERS/Hannah McKay).
Au lendemain de la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, les médias ukrainiens oscillent entre satisfaction prudente et exaspération face à la versatilité du président américain.
Vendredi 17 octobre, Pékin a annoncé avoir expulsé du parti communiste et de l’armée, le général He Weidong, un des plus haut gradés des forces chinoises, ainsi que huit autres responsables militaires accusés de corruption. Une véritable “purge” aux yeux de la presse internationale, qui pourrait avoir des conséquences importantes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite vendredi à Washington, espérait obtenir de Donald Trump des missiles de longue portée Tomahawk. Le président américain lui a opposé une fin de non-recevoir, exhortant Kiev et Moscou à trouver un accord pour mettre fin à la guerre.
Le président américain Donald Trump salue son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à son arrivée à la Maison-Blanche, à Washington, le 17 octobre 2025. (Photo de TOM BRENNER / AFP).
Le prince Andrew quitte l’abbaye de Westminster après la cérémonie de couronnement du roi Charles et de la reine Camilla, à Londres, le 6 mai 2023 (REUTERS/Toby Melville/Pool/Photo d’archives).
Après le retrait partiel de l’armée israélienne, le mouvement islamiste palestinien s’est ostensiblement redéployé dans l’enclave, comme s’il n’avait pas été affaibli par la guerre. Une démonstration de puissance, parfois sanglante, destinée à affirmer sa force avant les négociations sur son désarmement, analyse “The Financial Times”.
Une route singulière, longue de 1 kilomètre, relie deux villages estoniens en traversant brièvement le territoire russe. Le 10 octobre, sa fermeture temporaire par Tallinn, après l’apparition de soldats russes non identifiés sur le tronçon, a remis sur la table la question d’un traité jamais ratifié entre les deux pays.
À la lumière du réchauffement entre Washington et Moscou, Kirill Dmitriev, l’un des principaux négociateurs russes, a ressorti des cartons un vieux projet de tunnel reliant les deux pays par le détroit de Béring. Avec un nom tout trouvé…
Les commentateurs russes redoutaient la rencontre, ce vendredi 17 octobre, entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Washington, craignant qu’elle n’aboutisse à la livraison de missiles Tomahawks à l’Ukraine. Finalement, le président américain s’est ravisé et, cerise sur le gâteau pour la presse proche du Kremlin, rencontrera prochainement son homologue russe à Budapest.