CORSAIR dévoile le FRAME 4000D LCD RS ARGB, une version enrichie de son boîtier mid-tower emblématique, désormais équipée d’un écran tactile XENEON EDGE 14,5 pouces entièrement opérationnel. Cette nouvelle édition améliore le flux d’air, la connectivité et la solidité structurelle, tout en confirmant l’approche modulaire de la plateforme FRAME.
En parallèle, CORSAIR lance des kits de montage LCD permettant d’ajouter l’écran XENEON EDGE sur les boîtiers FRAME 4000D et FRAME 5000D, offrant aux utilisateurs une mise à niveau élégante et durable.
Un écran tactile XENEON EDGE 14,5” taillé pour l’affichage système et multitâche
L’écran XENEON EDGE fournit une résolution de 2560×720, une dalle AHVA lumineuse, une visibilité large angle et un multi-touch à cinq points. Préinstallé et pré-câblé, il s’utilise immédiatement comme écran secondaire Windows ou tableau de bord temps réel via iCUE Widgets.
Grâce aux câbles HDMI ou DisplayPort fournis, l’écran se connecte directement au GPU. Il peut afficher des données système, des widgets, des conversations, un lecteur audio ou des outils d’IA, libérant l’affichage principal et optimisant le multitâche.
Un refroidissement amélioré grâce à quatre ventilateurs RS120 PWM ARGB
Cette version repensée inclut quatre ventilateurs RS120 PWM ARGB : trois à l’avant pour l’admission et un à l’arrière pour l’extraction. Le FRAME 4000D LCD RS ARGB dispose également d’un emplacement supplémentaire en bas et d’un filtre pleine longueur, garantissant un entretien facilité et une circulation d’air largement optimisée dès l’installation.
Une conception solide, un I/O modernisé et un espace interne optimisé
Le cadre en acier renforcé et le panneau latéral en verre trempé du FRAME 4000D LCD RS ARGB mettent en valeur les configurations les plus exigeantes. Le panneau avant modernisé embarque désormais trois ports USB-C, dont un port 20 Gb/s, pour accueillir les périphériques les plus récents sans adaptateur supplémentaire.
À l’intérieur, le boîtier prend en charge jusqu’à deux radiateurs 360 mm, 13 ventilateurs au total, les cartes graphiques de 430 mm, ainsi que les cartes mères à connecteurs inversés (ASUS BTF, MSI Project Zero, Gigabyte Project Stealth). Un bras anti-sag GPU est fourni pour stabiliser les cartes les plus imposantes.
Des kits LCD pour moderniser les FRAME 4000D et 5000D
Les kits LCD pour 4000D et 5000D comprennent un panneau en verre adapté et un support pour intégrer le XENEON EDGE. L’écran doit être acheté séparément. Cette mise à niveau reflète l’engagement de CORSAIR envers la modularité et la durabilité, permettant aux constructeurs de renouveler leur configuration sans remplacer leur boîtier.
Contenu des options : • FRAME 4000D LCD RS ARGB : boîtier + XENEON EDGE préinstallé • Kit LCD 4000D : support + panneau en verre (sans écran) • Kit LCD 5000D : support + panneau en verre (sans écran)
Disponibilité et garantie
Le FRAME 4000D LCD RS ARGB et les kits LCD sont disponibles sur la boutique CORSAIR et chez les distributeurs autorisés à 349,90 euros, 49,78 (Frame 4000D) et 62,23 euros (Frame 5000D) respectivement. Tous les produits bénéficient d’une garantie de deux ans.
Après le boîtier micro-ATX J1000 ARVB, Sharkoon dévoile le clavier SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2, une édition spéciale au design océanique, pensée pour apporter une touche fraîche et premium aux bureaux gaming. Avec ses keycaps PBT résistants, son tapis de souris assorti et sa structure 75 % compacte, le clavier vise autant l’esthétique que l’efficacité.
Un design océanique premium avec keycaps PBT durables
Le SGK50 S3 Ultimate Rev2 adopte des keycaps PBT en dye-sub (teinture sous PBT), particulièrement résistants à l’usure, aux UV et aux empreintes digitales. Le motif océanique affiche une finition mate durable, parfaite pour conserver la fraîcheur du setup sur le long terme. Sharkoon inclut également un tapis de souris assorti, offrant une cohérence visuelle immédiate.
Switches Sharkoon : une frappe linéaire fluide et réactive
Le clavier embarque des switches mécaniques Sharkoon linéaires, développés pour offrir une sensation de frappe fluide et linéaire. Ils conviennent tant aux joueurs rapides qu’aux utilisateurs cherchant une frappe agréable et régulière.
Hot-swap universel pour une personnalisation totale
Grâce à son PCB hot-swap, le SGK50 S3 Ultimate Rev2 permet de remplacer les switches en un instant, sans soudure. Compatible avec la majorité des switches 3 pins et 5 pins, il offre une liberté totale pour ajuster la sensation de frappe à son style personnel.
Acoustique optimisée pour une frappe douce et harmonieuse
Sharkoon a porté une attention particulière au confort sonore. Le clavier intègre :
Une plaque interne en polycarbonate absorbant les vibrations,
Un double amortissement en silicone pour un son feutré,
Des stabilisateurs pré-lubrifiés.
Résultat : une acoustique douce, maîtrisée et premium, digne des claviers custom.
Un format compact 75 % pour maximiser l’espace
Avec une disposition 75 %, le SGK50 S3 Ultimate Rev2 conserve les touches essentielles tout en libérant de la place sur le bureau. Ce format compact met davantage en valeur le design océanique et offre plus d’espace pour les mouvements de souris.
Prix et disponibilité
Le Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 est déjà disponible au prix conseillé de 99,90 €.
Le compte officiel The Game Awards a publié un tweet énigmatique : « Lara Croft returns at #TheGameAwards », annonçant une apparition de l’icône du jeu vidéo Tomb Raider lors de la cérémonie 2025.
Ce message a immédiatement enflammé la communauté : de nombreux fans y voient l’annonce imminente d’un nouveau jeu, tandis que d’autres espèrent un remaster ou un projet d’envergure pour la franchise Tomb Raider. Un réservoir d’espoir et de spéculations pour les joueurs qui suivent l’aventure depuis ses débuts.
Pourquoi une annonce à TGA plutôt qu’un communiqué classique ?
L’utilisation de The Game Awards pour une révélation permet de bénéficier d’une visibilité maximale : millions de téléspectateurs, couverture médiatique instantanée, effet “buzz” garanti. Depuis quelques années, TGA n’est plus seulement une cérémonie de récompenses — c’est aussi un rendez-vous de révélations majeures pour l’industrie. Pour une franchise emblématique comme Tomb Raider, ce cadre offre un retour en lumière instantané, idéal pour mobiliser l’audience mondiale.
Que peut signifier ce “retour” de Lara Croft ?
À ce stade, il n’y a aucune confirmation officielle sur la forme du retour. Plusieurs possibilités circulent parmi les fans et analystes :
Un nouveau jeu Tomb Raider sur consoles / PC,
Un remaster ou remake d’un épisode culte,
Un crossover ou un cameo, potentiellement lié au phénomène de licences croisées (comme un skin dans un autre jeu),
Un simple teasing avec l’annonce d’un projet à venir en 2026.
Des discussions en ligne, notamment sur Reddit, évoquent même l’hypothèse d’un pack crossover (jeu + bonus) ou d’une annonce surprise.
Réactions de la communauté : entre espoir et prudence
Sur Reddit, dans le forum dédié à Tomb Raider, un utilisateur exprime :
« The way the tweet was worded was a bit confusing … I’m pretty sure this isn’t the Fortnite dropout but related directly to the Tomb Raider franchise » (Je suis presque sûr que ce n’est pas un simple crossover Fortnite, mais quelque chose en lien direct avec la franchise Tomb Raider).
Mais d’autres appellent à la prudence : car TGA est connu pour ses annonces spectaculaires qui ne débouchent pas toujours sur un produit concret immédiat. L’excitation est là, mais la prudence règne chez les fans les plus avertis.
Un timing stratégique pour relancer la franchise ?
Après des années de silence relatif, un retour à la lumière via TGA pourrait marquer un nouvel âge pour Tomb Raider : remise à jour graphique, modernisation, nouveau studio, ou même un repositionnement complet. Profiter de la visibilité massive et du battage médiatique semble une stratégie idéale pour redonner vie à la licence.
Le rendez-vous est fixé : la cérémonie The Game Awards 2025 pourrait bien marquer un tournant pour Lara Croft et pour ses fans.
LIAN LI enrichit sa gamme de produits avec la RS Series, une alimentation ATX 3.1 compacte qui combine efficacité 80 Plus Gold, certification Cybenetics Platinum, fonctionnement ultra-silencieux, et une conception innovante pensée pour les boîtiers modernes. Conçue pour répondre aux besoins des PC hautes performances, la LIAN LI RS Series se distingue par des fonctionnalités uniques comme l’entrée AC rotative à 90° et le connecteur ATX 20+4 double face.
Disponible en versions 1 000 W et 1 200 W, en noir ou blanc, et en options avec ou sans RS Hub, la Lian Li RS Series offre une modularité et une compatibilité supérieures pour les configurations complexes, notamment celles utilisant des alimentations latérales ou des cartes mères à connecteur arrière.
Efficacité certifiée Gold… mais des performances réelles Platinum
Bien que certifiée 80 PLUS Gold, la série RS va au-delà des attentes : les tests Cybenetics lui attribuent une efficacité Platinum, confirmant sa capacité à délivrer une puissance stable tout en réduisant les pertes d’énergie.
Cela se traduit par :
Une consommation réduite à charge élevée
Une meilleure stabilité sur les pics
Un fonctionnement plus froid et durable
Cette combinaison d’efficacité et de performances la place parmi les alimentations les plus compétitives de sa catégorie.
Deux modes d’installation pour s’adapter à tous les boîtiers
LIAN LI introduit un concept innovant : la possibilité d’installer l’alimentation de manière standard ou latérale, offrant une flexibilité parfaite pour les châssis modernes. L’atout essentiel : le port AC rotatif à 90°, permettant d’orienter le câble d’alimentation selon la configuration du boîtier. Cette particularité facilite l’intégration dans les châssis compacts ou dotés d’un montage PSU vertical.
Note : les boîtiers LANCOOL 207 / 207 Digital ne sont pas compatibles en raison du cache ventilateurs inférieur.
Câblage simplifié grâce au connecteur ATX 20+4 double face
Le connecteur 24 broches de la LIAN LI RS Series peut être utilisé depuis l’un ou l’autre côté, permettant un routage beaucoup plus propre dans les boîtiers avec connecteurs arrière ou PSU latéral. Cette innovation réduit les tensions sur les câbles et facilite l’installation dans les configurations complexes. LIAN LI déconseille bien évidemment d’utiliser les deux côtés simultanément.
Des composants haut de gamme pour une fiabilité extrême
La Lian Li RS Series utilise des condensateurs EPCOS allemands, réputés pour leur stabilité thermique et leur durabilité. Associés à une conception compacte (150 × 86 × 150 mm) et à un ventilateur de 135 mm, ces composants garantissent :
Une dissipation thermique optimisée,
Une alimentation stable sous charge prolongée,
Une durée de vie supérieure.
La PSU obtient une certification Cybenetics Noise A, assurant un fonctionnement ultra-silencieux – renforcé par le système acoustique PPLP.info SSS.
Compatibilité complète ATX 3.1 avec connecteur 12V-2×6 en cuivre renforcé
Pensée pour les GPU nouvelle génération, la Lian Li RS Series intègre un câble 12V-2×6 exclusif LIAN LI, doté :
D’un boîtier bicolore pour limiter les erreurs de branchement,
D’un alliage de cuivre haute intensité,
D’une structure renforcée pour résister aux flexions répétées.
Cette connectique assure une alimentation stable jusqu’à 600 W pour les cartes graphiques les plus exigeantes.
Câbles optimisés pour le cable management moderne
La Lian Li RS Series fournit :
Un câble 20+4 broches tressé et texturé, avec peigne inclus,
Des câbles plats ultra-flexibles, idéaux pour les montages propres,
Des clips magnétiques pour réduire les longueurs inutiles et organiser jusqu’à 3 couches de câbles.
De plus, une protection antipoussière isolante est intégrée sur le connecteur 18+10 pin, prévenant intrusion et court-circuits.
RS Hub : une extension modulaire intelligente
Inclus dans les versions 1200 W (et optionnel sur les 1000 W), le RS Hub apporte :
Un module compact de 132,5 × 34,7 × 12,7 mm,
Une fixation magnétique simple,
4 en-têtes capables d’alimenter jusqu’à 8 appareils (2,5 A total),
Des câbles USB Type-A et USB-to-USB pour un routage flexible.
Idéal pour :
Contrôleurs ARGB,
Hubs USB internes,
Accessoires nécessitant une alimentation stable.
Une solution parfaite pour réduire la dépendance aux ports de la carte mère.
Une garantie longue durée : 10 ans
Enfin, la Lian Li RS Series bénéficie d’une garantie de 10 ans, symbole de la confiance de LIAN LI dans sa plateforme électrique. Le RS Hub est couvert par une garantie de 2 ans.
Ubisoft a déployé la mise à jour 2.0 d’Avatar: Frontiers of Pandora, apportant deux des fonctionnalités les plus demandées par la communauté : la caméra à la troisième personne et le mode New Game+. Disponible dès le 5 décembre à 9h CET, ce patch transforme l’expérience de jeu et coïncide avec le deuxième anniversaire du titre.
Les joueurs sont invités à partager leurs captures en utilisant le hashtag #AvatarFrontiers.
Avatar: Frontiers of Pandora : une vue à la troisième personne pour redécouvrir Pandora
Pour la première fois depuis sa sortie, Frontiers of Pandora peut désormais être joué en vue TPS, offrant une nouvelle perspective sur les environnements luxuriants, les animations Na’vi et les montures.
Le basculement entre première et troisième personne se fait instantanément :
PC : touche J
PS5 : maintenir le pavé tactile
Xbox Series X|S : maintenir le bouton « Voir »
Cette caméra supplémentaire améliore l’immersion, la lisibilité des combats et la capture de moments mémorables en exploration.
Avatar: Frontiers of Pandora : un mode New Game+ pour prolonger l’aventure
La mise à jour introduit également le New Game+, permettant de rejouer la campagne principale tout en conservant :
Les équipements débloqués,
Les compétences,
Les améliorations obtenues lors de la première partie.
Le NG+ ajoute :
Un nouvel arbre de compétences Sarentu,
Des niveaux d’équipement plus élevés.
Comment accéder au NG+
Charger une sauvegarde où la mission finale (« Last Strike ») est terminée.
Ouvrir Options → choisir Nouvelle partie+.
Sélectionner un emplacement de sauvegarde dédié.
La nouvelle aventure commence immédiatement.
Autres améliorations générales
La mise à jour 2.0 de Avatar: Frontiers of Pandora inclut également :
Changements globaux (toutes plateformes)
Ajout de la caméra à la troisième personne,
Ajout du New Game+,
Ajustements linguistiques Na’vi, dont Eetu → Iti,
Correction de points de repère manquants sur la carte,
Divers correctifs mineurs d’ergonomie et de stabilité.
Améliorations PC
Support du Nvidia DLSS 4,
Support du AMD FSR 4,
Optimisations de performances diverses.
Problèmes connus actuellement en investigation
Ubisoft liste plusieurs problèmes en cours de résolution :
Toutes plateformes
Le menu « Personnages annulés » vide (sera actif avec From the Ashes),
Sauvegardes NG+ non clairement identifiées dans « Restaurer la sauvegarde »,
Bug de déplacement pendant la quête « Le Clan Errant »,
Grenades lançables en tirant avec le Bâton,
Icônes de ping persistantes en coop,
Divers soucis d’interface et de localisation.
Problèmes PC
Crash occasionnel en quittant le jeu si la génération d’images est activée,
Crash au démarrage avec XeSS Frame Generation,
Impossibilité d’activer la génération d’images avec la superposition Steam active,
FSR3 Frame Generation provoquant des saccades en mode fenêtré sans bordures,
Forte chute de FPS lors du passage bordure → plein écran si la FG est active.
ViewSonic enrichit son catalogue gaming avec le VX27G58-2K-2, un écran27 pouces Fast IPS capable d’atteindre 275 Hz en overclocking, tout en maintenant une qualité d’image élevée grâce à sa dalle 2K (2560 × 1440). Proposé à 1 149 yuans (environ 140 euros en conversion pure), il se positionne comme l’un des meilleurs rapports performances/prix de sa catégorie. Le moniteur bénéficie d’une garantie constructeur de 3 ans.
Design moderne : micro-bords et base métallique ultra-fine
Le VX27G58-2K-2 adopte un design épuré avec micro cadre sur trois côtés, idéal pour les configurations multi-écrans. Sa base métallique ultra-fine et son alimentation intégrée libèrent de l’espace et facilitent l’installation sur les bureaux plus compacts.
Panneau Fast IPS 275 Hz : fluidité extrême sans compromis
ViewSonic utilise un panneau Fast IPS Innolux offrant :
Résolution 2K 1440p,
Rafraîchissement 260 Hz natif / 275 Hz OC,
Temps de réponse 1 ms GtG,
Luminosité 500 nits,
Contraste 1300:1,
Couverture 100 % sRGB / 95 % DCI-P3,
Profondeur 10 bits (8-bit + FRC).
Grâce à la compatibilité AMD FreeSync, NVIDIA G-Sync, VRR et ALLM, l’expérience de jeu est fluide, sans tearing ni stuttering, même dans les jeux compétitifs rapides.
La prise en charge du HDR10 ajoute une dynamique lumineuse plus riche, renforcée par les 500 nits natifs.
Confort visuel avancé : Eye ProTech+ 2.0 et gradation DC
Pour protéger les yeux lors des sessions prolongées, ViewSonic intègre :
Gradation DC sans scintillement,
Technologie Eye ProTech+ de 2ᵉ génération,
Réduction de la lumière bleue <40 %,
100 niveaux d’ajustement de lumière bleue,
Revêtement anti-reflet.
Le résultat : un affichage stable, net, et beaucoup plus confortable sur la durée.
Fonctionnalités gaming : OSD joystick et viseur assisté
Le moniteur propose diverses options orientées joueurs :
Joystick à cinq directions pour naviguer rapidement dans l’OSD,
Crosshair d’aide à la visée,
Modes d’image optimisés pour le FPS, RTS, RPG, etc.
Connectique complète et pratique
Le VX27G58-2K-2 inclut :
2× HDMI 2.0 (jusqu’à 144 Hz),
1× DisplayPort 1.4 (jusqu’à 275 Hz),
1× USB-A (mises à jour firmware),
1× prise audio 3,5 mm.
ViewSonic fournit également un câble DisplayPort 1.4 de 1,5 m et un câble d’alimentation.
Le support permet une inclinaison -5° à 20°, et le moniteur est compatible VESA 100×100, facilitant l’installation sur bras articulé.
Seenda GCP-12A ouvre la voie : tissu respirant, soutien lombaire massant, et un ticket d’entrée à 119,99 dollars (environ 110 euros) sur Amazon US, actuellement 99,99 dollars via coupon.
Le constructeur dévoile deux modèles pensés pour les longues sessions de jeu comme pour le télétravail. Le GCP-12A vise le bureau classique, le GCP-10A adopte un format de chaise de sol pliable. Seenda assure viser « confort et ergonomie durable » selon sa présentation.
Le GCP-12A mise sur un textile Soft Touch Tech Fabric, conçu pour rester frais et favoriser la circulation de l’air lors des sessions prolongées. L’assise s’appuie sur des accoudoirs à liaison améliorée qui suivent le mouvement du dossier en inclinaison, pour garder l’alignement et limiter les contraintes lors des changements de posture.
Un coussin lombaire à massage USB apporte un soulagement ciblé du bas du dos et encourage un positionnement correct entre deux parties. La base métallique renforcée et un vérin à gaz certifié SGS forment un socle stable, donné pour une charge jusqu’à 300 lb. Les roulettes en caoutchouc silencieuses facilitent les déplacements sans parasiter la concentration.
L’inclinaison s’étend de 90 à 135 degrés. Repose-jambes extensible et appui-tête réglable complètent le tableau pour alterner travail, lecture ou détente. Prix public conseillé : 119,99 dollars sur Amazon US, actuellement 99,99 dollars avec coupon (environ 92 euros).
GCP-10A : chaise de sol pliable, dossier 6 positions
Le GCP-10A opte pour un format au ras du sol, pliable et prêt à l’emploi. Son dossier propose 6 positions, de l’assise droite au mode allongé pour jeu, TV ou repos. Un soutien lombaire caché peut être déployé à la demande, puis replié pour conserver une silhouette épurée.
La mousse haute densité offre un garnissage épais, décrit comme deux fois supérieur aux chaises de sol standard, afin d’épouser le corps sans s’affaisser. La structure associe cadre en acier renforcé et mousse résiliente, le tout sous un tissu respirant favorisant l’aération et limitant la fatigue sur la durée.
Pratique, le GCP-10A arrive entièrement assemblé, se replie à plat pour se glisser sous un meuble ou dans un placard, et se transporte facilement entre pièces. Affiché à 119,99 dollars sur Amazon US, il est également proposé à 99,99 dollars avec coupon (environ 92 euros).
Évolution directe de la Fusion S, la COUGARFusion One Gold F renforce tout ce qui faisait la force de la gamme : un soutien ergonomique, une assise stable et un confort durable pour les longues heures de travail ou de jeu. Conçue pour maintenir un bon alignement postural et réduire la fatigue, la nouvelle chaise s’adresse autant aux joueurs qu’aux professionnels qui veulent un fauteuil esthétique, respirant et fiable.
Imitation de lin premium : respirabilité et élégance dorée
La chaise adopte un rembourrage en imitation de lin, un matériau choisi pour son excellente respirabilité et son toucher agréable. Les accents dorés ajoutent une note de sophistication, faisant de la Fusion One Gold F une chaise aussi élégante que fonctionnelle. Ce textile haut de gamme permet de rester frais même lors de longues sessions.
Soutien ergonomique complet avec coussins inclus
La Fusion One Gold F intègre deux coussins ergonomiques : tête et lombaires, pensés pour réduire les tensions musculaires et aider à maintenir une posture saine. Leur forme et leur densité permettent une utilisation prolongée sans inconfort, particulièrement appréciable pour les longues sessions gaming ou les journées de travail intenses.
Assise en mousse multi-densité pour un équilibre parfait
La structure d’assise utilise une mousse multi-densité, permettant de combiner moelleux et fermeté aux endroits qui comptent. Le design légèrement évasé du siège type baquet sculpté offre une zone d’appui plus large et un amorti supérieur par rapport aux modèles traditionnels, garantissant stabilité et confort tout au long de la journée.
Accoudoirs 3D flexibles et adaptatifs
Les accoudoirs 3D offrent une précision de réglage idéale pour ajuster la position des bras selon l’activité : jeu, écriture, détente. En permettant des ajustements d’angle, de hauteur et de profondeur, ils contribuent à réduire la fatigue des épaules et à maintenir une posture naturelle.
Mobilité silencieuse et composants premium
La Fusion One Gold F est équipée d’un vérin à gaz de classe 4, garantissant une montée/descente stable, durable et sécurisée. Un manchon sur le rayon de la roulette élimine le bruit, permettant à la Fusion One Gold F de glisser sur n’importe quelle surface aussi silencieusement que sans effort.
Inclinaison continue et ajustements fluides
La chaise permet :
Une inclinaison de 90° à 130°, idéale pour alterner entre concentration et détente.
Un basculement continu sans crans fixes, offrant une liberté totale entre les positions grâce à une mécanique parfaitement fluide.
Un réglage de hauteur précis grâce au piston premium.
Un ensemble de réglages simple et efficace, pensé pour s’adapter instantanément au confort de l’utilisateur.
Le ZOTAC ZBOX RTX 5070 Ti débarque dans un châssis de 8,48 litres avec une promesse simple : une GeForce RTX 5070 Ti de bureau dans un mini PC, listé en Europe à partir de 2000 € environ.
ZOTAC ZBOX MAGNUS ONE EU27507TC : RTX 5070 Ti et Core Ultra 7 265 dans 8,48 L
ZOTAC lance le barebone ZBOX MAGNUS ONE EU27507TC, un compact de 270,5 × 126 × 249 mm (8,48 L) qui associe une carte graphique GeForce RTX 5070 Ti 16 Go GDDR7 au processeur Intel Core Ultra 7 265, un 20 cœurs annoncé jusqu’à 5,3 GHz. L’alimentation intégrée est une 650 W 80+ Platinum. Le constructeur revendique « le plus petit PC de bureau livré avec une RTX 5070 Ti desktop ».
ZOTAC ZBOX MAGNUS ONE avec GeForce RTX 5070 Ti : mini PC 8,5 L
Le modèle est d’abord apparu en Chine en barebone autour de 2970 $ sans mémoire ni stockage, puis aux alentours de 3000 $ avec RAM et SSD. En Europe, les premiers listings du même barebone s’affichent entre 1931 €. À prévoir en sus : DDR5, stockage NVMe et système d’exploitation, ce qui fait grimper la facture finale au-delà du prix nu.
Connectique complète, stockage PCIe 5.0 et réseau en 5 GbE
À l’intérieur, deux emplacements mémoire DDR5 CSODIMM/SODIMM. Pour le stockage, un slot M.2 PCIe 5.0 x4, un slot M.2 PCIe 4.0 x4 et une baie 2,5 pouces SATA. Côté réseau et sans-fil : double LAN 5 GbE et 1 GbE, Wi‑Fi 7, Bluetooth 5.4, plus un lecteur de cartes SD UHS‑II en façade.
L’affichage s’appuie sur un HDMI 2.0 relié à la carte mère, ainsi qu’un HDMI 2.1b et trois DisplayPort 2.1b sur la carte graphique, pour piloter quatre écrans. Un positionnement qui cible le jeu et la création dans un volume réduit sans renoncer au GPU desktop.
AMD B650 resterait finalement au catalogue plus longtemps que prévu. Sous la pression d’une DDR5 plus coûteuse, AMD aurait repoussé l’enterrement du chipset et revu son calendrier avec les fabricants de cartes mères.
AMD B650 prolongé face à la hausse de la DDR5
D’après Board Channels, AMD aurait prévenu ses partenaires que l’approvisionnement en B650 se poursuit, contrairement au calendrier initial qui visait un arrêt de production en 2025, prévu en octobre. Il semblerait que les B650 et B850 cohabitent désormais, alors que les B850 et B840 restent destinés aux nouvelles cartes plus riches en PCIe 5.0.
Le message précédent aux fabricants évoquait un stop en troisième trimestre, avec liquidation des stocks avant fin d’année pour basculer totalement vers B850 et B840. Lancés fin 2022, les B650 et B650E ont servi de plateforme AM5 milieu de gamme et constituent encore aujourd’hui les cartes les plus abordables pour Ryzen 7000 et Ryzen 8000.
Ventes en berne, plannings revus
Selon les mêmes informations, la montée des prix DDR5 a nettement freiné la demande DIY. Les ventes de cartes mères en novembre seraient divisées par deux par rapport à l’an dernier, et une faiblesse similaire est attendue en décembre. AMD et les fabricants revoient en conséquence leurs approvisionnements et cadences de production.
Les commandes de B650 devraient repartir à la hausse, avec relance ou extension des séries de cartes mères correspondantes. Objectif affiché : maintenir un coût total d’assemblage plus bas qu’avec des plateformes B850, et proposer des configurations AM5 d’entrée de gamme malgré la mémoire plus chère. « B650 et B850 coexisteront » affirme la fuite, citée par Board Channels.
Cast Out ressort d’une histoire avortée chez PlayStation London pour renaître chez Twisted Works, et l’ADN coop saute aux yeux dès la première minute.
Cast Out : le nouveau co-op des vétérans UK de PlayStation et Guerrilla
Le jeune studio britannique Twisted Works a officialisé son premier grand projet : Cast Out, un jeu d’action coopératif attendu sur PlayStation 5 et PC via Steam. L’annonce initiale a été publiée en exclusivité chez IGN, puis disséquée par la presse spécialisée. Eurogamer souligne des similitudes visuelles avec un ancien projet annulé de Sony, un jeu en ligne PS5 de London Studio, fermé lors de la restructuration de Sony Interactive Entertainment début 2024, quand plusieurs entités first-party au Royaume-Uni ont été touchées par des fermetures ou des réductions d’effectifs.
D’après Eurogamer, il semblerait que certains éléments de ce « passé » ressurgissent : le nouveau titre rappelle un concept art d’un jeu en ligne situé dans une version fantasy de Londres. Twisted Works, fondé l’été dernier par des vétérans de SIE UK, liste aussi des profils venus de Guerrilla Cambridge, Blur Studio, Square Enix (London), Disney Interactive (Brighton) et Creative Assembly (Horsham). Le studio vise une bêta en accès anticipé au plus tôt début 2027.
Londres modernisé, magie physique et co-op « fondation, pas fonctionnalité »
Twisted Works décrit Cast Out comme un jeu d’action coop dans un Londres moderne, tordu, où l’on « empile ses pouvoirs », avec mobilité élevée et improvisation. Le studio insiste : « co-op is the foundation, not a feature ». Les inspirations citées vont droit au but : Left 4 Dead comme socle, mais transposé avec de la magie physique, des runs rejouables, des moments horde et des espaces sandbox. Les builds se plient grâce aux « charms » pour soutenir l’équipe de manière surprenante. Et pas de solo : « no solo mode, no lone hero run ».
Le ton est clair, Twisted Works veut un jeu pensé pour jouer ensemble, avec des parties tantôt propres, tantôt chaotiques, et un Londres familier mais déformé, « plein de moments à clipper ».
La surprise vient de la mémoire. Officiellement, la série Ryzen 9000 se limite à 5 600 MT/s, et peut atteindre 8400 MT/s avec les kits Expo, mais cette configuration fuitée grimpe à 9 800 MT/s.
Des IOD mieux triés pour dépasser le plafond officiel
Cela suggère qu’AMD exploite des IOD mieux triés accumulés ces derniers mois pour préparer une réponse directe aux futures plateformes Intel Arrow Lake Refresh 200K plus début 2026 puis Nova Lake fin 2026. Un IOD plus robuste pourrait permettre de franchir les limites JEDEC et d’autoriser ces fréquences extrêmes.
Un bond de fréquence DDR5 inédit pour un CPU 9000X3D
La capture BIOS qui circule indique clairement les 9 800 MT/s. La date fausse peut être ignorée, les leakers modifiant souvent cet élément pour éviter toute remontée interne.
Du côté d’Intel, la riposte est déjà actée : Arrow Lake Refresh supportera nativement la DDR5 7 200 MT/s sur modules CUDIMM, ces barrettes dotées d’un driver d’horloge intégré optimisant l’intégrité du signal à haute fréquence. Les derniers records DDR5 sont d’ailleurs tombés sur plateformes Intel, ce qui pourrait pousser AMD à ouvrir la porte à des DIMM plus rapides afin de maintenir l’avantage en jeu.
Si ces 9 800 MT/s se confirment, le Ryzen 7 9850X3D deviendrait l’un des premiers CPU AMD Zen 5 capables d’exploiter des débits mémoire proches des plateformes extrêmes. De quoi repositionner cette puce comme une riposte directe à Intel, en quête d’un signal fort après plusieurs revers, et redonner de l’élan à la gamme X3D à l’approche du CES 2026.
Prix agressif pour un QD‑OLED 240 Hz : le MSI MAG 274QP QD-OLED X24 arrive en 26,5 pouces WQHD à 499,99 dollars (environ 599 € avec TVA) en Amérique du Nord, avec une fiche technique taillée pour l’esport.
Basé sur une dalle QD‑OLED de troisième génération en 2560 x 1440, l’écran vise le jeu compétitif avec un rafraîchissement de 240 Hz et un temps de réponse annoncé à 0,03 ms GtG. Il est certifié VESA ClearMR 13000 pour limiter le flou de mouvement et couvre 99 % du DCI‑P3. La calibration usine promet un delta E ≤ 2. La luminance culmine à 200 nits en SDR et 400 nits en HDR, en dessous des modèles QD‑OLED plus haut de gamme de MSI, mais cohérente avec un positionnement orienté vitesse.
Le tarif est confirmé à 499,99 dollars aux États‑Unis et 549 CAD chez Best Buy au Canada. Le produit n’apparaît pas encore en stock chez Amazon ou Newegg, mais les pages listent déjà le prix. D’après MSI, « l’objectif est le 1440p compétitif à 240 Hz », avec prise en charge de l’Adaptive Sync et des modes réglés pour PlayStation 5 et Xbox Series X|S.
OLED Care 2.0, IA de jeu et ergonomie
Pour réduire le risque de marquage, MSI intègre OLED Care 2.0 : déplacement de pixels, détection d’éléments statiques, atténuation des barres de tâches et logos, gestion multi‑logos, le tout en arrière‑plan. Le cycle de rafraîchissement du panneau s’exécute désormais toutes les 24 heures (au lieu de 16), tandis que le refroidissement repose sur un dissipateur avec film en graphène, sans ventilateur.
Côté jeu, l’AI Crosshair adapte la couleur du réticule pour maximiser le contraste selon la scène, et AI Vision éclaircit les zones sombres tout en renforçant la saturation pour aider à repérer les adversaires. On retrouve des modes anti‑scintillement et faible lumière bleue pour le confort visuel. Particularité intéressante, il est possible de basculer sur une zone d’affichage 24,5 pouces tout en conservant 2560 x 1440 à 240 Hz, pour ceux qui préfèrent un champ visuel plus compact.
Au global, MSI cible un segment précis avec un QD‑OLED rapide, calibré et protégé contre le burn‑in, à un prix d’appel attractif pour un 1440p 240 Hz. En Europe, l’offre apparaît à 599 €, tandis qu’aux États‑Unis le lancement se cale à 499 dollars.
Après la confirmation du GPU Intel Arc Battlemage BMG-G31 dans VTune, les indices s’accumulent en faveur d’un lancement rapproché aux côtés de Panther Lake. Des documents de douane révèlent en parallèle un mystérieux GPU Intel de 300 W : plusieurs expéditions R&D d’un « N38341-001 TASDK 300W GPU BRKT 0.8 » entre l’Inde et Taïwan, répétées de début septembre à octobre, suggèrent qu’Intel valide un support matériel conçu pour un TDP de 300 W plutôt qu’une simple erreur administrative.
Un bracket 300 W qui dépasse l’Arc actuel
Ce « GPU BRKT 300W » s’inscrit dans une nomenclature proche des références connues chez Intel, à l’image du code M19826-306 aperçu sur le PCB de l’Arc B580 Limited Edition. Aujourd’hui, les cartes gaming bleues restent bien en dessous : Arc A770 16 Go à 225 W de TBP, A750 aussi à 225 W. Côté Battlemage, l’Arc B580 vise 190 W, et la B570 environ 150 W. Un bracket dimensionné à 300 W indique qu’Intel testerait un die desktop plus ambitieux, avec de la marge thermique et électrique.
Ce mouvement colle avec les rumeurs d’un modèle plus haut de gamme, Arc B770, basé sur un GPU Battlemage plus grand, souvent évoqué sous le nom BMG-G31. Des identifiants PCI ajoutés dans les pilotes Linux Mesa pointent déjà vers une carte de classe B770. D’après des fuites issues de briefings au Computex et de canaux partenaires, la fenêtre viserait fin 2025. Un nouveau composant 300 W s’accorderait avec un affinage des designs de référence à ce stade. Comme le résume une source relayée, « un bracket conçu pour 300 W suggère des tests de cartes bien plus grandes ».
Arc B770 : ce que les bruits de couloir dessinent
Les spécifications non officielles évoquent 32 cœurs Xe2, un bus mémoire 256 bits et 16 Go de GDDR6, au-dessus des 20 Xe2 et 192 bits de l’Arc B580. Côté performances, les estimations placent cette carte autour d’une GeForce RTX 4070, sous réserve des fréquences finales et des pilotes. Rien ne garantit que l’Arc B770 atteindra le commerce, mais l’apparition d’un bracket 300 W dédié, ajoutée à d’anciens emballages attribués à B770, suggère qu’Intel assemble et déplace encore des Battlemage haute puissance pour des tests internes.
À noter : 300 W ne serait pas le plafond absolu chez Battlemage. La double Arc Pro B60 affiche 400 W par défaut, même s’il s’agit essentiellement d’une carte réunissant deux GPU de 200 W.
Discord serre la vis sur la mémoire : le client Windows expérimente un redémarrage automatique au‑delà de 4 Go de RAM, dans un contexte où DRAM et NAND flambent et où les PC subissent une véritable pénurie.
Discord teste un « restart » au‑delà de 4 Go pour contenir les dérives
Les prix de la DRAM et de la NAND montent, portés par les grands fondeurs et les datacenters IA. Certains estiment que la hausse pourrait durer jusqu’en 2027. Quand un kit DDR5 de 32 Go coûte autant qu’un GPU milieu de gamme d’hier, optimiser la RAM n’est plus un luxe. Microsoft ajuste Windows, mais l’Explorateur de fichiers de Windows 11 reste gourmand, avec des mécanismes de préchargement qui ajoutent de l’overhead.
Discord dit avoir lancé en octobre 2025 une action ciblée pour corriger des problèmes de mémoire de longue date sur l’application de bureau Windows. D’après un message publié sur Reddit par un membre de l’équipe, plus de neuf correctifs ont déjà été déployés, des outils de télémétrie et de profilage ajoutés, et l’usage mémoire p95 aurait reculé d’environ 5 % pour les utilisateurs Windows.
Discord is finally "fixing" memory leaks! /s
The client is testing a feature that monitors its own RAM usage and performs an intentional restart to clear resources if it reaches 4 GB while you're AFK.
La partie sensible tient dans une expérimentation baptisée « restart on excessive memory usage ». Concrètement, le client peut se relancer automatiquement si la consommation dépasse 4 Go, alors que l’usage normal devrait rester sous 1 Go. Ce redémarrage est encadré : uniquement lorsque l’utilisateur est marqué AFK, jamais pendant un appel, au maximum une fois par jour, seulement après au moins une heure d’exécution, et avec conservation des canaux ouverts ainsi que des brouillons de messages. Comme le résume l’équipe, « ce n’est pas un correctif permanent », mais un filet de sécurité qui alimente aussi les données de crash et le diagnostic afin de traquer des bugs rares touchant moins de 0,1 % de la base.
Contexte PC tendu, attentes élevées côté utilisateurs
Dans un marché où la mémoire et le stockage redeviennent coûteux et où certaines briques de Windows gaspillent encore de la RAM, voir un app de chat réduire activement son empreinte va dans le bon sens, à condition que l’interrupteur « auto‑restart à 4 Go » ne s’éternise pas. La question demeure, glisse la communauté : « Discord ne pourrait‑il pas simplement rester une messagerie ? »
Les cartes mères ROG Crosshair, ROG Strix, ProArt et TUF basées sur les chipsets X870 et X870E reçoivent une nouvelle vague de firmwares en version bêta. ASUS déploie ainsi le BIOS 1901 accompagné d’AGESA 1.2.8.0, tandis que certains modèles Strix et TUF passent au BIOS 1501. Cette mise à jour vise principalement l’intégration de la nouvelle AGESA et l’optimisation des performances générales du système.
BIOS ASUS X870 avec AGESA 1.2.8.0
Le lot de firmwares, partagé par l’overclocker interne d’ASUS Safedisk, vise la plateforme AM5. AGESA, le bloc bas niveau qui initialise CPU, mémoire et plateforme, poursuit sur la lancée des révisions 1.2.0.3x et 1.2.7.0 : compatibilité mémoire, stabilité et prise en charge des processeurs et APU Zen 5. Selon les notes des premiers chipsets série 800, la version ComboAM5PI 1.2.8.0 s’apparente à une mise à jour de microcode centrée sur la DDR5, notamment sur X870 et B850.
Pour les utilisateurs ASUS X870/X870E, il faut s’attendre à des changements dans le training DDR5, en particulier avec les profils EXPO, les kits haute densité et les configurations quatre DIMM. Safedisk signale un point majeur : « tRFC2 et tRFCSB sont désormais appliqués correctement », ce qui signifie que des sous-timings trop agressifs peuvent empêcher le boot. Les overclockeurs mémoire qui réutilisent d’anciens profils devront probablement retuner et assouplir ces valeurs.
Bêta destinée aux testeurs, stabilité variable
Les fichiers restent estampillés bêta. Ils conviennent aux testeurs et à ceux qui ont besoin d’AGESA 1.2.8.0 plus qu’une configuration totalement éprouvée. D’après les déploiements chez d’autres marques sur X870E et B850, l’objectif est d’améliorer le support mémoire, mais certaines cartes peuvent devenir instables ou compliquer l’accès au BIOS. L’implémentation fait la différence.
En clair, évitez d’installer ce BIOS pré-release si vous ne souhaitez pas bricoler. Les téléchargements sont disponibles via le lien source.
Première fuite solide du CES 2026 : le Lenovo Legion Pro Rollable viserait les joueurs PC avec un écran motorisé qui passe du 16:9 à l’ultralarge 21:9.
Selon Windows Latest, le prototype repéré tourne sous Windows 11 avec une touche Copilot dédiée et se positionne comme un modèle Legion Pro pensé pour début 2026.
Lenovo Legion Pro Rollable : écran extensible, châssis classique
À l’état fermé, l’ordinateur utiliserait une dalle OLED au format 16:9. Une fois activés, des moteurs intégrés au capot tirent des bandes supplémentaires de part et d’autre pour former une surface 21:9, idéale pour jeux et vidéo. D’après le matériel marketing aperçu, le processeur est un Intel Core Ultra, sans références exactes pour l’instant. Mémoire, stockage et diagonale ne sont pas listés. Au vu de la gamme Legion actuelle, une GeForce RTX dédiée et un taux de rafraîchissement d’au moins 120 Hz paraissent plausibles, sans que cela ne constitue une confirmation.
Le calendrier coïncide avec le CES 2026. Il semblerait que Lenovo garde le secret jusqu’à cet événement, possiblement pour accompagner une génération Core Ultra 300 Panther Lake. Windows Latest rappelle par ailleurs que c’est « une première vraie fuite des annonces CES 2026 ».
Un concept qui s’appuie sur les travaux ThinkBook
Prototype Lenovo Legion Pro Rollable au CES 2026Prototype Lenovo Legion Pro Rollable au CES 2026
Le Legion Pro Rollable s’inscrit dans la continuité du ThinkBook Plus Gen 6 Rollable, déjà commercialisé après le CES 2025 autour de 3 300 dollars (environ 3 050 à 3 100 euros HT estimés). Ce modèle combine une dalle OLED 14 pouces à un axe motorisé qui déploie l’écran jusqu’à 16,7 pouces, avec plus de 20 000 cycles annoncés pour le mécanisme.
Pour le Legion, l’ajout d’un GPU dédié, d’un système de refroidissement plus épais et d’une dalle POLED rollable à deux étapes ferait mécaniquement grimper la facture par rapport à un Legion classique. Un tarif au-dessus du ThinkBook Plus Gen 6 Rollable ne surprendrait pas, ce qui cantonnerait ce portable à une niche, même si l’annonce intervient au CES 2026 et que la sortie suit plus tard dans l’année.
Beaucoup de concepts de laptops et smartphones présentés autour du CES ne dépassent jamais la démonstration. Reste à voir si ce Legion Pro Rollable fera exception.
Total War Medieval 3 met la réécriture de l’histoire au centre du jeu, avec une promesse claire : un bac à sable médiéval authentique où chaque décision façonne royaumes, cultures et batailles.
Total War Medieval 3 : une vision assumée de la réécriture historique
Leif, directeur créatif du projet, résume l’ambition : « réécrire l’histoire ». D’après Creative Assembly, l’expérience repose sur un monde médiéval crédible au départ, puis totalement malléable par le joueur. L’objectif : moins de « head canon » et davantage de systèmes concrets pour influencer le monde, qui réagit en retour.
Plusieurs scénarios illustrent cette promesse. 1187 : vous défendez Jérusalem face à Saladin et le royaume latin survit. Constantinople n’est jamais mise à sac, l’Empire byzantin tient, et, alliés, vous repoussez les Mongols. 1412 : le Saint-Empire romain germanique se fragmente en petits royaumes. Jérusalem devient capitale du monde chrétien, le commerce avec l’Inde et l’Asie s’envole, et Christophe Colomb ne traverse jamais l’Atlantique.
Creative Assembly présente la faction comme le « personnage principal » d’un RPG stratégique. Exemple à Londres en 1318 : un roi fictif, Ragnar IV, d’ascendance danoise, monte sur le trône d’Angleterre. Vous abolissez la monarchie pour fonder une Ligue des Villes libres. L’Angleterre entre dans une seconde ère viking hypothétique, portée par des centres urbains qui dominent le commerce européen pendant des siècles.
L’équipe insiste sur la maîtrise de la grande stratégie : anticiper, planifier, exploiter des systèmes interconnectés. Au Caire en 1352, l’Égypte mamelouke tisse des liens commerciaux avec Venise, favorisant des enclaves italiennes. À rebours de l’histoire, vous promouvez la culture italienne par des lois et des réformes. Trente ans plus tard, l’italien Nicolo di Brindisi, devenu grand maréchal d’Égypte, mène une armée mixte de cavalerie mamelouke et d’arbalétriers italiens contre Tamerlan.
Le studio veut aussi renforcer la sensation de commandement en bataille : moral, discipline, terrains évolutifs. À Manzikert, en 1221, une averse transforme le champ en bourbier. Votre flanc droit fatigue, l’infanterie légère recule à gauche, puis tient héroïquement dans la boue sous l’aura du général, inversant la dynamique.
Enfin, le monde doit être un théâtre manipulable. À Riga en 1278, l’Ordre Teutonique défriche pour stimuler le commerce du bois, fonde des villes, étend fermes et mines, érige de nouveaux châteaux. Les paysages se transforment, l’architecture d’Europe centrale gagne le Baltique, les cultures évoluent sous votre impulsion.
Systèmes interconnectés, dynasties et façonnage du territoire
Questions clés posées par l’équipe : quel royaume bâtirez-vous, quelles dynasties le dirigeront, quels peuples l’habiteront ? Le studio rappelle que chaque décision à l’échelle des décennies doit avoir des répercussions visibles sur la carte, la politique, la culture ou l’économie. Selon Creative Assembly, cette « étoile polaire » guide toutes les fonctionnalités en chantier afin de servir une expérience où campagne et batailles s’entrelacent.
La ROG Xbox Ally Z2 A repasse sous la barre symbolique des 500 euros, un repositionnement qui arrive au bon moment alors que la Steam Deck OLED 512 Go domine toujours le segment à 569 euros.
ASUS ajuste ainsi son modèle d’entrée de gamme pour le rendre plus compétitif en Europe, à une période où les consoles PC portables se multiplient et où le rapport performances/prix devient central.
ROG Xbox Ally Z2 A à 499,99 € seulement
La version Z2 A, vendue 499,99 euros au lieu de 599,99, repose sur un APU AMD Ryzen Z2 A comprenant quatre cœurs Zen 2, huit unités RDNA 2 et 16 Go de LPDDR5-6400. Le stockage est assuré par un SSD PCIe 4.0 de 512 Go au format M.2 2280 remplaçable par l’utilisateur, un point clé pour les joueurs qui changent souvent de bibliothèque. La batterie de 60 Wh reste inchangée et le système de refroidissement Zero Gravity est annoncé comme capable de maintenir des performances stables, même en utilisation prolongée.
ROG Xbox Ally Z2 A
L’écran tactile de 7 pouces en 1080p à 120 Hz avec FreeSync Premium conserve son rôle central dans l’expérience Ally, avec un rendu plus fluide que celui de nombreuses alternatives sous Windows. ASUS pousse toujours son interface Xbox Full Screen au-dessus de Windows 11, tout en laissant l’utilisateur installer Steam, Epic Games ou GOG selon ses préférences. Le Wi-Fi 6E complète l’ensemble, pensé autant pour le cloud gaming que pour le jeu local.
Steam Deck OLED 512 Go, facturée 569 euros
À 499,99 euros, le modèle Z2 A se positionne donc nettement sous la Steam Deck OLED 512 Go, facturée 569 euros en France. La comparaison reste contrastée. Valve garde l’avantage avec son écran OLED HDR, son autonomie souvent supérieure et son OS dédié, tandis que l’Ally mise sur Windows et un affichage plus rapide à 120 Hz. L’accès natif aux jeux PC sans compatibilité Proton est un argument qui parle à celles et ceux qui jonglent avec plusieurs plateformes.
ASUS segmente désormais plus clairement sa gamme : la ROG Ally X occupe le haut du panier avec son Ryzen Z2 Extreme (Zen 5, RDNA 3.5, NPU Ryzen AI), ses 24 Go de LPDDR5X-8000, son SSD de 1 To et sa batterie de 80 Wh. La Z2 A vise au contraire un point d’entrée plus large, destiné aux joueurs qui cherchent une machine Windows portable qui reste performante tout en restant sous les 500 euros. Cette baisse de prix la replace dans une zone beaucoup plus équilibrée pour le marché européen.
Un premier test FurMark de l’iGPU Arc B370 intégré au Core Ultra 5 338H Panther Lake vient d’être repéré dans la base de résultats Geeks3D. Ce score isolé, obtenu sur une plateforme Windows 11 préliminaire avec des pilotes encore en développement, offre un premier aperçu concret de la nouvelle architecture Xe3 d’Intel. Et les résultats bousculent déjà les repères établis sur le marché des iGPU.
Le benchmark provient d’un stress test FurMark OpenGL 3.2 exécuté en 2560×1440 pendant soixante secondes. La machine utilisée repose sur un Core Ultra 5 338H, une configuration Panther Lake 12 cœurs (4P + 4E + 4 LP) dont les fréquences ne semblent pas figées. Le GPU Arc B370 a maintenu une fréquence maximale proche de 2,3 GHz, avec une consommation plafonnant à 36 W. Le pilote identifié (32.0.101.8188) confirme qu’il s’agit d’une version interne non finalisée, réservée aux équipes d’ingénierie et aux testeurs partenaires.
L’Arc B370 envoie un signal fort dès le premier test
Le score obtenu surprend par son ampleur. En 1440p, l’Arc B370 atteint 2383 points pour 39 FPS, un niveau habituellement hors de portée des iGPU actuels dans une résolution aussi élevée. La puce exploite dix cœurs Xe3 et une fréquence stable sur toute la durée du test, signe d’une architecture plus robuste que les générations précédentes dans les charges shader continues.
Ce premier résultat, bien que préliminaire, montre déjà que Xe3 corrige plusieurs faiblesses de Xe2, notamment en matière de scaling et de stabilité thermale. Les progrès sont palpables malgré l’absence d’optimisation driver poussée.
L’écart avec les iGPU AMD surprend en OpenGL
La comparaison avec les APU AMD actuels apporte un éclairage intéressant. Sous le même benchmark OpenGL, la Radeon 890M se situe entre 1886 et 2000 points en 1080p, malgré une enveloppe énergétique pouvant grimper à près de 58 W. Le B370 dépasse ces scores tout en travaillant dans une résolution supérieure de 78 % et avec une consommation GPU nettement inférieure.
Même les résultats Vulkan observés sur la Radeon 880M, pourtant mieux accordée à ce type d’API, n’inversent pas la tendance. Dans cette configuration, l’880M atteint environ 1550 points en 1080p. Ici encore, l’iGPU Panther Lake conserve une marge significative.
Ces mesures ne reflètent pas l’ensemble des usages et ne préjugent pas des performances en jeux DirectX 12 ou Vulkan. Elles indiquent en revanche qu’Intel a franchi un cap majeur en OpenGL, un domaine où les iGPU AMD s’appuient sur des pilotes historiquement moins affinés sur Windows.
Un rapport performance/consommation qui change les perspectives
Au-delà des chiffres bruts, l’Arc B370 se distingue par son comportement énergétique. Avec un plafond à 36 W pour la partie graphique seule, il reste dans une enveloppe compatible avec des châssis fins, sans contrainte thermique excessive. À l’inverse, les APU AMD mobilisent une consommation unifiée CPU+GPU généralement plus élevée pour atteindre leurs meilleures performances.
iGPU
API
Score
Résolution
FPS
Consommation
Intel Arc B370
OpenGL
2383
2560×1440
39
36W
AMD Radeon 880M
Vulkan
1552
1920×1080
26
27W
AMD Radeon 890M
OpenGL
2000
1920×1080
33
58W
Cette efficacité ouvre la voie à des machines plus silencieuses, plus froides et capables de conserver des fréquences stables sur de longues charges. Pour les fabricants de laptops gaming ultracompacts ou de consoles portables Windows, c’est un argument déterminant.
Xe3 : la première démonstration concrète
Ce benchmark marque l’arrivée effective de l’architecture Xe3 dans une configuration mobile. Intel conserve la désignation B-Series pour des raisons de cohérence industrielle, mais la micro-architecture est bien nouvelle. Avec dix cœurs Xe3 dans sa version B370, Panther Lake occupe le milieu de gamme graphique. Les modèles supérieurs grimperont à douze cœurs Xe3 selon les références attendues.
Intel details Xe3 GPU architecture for P (vue 5)
Les pilotes encore jeunes laissent entrevoir une progression supplémentaire d’ici la commercialisation. L’expérience Arc A770 a démontré que les optimisations successives pouvaient améliorer de 20 à 30 % les performances dans certains workloads. Rien n’exclut une évolution similaire pour Xe3 dans les mois précédant le lancement.
Une bataille des iGPU qui entre dans une nouvelle phase
Depuis deux ans, AMD dominait largement le segment des iGPU performants grâce aux Radeon 780M, 880M et 890M. Les XBOX ROG Ally, Legion Go 2 et autres consoles Windows s’appuyaient presque exclusivement sur ces architectures. L’Arc B370 remet aujourd’hui cette dynamique en question. Si ses performances se confirment en pratique, l’offre des consoles portables gaming pourrait se rééquilibrer dès 2026.
Le prochain rendez-vous d’AMD sur le segment mobile ne sera finalement pas RDNA 4, mais Gorgon Point, un raffinement de Strix Point prévu pour 2026. Cette génération conservera les cœurs Zen 5 et l’iGPU Radeon 890M sous architecture RDNA 3.5, avec un gain CPU modéré et un NPU XDNA 2 renforcé. En l’état, aucune évolution graphique majeure n’est annoncée avant RDNA 4, ce qui laisse à Intel une fenêtre favorable pour imposer Xe3 dans les machines ultraportables.
Disponibilité Panther Lake
MSI a déjà montré les premiers laptops Panther Lake en démonstration privée, confirmant que la plateforme Core Ultra 300 entre dans sa phase finale avant lancement. Plusieurs prototypes Prestige 13, 14 et 16 pouces ont été présentés début décembre à New York, avec des configurations fonctionnelles basées sur les iGPU Arc B-Series. Les tests publics restent sous embargo jusqu’au CES, mais les premières impressions indiquent une nette progression en efficacité et en performances graphiques.
Dans ce contexte, l’arrivée commerciale des machines Panther Lake ne relève plus de la projection. Les premiers modèles devraient être officialisés au CES 2026, puis mis en vente rapidement dans le courant du premier trimestre. Le B370 n’est donc plus un concept technique mais un composant déjà intégré dans des plateformes de présérie, en voie de validation finale.
Ce que révèle ce premier benchmark
Ce premier stress test FurMark deu GPU ARC B370 intervient au moment où les constructeurs finalisent leurs machines Panther Lake. Le comportement observé, entre stabilité thermique, efficacité énergétique et montée en puissance de Xe3, laisse entrevoir un changement concret pour les ultraportables en 2026. Si un modèle intermédiaire comme le B370 atteint déjà ce niveau avec des pilotes provisoires, les déclinaisons plus complètes d’Intel, notamment l’Arc B380 destiné aux consoles portables, pourraient s’avérer particulièrement compétitives.
Le B380 est conçu autour de douze cœurs Xe3 dans une configuration optimisée pour le gaming mobile, avec un CPU allégé afin de maintenir un coût raisonnable et une enveloppe thermique adaptée aux châssis compacts. Si la base technologique observée sur le B370 se confirme dans un environnement orienté jeu, cette variante pourrait devenir la première véritable alternative aux Ryzen Z2 d’AMD dans les machines portables hybrides attendues pour fin 2025 et 2026.
L’enchaînement des signaux est clair : machines MSI déjà visibles, performances préliminaires convaincantes, gamme B-Series élargie. Panther Lake marque la nouvelle offensive d’Intel sur le segment mobile, cette fois avec une plateforme CPU-GPU cohérente. Reste à mesurer les performances finales en jeu réel, mais Xe3 semble déjà en mesure de redistribuer les cartes dans l’univers des ultraportables et des consoles PC.
L’Intel Core Ultra 7 270K Plus revient sur la scène : Une nouvelle fuite Geekbench confirme une puce 24 cœurs et des pointes à 5,4 GHz, avec un léger mieux face au 265K malgré une mémoire DDR5-4800.
Intel Core Ultra 7 270K Plus : 8 P-cores, 16 E-cores et un boost à 5,4 GHz
Il semblerait que le rafraîchissement Arrow Lake-S, baptisé Core Ultra 200K Plus, constitue la dernière grande mise à jour du socket LGA-1851. Repéré à nouveau sur Geekbench, le Core Ultra 7 270K Plus se distingue par une configuration complète de 24 cœurs : 8 P-cores et 16 E-cores, avec un boost annoncé jusqu’à 5,4 GHz. Le détail du bench montre une pointe à 5 498 MHz.
Testée à deux reprises sur une carte mère Gigabyte Z890 EAGLE avec 64 Go de DDR5-4800, la puce surclasse d’après les moyennes officielles le Core Ultra 265K de 5,6 % en single-core et de 4,2 % en multi-core, malgré une mémoire relativement lente. Dans la même fournée, le 250K Plus gagne aussi quatre E-cores, tandis que le Core Ultra 9 290K Plus conserve le même nombre de cœurs que le 285K mais pousse le boost à 5,8 GHz, soit environ +100 MHz.
Le 270K Plus apparaît comme la référence la plus intéressante du lot, avec ce plein silicium à 24 cœurs. Mais la mise à niveau reste modeste. D’après plusieurs équipes cartes mères, « ils ne s’attendent pas à un impact réel sur le marché desktop » ni à un regain d’intérêt pour les cartes des séries 800. Le secteur déplacerait déjà son attention vers LGA-1954 et Nova Lake-S.
Arrow Lake-S Refresh : la dernière salve pour LGA-1851
Arrow Lake vs Arrow Lake Refresh
VideoCardz.com
Ultra 9 290K Plus
Ultra 9 285K
Ultra 7 270K Plus
Ultra 7 265K
Ultra 5 250K Plus
Ultra 5 245K
Cœurs (P+E)
8P+16E
8P+16E
8P+16E
8P+12E
6P+12E
6P+8E
TVB
5,8 GHz
5,7 GHz
–
–
–
–
Turbo Boost Max
5,6 GHz
5,6 GHz
5,5 GHz
5,5 GHz
–
–
Turbo P-Core
5,6 GHz
5,5 GHz
5,4 GHz
5,4 GHz
5,3 GHz
5,2 GHz
Turbo E-Core
4,8 GHz
4,6 GHz
4,7 GHz
4,6 GHz
4,7 GHz
4,6 GHz
Base P-Core
3,7 GHz
3,7 GHz
3,7 GHz
3,9 GHz
4,2 GHz
4,2 GHz
Base E-Core
3,2 GHz
3,2 GHz
3,2 GHz
3,3 GHz
3,5 GHz
3,6 GHz
Support mémoire
DDR5-7200
DDR5-6400
DDR5-7200
DDR5-6400
DDR5-7200
DDR5-6400
Puissance de base
125 W
125 W
125 W
125 W
125 W
125 W
Puissance turbo max
250 W
250 W
250 W
250 W
159 W
159 W
Selon les fuites, la gamme Plus boucle le cycle LGA-1851 avec trois modèles mis en avant : Core Ultra 9 290K Plus (jusqu’à 5,8 GHz), Core Ultra 7 270K Plus (24 cœurs, jusqu’à 5,4 GHz) et Core Ultra 5 250K Plus (E-cores en hausse). Les fabricants de cartes mères se prépareraient déjà à la transition vers LGA-1954, signe que ce refresh ne devrait pas prolonger l’attrait des plateformes 800.
AOOSTAR frappe fort avec son NEX395 : ce mini‑PC sous Ryzen AI Max+ 395 embarque 128 Go de LPDDR5X‑8533 sur bus 256 bits et un mode performance à 140 W.
Lancé en Chine avec un châssis revu par rapport au prototype de juillet, l’AOOSTAR NEX395 cible les usages IA et graphiques exigeants. Selon le constructeur, la mémoire LPDDR5X à 8 533 MT/s, couplée au large bus 256 bits, sert autant à garder de gros modèles IA en mémoire qu’à nourrir le Radeon 8060S intégré, sans étranglement de bande passante.
AOOSTAR NEX395 : Strix Halo, 128 Go et mode 140 W
Le cœur de la machine est l’AMD Ryzen AI Max+ 395, le haut de gamme Strix Halo. AOOSTAR accompagne la puce d’un système thermique présenté comme « Glacier VC » avec plaque IVC et un mode performance à 140 W. Les premiers chiffres publiés par la marque, relevés à 120 W, annoncent un score total d’environ 11 550 points sous 3DMark, avec 11 639 points pour le GPU et 11 073 points pour le CPU, des valeurs en ligne avec les attentes pour l’iGPU 8060S.
Côté connectique et évolutivité : trois emplacements M.2 PCIe 4.0, deux ports USB4, deux LAN 2,5 GbE, plusieurs USB Type‑A ainsi que des sorties DisplayPort et HDMI. Le châssis final, désormais confirmé, diffère du modèle aperçu en juillet, AOOSTAR ayant ajusté le design avant commercialisation.
Mémoire ultra‑rapide et positionnement tarifaire
La configuration de lancement associe Ryzen AI Max+ 395, 128 Go de LPDDR5X‑8533 et un SSD de 2 To pour 19 999 yuans, soit environ 2 800 dollars (environ 2 600 à 2 650 euros à titre indicatif). AOOSTAR indique une disponibilité mondiale prévue, sans date fixée pour l’instant. La marque met en avant « une mémoire de 8 533 MT/s sur 256 bits » pour rivaliser avec les stations HP sous Ryzen AI Max les plus véloces.
La fiche technique vise clairement les charges mixtes IA/graphismes où la bande passante mémoire et le plafond de puissance pèsent lourd. Reste à vérifier, lors des tests indépendants, l’écart entre le mode 120 W mesuré par AOOSTAR et le mode 140 W annoncé.
WebGPU franchit la dernière marche : l’API GPU moderne est activée dans les versions stables de Chrome et Edge sur Windows, macOS et ChromeOS, Chrome sur Android, Firefox sur Windows et macOS, ainsi que Safari sur macOS, iOS, iPadOS et visionOS. WebGPU devient ainsi une cible unique à l’échelle de tous les moteurs de navigateur majeurs.
WebGPU, successeur de WebGL et API unique pour le web
Conçu comme le successeur de WebGL, WebGPU s’appuie sur des API natives récentes comme Direct3D 12, Metal et Vulkan, plutôt que sur OpenGL ES. Au menu : un modèle bas niveau pour buffers, textures et command buffers, et un langage de shading dédié, WGSL. Résultat, des moteurs plus prévisibles côté performances et un accès bien plus direct aux fonctionnalités GPU actuelles que ne le permettait WebGL.
L’API ne se limite pas au rendu. Les compute shaders ouvrent la voie à l’exécution, depuis JavaScript et WebAssembly, de charges parallèles sur GPU : physique, simulation, ou encore machine learning. Des bibliothèques telles qu’ONNX Runtime Web et transformers.js exploitent déjà ces capacités pour faire tourner de l’inférence directement dans le navigateur, sur le GPU du client, ce qui réduit la latence et garde les données locales. En clair, jeux et modèles d’IA peuvent tourner dans l’onglet, en tirant parti du GPU local.
Calendrier d’adoption et nouveaux usages
D’après le développeur Konstantin Paulus, CEO de Diffusion Studio spécialisé dans le rendu navigateur, l’ampleur de la prise en charge va déplacer le curseur des applications en onglet dans les prochaines années. Il anticipe l’arrivée d’outils professionnels de motion graphics et de vidéo 2D autour de 2026, une fois la confiance dans les pipelines web établie. Son estimation place les jeux AAA et les outils de création 3D avancés à l’horizon 2027, suivis par des usages IA grand public en inférence locale vers 2028. Ces dates restent des hypothèses, mais elles cadrent l’effort nécessaire pour bâtir des produits complets sur une API bas niveau récente. Comme il le résume, « une API unique change la donne pour les moteurs et les outils ».
À court terme, WebGPU restera surtout entre les mains des auteurs de moteurs et des éditeurs d’outils multi‑plateformes. Avec Chrome, Edge, Firefox et Safari au rendez‑vous, ils peuvent considérer WebGPU et ses implémentations natives comme Dawn et wgpu comme une couche commune pour le graphique et le compute. La suite dépend désormais moins de la spécification que des moteurs, des éditeurs et des jeux capables de démontrer aux utilisateurs la valeur d’un accès GPU complet dans le navigateur.
Dawn of War IV accélère son calendrier de tests : une seconde alpha fermée aura lieu du 12 au 15 décembre, avec une sélection limitée mais ouverte à de nouveaux profils.
Deuxième session du 12 au 15 décembre, accès très restreint
Quelques semaines seulement après un premier galop d’essai en novembre, l’équipe relance une alpha fermée courte et ciblée. Le studio prévient que la taille du groupe restera réduite, même si des nouveaux testeurs rejoindront les participants déjà retenus. Tous devront manipuler une build alpha précoce sous NDA strict : pas de partages, captures ni enregistrements autorisés. Un compte Discord gratuit est requis pour participer.
Comment tenter sa chance
Le processus est simple. Les testeurs de la session de novembre n’ont rien à faire, ils recevront un courriel explicatif. Les abonnés à la newsletter de Dawn of War IV recevront sous peu les modalités de candidature. Pour tous les autres, il faut s’inscrire à la newsletter officielleavant le 8 décembre et confirmer son adresse.
Le studio rappelle que « la sélection restera petite en échelle », mais promet d’élargir progressivement le panel lors de futures opportunités.
À noter : les invitations et instructions seront envoyées par e‑mail aux profils retenus. Restez attentifs si vous visez cette nouvelle fenêtre de test du célèbre RTS situé dans l’univers Warhammer 40K.