Ubisoft accélère dans le cloud gaming : les premiers jeuxActivision débarquent sur Ubisoft+ Premium en streaming, avec une intégration initiale via NVIDIA GeForce NOW et d’autres partenaires à venir.
Première salve Activision sur Ubisoft+ Premium
Cette arrivée découle de l’accord annoncé en août 2023, qui confie à Ubisoft les droits de diffusion en streaming des jeux Activision et Blizzard. Selon l’éditeur, ces titres sont pour l’instant accessibles dans leur édition standard via Ubisoft+ Premium, et l’offre doit s’étendre à d’autres fournisseurs de cloud dans les prochains mois. Chris Early, vice‑président senior des partenariats chez Ubisoft, résume l’ambition : « notre acquisition des droits de cloud streaming pour les titres Activision et Blizzard renforce l’offre Ubisoft+ et nous permet de concéder des licences à d’autres acteurs du cloud ».
Quels jeux disponibles dès aujourd’hui
Les abonnés peuvent dès maintenant streamer :
Call of Duty Modern Warfare II et Call of Duty Modern Warfare III : campagnes solo, multijoueur et coop présentes, avec pour MWIII un mode Zombies.
Crash Bandicoot N. Sane Trilogy : trilogie remasterisée des épisodes fondateurs.
Spyro Reignited Trilogy : les trois jeux originaux revisités.
Ubisoft précise que davantage de titres Activision et Blizzard suivront au fil de l’intégration cloud, au‑delà de GeForce NOW.
NVIDIA pousse une mise à jour dense avec le GeForce 591.44 WHQL : DLSS 4 pour les prochains gros jeux, une salve de correctifs sur PC et la confirmation d’un changement majeur côté support.
GeForce 591.44 : DLSS 4 et correctifs critiques
Le pilote Game Ready GeForce 591.44 WHQL apporte la prise en charge de DLSS 4 pour Battlefield 6: Winter Offensive et Call of Duty: Black Ops 7. D’après NVIDIA, il fournit « la meilleure expérience de jeu » sur ces titres compatibles. Côté stabilité, plusieurs problèmes épineux sont résolus : plantages dans Battlefield 6, texte déformé dans Counter-Strike 2 sous définition inférieure au natif, scintillements et corruptions graphiques dans Like a Dragon: Infinite Wealth et Like a Dragon Gaiden après des mises à jour précédentes.
Le GeForce 591.44 WHQL corrige aussi les baisses de performances observées dans Black Myth: Wukong sur les branches post-R570 et rétablit des effets de particules manquants dans Monster Hunter World: Iceborne sur les GPU GeForce RTX 50. La liste se poursuit avec l’assombrissement progressif de Call of Duty: Black Ops 3, des problèmes de stabilité dans Madden 26, des pertes de performances après la mise à jour Windows 11 d’octobre 2025 KB5066835, ainsi que des artefacts intermittents dans The Witcher 3: Wild Hunt.
Apps, PhysX 32 bits restauré et fin de support GTX 900/10
Au-delà du jeu, Premiere Pro ne gèle plus à l’export en encodage matériel, les soucis de stabilité liés à Sophos Home Antivirus sont corrigés, et une ligne verte en lecture vidéo sous navigateurs Chromium sur RTX 50 est éliminée. Le pilote réintroduit en outre la compatibilité des effets PhysX 32 bits sur les RTX 50 pour plusieurs classiques PC : Alice: Madness Returns, Assassin’s Creed IV: Black Flag, Batman: Arkham City, Batman: Arkham Origins, Borderlands 2, Mafia II, Metro 2033, Metro: Last Light et Mirror’s Edge conservent leurs effets d’origine.
Dernier point important : NVIDIA met fin au support des pilotes Windows pour les séries GeForce GTX 900 et GTX 10 à partir de cette version 591.44 WHQL, confirmant un mouvement déjà engagé côté Linux.
Le nouveau Sharkoon J1000 ARVB vise les utilisateurs micro-ATX cherchant un boîtier compact, esthétique et optimisé pour une bonne circulation d’air. Son bandeau ARVB incurvé en façade apporte une touche gaming sophistiquée tout en restant discret. Il est accompagné d’un panneau latéral en verre trempé permettant d’exposer clairement les composants internes et les configurations RGB.
Refroidissement efficace dans un format réduit
Malgré son format compact, le Sharkoon J1000 ARVB bénéficie d’un panneau frontal perforé facilitant l’admission d’air frais. Un ventilateur de 120 mm est préinstallé à l’arrière. Jusqu’à cinq ventilateurs supplémentaires peuvent être installés, permettant d’adapter le boîtier aux configurations gaming haute performance ou aux machines polyvalentes à usage intensif.
Une vue claire sur votre configuration
Le panneau en verre trempé pleine taille met en valeur les composants installés tout en soulignant le design ARVB de la façade. Il est idéal pour les amateurs de setups RGB ou les assemblages épurés nécessitant une mise en valeur propre et moderne.
Stockage généreux pour un micro-ATX
Le Sharkoon J1000 ARVB offre une flexibilité remarquable en matière de stockage :
Jusqu’à 2 disques durs 3,5″,
Jusqu’à 6 SSD 2,5″.
Un argument solide pour les joueurs disposant de nombreuses installations, ou pour les utilisateurs multimédia ayant besoin de volumes élevés.
Connectique bien placée pour un usage quotidien
Sharkoon équipe son boîtier de ports situés sur le dessus pour un accès rapide :
2 × USB 3.0,
1 × USB 2.0,
Ports audio casque / micro.
Pratique pour brancher un casque, un micro ou une clé USB sans se contorsionner.
Fanatec, désormais sous la bannière CORSAIR, confirme l’arrivée du support officiel Fanatec FullForce dans Gran Turismo 7 sur PlayStation 4 et PlayStation 5, grâce à la mise à jour majeure “Spec III” prévue en décembre. Cette intégration permet aux bases Direct Drive compatibles, dont la Gran Turismo DD Extreme (15 Nm), d’atteindre leur plein potentiel en matière de retour de force haute fidélité.
Fanatec FullForce : un retour de force nouvelle génération
La technologie FanatecFullForce combine retour de force principal et vibrations haute résolution pour transmettre des informations d’une finesse inédite. Elle reproduit :
Vibrations moteur,
Perte d’adhérence,
Texture du tarmac,
Variations de suspension,
Réactions dynamiques du châssis.
Le résultat est un ressenti nettement plus riche, réaliste et réactif, directement dans les mains du pilote.
La Gran Turismo DD Extreme exploitée à 100 %
La base officielle Gran Turismo DD Extreme bénéficie pleinement du protocole Fanatec FullForce. Les joueurs profiteront d’un ressenti plus précis des limites d’adhérence, d’une meilleure maîtrise des transitions et d’un contrôle plus naturel du véhicule, notamment dans les phases critiques comme le freinage dégressif ou la réaccélération en sortie de virage.
Optimisation officielle pour chaque voiture
Kazunori Yamauchi, président de Polyphony Digital et créateur de la série, souligne que chaque voiture a reçu un réglage spécifique optimisé pour FullForce :
« Les joueurs pourront désormais ressentir des informations riches et précises provenant des surfaces, des pneus et de la suspension. Nous espérons que vous apprécierez les caractéristiques uniques de chaque voiture. »
Cette déclaration confirme la volonté de l’équipe GT d’offrir une expérience de simulation toujours plus proche du réel.
Un partenariat historique consolidé
Fanatec et Polyphony Digital collaborent étroitement depuis 2021 pour fournir du matériel officiel Gran Turismo. L’intégration native de FullForce marque une nouvelle étape dans cette alliance, assurant une expérience plus cohérente entre matériel et logiciel sur PS4 et PS5.
Disponibilité : mise à jour gratuite en décembre
Le support FullForce sera disponible gratuitement via la mise à jour Gran Turismo 7 – Spec III. FullForce est compatible avec :
Le site gizmochina rapporte que MSI enrichit sa gamme d’équipements ergonomiques avec le MSIMAG A10, un fauteuil gaming haut de gamme destiné aux joueurs et utilisateurs professionnels qui recherchent stabilité, confort prolongé et soutien dorsal évolué. Proposé en Chine à 2 499 yuans (~354 $), il repose sur les principes du design Ergo Cool de MSI, intégrant un châssis large, robuste et optimisé pour de longues sessions d’utilisation.
Construction robuste et capacités d’ajustement avancées
Le MSI MAG A10 peut supporter jusqu’à 150 kg grâce à sa structure renforcée et sa base en alliage d’aluminium. Pesant 25,6 kg, il mesure 70,5 cm de large, 71 cm de profondeur et 114 cm de hauteur, assurant stabilité et confort même dans les configurations compactes.
MSI équipe son fauteuil d’un vérin à gaz de classe 4, certifié pour la sécurité avec protection anti-explosion. Les roulettes PU silencieuses de 75 mm garantissent un déplacement fluide sur sols durs comme sur tapis, sans abrasion ni bruit excessif.
Inclinaison intelligente et soutien dorsal dynamique
Le MAG A10 adopte un dossier dynamique à pivot automatique : le fauteuil ajuste sa courbure en fonction des mouvements de l’utilisateur, offrant un soutien continu du bas du dos. L’inclinaison couvre une plage de 100° à 135°, avec réglage de résistance, permettant de passer d’une posture de travail concentrée à une position de détente plus ouverte.
Le système lombaire est ajustable en 4 directions : avant, arrière, haut et bas, pour une adaptation précise à chaque morphologie. Un appuie-tête ergonomique 2D complète le soutien cervical et améliore l’alignement de la colonne.
Matériaux haut de gamme et confort thermique
Le siège utilise un coussin en mousse haute densité associé à un tissu imperméable Ergo-Coll, résistant et agréable au toucher. MSI ajoute une maille respirante sur le dossier pour améliorer la circulation de l’air, réduisant l’accumulation de chaleur lors des longues sessions de jeu ou de travail.
Les accoudoirs 4D texturés effet fibre de carbone permettent des ajustements complets (hauteur, profondeur, largeur et rotation). Ils se synchronisent avec l’inclinaison du fauteuil pour assurer une continuité du soutien des avant-bras dans chaque position.
Un fauteuil pensé pour ergonomie, durabilité et performance
Avec sa construction renforcée, son soutien dorsolombaire personnalisable et son dossier pivotant intelligent, le MSI MAG A10 s’impose comme l’un des fauteuils ergonomiques gaming les plus complets de 2025. Il s’adresse aux utilisateurs exigeants qui recherchent une solution durable, respirante et axée sur la santé posturale.
XPG dévoile sa nouvelle gamme de mémoire ARMAX DDR5, une série pensée pour les joueurs, les créateurs exigeants et les environnements esport. Inspirée par le design agressif des avions de chasse furtifs, l’ARMAX adopte une esthétique angulaire marquée et s’accompagne de performances élevées allant jusqu’à 6400 MT/s.
La famille se décline en deux versions :
ARMAX RGB DDR5, avec éclairage RGB dynamique,
ARMAX DDR5, un modèle plus discret et non éclairé.
L’objectif : devenir la référence DDR5 pour les configurations gaming nouvelle génération.
Compatibilité SFF : un dissipateur bas profil de 39,5 mm
Répondant à la montée en puissance des PC Small Form Factor (SFF), la mémoire ARMAX DDR5 adopte un dissipateur thermique ultra-compact de 39,5 mm. Ce format évite les interférences avec les watercooling imposants, les radiateurs AIO ou les ventilateurs avant, facilitant l’intégration dans des boîtiers compacts.
Côté performances, la gamme couvre ce que XPG appelle le “sweet spot DDR5” des plateformes modernes : 6000 à 6400 MT/s, parfait pour tirer parti des processeurs Intel et AMD récents.
Chaque module est conçu avec :
Des IC triés pour garantir fiabilité et stabilité,
Un PMIC intégré pour une gestion d’alimentation optimisée,
Une correction d’erreurs on-die ECC,
La compatibilité Intel XMP 3.0 et AMD EXPO pour un overclocking simplifié.
La série est disponible dès maintenant et bénéficie d’une garantie à vie limitée.
Un design inspiré des avions de chasse furtifs
La série XPG ARMAX DDR5 s’impose aussi visuellement. Son châssis adopte des lignes géométriques rappelant la structure d’un jet furtif, avec une finition moderne et agressive. La version ARMAX RGB DDR5 ajoute une barre lumineuse en forme de V, offrant un effet visuel directionnel et dynamique. L’éclairage prend en charge :
XPG PRIME,
Les principaux logiciels RGB des cartes mères (ASUS Aura Sync, MSI Mystic Light, Gigabyte RGB Fusion, etc.).
La version standard non RGB mise quant à elle sur une esthétique sobre, robuste et élégante pour les configurations minimalistes.
Un équilibre entre style, performances et compatibilité
Avec son look unique, ses performances calibrées pour le gaming moderne et sa compatibilité parfaite avec les configurations compactes, la nouvelle gamme XPG ARMAX DDR5 se positionne comme une solution haut de gamme mais accessible pour booster n’importe quelle configuration.
Turtle Beach inaugure sa nouvelle gamme 2025 dédiée à la Nintendo Switch 2, comprenant casques, manettes sans fil et filaires, valises de transport et protections d’écran. Tous les produits commencent leur déploiement sur turtlebeach.com et chez les distributeurs officiels dans le monde entier.
Pour célébrer la sortie de cette collection, la marque dévoile une nouvelle manette sans fil Turtle Beach Rematch Super Jump Mario, un modèle inédit au design semi-transparent noir rehaussé d’accents rouges et d’un artwork dynamique de Mario. Son lancement est prévu pour le 12 décembre 2025.
Turtle Beach renforce son partenariat avec Nintendo
Le PDG de Turtle Beach, Cris Keirn, souligne l’importance de cette expansion stratégique. La marque ambitionne d’apporter des accessoires polyvalents, fiables et adaptés à toutes les situations, notamment pour les fêtes de fin d’année, période clé pour la Nintendo Switch 2.
Cette nouvelle gamme s’inscrit dans une collaboration étroite avec Nintendo afin de garantir une compatibilité parfaite et une qualité irréprochable sur toute la ligne.
Casques Airlite Fit et Recon 70 : audio optimisé et prix abordables
La nouvelle collection commence avec deux casques filaires licenciés pour Nintendo Switch 2.
Le Turtle Beach Airlite Fit, vendu à 24,99 €, se positionne comme une solution audio d’entrée de gamme très qualitative. NintendoLife lui attribue une note de 8/10, saluant un « son solide » et un « design robuste ».
Pour plus de polyvalence, le Recon 70, déjà reconnu sur Nintendo Switch, est désormais officiellement compatible Switch 2. Il est proposé à 34,99 €.
Une gamme complète de manettes filaires et sans fil pour Switch 2
Turtle Beach propose un catalogue étendu de contrôleurs adaptés aux joueurs occasionnels comme aux compétiteurs.
La nouvelle Rematch Wireless Super Jump Mario, point fort de la collection, propose connectivité sans fil, ergonomie moderne et un style unique. Elle sera vendue à 64,99 € dès le 12 décembre 2025.
La Rematch Wireless classique est disponible en noir à 59,99 €, tandis que la version filaire Rematch est commercialisée à 29,99 €.
Les modèles Afterglow Wireless et Afterglow Wired complètent l’offre, avec leurs coques transparentes iconiques et un éclairage RGB adressable. La série Afterglow Wave Wireless, proposée en quatre coloris, sortira le 15 décembre 2025, suivie des versions filaires début janvier 2026.
Valises PlayTrek : protection et transport pour Nintendo Switch 2
Pour les joueurs nomades, Turtle Beach lance plusieurs valises PlayTrek de tailles différentes :
PlayTrek 2-en-1 : la plus grande, vendue 44,99 €, idéale pour transporter la Switch 2 et ses accessoires,
PlayTrek Standard : disponible en noir ou blanc à 19,99 €,
Éditions lenticulaires Mario Bricks et Donkey Kong : 24,99 €,
PlayTrek Slim, compacte et légère : 16,99 €.
Toutes sont pensées pour protéger la console durant les déplacements, et faciliter son rangement.
Protection d’écran Switch 2 : un essentiel abordable
Turtle Beach propose également un kit protecteur d’écran pour Nintendo Switch 2, au tarif universel de 11,99 €. Un accessoire incontournable pour préserver la dalle de la console lors d’un usage quotidien.
Compatibilité étendue avec les accessoires existants
De nombreux accessoires Switch déjà vendus par Turtle Beach sont également totalement compatibles avec la Nintendo Switch 2. C’est le cas notamment des manettes Rematch originales aux designs iconiques Mario Bricks, Donkey Kong, Mario Invincible ou Super Star (hors bouton C dédié Switch 2).
ENERMAX dévoile la PlatimaxII 1200DF, une alimentation ATX 3.1 haut de gamme pensée pour les joueurs, créateurs et passionnés en quête de puissance fiable et durable. Disponible en noir et blanc, elle combine efficacité énergétique, stabilité extrême et design soigné. Preuve de sa robustesse : ENERMAX accompagne ce modèle d’une garantie exceptionnelle de 13 ans, l’une des plus longues du marché.
ATX 3.1, câble 12V-2×6 et certification Platinum
Certifiée 80 PLUS Platinum et Cybenetics Platinum, la PlatimaxII 1200DF assure une efficacité optimale sur toute la plage de charge. Entièrement conforme au standard Intel ATX 3.1, elle embarque un câble natif 12V-2×6, capable de délivrer jusqu’à 600 W pour les GPU de dernière génération, de la série RTX 50 aux futures architectures graphiques. Elle garantit ainsi une compatibilité parfaite avec les cartes graphiques hautes performances et les configurations axées sur le gaming 4K ou la création de contenu avancée.
Stabilité extrême : jusqu’à 235 % d’excursion de puissance
ENERMAX a conçu la PlatimaxII 1200DF pour résister aux fluctuations électriques les plus extrêmes. Elle supporte jusqu’à 235 % de power excursion, un atout vital pour les GPU modernes soumis à des pics instantanés. À l’intérieur, uniquement des condensateurs japonais 100 % industriels, assurant fiabilité, endurance et régulation ultra-précise des tensions, même en charge soutenue.
Refroidissement propre et silencieux avec la technologie Dust-Free Rotation
Le ventilateur de 135 mm utilise la technologie brevetée Dust-Free Rotation (DFR), qui inverse brièvement sa rotation à l’allumage pour expulser la poussière. Résultat :
Une durée de vie prolongée,
Des performances thermiques constantes,
Moins de maintenance au fil du temps.
Le profil acoustique intelligent garantit un fonctionnement quasi inaudible, validé par une certification Cybenetics LAMBDA A, gage d’un silence exemplaire.
Fiabilité avancée et fonctionnement haute altitude
La PlatimaxII 1200DF profite d’une conception renforcée lui permettant de fonctionner à 5 000 mètres d’altitude, une caractéristique rare qui confirme son positionnement haut de gamme et sa fiabilité dans des conditions environnementales variées.
Design moderne et architecture prête pour l’avenir
Avec son style sobre, ses finitions soignées et son architecture électrique avancée, la PlatimaxII 1200DF répond aux besoins des PC hautes performances d’aujourd’hui et de demain. Elle incarne la philosophie ENERMAX : performance + durabilité + esthétique premium. Le tout soutenu par une garantie de 13 ans, un argument fort pour les passionnés cherchant un investissement durable.
Prix et disponibilité
La série ENERMAX PlatimaxII 1200DF sera disponible mondialement via les revendeurs et distributeurs agréés.
TEAMGROUPdévoile le PD40 Mini, un SSD externe nouvelle génération qui combine performances extrêmes et format ultra-compact. Grâce à l’interface USB4 Type-C, il atteint des vitesses de lecture pouvant monter jusqu’à 4 000 Mo/s, permettant de transférer fichiers lourds, vidéos 4K/8K ou bibliothèques photo en quelques secondes. Conçu pour les créateurs, les professionnels en déplacement ou les utilisateurs exigeant rapidité et stabilité, le SSD externe PD40 Mini établit un nouveau standard dans le stockage portable haute performance.
Un design élégant, robuste et pensé pour la mobilité
Le PD40 Mini adopte une esthétique premium mêlant noir mat et rouge profond, complétée par une texture caoutchoutée et rainurée offrant une excellente prise en main et limitant les risques de glisse. Son trou d’attache intégré permet de le fixer facilement à un sac ou un porte-clé pour un accès ultra-rapide à ses données. Avec seulement 22 g sur la balance, il se révèle discret, pratique et toujours prêt à l’usage. Disponible en 1 To, 2 To et 4 To, il s’adapte aussi bien au stockage professionnel intensif qu’à un usage quotidien.
Compatibilité maximale grâce à USB4 Type-C
Le SSD externe PD40 Mini exploite pleinement l’USB4, tout en restant rétrocompatible avec :
USB 3.2,
USB 2.0,
La majorité des appareils modernes sous Windows, macOS, Android et plus encore.
Aucune installation requise : le SSD fonctionne en plug-and-play, consolidant son positionnement comme solution de stockage universelle et sans contrainte.
Durabilité renforcée et protection IP54
TEAMGROUP a conçu le SSD externe PD40 Mini pour résister aux environnements changeants du travail nomade. Il bénéficie :
De la certification IP54, assurant protection contre la poussière et les éclaboussures,
D’un couvercle silicone sur le port Type-C pour éviter l’encrassement,
D’une garantie de 5 ans, gage de fiabilité sur le long terme.
Ces caractéristiques assurent la sécurité des données même lors d’une utilisation intensive ou en déplacement.
Zalman signe un retour aux basiques de l’airflow avec le M4 SE Black, un boîtier microATX compact qui mise sur une façade en mesh incurvé et quatre ventilateurs ARGB préinstallés. L’objectif est clair : maximiser la ventilation sans sacrifier la compatibilité des composants.
Façade mesh, ARGB et architecture classique
Le Zalman M4 SE Black adopte une organisation à double compartiment horizontale, bien connue pour isoler l’alimentation et faciliter les flux d’air. Derrière la façade en maille incurvée, trois moulins de 120 mm avec éclairage ARGB sont déjà en place, secondés par un quatrième 120 mm à l’arrière. D’après Zalman, un simple bouton en façade permet de couper les LED, mais l’utilisateur pourra aussi relier l’ensemble à un en-tête ARGB 3 broches pour une synchronisation carte mère.
Le panneau supérieur du Zalman M4 SE Black accueille deux emplacements 140 mm sous un filtre à poussière magnétique, de quoi compléter un schéma de ventilation orienté pression positive. Le tout repose sur une structure en acier SECC, avec un poids plume annoncé à environ 4,3 kg.
Compatibilité et connectique dans un format compact
Le plateau carte mère accepte des GPU jusqu’à 32 cm de longueur et des ventirads de 15,7 cm de hauteur. L’espace pour l’alimentation est donné à 15 cm. Côté stockage, on compte deux supports 2,5 pouces et un tiroir 3,5 pouces dans le compartiment inférieur.
La façade du Zalman M4 SE Black propose une connectique basique mais suffisante : un port USB 3.0 type A à 5 Gb/s, deux USB 2.0 et des jacks casque/micro. Le boîtier mesure 200 × 385 × 424 mm (L × P × H). Selon le fabricant, le tarif n’est pas encore communiqué.
Un support GPU qui traverse tout le châssis et une compatibilité avec des cartes jusqu’à 400 mm : Cooler Master prépare un retour en force de sa gamme iconique avec le COSMOS ALPHA.
Cooler Master COSMOS ALPHA : un full tower remis au goût du jour
D’après Cooler Master, ce nouveau vaisseau amiral s’inspire du prototype « COSMOS 2025 » aperçu au COMPUTEX 2025 et conserve le format généreux des précédents modèles, tout en modernisant la plateforme. Le Cooler Master COSMOS ALPHA adopte une architecture interne modulaire basée sur l’approche FreeForm 2.0, de quoi ajuster l’implantation des composants, les flux d’air et même l’orientation du système. Il faut dire que la place ne manque pas : dégagement pour radiateurs imposants, multiples ventilateurs, cartes graphiques longues, ainsi que des alimentations à haut wattage.
La nouveauté la plus marquante reste le support GPU intégré qui s’étend sur toute la largeur du châssis, annoncé comme compatible avec des cartes jusqu’à 400 mm. De quoi tenir tranquillement les modèles oversized actuels, sans bricolage. À l’extérieur du Cooler Master COSMOS ALPHA, l’ensemble s’habille d’un cadre en aluminium courbé et de panneaux latéraux en verre trempé, tandis que l’I/O de façade se met à jour pour une connectique frontale moderne.
Airflow modulable et panneaux « metal sponge »
Pour le flux d’air, Cooler Master proposera différents matériaux pour la façade. Un panneau en « metal sponge » est évoqué, présenté comme plus performant qu’un mesh classique et plus simple à nettoyer. À l’intérieur, des déflecteurs ajustables orientent l’air vers les zones critiques, tandis que la prise en charge des cartes mères à connecteurs arrière ou dissimulés promet un câblage plus propre. Comme le résume la marque, « le châssis donne plus de contrôle sur l’agencement interne », un point qui devrait parler aux monteurs exigeants.
Le tarif n’a pas encore été officialisé. Selon une première fiche en Inde, le Cooler Master COSMOS ALPHA serait listé autour de 390 dollars, soit environ 360 à 370 euros à titre indicatif. Cooler Master a brièvement publié puis retiré la page produit, ce qui laisse penser que le lancement complet est imminent. Support GPU pleine largeur et façade « metal sponge » se posent déjà comme les marqueurs de cette génération.
DeepCool officialise le CL6600, un boîtier unique que nous avions aperçu au COMPUTEX cette année. Sa particularité est d’intégrer directement un système de refroidissement liquide AIO avec un radiateur de 360 mm logé dans une chambre supérieure dédiée, isolée du reste des composants pour maximiser les performances thermiques. Cette approche élimine les contraintes habituelles du placement du radiateur et améliore la dissipation en séparant physiquement la source de chaleur du système de refroidissement.
Architecture « Hyper-Split » : séparation totale des zones de chaleur
Le DeepCool CL6600 adopte une conception interne baptisée Hyper-Split, une organisation qui distingue les compartiments CPU, GPU et alimentation pour réduire la chaleur cumulative. Cette segmentation permet un refroidissement plus ciblé, un flux d’air mieux canalisé et une meilleure stabilité thermique sur les configurations hautes performances. Les versions sans AIO, les CL600 et CL600 WH, sortent simultanément pour offrir une alternative plus classique.
Une capacité de refroidissement exceptionnelle
Le boîtier peut accueillir une ventilation très complète, avec notamment :
Avant : 2 × 140 mm,
Haut : 3 × 120 mm / 2 × 140 mm (emplacement du radiateur 360 mm intégré),
Arrière : 1 × 120 mm / 1 × 140 mm,
Bas : 2 × 120 mm (fournis : 2 ventilateurs ARGB à pales inversées).
Grâce au radiateur AIO préinstallé et aux multiples emplacements, le CL6600 peut gérer même les CPU les plus exigeants sans compromis.
Format ATX avec compatibilité connecteurs arrière
Le DeepCool CL6600 prend en charge :
ATX / Micro-ATX / Mini-ITX,
Cartes mères à connecteurs arrière (type ASUS BTF / MSI Project Zero / Gigabyte Stealth).
Ses dimensions de 235 × 457,5 × 533,5 mm et son poids de 11,82 kg en font un boîtier robuste et spacieux malgré une organisation interne compartimentée.
Côté compatibilité :
Hauteur ventirad : 175 mm,
GPU : 413 mm (ou 388 mm avec ventilateurs avant),
Alimentation : 160 mm.
Stockage et modularité
Le DeepCool CL6600 permet :
2 × SSD 2,5″ + 1 × emplacement supplémentaire,
2 × HDD 3,5″ + 1 × emplacement hybride,
7 slots d’extension pour cartes PCIe.
Un ensemble complet qui convient autant aux builds gaming qu’aux stations de travail.
Date de sortie, couleurs et garantie
Le DeepCool CL6600 sera disponible le 5 décembre, en noir et blanc avec une garantie de 1 an pour le boîtier et 5 ans pour l’AIO intégré. Les prix ne sont pas encore connus.
La Sapphire RX 9070 XT Pulse est notre choix #1 rapport qualité/prix dans notre test comparatif des 5 meilleures RX 9070 XT. À 583€, elle devient la carte la moins chère du marché tout en offrant :
Le deal à ne pas manquer : La Sapphire Pulse à 583€ devient imbattable. Pour moins de 600€, vous obtenez une carte capable de faire tourner tous les jeux AAA en 1440p avec plus de 120 FPS.
Alternative premium : La ASRock Taichi OC (-132€) offre de meilleures performances et un design original pour ceux qui ont un budget légèrement supérieur.
Qwertykeys revient sur le devant de la scène avec le QK65 MK3, un clavier 65 % au style rétro déjà aperçu lors d’une fuite le mois dernier. Il combine écran intégré, mini-jeux et nombreuses options de personnalisation, et est désormais proposé en précommande.
QK65 MK3 : un 65 % rétro, sans F-row ni pavé num, mais avec écran et VIA
Proposé en kit barebone dès 199 dollars, le QK65 MK3 inclut le châssis, le PCB avec l’écran et son matériel associé, la plaque au choix ainsi que les stabilisateurs. Qwertykeys ajoute une offre intéressante : l’achat d’un set de keycaps à 14 dollars donne droit à un pack gratuit de 70 switches Rye, un bonus rarement vu à ce niveau de prix.
Le format 65 % conserve les flèches mais fait l’impasse sur la rangée de fonctions, le pavé numérique et le bloc navigation. Côté finitions, cinq coloris inspirés du rétro sont annoncés : Eclipse Grey, Retro White, Pink, Green en peinture spray, et Basalt Grey en anodisation.
Trois types de plaques sont disponibles pour varier la frappe et l’acoustique : aluminium, polypropylène et FR4.
L’écran embarqué ne se contente pas d’afficher l’heure. Il peut lire des animations personnalisées, réagir à la frappe avec un chat ou un chien animé, ou héberger un mini‑jeu de dactylo baptisé « Animal Supermarket ».
Il sert aussi de tableau de bord système pour la batterie, la connectivité, le mode OS ou encore l’état du Caps Lock. Deux molettes discrètes en partie supérieure droite gèrent justement les modes OS et de connexion.
Connectivité, autonomie et options de PCB
La connectivité s’appuie sur le Bluetooth et le 2,4 GHz, alimentés par deux batteries de 3 100 mAh. Aucune durée d’autonomie officielle n’est avancée, mais la capacité est élevée pour un clavier sous QMK. Le châssis en aluminium CNC accueille au choix un PCB hot‑swap 1,2 mm avec flex‑cuts, ou un PCB hot‑swap 1,6 mm sans flex‑cuts, en 6,25u ou 7u pour la barre d’espace. Les dispositions ISO ne sont proposées qu’avec la barre d’espace 7u.
Le clavier est entièrement paramétrable via un fork personnalisé de VIA, adapté pour l’écran : macros, remappage complet et éclairage RGB touche par touche sont de la partie. Qwertykeys résume l’esprit du produit en misant sur des « fonctionnalités rétro ludiques » et une personnalisation avancée, d’après la fiche de lancement.
ASRock s’apprêterait à lancer une nouvelle famille de Mini PC DeskSlim, avec des variantes Intel B760 et AMD X600, qui viendront épauler les DeskMeet, DeskMini et Jupiter déjà au catalogue.
DeskSlim : châssis compact, options Intel et AMD
D’après une fiche technique apparue en ligne et partagée par le leaker momomo_us, ASRock aurait un modèle DeskSlim B760 basé sur la plateforme LGA 1700, compatible avec les processeurs Intel Core de 12e à 14e génération. Le tout tiendrait dans un boîtier compact de moins de 5 litres. En face, il existerait des variantes X600 sur socket AM5 capables d’accueillir des Ryzen séries 7000, 8000 et 9000. Le positionnement exact n’est pas officialisé, mais il semblerait que ces machines soient proposées en barebone.
Cartes graphiques low profile et alimentation externe
Selon le document, les DeskSlim accepteraient des cartes graphiques au format low profile double slot jusqu’à 200 mm de longueur. Côté alimentation, un bloc externe de 240 W serait fourni, avec une option 330 W plus musclée. De quoi envisager des configurations compactes mais polyvalentes. VideoCardz anticipe une communication officielle très prochainement, avec des fiches produits mises en ligne dans la foulée.
Points clés : châssis sous 5 L, Intel B760 LGA 1700 (Core 12e à 14e) et AMD X600 AM5 (Ryzen 7000/8000/9000), GPU low profile jusqu’à 200 mm, alimentation 240 W fournie, 330 W en option. Comme le résume la fuite, ces DeskSlim arriveraient « en parallèle des gammes DeskMeet, DeskMini et Jupiter », sans remplacer l’existant.
Un simple recrutement ravive les braises : Ubisoft Ivory Tower cherche un Senior Level Designer pour un projet non annoncé, et la mention « AI Level Design » suffirait à relancer la machine The Crew.
Un nouvel épisode de The Crew en préparation ?
L’offre publiée par Ubisoft pour son studio lyonnais précise une expérience en level design AAA, avec préférence pour des profils familiers de la conception de niveaux impliquant l’IA.
De quoi nourrir l’idée, selon la communauté, qu’un nouveau The Crew pourrait intégrer des systèmes génératifs dans la création ou l’animation de son monde ouvert. Rappelons que The Crew 2 misait sur l’exploration à grande échelle ; il semblerait qu’Ubisoft cherche à renforcer le réalisme via des comportements dynamiques, en écho à son récent système de PNJ assistés par IA et contrôle vocal, présenté comme visant à rendre les interactions plus naturelles.
Ce n’est pas la première apparition de ce « prochain The Crew ». Des fuites antérieures, attribuées à l’insider Tom Henderson, affirmaient qu’un troisième opus principal avait été validé dès mai 2025. Rien d’officiel pour l’heure, mais la concordance entre les rumeurs et la nouvelle fiche de poste crédibilise la piste, au moins sur l’orientation technologique.
IA au cœur du design, méfiance dans la communauté
La référence explicite à l’« AI Level Design » inquiète une partie des joueurs, certains redoutant un usage de l’IA générative trop intrusif. Le contexte ne joue pas en faveur de la franchise : la fermeture des serveurs du premier The Crew, rendant le jeu injouable, a contribué à la montée du mouvement « Stop Killing Games », et entamé la confiance envers l’éditeur. D’après les réactions relevées, des joueurs annoncent déjà qu’ils passeront leur tour si l’IA devient l’argument principal du projet.
Reste à voir comment Ubisoft articulera cette brique technologique. Si l’IA vient enrichir la densité urbaine, la circulation ou les comportements des PNJ, elle pourrait soutenir l’ambition d’un monde plus crédible. À défaut d’annonce officielle, prudence : les indices s’additionnent, mais rien ne confirme la portée exacte de l’IA dans ce possible nouveau The Crew.
Pousser jusqu’à 750 W sur une seule prise 12V-2×6, sans flasher le BIOS ni toucher aux shunts : c’est le tour de force que vient de montrer le célèbre overclockeur allemand der8auer sur la ROG Matrix RTX 5090 d’ASUS.
Un 800 W « débloqué » par l’adaptateur BTF, pas par la carte
La ROG Matrix RTX 5090 est livrée avec un BIOS 800 W, mais celui-ci exige à la fois le connecteur 12V-2×6 et l’edge connector ASUS BTF. Avec uniquement le 12V-2×6 branché, la carte se limite à 600 W de board power. Même constat avec l’adaptateur GC-HWPR. Der8auer a donc disséqué la chaîne d’alimentation, en utilisant un riser et un banc de test dépouillé pour sonder les contacts du connecteur BTF.
Premier indice : en pontant sur l’adaptateur le pin « présence » (plus court) avec la masse, l’outil GPU Tweak signale un « motherboard » connecté. Mais la consommation reste bloquée à 600 W, preuve qu’il faut aussi gérer les lignes de sense. En mesurant la résistance entre les sense pins du 12V-2×6 et les petits contacts de l’edge BTF, il identifie deux lignes critiques. En ajoutant deux fils supplémentaires et en reliant présence et les deux sense à la masse, l’adaptateur fait croire à la carte qu’un chemin BTF complet est actif, sans que le connecteur BTF ne transporte le moindre courant.
Résultat : le profil 800 W s’active, et GPU Tweak affiche environ 700 W, avec des pointes proches de 750 W, le tout via un seul câble 12V-2×6. Le courant par pin d’alimentation dépasse 10 A, la LED de statut près du connecteur vire au rouge, et le câble devient tiède, note-t-il. L’auteur insiste qu’il s’agit d’une démonstration technique, « pas une recommandation d’usage quotidien », l’ensemble dépassant clairement les spécifications du câble et du connecteur.
Pourquoi c’est intéressant, et pourquoi ne pas le faire
Le plus marquant tient au fait que la ROG Matrix RTX 5090 reste intacte : seule la modification de l’adaptateur BTF est requise, totalement réversible, sans shunt mod ni flash de BIOS. En pratique, cela ne présente pas d’intérêt au quotidien, mais confirme que l’activation du mode 800 W est possible via les pins de présence et de sense. Les configurations prévues pour un montage vertical n’ont d’ailleurs pas de voie simple pour profiter du BIOS 800 W sans ces détours.
Der8auer montre aussi qu’un simple overclocking personnalisé la place près de la 50e place au classement 3DMark Speed Way. Il faut dire que, pour aller plus haut, il faudra peut-être attendre une hypothétique RTX 6090.
Avec le Strike 600, MSI signe un clavier mécanique qui mise avant tout sur le silence. Comme pour le MSI STRIKE PRO WIRELESS, le constructeur abandonne les switches audibles et s’oriente vers les Kailh Midnight Pro Silent Tactile, des commutateurs discrets, tactiles et pensés pour réduire au maximum les nuisances sonores. Le design de ce clavier 100% est marqué, avec des lignes tendues, des arêtes franches et une silhouette presque futuriste. L’aluminium sur le dessus renforce cette impression de solidité anguleuse, tout en apportant une touche premium à l’ensemble.
MSI accompagne ces switches d’une structure interne entièrement dédiée à l’insonorisation. Plusieurs couches de mousse, une plaque IXPE et un fond en silicone viennent limiter les échos et les vibrations, pour une frappe feutrée et plus contrôlée. Le clavier est mécanique, mais l’ensemble vise un confort auditif rare sur un modèle orienté gaming, avec un son qui paraît nettement atténué sous les doigts.
Le MSI Strike 600 ne joue pas uniquement la carte du silence. On retrouve un rétroéclairage RGB touche par touche, une molette de volume accessible sous deux angles, des touches multimédias dédiées et trois profils embarqués. La gestion passe par MSI Center, qui permet de paramétrer des macros, de gérer les effets lumineux ou les réglages avancés. Le châssis propose aussi une inclinaison réglable et un système de cheminement des câbles pour garder un bureau propre.
Proposé à 76,90 € sur amazon et sur la boutique officielle de MSI (-20% de réduction en ce moment), ce MSI Strike 600 entre dans un segment très concurrentiel où les claviers silencieux gagnent du terrain. Il devra convaincre avec son acoustique maîtrisée, son ergonomie simple et sa qualité de frappe. Nous l’avons utilisé plusieurs jours pour voir s’il tient réellement ses promesses et s’il mérite une place sur un bureau de joueur… ou de télétravailleur nocturne.
MSI STRIKE 600 : emballage & contenu
La face principale de la boîte du MSI Strike 600 met en avant le clavier sur une large illustration, rétroéclairée pour montrer l’ensemble des touches et la disposition générale. Le carton utilise un fond blanc simple, avec un logo MSI discret dans le coin supérieur gauche et l’indication du rétroéclairage RGB dans le coin opposé. Le modèle des switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile apparaît sous forme de visuel isolé. Au bas du carton, la mention “STRIKE 600” est imprimée avec un effet holographique légèrement irisé.
L’arrière de la boîte du MSI Strike 600 met en avant les principaux éléments de conception du clavier. À gauche, une vue éclatée illustre les différentes couches d’insonorisation et la structure interne destinée à réduire les bruits et les résonances. Au centre, une photo du clavier rétroéclairé présente l’ensemble des touches et la molette multimédia. Autour de cette image, plusieurs encarts décrivent des aspects fonctionnels, comme la forme des touches, la molette de contrôle ou la personnalisation de l’éclairage. À droite, un tableau regroupe les spécifications techniques : type de switches, polling rate de 1000 Hz, mémoire intégrée, dimensions, connectique et poids. Le tout est complété par les habituelles mentions légales et certifications en bas de l’emballage.
Unboxing du MSI STRIKE 600
À l’ouverture du carton, le MSI Strike 600 apparaît maintenu entre deux blocs de mousse rigide qui protègent les extrémités du clavier. L’ensemble est enveloppé dans une pochette plastique translucide, laissant deviner la disposition des touches sans exposer directement le clavier. Un compartiment en carton est visible au-dessus, permettant de protéger le câble. L’intérieur reste simple mais suffisamment structuré pour maintenir le clavier en place pendant le transport. Le MSI Strike 600 arrive dépourvu d’accessoires.
Spécifications du MSI STRIKE 600
NOM DU MODÈLE
STRIKE 600 – Switches silencieux
INTERFACE
USB 2.0 Polling Rate 1000 Hz
RÉTROÉCLAIRAGE
Mystic Light RGB par touche
TYPE DE SWITCH
Kailh Midnight Pro Silent Tactile
DURÉE DE VIE DES SWITCHES
Plus de 70 millions de clics
NOMBRE DE TOUCHES
104 / 105 touches (différentes selon les langues)
ROLLOVER N-KEY
Hybrid 6+N key rollover
SYSTEME
Windows 10 (et versions ultérieures)
LONGUEUR DU CÂBLE
1,8 m (Tresse avec connecteur plaqué or)
DIMENSIONS DU PRODUIT
441 x 138 x 38 mm
POIDS
984 g
MSI STRIKE 600 : détails esthétiques, châssis et qualité de construction
Voici le MSI STRIKE 600. C’est un clavier mécanique full size, avec 104 touches, un pavé numérique complet et une zone multimédia intégrée dans l’angle supérieur droit. Le châssis a une forme anguleuse assez marquée, fabriqué autour d’une plaque supérieure en aluminium de qualité aéronautique qui contribue à sa rigidité. Avec 441 mm de largeur, un peu moins de 140 mm de profondeur et un poids d’environ 984 grammes, le clavier promet de rester stable sur un bureau sans être excessivement massif. L’ensemble affiche un style futuriste assumé, fait d’angles et d’arêtes nettes.
Le clavier Strike 600 est pensé pour devenir le clavier ultime des personnes à la recherche d’une expérience discrète et satisfaisante. Il est pour cela équipé de switches tactiles Kailh Midnight Pro Silent ainsi que d’une technologie de réduction du bruit avancée. Il assure ainsi une expérience incroyablement silencieuse, parfaite pour les sessions de gaming nocturnes ou pour bien se concentrer pendant son travail.
Il propose également un rétroéclairage LED RGB personnalisable touche par touche, des touches ergonomiques ainsi que des fonctionnalités pratiques telles qu’un angle de positionnement personnalisable et une capacité de gestion des câbles. Grâce à toutes ces caractéristiques, le clavier Strike 600 combine parfaitement silence et confort.
D’un côté, la plaque supérieure rejoint le corps inférieur du clavier en ABS noir et accentue le design moderne. La transition est franche et propre, sans jeu visible entre les pièces. Ce choix d’association mélange rigidité et robustesse sur le dessus, tout en conservant une structure inférieure plus légère. De l’autre côté, la plaque supérieure en aluminium forme un contour angulaire autour du pavé numérique. Le métal affiche une finition sablée uniforme, avec des découpes nettes et des arêtes franches.
Au-dessus des touches fléchées, le clavier arbore le logo MSI imprimé directement sur la plaque en aluminium, avec une finition légèrement plus sombre que le métal environnant. Juste à côté, nous avons trois voyants intégrés à même la plaque supérieure, indiquant les états classiques du clavier (verrouillage numérique, majuscule et mode gaming).
Une zone multimédia facilement accessible
Le MSI Strike 600 présente une zone multimédia située dans l’angle supérieur droit du clavier. Trois touches circulaires permettent de contrôler les pistes audio : retour arrière, lecture/pause et piste suivante. Juste à côté, nous avons une molette de volume crantée avec un bouton Mute au centre, identifiable par une icône simple. L’ensemble est positionné sur une zone légèrement surélevée du châssis, dans la même plaque d’aluminium que le reste du clavier.
En dessous du bouton dédié au Mute, le MSI STRIKE 600 profite d’un cylindre métallique supplémentaire qui adopte une texture moletée sur son pourtour, pensée pour améliorer l’accroche du doigt lors des réglages. La molette est crantée et légèrement déportée vers l’extérieur du châssis, ce qui permet une utilisation rapide et facile.
Des touches caractéristiques de la marque
Le MSI Strike 600 présente des touches à la forme octogonale caractéristique. La surface est mate, avec une forme concave pour guider les doigts. Les légendes blanches sont nettes et bien centrées, avec une police assez anguleuse qui correspond au style général du clavier. Les caractères secondaires restent bien visibles, même sur les touches étroites, et l’ensemble assure une lecture régulière sur toute la rangée supérieure.
Les touches sont en ABS double injection. Selon MSI, elles disposent d’un revêtement d’apprêt argenté qui offre une résistance durable du lettrage pour une expérience optimale.
Les touches les plus longues profitent de stabilisateurs en croix. MSI ne délivre pas d’informations à leur sujet. Cependant, ils devraient délivrer une pression uniforme sur toute la surface de la touche avec un retour stable et linéaire.
En arrière, une encoche pour la gestion du câble
En arrière du MSI Strike 600, nous apercevons le système de gestion du câble. Le cordon tressé sort au centre d’une encoche prévue à cet effet, intégrée directement dans la base en ABS. Le logement forme un renfoncement angulaire qui guide le câble vers l’avant pour éviter qu’il ne frotte contre le bureau. L’ensemble propose une sortie de câble simple, mais suffisamment dégagée pour s’adapter à différentes installations.
De l’ABS en dessous
La face inférieure du MSI Strike 600 adopte une conception entièrement en ABS noir structuré par plusieurs lignes et renforts angulaires. Au centre, une large étiquette regroupe les informations techniques et les certifications, entourée du logo MSI légèrement embossé dans le plastique.
Nous retrouvons deux patins antidérapants de taille différente de chaque côté du clavier. Le MSI STRIKE 600 ne dispose pas de patins antidérapants dans sa partie supérieure.
En plus de l’encoche arrière permettant la sortie directe du câble, le MSI STRIKE 600 adopte deux goulottes latérales le dirigeant sur les côtés. Elles permettent de faire sortir le câble par la gauche ou la droite, selon l’agencement du bureau. Ce système évite les pliures marquées au point de sortie, limite les tensions et participe à garder un espace de travail plus propre.
Enfin, le MSI STRIKE 600 pourra se positionner sur deux hauteurs différentes grâce à deux pieds intégrés dans le châssis. La surface de contact est équipée d’un patin en caoutchouc pour éviter que le clavier ne glisse. Sans ces patins en caoutchouc (pieds repliés), le clavier aura une adhérence à une surface lisse relative.
Ergonomie
Le MSI STRIKE 600 est doté de touches flottantes ergonomiques qui maintiennent les mains et les poignets dans une position naturelle et confortable. Avec des touches ergonomiques hautes et basses, le clavier réduit la fatigue lors des longues sessions de jeu (ou de rédaction de test).
La hauteur avant du MSI STRIKE 600 est de 20 mm. En ajoutant la hauteur des touches, la première rangée arrive à 30 mm, ce qui place la main dans une position légèrement relevée dès la frappe. Cette configuration n’est pas inhabituelle sur les claviers mécaniques équipés d’une plaque supérieure en aluminium épais. Sur des sessions courtes, l’inclinaison naturelle permet une prise en main correcte, mais sur une utilisation prolongée, un repose-poignets peut apporter un confort supplémentaire en limitant la cassure du poignet.
Grâce à ses pieds rétractables, le MSI STRIKE 600 propose deux hauteurs distinctes. Pieds repliés, l’arrière du clavier atteint environ 24 mm, une inclinaison modérée qui favorise une posture plus neutre du poignet et se montre idéale pour les longues sessions de frappe ou de jeu. En relevant les pieds, la hauteur passe à environ 38 mm, offrant un angle plus prononcé qui pourra convenir à ceux qui préfèrent une frappe légèrement surélevée ou souhaitent mieux distinguer les rangées supérieures.
Connectivité
Pour se connecter, le MSI STRIKE 600 est pourvu d’un câble tressé terminé par un connecteur USB-A estampillé MSI. Le câble, d’une longueur d’environ 1,8 m, offre une bonne souplesse malgré sa gaine tressée plutôt dense, ce qui facilite son orientation à travers les goulottes prévues sous le clavier.
Switches Kailh Silent du MSI STRIKE 600 : niveau de bruit et sensation
Avec ce MSI STRIKE 600, la marque au dragon mise sur le silence. Pour cela, elle utilise les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile. Ils offrent une frappe ultra-silencieuse grâce à une force d’activation de 45 gf et un retour tactile de 55 gf. Dotés d’un système d’insonorisation intégré, ils atteignent un niveau sonore inférieur à 35 dB tout en offrant une sensation de frappe fluide et réactive avec une course initiale de 1,9 mm et une course totale de 3,7 mm. Conçus pour 70 millions de frappes et équipés d’une tige MX et d’une protection contre la poussière, ces switches garantissent durabilité et précision dans un format quasi silencieux.
De plus, le clavier est doté d’un châssis multicouche insonorisant avec des joints en mousse conçus pour minimiser les cliquetis, les échos et les résonances. Cette conception avancée garantit une frappe exceptionnellement silencieuse, réduisant les bruits indésirables pour des performances ultra-silencieuses.
Nous abordons maintenant l’élément le plus sensible sur un clavier orienté confort : son rendu sonore. Nous avons une signature sonore cohérente avec ce que promettent les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile. Le bruit de frappe reste très contenu aussi bien à l’appui qu’au relâchement de la touche. Le son produit est sourd, amorti, sans claquements métalliques ni résonances internes. Le timbre général est mat, court, légèrement feutré, ce qui confirme l’efficacité du châssis multicouche.
Les stabilisateurs, notamment sur la barre d’espace, produisent un son légèrement plus grave, mais sont étonnamment discrets pour un clavier de cette catégorie. Nous ne relevons ni cliquetis parasites ni vibration perceptible, signe que le système est correctement lubrifié ou, au minimum, bien ajusté.
Le MSI STRIKE 600 propose un son propre, amorti et maîtrisé, sans bruits secondaires. Un comportement idéal pour jouer tard le soir ou travailler dans un environnement de type open space, sans sacrifier la précision d’un clavier mécanique.
Fonctions supplémentaires du MSI STRIKE 600
Bien qu’il adopte un format 100 % classique avec ses 104 touches, le MSI STRIKE 600 propose plusieurs fonctions supplémentaires directement accessibles depuis le clavier. Ainsi, associée à la touche Fn, la touche Echap permet une réinitialisation du clavier aux réglages par défaut. La touche F1 permet d’activer le logiciel Afterburner (overclocking de la carte graphique). La touche F5 permet de sélectionner un profil parmi les trois profils enregistrés.
Étonnamment, les touches F9 à F12 et les trois suivantes permettent un réglage multimédia. Elles font redondance avec la zone multimédia située en haut à droite du clavier (molette et boutons). Il aurait été plus judicieux de les utiliser pour d’autres fonctions ?
La gestion de l’éclairage du MSI STRIKE 600 sera assurée par les touches de navigation et les touches fléchées : changement d’effet, intensité lumineuse, vitesse des animations ou encore variation de la couleur. Tout est disponible sans avoir à passer par le logiciel maison.
Enfin, la touche Fn est représentée par le logo de la marque et il sera possible d’activer le mode jeu par la touche Windows (désactive cette touche Windows pour éviter les retours intempestifs au bureau en pleine partie de jeu).
MSI STRIKE 600 sous MSI Center
La partie logicielle du MSI STRIKE 600 s’appuie sur le logiciel maison MSI Center, mais l’ensemble reste malheureusement léger. Nous allons y retrouver les réglages essentiels (éclairage RGB, création de profils, macros) mais rien de vraiment avancé. Avec des switches non hot-swap et une conception électronique plutôt simple, MSI semble avoir misé avant tout sur l’expérience matérielle et la réduction du bruit, quitte à laisser de côté les fonctions logicielles plus poussées que l’on retrouve chez certains concurrents.
Quoi qu’il en soit, nous retrouvons notre clavier sur la page principale du logiciel.
La première page va nous permettre de régler les profils, les macros et la langue de l’interface.
Le MSI STRIKE 600 pourra ainsi intégrer jusqu’à trois profils, être traduit en 10 langues et paramétrer jusqu’à 30 macros.
Vient ensuite la partie éclairage avec la possibilité de choisir parmi 9 modes préenregistrés, d’éteindre l’éclairage ou de le personnaliser touche par touche.
Show time !
L’éclairage du MSI STRIKE 600 est puissant, en particulier autour des touches où la lumière déborde largement. Cet effet crée un halo puissant qui attire immédiatement l’œil, au point de parfois dominer visuellement l’ensemble du clavier.
L’inconvénient, c’est que les légendes ne ressortent pas autant qu’on pourrait l’espérer : la lumière diffuse autour des keycaps prend clairement le dessus. Heureusement, il sera possible de baisser la luminosité globale grâce aux touches dédiées (ou au logiciel), mais là encore pour potentiellement diminuer la lisibilité des légendes.
Avec le Strike 600, MSI propose un clavier mécanique qui fait un choix clair : privilégier le silence avant tout. Et sur ce point, il tient ses promesses. Les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile offrent une frappe feutrée, parfaitement cohérente avec la conception multicouche pensée pour étouffer les résonances.
Le châssis affiche une identité marquée, avec ses lignes anguleuses, sa plaque supérieure en aluminium et sa zone multimédia mise en avant. Le confort général reste bon, même si la hauteur avant imposera sans doute un repose-poignets aux utilisateurs sensibles. La gestion du câble, les deux niveaux d’inclinaison et les touches additionnelles ajoutent un vrai côté pratique au quotidien.
Tout n’est pas parfait pour autant. Le rétroéclairage, très diffus sur les côtés des touches, manque parfois de subtilité. Les légendes restent lisibles, mais se retrouvent un peu noyées dans la lumière ambiante. Côté logiciel, MSI Center assure le minimum : quelques réglages d’éclairage, trois profils, des macros… mais rien de plus avancé. Ce n’est pas rédhibitoire pour un clavier avant tout orienté “feeling”, mais les possibilités restent limitées face à la concurrence directe.
Au final, le MSI STRIKE 600 réussit là où il doit réussir : offrir une frappe silencieuse, stable et agréable, sans sacrifier la robustesse ni les fonctionnalités essentielles. Un clavier qui s’adresse autant au joueur nocturne qu’à celui qui travaille à proximité d’autres personnes, et qui souhaite profiter des sensations d'un clavier mécanique sans imposer le vacarme habituel. À 76,90 €, il offre une proposition cohérente, bien exécutée et pensée pour ceux qui veulent un clavier mécanique… qui sait se faire oublier.
Qualité/finitions
8.4
Qualité frappe
8.5
Rétroéclairage
7.6
Nuisances sonores
9.7
Ergonomie
8.7
Prix
9
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Une acoustique très bien maîtrisée
Une molette multimédia pratique
Un RGB puissant
Un châssis rigide, stable et agréable sous les doigts
Points faibles
Un logiciel MSI Center limité
Un éclairage parfois trop envahissant
Patins antidérapants uniquement à l’avant en position basse
Les touches Fn multimédia redondantes
8.7
Le MSI Strike 600 est-il vraiment silencieux ?
Oui, grâce aux switches Kailh Midnight Pro Silent et au châssis multicouche isolant, le MSI Strike 600 est nettement plus silencieux que la majorité des claviers mécaniques gaming.
Le MSI Strike 600 est-il compatible Mac ?
Il fonctionne, mais certaines fonctions multimédias et MSI Center sont limités.
Le MSI Strike 600 convient-il pour travailler en open space ?
Oui, son niveau sonore réduit et sa frappe feutrée sont adaptés à un environnement partagé.
Les switches du MSI Strike 600 sont-ils hot-swap ?
Bandai Namco met enfin des mots sur l’univers de Code Vein II, un monde post‑apocalyptique fracturé par la Resurgence où le joueur, chasseur de Revenants, devra remonter le temps pour empêcher l’extinction.
Un monde au bord de l’effondrement
Au cœur du récit, la Resurgence, phénomène ancien qui a perverti le vivant comme l’inerte et engendré les Horrors. Les Revenants ont d’abord jugulé la catastrophe, puis, il y a cent ans, ont scellé à nouveau la menace après une guerre meurtrière. Les plus illustres d’entre eux sont devenus les Héros. Depuis, des Cocoons sont apparus à travers le monde pour contenir la Resurgence. Problème : un siècle plus tard, des explosions ravagent les zones qui les entourent et l’annihilation progresse région par région.
Autre tournant narratif, l’émergence de la Luna Rapacis, à l’origine de Revenants qui dégénèrent en Horrors dénués d’esprit. Selon l’éditeur, la survie de l’humanité tient à une mission claire : briser les sceaux des Cocoons et abattre « la Descendance de la Resurgence », entité tapie en leur sein et tenue secrète par quelques Revenants seulement.
Voyage dans le passé et compagnons de route
Le joueur incarne un chasseur de Revenants chargé de remonter cent ans en arrière, à l’époque des Héros, pour récupérer les clés des sceaux. Il sera accompagné de Lou, une jeune fille capable de manipuler le temps.
Au programme : exploration d’un monde post‑apo, combats contre des ennemis puissants et intrigue qui traverse les époques. Bandai Namco met aussi en avant Josée Anjou, qui résume l’esprit de résistance : « Tant que j’aurai deux jambes pour marcher et deux bras pour me battre, je donnerai tout pour garder l’espoir de cette ville en vie ».
Code Vein II est attendu sur PS5, Xbox Series X|S et PC, avec une sortie fixée au 30 janvier 2026. La page officielle détaille l’univers et les premiers visuels.
Secousse dans la microélectronique : Wei-Jen Lo, ex-vice-président senior de TSMC, a rejoint Intel comme vice‑président R&D fin octobre, selon Liberty Times cité par TrendForce. Le timing fait grincer des dents, alors que TSMC enquête sur de possibles transferts d’informations liées aux procédés de pointe sous 2 nm.
Soupçons de fuite chez TSMC après le départ de Wei-Jen Lo vers Intel
D’après les médias taïwanais, Lo aurait demandé avant son départ des briefings et des copies de documents internes couvrant le 2 nm, A16, A14 et d’autres technologies de prochaine génération. À l’époque, ces requêtes semblaient banales pour un dirigeant de ce rang, mais TSMC examine désormais le dossier et n’exclut pas d’agir. Le cadre légal pourrait même s’élargir : l’affaire pourrait être scrutée au titre de la sécurité nationale si les allégations se confirmaient.
Le contexte est sensible. Il s’agirait du deuxième incident majeur touchant le 2 nm de TSMC en quelques mois. Le 27 août, trois ingénieurs ont été inculpés pour vol de fichiers clés liés au développement 2 nm, avec des peines de 7 à 14 ans requises. En parallèle, Intel pousse son nœud 18A en production de masse cette année et vise la 14A en 2027, tandis que TSMC prévoit l’A16 au second semestre 2026.
Le profil de Lo pèse lourd : 21 ans chez TSMC, un rôle central dans la construction du portefeuille technologique, plus de 1 500 brevets accumulés par son équipe, dont environ 1 000 aux États‑Unis, et la confiance du fondateur Morris Chang. Il a conservé son poste jusqu’à 75 ans, au‑delà de l’âge de retraite habituel de 67 ans chez TSMC.
Selon Liberty Times, sa mission chez Intel couvrirait la supervision des équipements avancés et du développement de modules, de la R&D à la pré‑production, un périmètre intimement lié à l’amélioration des rendements. Reste une zone grise : Lo était‑il soumis à la clause de non‑concurrence de 18 mois en usage chez TSMC ? Certaines sources affirment qu’il pourrait ne pas l’avoir signée.
Poursuites, perquisitions et gel d’actifs
TSMC a saisi le tribunal de la propriété intellectuelle et du commerce à Taïwan, estimant qu’« il y a une forte probabilité » que Lo utilise ou transfère des informations confidentielles, d’après Reuters. Intel, de son côté, dément les accusations et assure soutenir son nouveau cadre.
L’enquête s’est accélérée : les enquêteurs taïwanais ont perquisitionné les domiciles de Lo, saisissant ordinateurs et supports amovibles. Un tribunal a validé la saisie de ses actions et biens immobiliers. Les autorités ont gelé plus de 2 milliards de dollars NT, dont 1,8 milliard en actions TSMC, selon China Times.
À ce stade, rien n’est tranché. Mais si les faits étaient avérés, l’affaire redéfinirait les lignes de fracture entre fondeurs au moment où chacun verrouille ses feuilles de route sous‑2 nm.
AMD passe à l’offensive sur la gamme X3D : le Ryzen 7 9850X3D est désormais listé officiellement avec un boost à 5,6 GHz. Un signe clair que la riposte s’organise face aux prochaines générations d’Intel, notamment les Arrow Lake Refresh : Core Ultra 290K, 270K Plus.
Ryzen 7 9850X3D officiel : 8 cœurs, 5,6 GHz et 120 W
Après plusieurs rumeurs crédibles relayées sur notre site, AMD a publié une page dédiée au Ryzen 7 9850X3D. La fiche confirme une configuration à 8 cœurs et 16 threads, 96 Mo de cache L3, un boost maximal à 5,6 GHz et un TDP de 120 W. Par rapport au Ryzen 7 9800X3D, on gagne 400 MHz de fréquence en pointe, à cache et nombre de cœurs identiques. D’après les informations disponibles, AMD tirerait parti de dies mieux triés pour proposer une alternative plus affûtée face aux plateformes Intel à venir.
AMD Ryzen 7 9850X3D : 8 cœurs Zen 5, 3D V-Cache
La puce s’inscrit dans la famille « Granite Ridge » des Ryzen 9000 X3D. Si AMD ne détaille pas encore les performances applicatives, la combinaison 3D V-Cache + boost relevé laisse présager des gains sensibles en jeu, cœur de cible de ces références.
Un Ryzen 9 9950X3D2 en ligne de mire
Au-delà de cette annonce, un modèle phare resterait en préparation : le Ryzen 9 9950X3D2. Selon les fuites, il embarquerait 16 cœurs et 32 threads, avec de la 3D V-Cache sur les deux chiplets pour un total d’environ 192 Mo de L3. Il serait cadencé à 4,30 GHz de base, pour un boost proche de 5,6 GHz, et un TDP aux alentours de 200 W. La nouvelle dénomination « X3D2 » laisserait entendre un compromis de 100 MHz sur le pic de boost par rapport à une version X3D simple pile, en échange d’un cache nettement accru. Toutefois, seul le Ryzen 7 9850X3D est confirmé à ce jour par AMD.
AMD se positionne ainsi en amont des « Arrow Lake Refresh » attendus début 2026 et de « Nova Lake » pressenti pour fin 2026. La marque semble temporiser, tout en consolidant son offre X3D à court terme.
Le site ITHome rapporte que Antec dévoile le P7S, un boîtier qui se distingue par son approche minimaliste totale : aucun éclairage RGB, aucun panneau latéral en verre, et une esthétique gris anthracite conçue pour rester discrète dans tout environnement. Son objectif : offrir une tour silencieuse, sobre et fonctionnelle, loin des tendances multicolores du marché.
Construction solide et conception orientée silence
Le ANTEC P7S adopte une façade complètement fermée, avec une texture aluminium raffinée, tandis que les deux flancs intègrent des ouvertures latérales étroites. Ce choix réduit la transmission directe du bruit vers l’utilisateur, tout en maintenant un flux d’air équilibré.
Le châssis mesure 478 × 222 × 465 mm, soit environ 50 L, et prend en charge les cartes mères ATX et Micro-ATX. Il offre une structure optimale pour les configurations performantes tout en limitant la pollution sonore.
Refroidissement efficace sans RGB
Le Antec P7S est équipé de quatre ventilateurs PWM de 120 mm sans éclairage, idéals pour un setup discret. Le boîtier offre également une excellente compatibilité avec les composants :
Radiateur 360 mm en haut,
Radiateur 240 mm à l’avant,
Hauteur CPU max : 175 mm,
Longueur GPU max : 400 mm.
Un boîtier parfaitement adapté aux processeurs hautes performances et aux cartes graphiques longues nouvelle génération.
Connectique moderne et complète
Le panneau avant inclut :
2× USB 3.0 Type-A,
1× USB 3.1 Type-C,
1× Jack audio 3,5 mm.
Une connectique simple et efficace pour les configurations bureautiques, gaming ou professionnelles.
Stockage polyvalent
Le ANTEC P7S offre trois emplacements pour disques :
1 baie hybride 3,5″ / 2,5″,
1 baie 3,5″ dédiée,
1 baie 2,5″ dédiée.
Une flexibilité correcte pour les installations multi-SSD ou HDD.
Les prix et la date de sortie ne sont pas annoncés.
Cooler Master dévoile le MF360, un boîtier nouvelle génération mêlant design artistique, fonctionnalité avancée et vitrine intégrée pour figurines. Selon ITHome, le nouveau boîtier sera disponible en deux versions : Panoramic et Scenic View. Le Cooler Master MF360 pousse encore plus loin la personnalisation visuelle des configurations PC contemporaines. La version Scenic View inclut une véritable plateforme d’exposition pour figurines, complétée par un écran LCD FHD 15,6 pouces permettant d’afficher des médias, animations, fonds personnalisés ou de devenir un second écran fonctionnel grâce au mode d’affichage étendu.
Vue panoramique 360° grâce au triple verre trempé
Le Cooler Master MF360 met l’accent sur la présentation du hardware avec un châssis doté de verre trempé sur trois côtés, offrant une visibilité totale des composants internes. Le design intègre également deux petits projecteurs ARGB supérieurs et un panneau latéral droit avec une découpe translucide croisée, créant un effet lumineux unique lorsqu’il est associé aux éléments ARGB internes.
Une compatibilité haut de gamme pour les configurations modernes
Le Cooler Master MF360 prend en charge les cartes mères Mini-ITX, Micro-ATX et ATX, y compris les modèles à câblage arrière (rear I/O). Il accepte les GPU jusqu’à 430 mm, ce qui couvre sans difficulté les cartes graphiques phares actuelles. Le MF360 est donc pensé pour accueillir sans compromis les configurations les plus ambitieuses.
Un refroidissement massif : jusqu’à 12 ventilateurs et double 360 mm
Cooler Master a conçu le MF360 pour gérer d’importantes charges thermiques. Il prend en charge :
Ventilateurs 120 à 200 mm,
Jusqu’à 12 ventilateurs de 120 mm simultanément,
Deux radiateurs 360 mm en même temps.
Cette capacité permet une intégration complète de systèmes de refroidissement liquide custom et AIO de très grande taille.
Connectivité moderne et haut débit
Le panneau avant propose une connectique haut de gamme :
USB 3.2 Gen 2×2 Type-C,
2× USB 3.2 Gen 1 Type-A,
Jack audio combo 3,5 mm.
Idéal pour les setups professionnels, gaming ou streaming nécessitant des débits élevés.
Prix et disponibilité
Le Cooler Master MF360 est lancé en Chine à partir de 1999 yuans (environ 250 euros en conversion pure), une tarification premium destinée à son positionnement esthétique et fonctionnel haut de gamme.
Les amateurs d’overclocking extrême ont une nouvelle cible : un BIOS XOC à 2002 W vient d’apparaître pour les ASUS GeForce RTX 5090, ouvrant la voie à des limites de puissance hors norme.
Un vBIOS XOC à 2002 W pour la RTX 5090 d’ASUS
Ce vBIOS taillé pour la compétition n’est normalement destiné qu’aux overclockeurs professionnels, mais il semblerait qu’il circule déjà publiquement. Particularité marquante, la tension GPU est forcée à 1,15 V par défaut, quel que soit le réglage du curseur logiciel, « même si le slider est à zéro » d’après la source. L’objectif est clair : autoriser des profils multi-kilowatts pour pousser les GPUs Blackwell au-delà des limites usuelles.
Jusqu’ici, des BIOS XOC proches (2001 W) avaient été observés sur des modèles réservés à la Chine, comme les ASUS ROG Astral RTX 5090D et Galax GeForce RTX 5090D HOF. Ces firmwares ont permis à Galax d’atteindre 3 570 MHz sur le GPU et 2 250 MHz sur la GDDR7, pour une vitesse effective de 36 Gbit/s et une bande passante de 2,304 To/s, soit près de 29 % au-dessus de la spécification standard.
Puissance, câblage et refroidissement : des contraintes extrêmes
Une telle montée en puissance impose un câblage renforcé avec plusieurs connecteurs 12 V‑2×6 fusionnés ou une alimentation sur mesure afin de contourner la limite de 600 W par connecteur. Le refroidissement doit être à l’avenant : watercooling custom ou LN2 pour éviter la surchauffe. À noter que l’installation d’un BIOS tiers annule la garantie et comporte des risques. Le nouveau BIOS serait compatible avec les RTX 5090 « standard » d’ASUS, mais la prudence s’impose et nous ne le recommandons pas.