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MacBook J700 abordable : Apple préparerait un modèle sous 1 000 € avec puce d’iPhone

Apple s’apprêterait à bousculer l’entrée de gamme : un MacBook nettement sous les 1 000 euros serait en préparation pour 2026.

Un Mac « budget » pour contrer Chromebooks et PC Windows

D’après Bloomberg, cité par Reuters, Cupertino travaille sur un portable au nom de code J700, attendu au premier semestre de l’an prochain. Objectif affiché : séduire étudiants, entreprises et grand public avec un châssis et des composants plus simples afin de contenir les coûts. Il faut dire que le segment est dominé par les Chromebooks et les PC Windows d’entrée de gamme.

macbook abordable 1000 eure

Particularité majeure, le J700 utiliserait une puce de classe iPhone plutôt qu’un SoC dédié Mac. L’écran LCD serait plus petit que 13,6 pouces, ce qui en ferait le Mac le plus compact en développement. Selon les premiers essais évoqués, cette puce mobile dépasserait les performances du M1, une affirmation résumée ainsi par la source : « les tests internes montreraient un gain face au M1 ».

La machine viserait les usages web, bureautiques et l’édition multimédia légère, mais aussi les acheteurs d’iPad tentés par un format ordinateur portable. La production aurait déjà démarré chez des fournisseurs étrangers. Apple chercherait à positionner ce modèle bien en dessous du MacBook Air M4 à 999 dollars.

Rumeurs de prix et calendrier, mais configuration encore floue

En août, des échos faisaient état d’un MacBook 12,9 pouces à 599–699 dollars (environ 570–660 euros), animé par une puce A18 Pro et attendu en production fin 2025, avec design fin, léger et des fonctions limitées face aux Mac M‑series. Reste à voir si ces bruits de couloir coïncideront avec le J700 final, Apple pouvant avoir ajusté sa feuille de route.

Ces informations tombent peu après l’annonce d’un chiffre d’affaires trimestriel record à 102,5 milliards de dollars et la présentation du M5 gravé en 3 nm de troisième génération. Apple promet jusqu’à 45 % de gain GPU et 15 % en CPU multithread face au M4, avec un accélérateur neuronal intégré à chaque cœur. En revanche, ce futur Mac « budget » ne viserait pas ces sommets de performances, mais un prix d’appel agressif et une autonomie potentiellement solide, portée par une puce mobile.

Source : TechPowerUp

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Ryzen X3D hybrid bonding : Adeia attaque AMD pour usage non autorisé des brevets

Affaire Ryzen X3D Hybrid Bonding : un litige majeur secoue l’écosystème CPU. Adeia accuse AMD d’utiliser sans autorisation plusieurs technologies de semi-conducteurs clés, intégrées notamment aux Ryzen X3D qui dominent aujourd’hui le classement des CPU gaming.

Adeia vise dix brevets, AMD au pied du mur

Adeia, spécialiste des licences IP souvent classé parmi les entités de revendication de brevets, a déposé plainte contre AMD. Selon la société, le fondeur exploiterait depuis des années ses technologies sans accord. Le dossier couvre dix brevets : sept portent sur le hybrid bonding, trois concernent des techniques liées aux nœuds de gravure avancés. Adeia affirme avoir tenté un arrangement avant la voie judiciaire et estime que ces inventions ont contribué à la progression d’AMD sur le marché.

Schéma de hybrid bonding d’Adeia illustrant l’empilement 3D, au cœur du litige de brevets avec AMD et ses Ryzen X3D.

L’entreprise demande des dommages et intérêts non précisés, ainsi qu’une injonction pour empêcher AMD d’utiliser les technologies en cause. Elle dit toutefois rester ouverte à une licence « équitable et raisonnable ». Adeia revendique un vaste portefeuille de brevets construit sur plusieurs décennies et a déjà croisé le fer avec de grands noms, dont NVIDIA, un contentieux soldé par un accord confidentiel.

Le 3D V‑Cache dans la ligne de mire

AMD Ryzen 9 9950X3D2 16 cœurs, cache L3 192 Mo, TDP 200 W, CPU hautes performances pour PC gaming/production

Le hybrid bonding est utilisé par des produits comme les Ryzen X3D dotés de 3D V‑Cache. D’après plusieurs observateurs, cette brique est trop stratégique pour qu’AMD prenne le risque d’en être privée. « Si un juge ordonnait de limiter ou d’arrêter la production le temps du verdict, ce serait un sérieux problème », résument des analyses reprises par la source. Reste à voir si AMD optera pour un règlement amiable, à l’image de NVIDIA face à la même société.

Il faut dire que l’enjeu dépasse un simple échange financier : une injonction pourrait toucher des gammes actuelles et futures, alors que la concurrence redouble d’efforts sur l’empilement 3D et l’intégration avancée. Rien d’étonnant à ce que les discussions de licence, si elles s’ouvrent, soient scrutées de près.

Source : Adeia

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Nintendo Switch 2 : 10,36 millions vendues, objectif relevé à 19 millions

La Switch 2 tient son départ canon : 10,36 millions de consoles écoulées au 30 septembre 2025, ce qui pousse Nintendo à viser plus haut pour l’année fiscale.

Nintendo relève la barre pour sa nouvelle génération

Lancée le 5 juin, la Switch 2 a atteint plus de 3,5 millions d’unités en quatre jours, d’après les chiffres actualisés de Nintendo. Le constructeur rehausse désormais son objectif d’expéditions pour l’exercice en cours, de 15 à 19 millions d’unités, porté par une demande soutenue depuis le lancement. Côté jeux, 20,62 millions de logiciels ont déjà trouvé preneur, et la prévision annuelle est ajustée à 48 millions.

Graphique des ventes Nintendo Switch 2 montrant 10,36 millions d’unités écoulées et un objectif relevé à 19 millions pour l’a

Le timing joue en sa faveur : la période des fêtes devrait doper les ventes. Il faut dire que la machine se positionne nettement mieux que les lancements de la Wii U et de la 3DS, Nintendo indiquant que la Switch 2 « suit une trajectoire supérieure aux précédents démarrages ».

Nintendo Switch 2 posée sur un bureau, vue de face avec Joy-Con, illustrant l’article sur 10,36 millions vendues et l’objecti

La Switch originelle continue, elle, sa longue carrière, totalisant 154,01 millions d’unités à vie. Rien d’étonnant à ce que Nintendo capitalise sur les deux écosystèmes en parallèle.

Technique : NVIDIA Ampere et upscaling IA

Côté matériel, la Switch 2 s’appuie sur un SoC NVIDIA basé sur l’architecture Ampere, associé à 16 Go de LPDDR5 et une sortie jusqu’en 4K sur dock.

Nintendo Switch 2 support

C’est la première console Nintendo à exploiter pleinement l’upscaling par IA (auparavant, seule une prise en charge d’AMD FSR était mentionnée). NVIDIA ne détaillant pas ses volumes GeForce, il semblerait que la Switch 2 figure parmi ses appareils les plus populaires lancés cette année.

Reste à voir si l’élan se maintiendra au-delà des fêtes. Pour l’instant, tous les voyants sont au vert pour la nouvelle génération de Nintendo.

Source : nintendo.co.jp

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36 ports USB repérés sur une arte mère Intel LGA 1151 : une curiosité pour usages spécialisés

Trente-six ports USB sur une seule carte mère : de quoi rester bouche bée. Il faut dire que ce modèle, aperçu sur une plateforme Intel LGA 1151, semble viser des usages très spécifiques plutôt qu’un PC de bureau classique.

Une LGA 1151 bardée d’USB pour des besoins atypiques

D’après les images partagées, l’arrière regorge de connecteurs USB Type-A, probablement pilotés par plusieurs contrôleurs dédiés. Les spéculations vont bon train : phone farms, bancs de tests de masse pour clés et périphériques, voire installations de minage s’appuyant sur des risers USB au lieu de ports PCIe. Rien d’étonnant à ce que cette carte ne s’adresse pas au grand public.

Ce n’est pas une première. On se souvient de l’ASUS H370 Mining Master et ses 20 ports pour risers, ou encore de cartes orientées connectique chez ASRock, comme la Z890 Taichi Aqua et ses 8 ports USB-C. Ici, le palier franchi impressionne : 36 ports au total avec 8 empilements de 4 plus 4 ports supplémentaires, selon les observateurs. Comme le résume la source : « je n’ai jamais vu autant de ports USB sur une seule carte ».

Deux cartes mères Intel en vue de dessus, montrant de nombreux connecteurs USB alignés pour mining ou usages spécialisés, 36

Un design extrême, mais encore un slot pour GPU

Il semblerait que ce modèle conserve de la place pour une carte graphique, ce qui laisse envisager des scénarios hybrides. Le choix de la plateforme LGA 1151 n’a rien de nouveau, en revanche cette déclinaison à 36 ports surprend. Pour des tâches répétitives, comme le formatage en série de clés USB, un tel panneau arrière ferait gagner un temps précieux.

Reste à voir si d’autres fabricants remettront au goût du jour ces cartes « à la chaîne » pour des niches professionnelles. Pour un usage quotidien, le bénéfice est faible, mais pour qui doit brancher et gérer des dizaines de périphériques simultanément, l’idée a du sens.

Source : VideoCardz

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GeForce 581.80 WHQL : pilotes Game Ready avec DLSS 4 pour Black Ops 7

DLSS 4 au menu pour Call of Duty, optimisations pour F1 25 et un correctif Vulkan attendu : NVIDIA publie les pilotes GeForce 581.80 WHQL estampillés Game Ready.

GeForce 581.80 WHQL : focus jeux du moment et correctifs clés

La nouvelle mouture apporte des optimisations jour 1 pour Call of Duty : Black Ops 7, Anno 117 : Pax Romana et Europa Universalis V. Le gros morceau se trouve côté Black Ops 7 avec l’arrivée du DLSS 4 avec Multi Frame Generation ainsi que NVIDIA Reflex. Il faut dire que le duo FSR/DLSS et la réduction de latence sont devenus incontournables pour les FPS compétitifs.

Black Ops 7 campagne scene 2035

Côté correctifs, NVIDIA annonce des gains de performances pour F1 25 avec DLSS Frame Generation. Plus largement, un bug provoquant un crash au lancement des applications Vulkan sur des configurations à base de Core 2 Duo et Core 2 Quad est résolu. Rien d’étonnant à ce que ce correctif intéresse les configurations plus anciennes encore en service.

Pilotes NVIDIA GeForce 581.80 WHQL Game Ready avec DLSS 4 pour Call of Duty Black Ops 7, optimisation GPU

Problèmes connus à surveiller

Tout n’est pas parfait. Selon NVIDIA, Counter-Strike 2 peut afficher des textes légèrement déformés si la résolution en jeu est inférieure à la définition native de l’écran. De plus, Like a Dragon : Infinite Wealth pourrait présenter des scintillements lumineux après la mise à jour, sur certaines configurations. Reste à voir si un hotfix suivra rapidement.

GeForce 581.80 WHQL Game Ready : pilotes NVIDIA avec DLSS 4 pour Call of Duty Black Ops 7, optimisation GPU PC

Pour rappel, le téléchargement est proposé via le hub habituel. « Version 581.80 WHQL avec optimisations jour zéro et support DLSS 4 », résume la note de version. Les joueurs de Black Ops 7 et les amateurs de stratégie devraient y trouver leur compte.

Source : TechPowerUp

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GeForce GTX 1650 SUPER : un prototype TU116 avec 1152 cœurs et PCIe 4.0 refait surface

Un prototype de GeForce GTX 1650 SUPER a refait surface, et il faut dire que la carte intrigue : puce TU116, 1152 cœurs CUDA et surtout une interface PCIe 4.0, une combinaison jamais vue en boutique sur Turing.

Un échantillon TU116 atypique, proche des RTX 2060

D’après les marquages du die, il s’agirait d’un modèle d’ingénierie remontant probablement à 2018. Le PCB évoque les RTX 2060, mais cette déclinaison Turing relève bien de la série GTX 16, dépourvue de Tensor et RT cores. La carte ne porte aucune référence lisible, toutefois tout converge vers une GTX 1650 SUPER précoce : présence d’un GPU TU116 et configuration mémoire en 4 Go, là où les autres 4 Go de la série (GTX 1650 non-SUPER et GTX 1630) reposaient sur TU117.

Prototype GeForce GTX 1650 SUPER avec GPU TU116, 1152 cœurs CUDA et interface PCIe 4.0, gros plan sur la carte et son connect

Ce prototype n’est pas fonctionnel, selon la fuite, mais il afficherait le marquage PG160 SKU 18, quand le modèle commercial de la GTX 1650 SUPER utilisait le PG166 SKU 24. Autre différence notable, et pas des moindres : le support du PCIe 4.0 x16. Toutes les cartes GeForce Turing vendues au détail se limitaient au PCIe 3.0, un détail technique qui change le récit autour des essais internes de Nvidia.

Prototype GeForce GTX 1650 SUPER avec GPU TU116, 1152 cœurs CUDA et interface PCIe 4.0, gros plan sur la carte graphique et s

La fiche supposée mentionne aussi 1152 cœurs CUDA, contre 1280 sur la version commerciale. Un ajustement cohérent pour un échantillon, mais qui confirme qu’on parle bien d’une itération intermédiaire. Reste à voir si d’autres traces documenteront la genèse de ce design.

Un design de référence jamais sorti

Cette fuite confirme qu’un design de référence, visuellement proche des RTX 2060, a bel et bien existé en interne. Les cartes TU116 et TU117 ont finalement été proposées uniquement par les partenaires, sans véritable référence publique, hormis quelques rendus. Comme le rappelle la source, « les cartes GeForce Turing vendues au détail étaient limitées au PCIe 3.0 » (VideoCardz), ce qui renforce le caractère singulier de ce prototype.

En 2025, une GTX 1650 SUPER à 4 Go ne ferait plus vraiment sens pour une nouvelle configuration. Mais cette pièce d’ingénierie raconte une autre histoire : celle d’un Turing GTX expérimenté avec du PCIe 4.0, resté dans l’ombre des rayons.

Source : VideoCardz

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Cisco Unified Edge avec Intel Xeon 6 : l’IA « agentique » s’invite au plus près des données

Les pilotes d’IA s’enlisent faute d’infrastructure adaptée : Cisco dégaine Unified Edge, une plateforme qui rapproche calcul, réseau, stockage et sécurité des lieux où naissent les données.

Cisco Unified Edge : rapprocher l’IA du terrain

Annoncée par Cisco, Unified Edge vise les charges d’inférence et d’IA « agentique » directement en magasin, en usine, en agence ou en hôpital. L’équipementier rappelle que la majorité des projets d’IA trébuchent sur l’infra, et que 75 % des données d’entreprise seraient créées et traitées cette année en périphérie. Il faut dire que les agents d’IA transforment le trafic réseau : d’après Cisco, une requête agentique peut générer jusqu’à 25 fois plus de trafic qu’un simple chatbot.

Unified Edge repose sur une architecture convergée et modulaire : châssis CPU/GPU, alimentation et refroidissement redondants, SD‑WAN performant et designs prévalidés. L’objectif : assurer l’inférence temps réel et évoluer sans « rip‑and‑replace ». La gestion centralisée passe par Cisco Intersight, avec déploiement sans intervention et opérations automatisées à l’échelle. Des intégrations avec Splunk et ThousandEyes apportent de bout en bout de la visibilité.

Serveur Cisco Unified Edge avec processeur Intel Xeon 6, IA agentique, edge computing, rack, refroidissement et câblage

Côté sécurité, le zéro confiance est appliqué dès le périphérique : fonctions inviolables, télémétrie profonde, politiques cohérentes et configurations sans dérive, le tout avec des traces d’audit pour la conformité. Une approche pensée pour un edge plus exposé, autant physiquement que sur le plan cyber.

Intel Xeon 6 au cœur, usages multisectoriels

Le partenariat avec Intel est mis en avant : selon Cristina Rodriguez (Intel), « le Xeon 6 offre une base flexible et efficace pour des charges à haut débit et faible latence ». Cisco assure avoir co‑conçu la plateforme avec des clients du retail, de la fabrication, des services financiers et de la santé afin de concilier workloads classiques côté CPU et IA exigeante côté GPU. Sur une ligne de production, par exemple, certaines décisions doivent être prises localement et immédiatement, souligne Rockwell Automation.

Verizon insiste sur l’avantage concurrentiel d’une IA au bord dès aujourd’hui, quand WWT y voit un moyen d’étendre une infra cloud et IA sécurisée « là où les données sont générées ». Pour theCUBE Research, « le vrai potentiel de l’IA se libère quand l’inférence se rapproche de la source des données » et Unified Edge simplifie justement cette adoption.

Déploiement et exploitation cherchent la simplicité, mais sans sacrifier l’évolutivité : Cisco promet des blueprints prévalidés, une administration démocratisée à grande échelle et une observabilité de bout en bout. Reste à voir si ces promesses tiendront face aux charges agentiques, bien plus bavardes que les chatbots.

Disponibilité : les plateformes Unified Edge peuvent être commandées dès maintenant et devraient être proposées en disponibilité générale d’ici la fin d’année.

Source : cisco

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[Test] Corsair RM850x SHIFT (2025) : une évolution mesurée mais toujours exemplaire

Avec la série RMx, Corsair s’est taillé depuis près de dix ans une réputation solide dans le domaine des alimentations premium, en combinant silence, fiabilité et rigueur électrique. La gamme a régulièrement évolué pour suivre les nouvelles normes et besoins des configurations modernes.

Après la révision 2021, axée sur la stabilité et l’efficacité, la marque a amorcé en 2023 un virage plus ergonomique avec la RMx SHIFT, première alimentation à proposer des connecteurs modulaires positionnés latéralement, une idée simple mais redoutablement pratique pour le câblage.

Deux ans plus tard, la RM850x SHIFT (2025) prend la relève avec une approche de continuité maîtrisée. Si le design général reste inchangé, Corsair l’adapte aux nouveaux standards ATX 3.1 et PCIe 5.1, tout en intégrant un connecteur 12V-2×6 natif pour les cartes graphiques de dernière génération. Le ventilateur NR140HP à roulement fluide dynamique conserve le mode semi-passif, mais bénéficie désormais d’une molette de réglage manuel permettant d’ajuster le comportement acoustique selon les préférences de l’utilisateur.

Sur le plan technique, la base reste confiée à Channel Well Technology (CWT), avec une topologie LLC demi-pont et conversion DC-DC éprouvée. Les performances annoncées affichent une certification Cybenetics Gold pour le rendement et A+ pour l’acoustique, traduisant un équilibre entre efficacité énergétique et silence de fonctionnement.

Le tarif public conseillé s’établit autour de 169,90 €, soit une légère hausse par rapport à la version 2023 (159 €), justifiée par la compatibilité étendue et les améliorations de confort. La garantie de dix ans reste inchangée, reflet de la confiance de Corsair dans la durabilité de ses blocs RMx.

Avec cette révision 2025, Corsair consolide les bases de sa gamme SHIFT : une alimentation moderne, silencieuse et pensée pour durer. Voyons maintenant comment se présente ce modèle dès le déballage, avant d’en analyser la conception interne et les performances mesurées.

Emballage & Contenu

Corsair livre la RM850x SHIFT dans un emballage sobre et robuste, fidèle à l’identité visuelle de la marque. La boîte reprend le duo noir et jaune emblématique, immédiatement reconnaissable dans la gamme d’alimentations du constructeur. En façade, on retrouve les informations essentielles : puissance nominale de 850 W, certification Cybenetics Gold, compatibilité ATX 3.1 et PCIe 5.1, ainsi que la mention des connecteurs latéraux, marque de fabrique de la série SHIFT.

corsair rm850x shift 2025 box recto

L’arrière de l’emballage est plus technique. Corsair y présente les principales caractéristiques du bloc, les graphiques d’efficacité énergétique et le profil acoustique du ventilateur de 140 mm.

corsair rm850x shift 2025 box verso

À l’ouverture, la présentation est exemplaire. L’alimentation repose dans une épaisse mousse de protection, entourée d’un film antistatique. À ses côtés, une pochette siglée contient l’ensemble des câbles modulaires, le cordon secteur, la visserie et la documentation. Comme à son habitude, Corsair soigne les détails : chaque élément est rangé avec précision, et la qualité perçue est au niveau attendu pour une alimentation haut de gamme.

corsair rm850x shift 2025 box open

Le bundle comprend l’essentiel :

  • Bloc d’alimentation Corsair RM850x SHIFT
  • Câble secteur 230 V
  • Ensemble complet de câbles modulaires Type 5
  • Serre-câbles et vis de fixation
  • Documentation
corsair rm850x shift 2025 bundle

Une présentation soignée, simple et efficace, à l’image de la philosophie de la série RMx SHIFT : faciliter le montage sans superflu.

Design et aperçu extérieur de la RM850x SHIFT

La Corsair RM850x SHIFT adopte un format ATX standard de 150 mm de largeur pour 86 mm de hauteur et 160 mm de profondeur, un gabarit compact qui facilite son intégration dans la majorité des boîtiers actuels. Le châssis en acier noir mat bénéficie d’une texture granuleuse soignée qui limite les traces et renforce la perception de qualité.

En revanche, la tôle paraît légèrement plus fine que sur la HX1200i Shift testée la semaine dernière, un détail sans conséquence structurelle, mais qui confère un sentiment un peu moins premium à la prise en main.

corsair rm850x shift 2025 flanc principal

Sur le flanc principal, Corsair opte pour une signature sobre : le marquage RM850x SHIFT apparaît en blanc sur fond noir, encadré par deux formes géométriques discrètes embouties dans la tôle. Cette approche minimaliste traduit la volonté de moderniser la gamme sans rompre avec le design industriel des générations précédentes.

corsair rm850x shift 2025 grille ventilateur

La partie supérieure se distingue par une large grille d’aération en motif “Y”, devenue emblématique sur les blocs de la marque. Elle protège un ventilateur de 140 mm à roulement fluide dynamique (FDB), choisi pour son silence de fonctionnement et sa longévité. Le motif n’est pas qu’esthétique : il favorise une diffusion homogène du flux d’air tout en rigidifiant la structure.

corsair rm850x shift 2025 face arriere

La face arrière, dédiée à l’extraction de l’air chaud, reprend le même maillage “Y” ajouré, associé au connecteur secteur C14 et à un interrupteur principal. On remarque la présence d’une molette de réglage de la vitesse du ventilateur, une nouveauté pour ajuster manuellement le comportement acoustique selon les besoins.

corsair rm850x shift 2025 flanc molette ventilateur

De l’autre côté, la connectique modulaire latérale incarne la philosophie SHIFT : déplacer les ports sur le flanc du bloc pour rendre les branchements accessibles même après installation. L’agencement est clair et logique : les connecteurs CPU, PCIe, SATA et ATX 24 broches sont bien séparés et identifiés. L’ensemble s’appuie sur le format Type 5 MicroFit, compact et ergonomique, avec un connecteur 12V-2×6 natif destiné aux cartes graphiques les plus récentes.

corsair rm850x shift 2025 face mircofits connecteurs

La face inférieure présente un relief linéaire au motif concentrique, apportant une touche graphique subtile sans excès. L’ensemble respire la qualité d’assemblage, avec des ajustements précis et aucune zone de flexion perceptible.

corsair rm850x shift 2025 face pleine

Enfin, le côté intérieur accueille une étiquette présentant l’ensemble des spécifications électriques.

corsair rm850x shift 2025 face etiquette specs

Corsair parvient ici à combiner un design technique, cohérent et fonctionnel, avec une approche esthétique discrète mais soignée. La RM850x SHIFT conserve ainsi l’esprit de la gamme tout en affirmant sa maturité visuelle.

Câblage et modularité

La RM850x SHIFT repose sur une conception entièrement modulaire, fidèle à l’approche de la gamme. Tous les faisceaux utilisent la connectique Type-5 MicroFit, plus compacte et mieux organisée que les générations précédentes. Le positionnement latéral des ports reste la signature de la série SHIFT : il simplifie les branchements, améliore la visibilité et facilite la maintenance sans avoir à démonter l’alimentation une fois installée.

corsair rm850x shift 2025 cables avec connecteurs microfit

Les câbles fournis sont gainés dans un PVC embossé noir d’une remarquable souplesse, accompagnés de peignes bas-profil qui permettent de maintenir un alignement net.

Le kit comprend :

  • Un câble ATX 24 broches de 610 mm,
  • Deux EPS 4+4 pour le CPU de 650 mm,
  • Deux PCIe 6+2,
  • Un 12V-2×6 natif (600 W) conforme aux normes ATX 3.1 et PCIe 5.1,
  • Ainsi qu’un second faisceau 12V-2×6 vers 2×8 broches pour les cartes graphiques dépourvues de connecteur nouvelle génération.
  • Trois câbles SATA à trois têtes
  • Un câble Molex 4 broches
corsair rm850x shift 12V 2x6 90 2

Le câble 12V-2×6 adopte un embout coudé à 90 ° côté alimentation, conçu pour s’adapter à la disposition latérale propre à la série SHIFT. Ce choix permet de libérer l’espace entre le flanc du bloc et la paroi du boîtier, tout en préservant une orientation propre des faisceaux.

corsair rm850x shift 12V 2x6 90 bicolor

De l’autre côté, le connecteur gris bicolore sert de repère visuel pour confirmer une insertion correcte, limitant ainsi tout risque d’incident.

corsair rm850x shift 12V 2x6 90 1

Toutefois, son rayon de courbure réduit interpelle : la flexion est plus prononcée qu’à l’accoutumée, ce qui pourra soulever des interrogations selon la distance disponible autour de la trappe d’accès. Corsair précise néanmoins que le design du câble a été validé pour résister à cette contrainte mécanique, sans impact sur la fiabilité du connecteur.

corsair rm850x shift sata et molex

Pour le reste, les faisceaux SATA à trois têtes et le câble Molex 4 broches conservent des longueurs équilibrées, suffisantes pour alimenter disques, ventilateurs ou accessoires sans excédent inutile. La flexibilité générale et la logique d’agencement des ports facilitent grandement la gestion du câblage : tout est accessible, clair et pensé pour un montage ordonné dans les châssis à double compartiment.

Conception interne et architecture

La RM850x SHIFT partage sa base technique avec les autres modèles de la gamme, produite par Channel Well Technology (CWT), partenaire historique de Corsair. Sous son carter sobre,se cache une conception repose sur une structure demi-pont LLC avec conversion DC-DC, un schéma éprouvé qui allie efficacité, stabilité et fiabilité à long terme.

corsair rm850x shift conception interne 01

Étages primaires : conversion et correction de puissance

Le courant secteur pénètre d’abord par la section EMI/EMC (1 et 2), où un ensemble de filtres et de condensateurs X et Y élimine les interférences électromagnétiques. Cette barrière garantit la conformité avec les normes internationales et protège les autres composants de parasites électriques.

Vient ensuite le pont de diodes (3), chargé de redresser le courant alternatif 230 V en courant continu, avant qu’un thermistor et un relais de dérivation (4) ne limitent le courant d’appel au démarrage. Ce dispositif évite les pointes de tension susceptibles d’endommager les composants sensibles lors de la mise sous tension.

Le bloc passe alors par l’étage de correction active du facteur de puissance (PFC). Le gros tore de cuivre (5) visible au centre de la carte agit comme une bobine de lissage, associé à un ensemble de MOSFETs et de diodes rapides (7) chargés de lisser et réguler le flux d’énergie. Résultat : un facteur de puissance supérieur à 0,98, qui optimise l’efficacité globale et réduit la perte d’énergie dissipée sous forme de chaleur.

Deux condensateurs électrolytiques japonais de 400 V / 105 °C (6) assurent la stabilisation de la tension redressée avant la conversion haute fréquence. Ces condensateurs constituent le réservoir principal du bloc, capables d’absorber les variations instantanées sans altérer la stabilité du +12 V.

La conversion proprement dite repose sur un ensemble de MOSFETs LLC (8) piloté par un contrôleur spécialisé (16). Ce circuit, appelé convertisseur résonant, ajuste la fréquence de découpage pour minimiser les pertes de commutation. C’est en grande partie ce design qui permet à la RM850x SHIFT d’atteindre un rendement Cybenetics Gold supérieur à 93 %.

corsair rm850x shift conception interne

Étages secondaires : régulation et distribution

Sur la partie basse, on trouve le transformateur principal (12), cœur du système, chargé d’abaisser et d’isoler la tension. Sa proximité avec les radiateurs noirs verticaux assure une dissipation thermique efficace. À sa sortie, plusieurs MOSFETs de redressement synchrone (17) remplacent les diodes classiques, offrant un meilleur rendement et moins de chauffe.

Les condensateurs de filtrage (13) et les inductances de sortie (14) se chargent ensuite de nettoyer le signal pour supprimer les résidus d’ondulation. Ce traitement explique les résultats mesurés par Cybenetics : moins de 23 mV de ripple sur le +12 V, une performance exemplaire pour un bloc Gold.

Les régulateurs DC-DC (15) assurent la dérivation des tensions secondaires +5 V et +3,3 V à partir du rail principal +12 V. Cette architecture est aujourd’hui la norme sur les alimentations de qualité, car elle garantit une stabilité indépendante des variations de charge entre rails.

Le transformateur 5VSB (9) et ses condensateurs de sortie dédiés (10) alimentent le mode veille du PC. Ce circuit reste actif même lorsque le système est éteint, fournissant une tension stable et efficace pour les fonctionnalités de veille moderne.

Enfin, la connectique modulaire (11) est directement soudée sur un PCB secondaire placé à 90°, relié par un plan de cuivre renforcé. Cette disposition, typique de la série SHIFT, permet aux câbles d’être branchés latéralement sans torsion, améliorant à la fois la circulation d’air et la gestion du câblage.

Un microcontrôleur dédié gère la communication, la régulation fine des tensions et l’ensemble des protections, à savoir :

  • OVP / UVP (surtension et sous-tension)
  • OCP (protection contre les surintensités)
  • OPP (protection contre la surcharge)
  • OTP (surveillance thermique)
  • SCP (court-circuit)

Refroidissement

Le refroidissement est confié à un ventilateur de 140 mm à roulement fluide dynamique (FDB). Ce modèle combine discrétion et durabilité, tout en profitant du mode Zero RPM, qui maintient le silence total jusqu’à environ 40 % de charge. La RM850x SHIFT dispose également d’une molette de réglage manuel en façade arrière, permettant d’ajuster la courbe du ventilateur selon la préférence de l’utilisateur, un ajout rare à ce niveau de gamme.

corsair rm850x shift nr140 hp

La plage de fonctionnement annoncée s’étend jusqu’à 50 °C en charge continue, un indicateur solide de robustesse thermique. Corsair livre ici une conception à la fois fiable et moderne, reposant sur des composants triés et une topologie optimisée pour le rendement comme pour le silence.

Efficacité et acoustique de la RM850x SHIFT

Certifiée Cybenetics Gold pour son rendement et A+ pour son acoustique, la Corsair RM850x SHIFT affiche des performances particulièrement équilibrées pour une alimentation 850 W. Les mesures réalisées sous 230 V confirment un haut niveau d’efficacité, tout en conservant un fonctionnement remarquablement discret, fidèle à la philosophie de la série SHIFT.

Sur le plan énergétique, le rendement s’établit à 89 % à 10 % de charge, atteint 90,2 % à 20 %, puis culmine à 93,7 % autour de 50 %, avant de se stabiliser à 91,3 % à pleine puissance. La courbe est régulière et traduit une conception maîtrisée, optimisée pour les régimes de charge usuels. À très basse charge (entre 20 et 80 W), le bloc conserve un rendement compris entre 77 % et 89 %, confirmant l’efficacité du design LLC et de la conversion DC-DC jusque dans les scénarios légers.

CL Efficiency
Source : Cybenetics

La consommation à vide reste particulièrement faible : 0,082 W mesurés, soit dix fois moins que la limite imposée par la directive ErP Lot 6. Le rail de veille 5VSB affiche pour sa part un rendement d’environ 86 % à 1 A, témoignant d’un étage secondaire soigné et d’une gestion d’énergie en veille efficace.

CL Fan Noise
Source : Cybenetics

Côté acoustique, la RM850x SHIFT s’appuie sur un ventilateur NR140 de 140 mm à roulement fluide dynamique (FDB). Celui-ci demeure totalement à l’arrêt jusqu’à environ 340 W, garantissant un silence absolu en usage courant. La montée en régime est progressive : 7 dB(A) vers 400–500 W, 12 dB(A) autour de 680 W, et seulement 25,9 dB(A) à pleine charge. Ces résultats confirment une excellente maîtrise thermique et justifient pleinement la note A+ attribuée par Cybenetics.

CL Load Regulation Main Rails Combined
Source : Cybenetics

Les mesures électriques soulignent une régulation exemplaire : la tension du rail +12 V varie de moins de 1 % entre 10 et 100 % de charge. Les ondulations (ripple) restent très basses, limitées à 22,5 mV sur le +12 V, 11,1 mV sur le +5 V, et 10,4 mV sur le +3,3 V : des valeurs nettement inférieures aux seuils ATX (120 / 50 / 50 mV).

hold up time
Source : Cybenetics

Le hold-up time, mesuré à 21 ms, dépasse la recommandation minimale de 16 ms, garantissant la stabilité en cas de microcoupure, tandis que le signal PWR_OK, parfaitement calibré, assure un démarrage net et sans délai excessif.

Dans son ensemble, la RM850x SHIFT conjugue silence, rendement et régulation avec une rigueur rarement observée dans cette gamme de puissance. Si ses performances flirtent avec les seuils du Platinum, sa certification Gold et sa discrétion acoustique A+ la positionnent comme une référence fiable et silencieuse du segment haut de gamme.

Conclusion

test corsair rm850x shift
[Test] Corsair RM850x SHIFT (2025) : une évolution mesurée mais toujours exemplaire
Conclusion

Avec cette RM850x SHIFT (2025), Corsair perfectionne un concept déjà bien éprouvé. L’idée des connecteurs latéraux, introduite avec la première génération SHIFT, reste une réussite claire sur le plan ergonomique, surtout dans les châssis modernes à double compartiment.

Cette version 2025 affine la formule sans la bouleverser : un nouveau connecteur 12V-2×6 natif, une compatibilité ATX 3.1 et PCIe 5.1 complète, une gestion acoustique revue, et une finition globalement toujours sérieuse.

Sur le plan électrique, la RM850x SHIFT délivre des performances convaincantes. La régulation reste exemplaire, le ripple contenu, et le rendement conforme à la certification Cybenetics Gold. Le comportement thermique est maîtrisé, et la gestion semi-passive se montre bien calibrée. Le ventilateur NR140HP assure un équilibre satisfaisant entre silence et dissipation, bien que le châssis, un peu plus léger que celui de la HX1200i SHIFT, trahisse une différence de standing entre les deux gammes.

Proposée autour de 170 €, cette RM850x SHIFT se positionne comme une alimentation fiable, silencieuse et parfaitement adaptée aux configurations actuelles. Elle n’a pas la rigueur industrielle d’un modèle HXi, mais elle en reprend une grande partie des qualités dans un format plus accessible. En somme, une évolution mesurée, cohérente et pertinente, sans fausse note majeure.

Qualité / Finition
8
Performances
8.3
Nuisances Sonores
9.5
Prix
8
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Conception latérale toujours aussi pratique pour le câblage
Très bon équilibre entre rendement et silence
Certification Cybenetics Gold et A+
Ventilateur FDB discret et molette de réglage manuel utile
Câbles Type-5 souples et bien finis
Garantie 10 ans
Points faibles
Châssis un peu plus fin, moins rigide que sur la HX1200i
Aucun changement structurel majeur
Prix légèrement élevé pour une Gold 850 W
8.5

ph award recom new
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Abxylute 3D One : console géante Lunar Lake et 3D sans lunettes prévue mi‑novembre

Plus imposante qu’une Steam Deck, la nouvelle Abxylute 3D One veut bousculer les codes : format XXL, écran 3D sans lunettes et usage hybride. De quoi séduire, ou refroidir, les amateurs de portables PC, il faut dire que le gabarit ne fait pas l’unanimité.

Une portable 3‑en‑1 très ambitieuse, centrée sur la 3D

Console portable Abxylute 3D One en gros plan, grand écran affichant 3D sans lunettes, design gris avec boutons et joysticks,

Abxylute présente un appareil « 3‑en‑1 » : console, tablette et mini‑laptop grâce à une béquille intégrée et des manettes détachables utilisables en sans‑fil. L’écran LTPS LCD de 10,95 pouces de la Abxylute 3D One affiche une résolution de 2 560 × 1 600 pixels et s’appuie sur un suivi oculaire et une seconde couche TN pour générer un rendu 3D sans lunettes, envoyant une image dédiée à chaque œil. D’après la marque, une cinquantaine de jeux Steam sont déjà ajustés pour un mode à effet profond, tandis qu’un logiciel peut convertir photos et vidéos en 3D.

À l’intérieur de la Abxylute 3D One, on retrouve un Intel Core Ultra 258V (génération Lunar Lake), 32 Go de LPDDR5X, un SSD de 1 To et une batterie de 50 Wh. Le tout pèse 1,11 kg. Un clavier à clipser a été montré pour l’usage productivité, mais il n’est pas confirmé qu’il sera inclus.

Prix, calendrier et réservations

Deuxième visuel de l’Abxylute 3D One montrant la console portable équipée d’un SoC Lunar Lake et d’un écran 3D sans lunettes,

Le lancement de la Abxylute 3D One est prévu sur une plateforme de financement participatif autour du 13 novembre. Un palier Early Bird est visé à 1 499 dollars (environ 1 400 euros), pour un tarif public ultérieur à 1 799 dollars. Abxylute propose un dépôt VIP de 150 dollars avant campagne, offrant 200 dollars de remise sur l’Early Bird et une manette sans‑fil Abxylute C6, à utiliser dans les 48 heures suivant l’ouverture ; les dépôts non consommés seraient remboursés à la fin.

La prudence reste de mise : pas de test, pas de précommande. Et, comme le rappelle la source, « Core Ultra 200 est déjà proche de l’année de service », un point à considérer avant de trancher.

Console Abxylute 3D One équipée d’un SoC Lunar Lake affichant un écran 3D sans lunettes, vue de face en utilisation, image 3

Reste à voir si ce format XL et son affichage 3D sans lunettes sauront convaincre au‑delà de l’effet vitrine, d’autant que la concurrence préfère aujourd’hui la compacité type du Steam Deck ou de la ROG Ally.

Source : VideoCardz

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ASRock B850 : une carte mère aurait grillé trois Ryzen 7 9700X, un cas qui interroge

Un même PC qui tue trois Ryzen 7 9700X, tous sur la même carte mère : le cas sud-coréen qui circule depuis quelques jours a de quoi faire tiquer la communauté.

Trois Ryzen 7 9700X hors d’usage sur une ASRock B850 Pro RS

D’après un fil publié sur le forum Quasar Zone puis relayé sur Reddit, un utilisateur sud-coréen aurait vu trois processeurs Ryzen 7 9700X tomber en panne successivement sur une même carte mère ASRock B850 Pro RS. Les deux premiers venaient d’AliExpress en février, le troisième a été acheté début août chez le revendeur local Compuzone et a fini diagnostiqué défectueux en RMA.

ASRock B850 Pro RS Couv

Le propriétaire de la ASRock B850 assure avoir utilisé des réglages d’usine, sans XMP ni overclocking manuel. Il précise avoir effectué les mises à jour via BIOS Flashback, avec un firmware 3.40 au moment des premiers symptômes et l’intention de passer au 3.50, présenté par ASRock Corée comme une mise à jour AGESA. « Le système tournait stock du début à la fin », écrit-il en substance sur le forum.

Problème supplémentaire, la carte mère ASRock B850 avait déjà été contrôlée une première fois par ASRock après la mort des deux CPU achetés sur AliExpress. Le centre de service n’avait alors rien relevé d’anormal et l’avait renvoyée telle quelle. Après la troisième panne, la carte et le processeur retail ont été renvoyés via Compuzone pour une nouvelle expertise. L’utilisateur attend le verdict.

Un cas isolé, aucune annonce officielle

Photo de la carte mère ASRock B850 impliquée dans un incident ayant grillé trois processeurs AMD Ryzen 7 9700X, gros plan sur

À ce stade, il s’agit d’un témoignage non confirmé, sans photo à l’appui. Aucune procédure de rappel ni communication publique d’ASRock n’a été publiée pour ce dossier précis. Il faut dire que le doute plane encore sur l’origine exacte des défaillances : carte mère en cause, lot de CPU, firmware, ou simple malchance.

Reste à voir si d’autres retours similaires émergent avec les cartes B850 sur plateforme AM5. En attendant, la prudence s’impose : conserver les réglages par défaut, vérifier la version de BIOS (AGESA à jour), et documenter tout incident auprès du revendeur et du support.

Source : VideoCardz

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PS5 mini de 6 litres : le mod Tiny PS5 Redux gagne en refroidissement et en simplicité

Réduire une PS5 à 6 litres tout en la rendant plus fraîche et moins gourmande, c’est désormais possible avec le projet Tiny PS5 Redux de NFC. Le mod, pensé pour le châssis CFI-1215A, reprend l’idée d’un format ultra-compact mais avec une conception épurée et une assemblage facilité pour la communauté.

Un châssis 6 L revu, plus propre et mieux ventilé

Le nouveau boîtier de 6 litres combine des panneaux en aluminium avec finition Cerakote et des flancs en acrylique fumé. La plaque supérieure aimantée expose les ports USB, des boutons d’alimentation et d’éjection à ressort, et simplifie le nettoyage. Une poignée en aluminium poli sert à la fois de poignée de transport et de conduit d’évacuation, avec une LED d’état discrète.

Deuxième image du mod Tiny PS5 Redux : une PS5 mini de 6 litres montrant le châssis compact et le système de refroidissement

La partie thermique conserve les plaques de dissipation d’origine de la PS5, mais ajoute un Alpenföhn Black Ridge épaulé par deux ventilateurs Noctua slim de 120 mm en push-pull, ainsi que trois ventilateurs latéraux de 60 mm en extraction. Après refonte de la veine d’air et obturation des voies de recirculation, Redux a mesuré moins de 220 W et environ 50 °C dans Expedition 33, contre 230 à 235 W et environ 59 °C sur une PS5 stock, et 220 à 225 W pour environ 56 °C sur la version Tiny 2023. De quoi valider l’approche, il faut dire que l’optimisation du flux d’air paie ici.

Mod Tiny PS5 Redux de 6 litres posé sur un bureau, montrant le châssis compact et la ventilation améliorée, image 3 sur 6 de

Connectivité, stockage et alimentation : les correctifs qu’il fallait

Côté sans-fil, le module Wi-Fi migre sous l’acrylique supérieur, tandis que les antennes Bluetooth prennent place à l’arrière. Le stockage gagne un adaptateur M.2 avec support pour SSD 2280 : la démo tourne avec un 4 To muni d’un dissipateur, levant la limite des modèles 2230.

Mod Tiny PS5 Redux au format 6 litres, montrant le châssis compact avec ventilation améliorée et disposition interne simplifi
Tiny PS5 Redux 6L, ventilation optimisée
Vue rapprochée de la PS5 mini 6 litres Tiny PS5 Redux, montrant le châssis compact et le système de refroidissement simplifié
Tiny PS5 Redux : châssis 6 L optimisé
Mod Tiny PS5 Redux de 6 litres en gros plan, montrant le châssis compact et le système de refroidissement amélioré, image 4 s
Tiny PS5 Redux, vue détaillée (4/6)

L’alimentation était le point faible des premières versions Tiny. Les jeux récents pouvaient dépasser ce qu’un bloc GaN de 250 W supporte, entraînant des arrêts. Le passage à une brique GaN de 500 W a, d’après les tests, réglé le problème. « Le but est le même : réduire la console en un format portable » précise NFC, mais avec un agencement plus propre. Reste à voir si cette marge tiendra lors de sessions denses prolongées.

Le mod reste complexe : soudure, adaptation du refroidissement et usinage CNC de pièces métalliques sur mesure sont au programme. Les fichiers pour la PS5 CFI-1215A seront proposés sur la boutique de NFC autour de 10 dollars (environ 9 à 10 euros selon le taux), ce qui n’est pas gratuit, mais raisonnable pour un guide détaillé.

À retenir : format 6 L en aluminium/acier avec accès facilité, températures et consommation en baisse, et SSD M.2 2280 compatible. En revanche, la réalisation exige des compétences avancées et un bloc d’alimentation GaN 500 W pour garantir la stabilité.

Source : Notebookcheck

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Intel Arc B580 overclockée au liquide antigel : +16 % de fréquence et record Time Spy

Tout ça pour 12 %. Oui, c’est bien le prix à payer (ou plutôt à verser) pour décrocher un record sur 3DMark Time Spy. L’Australien TrashBench a décidé de plonger sa carte graphique Intel Arc B580 dans un système liquide maison à base d’antigel automobile. Résultat : un gain de 16 % sur la fréquence et un GPU qui grelotte à -17 °C.

Quand l’overclocking tourne à la plomberie

Carte Intel Arc B580 custom, tuyaux givrés et un bidon de Labo Auto en arrière-plan : l’ambiance est posée. L’objectif ? Pousser Battlemage à bout, histoire de prouver que même une Arc peut briller un court instant… avant de retomber dans l’ombre. Intel n’est pas franchement connu pour l’overclocking extrême, mais TrashBench, lui, voulait être “le premier à la geler”. Mission accomplie, au moins symboliquement.

Gros plan sur une Intel Arc B580 overclockée avec un circuit de refroidissement au liquide antigel, montrant tuyaux, réservoi

Pour y parvenir, le bricoleur a concocté un mélange 50/50 d’éthylène glycol, refroidi au réfrigérateur, et relié à un circuit maison. L’Arc B580 est ainsi montée à 3 316 MHz, soit environ +446 MHz, ce qui représente un joli +16 %.

Carte Intel Arc B580 overclockée au liquide antigel, blocs et tuyaux visibles, +16 % de fréquence et score record Time Spy.

Un exploit, si l’on oublie que la carte reste tout de même loin derrière les modèles AMD et NVIDIA équivalents.

Carte graphique Intel Arc B580 overclockée au liquide antigel, fréquences en hausse de 16 %, montage sur banc de test visant
Arc B580 OC au liquide, record Time Spy

L’art du bricolage sous zéro

Le plus impressionnant n’est pas la performance, mais la méthode : un support de waterblock imprimé en 3D, quelques joints serrés, et une garantie instantanément réduite à néant. Détail amusant : la carte date de décembre dernier, donc autant dire que le risque était mesuré.

Tout ça pour 12 %

Au final, ce record montre surtout qu’avec un peu d’antigel et beaucoup de témérité, même une Arc peut grimper les classements…un instant. Car pour 12 % de performances en plus, on obtient surtout une preuve : le vrai froid ne fait pas forcément chauffer les FPS.

Source : VideoCardz

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AOC AGON : rumeurs d’un écran 27 pouces 5K 165 Hz et d’un mode FHD à 1000 Hz

Accélération brutale du côté d’AOC : la gamme AGON ferait un bond avec un 27 pouces 5K à 165 Hz et un mode jusqu’à 1000 Hz en Full HD, si l’on en croit des indiscrétions venues de Chine.

Six écrans en vue pour 2026, avec du 5K 165 Hz et un QHD à 500 Hz

Selon ITHome, citant le leaker VisionTang, AOC préparerait six moniteurs AGON pour 2026. Rien d’étonnant à ce que l’annonce intervienne autour du CES 2025 au vu des calendriers précédents. Au programme : cinq modèles 27 pouces et un 21,1 pouces en dalle TN.

AOC Monitors AGON

Il semblerait qu’un 27 pouces 5K à 165 Hz soit dans les cartons, avec un mode double permettant d’atteindre 330 Hz en 1440p.

Plus spectaculaire encore, un autre 27 pouces QHD grimperait à 500 Hz par défaut, et proposerait un mode 1000 Hz en 1080p. Ce serait une première, dépassant non seulement la fréquence des écrans 720 Hz, mais aussi leur définition. Prudence toutefois : les modes « dual » réduisent parfois la résolution à la moitié de la native. Il faut dire que la rumeur évoque la possibilité d’un 720p plutôt que d’un véritable 1080p pour atteindre 1000 Hz. Reste à voir si cela se confirme.

Le retour de Pulsar et l’ombre de l’AG276QSG

Autre pièce intrigante, un modèle labellisé Pulsar. D’après la note, il s’agirait d’un écran exploitant G-Sync Pulsar, technologie mise en avant pour offrir une « clarté 1000 Hz », d’où la mention d’« effet 1000 Hz ». On pense forcément à l’AG276QSG, annoncé en septembre 2024 mais jamais commercialisé à ce jour….AMD va pouvoir prouver que ses CPU font tourner les jeux à 1000 FP !!!

En attendant des fiches techniques complètes, ces fuites dessinent une ligne AGON très agressive sur la fréquence et la définition, deux terrains où AOC veut manifestement marquer 2026.

Source : VideoCardz

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Icy Dock ExpressCage MB324SP-1B : 4 SSD/HDD 2,5 pouces dans une baie 5,25 pouces

Pourquoi laisser une baie 5,25 pouces prendre la poussière quand elle peut accueillir quatre disques 2,5 pouces hot-swap ? Icy Dock présente l’ExpressCage MB324SP-1B, un rack qui exploite à fond cet espace pour les NAS maison, serveurs compacts et stations de travail.

Quatre baies 2,5 pouces hot‑swap dans une seule 5,25 pouces

Le MB324SP-1B transforme une unique baie optique 5,25 pouces en quatre emplacements 2,5 pouces indépendants, compatibles SATA 6 Gb/s et SAS simple canal (hôte SAS requis). De quoi bâtir des grappes RAID compactes ou étendre un volume NAS sans ouvrir le châssis. Un seul connecteur d’alimentation SATA 15 broches suffit à alimenter les quatre disques, ce qui limite l’enchevêtrement de câbles et améliore le flux d’air.

Icy Dock ExpressCage MB324SP-1B : rack 5,25" pour 4 SSD/HDD 2,5", hot-swap, cages métalliques, connecteurs SATA

Chaque tiroir accepte des SSD/HDD de 5 à 12,5 mm d’épaisseur et dispose d’une LED d’activité bleue dédiée. Icy Dock rappelle sa philosophie tournée service et flexibilité : « hot-swap rapide et maintenance simplifiée », appuie le constructeur, notamment pour les tests de disques, l’extension de volumes RAID ou la gestion de sauvegardes.

Icy Dock ExpressCage MB324SP-1B : cage 5,25
Lire aussi : ICY DOCK ToughArmor MB842MP-B, un rack M.2 en PCIe

ExpressTray sans outil, ventilation 40 mm et APT

Le système ExpressTray permet une installation sans outil : on insère le disque en l’alignant sur les ergots, on presse côté connecteur et le verrouillage se fait. Le retrait s’effectue via une languette arrière. Pour les environnements soumis aux vibrations, des perçages pour vis restent disponibles afin de renforcer la rétention, avec un mécanisme de loquet renforcé.

Icy Dock ExpressCage MB324SP-1B, rack 5,25” pour 4 SSD/HDD 2,5”, hot-swap, tiroirs individuels, baie PC

Côté refroidissement, un ventilateur arrière de 40 mm souffle à travers les quatre baies, avec trois modes via cavalier : High, Low ou Off. Il peut être remplacé par tout modèle 40 mm en 2 ou 3 broches, et un guide de câble intégré évite les nappes qui traînent. Les connecteurs SATA données et alimentation prennent en charge les verrous de câble, pour prévenir les débranchements accidentels.

L’APT, ou Active Power Technology, n’alimente un emplacement que si un disque y est présent. La cage adopte un châssis métallique avec des tiroirs et loquets en ABS renforcé, visant la durabilité lors d’échanges fréquents. Pour ceux qui veulent utiliser un SSD M.2 en SATA, l’accessoire EZConvert MB703M2P-B adapte le format en 2,5 pouces, avec verrouillage réglable sans outil.

Au final, un rack 5,25 pouces qui modernise les boîtiers existants avec du 2,5 pouces hot-swap, pensé pour les monteurs de NAS DIY comme pour les homelabs. Reste à voir si le niveau sonore en mode High conviendra aux salons ; en Low ou ventilateur coupé, il devrait s’intégrer plus discrètement aux configurations à faible dégagement thermique.

Source : icydock

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RX 9070 XT : un second modèle Sapphire touché par un connecteur 12V-2×6 brûlé

Un nouveau signalement relance le débat : une Sapphire Radeon RX 9070 XT Nitro+ affiche un connecteur 12V-2×6 carbonisé, avec à la clé des écrans noirs aléatoires et des redémarrages forcés.

Troisième cas connu, deuxième chez Sapphire

D’après un utilisateur sur Reddit, sa RX 9070 XT Nitro+ présente un connecteur 16 broches 12V-2×6 visiblement brûlé. La carte démarre encore, mais charge et températures déclenchent des coupures d’affichage suivies d’un hard reboot. Il semblerait que le point de contact du connecteur ait été endommagé, possiblement par une montée en chaleur ou une fusion partielle.

Il s’agit du troisième cas recensé sur des RX 9070 XT équipées de ce connecteur, et du second impliquant une Sapphire. Seules Sapphire et ASRock ont adopté ce 12V-2×6 sur leurs modèles Navi 48 personnalisés : le premier incident concernait une ASRock Taichi, le deuxième une Sapphire le mois dernier, et désormais une autre Nitro+.

Gros plan d’un connecteur 12V-2×6 brûlé sur une Sapphire Radeon RX 9070 XT, montrant la décoloration et la fonte du plastique
Gros plan sur un connecteur 12V-2×6 brûlé d’une Sapphire Radeon RX 9070 XT, avec traces de suie autour du port d’alimentation
Sapphire Radeon RX 9070 XT Nitro+ connecteur 12V-2×6 brulé

Huit mois après la sortie de la RX 9070 XT, certains craignent une montée des pannes dans le temps. Selon les témoignages, « ces connecteurs se dégradent progressivement avant d’afficher des dommages visibles » (source : Reddit). Rien d’étonnant à ce que les cycles thermiques et un alignement imparfait des broches finissent par peser sur la fiabilité.

RMA compliqué et couverture sous conditions

Le propriétaire explique avoir reçu la carte en cadeau, ce qui complique la demande de prise en charge. Sapphire réclame une preuve d’achat pour instruire le dossier RMA ; la garantie dépendra donc de la capacité de l’acheteur initial à fournir le reçu.

Reste à voir si d’autres cartes équipées du 12V-2×6 seront concernées à mesure que les heures de jeu s’accumulent, ou si ces cas restent isolés. En revanche, les symptômes décrits invitent à surveiller toute instabilité, notamment les écrans noirs sous charge.

Analyse

Beaucoup pourraient penser que seuls les modèles très énergivores comme la RTX 5090, avec ses 600 watts, sont exposés à ce type de problème. Pourtant, ces cas montrent qu’une carte bien moins gourmande, comme la RX 9070 XT plafonnant autour de 350 watts, peut aussi être concernée. Ce n’est donc pas la puissance brute qui provoque la fonte du connecteur, mais plutôt la qualité du contact électrique, l’alignement des broches ou encore l’usure progressive du câble.

D’après la norme PCI-SIG, chaque broche du connecteur 12V-2×6 peut supporter environ 9,2 A. En cas de mauvais contact sur une ou deux lignes, le courant se concentre sur les broches restantes, générant localement plus de 100 °C.

Nos analyses et celles d’autres spécialistes, dont Igor’sLAB ou TechPowerUp, confirment que le 12V-2×6 reste sensible aux erreurs d’insertion ou aux tolérances mécaniques entre les composants. Même à puissance modérée, une résistance de contact localisée suffit à faire grimper la température et à dégrader le plastique du connecteur.

Rien ne laisse penser à un défaut global de conception, mais ces incidents rappellent l’importance d’utiliser un câble certifié, de vérifier son emboîtement complet et d’éviter toute tension sur le fil pendant l’usage.

A lire : AMD Radeon RX 9070 XT : comparatif des meilleurs modèles custom et guide d’achat (2025)

Source : VideoCardz

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EPOMAKER Split70 : clavier mécanique divisé à 70 % alliant ergonomie, confort et personnalisation avancée

Conçu pour les passionnés de claviers mécaniques et les professionnels, le EPOMAKER Split70 introduit une approche ergonomique innovante. Sa structure divisée en deux modules indépendants permet de réduire la tension dans les bras et les épaules, améliorant le confort lors de longues sessions de frappe ou de jeu. En ajustant librement l’angle et l’écartement des deux parties, l’utilisateur adopte une posture plus naturelle et détendue, limitant la fatigue musculaire.

EPOMAKER Split70 noir

Une disposition compacte et polyvalente

Avec son format 70 %, le Epomaker Split70 conserve l’essentiel des fonctionnalités tout en réduisant l’encombrement. Ses 71 touches et un bouton rotatif programmable offrent une expérience fluide et intuitive. Le bouton permet de contrôler le volume, la luminosité ou encore la lecture multimédia sans quitter les mains du clavier.

EPOMAKER Split70 blanc

Connectivité tri-mode pour une compatibilité totale

Le Epomaker Split70 prend en charge trois modes de connexion : Bluetooth 5.0, sans fil 2,4 GHz et USB-C filaire, permettant une utilisation flexible sur Windows, macOS et Android. Il peut être couplé à cinq appareils simultanément, facilitant la transition entre un PC professionnel, un ordinateur portable et une tablette.

Personnalisation complète avec VIA

Grâce au logiciel VIA, chaque touche du Split70 peut être remappée ou associée à des macros pour optimiser la productivité ou les raccourcis de jeu. Ce niveau de personnalisation permet d’adapter le clavier aux besoins de tout utilisateur, du programmeur à l’éditeur vidéo.

EPOMAKER Split70 côté

Frappe silencieuse et structure à joint d’étanchéité

Le Epomaker Split70 repose sur une structure montée sur joint avec cinq couches de matériaux d’insonorisation : latex, mousse IXPE, renfort PET, éponge inférieure et silicone. Ce design multicouche adoucit la frappe et réduit la résonance sonore, procurant une sensation de frappe douce et « crémeuse ». Les interrupteurs linéaires EPOMAKER Wisteria V2, lubrifiés en usine, offrent une activation fluide avec une force d’actionnement de 45 g et une course totale de 3,6 mm.

Rétroéclairage RVB dynamique

EPOMAKER Split70 connexions

Le Epomaker Split70 est équipé d’un rétroéclairage RVB complet, composé de 71 LED orientées vers le sud. Chaque touche peut être personnalisée individuellement en couleur, saturation, luminosité et vitesse d’effet, permettant de créer une ambiance lumineuse unique adaptée à chaque environnement de travail.

Endurance et autonomie

Sa batterie rechargeable de 3000 mAh assure jusqu’à 11 heures d’utilisation avec rétroéclairage actif et 260 heures avec les LED désactivées. Le clavier prend en charge un taux de sondage de 1000 Hz en mode filaire ou 2,4 GHz et 125 Hz en Bluetooth, garantissant une latence minimale : 3 ms filaire, 5 ms en 2,4 GHz et 15 ms en Bluetooth.

EPOMAKER Split70 bundle

Spécifications principales de l’Epomaker Split70

  • Disposition : 70 % divisée (71 touches + 1 bouton rotatif)
  • Connexion : Bluetooth 5.0, 2,4 GHz, USB-C
  • Interrupteurs : EPOMAKER Wisteria V2 linéaires, remplaçables à chaud
  • Structure : montage sur joint, 5 couches d’amortissement
  • Rétroéclairage : RVB dynamique par touche
  • Autonomie : jusqu’à 260 h sans LED
  • Compatibilité : Windows, macOS, Android
  • Poids : 890 g (2 modules inclus)
  • Angle de frappe : environ 7°

Une ergonomie au service de la performance

Avec le Split70, EPOMAKER prouve qu’un clavier peut être à la fois compact, personnalisable et respectueux de la posture. Conçu pour les passionnés d’ergonomie et de productivité, il offre une combinaison rare de confort, de silence et de modularité, tout en conservant l’ADN des claviers mécaniques haut de gamme.

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ATTACK SHARK R11 ULTRA : la souris gaming en fibre de carbone qui redéfinit vitesse, précision et design

Le jeu ne se limite plus à la réactivité ou à la puissance brute. Il incarne désormais une fusion entre technologie, vision et design. C’est dans cet esprit qu’ATTACK SHARK, marque reconnue pour ses périphériques gaming hautes performances et accessibles, dévoile la R11 ULTRA, une souris en fibre de carbone forgée à sec. Ce modèle incarne la rencontre entre science des matériaux et ingénierie de précision, posant de nouveaux standards en matière de performance et de durabilité dans le monde des périphériques eSport.

La fibre de carbone forgée, au service de la performance

ATTACKSHARK R11 ULTRA fibre de carbone

La principale innovation de la R11 ULTRA réside dans sa coque en fibre de carbone forgée à sec, inspirée des monocoques de Formule 1. Ce matériau offre une résistance à la traction supérieure à 3 500 MPa, plusieurs fois plus élevée que celle de l’acier, tout en affichant une légèreté exceptionnelle. Chaque coque est façonnée par un processus artisanal à plusieurs étapes, garantissant une précision et une cohérence structurelle parfaites.
Son motif de surface unique, inspiré des lames en acier Damas, marie l’élégance du métal forgé à l’esthétique high-tech des composites modernes. L’ATTACK SHARK R11 ULTRA ne se limite pas à être un outil de jeu : c’est un objet de design fonctionnel, pensé pour séduire autant qu’il performe.

Une architecture matérielle de pointe

ATTACKSHARK R11 ULTRA grip

Sous son châssis ultra-léger, la R11 ULTRA embarque le capteur optique PixArt PAW3950MAX personnalisé, atteignant 42 000 DPI, une vitesse de 750 IPS et une accélération de 50 G. L’architecture à double moteur, soutenue par le chipset Nordic 52840, assure une connexion sans fil stable et sans latence.
Avec un taux de balayage statique de 20 000 ips et un taux d’interrogation de 8 000 Hz, chaque clic est enregistré avec une précision quasi instantanée. Le mode exclusif Hunting Shark pousse encore plus loin la sensibilité du suivi, offrant un contrôle chirurgical dans les environnements compétitifs où chaque milliseconde compte.

Confort et durabilité au niveau professionnel

La R11 ULTRA ne se contente pas d’être rapide : elle est aussi pensée pour durer. Son revêtement Nano-Metal Ice maintient une température agréable même lors des sessions prolongées, tandis que les pieds à double couche assurent une glisse fluide et constante. Les commutateurs optiques Omron, certifiés pour 70 millions de clics, et l’encodeur F-Switch à 2 millions de cycles garantissent une endurance à toute épreuve.
Grâce à une ergonomie équilibrée et un poids maîtrisé de 49g, la souris offre un confort optimal pour les longues compétitions comme pour un usage professionnel intensif.

ATTACKSHARK R11 ULTRA motif damas

Une marque guidée par l’innovation et l’instinct

Derrière cette prouesse technique se trouve la philosophie d’ATTACK SHARK : précision, vitesse et puissance, symbolisées par son emblème du prédateur ultime. Sa devise, Ignite Your Gaming Journey, Build Your Gaming Empire, illustre sa mission : offrir aux joueurs les outils les plus avancés pour repousser leurs limites.
La R11 ULTRA s’inscrit dans la lignée des modèles à succès de la marque, comme la R5 ULTRA en fibre de carbone et les R2/R3 en alliage de magnésium. Présente en Amérique du Nord, en Europe, en Asie du Sud-Est, au Japon et en Corée du Sud, ATTACK SHARK consolide sa place parmi les marques montantes du matériel eSport haut de gamme.

ATTACKSHARK R11 ULTRA 8000Hz

La précision du futur

Avec la R11 ULTRA, ATTACK SHARK propulse la technologie gaming vers un nouveau palier. Entre matériaux avancés, capteur surpuissant et connectivité ultra-rapide à seulement 99 euros, cette souris établit une nouvelle référence dans l’univers du matériel eSport. Une création où chaque clic devient maîtrise, et où la technologie rencontre l’instinct.

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[Test] Alimentation MSI MPG A1000GS PCIE5 : compacte, ATX 3.1 et double 12V-2×6

MSI complète sa série MPG avec la A1000GS PCIE5, un bloc d’alimentation de 1000 watts conçu pour répondre aux dernières exigences de la norme ATX 3.1 et du PCIe 5.1. Le format reste standard (150 × 150 × 86 mm), mais l’approche est plus raffinée, avec deux connecteurs 12V-2×6 natifs capables de délivrer chacun 600 W, un câblage intégralement modulaire et des faisceaux à gaine gaufrée plus souples que sur les générations précédentes.

Sous sa coque compacte, on retrouve une topologie LLC Half Bridge avec conversion DC-to-DC et PFC actif, un schéma éprouvé dans cette catégorie. La marque annonce des condensateurs 105 °C de niveau serveur, une espérance de vie de 150 000 heures (MTTF) et un ensemble complet de protections de niveau industriel (OCP, OVP, UVP, OTP, OPP, SCP, SIP et NLO).

Le refroidissement repose sur un ventilateur Silent Gale 135 mm monté sur palier hydrodynamique (Fluid Dynamic Bearing), capable d’évoluer entre 500 et 1800 tr/min. Sa plage de fonctionnement, associée à une pression statique modérée, vise à concilier silence et efficacité sur des charges soutenues. La certification 80 PLUS Gold assure un rendement pouvant atteindre 90 % à 230 V, cohérent avec ce positionnement.

La connectique comprend un connecteur ATX 24 broches, deux EPS 4+4 broches, deux PCIe 5.1 (12V-2×6), un PCIe 6+2 broches, huit SATA et quatre Molex. MSI annonce une tolérance d’excursion de puissance jusqu’à 235 % de la charge nominale sur des pics de 100 microsecondes, de quoi répondre aux sollicitations brutales des cartes graphiques NVIDIA GeForce RTX 50 et équivalentes.

Proposée à un prix de lancement de 209 €, mais disponible aujourd’hui aux alentours de 140 €, la MPG A1000G PCIE5 s’annonce comme une solution particulièrement compétitive sur le papier. Reste à vérifier dans cette revue si ses performances électriques et acoustiques confirment cette impression de bon rapport technique et tarifaire.

Emballage et contenu de la MSI MPG A1000GS PCIE5

La MPG A1000GS PCIE5 arrive dans un emballage au design typique de la série MPG, dominé par des reflets métalliques et les logos ATX 3.1 et Cybenetics Gold, qui annoncent la compatibilité avec les dernières normes de puissance.

MSI MPG A1000GS face avant de la boite

L’avant de la boîte met en avant le bloc et ses certifications, tandis que l’arrière détaille la connectique complète, les longueurs de câbles et les caractéristiques techniques principales.

MSI MPG A1000GS verso de la boite

À l’ouverture, l’ensemble est bien organisé. L’alimentation est protégée dans une mousse dense, accompagnée d’un jeu de câbles modulaires soigneusement rangés dans une pochette.

MSI MPG A1000GS contenu de la boite

Le bundle comprend le câble secteur, les vis de fixation, un guide utilisateur et les faisceaux modulaires : un ATX 24 broches, deux EPS 4+4 broches, deux câbles PCIe 5.1 (12V-2×6), un PCIe 6+2 broches, huit SATA et quatre Molex.

MSI MPG A1000GS bundle de la boite

La présentation est sobre mais efficace, sans ajout superflu. On note que les câbles plats ont ici laissé place à des faisceaux gainés gaufrés, plus souples et visuellement mieux intégrés que sur la précédente A1000G. L’ensemble inspire le sérieux, avec un conditionnement propre et cohérent pour un bloc de cette catégorie.

Design et présentation de la MSI MPG A1000GS : un bloc compact et soigné

La MPG A1000GS PCIE5 adopte un design compact de 150 mm de longueur, caractéristique de cette nouvelle génération d’alimentations ATX 3.1. Le châssis entièrement métallique reçoit une finition noire texturée, associée à des inserts graphiques diagonaux typiques de la série MPG.

MSI MPG A1000GS cote lateral 01

Les panneaux latéraux alternent entre un marquage « MSI Performance Gaming » et le logo du dragon, imprimés sur une surface légèrement striée. L’ensemble reste discret sans être totalement sobre, avec une identité visuelle cohérente avec le reste du catalogue MSI.

MSI MPG A1000GS cote lateral 02

La face arrière reprend une grille en nid d’abeilles classique, accompagnée d’un interrupteur secteur et d’un bouton Zero Fan, permettant de désactiver le ventilateur en faible charge. L’alimentation du secteur se fait via une prise IEC C14, et l’ensemble respire la rigueur d’un produit bien assemblé.

MSI MPG A1000GS face arriere secteur bouton zero db

Sur la face inférieure, la grille laisse apparaître un ventilateur Silent Gale 135 mm destiné à refroidir les composants internes. Le design de la grille est ajouré en diagonale, dans la continuité du style MPG, et permet un flux d’air homogène sans rupture esthétique.

MSI MPG A1000GS face grille de ventilation

À l’arrière, le panneau modulaire regroupe les connecteurs bien identifiés : deux 12V-2×6 pour cartes graphiques PCIe 5.1, deux CPU/PCIe 8 broches, huit SATA, quatre Molex et un connecteur ATX 24 broches. L’organisation est claire et pensée pour limiter les croisements de faisceaux.

MSI MPG A1000GS panneau connecteurs

Enfin, la face pleine accueille l’étiquette technique avec le label 80+ Gold ainsi qu’un tableau précisant la répartition des rails, avec un unique rail 12V de 83,3 A, capable de délivrer la quasi-totalité des 1000 W annoncés.

MSI MPG A1000GS face pleine etiquette specs

L’ensemble se distingue par une construction compacte et homogène, dans la continuité du positionnement milieu/haut de gamme de MSI sur ce segment.

Câbles et connectique de la MSI A1000GS : double 12V-2×6 mais un seul PCIe 6+2

La MPG A1000GS PCIE5 adopte un câblage entièrement modulaire, permettant de n’installer que les câbles nécessaires à la configuration. Le bundle comprend six faisceaux principaux, réalisés en cuivre étamé et dépourvus de condensateurs intégrés. Ce choix améliore la flexibilité à l’installation tout en facilitant le passage des câbles dans les goulottes du boîtier.

MSI MPG A1000GS set des cables

Les longueurs sont bien proportionnées : un ATX 24 broches de 595 mm (section 16–20 AWG), deux EPS 4+4 broches de 750 mm (16 AWG), un PCIe 6+2 broches de 605 mm (18 AWG), deux PCIe 5.1 (12V-2×6) de 600 mm (16–24 AWG) capables de fournir 600 W chacun, deux faisceaux SATA à quatre connecteurs (495 + 150 + 150 + 150 mm), et un Molex à quatre prises, de même longueur, complété par un adaptateur FDD. Le cordon secteur C13 de 1,38 m vient clore l’ensemble.

Capture d'écran 2025 11 01 163138

Les deux 12V-2×6 se distinguent par leur embout jaune vif, un repère visuel pratique permettant de vérifier la bonne insertion du connecteur. Ce choix réduit la polyvalence avec les cartes non équipées de ce format, notamment certaines cartes plus anciennes et la majorité des modèles AMD récents, mais il reste cohérent avec l’évolution des standards GPU actuels.

Les câbles sont désormais gainés individuellement et équipés de peignes, tout en adoptant un format plat. Cette évolution marque une nette amélioration par rapport au tressage à l’ancienne de l’ancien modèle. Le résultat est un rendu visuel plus propre, une installation plus aisée et un niveau de finition nettement supérieur, désormais conforme aux standards premium du segment.

MSI MPG A1000GS pcie 5 01

MSI justifie la présence d’un seul câble PCIe 6+2 broches par le fait que cette alimentation est avant tout pensée pour les configurations NVIDIA RTX 50, désormais alimentées via les connecteurs 12V-2×6. Ce choix réduit la polyvalence avec les cartes non équipées de ce connecteur, en particulier certaines cartes plus anciennes ou la majorité des modèles AMD récents, mais il s’inscrit dans la logique d’évolution des standards GPU actuels.

Les sections de câbles sont adaptées à la puissance du bloc, avec du 16 AWG sur les lignes critiques et un espacement de 150 mm entre les connecteurs périphériques, suffisant pour un montage propre.

Performances et certifications

La MPG A1000GS PCIE5 cumule trois certifications distinctes : 80 PLUS Gold, Cybenetics ETA Gold et PPLP Gold. Cette dernière provient d’un laboratoire tiers spécialisé dans l’évaluation des blocs d’alimentation selon des critères de rendement, de régulation et de nuisances sonores.

MSI MPG A1000GS gold lables

Un triple label flatteur, mais qui tient davantage de la reconnaissance croisée entre organismes que d’un véritable apport technique. En pratique, une seule certification sérieuse aurait suffi à valider les performances du bloc… tout en permettant peut-être de réduire légèrement son prix final.

MSI MPG A1000GS cybenetics gold
Source

Nous nous concentrons ici sur la certification Cybenetics, enregistrée sous la référence 24PS2701A, qui confirme une double distinction ETA Gold pour l’efficacité et LAMBDA A pour le niveau sonore.

Le bloc affiche une efficacité moyenne de 90,8 % sur plus de 1400 combinaisons de charge, conforme à la norme 80 PLUS Gold, avec un facteur de puissance moyen de 0,97.

MSI MPG A1000GS cybenetics test 01
Source

Le niveau sonore mesuré à 20,6 dBA positionne l’alimentation parmi les modèles les plus discrets de sa catégorie, même si le ventilateur Fluid Dynamic Bearing de 135 mm devient perceptible sous forte charge. La stabilité électrique est excellente, avec une déviation limitée à 0,6 % sur le rail 12 V et un ripple de 30,9 mV à pleine charge. Des valeurs largement en deçà des limites fixées par la norme ATX 3.1.

MSI MPG A1000GS cybenetics noise
Source

La réactivité transitoire est également maîtrisée : le rail 12 V ne descend pas sous 11,26 V lors d’un pic de charge à 200 %, tandis que le temps de maintien (hold-up time) atteint 19 ms, conforme aux exigences ATX. En veille, la consommation est contenue à 0,078 W, validant la compatibilité ErP Lot 6.

MSI MPG A1000GS pcie 5 02

Produit par CWT, ce bloc repose sur une plateforme LLC Half Bridge avec conversion DC-DC. Il s’appuie sur un condensateur principal Rubycon 420 V / 820 µF, complété par des condensateurs secondaires Nippon Chemi-Con et Rubycon. Les MOSFETs On Semiconductor NTMFS5C430N assurent la distribution du 12 V, tandis que la gestion thermique est confiée à un contrôleur Nuvoton MS51FB9AE associé au ventilateur ZIC ZFF132512H.

Système de protections et sécurité électrique

Les protections de la MSI MPG A1000GS PCIE5 couvrent l’ensemble des risques classiques.
L’OCP contrôle les surcharges sur les rails 12 V, 5 V, 3,3 V et 5VSB, tandis que l’OPP limite la puissance à environ 125 % de la charge nominale.

L’OTP interrompt le fonctionnement dès que les radiateurs atteignent 97 °C, et le SCP isole instantanément tout court-circuit détecté sur les lignes principales.
Les fonctions PWR_OK, NLO et SIP complètent l’ensemble, garantissant la stabilité du système et la protection contre les surtensions ou les pics d’intensité, même si la détection de panne du ventilateur n’est pas implémentée.

MSI MPG A1000GS : face à la réalité du marché 1000W Gold

Pour mettre la MSI en face de la réalité, nous l’avons comparée avec des alimentations de même puissance et certifiées Gold par Cybenetics. Le constat s’avère plutôt flatteur pour le modèle de MSI qui parvient à tirer son épingle du jeu malgré une concurrence relevée. Le NZXT C1000 Gold domine certes les débats avec son score de 89.67 et ses 99.69% de performance relative, mais son indisponibilité actuelle l’écarte de facto de l’équation d’achat immédiate.

MSI MPG A1000GS pcie 5

C’est précisément dans ce contexte que le MSI révèle toute sa pertinence. Avec ses 85.70 points et sa performance relative de 95.28%, il se classe honorablement en deuxième position tout en affichant un niveau sonore à 20.79 dB(A). L’ASRock Phantom Gaming le talonne de près avec 84.71 points et une efficacité énergétique légèrement supérieure, tandis que la Seasonic Focus GX-1000 ferme la marche malgré le prestige de la marque, pénalisée par un niveau sonore de 28.24 dB(A) qui la rend objectivement plus audible en charge.

Modèle Certif. Rendement Bruit Score Prix
MSI MPG A1000GS PCIE5 Gold 88.46 % 20.8 dBA 85.7 140 € Acheter
NZXT C1000 Gold Gold 88.71 % 24.9 dBA 89.7 180 € Acheter
ASRock PG-1000G (ATX v3.1) Gold 88.98 % 20.5 dBA 84.7 193 € Acheter
Seasonic Focus GX-1000 Gold 88.29 % 28.2 dBA 81.3 180 € Acheter

La donne change radicalement lorsqu’on intègre le facteur prix dans l’analyse. À 140€ en promotion, la MSI creuse un écart de 40 à 53€ avec ses concurrents, transformant un positionnement déjà solide en véritable opportunité.


Verdict final : ce qu’il faut retenir de la MSI MPG A1000GS PCIE5

test MSI MPG A1000GS
[Test] Alimentation MSI MPG A1000GS PCIE5 : compacte, ATX 3.1 et double 12V-2×6
Conclusion

La MSI MPG A1000GS PCIE5 se positionne comme une alimentation moderne et cohérente, adaptée aux standards actuels du marché. Le constructeur signe ici un bloc compact, bien fini et techniquement solide, capable d’alimenter sans difficulté les configurations haut de gamme, y compris les cartes graphiques les plus exigeantes du moment.

La plateforme CWT utilisée démontre un équilibre convaincant entre rendement, stabilité et silence, avec une efficacité moyenne supérieure à 90 % et un bruit limité à environ 20 dBA. Le ventilateur Silent Gale de 135 mm se montre discret sur la majorité des charges et ne s’active pleinement qu’au-delà de 70 % d’utilisation, tandis que la régulation des tensions reste exemplaire, avec un ripple minimal sur le rail 12 V.

La connectique s’aligne parfaitement sur les attentes de 2025 : deux connecteurs 12V-2x6 capables de délivrer chacun 600 W, un câblage modulaire de bonne qualité, et des faisceaux à gaine individuelle qui marquent un vrai progrès esthétique par rapport aux générations précédentes. Seule la présence d’un unique câble PCIe 6+2 broches limite la polyvalence pour les GPU AMD ou les configurations multi-cartes. Sur une alimentation de 1000 W, ce choix reste difficilement défendable. Cette limitation, plus que symbolique, réduit la polyvalence d’un bloc pourtant destiné aux configurations haut de gamme.

Pour le reste, la A1000GS conserve une structure compacte (150 mm), une ventilation maîtrisée et une connectique bien organisée. Elle cumule même un triple label Gold (80 PLUS, Cybenetics, PPLP), certes redondant, mais garantissant un niveau de contrôle élevé.

Le cœur technique avec condensateurs Rubycon et Nippon Chemi-Con, MOSFETs On Semiconductor et contrôleur Nuvoton, inspire confiance et garantit une durabilité de haut niveau.

Comparée à ses concurrentes directes, la MSI ne revendique pas la première place en efficacité pure, mais elle compense par un comportement acoustique plus maîtrisé et un positionnement tarifaire imbattable. Face à des modèles comme la NZXT C1000 Gold ou l’ASRock PG-1000G, elle s’impose comme la solution la plus rationnelle, offrant un excellent équilibre global.

En promotion autour de 140 €, elle devient un choix particulièrement pertinent dans la catégorie des blocs 1000 W Gold : silencieuse, stable, bien équipée et à la hauteur des nouvelles normes ATX 3.1 et PCIe 5.1. Son orientation clairement tournée vers les connecteurs 12V-2x6 la rend prête pour les prochaines générations de GPU, au prix d’une compatibilité réduite avec les cartes plus anciennes. Nous la recommandons aux utilisateurs misant sur une configuration moderne, n’exigeant pas plusieurs connecteurs PCIe 8 broches.

Qualité / Finition
9
Performances
8.7
Nuisances Sonores
9
Prix
7.9
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Rendement stable et régulation précise
Niveau sonore contenu
Double connecteur 12V-2x6 natif
Format compact et finition soignée
Points faibles
Un seul câble/connecteur PCIe 6+2 broches
Pas de détection de panne ventilateur
8.7
Recommandé

ph award recom new
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[Test] Souris COUGAR Revenger Pro 4K : légèreté et précision à 4000 Hz

COUGAR remet sa souris fétiche sous les projecteurs avec la Revenger Pro 4K, une évolution qui mise sur la vitesse et la précision. Le constructeur ne repart pas de zéro, mais affine une base déjà solide, en y intégrant un taux d’interrogation de 4000 Hz. Sur le papier, cela signifie une latence encore plus faible et un suivi du curseur d’une grande stabilité, des détails qui comptent dans les jeux compétitifs, où chaque milliseconde peut faire la différence.

Visuellement, la COUGAR Revenger Pro 4K se veut plus sage que sa petite sœur, avec un design épuré, des lignes nettes, une finition mate et l’absence de logo RGB. La construction reste quant à elle pensée pour les droitiers, avec deux boutons latéraux placés sur le côté gauche. La marque reste fidèle à sa philosophie, en misant sur des matériaux solides et une ergonomie éprouvée. Sur la balance, la souris garde un poids allégé de 55g, ce qui la rend compatible aussi bien avec une prise en “palm” détendue qu’avec une utilisation plus nerveuse, typée “claw”.

Côté technique, COUGAR annonce un capteur optique Pixart PAW3395 capable d’atteindre 26000 DPI tout en maintenant une précision parfaite, même à grande vitesse. Les clics reposent sur des interrupteurs mécaniques OMRON 70M rapides et nets, tandis que le polling 4K Hz promet une restitution quasi instantanée des mouvements.

Enfin, COUGAR reste fidèle à son positionnement tarifaire agressif. La COUGAR Revenger Pro 4K peut actuellement se trouver à 70 euros, un prix très raisonnable face à la concurrence directe, souvent plus onéreuse lorsqu’elle embarque un polling élevé. Entre design sage mais affirmé, performances de pointe et tarif contenu, la proposition est alléchante sur le papier. Reste à savoir si cette nouvelle version réussit à conjuguer vitesse, confort et fiabilité sans tomber dans la surenchère technique.

Unboxing de la COUGAR Revenger Pro 4K

COUGAR nous a généreusement confié sa Revenger Pro 4K en deux couleurs (la version noire étant un poil moins chère que la blanche). Le packaging reprend la charte visuelle habituelle de la marque avec un fond uni. Le logo doré apparaît en haut à gauche et nous avons une photo du produit en pleine face. L’approche est sobre : peu de texte, un contraste marqué entre les deux coloris, et une typographie moderne mais non agressive.

COUGAR Revenger Pro emballage face

En arrière, le constructeur détaille les principales caractéristiques techniques de la COUGAR Revenger Pro 4K en plusieurs langues. On y retrouve notamment la mention des trois modes de connexion (sans fil 2,4 GHz à 4000 Hz, 2,4 GHz à 1000 Hz, et filaire USB), le poids léger de 55 g, ainsi que la présence de patins PTFE et d’un capteur optique 26 000 DPI. L’autonomie est évoquée avec un maximum de 150 heures d’utilisation ininterrompue. La mise en page est claire et structurée, fidèle au style visuel de la marque.

COUGAR Revenger Pro emballagge arrière

Les petits côtés des boîtes mettent en avant les principales caractéristiques de la COUGAR Revenger Pro 4K. Le côté de la version blanche affiche une présentation épurée avec les chiffres clés imprimés en doré : 55 g, 4K, 26 000 DPI, 70 millions de clics et 150 heures d’autonomie. Le côté du modèle noir liste quant à lui le contenu du coffret, les spécifications techniques détaillées et la compatibilité système (Windows 10 et 11).

COUGAR Revenger Pro emballage côté

COUGAR Revenger Pro 4K : contenu de la boîte

Le coffret de la COUGAR Revenger Pro 4K s’ouvre sur une présentation soignée façon tiroir aux côtés dorés rappelant la couleur du logo de la marque. À l’intérieur, la souris est accompagnée d’une pochette en tissu noir et d’une boîte d’accessoires arborant le logo de la marque.

COUGAR Revenger Pro déballage

Le bundle comprend l’essentiel des accessoires pour exploiter la souris dans ses trois modes de connexion. Nous avons un câble USB-C tressé pour la charge ou l’utilisation filaire, un récepteur sans fil 2,4 GHz 4K Hz, un second dongle à 1 K Hz, ainsi qu’un adaptateur USB pour prolonger la portée. COUGAR ajoute également un jeu de patins de rechange en PTFE, un kit de grips adhésifs pour les flancs et les boutons principaux, et la documentation expliquant les procédures de couplage et les options de configuration. L’ensemble est complet et bien organisé.

COUGAR Revenger Pro accessoires

Spécifications de la COUGAR Revenger Pro 4K

CaractéristiquesDétail
Nom du produitSouris Gaming COUGAR Revenger Pro 4K
CapteurPixArt PAW3395 Optical Gaming Sensor
Résolution maximale26 000 DPI
Vitesse maximale650 IPS
Accélération maximale50 G
Taux de polling125 / 250 / 500 / 1000 / 2000 / 4000 Hz
AutonomieJusqu’à 150 h (à 1000 Hz) / jusqu’à 45 h (à 4000 Hz)
Switches principauxOmron 70M Optical Switch
LogicielCOUGAR UIX
Interfaces4K Wireless USB Dongle (2.4 GHz)
1K Wireless USB Dongle (2.4 GHz)
Filaire
CâbleParacord détachable de 1,8 m
Dimensions124 (L) × 65 (W) × 38 (H) mm
Poids55 g (sans câble)
Compatibilité systèmeWindows 10 / Windows 11

La COUGAR Revenger Pro 4K en détail

La COUGAR Revenger Pro 4K se décline ici dans ses deux finitions : blanche mate et noire. Une présentation qui met en évidence les lignes sobres de la souris : légèrement galbée sur l’arrière et cintrée au centre. Avec ses 124 mm de long, 65 mm de large et 38 mm de haut, la souris est de taille moyenne. Et, avec ses 55 g sans câble, la souris gaming affiche un poids contenu qui favorise les mouvements rapides sur les sessions de jeu.

Sur la version blanche de la COUGAR Revenger Pro 4K, le contraste des boutons noirs permet de visualiser rapidement les zones fonctionnelles : clics principaux, molette et boutons latéraux. L’ensemble gagne ainsi en lisibilité sans donner l’impression d’un design bicolore purement esthétique. Les proportions équilibrées et la forme symétrique confirment une conception pensée avant tout pour le confort et la maîtrise, quel que soit le style de prise et quel que soit l’utilisation.

COUGAR Revenger Pro vue globale

Vue du dessus, la COUGAR Revenger Pro 4K White nous montre sa silhouette symétrique, légèrement élargie sur l’arrière pour mieux caler la paume de la main. Les clics principaux sont bien distincts du reste de la coque, séparés par une ligne fine qui souligne la géométrie du design. La surface mate diffuse la lumière sans reflet, offrant un rendu uniforme et discret. En revanche, même si le revêtement est mat, il y aura une légère tendance à la glisse dans les premières minutes d’utilisation. Rien de rédhibitoire, mais les joueurs recherchant une excellente accroche dès la prise en main préféreront sans doute ajouter les grips fournis dans le bundle.

La molette centrale de la COUGAR Revenger Pro 4K profite d’une bande en caoutchouc facilitant son utilisation avec la pulpe du doigt. Elle s’intègre dans un logement légèrement creusé, facilitant la précision du défilement. Légèrement crantée, elle reste silencieuse en défilement tout en gardant une sensation de précision. Juste devant, une petite LED servira d’indicateur d’état et de batterie et de la sensibilité du capteur. La disposition générale est équilibrée : tout tombe naturellement sous les doigts, sans excès de relief ni fioriture esthétique. L’impression globale est celle d’une souris mesurée et fonctionnelle, où chaque élément a trouvé sa place sans surcharge visuelle.

COUGAR Revenger Pro 4K dessus

Sur cette vue de côté, nous remarquons la légère surélévation des deux boutons principaux, séparés en arrière de la molette, par une fine ligne centrale. Leur positionnement est bien étudié : ils tombent naturellement sous les doigts avec une surface légèrement concave. COUGAR utilise ici des switches optiques Omron 70M, au clic net et rapide, avec un rebond franc, mais très discret. L’écartement entre les boutons limite les pressions involontaires. Leur résistance est juste, ni trop ferme, ni trop légère, parfaite pour le jeu comme pour le travail.

COUGAR Revenger Pro vue côté

Vue de face, nous apercevons le port USB-C placé au centre de la COUGAR Revenger Pro 4K, bien encastré dans le châssis. L’ouverture est large et accessible, ce qui facilite le branchement du câble. Depuis l’arrière, nous voyons la courbure prononcée du dos, pensée pour épouser la paume de la main. La forme est arrondie, offrant une bonne stabilité en prise palm. La COUGAR Revenger Pro 4K est légèrement surélevée en arrière pour éviter tout frottement en déplacement.

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Sur le côté gauche de la COUGAR Revenger Pro 4K, nous retrouvons deux boutons secondaires bien distincts, légèrement incurvés vers l’extérieur. Leur positionnement tombe juste sous le pouce, sans nécessiter de mouvement exagéré. Les clics sont nets, mais plus bruyants que les boutons principaux, avec une course courte et une résistance bien dosée. Leur surface mate offre une bonne accroche, même sans grip. L’ensemble reste discret, bien intégré au design général, et facile à identifier à l’aveugle pendant l’action. La marque COUGAR apparaît en bas à gauche en lettres dorées.

COUGAR Revenger Pro latéral gauche

De l’autre côté, la COUGAR Revenger Pro 4K présente une surface vierge, sans bouton ni relief particulier.

COUGAR Revenger Pro latéral droit

Sous la COUGAR Revenger Pro 4K, nous retrouvons quatre patins en PTFE disposés aux coins. Ils sont accompagnés d’un cinquième autour du capteur. Leur découpe est nette et leurs bords arrondis assurent une glisse fluide, sans accrochage. Le matériau choisi offre un excellent compromis entre douceur de déplacement et durabilité, ce qui se ressent particulièrement sur les tapis à surface textile.

Au centre, une étiquette noire regroupe les principales informations : numéro de série, références techniques et certifications de la COUGAR Revenger Pro 4K. Elle occupe une surface importante, mais sans gêner la glisse ni nuire à l’équilibre de la base. La finition en texture carbone renforce la cohérence visuelle avec le reste du design, tout en donnant un aspect plus technique à l’ensemble.

COUGAR Revenger Pro 4K dessous

Au centre, nous retrouvons le capteur optique PixArt PWM3395, souvent utilisé dans les souris gaming comme l’ENDORFY LIV Plus Wireless Onyx White. Ce capteur peut atteindre une résolution de 26 000 DPI, avec une vitesse maximale de 650 IPS et une accélération de 50 G, des valeurs qui garantissent un suivi stable même lors de mouvements rapides. Il est entouré de deux boutons qui permettent de changer la sensibilité à la volée et de mettre la souris sous tension.

COUGAR Revenger Pro 4K capteur

Sous la COUGAR Revenger Pro 4K, la marque a intégré un emplacement magnétique pour ranger le dongle USB. La pièce s’insère fermement dans son logement, sans jeu, et se retire facilement grâce à un léger rebord à accrocher avec l’ongle. Ce système évite toute perte lors du transport. Ce dongle est limité à 1000 Hz pour un usage plus classique (bureautique) ou à des systèmes moins exigeants.

COUGAR Revenger Pro 4K dongle

Les accessoires en détail de la COUGAR Revenger Pro 4K

Le dongle 4K livré avec la COUGAR Revenger Pro 4K se distingue par son format compact. Il est marqué d’un joli COUGAR en relief. C’est lui qui permet d’exploiter le taux d’interrogation de 4000 Hz pour une communication plus rapide entre la souris et le PC. Sur l’un de ses côtés, une inscription rappelle que la souris est déjà appairée d’usine avec le dongle 1K, et qu’il faut utiliser celui-ci pour activer le mode 4K. L’utilisateur doit se référer au manuel pour son appairage. L’ensemble respire la solidité et s’intègre facilement dans le setup grâce à sa taille réduite. En dessous, il profite d’un large patin antidérapant lui assurant une très bonne stabilité sur le support.

COUGAR Revenger Pro 4K dongle
COUGAR Revenger Pro 4K dessous dongle

Une petite LED est présente dans le dongle 4K. Celle-ci sert d’indicateur de niveau de batterie. Au delà de 75%, elle s’affiche en vert, entre 75% et 15%, elle passe au bleu et en dessous de 15%, en rouge.

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Le câble fourni avec la COUGAR Revenger Pro 4K mesure 1,8 mètre et adopte une gaine paracord tressée, souple et légère. Ce choix limite la résistance sur le bureau, ce qui rend l’utilisation en mode filaire agréable. Le connecteur USB-C est biseauté pour éviter également la friction sur le bureau.

COUGAR Revenger Pro 4K câble

Enfin, la COUGAR Revenger Pro 4K est livrée avec un jeu complet de grips adhésifs à surface texturée. Leur découpe épouse précisément les zones latérales et les boutons principaux de la souris. Le motif en losange permet une adhérence idéale, pratique pour compenser le revêtement légèrement glissant de la coque au départ. La marque livre également un ensemble de patins en PTFE de rechange. Leur forme reprend celle des patins d’origine, avec des bords arrondis pour préserver la glisse. Un ajout appréciable, rare sur ce segment, qui prolonge la durée de vie du produit sans passage par la case SAV.

COUGAR Revenger Pro détails grips

Logiciel COUGAR UIX

La COUGAR Revenger Pro 4K s’appuie sur le logiciel COUGAR UIX, une application commune aux périphériques récents de la marque. L’installation se fait sans difficulté depuis le site officiel, et la souris est immédiatement reconnue en connexion filaire comme en sans-fil.

L’écran d’accueil du logiciel COUGAR UIX affiche directement la COUGAR Revenger Pro 4K une fois branchée. La souris est représentée au centre, encadrée par un liseré orange typique de la marque. Un menu déroulant permet de sélectionner la langue. L’interface est sobre, lisible et réagit immédiatement à la connexion de la souris, sans configuration préalable.

COUGAR Revenger Pro 4K logiciel accueil

Le premier onglet permet d’accéder à la gestion des boutons de la COUGAR Revenger Pro 4K. C’est ici que nous pourrons également choisir et paramétrer jusqu’à quatre profils.

COUGAR Revenger Pro 4K logiciel profils

Chaque bouton est entièrement reprogrammable, qu’il s’agisse d’une action simple, d’un raccourci clavier ou d’une macro préenregistrée. L’interface affiche aussi le temps de rebond, un paramètre ajustable pour les joueurs qui souhaitent affiner la réactivité du clic. Les menus sont clairs, avec un système de restauration, d’importation ou d’exportation des profils, utile pour transférer ses réglages d’un PC à un autre.

COUGAR Revenger Pro 4K logiciel macros
COUGAR Revenger Pro 4K logiciel macros temps de rebond

Le deuxième onglet concerne l’ajustement du capteur de la COUGAR Revenger Pro 4K avec les principaux paramètres de suivi et de sensibilité. Nous pouvons y définir jusqu’à cinq niveaux de DPI, chacun personnalisable indépendamment et associé à une couleur distincte pour un repérage rapide via la LED située près de la molette. Le curseur permet d’ajuster la valeur avec précision, de 400 à 26 000 DPI par crans de 50 DPI.

Juste en dessous, le taux de polling peut être modifié entre 125, 250, 500 et 1000 Hz avec le dongle 1Khz et jusqu’à 4000 Hz avec le dongle 4K. Les options avancées offrent la possibilité de régler différents paramètres, dont la hauteur de décrochage (LOD), la synchronisation du mouvement, le contrôle des ondulations et l’accrochage d’angle. L’ensemble est clair, bien organisé, et permet de tirer pleinement parti du capteur PixArt PWM3395 sans passer par des menus complexes.

COUGAR Revenger Pro 4K logiciel 4000Hz
COUGAR Revenger Pro 4K logiciel 1000Hz

Le troisième onglet va concerner la création et la gestion des macros. L’interface est simple : deux colonnes listent les macros enregistrées et les touches associées. Les options situées à droite permettent de choisir le délai d’insertion automatique, d’ajuster la vitesse d’exécution, ou encore de définir un cycle de répétition selon la durée de pression. L’enregistrement se lance d’un clic, et chaque action peut être modifiée ou supprimée individuellement.

COUGAR Revenger Pro 4K logiciel macros

Enfin, le dernier onglet du logiciel COUGAR UIX rassemble les informations techniques et les options de gestion de la souris. On y retrouve la version du micrologiciel du récepteur (v2.15) et de la souris (v2.17), ainsi qu’un outil d’appairage pratique pour reconnecter le dongle sans fil en cas de souci de liaison. Le menu propose aussi des réglages simples, comme la mise en veille automatique (par défaut après une minute d’inactivité) et l’option pour lancer le logiciel au démarrage de Windows. Les paramètres avancés permettent aussi d’activer un mode longue distance.

COUGAR Revenger Pro 4K logiciel paramètres

La COUGAR Revenger Pro 4K en pratique

Avec son format relativement compact (124 × 65 × 38 mm) et son poids léger de seulement 55 grammes (une valeur remarquable pour une souris non perforée), la COUGAR Revenger Pro 4K sait rapidement se faire oublier. Sa manipulation est facile, elle se déplace avec une aisance remarquable. Les mouvements sont précis, les transitions rapides, et les patins PTFE assurent une glisse fluide et silencieuse sur la plupart des surfaces.

Sa forme symétrique repose naturellement dans la main. Le dos légèrement bombé soutient bien la paume, tandis que les flancs creusés guident les doigts sans effort. Les boutons principaux, légèrement concaves, accueillent la pulpe des doigts de façon naturelle. On s’y sent vite à l’aise, que ce soit en palm grip, en claw grip ou même en fingertip (même si notre position préférée a été en palm grip).

COUGAR Revenger Pro 4K prises

Le revêtement mat est agréable au toucher. Il donne une impression de finesse, mais il favorise un peu la glisse au premier contact. Lorsque la main chauffe, l’adhérence est meilleure et la souris reste bien en main. Si besoin, l’utilisateur pourra adapter les grips adhésifs fournis : ils ajoutent de l’adhérence et une texture plus sûre sans forcément nuire à l’esthétique. Nous avons adoré le clic satisfaisant des boutons principaux. Les switches optiques Omron 70M se montrent particulièrement agréables à l’usage. Leur déclenchement est net, rapide, mais aussi remarquablement silencieux, ce qui rend la Revenger Pro 4K adaptée à un environnement de travail de type open space.

Le poids léger, la glisse fluide assurée par les patins et son design permettent à la COUGAR Revenger Pro 4K de combiner agilité et confort. La souris est adaptée aussi bien à un usage intensif en jeu qu’à une utilisation prolongée au quotidien.

COUGAR Revenger Pro 4K blanc noir

Légère ne veut cependant pas dire fragile, et la Revenger Pro 4K le prouve rapidement. Sous le capot, on retrouve le capteur PixArt PMW3395, une valeur sûre pour les souris gaming. Il assure un suivi précis jusqu’à 26 000 DPI, une vitesse maximale de 650 IPS et une accélération de 50 G.

En jeu, le suivi est parfaitement stable, sans décrochage ni latence perceptible. Les petits mouvements sont nets, les grands mouvements sont parfaitement fluides. La souris réagit immédiatement, que ce soit dans un FPS compétitif ou lors d’un simple travail de précision sur le bureau.

Le mode sans fil 2,4 GHz affiche une latence quasi nulle, mais c’est surtout le taux de rafraîchissement à 4000 Hz qui impressionne : le curseur accompagne chaque geste avec une fluidité continue, presque naturelle.

COUGAR Revenger Pro 4K noir gauche

Côté autonomie, il faut logiquement faire un compromis : en pratique, nous sommes quasiment arrivés aux 150 heures annoncées à 1000 Hz, et environ 45 heures en mode 4000 Hz. Une autonomie très satisfaisante ! Pour les tête en l’air qui pourraient oublier de recharger la souris, pas de panique puisque la recharge via USB-C est rapide et qu’il est tout à fait possible de continuer à l’utiliser en mode filaire grâce à son câble tressé léger et flexible.

Le tout donne une impression de maîtrise : aucun lag, aucun décrochage, aucune interférence, même après plusieurs jours d’utilisation intensive.

COUGAR Revenger Pro 4K noir droit

Conclusion : notre avis sur la COUGAR Revenger Pro 4K

COUGAR Revenger Pro 4K Couv
[Test] Souris COUGAR Revenger Pro 4K : légèreté et précision à 4000 Hz
Conclusion

Avec la Revenger Pro 4K, COUGAR signe une souris aboutie, à la fois légère, rapide et agréable à utiliser. Son poids contenu de 55 g la rend extrêmement maniable, tandis que sa forme équilibrée assure un bon confort, même après plusieurs heures d'utilisation. Le revêtement mat mais cependant glissant au premier contact, demandera peut-être un petit temps d’adaptation mais cette sensation disparaît avec le temps et les grips fournis corrigent efficacement ce point.

Le capteur PixArt PWM3395 livre une prestation sans faille : suivi stable, précision constante et réactivité exemplaire. Le taux de rafraîchissement à 4000 Hz apporte une sensation de fluidité très naturelle, même si la différence avec le 1000 Hz ne sautera pas toujours aux yeux de tout le monde. L’autonomie reste correcte et le câble tressé permet une utilisation filaire confortable.

Le logiciel COUGAR UX, sans être spectaculaire, fait le travail : il est stable, clair et suffisamment complet pour personnaliser la souris selon ses besoins. On apprécie aussi l’effort sur le bundle : patins de rechange, grips, double dongle et housse de transport. Tout y est, sans fioriture.

Enfin, le tarif d’environ 70 € place la Revenger Pro 4K dans une position très compétitive face à des modèles souvent plus chers pour des prestations similaires. COUGAR vise juste avec une souris cohérente, bien construite et pensée pour durer. Une belle surprise à un rapport qualité/prix irréprochable pour les joueurs qui veulent allier légèreté, fiabilité et performances réelles, sans tomber dans l’excès marketing.

Réactivité
8.9
Ergonomie
8.9
Qualité / finition
8.8
Prix
9.5
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Poids plume de 55 g, sans structure perforée
Polling 4000 Hz réellement efficace
Capteur PixArt 3395 précis et fiable
Bundle complet (grips, patins, double dongle, housse)
Logiciel COUGAR UIX clair et stable
Rapport performance/prix très compétitif
Points faibles
Le revêtement glisse dans les premières minutes
Autonomie réduite en mode 4K Hz
Pas de Bluetooth
9

ph award top qualité

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AMD offre 4 jeux Steam avec le Lenovo Legion Go 2 chez Costco : Starfield inclus

Quatre jeux Steam pour accompagner une console portable, c’est l’argument qu’AMD dégaine pour doper le Lenovo Legion Go 2 chez Costco. L’offre, exclusive à l’enseigne et limitée en coupons, cible clairement les joueurs tentés par l’APU Ryzen Z2.

Un bundle costaud pour le Legion Go 2

D’après AMD, l’achat d’un Lenovo Legion Go 2 éligible donne droit à quatre clés Steam : Starfield, Unknown 9: Awakening, Lies of P et Warhammer 40,000: Space Marine 2, pour une valeur cumulée annoncée de 202 dollars (environ 190 euros). La campagne a démarré le 31 octobre 2025 et se poursuit « tant que les coupons sont disponibles », précise AMD, dans les entrepôts Costco participants et sur Costco.com aux États‑Unis et au Canada. La dernière date de validation est fixée au 2 mai 2026.

Visuel promotionnel AMD annonçant un bundle de quatre jeux offert avec la console Lenovo Legion Go 2, offre exclusive Costco.

Le Legion Go 2 mise sur une fiche technique musclée pour le jeu nomade : écran OLED 8,8 pouces 1920 × 1200 jusqu’à 144 Hz, contrôleurs détachables, batterie de 74 Wh et configurations pouvant grimper jusqu’à 32 Go de LPDDR5X et 2 To de SSD selon les marchés. Il faut dire que le Ryzen Z2 cherche à convaincre les amateurs de performances sans sacrifier la mobilité.

Comment récupérer les jeux

La procédure reste classique : créer ou se connecter à un compte AMDRewards, saisir le coupon, puis exécuter l’outil de vérification produit sous Windows si nécessaire. Après liaison du compte Steam, les titres sont ajoutés à la bibliothèque.

Reste à voir si cette exclusivité Costco suffira à distinguer le Legion Go 2 dans un segment portable très concurrentiel mais si cela va arriver comme offre globale car pour l’instant ca rteste uniquement valable en amérique. L’addition de Starfield et de Space Marine 2 a de quoi attirer, mais l’offre demeure circonscrite à l’Amérique du Nord.

Source : VideoCardz

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Intel a annulé les GPU BMG-X3/X4. Ils devaient intégrer jusqu’à 40 cœurs Xe2 et 512 Mo de cache.

Des Battlemage « enthusiast » chez Intel ? Il semblerait que le projet ait capoté avant d’atteindre le commerce, malgré des spécifications ambitieuses.

BMG-X3 et BMG-X4 : des cartes musclées… mais annulées

Cette année, Battlemage n’a guère fait la une. Intel a bien lancé les Arc B580 et B570 sur GPU BMG-G21 l’an dernier, difficiles à trouver au tarif conseillé au départ, mais la situation s’est normalisée. On recense désormais près de 30 modèles personnalisés sur ces références.

intel arc xe2 bmg g21

Plus tard, des versions Arc Pro basées sur les variantes B60 et B50 sont arrivées, avec davantage de mémoire et même une configuration bi‑GPU. Elles commencent à peine à pointer chez les revendeurs, mais visent de toute évidence un autre public.

Asrock Intel Arc Pro B60 Passive 24GB 02

En parallèle, le GPU BMG-G31 reste attendu. D’après les fuites de cette semaine, son développement se poursuit, et les premiers rapports indiquaient déjà qu’il ne sortirait pas aux côtés du G21. Rien d’étonnant à ce que ces rumeurs se confirment aujourd’hui.

intel bmg g31 driver inf leak arc b7707931694008158826001

Feuille de route initiale Battlemage saboté

Selon le leaker Bionic_Squash, la feuille de route initiale était nettement plus ambitieuse. Intel avait prévu au moins deux déclinaisons supplémentaires : BMG-X3 (sur G10) et BMG-X4, avec respectivement 28 et 40 cœurs Xe2. Le X3 aurait combiné un bus mémoire GDDR6 de 192 bits et un cache Adamantine de 512 Mo. Plus lent que le L2, ce cache devait fonctionner comme un accélérateur de bande passante à la manière de l’Infinity Cache d’AMD.

BMG G10(X3) was a 3D stacked die with:
28 Xe cores
8MB L2 cache
192b GDDR6
x16 PCIE gen 5
512MB Adamantine cache https://t.co/1qB3PUojqB

— Bionic_Squash (@SquashBionic) October 31, 2025

Particularité majeure, l’Adamantine Cache devait être empilé en 3D sur le « base tile », une approche complexe qui pourrait avoir pesé dans la décision d’annuler. Leaker à l’appui : « tous les produits Adamantine Cache ont été abandonnés », incluant BMG-X3, BMG-X4 et Arrow Lake Halo, supposée réponse d’Intel au Strix Halo d’AMD.

Reste à voir si la cause tient aux coûts, à la complexité ou à des performances jugées insuffisantes. Ce retrait éclaire en tout cas pourquoi Intel avait évoqué des Battlemage « enthusiast » qui ne sont jamais sortis. Espérons que le G31 échappe au même sort et se montre enfin en action.

Ce qui reste au catalogue

Pour l’heure, le cœur de l’offre grand public demeure les Arc B580/B570, tandis que les Arc Pro B60/B50 occupent le segment pro et créatif. Le G31, encore en développement d’après les fuites, pourrait redonner de l’élan à la gamme si Intel parvient à concrétiser ses promesses.

Source : VideoCardz

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AMD clarifie : optimisations de jeux maintenues pour RDNA 1 et RDNA 2 selon le marché

Confusion dissipée, ou presque : AMD affirme que les GPU RDNA 1 et RDNA 2 bénéficieront encore d’optimisations de jeux, mais uniquement « selon les besoins du marché ».

Une précision qui ne fait qu’entretenir le flou, puisqu’elle signifie que le support ne disparaît pas totalement, sans pour autant promettre de suivi régulier.

AMD rectifie le tir sur le « maintenance mode »

La communication autour des derniers pilotes a semé le doute, et il faut dire que les messages se sont contredits. Après plusieurs allers-retours, AMD revient sur sa formulation initiale : le fameux mode maintenance ne signifierait pas l’arrêt net des optimisations pour RDNA 1 et RDNA 2.

D’après un message transmis à Tom’s Hardware, les ajustements de performances se poursuivront en fonction de la demande du marché. Autrement dit, les nouvelles cartes resteront prioritaires, mais les anciennes ne sont pas abandonnées.

Cette précision change la donne par rapport à la première version, qui ne mentionnait pas du tout d’optimisations pour ces architectures. Reste à voir si le rythme des mises à jour suivra réellement la sortie des jeux les plus attendus, ou s’il s’agira d’interventions ponctuelles.

Des notes de version encore ambiguës

Les dernières mises à jour entretiennent encore quelques incertitudes. Si la compatibilité USB-C a bien été confirmée comme conservée, l’entrée « nouveau support de jeu » figure toujours dans le changelog, suggérant que certains profils continueront de viser les anciennes générations. AMD maintient néanmoins un discours prudent : les optimisations seront assurées « selon les besoins du marché », une expression que Tom’s Hardware juge trop vague pour évaluer la portée réelle du support.

En résumé, AMD ne coupe pas les ponts avec RDNA 1 et RDNA 2, mais le rythme et la profondeur des mises à jour dépendront du contexte commercial et de la popularité des jeux à venir.

Source : VideoCardz

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Intel BMG-G31 : un GPU aperçu dans quatre variantes, dont une grand public, laissant entrevoir l’Arc B770

Les rumeurs autour du prochain GPU Battlemage d’Intel se multiplient, et un nouveau leak vient relancer l’intérêt. Selon des informations issues d’un fichier INF de pilote graphique en développement, la puce BMG-G31 serait utilisée dans quatre déclinaisons, dont trois professionnelles et une grand public. Ce détail laisse penser que l’Arc B770, longtemps évoquée, pourrait bel et bien exister.

Un fichier de pilote qui en dit long

La fuite provient du leaker @GOKForFree, qui affirme avoir eu accès à un fichier d’installation de pilote d’ingénierie mentionnant plusieurs références internes. Parmi elles, la BMG-G31, basée sur l’architecture Xe2 Battlemage, déjà repérée dans des journaux Linux le mois dernier. Ces premiers indices révélaient un GPU doté de 16 Go de VRAM, positionné au-dessus de l’actuelle Arc B580, qui exploite la puce BMG-G21.

Fuite du fichier pilote INF Intel révélant la puce BMG-G31 utilisée dans plusieurs GPU Arc Pro et Arc grand public.

Le fichier INF ferait également référence à Nova Lake et Nova Lake-S, deux plateformes CPU attendues pour 2026, confirmant qu’Intel avance conjointement sur ses gammes CPU et GPU de nouvelle génération.

Arc B770 : la relève de milieu de gamme ?

Si l’on se fie à la nomenclature habituelle, la BMG-G31 serait bien celle de la future Arc B770, un GPU milieu de gamme supérieur destiné à concurrencer les GeForce RTX 5060 Ti 16 Go et Radeon RX 9060 XT 16 Go. Avec environ 1,6× plus de cœurs que la B580 et 16 Go de mémoire GDDR6, elle viserait les joueurs en 1440p à un tarif estimé autour de 350 $.

Une arrivée tardive mais attendue

L’Arc B580 est disponible depuis près de dix mois, et AMD comme NVIDIA ont déjà complété leurs gammes respectives. Intel pourrait attendre le CES 2026 pour officialiser sa carte, sauf surprise. Si elle parvient à surpasser la RX 9060 XT à prix égal, elle pourrait redonner de la visibilité à la gamme Battlemage, parfois jugée en retrait.

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Intel LGA1954 : compatibilité des ventirads LGA1851 et LGA1700 confirmée par Thermaltake

Bonne nouvelle pour les gamers PC : les ventirads actuels ne finiront pas au placard. D’après un guide d’installation de Thermaltake qui a fuité, le futur socket Intel LGA1954 pour les Core Ultra 400 « Nova Lake-S » acceptera les systèmes de refroidissement LGA1851 et LGA1700.

LGA1954 : cap sur la continuité côté refroidissement

La rumeur circulait depuis mai 2025, mais elle se voit désormais appuyée par un acteur majeur du refroidissement. En clair, vous devriez pouvoir réutiliser un ventirad acheté pour un Core de 12e génération « Alder Lake » en 2021 sur une future plateforme « Nova Lake », un point qui limitera coûts et contraintes lors de la mise à niveau.

Thermaltake confirme compatibilité ventirads LGA1851/LGA1700 avec Intel LGA1954 — refroidissement CPU, sockets Intel

Thermaltake apporte ainsi une confirmation attendue : « la compatibilité des fixations LGA1851 et LGA1700 est maintenue », peut-on résumer du document. Intel conserverait des dimensions proches pour le package tout en augmentant le nombre de pins du socket. Pour y parvenir, le fondeur réduirait la taille des points de contact et la zone centrale dite « island », qui accueille certains composants SMD.

Un upgrade plus simple, reste à voir le TDP

Cette compatibilité mécanique ne préjuge pas des exigences thermiques, mais c’est déjà un solide filet de sécurité pour les utilisateurs. Il faut dire que la continuité des fixations est devenue un vrai critère d’achat. Reste à voir si les futurs TDP des Core Ultra 400 imposeront, ou non, des ventirads plus musclés.

Source : TechPowerUp

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