Le procès de quatre hommes de nationalité bulgare jugés dans l'affaire des "mains rouges" taguées en mai 2024 sur le Mémorial de la Shoah, sur laquelle plane le spectre d'une ingérence étrangère, s'est ouvert ce mercredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Paris.
Une loi-cadre sur les violences faites aux femmes devrait être présentée fin novembre au Premier ministre Sébastien Lecornu. Les associations féministes espèrent que la France s'inspirera des dispositifs existant dans plusieurs pays européens – notamment en Espagne – pour enfin mettre en place un cadre unifié et pérenne.
Plus d'une semaine après le vol rocambolesque de joyaux de la couronne de France au musée du Louvre, la procureure de Paris a affirmé que les deux hommes interpelés ont partiellement reconnu les faits et vont être présentés à un juge d'instruction en vue de leur mise en examen.
Le Parlement a entériné mercredi l'intégration de la notion de consentement à la définition pénale du viol, fruit d'un long processus législatif transpartisan concrétisé par un ultime vote du Sénat, ce qui permet à la France de rejoindre plusieurs pays ayant déjà procédé à cette évolution du droit.
La gauche et le Rassemblement national ont approuvé, à une écrasante majorité, un amendement des Insoumis visant à taxer les bénéfices des grandes entreprises étrangères et des Gafam américains. Un revers pour le gouvernement et une "folie fiscale" pour la droite. Roselyne Febvre en parle avec Pablo Pillaud-Vivien, rédacteur en chef de la revue Regards, et Dominique de Montvalon, éditorialiste politique.
Plus d'une semaine après le vol rocambolesque de joyaux de la couronne de France au musée du Louvre, la procureure de Paris a affirmé que les deux hommes interpelés ont partiellement reconnu les faits et vont être présentés à un juge d'instruction en vue de leur mise en examen.
Quatre hommes de nationalité bulgare comparaissent à partir de mercredi devant un tribunal à Paris dans l'affaire des "mains rouges" taguées en mai 2024 sur le Mémorial de la Shoah situé au cœur de la capitale française. Le spectre d'une ingérence russe plane sur ce procès prévu pour durer trois jours.
Des peines de prison de 3 à 12 mois avec sursis et des amendes allant jusqu'à 8 000 euros ont été requises à Paris, mardi, à l'encontre des dix cyberharceleurs présumés de Brigitte Macron. La première dame était la cible d'une infox mondiale la présentant comme une femme transgenre. Les explications de Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch et Emmanuelle Anizon, Grand reporter à L'Obs.
Les débats autour du budget se poursuivent à l’Assemblée nationale. La taxe Zucman voulue par le PS doit être examinée cette semaine. Pour Laurent Jacobelli, député de Moselle et porte-parole du Rassemblement national, "cette mesure n’a ni queue ni tête et ne sera pas votée". Selon lui, le budget finira par "passer par ordonnances". Il sera aussi question de la contribution de la France à l’UE et de l’aide publique au développement que le RN veut supprimer.
Au second jour du procès pour cyberharcèlement de Brigitte Macron, sa fille Tiphaine Auzière a dénoncé mardi la dégradation des "conditions de santé" de sa mère. Elle est, depuis 2021, la cible d’une rumeur affirmant qu’elle serait une femme transgenre. Des peines de prison de 3 à 12 mois avec sursis ont été requises contre dix harceleurs.
Figure de proue du mouvement anticolonialiste, Mehdi Ben Barka a été enlevé le 29 octobre 1965 devant la brasserie Lipp à Paris. Alors que la justice française tente depuis de nombreuses années de faire la lumière sur cette affaire, un récent livre évoque une disparition menée sur ordre du roi Hassan II par des agents marocains aidés de truands parisiens, avec le soutien des services secrets israéliens.
Alors que les discussions sur le budget se déroulent à l'Assemblée nationale, le Parti socialiste veut imposer la taxe Zucman qui divise le monde politique depuis des semaines. Du coup, ils ont dégainé une nouvelle version allégée, loin de faire l'unanimité.
Le procès de dix personnes jugées pour cyberharcèlement à l'encontre de Brigitte Macron, cible depuis 2021 d’une rumeur affirmant qu’elle serait une femme transgenre, a débuté lundi. Retour sur la genèse de cette théorie complotiste et sa propagation planétaire.
Le procès pour cyberharcèlement à l’encontre de Brigitte Macron vient de s’ouvrir en France contre dix personnes accusées d’avoir relayé l’intox selon laquelle la Première dame serait un homme. Cette intox a aussi été très relayée aux États-Unis par l’influenceuse MAGA Candace Owens. Ce phénomène a un nom : la "tranvestigation".
Enseignant, publicitaire ou encore journaliste… 10 personnes âgées entre 41 et 60 ans sont jugées ce lundi pour cyberharcèlement contre la première dame Brigitte Macron. Elle est la cible d’une infox virale selon laquelle elle serait une femme transgenre
Alors que le Grand Musée égyptien du Caire s'apprête à ouvrir ses portes, nous nous sommes demandé pourquoi les Français étaient si passionnés par l'Égypte ancienne. Avec ses hiéroglyphes, ses pyramides, ses mystères, le pays des pharaons fascine petits et grands. Les expositions sur ses trésors millénaires sont à chaque fois un succès. Retour en images sur les origines de cette passion française qui traverse les âges.
Dix personnes sont jugées à partir de lundi devant le tribunal correctionnel de Paris pour cyberharcèlement à l'encontre de Brigitte Macron, cible d'une infox virale selon laquelle elle serait une femme transgenre.
Le Parti socialiste et le gouvernement ont trouvé lundi un compromis sur la surtaxe des bénéfices des grandes entreprises, signe d'un rapprochement dans les discussions budgétaires. Mais des désaccords persistent, notamment sur la taxation des patrimoines et la suspension de la réforme des retraites.
Dix personnes, dont le publicitaire Aurélien Poirson-Atlan et la "médium" Delphine J., comparaissent dès lundi devant le tribunal de Paris pour cyberharcèlement contre Brigitte Macron, prise pour cible d'une rumeur sexiste et transphobe, née en ligne et devenue virale jusqu'aux États-Unis.
Vingt ans après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré et les émeutes urbaines de 2005 qui ont secoué la France, la fracture entre jeunes des quartiers populaires et police reste vive. La défiance perdure, nourrie par les réseaux sociaux, la persistance des discriminations et une institution policière sous tension et de plus en plus armée.