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Flottille de la liberté pour Gaza : le nouveau bateau avec deux élues de La France insoumise a quitté Syracuse

Dimanche 13 juillet, un nouveau navire de la Coalition de la flottille de la liberté, transportant des militants pro-palestiniens ainsi que de l’aide humanitaire, a quitté le port de Syracuse en direction de la bande de Gaza selon Ouest-France. Le Handala, symbole de ce mouvement international pacifique en soutien aux Palestiniens, est parti de Sicile peu après midi avec une quinzaine de militants à bord. Son objectif est de rejoindre l’enclave palestinienne, confrontée à une crise humanitaire grave après plus de vingt et un mois de conflit.

Une trentaine de personnes, certaines brandissant des drapeaux ou portant des keffiehs palestiniens, se sont rassemblées sur le port pour saluer le départ du navire en scandant « Free Palestine » (« Libérez la Palestine »). Cet ancien chalutier norvégien de 18 mètres, chargé de matériel médical, de denrées alimentaires, d’équipements pour enfants et de médicaments, entreprendra une traversée d’environ une semaine en Méditerranée pour parcourir près de 1 800 kilomètres jusqu’à l’enclave palestinienne.

Une escale en Italie

Le bateau fera une halte à Gallipoli, dans le sud-est de l’Italie, où deux élues de La France insoumise (LFI), la députée Gabrielle Cathala et l’eurodéputée Emma Fourreau, monteront à bord le 18 juillet. Gabrielle Cathala a expliqué qu’il s’agit « d’une mission dédiée aux enfants de Gaza, visant à lever le blocus humanitaire et à rompre le silence estival autour du génocide ». Elle a ajouté : « Nous espérons pouvoir atteindre Gaza, mais si cela n’est pas possible, ce sera une nouvelle violation du droit international » imputée à Israël.

Cette action s’inscrit dans la continuité du départ du Madleen, un navire qui avait quitté l’Italie le 1er juin, avec pour but affiché de « briser le blocus israélien » autour de Gaza. À son bord se trouvaient douze militants, dont l’activiste écologiste Greta Thunberg et l’eurodéputée LFI Rima Hassan. Cette dernière avait été placée en détention pendant trois jours après l’interception du voilier, à environ 185 kilomètres des côtes gazaouies.

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42 % des Français favorables à une nouvelle dissolution, Macron et Bayrou amorcent une légère remontée dans les sondages

En juillet, Emmanuel Macron et François Bayrou voient leur popularité progresser légèrement, avec respectivement trois et deux points supplémentaires concernant leur bilan, bien que leur taux de satisfaction reste faible, selon un sondage Ipsos publié dans La Tribune Dimanche. Le président affiche 24 % d’avis favorables, ce qui lui apporte un peu de répit dans ce suivi mensuel, même si sa cote stagne à un niveau proche de celui observé à la fin de l’année 2018, lors de la crise des gilets jaunes.

Cette amélioration s’explique en partie par une hausse de popularité auprès des électeurs écologistes, qui progresse de 15 % d’après cette étude, alors que le président a récemment mis en avant les résultats de sa politique environnementale. À l’approche de la présentation de ses orientations budgétaires, qui s’annoncent strictes dans le but de redresser les finances publiques, François Bayrou voit sa popularité se redresser légèrement après un printemps difficile. Pourtant, avec 19 % d’opinions favorables, il reste nettement en dessous des niveaux atteints par ses prédécesseurs sous la Ve République.

Bruno Retailleau accuse un léger recul

De son côté, Bruno Retailleau demeure en tête des ministres les mieux appréciés, avec 36 % des sondés qui estiment que le nouvel homme fort de la droite est le meilleur membre du gouvernement. Cependant, sa cote en tant que potentiel candidat à la présidentielle recule de quatre points par rapport à juin. En cas d’élection en 2027, seulement 25 % des personnes interrogées se disent satisfaites à l’idée de voir l’actuel ministre de l’Intérieur accéder au pouvoir, contre 27 % pour Édouard Philippe et 33 % pour le duo dirigeant le Rassemblement National, Marine Le Pen et Jordan Bardella.

Un an après la précédente dissolution, 42 % des sondés se montrent favorables à l’idée d’en organiser une nouvelle, contre 31 % qui s’y opposent, tandis que le reste reste indécis sur la question. Ce sont surtout les sympathisants du Rassemblement National qui se distinguent, puisque 51 % d’entre eux souhaitent un changement au sein de l’hémicycle de la Chambre basse, et cela malgré l’interdiction judiciaire visant Marine Le Pen, leur dirigeante, de se représenter.

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Défilé du 14-Juillet : 11 500 policiers, système de filtrage, l’important dispositif déployé à Paris

À partir de ce dimanche 13 juillet, un dispositif de sécurité anticipé sera déployé dans la capitale afin d’assurer « le bon déroulement » des célébrations prévues autour de la finale de la Coupe du monde des clubs, à laquelle participe le PSG. Cette mesure intervient à la veille des festivités du 14-Juillet, comme l’a indiqué le préfet de police Laurent Nunez lors d’une intervention sur BFMTV.

Dispositif mis en place pour la cérémonie nationale et les festivités du 14 juillet 2025 à Paris.

Consultez notre communiqué de presse ⤵️https://t.co/8ChaNaAACu pic.twitter.com/4oGNGwxJdc

— Préfecture de Police (@prefpolice) July 11, 2025

Sur l’ensemble du week-end, « 11 500 effectifs » seront mobilisés pour sécuriser toute la région parisienne, a détaillé le préfet. À partir de 19 heures, la zone des Champs-Élysées fera l’objet d’un dispositif renforcé et sera placée sous étroite surveillance. Dans un communiqué, la préfecture de police de Paris a d’ailleurs averti qu’« aucun rassemblement ne sera toléré », et ce « afin de préserver l’intégrité des installations » déjà en place pour le défilé du 14 juillet prévu le lendemain.

Pas de fan-zone pour suivre le PSG

Dès 20 heures ce dimanche 13 juillet, il sera strictement interdit d’installer des fan-zones ou de diffuser la finale sur des écrans extérieurs dans les rues parisiennes. Cette mesure restera en place jusqu’à 3 heures du matin, dans la nuit du 14 juillet. Pour des raisons de sécurité, l’accès aux places de l’Étoile et de la Concorde sera coupé au public dès 19 heures. Les stations de métro à proximité, tout comme les établissements « recevant du public » situés le long des Champs-Élysées, devront également fermer leurs portes. Une exception est toutefois prévue pour les hôtels et les lieux implantés dans les jardins de l’avenue, qui pourront rester accessibles.

Le 14 juillet sera marqué par le traditionnel défilé militaire en matinée, suivi, à partir de 21 heures, d’un grand concert organisé sur le Champ-de-Mars. La journée s’achèvera avec le feu d’artifice tiré au même endroit à 23 heures. En dehors des restrictions de stationnement et de circulation appliquées jusqu’à 15 heures, la préfecture de police recommande aux conducteurs « de contourner largement l’ouest parisien » durant la fête nationale. Côté piétons, un dispositif de filtrage sera mis en place dès 6 heures du matin et maintenu jusqu’à 15 heures, afin de « réglementer » l’accès à plusieurs sites stratégiques comme l’avenue des Champs-Élysées, la place de l’Étoile ou encore le palais de l’Élysée.

Pas d’alcool servi au public

Dans les espaces ouverts au public, la préfecture de police précise que la consommation d’alcool, l’usage d’artifices ainsi que l’introduction d’objets potentiellement dangereux seront strictement prohibés. Par ailleurs, plusieurs stations de métro resteront fermées pendant toute la durée des festivités. À l’instar du dispositif prévu le 13 juillet, tout « rassemblement non déclaré » sera interdit « dans un périmètre élargi autour du secteur Champs-Élysées ».

La préfecture de police prévoit la présence d’environ 60 000 spectateurs sur la pelouse du Champ-de-Mars pour assister au feu d’artifice. L’accès à cet espace sera autorisé à partir de 17 heures, via quatre « portes » spécialement aménagées. À l’inverse, l’entrée aux jardins bas du Trocadéro ainsi qu’aux abords immédiats de la tour Eiffel restera interdite. Les ponts de l’Alma et de Bir Hakeim seront eux aussi inaccessibles au public.

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Évasion de la maison d’arrêt de Corbas : le détenu visé par une notice rouge d’Interpol

Le jeune homme de 20 ans qui s’est évadé dans la matinée du vendredi 11 juillet de la maison d’arrêt de Corbas, située près de Lyon, fait à présent l’objet d’une notice rouge d’Interpol, selon le site internet de l’organisation internationale. Né en 2004 à Mamoudzou, à Mayotte, ce détenu purgeait plusieurs peines de prison et était visé par un mandat de dépôt dans le cadre d’une enquête judiciaire portant sur la criminalité organisée.

Impliqué dans une procédure criminelle sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs et meurtre en bande organisée, il n’est toutefois pas reconnu par le renseignement pénitentiaire comme membre d’un groupe criminel, ni répertorié parmi les détenus particulièrement signalés (DPS).

Pas un mandat d’arrêt international

La notice rouge constitue une demande adressée aux forces de l’ordre du monde entier visant à localiser un individu et à procéder à son arrestation provisoire en vue de son extradition, de sa remise ou d’une mesure équivalente respectant la législation en vigueur. Cependant, il est important de préciser que cette notice ne correspond pas à un mandat d’arrêt international.

Les individus visés par cette notice sont activement recherchés soit par le pays membre qui en a fait la demande, soit par une juridiction internationale. Chaque pays membre applique sa propre législation pour déterminer s’il procède à l’arrestation de la personne recherchée. En général, la majorité des notices rouges sont destinées uniquement aux services chargés de l’application de la loi.

« Des accumulations d’erreurs »

Lors de son intervention sur BFMTV, dimanche 13 juillet, Sébastien Cauwel, directeur de l’administration pénitentiaire, a décrit cet épisode comme « extrêmement rare » et a reconnu une « accumulation d’erreurs ». « C’est un incident inédit dans cette administration, qui met en lumière une série de dysfonctionnements graves », a-t-il affirmé.

Le fugitif a réussi à s’évader de la maison d’arrêt en se dissimulant dans un grand sac de linge appartenant à un autre détenu. Il a profité du moment où ce dernier quittait la prison pour s’échapper. Il a fallu 24 heures au personnel pénitentiaire pour s’apercevoir de sa disparition. Ce délai est souvent attribué à la surpopulation qui sévit dans cet établissement. Au 1er mai 2025, près de 1 218 personnes étaient incarcérées dans une prison conçue pour seulement 678 places, soit un taux d’occupation avoisinant les 180 %.

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Père Danziec : cessez de nous démoraliser ! Un été pour célébrer nos joies françaises

La guinguette. Le barbecue. La pétanque. Le bal des pompiers. Les vachettes aux jeux d’InterVilles. Le petit blanc siroté en terrasse. Le petit noir avalé sur le zinc d’un comptoir. La caravane Cochonou à l’occasion du Tour de France. Faut-il donc que les joies simples qui ont fait le bonheur de millions de Français pendant des années soient déclarées suspectes ? Le saucisson découpé sur une planche serait-il fasciste malgré lui quand les graines de quinoa peuvent défiler tranquilles sur le tapis rouge de la bienpensance ?

Les Trois cafés gourmands sentent-ils le rance parce que leur tube A nos souvenirs célèbre la famille, la campagne corrézienne et la transmission ? Avons-nous le devoir moral de délaisser les danses provençales pour nous ébahir plutôt devant le programme Drag Race France que nous offre le service public ?

C’est très simple, expliquait Don Bosco. A la jeunesse, je ne lui parle que d’une chose : du Ciel !

Il reste, fort heureusement, une vérité bien établie : seules les joies paisibles portent du fruit. La bataille culturelle menée par la gauche est déjà perdue. Bien sûr les idées wokes continuent de semer leur ivraie dans les consciences, mais nul combat idéologique ne peut être gagné avec des idées tristes. Une morale sèche n’enivre pas les foules.

La culpabilisation sans rédemption : voilà l’enfer qui nous est trop souvent proposé. Don Bosco, l’apôtre de la jeunesse défavorisée des faubourgs de Turin lors de la seconde moitié du XIXe, peut témoigner du contraire. Devant son insolent succès auprès des jeunes livrés à eux-mêmes, voyous pour la plupart, il indiqua un jour sa botte secrète à ses détracteurs. Pourquoi les jeunes lui accordaient-ils une confiance sans borne au point de réformer leur inconduite en se laissant apprivoiser par l’Evangile ?

« C’est très simple, expliquait le saint éducateur. A la jeunesse, je ne lui parle que d’une chose : du Ciel ! » Si l’Eglise s’est toujours sentie le devoir de dénoncer les comportements, les lois, les paroles contraires à l’enseignement du Christ, ses avertissements sont formulés en vue d’un bien supérieur. Le salut. Le Ciel. Un jeu qui en vaut la chandelle. Une réalité à venir dépassant toutes les attentes : la rencontre avec Dieu et la félicité éternelle.

Cibler les déconstructeurs sans tomber dans la démoralisation

Les postures inquisitoriales ont désormais changé de camp. Si le présent est incertain, force est de reconnaître surtout que l’espérance appartient aux droites convictions. Nous désintéresserions-nous de l’avenir ? Nous aimons la famille ! Proposerions-nous donc, comme la majorité des députés de le réduire légalement ? Nous aimons la vie ! Frapperions-nous notre poitrine sur le passé de nos ancêtres ? Nous vénérons notre patrimoine !

Le poison du découragement, Jacques Bainville l’évoque dans son Histoire des Trois générations en citant le duc d’Audiffret-Pasquier. Ce dernier, prenant la parole à la Chambre en 1872, fustige les artisans de la débâcle de la guerre Franco-Prussienne de 1870 : « Nous avez-vous seulement légué des embarras, des douleurs et des désastres ? Non, vous avez fait pire encore. Vous nous avez légué la démoralisation. »

Disons-le tout net : les discours progressistes sont d’une tristesse infinie quand ils ne sont pas d’une gênante bêtise. Il n’y aurait qu’à citer l’iconique « Je ne suis pas un homme, Monsieur. Je ne sais pas ce qui vous fait dire que je suis un homme mais je ne suis pas un homme ? ». Ces mots, prononcés en 2018, sur le plateau d’Arrêts sur Images, par l’administrateur (barbu) de l’Inter-LGBT, Arnaud Gauthier-Fawas (qui organise notamment la marche des fiertés) résument à eux-seuls l’immense décalage entre le pays réel et ce qu’il est convenu d’appeler le système médiatique.

Le bonheur d’un été français !

Tout au contraire de cette démoralisation latente, quel bonheur de croquer dans la vie en redisant notre espérance invincible en un redressement possible ! L’été arrive justement. L’heure est aux réjouissances, aux retrouvailles, aux éclats de rire, aux parties de cartes entre cousins, aux apéros entre voisins. L’heure est aux parties de pêche dans les étangs, aux nuits à la belle étoile, aux découvertes de paysages, aux haltes dans les chapelles de montagne, aux retours de camps scouts.

“Un été français”, ce n’est pas seulement une chanson d’Indochine. C’est aussi une visite d’une fromagerie dans le Cantal, une arrivée de cyclistes au col de la Loze, un pardon breton à Sainte-Anne-d’Auray, un 15 août à Lourdes, une feria à Béziers, une retraite spirituelle à l’abbaye du Barroux. C’est encore un premier baiser au bord de la mer, les 80 ans d’une grand-père où tous trouvent l’occasion de se réunir, une randonnée entre amis, des trajets en voiture en chantant.

Ce sont des glaces ou des bonbons partagés. Des souvenirs qu’on livre aux plus jeunes. Des petits-enfants qui attendrissent les plus âgés. Un été français, ce sont des déambulations lors de marchés qui donnent à redécouvrir des senteurs que la vie citadine nous avait fait oublier, des couchers de soleil dont on ne se lasse pas d’assister, des grains de sable qui viennent se glisser jusque sous nos draps, des Time’s Up ! en famille jusque tard dans la nuit, des petits déjeuners où l’on prend – enfin – le temps d’acheter des croissants !

Ne nous laissons pas voler nos joies. Pour ces viandes rouges, ces bouteilles débouchées ; pour ces airs claironnés, ces insouciances assumées ; pour ces processions aux flambeaux, ces cantiques mariaux ; pour ces semaines où il fera peut-être trop chaud (et alors ?!) mais où on ne sera pas au boulot : réjouissons-nous ! Grincheux et prophètes de malheurs, passez votre chemin. Nous, nous ne voulons refaire nos forces qu’autour de ce qui fonde le bonheur gaulois. L’amitié. Les rencontres. Les banquets. Et ce Ciel, qui loin de risquer de tomber sur nos têtes, nous rappelle qu’il y a toujours du bon à faire le bien autour de soi.

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Le RN pourrait ne pas voter l’accord sur la Nouvelle-Calédonie

Le député RN Jean-Philippe Tanguy a indiqué dimanche que le Rassemblement national pourrait choisir de ne pas soutenir la révision constitutionnelle visant à intégrer un futur « État de la Nouvelle-Calédonie ». Il a souligné le certain doute qui plane au sein de son parti quant à cet accord. « Il est possible que nous votions en faveur, mais il est aussi envisageable que nous refusions. Les annonces publiques autour de cet accord suscitent chez nous de fortes interrogations sur le vocabulaire utilisé. Naturellement, créer un État à l’intérieur de l’État français soulève une problématique majeure. Et instaurer une nationalité parallèle à la nationalité française, cela pose une question essentielle. », a-t-il expliqué sur LCI.

L’accord annoncé samedi officialise la création d’une nationalité calédonienne. Les habitants qui remplissent les conditions pour être citoyens du territoire pourront ainsi avoir la double nationalité, française et calédonienne. Un « État de la Nouvelle-Calédonie » sera inscrit dans la Constitution française et pourrait même être reconnu à l’international.

Pour que cela devienne réalité, il faudra qu’un projet de loi constitutionnelle soit voté par le Parlement, réuni en Congrès. Jean-Philippe Tanguy a aussi mis en garde : « D’ores et déjà, au-delà des détails politiques et de souveraineté de l’accord, le volet économique nous semble extrêmement fragile. »

« Le diable se cache dans les détails »

Avant d’être validé, cet accord doit d’abord recevoir l’approbation des partis et mouvements calédoniens qui l’ont signé, lesquels devront consulter leurs membres. Il inclut un volet économique, avec un futur « pacte de refondation économique et financière » comprenant notamment un « plan stratégique » pour le nickel, ressource essentielle du territoire, mais reste assez flou sur ses objectifs et son contenu.

« Le diable se cache dans les détails, » a rappelé Jean-Philippe Tanguy dimanche, expliquant ainsi la prudence affichée par le Rassemblement national sur ce dossier, alors que la plupart des formations politiques, du PS à LR, ont salué l’accord. « Nous prenons cet accord très au sérieux, nous n’avons pas adopté de position politicienne hâtive, sans d’abord en examiner les détails. » a-t-il déclaré, rejoignant ainsi la réaction de Jean-Luc Mélenchon la veille, pour La France insoumise.

De son côté, Marine Le Pen, qui affiche un fort engagement sur les questions d’Outre-mer, n’a pas encore donné son avis sur cet accord qualifié « d’historique » par Emmanuel Macron. Jean-Philippe Tanguy a expliqué sur LCI : « C’est le silence de la réflexion, du travail, du recul. »

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Jan Patocka : l’Européen magistral

Philosophe tchèque né à Turnov, en Bohême, dans l’empire d’Autriche-Hongrie, en 1907, Jan Patocka a été professeur à l’université Charles de Prague. Empêché d’enseigner par les nazis puis empêché d’enseigner par les communistes, il n’aura, pour finir et dans l’ensemble de sa carrière, tenu sa chaire que sept ans en tout. Pour le reste, il subit le sort que le totalitarisme réservait à ses intellectuels : privé de passeport, interdit de publication, privé d’enseignement, il est employé comme manœuvre. Ces régimes sont pleins de balayeurs et de postiers nantis de bac + 15 – il faut bien produire l’égalité qu’on promet. Patocka écrit dans la solitude de l’interdit, et organise dans sa cave des séminaires clandestins. Lorsque, dans les années 1970, un petit cénacle s’organise pour parler contre le régime, le jeune Václav Havel vient lui demander d’en prendre la tête. C’est ainsi qu’il devient le premier porte-parole de la Charte 77, évidemment aussitôt cueilli par la police. Il meurt le 13 mars 1977, à 69 ans, après un dernier interrogatoire policier de plus de dix heures.

​Patocka ne fut pas un dissident comme les autres. D’abord parce qu’il a été le chef de file d’une longue lignée qui devait mener à la liberté. Et puis en raison de l’argument même de son combat : il se bat d’abord contre le mensonge, dans un régime où, comme disait Orwell, on appelle “paix” la guerre, “liberté” l’esclavage et “égalité” les privilèges. Son mot d’ordre est “la vie dans la vérité”. En ce sens, il est le dissident majuscule. Il ne s’agit pas seulement d’appeler les choses par leur nom et d’énoncer la réalité politique et sociale telle qu’elle se présente, mais aussi d’accepter les réalités humaines élémentaires, que toute idéologie se fait fort de nier ou de retourner. D’après son élève Belohradsky, la dissidence consiste à tenir compte des “traces” de la vraie vie que le système totalitaire veut évincer – par exemple les préjugés et les scrupules. Il s’agit de se souvenir de ce qu’on peut appeler le bon sens ou la morale naturelle, que le système idéologique étouffe sous la loi implacable du progrès.

Une philosophie post-chrétienne

​Pour ce faire, il s’appuie sur la phénoménologie, courant de pensée récent à son époque, qui traverse tout le XXe siècle et s’établit alors en lieu et place des pensées traditionnelles. Le précurseur et penseur principal en est Husserl. La phénoménologie remplace l’importance des dogmes par l’importance de la vie vécue, sur laquelle elle établit ses certitudes. Le “monde de la vie” déploie un grand nombre d’expériences dont on s’aperçoit qu’elles sont communes à tous les humains, et qui, à elles seules, parce que justement elles sont communes, confèrent un sens à la vie humaine. Si l’on se rend compte par exemple que toutes les sociétés humaines inventent des rites de mariage et de funérailles, comme le disait déjà Vico au XVIIe siècle, il apparaît que ces pratiques sont porteuses de sens pour l’humanité, et point besoin de religion pour cela. C’est alors à partir de ces pratiques que l’on va pouvoir découvrir et énoncer des droits humains universels – en ce sens, dans l’Enracinement, Simone Weil était phénoménologue. Patocka fut un disciple et un ami de Husserl, qui lui offrira, à l’occasion d’un Noël passé ensemble, le lutrin qui lui avait été offert auparavant par le président et philosophe Thomas Masaryk.

​Cette lignée de philosophes partage un souci commun : la certitude qu’une grave crise spirituelle traverse la civilisation occidentale, au point de la mettre en péril.

​Cette lignée de philosophes partage un souci commun : la certitude qu’une grave crise spirituelle traverse la civilisation occidentale, au point de la mettre en péril. Patocka ne parle pas seulement au nom des Tchèques persécutés par le communisme ; mais au nom des Occidentaux, qui semblent avoir perdu le sens de la vie. Il ne s’agit pas ici de religion. Les Tchèques, qui ont vécu avec les Français, historiquement, les guerres religieuses les plus meurtrières du continent, en sont restés areligieux, comme d’ailleurs les Français. Par ailleurs, chez les Tchèques, qui ont perdu leur aristocratie lors de la bataille de la Montagne Blanche au début du XVIIe siècle, l’aristocratie, ce sont les intellectuels. Résultent de ces deux facteurs des lignées de brillants penseurs agnostiques, dont Patocka est une figure de proue. Ces agnostiques pour autant sont loin de renoncer à la spiritualité, et ils élaborent au milieu du XXe siècle un humanisme nouveau, dont on peut trouver des visages dans l’Europe entière. On peut dire en ce sens que Patocka est l’un de ceux qui inaugurent ce que l’on pourra appeler la philosophie post-chrétienne.

Pour Patocka, chacun d’entre nous a une mission

​Il écrit dans Qu’est-ce que les Tchèques : « Quand disparaît le transcendant, il reste le transcendé. » Ce qui signifie que la religion effacée ne laisse pas un humain tout-puissant et d’un coup devenu Dieu à la place de Dieu, mais un humain qui, toujours dépendant, se demande dès lors de quoi et de qui il va dépendre. La pensée sans Dieu est une longue aventure pour trouver un sens à la vie. Sans transcendance, Patocka confère une sorte de transcendance à l’éthique et à la responsabilité. Notre liberté consiste non pas à faire ce que nous voulons dans l’instant mais à ouvrir et à porter la responsabilité du sens, à savoir à quoi je vais me donner. Autrement dit, ma liberté consiste à choisir de quoi je serai responsable.

​Cela revient à penser que chacun d’entre nous a une mission. Or la mission est en rapport avec les problèmes de l’époque : chacun aura pour tâche de répondre à l’appel d’un temps. Et le temps présent est marqué par une déshumanisation double, plongeant son fondement dans les mêmes racines et concrétisée à la fois en deux espaces et en deux temps : le totalitarisme communiste et le subjectivisme occidental.

​Le totalitarisme communiste est le paysage dans lequel vit Patocka, qui, avec ses amis et ses élèves, devient d’emblée un dissident. C’est là une mission qui s’impose et donne sens à la vie : rendre témoignage à la vérité, parce que le totalitarisme ne tient que par le mensonge. La réalité, dit Belohradsky, est une bête blessée qui titube en laissant des traînées de sang. Le dissident, hanté par les traces de la réalité récusée, est pour ainsi dire transcendé par elle et prêt à mourir pour elle – ce sera le destin de Patocka. Car la seule existence authentique consiste à vivre dans la vérité. Là est la liberté humaine essentielle.

Un dissident qui refuse la vérité dogmatique

​Dans la machine à broyer du totalitarisme, la vie dans la vérité est le seul pouvoir des sans-pouvoir, parce qu’elle extirpe l’âme du carcan du monde chimérique où l’on prétend la faire vivre. Mais il ne s’agit pas là d’une vérité alternative, comme on pourrait trouver le blanc au lieu du noir. Non, il s’agit de tout autre chose. Le dissident ne rejoint pas un autre dogme : il refuse la vérité dogmatique et aspire à vivre dans la problématicité. On verra plus bas que c’est là une spécificité de l’esprit occidental, mais c’est tout d’abord circonstance de rencontre et de communion.

​Les humains anxieux de devoir demeurer sans réponse dogmatique forment cette communauté intranquille que Patocka appelle la « communauté des ébranlés ». Ainsi la morale ne se construit-elle pas autour de la transcendance mais autour de l’inquiétude, si commune à tous. L’importance de l’être avec l’autre est bien ce qui le sépare de Heidegger, lequel, comme disait Jaspers, ne parle jamais d’amour. Nous voyons apparaître ici, comme chez quelques autres auteurs de l’époque, un paysage postchrétien dans lequel la transcendance éclipsée laisse intacte la morale évangélique, reposant dès lors sur la tragédie humaine commune.

​Dans la défense de cette communauté de l’inquiétude, Patocka est un militant – c’est-à-dire un convaincu qui veut convaincre – à la fois de la communauté, pour asseoir la morale, et de l’inquiétude, pour asseoir la problématicité. Tout cela est essentiel pour repousser les subjectivismes et pour sauver l’esprit européen.

Le totalitarisme et la modernité libérale naissent du même berceau

​Dans ce qui ressemble bien à un combat philosophique, l’adversaire est une modernité mal vécue et mal comprise, qui a donné lieu au subjectivisme, lequel produit les deux totalitarismes, et en même temps l’Occident libéral postmoderne. Le totalitarisme et la modernité libérale naissent du même berceau. Communisme et fascisme sont des héritiers du subjectivisme moderne. Et par le même inquiétant héritage, les sociétés occidentales libérales nourrissent, dans leur liberté même, un esprit analogue à celui des totalitarismes. C’est ce que dira plus tard Václav Havel, qui fut un disciple de Patocka : le totalitarisme n’est qu’un miroir grossissant de la modernité occidentale.

Communisme et fascisme sont des héritiers du subjectivisme moderne.

​Comment cela ? Chez l’un et chez l’autre, le subjectivisme suscite le déni de réalité – qu’il s’agisse des vérités alternatives orwelliennes du communisme ou bien, chez nous aujourd’hui, de la théorie du genre qui consiste, rien de moins, à « échapper imaginairement à la condition humaine sexuée » (Jean-Pierre Lebrun). Par ailleurs, chez l’un et chez l’autre, le souci de l’avoir l’emporte sur le souci de l’être, qui est le souci de l’âme. C’est toujours une déshumanisation, avec ou sans la terreur.

​Ce n’est pas la modernité des droits de l’homme que critique Patocka, mais la modernité productrice de subjectivisme, du sujet qui ne se reconnaît aucune autorité et se croit fondateur de tout, qui se croit son propre centre. Le subjectivisme produit le sentiment général de la perte du sens. Et pourtant… détacher la modernité du subjectivisme, est-ce possible ? Peut-on sauver la modernité des droits de l’homme en récusant l’individualisation qui semble mener fatalement au subjectivisme ? C’est bien là le projet de Patocka, même si la réponse demeure inachevée, parce que la question est paradoxale.

Déconstruire la déconstruction

​Persuadé de l’erreur fatale du subjectivisme, Patocka propose de déconstruire la déconstruction. Pour lui, ce n’est pas là une trahison de l’esprit de doute des Lumières, mais, au contraire, un retour à la maison. La dissidence face au subjectivisme totalitaire ou non, qui n’est que la figure monstrueuse des Lumières, sera un retour à soi.

L’esprit de doute des Lumières ne justifie pas une volonté de se créer soi-même, mais la capacité de chercher, dans l’inquiétude et l’obscurité, les limites de ce qui ne dépend pas de nous.

​Comment comprendre cela ? Par un retour à la vraie définition des Lumières. L’esprit de doute des Lumières ne justifie pas une volonté de se créer soi-même, mais la capacité de chercher, dans l’inquiétude et l’obscurité, les limites de ce qui ne dépend pas de nous. L’être humain n’est pas une origine absolue. Il dépend de lois qui le précèdent. L’homme ne fait pas la morale, c’est elle qui le fait. Il ne peut pas produire son propre bonheur : seulement celui de l’autre. L’humain est créature finie, donc tourmentée, qui constamment dépend des autres.

​Patocka enracine sa philosophie existentielle dans une haute idée de la culture européenne. Une idée si haute que le particularisme d’aujourd’hui pourrait lui en faire le reproche. Il voit dans la culture européenne l’apparition du monde historique proprement dit : la sortie des mythes et des mystères, l’ébranlement du sens auparavant accepté sans questions, la fin de l’enchantement et le commencement de la problématicité, donc de la philosophie.

​C’est là le fondement du souci premier : le soin de l’âme. Autrement dit, le souci spirituel et intellectuel, la passion pour la question bien posée, l’intranquillité permanente devant l’avenir et les fins dernières. Dans Platon et l’Europe , l’ouverture à ces questions, depuis les anciens, forme « un projet de vie, quelque chose qui transforme la malédiction en grandeur ». Le soin de l’âme, c’est la vie en vue de la liberté et non plus le vivre pour vivre. Tout en résulte, y compris la démocratie, qui ne se conçoit que dans l’ébranlement du sens, la mise en question permanente. Patocka est l’Européen magistral, poursuivi par les points d’interrogation.

Insurrection des particularités, de Chantal Delsol, Les Éditions du Cerf, 320 pages, 21,90 €.

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« Un modèle que nous avons quitté » : François-Xavier Bellamy pas convaincu par un éventuel retour du service militaire

Ce dimanche, à la veille du 14 Juillet et de son célèbre défilé militaire, Emmanuel Macron prévoit d’adresser un message important sur le renforcement nécessaire de la défense nationale, dans un contexte où les dangers extérieurs se multiplient. Parmi les pistes possibles, certains évoquent la réintroduction du service national.

Pourtant, invité sur BFM Politique, François-Xavier Bellamy, député européen et vice-président des Républicains, a exprimé des réserves, jugeant que ce retour ne s’impose pas forcément et ne serait pas forcément opportun. Selon lui, le service national incarne « un modèle d’armée que nous avons quitté » et souffre désormais « d’une grande ambiguïté ». Il souligne que « ceux qui affirment le plus regretter sa disparition ne le font pas vraiment pour des raisons de défense, mais plutôt parce qu’il symbolise une époque où l’on servait son pays avec un véritable engagement ».

François-Xavier Bellamy estime « qu’on ne peut pas exiger de nos forces armées qu’elles remplissent deux missions en même temps ». Selon lui, il serait illusoire de leur demander « d’accomplir en six mois ce que l’école n’a pas réussi à transmettre en quinze ans ».

La réserve, une meilleure option

Il a tenu à rappeler que « la crise que traverse l’école aujourd’hui constitue un enjeu fondamental pour l’avenir de notre nation ». Il estime qu’il faut y répondre directement, sans pour autant « demander à l’armée de combler les lacunes laissées par l’institution scolaire », a-t-il martelé. François-Xavier Bellamy a reconnu que « la réserve, déjà en place aujourd’hui, constitue sans doute le moyen le plus efficace pour renforcer progressivement nos capacités militaires ».

De son côté, à travers un entretien accordé samedi 12 juillet à La Tribune Dimanche, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a affirmé que « la professionnalisation de nos armées ne doit pas être remise en question ». Il a toutefois souligné que la France avait « besoin d’un format d’armée plus conséquent ». À ses yeux, l’avenir repose sur une force « hybride » d’ici 2030, intégrant « une réserve professionnalisée et spécialisée, dotée de compétences et de savoir-faire précis ».

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Automobile : Citroën C4 à grand coffre

Philosophie

Cela peut sembler anecdotique, mais pour qui a déjà vécu une crevaison, voilà une bonne nouvelle : la Citroën C4 X dispose, dans son coffre – qu’elle a fort généreux d’ailleurs -, d’une vraie roue de secours. C’est devenu tellement rare. Cette C4 sans hayon n’a pas souffert esthétiquement de la greffe d’une malle arrière, comme on les aime dans les pays du Sud. Le bouclier avant a été redessiné. On remarque le nouveau logo, entre deux séries de feux à Leds en forme de barrette. Une face qui ne manque pas de dynamisme.

Conception​

L’habitacle bénéficie d’une finition assez soignée et vous apprécierez l’onctuosité des suspensions à butées progressives, qui font indéniablement la différence. Et ce, malgré des jantes de 18 1 pouces (dès le second degré de finition, Plus). Un large écran domine la planche de bord, c’est quasi la norme aujourd’hui. Bien vu : les prises USB a aux quatre places (mais l’auto transporte sans peine 5 passagers), la mousse haute densité sur les sièges (dès la finition Plus), la sobriété et l’ergonomie générale du poste de conduite. Le combiné d’instrumentation a été agrandi à 7 pouces sur la finition Max (5,5 sur les finitions You et Plus).

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Prestation​

Depuis le récent restylage, la panoplie des moteurs a été entièrement revue. Fini le Diesel et exeunt les boîtes mécaniques. En dehors de la version électrique, la C4 X est animée par une motorisation essence 1,2 litre sur “3 pattes” de 130 chevaux. Une version à hybridation légère en 48 volts figure aussi au catalogue, pour un regain de puissance de 15 chevaux. Elle embarque une boîte automatique à double embrayage e-DCS6 très douce. Le petit moteur électrique est greffé dans la boîte de vitesses. Ce C4 X hybride de 145 chevaux peut évoluer en mode 100 % électrique quasi la moitié du temps. C’est appréciable en ville. Consommation sous la barre des 5 litres aux 100 kilomètres. La C4 X coûte 700 euros de plus que la C4 standard, à motorisation équivalente. Délai de livraison : environ quatre mois.

Citroën C4 X 1.2 Hybride 145

Prix : à partir de 30 440 €

Dimensions : 4,58/1,84/1,53 m (L/l/h)

Moteurs : 3-cyl. ess. + électrique, 1 199 cm3

Puissance/couple : 145 ch/230 Nm

Transmission : traction, boîte 6 rapports auto

Poids : 1 419 kg

Consommation : 4,7 l/100 km

Émissions de CO2 : 106 g/km

Vitesse maxi : 210 km/h “0 à 100 km/h” :8,1 s

Volume du coffre : de 510 à 1 360 l

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Lyon : l’administration pénitentiaire reconnaît « une accumulation d’erreurs » après l’évasion d’un détenu

Un détenu de la maison d’arrêt de Corbas (Rhône) s’est évadé dans la matinée du samedi 12 juillet. Profitant de la libération imminente de son co-détenu, l’homme s’est caché dans un sac de linge et a ainsi quitté l’établissement sans être repéré.

Invité sur le plateau de BFMTV dimanche 13 juillet, le directeur de l’administration pénitentiaire, Sébastien Cauwel, a qualifié l’événement d’« extrêmement rare » et admis une « accumulation d’erreurs ».

« C’est un incident inédit dans cette administration, qui met en lumière une série de dysfonctionnements graves », a-t-il déclaré.

Vingt-quatre heures de retard

Le détenu évadé n’a été déclaré manquant que vingt-quatre heures après sa fuite, un délai qui soulève de nombreuses questions. Une des causes pourrait être la surpopulation carcérale qui complique les conditions de surveillance. La maison d’arrêt de Corbas connaît un taux d’occupation de 170 %.

« Cela rend le travail de nos agents bien plus difficile, c’est une évidence », a reconnu Sébastien Cauwel. Il a toutefois nuancé : « Ce que révèle cet incident, ce sont avant tout des erreurs matérielles, voire des fautes, que l’enquête devra établir. »

Une enquête interne a été lancée. Le ministre de la Justice a également saisi l’Inspection générale de la Justice pour mener une investigation approfondie.

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Un youtubeur français menacé de mort après une « blague » sur l’islam

Le vendredi 11 juillet, Regelegorila, un youtubeur français suivi par plusieurs centaines de milliers d’abonnés, a provoqué une vive controverse après avoir réagi à un message publié sur X. Ce post évoquait les vertus spirituelles associées à la prière à La Mecque, en affirmant que « le fait qu’une seule prière à La Mecque est meilleure que 100 000 prières dans les autres mosquées ». En réponse, le créateur de contenu a ironisé : « Archi drôle cette religion, y’a des boosts XP », faisant ainsi un parallèle humoristique avec les systèmes de progression dans les jeux vidéo.

Ok vous n’avez pas aimé ma blague d’hier qui était peut-être de mauvais goût mais est-ce une raison de m’envoyer des menaces de mort, révéler mon nom et prénom, me doaxer et même faire chier mes amis influenceurs musulmans ?

Je pense que vous ne servez pas la cause, ça montre…

— Regelegorila (@regelegorila) July 12, 2025

La blague n’a pas tardé à déclencher une avalanche de réactions. Plusieurs internautes l’ont accusé de manquer de respect à l’égard des personnes croyantes. Certains sont même allés plus loin, en révélant l’identité du youtubeur, en diffusant son adresse et en relayant des menaces de mort.

Pour répondre à cette vague d’hostilité, Regelegorila a pris la parole dès le lendemain dans un long message publié sur X. « Ok, vous n’avez pas aimé ma blague d’hier, qui était peut-être de mauvais goût, mais est-ce une raison de m’envoyer des menaces de mort, révéler mon nom et prénom, me doaxer et même faire chier mes amis influenceurs musulmans ? »pointe-t-il. Il ajoute : « Je pense que vous ne servez pas la cause, ça montre juste une minorité radicale qui s’énerve pour pas grand-chose. » Dans une vidéo, le créateur confie aussi son incompréhension face à la violence des réactions : « Je pensais que les gens réagiraient en rigolant. Ils me connaissent, je ne suis pas islamophobe. »

« J’assume ma blague »

Affirmant qu’il n’avait aucune intention malveillante, le youtubeur estime que son trait d’humour a été mal compris. « Faut se détendre, je n’ai pas insulté les musulmans ou la religion », insiste-t-il dans un autre message. Il précise : « J’ai juste fait un parallèle rigolo avec une partie de la croyance qui semble très loufoque pour les gens en dehors. Surtout que le tweet de base était aussi sur le ton de l’humour. J’ai réagi à une blague avec une blague. »

S’il admet que sa plaisanterie pouvait prêter à discussion, il condamne fermement la virulence des réactions. « J’assume ma blague, j’assume que c’était peut-être pas excellent […], mais j’admets que ça fait pitié de vous voir vous énerver autant pour ça », écrit-il. Il ajoute ensuite : « Gardez cette énergie pour les vrais nazis qui ne veulent pas de l’islam en France, et pas pour les gens qui vous défendent non-stop mais qui ont fait une blague de mauvais goût d’après certains. »

Il est utile de rappeler que critiquer ou caricaturer la religion musulmane n’est pas interdit par la loi en France. En effet, le délit de blasphème n’existe pas dans le droit français. En revanche, la législation interdit strictement les incitations à la haine, à la violence ou à la discrimination visant des individus ou des groupes en raison de leur appartenance religieuse.

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Alexandre del Valle : des dispositifs wokistes subventionnés qui divisent

Chaque année, l’Union européenne consacre des milliards d’euros à financer des ONG militantes écologistes, anti-fa, wokistes ou anti-frontiéristes. Ces financements, distribués via des programmes européens comme LIFE, Erasmus+, CERV ou FAMI (Fonds Asile, Migration et Intégration), visent à promouvoir la durabilité, la diversité et la démocratie.

Le réseau d’ONG climate Action Network Europe (CAN Europe), qui combine des « politiques climatiques inclusives » à des approches pro-migrants, anti-discrimination et anti-populisme, a reçu, par exemple, trois millions d’euros pour des campagnes de lobbying sur la neutralité carbone.

Ces organisations défendent une vision écologiste radicale et un internationalisme marqué, dénoncent les nationalismes, promeuvent une immigration de masse et considèrent les droits des minorités supérieurs à ceux des majorités autochtones blanches-chrétiennes forcément « oppressives ».

380 millions d’euros à des coalitions d’ONG « vertes » idéologues

Ces financements suscitent de critiques au sein du Parlement européen. Plusieurs députés conservateurs et eurosceptiques ont dénoncé un usage idéologique des fonds publics. Ce débat s’est cristallisé en février 2025, lors d’une motion proposant de restreindre les financements du LIFE Program de l’UE aux ONG transfrontiéristes-écologistes radicales, mais la motion a été rejetée de justesse.

Depuis 2021, 380 millions d’euros ont été attribués dans ce cadre à 133 projets verts portés par des coalitions d’ONG très orientées idéologiquement (ClientEarth, WWF, European Cyclists Fédération, Pesticide Action Network Europe, etc). Ainsi, le rapport de la plateforme conservatrice MCC Brussels a souligné un “captage” des politiques publiques par ces ONG radicales qui reconfigurent progressivement les lois nationales.

Des associations de défense des droits des LGBTQ+ ont reçu 221 millions d’euros pour promouvoir la théorie du genre.

A titre d’exemple, entre 2014 et 2023, des associations de défense des droits des LGBTQ+ ont reçu 221 millions d’euros dans le cadre du programme européen Agenda “gender identity” pour promouvoir la théorie du genre. Le plan « Rights, Equality and Citizenship » (REC) de l’UE, a attribué entre 2014 et 2020 des subventions à des ONG dans le cadre de la « LGBTIQ Equality Strategy », pour encourager les « familles arc-en-ciel », la « reconnaissance juridique des genres » et la lutte contre la discrimination.

Des coalitions d’ONG comme l’European Network Against Racism (ENAR), European Disability Forum, ou ILGA-Europe ont reçu des financements pour leur travail sur l’égalité, la diversité, la lutte contre l’homophobie, le racisme et la discrimination. Parmi les principaux bénéficiaires, on retrouve ILGA‑Worldwide (64,95 millions d’euros); ILGA‑Europe (16 M€); IGLYO (6 M€); Transgender Europe (TGEU, 4,6 M€ ).

450 millions d’euros pour des structures proches des Frères musulmans

D’autres projets comme “Challenging the gender binary” (Horizon Europe) ou “MEN4DEM” (« masculinités comme menace ») ont reçu des millions d’euros. Dans le cadre de projets mixtes islam & “wokisme” dits « d’intersectionnalité » (convergences des causes des minorités « oppressées » par la « majorité blanche-occidentale-hétérosexuelle »), les programmes Creative Europe et Erasmus de l’UE ont financé des projets comme “Queer Muslim Asylum Spaces” (195 000 €), le plan de « prévention de l’islamophobie au théâtre » (345 000 €), ou encore une étude de « l’islam comme alternative éthique » (271 000 €).

Plus inquiétant en termes de sécurité publique, l’Islamic Relief (liée aux Frères musulmans) et l’European Muslim Union, structures « islamistes radicales » sous couvert d’aides humanitaires, ont reçu des financements Erasmus, ce qui a été dénoncé dans une question écrite (P‑000013/2023) au Parlement européen.

L’Islamic Relief (liée aux Frères musulmans) et l’European Muslim Union, structures « islamistes radicales » sous couvert d’aides humanitaires, ont reçu des financements Erasmus.

À l’occasion des Rencontres des jeunes européens, le Parlement avait même reçu l’association islamiste Forum européen des jeunes musulmans (Femyso), à l’origine d’une campagne pro-hijab intitulée « WE CAN for human rights speech », financée par le Conseil de l’Europe (CoE) et la Commission européenne dans le cadre de la “Journée contre l’islamophobie” célébrée par l’Union chaque 21 septembre.

450 millions d’euros ont été déboursés par le CoE et l’UE qui ont repris à la lettre les slogans de militantes islamistes des Frères musulmans et de leur équivalent turc, le Milli Görüs, membres du FEMYSO et/ou de l’European Forum of Muslim Women (EFOMW), émanations de l’UOIE, la structure européenne des Frères musulmans.

On peut également citer de nombreux autres cas d’ONG poursuivant un agenda “woke”, “pro-islamiste”, “décolonial” ou “immigrationniste” financés par l’UE : entre 2007 et 2016, Save the Children et Médecins Sans Frontières ont reçu respectivement 173,6 M€ et 52,1 M€ pour des « activités humanitaires » tournées contre l’action même de l’Agence européenne de surveillance des Frontières, FRONTEX.

En mars 2021, l’Italie a d’ailleurs ouvert des poursuites contre 21 membres de MSF et Save the Children pour “aide à l’immigration illégale” suite à une enquête contre le bateau Iuventa accusé de favoriser l’immigration clandestine et les passeurs entre la Libye et l’Italie (Lampedusa).

En 2016‑2017, la Direction générale « DG-JUST » de la Commission européenne a par ailleurs accordé 888 381 euros à Save the Children Suède ; 749 999 € à l’IOM ; et 955 809 € à l’UNICEF pour la « protection des enfants migrants » via le programme “Droits, Égalité et Citoyenneté”.

En 2017, un projet de 8,5 M€ en Grèce a aidé 6 000 enfants mineurs non accompagnés. Alors que les ONG SOS Médecins et Save the Children incitent ouvertement à ne pas respecter les règles des pays membres et de FRONTEX, elles ont reçu des financements via des programmes européens comme l’AMIF (Fonds Asile, Migration et Intégration), qui finance l’accueil des migrants, ou encore le FEAD (Fonds européen d’aide aux plus démunis), qui sponsorise la distribution de soins et services sociaux pour migrants.

La droite a tenté de geler les financements, en vain

Save the Children a reçu entre 3 et 7 millions d’euros par an au niveau européen via ces programmes pour des projets de protection des MNA et des projets d’assistance médicale aux migrants. Fridays for Future Europe, le Mouvement lancé par Greta Thunberg, a lui aussi bénéficié (branches régionales ou projets liés) de subventions européennes via des appels à projets pour la jeunesse, l’éducation et la sensibilisation au climat (ex : Erasmus+).

Le mouvement milite pour des mesures climatiques radicales et prône une vision sans-frontiériste radicale. Thunberg défend carrément le Hamas à Gaza et a organisé des actions communes avec la député LFI radicale, Rima Hasan (LFI) (« Flotille pour Gaza » du 1er juin. 2025). L’une des plus grandes coalitions européennes d’ONG environnementales, European Environmental Bureau (EEB), qui regroupe 160 membres dans 35 pays et promeut une Europe sans frontières, a également reçu des financements de la Commission via LIFE et Horizon Europe.

Les groupes politiques de droite du parlement européen (EPP, ECR, ou Patriots) ont tenté en vain de geler le financement du LIFE Program aux ONG radicales accusées d’utiliser les fonds publics pour avancer leurs agendas subversifs antinationaux, ceci sans contrôle transparent. Ces critiques ont dénoncé un « Green Gate ».

Elles constatent que les ONG progressistes ont un accès privilégié aux financement publiques, alors que les mouvances opposées ne bénéficient d’aucun financement équivalent. Un constat partagé par un rapport détaillé de la Cour des comptes européenne (ECA) qui a déploré un manque de transparence dans le financement des ONG, notamment via le programme LIFE.

Sans surprises, il n’y a eu aucune suite aux conclusions de ce rapport ni aucune retombée médiatique, et ces lobbies radicaux sans-frontiéristes et wokistes continuent de bénéficier des aides publiques européennes sans qu’il y ait eu le moindre rééquilibrage : les fonds publics européens servent donc à financer des agendas de groupes idéologiques à la fois minoritaires, subversifs, radicaux et hostiles aux souverainetés nationaux et aux agences européennes de contrôle des frontières extérieures comme Frontex…

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« On n’arrive plus à gérer » : les CRS surmobilisés et surmenés tirent la sonnette d’alarme

Un système qui marche sur la tête. Initialement déployés pour une mission de 20 jours à Lyon, des CRS de Nantes ont finalement été mobilisés en urgence pour intervenir dans plus de cinq villes, effectuant 12 trajets et parcourant plus de 5 000 kilomètres. Le syndicat Alliance Police nationale CRS s’en est indigné, sur Facebook, le 30 juin dernier, scandant « Démesure et déraison : ça continue ! » et défendant « des collègues épuisés, sans reconnaissance ni considération ».

La compagnie républicaine de sécurité 42 de Nantes, qui devait initialement se rendre à Lyon pour un plan de sécurisation sur 20 jours, n’y est finalement restée que quelques jours. En cause : sa mission a été détournée à la dernière minute pour une intervention à Paris, puis redirigée vers Strasbourg. Le syndicat policier a même publié une carte de ce tour de France invraisemblable pour marquer les esprits. Et le cas de la compagnie 42 est loin d’être isolé.

Contacté par Valeurs actuelles, Johann Cavalléro, délégué national CRS chez Alliance, livre un autre exemple délirant : celui de la compagnie 34, initialement en mission à Nice du 4 au 27 juin. Sollicitée en urgence pour d’autres interventions, elle a vu ses 15 véhicules parcourir au total 132 000 kilomètres, consommer 15 800 litres de carburant et générer 16 300 euros de frais de péages… sans compter l’épuisement de ses agents.

« La lutte contre l’immigration clandestine représente 30% des détournements de mission. »

« On n’arrive plus à gérer. Aujourd’hui, la maison tient sur le sacrifice des collègues, explique le syndicaliste policier. Les CRS doivent assurer 32 missions permanentes, c’est-à-dire 365 jours par an. Ces missions monopolisent 48 unités de CRS sur 59. Et sur les 11 compagnies restantes, 5 sont en formation. Il reste donc 6 compagnies pour gérer les urgences dans tout le pays.»

Faute d’effectifs suffisants dans leurs services de police, de nombreux préfets sollicitent ainsi des CRS positionnés dans d’autres villes. Résultat : ces unités, déjà engagées ailleurs, voient leurs missions détournées en fonction des urgences… et souvent au détriment des missions permanentes : « La lutte contre l’immigration clandestine représente 30% des détournements de mission », précise Johann Cavalléro.

L’agent pointe une désorganisation profonde due au non respect de la doctrine d’emploi des force mobiles de 2015 : « Aujourd’hui, ce sont les préfets qui ont la main, ce qui déstabilise tout car c’est à qui sera le plus influent pour obtenir du ministère des CRS. » Une gestion éclatée qui donne souvent lieu à des décisions absurdes : « Pour la finale de la Ligue des champions, le 31 mai, on a fait remonter une compagnie de Lyon pour une mission d’une demi-journée sur Paris, pour ensuite rentrer à Lyon au bout de 48h . »

À seulement quatre jours du 14-Juillet, où seront mobilisés plusieurs dizaines de milliers de policiers dans tout le pays en raison de la menace sécuritaire, l’absence totale d’informations sur la répartition des CRS n’étonne plus notre interlocuteur : « Vous verrez, il y a encore des CRS de Lyon, de Marseille, de Bordeaux qui vont devoir monter à Paris », prédit le délégué national CRS du syndicat Alliance.

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[Info VA] Paris : un garçon handicapé de 12 ans agressé par un suspect en fuite impliqué dans une rixe

Un jeune garçon de douze ans a été agressé par un individu en fuite et impliqué dans une rixe, dans le XIIIe arrondissement de Paris, dans la nuit du samedi 12 au dimanche 13 juillet, selon nos informations.

Vers 23 h 30, un homme armé d’un couteau a été aperçu par des témoins fuyant une scène de bagarre près de la station de tramway Avenue de France, avant d’emprunter une rue adjacente et de pénétrer dans un immeuble tout proche.

Au même moment, la police a été informée qu’un enfant qui circulait à trottinette venait d’être frappé à la tête avec une bouteille par le même individu déjà signalé. Porteur d’un handicap physique et mental, il est tombé au sol et a reçu un coup de pied dans le dos.

Réfugiée dans un restaurant, la jeune victime a été ramenée par la police à sa mère, qui devrait déposer plainte. Le suspect, localisé dans son appartement, s’est rendu. Légèrement blessé au visage, il a été interpellé pour violences volontaires avec arme sur personne vulnérable.

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