Des dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté ce samedi dans les rues de Tel-Aviv, pour demander la fin de la guerre dans la bande Gaza et dénoncer le plan d'Israël pour la conquête de la ville de Gaza.
Une vingtaine de pays arabes et musulmans ont condamné samedi le plan israélien de prise de contrôle de la ville de Gaza, y voyant une "dangereuse escalade". Dans une déclaration commune, ces pays, dont l'Egypte, l'Arabie saoudite et la Turquie, accusent ce plan, approuvé dans la nuit de jeudi à vendredi par le gouvernement israélien, de constituer "une violation flagrante du droit international et une tentative de consolider l'occupation illégale et imposer un fait accompli". Récit de Romain Michelot et Nicolas Chamontin.
L'armée israélienne se prépare samedi, sous les critiques internationales, à prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien, dans le but de "vaincre" le Hamas et assurer la libération des otages. Quelles sont les réactions de la population sur place ? Précisions de Rami Abou Jammous, journaliste indépendant à Gaza.
Les autorités syriennes ont affirmé qu'elles ne se déplaceraient pas à Paris pour assister aux pourparlers sur l'intégration de l'administration kurde semi-autonome de Syrie au sein de l'État. Leur volonté est que les discussions futures aient lieu à Damas, "seul lieu légitime et national pour un dialogue entre Syriens".
L'armée israélienne se prépare, sous les critiques internationales, à prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien, dans le but de "vaincre" le Hamas et assurer la libération des otages. Après 22 mois de guerre, plus de deux millions de Palestiniens sont menacés d'une "famine généralisée", selon l'ONU. Précisions de Rami Abou Jammous, journaliste indépendant à Gaza.
Le cabinet de sécurité israélien a approuvé dans la nuit de jeudi à vendredi un projet visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza, quelques heures après que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a exprimé son intention d'occuper militairement la totalité de l'enclave palestinienne. Cette annonce a aussitôt valu à Israël une nouvelle salve de condamnations internationales, alors que la stratégie de Benjamin Netanyahu à l'égard de Gaza faisait déjà l'objet de vives critiques, aussi bien dans son pays qu'à l'étranger. Sujet France 2.
L'armée israélienne se prépare samedi, sous les critiques internationales, à prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien, dans le but de "vaincre" le Hamas et assurer la libération des otages. Récit d'Alexandra Quarini.
De nombreuses photographies de soldats israéliens amputés des deux jambes sont partagées sur les réseaux sociaux. Elles ont en fait été créées par intelligence artificielle et sont utilisées tout autant par des comptes pro-israéliens que pro-palestiniens, ainsi que pour monter des escroqueries en ligne.
Le gouvernement libanais a acté mardi la décision de désarmer le Hezbollah, qui sans surprise a immédiatement opposé un refus catégorique. Affaibli par Israël, plus que jamais isolé dans la région, le puissant parti pro-iranien peut-il être contraint à déposer les armes ? Décryptage.
Après l'approbation par le cabinet de sécurité israélien dans la nuit de jeudi à vendredi d'un plan visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza, de très vives réactions internationales, dont celle de la France, se sont élevées pour dénoncer cette décision. Le Hamas a prévenu qu'elle signifie le "sacrifice" des otages. Le Conseil de sécurité de l'ONU va se réunir en urgence dimanche, ont indiqué vendredi à l'AFP plusieurs sources diplomatiques.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a obtenu l'aval du cabinet de sécurité pour son plan visant à "vaincre le Hamas". L'armée israélienne se prépare donc à "prendre le contrôle de la ville de Gaza".
Le gouvernement libanais a examiné, jeudi, un mémorandum présenté par les États-Unis incluant un calendrier de désarmement du Hezbollah d'ici fin 2025. Quatre ministres chiites se sont retirés avant la fin de la séance en signe de protestation. Sur le terrain, des frappes israéliennes ont tué au moins cinq personnes et en ont blessé dix dans l'est du Liban.
Benjamin Netanyahu a assuré dans une interview diffusée jeudi sur Fox News qu'Israël "a l'intention" de prendre le contrôle de la bande de Gaza, mais "pas de la gouverner". Des déclarations qui interviennent avant que le Premier ministre israélien ne réunisse en fin d'après-midi son cabinet de guerre, et alors que les médias israéliens évoquent une possible conquête totale du territoire palestinien.
La Fédération de football palestinienne a annoncé mercredi la mort de l'ancien international Suleiman al-Obeid. L'ex-capitaine de la sélection a été tué lors d'une attaque israélienne dans la bande de Gaza.
Les acteurs humanitaires ont appelé mercredi les autorités israéliennes à abroger une réglementation menaçant à terme toutes leurs activités dans la bande de Gaza et en Cisjordanie occupée. "Cette exigence fait partie d'un ensemble de nouvelles conditions restrictives", déplore le Humanitarian Country Team, un organe de coordination entre l'ONU et plus de 200 ONG.
Le Hezbollah a affirmé, mercredi, que le gouvernement libanais avait commis un "grave péché" en décidant de le désarmer d'ici fin 2025 et qu'il ferait comme si cette décision "n'existait pas". Au contraire, ses opposants ont salué une "décision historique".
Israël fait face à une émigration accrue depuis "l'après 7-Octobre", et les départs n'ont pas été compensés par les entrées sur le territoire en 2024. Les Israéliens qui choisissent de partir ont tendance à être plus diplômés que la moyenne nationale. Enlisé dans la guerre, l'État hébreu est-il menacé par une fuite de "ses cerveaux" ?
La presse israélienne prédit une nouvelle escalade des opérations à Gaza, alors que Benjamin Netanyahu, a annoncé, mardi, qu'Israël devait "vaincre totalement" le Hamas pour assurer la libération des otages. Sur le terrain, au moins 68 personnes ont été tuées dans des attaques israéliennes, selon la Défense civile.
Le gouvernement libanais a chargé mardi l'armée de préparer un plan pour désarmer le Hezbollah, d'ici la fin de l'année. Une mesure demandée par les États-Unis. Le même jour, le secrétaire général du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, a déclaré que le parti n'accepterait pas de calendrier imposé pour remettre ses armes tant qu'Israël poursuit ses attaques au Liban.
Israël a réautorisé, mardi, l'entrée "de marchandises via le secteur privé à Gaza", selon un communiqué. Par la suite, Benjamin Netanyahu a déclaré : "Il est nécessaire de vaincre totalement l'ennemi à Gaza, de libérer tous nos otages et de s'assurer que Gaza ne constituera plus une menace pour Israël'". Le fil du 5 août 2025.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé lundi qu'il donnerait cette semaine "des instructions" sur la poursuite de la guerre dans la bande de Gaza, au moment où les pressions s'accentuent sur son gouvernement pour trouver une issue au conflit et libérer les captifs du 7-Octobre.
L'Arabie saoudite a exécuté lundi deux ressortissants saoudiens pour "terrorisme", au lendemain de l'exécution de sept étrangers pour trafic de drogue, portant à 17 le nombre d'exécutions en trois jours, selon un décompte de l'AFP fondé sur les annonces officielles. La majorité des condamnés ne sont pas des ressortissants saoudiens.
Sous un soleil écrasant, des Gazaouis épuisés et affamés parcourent chaque jour des kilomètres à pied à la recherche de quelques litres d'eau, souvent saumâtre ou polluée, à l'heure où la crise de l'eau, préexistente à la guerre, s'est terriblement aggravée selon des sources humanitaires et des responsables locaux.
Krystine Bejjani, a survécu à l'explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020. Grâce à sa passion, la batterie, elle a réussi à surmonter les effets psychologiques liés l’explosion du port.
Un reportage de notre journaliste Shaza Wannous.