Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Naïm Qassem, a déclaré mardi que le parti n'accepterait pas de calendrier imposé pour remettre ses armes tant qu'Israël poursuit ses attaques au Liban.
Israël réautorise, mardi, l'entrée "de marchandises via le secteur privé à Gaza", selon un communiqué. Par la suite, Benjamin Netanyahu a déclaré : "Il est nécessaire de vaincre totalement l'ennemi à Gaza, de libérer tous nos otages et de s'assurer que Gaza ne constituera plus une menace pour Israël'". Suivez notre direct.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé lundi qu'il donnerait cette semaine "des instructions" sur la poursuite de la guerre dans la bande de Gaza, au moment où les pressions s'accentuent sur son gouvernement pour trouver une issue au conflit et libérer les captifs du 7-Octobre.
L'Arabie saoudite a exécuté lundi deux ressortissants saoudiens pour "terrorisme", au lendemain de l'exécution de sept étrangers pour trafic de drogue, portant à 17 le nombre d'exécutions en trois jours, selon un décompte de l'AFP fondé sur les annonces officielles. La majorité des condamnés ne sont pas des ressortissants saoudiens.
Sous un soleil écrasant, des Gazaouis épuisés et affamés parcourent chaque jour des kilomètres à pied à la recherche de quelques litres d'eau, souvent saumâtre ou polluée, à l'heure où la crise de l'eau, préexistente à la guerre, s'est terriblement aggravée selon des sources humanitaires et des responsables locaux.
Krystine Bejjani, a survécu à l'explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020. Grâce à sa passion, la batterie, elle a réussi à surmonter les effets psychologiques liés l’explosion du port.
Un reportage de notre journaliste Shaza Wannous.
Israël veut mettre la question des otages retenus à Gaza "au centre de l'agenda international", a déclaré lundi le ministre israélien des Affaires étrangères, Gidéon Saar, à la veille d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur le sujet.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël, du Mossad et du Shin Bet notamment, ont appelé le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza et ainsi ramener "les otages chez eux". Chronique de Bruno Daroux.
Le 4 août 2020, l'une des plus grandes explosions non nucléaires de l'histoire a dévasté des quartiers entiers de la capitale libanaise, faisant plus de 220 morts et 6.500 blessés.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a sollicité l'aide du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) "pour fournir de la nourriture" et "un traitement médical" aux otages israéliens aux mains du Hamas dans la bande de Gaza, selon un communiqué de son bureau publié dimanche.
Le Hamas a affirmé dimanche qu'il n'autorisera l'accès du CICR aux otages israéliens de Gaza que si des couloirs humanitaires sont ouverts vers le territoire palestinien, selon un communiqué de sa branche armée. Stéphane Amar, notre correspondant à Jérusalem, décrypte la situation.
Le 4 août 2020, l'une des plus grandes explosions non nucléaires de l'histoire dévastait des quartiers entiers Beyrouth, faisant plus de 220 morts et 6 500 blessés. Cinq ans plus tard, l'enquête n'a toujours pas abouti, au grand désespoir des proches des victimes. Stéphanie Khouri, journaliste politique, analyse la situation.
Le président libanais, Joseph Aoun, a promis lundi que la justice serait rendue au terme de l'enquête portant sur l'explosion qui avait soufflé le port de Beyrouth en 2020. Cinq ans après ce drame, la journée du 4 août a été déclarée jour de deuil national, alors que les investigations se poursuivent.
Au moins 76 personnes sont mortes et des dizaines portées disparues après le naufrage d'une embarcation transportant principalement des migrants éthiopiens au large des côtes yéménites, dernière tragédie en date sur cette route migratoire périlleuse, ont indiqué des responsables yéménites à l'AFP lundi.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a sollicité dimanche l'aide du CICR pour fournir "nourriture" et "traitement médical" aux otages israéliens dans la bande de Gaza, en proie à une catastrophe humanitaire, où le Hamas a exigé en retour l'ouverture de "corridors humanitaires".
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël ont appelé, lundi, le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza. "Traquer les derniers hauts responsables du Hamas peut être fait plus tard", mais les "otages ne peuvent pas attendre", insistent-ils.
Le ministre israélien d'extrême droite, Itamar Ben Gvir, s'est rendu dimanche au petit matin sur le site hautement sensible de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, secteur occupé et annexé par Israël, pour y prier. Troisième lieu saint de l'islam, l'esplanade est une poudrière. Pour les juifs, c'est le mont du Temple, lieu le plus sacré du judaïsme.
L'acte est jugé comme une provocation dans le monde musulman. Le ministre israélien d'extrême droite, Itamar Ben Gvir s'est rendu dimanche au petit matin sur le site hautement sensible de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, secteur occupé et annexé par Israël, pour y prier, rapportent les médias israéliens.
Les vidéos publiées par le Hamas et le Jihad islamique ont suscité l'émoi chez la population israélienne. En réaction, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a "sollicité l'implication (du Comité international de la Croix-Rouge) pour fournir de la nourriture à nos otages et leur prodiguer un traitement médical immédiat". Peu après, le Hamas a affirmé être prêt à répondre "positivement" à toute demande du CICR, exigeant "l'ouverture de corridors humanitaires" dans la bande de Gaza.
À Soueïda, les habitants vivent sous un blocus - l'électricité, l'eau et nourriture manquent -, la route reliant la ville à Damas est bloquée. Un cessez-le-feu a été obtenu fin juillet après des violences intercommunautaires. Les habitants réclament la fin du blocus et l'ouverture d'un couloir humanitaire.
Au moins 76 migrants, principalement originaires d'Éthiopie, sont morts dimanche après que leur embarcation, qui faisait route vers l'Arabie Saoudite, a fait naufrage au large du Yémen. Des dizaines de passagers sont encore portés disparus et le bilan pourrait encore s'alourdir.
Au moins quatre personnes ont été tuées dimanche 3 août lors d'une reprise des affrontements dans la province de Soueïda, à majorité druze, dans le sud de la Syrie. Il s'agit des premiers combats depuis la signature du cessez-le-feu le 20 juillet.
Le président français, Emmanuel Macron, et la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, ont dénoncé, dimanche ,la cruauté du Hamas, après la diffusion ces derniers jours par le mouvement islamiste de vidéos montrant deux otages israéliens décharnés.
Après 22 mois de guerre, le peu de nourriture qui entre à Gaza est aussitôt pris d'assaut par des foules affamées risquant leur vie sous les tirs, pillé par des gangs criminels ou encore détourné dans le plus grand chaos, sans atteindre ceux qui en ont le plus besoin. A la faveur d'une pause partielle dans les bombardements annoncée dimanche par Israël, sous pression internationale face au risque de famine, de l'aide humanitaire a recommencé à entrer dans le territoire assiégé, mais en quantité jugée largement insuffisante par les organisations internationales. De nombreux pays, dont la France et le Canada, ont promis de reconnaître un Etat de Palestine en marge de la 80e Assemblée générale de l'ONU en septembre.