Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a de nouveau affirmé que la milice chiite n’abandonnera pas les armes au Liban. Pour autant, il dit respecter le cessez-le-feu et ne pas avoir tiré sur Israël depuis. Dans les faits, que reste-t-il réellement de l'arsenal du Hezbollah ? De son influence ?
En Israël, l'armée et la police ont affirmé mardi avoir appréhendé plusieurs civils israéliens ayant attaqué, masqués, des Palestiniens et incendié des biens dans la région de Tulkarem, en Cisjordanie occupée.
Le président palestinien Mahmoud Abbas s'est engagé mardi à mener des réformes, dont la tenue d'élections, lors de sa rencontre avec Emmanuel Macron à l'Élysée. Le chef de l'État a quant à lui assuré que les projets d'annexion israéliens constituaient une "ligne rouge".
Les Irakiens votent mardi pour élire un nouveau Parlement, un scrutin peu susceptible de bouleverser le paysage politique, mais surveillé de près par Téhéran et Washington. Analyse d'Amar Al Hameedawi, grand reporter France 24.
Le cessez-le-feu conclu le 10 octobre entre le Hamas et Israël a mis fin à la guerre ouverte, mais pas à la violence à Gaza. Au moins sept factions armées et clans se battent désormais contre le Hamas. Des images témoignent déjà d’affrontements impliquant ces groupes, dont plusieurs sont soupçonnés d'avoir des liens avec Tel-Aviv.
C'est de l'Irak dont nous discutons aujourd'hui, alors que sa population est appelée aux urnes pour des élections législatives. Ces dernières années, le pays est passé sous les radars médiatiques. Mais après le cessez-le-feu à Gaza, l’affaiblissement du Hezbollah au Liban, la chute de Bachar Al-Assad en Syrie, les Irakiens voudraient que leur pays retrouve sa voix et sa voie. Est-ce possible, tant l'emprise des milices armées est grande, tout autant que les ingérences américaine et iranienne ?
Près d'un an après l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah libanais, Benjamin Netanyahu les menace. Le Premier ministre israélien se dit déterminé à le faire respecter d'une poigne de fer. Son armée a tué une quinzaine de membres du mouvement chiite depuis le début du mois. Les États-Unis appellent Beyrouth à mettre fin à l'influence néfaste de l'Iran via le Hezbollah. Comment faut-il interpréter la recrudescence des frappes israéliennes sur le Liban ? Réponse avec Karim Yahiaoui, chroniqueur international France 24.
Le Parlement israélien a adopté lundi soir en première lecture une proposition de loi visant à instaurer "la peine de mort pour les terroristes", texte taillé sur mesure pour s'appliquer aux Palestiniens reconnus coupables d'attaques ou d'attentats meurtriers anti-israéliens. Récit de Lucas de Villepin.
Les Irakiens sont appelés aux urnes mardi pour des élections législatives lors desquelles le Premier ministre Mohammed Chia al Soudani brigue un second mandat et que de plus en plus de jeunes considèrent uniquement comme un moyen pour les partis traditionnels de se répartir les richesses pétrolières du pays. Récit de Sophie Samaille.
De la liste noire du FBI à la Maison Blanche : Donald Trump a reçu lundi Ahmed al-Charaa, une première pour un chef d'Etat syrien et une consécration pour l'ancien jihadiste, dont le pays va rejoindre la coalition internationale contre le groupe Etat islamique. Récit de Nicolas Chamontin.
Les Irakiens sont appelés aux urnes mardi pour des élections législatives lors desquelles le Premier ministre Mohammed Chia al Soudani brigue un second mandat et que de plus en plus de jeunes considèrent uniquement comme un moyen pour les partis traditionnels de se répartir les richesses pétrolières du pays. Précisions de la correspondante de France 24 à Bagdad, Marie-Charlotte Roupie.
Depuis trois ans et l’arrivée au pouvoir du gouvernement de Mohammed Shia al-Soudani, après une grave crise politique, l’Irak vit l’une des périodes les plus calmes et stables de ces vingt dernières années. Reportage de Marie-Charlotte Roupie.
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas est attendu mardi à l'Élysée pour une rencontre avec Emmanuel Macron à propos de la "pleine application" de l'accord de cessez-le-feu à Gaza, a annoncé la présidence française dans un communiqué.
Le vote vient de se terminer mardi en Irak pour élire un nouveau Parlement, un scrutin peu susceptible de bouleverser le paysage politique, mais surveillé de près par Téhéran et Washington. Les bureaux de vote ont fermé à 18 h (16 h, heure de Paris) et les premiers résultats sont attendus dans les prochaines 24 heures. La participation a dépassé 55 % selon la commission électorale, un taux inattendu.
C'est une première depuis la Seconde Guerre mondiale. Ahmed al-Charaa, le président syrien, n'a pas été accueilli avec les honneurs à Washington. Sa rencontre avec Donald Trump n'a fait l'objet d'aucune image officielle, car cet homme, ancienne figure montante du djihadisme, a longtemps vu sa tête mise à prix par le FBI. Au terme de la rencontre, des annonces ont été faites : la Syrie va rejoindre la coalition internationale dirigée par les États-Unis contre le groupe État islamique.
Une proposition de loi visant à instaurer "la peine de mort pour les terroristes", et qui s'appliquerait à un Palestinien qui tuerait un Israélien, a été adoptée en première lecture, lundi, au Parlement israélien. Une deuxième et troisième lectures doivent être votées pour que le texte devienne une loi.
Al-Charaa rencontre ce lundi, Donald Trump à Washington. Jamais, jusqu'à présent, un président syrien n'avait été reçu à la Maison Blanche. Cette visite constitue un point d'orgue pour le président intérimaire syrien, ancien djihadiste devenu chef d'Etat. Objectif : la lutte contre le terrorisme et plus particulièrement la signature d’un accord pour que la Syrie rejoigne la coalition internationale anti-djihadiste. Mais également la négociation de fonds pour la reconstruction de la Syrie.
Une délégation américaine emmenée par Jared Kushner, gendre de Donald Trump, a été reçue, lundi à Jérusalem, par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Le but : évoquer la deuxième phase du plan Trump qui a débouché sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Comment faire face à la diplomatie des otages de l'Iran ? La France n’a-t-elle d’autres choix que de systématiquement céder face aux exigences de Téhéran ? Clément Therme, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales (Ifri) et spécialiste du monde iranien répond à la "Question qui fâche" de France 24.
Le président intérimaire syrien, Ahmad al-Chareh, est arrivé aux Etats-Unis samedi pour une visite officielle inédite, a rapporté l'agence de presse officielle de son pays, au lendemain de son retrait de la liste noire américaine du terrorisme.
Les quatre barrages alimentant Mashhad, deuxième plus grande ville d'Iran, sont pratiquement à sec avec des réserves à moins de 3%, a rapporté dimanche un média local, au moment où le pays fait face à une sécheresse sans précédent. Hamidreza Azari, ingénieur en recherche à l'Université Aix-Marseille, est notre invité.
L’armée israélienne a annoncé dimanche que le Hamas avait remis à la Croix-Rouge dans la bande de Gaza un cercueil contenant le corps d’un otage. Celui-ci a été identifié par les autorités israéliennes comme Hadar Goldin, un soldat tué en 2014, comme l'avait annoncé plus tôt le mouvement palestinien.