Des millions de joueurs privés de Fortnite sur iOS à cause d’Apple






Le marché PC traverse une période totalement atypique, et l’explosion du prix de la mémoire DDR5 commence à produire des effets inattendus. Dernier exemple en date : le Ryzen 7 5800X3D, pourtant sorti en 2022 et officiellement abandonné par AMD, se vend aujourd’hui à des tarifs délirants sur le marché de l’occasion, dépassant parfois le […]
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Après un passage à vide marqué par les performances gaming décevantes d’Arrow Lake et les problèmes de stabilité des 13e et 14e générations, Intel prépare visiblement une contre-offensive majeure sur le segment desktop. La future génération Nova Lake, attendue pour le second semestre 2026, miserait sur une montée en puissance spectaculaire du nombre de cœurs […]
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À l’approche des fêtes de fin d’année, MOVA entend bien s’imposer comme un acteur incontournable de la maison connectée en proposant une vision du nettoyage à la fois technologique, accessible et tournée vers le confort du quotidien. À travers sa campagne « Faites briller Noël avec MOVA », la marque met en lumière une sélection de produits conçus pour simplifier l’entretien des foyers modernes, tout en répondant aux attentes actuelles en matière de performance, d’automatisation et d’hygiène.
MOVA profite de cette période clé pour valoriser l’intégration de technologies de nouvelle génération au sein des foyers français. Navigation de précision, intelligence artificielle, lavage à l’eau chaude ou encore systèmes anti enchevêtrement font partie des solutions mises en avant pour transformer une corvée quotidienne en une tâche quasi invisible. L’objectif affiché est clair : permettre aux utilisateurs de profiter pleinement des fêtes dans un intérieur propre, sain et accueillant.
En entrée de gamme, le MOVA M10 Ultra se positionne comme une solution idéale pour un premier aspirateur-laveur. Léger, maniable et puissant, il combine une aspiration efficace à un entretien automatisé de la brosse, lavée à 75 °C puis séchée rapidement. Plus ambitieux, le P50 Pro Ultra se rapproche des standards du haut de gamme grâce à sa navigation assistée par caméra RGB, ses serpillières extensibles et sa station de lavage entièrement automatisée, tout en conservant un positionnement tarifaire agressif.
La marque va encore plus loin avec le M50 Ultra, premier aspirateur-laveur pliable certifié, pensé pour atteindre facilement les zones difficiles sous les meubles, et avec le V50 Ultra Complete, robot aspirateur-laveur premium intégrant un lavage thermique et un système à double solution, particulièrement adapté aux foyers avec animaux. Ce dernier se distingue également par sa capacité à franchir des obstacles élevés et à naviguer précisément même dans des intérieurs encombrés par les décorations de Noël.
Pour accompagner cette sélection, MOVA propose des offres de Noël attractives allant jusqu’à 550 € de réduction, avec une garantie constructeur de trois ans sur l’ensemble de la gamme. Une approche qui souligne la volonté de la marque d’inscrire ses produits dans la durée, bien au-delà des fêtes, en misant sur la fiabilité, la tranquillité d’esprit et un réel gain de temps au quotidien.
Noël 2025 : MOVA mise sur le nettoyage intelligent pour des fêtes sans contraintes a lire sur Vonguru.
Qui se rappelle de Stunt Car Racer ?
C'était un jeu de course complètement barré sur Amiga où on pilotait une voiture avec un énorme V8 qui crachait des flammes sur des circuits surélevés dans le vide. Si vous avez connu ça à l'époque, vous savez à quel point c'était addictif et ce jeu de 1989 signé Geoff Crammond (le mec derrière les simulations Grand Prix ultra-réalistes) reste encore aujourd'hui une référence en termes de physique de conduite.
Hé bien bonne nouvelle les amis, un remake PC est en cours de développement par des fans passionnés ! Le projet existe depuis 2019, initié par D. Vernon et A. Copland, et il est maintenant maintenu par omenoid et ptitSeb qui continuent de le faire évoluer et contrairement à pas mal de projets fans qui tombent dans l'oubli, celui-ci est bien vivant.
Le concept original était déjà dingue pour l'époque. Vous aviez des circuits surélevés comme des montagnes russes géantes, avec des sauts impossibles, des virages relevés, et surtout le fameux Ski Jump qui faisait flipper tout le monde. Le truc, c'est que si vous ratiez un saut ou que vous alliez trop vite dans un virage, votre caisse tombait dans le vide. Pas de barrières de sécurité, pas de seconde chance, pas de Lakitu Pêcheur... ^^ et votre voiture accumulait aussi des dégâts au fil des courses.
Trop de crashes et au bout d'un moment, c'était game over pour la saison.
Le remake reprend donc tout ça avec une modélisation complète des circuits et une physique de suspension fidèle à l'original. Les développeurs ont aussi récemment intégré un patch qui améliore considérablement le framerate, ce qui rend l'expérience beaucoup plus fluide que le jeu d'origine.
Geoff Crammond en 1987 sur un vrai kart relié à un Commodore 64
Pour ceux qui veulent tester, le projet est disponible sur GitHub avec une version Windows prête à l'emploi . Y'a aussi une version Linux en développement pour les manchots du dimanche.
Ce qui est cool avec ce genre de projet, c'est qu'il permet de redécouvrir des jeux qui ont marqué l'histoire du jeu vidéo mais qui sont devenus quasi injouables sur du hardware moderne. Geoff Crammond avait passé trois ans à développer Stunt Car Racer, en partant d'un simple simulateur de terrain pour Commodore 64 avant de transformer le concept en jeu de course aérien et à l'époque, ce résultat avait été salué, comme l'un des meilleurs jeux de course jamais créés, par Amiga Power qui l'avait classé dans son top 10 de tous les temps.
Bref, si vous avez la nostalgie des années Amiga ou si vous êtes simplement curieux de découvrir un classique qui a influencé pas mal de jeux de course modernes, c'est le moment de tester ce remake. Au pire vous aurez passé un bon moment à vous casser la figure sur le Ski Jump, au mieux vous comprendrez pourquoi les "vieux" en parlent encore 35 ans plus tard...

Si vous cherchez un utilitaire en ligne de commande simple à utiliser qui permette de transférer des fichiers et des répertoires entre 2 ordinateurs, voici un projet très cool qui mérite vraiment le coup d'œil.
Le projet s'appelle Croc et il permet d'envoyer ou recevoir des fichiers au travers d'Internet via un serveur relais, directement depuis le terminal, et cela aussi bien depuis un Mac qu'un Linux ou un Windows. Les transmissions sont chiffrées de bout en bout à l'aide de la méthode PAKE (Password-Authenticated Key Exchange), ce qui permet de générer des clés de chiffrement robustes même à partir de mots de passe faibles. Du coup, même si quelqu'un intercepte votre code de transfert, il ne pourra pas décrypter vos données.
Vous pouvez transférer plusieurs fichiers en même temps, et si par malheur un transfert est interrompu, Croc saura automatiquement le reprendre. Et si vous voulez vraiment améliorer les choses niveau confidentialité, vous pouvez même spécifier un proxy Tor.
L'outil fonctionne sans avoir besoin de configurer quoi que ce soit côté réseau. Pas de serveur à installer, pas de port forwarding à configurer sur votre box, ça passe à travers les firewalls et les NAT sans broncher. Et le petit plus sympa, c'est qu'il supporte IPv6 en priorité avec fallback IPv4.
Pour l'installer, c'est hyper simple. Avec curl :
curl https://getcroc.schollz.com | bash
Sur Mac avec Homebrew :
brew install croc
Sur Windows avec Scoop ou Chocolatey :
scoop install croc
choco install croc
Y'a aussi des packages pour Arch (pacman), Fedora (dnf), Nix, Conda, et même une image Docker si vous préférez.
Pour envoyer un fichier, vous tapez :
croc send FICHIER_OU_DOSSIER
Vous obtiendrez alors un code (genre trois mots random) que vous devrez transmettre à votre destinataire. Celui-ci n'aura qu'à entrer :
croc LE-CODE-RECU
Et hop, la connexion s'établit et le fichier se transfère direct. Vous pouvez même envoyer du texte au lieu d'un fichier avec :
croc send --text "votre message secret"
Et pour les paranos qui ne veulent faire confiance à personne, il est possible de lancer votre propre serveur relais avec :
croc relay
Du coup vous n'êtes plus dépendant des relais publics et tout reste chez vous.
Bref, Croc c'est le genre d'outil qu'on installe une fois et qu'on utilise durant des années car c'est simple, efficace, sécurisé. Et comme ce projet a plus de 33 000 étoiles sur GitHub, je pense que c'est pas juste moi qui trouve ça cool...
Article publié initialement le 15/12/2021 et mis à jour le 19/12/2025

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BotWave , c'est un projet open source qui transforme n'importe quel Raspberry Pi en émetteur FM fonctionnel. Vous branchez une antenne sur le GPIO 4 (la broche 7), vous lancez le script, et hop, vous diffusez sur la bande FM comme un vrai pirate des ondes. Vos voisins peuvent alors vous capter sur leur autoradio sans le savoir.
⚠️ Attention : diffuser sur la bande FM sans autorisation de l'ANFR est illégal en France (et dans la plupart des pays). Les sanctions peuvent aller jusqu'à 6 mois de prison et 30 000 € d'amende. En pratique, avec une antenne bricolée, la portée se limite à quelques mètres, mais légalement, même ça reste interdit. Les développeurs recommandent d'ailleurs d'utiliser un filtre passe-bande pour limiter les interférences.
Le truc que j'ai trouvé intéressant avec BotWave, c'est son architecture client-serveur. Vous pouvez contrôler plusieurs Raspberry Pi depuis un seul serveur central, du coup, si vous voulez monter un réseau de diffusion avec des émetteurs disséminés un peu partout, c'est possible. L'interface en ligne de commande permet d'envoyer des fichiers audio, de démarrer ou stopper les diffusions à distance, et de gérer tout ça de manière centralisée.
Pour l'installation, c'est hyper simple. Une seule commande suffit :
curl -sSL https://botwave.dpip.lol/install | sudo bash
Le script vous demande alors si vous voulez installer le serveur, le client, ou les deux. Et c'est parti mon kiki ! Le système détecte automatiquement votre Pi (compatible avec les modèles 0, 1, 2, 3 et 4) et configure tout ce qu'il faut.
Sous le capot, ça utilise PiFmRds pour générer le signal FM et c'est du Python à 75% avec un peu de Shell pour l'installation. Le projet est sous licence GPLv3, donc vous pouvez l'auditer, le modifier, le redistribuer, bref, faire ce que vous voulez avec.
Car quand tout tombe, la radio FM reste un des rares moyens de communication qui fonctionne sans infrastructure centralisée. Pas besoin de serveurs, pas besoin de tours cellulaires. Juste un émetteur, un récepteur, et un peu d'électricité. Les radioamateurs le savent depuis toujours, et avec BotWave, chacun peut monter son propre réseau de diffusion.

En bon geek accro au shopping, vous avez claqué des centaines d'euros dans un SSD NVMe PCIe 5.0 qui promet d'atteindre des vitesses de ouf, mais malheureusement, vous avez l'impression que votre Windows n'en tire pas tout le potentiel... snif... Et ce n'est pas qu'une impression, vous avez raison, et youpi, Microsoft vient enfin de faire quelque chose pour corriger ça.
Le problème, c'est que depuis des années, Windows traite tous les périphériques de stockage comme s'ils étaient de vieux disques SCSI des années 80. En effet, Windows convertit toutes les commandes à destination de votre SSD NVMe ultrarapide, en langage SCSI avant de les exécuter. Un peu comme si vous deviez traduire du français vers le latin puis vers l'anglais à chaque fois que vous voulez dire bonjour. C'est inutilement compliqué et forcément plus lent.
Du coup, Microsoft a décidé de moderniser tout ça avec Windows Server 2025 qui supporte enfin le NVMe natif. Concrètement, plus de traduction SCSI, le système communique maintenant directement avec votre SSD dans sa langue maternelle et les résultats sont plutôt impressionnants !
Car si on en croit Microsoft, en termes de performances, ça représente une augmentation de 80% des IOPS (opérations d'entrée/sortie par seconde) par rapport à Windows Server 2022. Pour vous donner un ordre de grandeur, on passe d'environ 1,8 million d'IOPS à 3,3 millions sur un SSD PCIe 5.0. Et en bonus, le CPU consomme environ 45% de cycles en moins pour chaque opération I/O. Bref, c'est plus rapide ET plus efficace.
Et il y a bien sûr, une raison technique à ces gains massifs. Les SSD NVMe modernes supportent jusqu'à 64 000 files d'attente avec 64 000 commandes chacune. Sauf que l'ancien système SCSI était conçu pour des disques rotatifs avec une seule file et 32 commandes max. Ouch...
Pour l'instant, cette amélioration est disponible uniquement sous Windows Server 2025 et elle est désactivée par défaut. Donc faut l'activer manuellement via le registre avec une commande PowerShell mais Microsoft précise que Windows 11 devrait aussi en bénéficier dans une future mise à jour, une fois que la techno aura fait ses preuves côté serveur.
Voici la fameuse commande :
reg add HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Policies\Microsoft\FeatureManagement\Overrides /v 1176759950 /t REG_DWORD /d 1 /f
Bref, si vous êtes admin système ou que vous avez un serveur qui fait tourner SQL Server, de la virtualisation Hyper-V ou des workloads IA/ML, ça vaut le coup de jeter un petit œil (pensez à le récupérer après, c'est dégueu un oeil qui traine par terre).

Le Lian Li Vector V100 est un boîtier moyen-tour conçu pour mettre en scène les performances internes tout en offrant une esthétique immersive. Avec ses deux panneaux en verre trempé de 4 mm et une visibilité panoramique à 270°, il s’adresse aux joueurs et passionnés de PC qui souhaitent exposer leur configuration sans compromis sur le refroidissement ou la compatibilité matérielle.


Le Vector V100 repose sur une architecture orientée “showcase”. Les panneaux avant et latéral en verre trempé offrent une vue dégagée sur les composants, tandis qu’une bande lumineuse ARGB intégrée de 26 LED vient souligner la structure du châssis. L’éclairage est entièrement personnalisable et synchronisable avec les logiciels RGB des cartes mères compatibles, permettant d’adapter l’ambiance à chaque configuration.
Disponible en noir ou en blanc, le V100 s’intègre aussi bien dans une configuration gaming RGB que dans un setup plus minimaliste.

Le Lian Li Vector V100 prend en charge une large variété de formats de cartes mères : Mini-ITX, M-ATX, ATX et E-ATX (jusqu’à 246 mm de largeur). Il est également compatible avec les cartes mères à connexion arrière (back-connect), une caractéristique de plus en plus recherchée pour obtenir une gestion des câbles plus propre et un intérieur visuellement épuré.
Pensé pour les configurations puissantes, le Lian Li Vector V100 peut accueillir jusqu’à 9 ventilateurs et prend en charge des radiateurs jusqu’à 360 mm sur le dessus. La disposition interne permet également l’installation de ventilateurs sur le côté, à l’arrière et en bas, offrant une grande flexibilité pour les systèmes de refroidissement à air ou liquide.

Un panneau latéral droit en maille optimisée, avec un taux de perforation supérieur à 40 %, améliore l’apport d’air frais et contribue à maintenir des températures stables, même avec des composants haut de gamme.
Le Lian Li Vector V100 propose un dégagement GPU généreux allant jusqu’à 420 mm, permettant l’installation des cartes graphiques les plus imposantes du marché. Un support GPU préinstallé est inclus afin d’éviter l’affaissement des cartes graphiques lourdes, protégeant ainsi le slot PCIe et assurant une meilleure durabilité à long terme.
Le panneau d’E/S latéral est discrètement intégré et propose :
Cette disposition améliore l’ergonomie au quotidien, que le boîtier soit posé sur un bureau ou au sol.

Le Lian Li Vector V100 intègre une plateforme d’affichage amovible, pensée pour renforcer l’aspect “showcase” du boîtier. Cette petite plateforme permet aux utilisateurs d’exposer figurines, accessoires ou éléments décoratifs directement dans le champ de vision à 270°, sans interférer avec l’installation des composants ni le flux d’air. Amovible et discrète, elle offre une liberté de personnalisation supplémentaire, idéale pour ceux qui souhaitent donner une identité visuelle unique à leur configuration tout en conservant un intérieur propre et épuré.
Avec son approche axée sur la visualisation des performances, sa compatibilité étendue (E-ATX, back-connect, GPU longue taille) et ses capacités de refroidissement solides, le Lian Li Vector V100 s’impose comme une solution mid-tower moderne pour les configurations gaming et enthusiast orientées vitrine.
Bon bah voilà, tout le monde peut redescendre en pression après cette polémique quand Mozilla a annoncé qu'il allait intégrer des fonctionnalités IA dans Firefox. C'est vrai que les forums Reddit sont entrés en fusion, les puristes du logiciel libre en mode révolution, et je ne vous parle pas des menaces de migration vers je ne sais quel fork obscur... Hé bien Mozilla vient de calmer le jeu un bon coup en annonçant un "kill switch" capable de désactiver complètement toutes les fonctionnalités IA.
Ouf...
Le nouveau PDG Anthony Enzor-DeMeo l'a annoncé clairement : Il y aura un moyen simple et définitif de désactiver toutes les fonctions IA de Firefox. Ce truc arrive au premier trimestre 2026 et surtout, une fois activé, aucune fonction IA ne reviendra se glisser en douce après une mise à jour.
C'est définitif.
Ils ont aussi confirmé que toutes les fonctionnalités IA seraient en opt-in. Pour les non-anglophones du fond de la salle, ça veut dire que vous devrez les activer vous-même, car elles ne seront pas activées par défaut. C'est la base du respect utilisateur, mais comme c'est devenu tellement rare, il faut le préciser.
Pour ceux qui utilisent vraiment Firefox au quotidien (comme moi) et qui flippaient de voir leur navigateur préféré se transformer en assistant IA bavard (pas comme moi), vous pouvez souffler. Le kill switch arrive, l'opt-in est confirmé, et Mozilla a visiblement compris que forcer des fonctionnalités dont les gens ne veulent pas c'est le meilleur moyen de les faire fuir.
À noter également que pour les plus radicaux, le fork Waterfox a annoncé qu'il n'intégrerait tout simplement aucune IA, ni maintenant ni dans un futur... C'est donc une alternative pour ceux qui préfèrent la méthode "pas de bouton off parce qu'il n'y a rien à éteindre".
Voilà, affaire classée, on peut passer à autre chose.
