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AMD Ryzen 7 9850X3D : un TDP de 120 W confirmé par un document d’expédition

Un document logistique met fin au doute : l’AMD Ryzen 7 9850X3D apparaît avec un TDP de 120 W, de quoi éclairer la feuille de route d’AMD côté gaming.

Un manifeste NBD confirme le TDP et référence la puce

Partagé par @Olrak29_, un manifeste NBD liste « AMD Desktop Ryzen 7 9850X3D 120W AM5 » avec le numéro de pièce 100-000001973-00 et une date interne de mi-octobre 2025. Cette mention intervient après la brève apparition du processeur sur les pages de support pilotes d’AMD, un signal supplémentaire que la déclinaison X3D de Zen 5 se précise. D’après les rumeurs, la gamme s’articulerait autour de deux modèles : un AMD Ryzen 7 9850X3D pour les configurations de jeu grand public et un Ryzen 9 9950X3D2 au sommet, ce dernier étant évoqué avec un TDP de 200 W et deux piles de 3D V-Cache.

AMD Ryzen 7 9850X3D processeur 5,6 GHz 96 Mo cache 3D V-Cache puce CPU carte mère socket performance

Du côté des spécifications non officielles, il semblerait que l’AMD Ryzen 7 9850X3D aligne 8 cœurs et 16 threads sur architecture Zen 5, un base clock de 4,7 GHz, un boost jusqu’à 5,6 GHz et 96 Mo de cache L3. On retrouverait donc la même configuration de cache que le 9800X3D, mais avec un plafond de fréquence relevé d’environ 400 MHz. Le maintien du TDP à 120 W, tel qu’indiqué dans le manifeste, laisse penser qu’AMD s’appuierait sur un tri de puces et des ajustements firmware pour atteindre ces fréquences plus hautes sans élargir l’enveloppe thermique.

Positionnement sur AM5 et calendrier potentiel

Dans les faits, l’AMD Ryzen 7 9850X3D s’inscrirait comme une option légèrement plus rapide, et toujours « drop-in », pour les systèmes AM5 déjà calibrés autour du 9800X3D à 120 W. « Le principal enjeu désormais, ce sont les prix et la disponibilité », résume la question qui fâche. Aucun lancement n’est acté à ce stade. Certaines sources évoquent un possible dévoilement début 2026, avec le CES comme scène probable. Reste à voir si AMD confirmera cette fenêtre et comment le 9850X3D se positionnera face à un 9800X3D déjà bien installé en jeu.

Source : VideoCardz

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Ubisoft+ Premium s’enrichit : premiers jeux Activision en streaming, d’autres à venir

Ubisoft accélère dans le cloud gaming : les premiers jeux Activision débarquent sur Ubisoft+ Premium en streaming, avec une intégration initiale via NVIDIA GeForce NOW et d’autres partenaires à venir.

Première salve Activision sur Ubisoft+ Premium

Logo Ubisoft+ Premium sur écran LCD HDR avec icônes de streaming, contrôleur, serveurs cloud et vignettes jeux Activision

Cette arrivée découle de l’accord annoncé en août 2023, qui confie à Ubisoft les droits de diffusion en streaming des jeux Activision et Blizzard. Selon l’éditeur, ces titres sont pour l’instant accessibles dans leur édition standard via Ubisoft+ Premium, et l’offre doit s’étendre à d’autres fournisseurs de cloud dans les prochains mois. Chris Early, vice‑président senior des partenariats chez Ubisoft, résume l’ambition : « notre acquisition des droits de cloud streaming pour les titres Activision et Blizzard renforce l’offre Ubisoft+ et nous permet de concéder des licences à d’autres acteurs du cloud ».

Quels jeux disponibles dès aujourd’hui

Interface Ubisoft+ Premium sur PC affichant jeux Activision en streaming, streaming cloud, compatibilité GPU, latence réseau

Les abonnés peuvent dès maintenant streamer :

Call of Duty Modern Warfare II et Call of Duty Modern Warfare III : campagnes solo, multijoueur et coop présentes, avec pour MWIII un mode Zombies.

Crash Bandicoot N. Sane Trilogy : trilogie remasterisée des épisodes fondateurs.

Spyro Reignited Trilogy : les trois jeux originaux revisités.

Ubisoft précise que davantage de titres Activision et Blizzard suivront au fil de l’intégration cloud, au‑delà de GeForce NOW.

Source : TechPowerUp

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XnViewMP 1.9.8

Version améliorée de XNView, permettant d'explorer et de visionner toutes les photos sur votre ordinateur, mais aussi de les convertir dans d'autres formats...
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GeForce 591.44 WHQL : DLSS 4 pour Battlefield 6 et Black Ops 7, nombreux correctifs et fin de support GTX 900/10

NVIDIA pousse une mise à jour dense avec le GeForce 591.44 WHQL : DLSS 4 pour les prochains gros jeux, une salve de correctifs sur PC et la confirmation d’un changement majeur côté support.

GeForce 591.44 WHQL

GeForce 591.44 : DLSS 4 et correctifs critiques

Le pilote Game Ready GeForce 591.44 WHQL apporte la prise en charge de DLSS 4 pour Battlefield 6: Winter Offensive et Call of Duty: Black Ops 7. D’après NVIDIA, il fournit « la meilleure expérience de jeu » sur ces titres compatibles. Côté stabilité, plusieurs problèmes épineux sont résolus : plantages dans Battlefield 6, texte déformé dans Counter-Strike 2 sous définition inférieure au natif, scintillements et corruptions graphiques dans Like a Dragon: Infinite Wealth et Like a Dragon Gaiden après des mises à jour précédentes.

Le GeForce 591.44 WHQL corrige aussi les baisses de performances observées dans Black Myth: Wukong sur les branches post-R570 et rétablit des effets de particules manquants dans Monster Hunter World: Iceborne sur les GPU GeForce RTX 50. La liste se poursuit avec l’assombrissement progressif de Call of Duty: Black Ops 3, des problèmes de stabilité dans Madden 26, des pertes de performances après la mise à jour Windows 11 d’octobre 2025 KB5066835, ainsi que des artefacts intermittents dans The Witcher 3: Wild Hunt.

Apps, PhysX 32 bits restauré et fin de support GTX 900/10

Au-delà du jeu, Premiere Pro ne gèle plus à l’export en encodage matériel, les soucis de stabilité liés à Sophos Home Antivirus sont corrigés, et une ligne verte en lecture vidéo sous navigateurs Chromium sur RTX 50 est éliminée. Le pilote réintroduit en outre la compatibilité des effets PhysX 32 bits sur les RTX 50 pour plusieurs classiques PC : Alice: Madness Returns, Assassin’s Creed IV: Black Flag, Batman: Arkham City, Batman: Arkham Origins, Borderlands 2, Mafia II, Metro 2033, Metro: Last Light et Mirror’s Edge conservent leurs effets d’origine.

Dernier point important : NVIDIA met fin au support des pilotes Windows pour les séries GeForce GTX 900 et GTX 10 à partir de cette version 591.44 WHQL, confirmant un mouvement déjà engagé côté Linux.

Source : TechPowerUp

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GitWrap - Votre année sur GitHub !

Vous connaissez le Spotify Wrapped qui vous rappelle chaque décembre que vous avez écouté “Africa” de Toto 847 fois ? Hé bien GitWrap fait pareil mais pour votre code sur GitHub. Et tout ça avec une interface qui sent bon le DOS et les moniteurs à phosphore vert.

Vous entrez votre nom d’utilisateur GitHub, et l’outil génère alors un récapitulatif de votre année de commits, de pull requests et de contributions diverses et variées. Le tout emballé dans une esthétique rétro qui ferait pleurer de nostalgie n’importe quel dev qui a connu l’époque où “git” n’existait pas encore et où on faisait des sauvegardes sur disquettes.

L’interface vous accueille avec un prompt style années 80… genre > Enter GitHub username to begin. On se croirait dans WarGames avant de lancer une partie de morpion thermonucléaire et il ne manque plus que la voix synthétique qui demande “Shall we play a game?” et c’est parfait.

Y’a aussi un leaderboard pour les compétitifs qui veulent comparer leur nombre de commits avec les autres. Parce que oui, apparemment certaines personnes ont besoin de savoir qu’elles ont codé plus que leur voisin de bureau. Chacun ses kinks.

A vous de tester maintenant pour savoir si vous avez bien bossé sur votre code cette année ou si vous n’avez rien branlé comme l’année dernière.

Et accessoirement vous pouvez même vous faire une jolie image pour frimer sur LinkedIn ! Ça prend 30 secondes et ça vous donnera une excuse pour procrastiner avant de retourner à ce bug que vous évitez depuis trois jours.

Source

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Tout ce que vous pouvez désactiver dans WordPress pour qu'il arrête de vous gonfler

WordPress, c’est bien. Mais WordPress qui injecte des scripts d’emojis, des styles Gutenberg, des shortlinks et 47 autres trucs dont vous n’avez pas besoin dans chaque page de votre site… c’est moins bien évidemment. Heureusement, Terence Eden, un dev qui en avait marre de voir son code source ressembler à un plat de spaghetti, a compilé une petite liste de tout ce qu’on peut virer .

Car WordPress a adopté une philosophie de type “Decisions, not options” (des décisions, pas des options) où en gros, au lieu de vous laisser choisir, ils décident pour vous de ce qui est bon pour vous. Un peu comme Macron ^^. Le problème c’est que leurs décisions incluent un tas de fonctionnalités dont la plupart des gens n’ont rien à faire 🥲.

Par exemple les emojis. J’sais pas si vous savez, mais WordPress charge un script de détection d’emojis et une feuille de style dédiée sur CHAQUE page de votre site. Pourquoi tant de haine ? Hé bien parce que si vous tapez :-) dans un article, WordPress veut le transformer en joli emoji. Sauf que si vous utilisez les vrais emojis Unicode (comme tout le monde en 2025), hé ce script ne sert à rien. Et il y a aussi le grand remplacement des emojis dans les flux RSS…. Bref, tout ça, ça dégage.

Ensuite y’a le formatage automatique avec wptexturize qui transforme vos guillemets droits en guillemets typographiques “comme ça”. Et mon préféré, capital_P_dangit qui remplace automatiquement “Wordpress” par “WordPress” avec le P majuscule. Oui, vous ne le saviez pas, mais WordPress corrige l’orthographe de son propre nom dans vos articles. Mais quelle bande de nazes ^^.

Gutenberg, l’éditeur de blocs que j’adore, injecte lui aussi ses styles globaux même si vous utilisez l’éditeur classique. Et c’est pareil pour les styles de la librairie de blocs et l’éditeur de widgets basé sur les blocs. Si vous êtes resté sur le Classic Editor comme beaucoup de gens, tout ça ne sert alors qu’à alourdir vos pages.

Côté métadonnées, WordPress ajoute aussi pleiiiiin de trucs dans le code de vos pages comme les shortlinks, le RSD (Real Simple Discovery, un truc d’il y a 20 ans), des liens vers les flux de commentaires, les liens JSON de l’API REST…

Aux chiottes toutes ces conneries !

Le script de Terence fait aussi sauter l’ajout automatique des tailles d’images (wp_img_tag_add_auto_sizes), les templates de pièces jointes, et les block hooks qui modifient votre contenu. L’idée c’est donc de reprendre le contrôle sur ce que WordPress génère, au lieu de le laisser décider tout seul.

Et grâce à son script, le site de Terence (sans Philippe) obtient d’excellents scores sur PageSpeed Insights , ce qui prouve que tout ce bloat n’est vraiment pas nécessaire. Son script PHP complet fait environ 190 lignes et il est dispo sur son GitLab , bien commenté pour que vous puissiez choisir ce que vous voulez garder ou virer.

Attention quand même, certaines de ces désactivations peuvent casser des fonctionnalités si vous les utilisez vraiment. Par exemple, si vous avez des plugins qui dépendent de l’API REST, la virer complètement serait une mauvaise idée. Même chose pour les blocks Gutenberg si vous utilisez cet éditeur. L’astuce c’est donc de tester chaque modification une par une et de voir ce qui se passe.

Amusez-vous bien et un grand merci à Terence !

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