Hotfix NVIDIA 581.94 pour les soucis de performances du patch Windows 11 KB5066835


Trois slots PCIe 5.0, un BIOS 64 Mo et un duo 10 GbE + 5 GbE : la MSI MEG X870E ACE MAX se profile comme le rafraîchissement ambitieux de la plateforme X870E d’AMD, juste sous la GODLIKE.
La fiche technique complète, apparue en Chine, détaille une carte « Refresh » AM5 avec trois emplacements d’extension PCIe 5.0 (x16, x8, x4) et deux M.2 PCIe 5.0 x4, épaulés par trois slots PCIe 4.0 x4 et quatre ports SATA III. Côté alimentation, on trouve un étage de puissance 18+2+1 en SPS DrMOS. La mémoire passe par quatre emplacements DDR5 UDIMM avec prise en charge de l’overclocking jusqu’à 8400+ MT/s.
Le panneau arrière aligne deux USB4 40 Gbit/s en Type‑C, un point notable sur ce segment. Pour le réseau, MSI combine 10 GbE (Marvell AQC) et 5 GbE (Realtek), plus un module Wi‑Fi 7 320 MHz. L’audio s’appuie sur une carte son USB et une puce ESS DAC. Il faut dire que l’ensemble vise un usage haut de gamme, même si la carte reste sous la GODLIKE dans la hiérarchie MSI.

Petite subtilité : les CPU AM5 exposent jusqu’à 24 lignes PCIe 5.0, alors que cette configuration en exigerait au moins 28, sans compter le contrôleur USB4 ASM4242. La carte recourt donc au multiplexage de lignes PCIe pour partager la bande passante entre certains liens Gen5 et périphériques. Rien d’étonnant sur une telle densité d’E/S.
MSI met en avant un BIOS de 64 Mo sur ses séries MAX et EVO, déjà visible sur certaines MAG Tomahawk tandis que les EVO arrivent. Le constructeur relie cette capacité supplémentaire à des « mises à niveau de CPU de niveau supérieur », une formulation qui laisse entendre un support de futurs processeurs sans citer directement les Ryzen 10000. D’après les communications estivales de MSI, l’espace accru sert à loger des fonctions firmware, dont des pilotes réseau intégrés pour une mise en ligne immédiate.

MSI rejoint ainsi GIGABYTE, dont quelques modèles X870 et B850 exploitent aussi un ROM de 64 Mo pour un « Driver BIOS » stockant Wi‑Fi et pilotes réseau. Comme le résume le positionnement de MSI, le ROM élargi doit à la fois héberger ces pilotes et laisser de la marge pour le support multi‑générations des CPU AM5. Reste à voir si les utilisateurs privilégieront l’ergonomie des pilotes embarqués ou l’assurance d’une compatibilité CPU étendue.
À noter enfin une précision de contexte publiée par VideoCardz : « le ROM plus grand doit servir deux rôles à la fois », confirmant l’orientation pratique de ce choix de BIOS.
Source : VideoCardz





La première alerte sur une hausse des prix GPU est venue de PowerColor, qui recommandait dès mi-novembre d’acheter avant la fin de l’année, anticipant des augmentations liées au coût de la mémoire.
Quelques jours plus tard, les informations en provenance de la presse taïwanaise ont confirmé la tendance : AMD préparerait une hausse d’au moins 10 % de ses GPU Radeon. Le signal des partenaires précède donc l’annonce plus structurée côté AMD, montrant que la tension sur la mémoire n’est pas un bruit de couloir, mais une réalité du marché qui se matérialise progressivement.
D’après UDN, la grille tarifaire des GPU Radeon va augmenter d’au moins 10 %. Cette tendance était pressentie après une note anticipée évoquée par Board Channels, où AMD prévenait ses partenaires d’une hausse à venir, sans préciser l’ampleur. Le facteur principal tient à la mémoire, dont le coût grimpe fortement, avec des hausses allant de 30 % à 170 % selon les marchés.

Particularité du modèle AMD : la société vend souvent des bundles GPU + mémoire, pratique courante qui facilite l’approvisionnement et permet des achats groupés à meilleur prix. En contrepartie, les modèles haut de gamme avec des types de mémoire spécifiques restent plus onéreux, car sourcés séparément. Dans ce contexte, une hausse des puces mémoire se répercute mécaniquement sur l’ensemble de la gamme.
Un représentant de PowerColor avait suggéré qu’acheter cette semaine, entre les offres de Black Friday et la hausse prévue l’an prochain, était un bon timing, avant de préciser que ses messages avaient été « mal compris ». Il faut dire que la question des prix est déjà sensible pour AMD : la Radeon RX 9070 XT basée sur Navi 48 a eu du mal à respecter son MSRP durant la majeure partie de sa présence sur le marché, malgré la volonté affichée par AMD « d’encourager » ses partenaires à proposer des modèles au tarif conseillé. La carte ne commence à apparaître au MSRP que tout récemment, à l’approche du Black Friday.
Reste à voir si AMD a sécurisé des réservations de GDDR6 auprès de ses fournisseurs, ce qui retarderait l’impact immédiat. À défaut, le début de 2027 pourrait s’ouvrir sur une hausse généralisée des Radeon, sans nouvelle côté GeForce : les RTX 50 Super auraient aussi été repoussées en raison du prix de la GDDR7 3 Go, selon les mêmes canaux.
En attendant, l’équilibre fragile entre MSRPs, promos de fin d’année et tension sur la mémoire pourrait rapidement se rompre. Les prochains listings des partenaires cartes graphiques donneront le ton.
Source : VideoCardz
Sur le bureau, on jurerait une enceinte. Le nouveau The Cube de Chieftec adopte une façade circulaire façon subwoofer, mais il s’agit bien d’un boîtier mATX compact capable d’embarquer des composants standards.
Le châssis, tout en acier, affiche 26,5 × 33,5 × 38,5 cm pour un volume de 34,1 litres et un poids de 4,6 kg. Il accepte des cartes graphiques jusqu’à 335 mm, des ventirads de 160 mm et des alimentations ATX classiques. Côté stockage, on trouve de quoi installer deux SSD 2,5 pouces et deux disques 3,5 pouces, sans besoin d’équerres additionnelles. Il faut dire que l’objectif est clair : un PC de bureau compact, mais sans concessions sur les formats.


Le refroidissement s’articule autour d’un grand ventilateur de 200 mm préinstallé derrière une maille textile en façade. Chieftec précise, non sans clin d’œil, qu’il s’agit bien d’un ventilateur et non d’un haut‑parleur. Deux emplacements 120 mm supplémentaires sont prévus pour renforcer le flux d’air. Le panneau d’E/S en bord supérieur regroupe deux USB 3.0 Type‑A, un USB 3.2 Gen2 Type‑C, ainsi que des jacks casque et micro séparés. Les panneaux à charnières et l’ouverture à loquet promettent un accès interne plus rapide qu’avec des vis classiques.


Déjà référencé chez des revendeurs européens autour de 70 euros, soit environ 80 dollars, The Cube semble pour l’instant limité au marché de l’Union européenne. Chieftec n’a pas confirmé de distribution plus large. D’après la marque, « il peut passer pour une enceinte sur le bureau », une manière de souligner son design atypique.
TechPowerUp a déjà publié un test complet de ce cube façon Steam Machine géante. Vous pouvez le consulter directement sur leur site via ce lien.
Petit prix, fonctions essentielles et format robuste : aprés le WireView Pro II, Thermal Grizzly ajoute à son catalogue le TG Caliper, un pied à coulisse numérique pensé pour les bricoleurs PC qui jonglent avec vis, pads thermiques et tubes de watercooling.
Le TG Caliper opte pour un châssis en ABS haute dureté résistant à la corrosion, avec une certification IP54 contre la poussière et les éclaboussures. La plage de mesure atteint 150 mm (6 pouces), l’afficheur LCD bascule en mm ou en pouces, et la lecture se fait au dixième de millimètre (0,1 mm) ou au centième de pouce (0,01 in). Thermal Grizzly annonce une précision de ±0,2 mm (0,01 in). Une molette crantée facilite la manipulation, tandis que la fonction zéro permet de comparer rapidement deux mesures.

À l’usage, l’outil couvre les classiques : mesures extérieures et intérieures, prises d’épaulement (step) et de profondeur. L’alimentation repose sur une pile LR44, avec deux unités fournies dans la boîte. D’après la marque, l’objectif est de couvrir « les fonctions de mesure les plus importantes dans le segment PC DIY » sans alourdir l’addition.

Vis : le diamètre se prend aux becs extérieurs, et la longueur varie selon la tête. Pour une tête fraisée, on mesure la longueur totale aux becs extérieurs. Pour une tête cylindrique, on utilise la jauge de profondeur en partant du dessous de la tête.
Tubes souples et rigides : souvent référencés en unités impériales, ils peuvent générer des approximations en métrique. Le TG Caliper aide à vérifier : diamètre intérieur via les becs intérieurs, diamètre extérieur via les becs extérieurs, et épaisseur de paroi en plaçant un bec dedans et l’autre dehors.





Pads thermiques : pour une mesure fiable de l’épaisseur, il convient d’ôter délicatement le pad et d’utiliser l’arrière plat des mâchoires, pas l’arête avant. Il faut exercer une pression légère pour éviter de comprimer la matière, multiplier les points de mesure et retenir la moyenne.
Côté disponibilité et tarif, le TG Caliper est proposé dès maintenant sur la boutique de Thermal Grizzly au prix de 11,58 €.
Source : TechPowerUp
Un mode plein écran qui allège Windows et simplifie la vie sur console PC : MSI confirme que ses Claw adoptent l’Xbox Full Screen Experience, avec à la clé une baisse de 5 % de la mémoire vive utilisée au repos.
Microsoft a étendu la semaine dernière l’Xbox Full Screen Experience à tous les appareils Windows 11 au format handheld. MSI indique que chaque modèle Claw est compatible : Claw A1M, Claw 7 AI+, Claw 8 AI+ et Claw A8. La fonctionnalité arrive via les mises à jour standard de Windows et de l’écosystème Xbox, tandis qu’elle est aussi testée sur PC de jeu, ordinateurs portables et tablettes via les versions Insider.

Sur les Claw, ce mode permet de démarrer directement dans l’application Xbox plutôt que sur le bureau Windows classique. On y trouve un tableau de bord pensé pour la manette et une bibliothèque unifiée qui agrège les jeux installés depuis Xbox Game Pass, Steam, Battle.net, Epic Games et d’autres lanceurs. MSI intègre en outre son panneau Quick Settings à la Xbox Game Bar : un seul bouton ouvre profils d’alimentation et outils pour handheld sans quitter le shell plein écran.
D’après des mesures internes partagées par MSI, remplacer l’Explorateur par ce mode réduit légèrement l’empreinte mémoire. Sur les captures de MSI, l’usage à l’idle passe d’environ 8,6 Go à 7,8 Go, soit 5 % de RAM en moins. De quoi dégager un peu de marge pour les jeux, avec un potentiel gain sur la régularité des images et les temps de chargement. Comme le résume MSI, « une petite économie, mais utile pour le frame pacing ».
Il faut dire que les visuels promotionnels de MSI pour la Claw avec Xbox Full Screen Experience datent d’octobre, bien avant la mise à disposition publique de la semaine dernière et avant l’annonce par Valve de nouveau matériel Steam. Cela laisse penser à un lancement coordonné plutôt qu’à une réaction précipitée.
Reste à voir le déploiement commercial : interrogée sur la disponibilité en magasin du modèle Claw A8 équipé du Ryzen Z2 Extreme aux États-Unis, la marque n’a pas encore répondu, malgré une communication qui continue de mettre en avant l’A8 comme s’il était largement distribué.
Source : VideoCardz
Voici un outil qui fait un carton chez les pros de la cybersécurité. Ça s’appelle CRXplorer et c’est votre compteur Geiger personnel pour les extensions Chrome. En gros, ça décompresse et analyse les fichiers .crx (les extensions Chrome) pour détecter les vulnérabilités, les permissions abusives, et les risques de confidentialité.
Vous lui donnez une extension à scanner, il inspecte le manifest.json, regarde quelles permissions sont demandées, vérifie les scripts inclus, et vous dit si ça pu ou si vous pouvez y aller tranquillou. Et c’est utile car ces dernières années, y’a eu pas mal d’extensions Chrome qui sont régulièrement retirée du store de Chrome parce qu’elles ont été identifiées comme volant des données sensibles.
Ça ne remplace pas votre bon sens et votre vigilance, mais au moins vous pouvez faire un audit de ce qui tourne déjà dans votre navigateur ou de ce que vous avez prévu d’installer !
Le projet a cartonné dans la communauté bug bounty, car les extensions Chrome sont devenues une mine d’or pour les chasseurs de vulnérabilités et avec des milliers d’extensions sur le Store et des développeurs parfois peu regardants sur la sécurité, il y a du boulot !
Voilà, si vous voulez savoir si vos extensions Chrome sont clean, passez-les au crible avec CRXplorer et si vous découvrez quelque chose de louche, désinstallez ça rapidement, parce que Google ne le fera pas pour vous.
Ah et au fait, n’oubliez pas d’installer Firefox , c’est mieux quand même !
Merci à Lorenper pour le partage !

Vous avez des SVG qui pèsent trop lourd pour votre site web ?
C’est pas graaaave, parce qu’il y a Tiny SVG est un outil en ligne qui compresse vos fichiers vectoriels directement depuis votre navigateur comme ça, pas besoin d’uploader vos œuvres sur un serveur externe puisque vos fichiers ne quittent jamais votre machine.
L’outil utilise SVGO en arrière-plan avec plus de 40 plugins configurables. Vous pouvez ainsi activer ou désactiver chaque optimisation selon vos besoins : Suppression des métadonnées inutiles, fusion des paths, simplification des transformations, et plein d’autres trucs. Le tout avec une prévisualisation en temps réel qui montre le SVG avant et après compression.
J’ai testé sur mon logo mais comme il est déjà super optimisé, ça ne m’a fait gagné que -0,5 % mais les résultats sont plutôt impressionnants car sur certains fichiers, Tiny SVG peut réduire la taille jusqu’à 70%. Ça dépend évidemment de la complexité du SVG d’origine et des optimisations que vous activez, mais globalement c’est très efficace.
Et y’a pas que la compression puisque Tiny SVG génère aussi du code prêt à l’emploi pour vos frameworks préférés. Vous pouvez ainsi exporter votre SVG optimisé en composant React (JSX ou TSX), Vue, Svelte, React Native ou même Flutter. Trop pratique pour ne plus avoir besoin de convertir manuellement vos icônes en composants.
Y’a aussi des fonctionnalités de transformation telles que la rotation, flip horizontal et vertical, redimensionnement…etc et vous pouvez exporter en Data URI dans plusieurs formats, et également générer des PNG ou JPEG avec les dimensions de votre choix. Le diff viewer intégré permet aussi de comparer le code SVG avant et après optimisation pour voir exactement ce qui a changé.
Côté technique, c’est une Progressive Web App qui fonctionne même hors ligne et le traitement se fait via Web Workers pour ne pas bloquer l’interface. Le projet est développé par hehehai, distribué sous licence MIT, et le code source est sur GitHub donc vous pouvez l’héberger vous-même sur Vercel, Netlify ou Docker si vous préférez avoir votre propre instance.
A tester ici : Tiny SVG !

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