Vous aviez remarqué que depuis quelques années, les joueurs de FPS multijoueurs sont de plus en plus nombreux à passer par un VPN ? Et non, ce n’est pas pour télécharger des trucs louches en cachette mais pour une raison bien plus technique.
Et avec la sortie de Battlefield 6 en octobre dernier et Black Ops 7 mi-novembre, ce sujet revient en force, alors je me suis demandé mais pourquoi diable utiliser un VPN pour jouer ?
Le truc, c’est que même si ces deux jeux gèrent leur matchmaking de façon complètement différente, dans les deux cas, un VPN peut vous sauver la mise. Battlefield 6 mise en effet principalement sur un matchmaking basé sur la géolocalisation et la connexion, sans SBMM agressif (le fameux Skill-Based Matchmaking qui vous colle systématiquement avec des gens de votre niveau).
Cela veut dire que si vous habitez en France ou aux États-Unis, zones ultra-peuplées de joueurs, vous vous taperez des parties hyper compétitives en permanence avec très peu de bots. À l’inverse, si vous êtes au Moyen-Orient, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, vous vous retrouverez dans des lobbies où une bonne partie des participants sont des IA pour combler les places vides. Sympa pour se détendre donc mais moins pour progresser.
Pour Black Ops 7, c’est l’inverse qui pose problème car malgré les promesses d’Activision de minimiser le SBMM, le système vous matche constamment avec des adversaires de votre niveau exact, rendant chaque partie aussi tendue qu’une finale de championnat. Du coup, les joueurs râlent fort ! Grosse flemme pour ceux qui veulent juste faire quelques kills tranquilles après une journée de boulot.
Voilà où le VPN entre en jeu !
Vous l’aurez compris, techniquement, quand vous lancez une recherche de partie, le jeu prend en compte votre localisation, votre ping estimé et le nombre de joueurs disponibles dans votre zone. En vous connectant via un serveur VPN situé dans une autre région, vous perturbez ces paramètres et le système pense dans certains cas que vous aurez un ping élevé et assouplit parfois ses critères de matchmaking.
Pour Battlefield 6, un joueur européen qui veut des lobbies avec des bots peut se connecter à un serveur VPN au Moyen-Orient, en Océanie ou en Asie du Sud-Est. Comme je vous le disais, ces zones ont moins de joueurs, et donc le jeu remplit les places vides avec de l’IA. L’astuce bonus c’est de viser les heures creuses de la région ciblée, entre 3h et 7h du matin heure locale, quand la population de joueurs humains chute.
Pour Black Ops 7, la technique est différente car il faut se connecter à des régions où il sera tôt le matin ou tard le soir. Moins de joueurs connectés signifie un pool plus restreint, donc le SBMM n’a pas d’autre choix que de mélanger les niveaux. Les régions comme l’Afrique centrale (Kenya, Ghana) ou certaines parties de l’Asie (Inde, Taiwan) sont souvent recommandées par les joueurs.
Après, un VPN pour le gaming, ça ne s’improvise pas. Donc oubliez les VPN gratuits avec leur bande passante limitée, leurs serveurs bondés, et parfois même des risques de sécurité. Le jeu en ligne ça demande du débit et surtout une latence minimale.
Pour cela, le protocole WireGuard est actuellement ce qui se fait de mieux pour ça. Il est conçu pour être rapide et léger, avec une latence supplémentaire quasi imperceptible sur un bon serveur. Comparé à OpenVPN qui peut ajouter 5 à 10 ms facilement, c’est le jour et la nuit pour du gaming compétitif.
WireGuard utilise des primitives cryptographiques modernes (ChaCha20, Poly1305) qui sont moins gourmandes en CPU que l’AES traditionnel sur les machines sans accélération matérielle. Et pour optimiser encore un peu plus les performances, les experts recommandent d’ajuster le MTU (autour de 1412 pour éviter la fragmentation des paquets).
Enfin, au-delà du matchmaking,
un VPN gaming
(lien affilié) offre d’autres avantages non négligeables comme la protection contre les attaques DDoS. En masquant votre IP réelle, vous empêchez les mauvais perdants de vous déconnecter en pleine partie. En effet, certains joueurs toxiques récupèrent votre IP via des outils tiers mal sécurisés, et bombardent votre connexion pour vous faire ragequit. Avec un VPN, ils tapent sur le serveur VPN, et pas sur votre box.
Il y a aussi la question du throttling car certains FAI détectent le trafic de jeu et réduisent volontairement votre bande passante, surtout aux heures de pointe. En chiffrant votre connexion, un VPN peut parfois empêcher un FAI de savoir que vous jouez. Du coup, vous avez une connexion stable et sans bridage.
Et si vous jouez sur des réseaux publics (hôtel, café, aéroport), le chiffrement du VPN protège vos identifiants de jeu et vos données personnelles contre l’interception.
Après pour les joueurs console, il y a une subtilité car les PS5 et les Xbox ne supportent pas nativement les applications VPN. Il faut donc passer par votre routeur. Heureusement, la plupart des VPN gaming proposent des guides pour configurer ça sur les routeurs compatibles (généralement ceux sous firmware DD-WRT, Tomato ou les routeurs pré-configurés). NordVPN par exemple offre cette possibilité avec son protocole NordLynx (leur implémentation de WireGuard) et plus de 8000 serveurs dans plus de 110 pays.
🎮 VPN recommandé pour le gaming
Pour optimiser votre matchmaking et protéger votre connexion en jeu, NordVPN coche toutes les cases :
✓ Protocole NordLynx (basé sur WireGuard) pour une latence minimale
✓ Plus de 8000 serveurs dans 110+ pays pour cibler n'importe quelle région
✓ Protection DDoS et masquage de votre IP réelle
✓ Compatible routeur pour PS5/Xbox + jusqu'à 10 appareils simultanés
Attention quand même aux risques, car les développeurs ne sont pas dupes.
En effet, en 2025, les systèmes anti-triche sont devenus plus malins et certains jeux détectent les comportements suspects et peuvent appliquer des shadowbans aux comptes qui manipulent trop souvent le matchmaking.
Un shadowban, c’est quand vous pouvez toujours jouer, mais uniquement contre d’autres joueurs suspects ou des cheaters. Sympa l’ambiance… Je précise quand même qu’utiliser un VPN n’est pas interdit en soi, c’est la manipulation répétée et abusive du matchmaking qui peut déclencher des alertes.
Et n’oubliez pas que changer de région ne garantit pas forcement des lobbies faciles. C’est surtout un effet secondaire du timing, de la population et de la région, et pas une certitude car un lobby peut être peu peuplé mais contenir quand même des tryharders locaux qui n’attendent que de vous massacrer.
Bref, utiliser un VPN pour le gaming c’est une pratique qui peut réellement améliorer votre expérience, que ce soit pour trouver des lobbies moins compétitifs sur Battlefield 6 ou tenter d’échapper au SBMM oppressant de Black Ops 7, mais comme tout outil, ça demande de comprendre comment ça fonctionne et apprendre à l’utiliser intelligemment.
Il y a quelques semaines, Amazon a annoncé puis sorti sa nouvelle gamme d’appareils Echo. Aujourd’hui, nous découvrons ensemble l’Echo Dot Max.
Notre modèle du jour est d’ailleurs disponible en trois coloris : graphite (modèle que nous avons gentiment reçu), blanc et améthyste. Ils sont tous les trois disponibles au même prix, soit 109,99 € hors promotion.
Place au test !
Unboxing
Depuis quelques temps, la sobriété est au rendez-vous pour les emballages de produits signés Amazon, et on adore ça. Ici un retrouvera un bandeau bleu clair sur le haut du paquet où on retrouvera la mention Amazon sur l’avant, avec juste en dessous un visuel de l’appareil et son nom. Le tout est dans une boîte en carton recyclé et recyclable. À droite nous retrouverons à nouveau le nom du modèle et ses compatibilités.
À gauche, en plusieurs langues, nous découvrirons que notre Echo Dot max fonctionne à la fois avec Alexa et Alexa + et à l’arrière pour terminer, là aussi en plusieurs langues, on nous indiquera qu’il s’agit d’une enceinte connectée et Alexa, qui inclut un Echo Dot Max graphite et un adaptateur secteur. Bien sûr, on nous rappellera aussi que le Wi-Fi et l’application Amazon Alexa sont requis.
Caractéristiques techniques
Dimensions
108,7 x 108,6 x 99,2 mm (l x H x P)
Poids
505,3 g
Le poids et la taille exacts peuvent varier selon le procédé de fabrication.
Bande passante audio
53 Hz-16 kHz (volume 6)
Dimensions du haut-parleur
1 tweeter 20 mm, 1 caisson de basses 63 mm
Canaux de lecture
Audio mono bidirectionnel
Technologie de traitement du signal audio
Audio haute définition sans perte, adaptation automatique à la pièce
Connectivité Wi-Fi
Wi-Fi 6E 11a/b/g/n/ac/ax 1×1, technologie Bluetooth sans fil/Bluetooth Low Energy 5.3
Hub connecté intégré
Zigbee + Matter + Thread Border Router
Connectivité Bluetooth
Prise en charge du profil Advanced Audio Distribution Profile (A2DP) pour le streaming audio depuis votre appareil mobile vers Echo Dot Max ou depuis Echo Dot Max vers votre enceinte Bluetooth. Prise en charge du profil Audio/Video Remote Control Profile (AVRCP) pour le contrôle vocal des appareils mobiles connectés. Le contrôle vocal mains-libres n’est pas pris en charge pour les appareils Mac OS X. Les enceintes Bluetooth qui requièrent un code PIN ne sont pas prises en charge.
Processeur
AZ3 avec accélérateur d’IA
Capteurs
Capteur de température ambiante, capteur de lumière ambiante, détection de présence, accéléromètre (pour les gestes tactiles)
Système requis
Echo Dot Max est prêt à être connecté à votre Wi-Fi. L’application Alexa est compatible avec les appareils Fire OS, Android et iOS (voir les systèmes d’exploitation pris en charge). Certaines Skills et certains services peuvent nécessiter un abonnement ou d’autres frais.
Configuration requise
Amazon Wi-Fi simple setup permet aux clients de connecter en quelques étapes faciles des appareils connectés à leur réseau Wi-Fi. Wi-Fi simple setup est une autre façon pour Alexa de se perfectionner sans cesse.
Fonctionnalités
Découvrez Echo Dot Max : conçu pour livrer un son riche qui emplit l’espace et s’adapte automatiquement à l’acoustique de votre pièce, cet appareil optimise la lecture de votre contenu audio. Il est également doté d’un hub connecté intégré, de la technologie Omnisense pour un environnement optimisé, ainsi que d’une puce AZ3 pour des performances de rapidité optimales.
De la musique à vos oreilles : cette enceinte connectée se fond parfaitement dans n’importe quel espace. Écoutez de la musique via vos services de streaming préférés tels qu’Amazon Music, Apple Music, Deezer, Spotify et bien plus, en profitant de basses profondes et d’une clarté améliorée. On en redemande !
Encore plus de possibilités grâce au jumelage : connectez des appareils Echo compatibles dans différentes pièces ou jumelez votre appareil à un deuxième Echo Dot Max afin de profiter d’un son encore plus riche. BIENTÔT DISPONIBLE : votre Echo Dot Max peut également être jumelé à des appareils Fire TV compatibles pour créer un système de home cinéma qui donne vie aux scènes.
Contrôlez votre maison connectée en toute simplicité : programmez des routines et jumelez et contrôlez des lumières, des serrures et des milliers d’appareils fonctionnant avec Alexa, sans avoir recours à un hub connecté séparé. Avec la technologie Omnisense, activez des routines grâce à la détection des mouvements ou de la température.
Faites-en plus avec Alexa : météo, rappels et bien plus … Alexa a la réponse.
Conçu pour protéger votre vie privée : Amazon n’a pas pour vocation de vendre vos informations personnelles à des tiers. Cet appareil est conçu avec de multiples éléments de contrôle de vos informations personnelles, dont un bouton Activer/désactiver les microphones.
Contenu
Echo Dot Max (modèle 2025),
adaptateur secteur (22 W),
guide de démarrage rapide
Test
Quand Amazon a dévoilé sa nouvelle gamme Echo 2025, impossible de ne pas remarquer le Dot Max, présenté comme la petite enceinte qui veut jouer dans la cour des grandes. Chez Vonguru, on aime bien quand les constructeurs se montrent ambitieux, alors on a posé l’appareil sur un bureau, branché le câble, réveillé Alexa, et observé ce que cette petite boule prometteuse avait vraiment dans le ventre.
Dès le déballage, l’Echo Dot Max surprend. On retrouve la forme sphérique qui a fait le succès de la gamme, mais Amazon a introduit un côté plat où se logent les boutons de volume, le contrôle du micro et la fameuse LED signature. Ce détail change tout : l’enceinte paraît moins gadget, plus objet high-tech assumé. Le tissu tressé enveloppe proprement la coque, l’ensemble est solide, dense, presque premium dans l’esprit. On a envie de la poser dans un salon, une chambre ou même un bureau sans se dire qu’on gâche sa déco.
Mais ce n’est évidemment pas pour le design qu’on attendait ce modèle : c’est pour le son. Amazon promettait des basses jusqu’à trois fois plus profondes que sur un Echo Dot classique. Et effectivement, à la première écoute, on sent que l’enceinte vise un rendu nettement plus ample. Les basses se déploient avec un certain aplomb, donnant une vraie présence aux musiques chill, electro ou pop. Les médiums sont propres, les voix bien articulées, et les aigus montent sans agressivité. Alors oui, si l’on pousse le volume très haut, on peut sentir une petite saturation et noter que l’équilibre n’atteint pas le raffinement des très grosses enceintes du marché. Mais replacé dans son contexte — une mini enceinte connectée à un peu plus de 100 euros — le résultat est franchement bien. On peut remplir une pièce moyenne sans frustration, ce qui n’était pas toujours le cas des précédents modèles.
Côté intelligence, la puce AZ3 fait un travail remarquable. L’Echo Dot Max réagit plus vite, entend mieux, surtout en environnement bruyant. On peut parler depuis une autre pièce sans devoir hausser le ton, et Alexa capte l’instruction. Cela entraine cependant un problème si comme moi, vous disposez déjà d’autres Echo au sein de votre foyer. Ici, c’est toujours lui qui me répond alors que je parle plus souvent à mon Echo Show 15 présent dans la cuisine.
Les capteurs « Omnisense », intégrés pour rendre l’appareil plus « proactif », semblent apporter une logique plus fluide aux interactions, même si tout leur potentiel prendra son sens quand Alexa+ — la version boostée à l’IA — sera réellement disponible en France. Pour l’instant, l’attente reste de mise (et longue…), et c’est probablement le point le plus frustrant de ce produit : il donne envie d’un futur qui n’est pas encore totalement là.
L’Echo Dot Max s’impose aussi comme un petit hub domotique solide, compatible Zigbee, Matter et Thread. Il peut piloter des ampoules, des prises ou des capteurs sans qu’on doive investir dans un pont supplémentaire. C’est pratique, simple et très accessible pour ceux qui veulent monter un petit écosystème connecté.
Bien sûr, l’appareil n’est pas exempt de limites. L’équilibre sonore peut manquer d’un soupçon de finesse sur certains morceaux, et ceux qui pensent “home studio” devront plutôt regarder du côté de l’Echo Studio. En revanche, si l’on s’en tient à son usage principal — une enclave sonore sympa avec un assistant vocal réactif — l’Echo Dot Max coche largement les bonnes cases. Pour moi, dans un bureau ou dans une chambre, c’est l’emplacement idéal.
Conclusion
Pour conclure, cette enceinte donne clairement le sentiment d’être une évolution logique de ce qu’un Echo Dot doit être en 2025 : plus ambitieuse, plus puissante, mieux pensée, et surtout tournée vers l’avenir. Elle ne révolutionne pas le son, mais elle améliore suffisamment l’expérience pour la rendre immédiatement agréable au quotidien. Si vous cherchez une enceinte compacte qui fait bien plus que diffuser de la musique, et qui s’intègre parfaitement à un foyer déjà un peu connecté, l’Echo Dot Max mérite largement sa place dans votre intérieur.
Cependant, l’arrivée d’Alexa + se fait de plus en plus attendre et on a hâte de voir si tout le potentiel de cette nouveauté sera bel et bien utilisé. Affaire à suivre !
Pour rappel, notre modèle du jour est disponible en trois coloris : graphite (modèle que nous avons gentiment reçu), blanc et améthyste. Ils sont tous les trois disponibles au même prix, soit 109,99 € hors promotion.
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NVIDIA s’apprête à boucler la mise à niveau Blackwell sur GeForce NOW Ultimate, avec une performance de classe RTX 5080 désormais presque mondiale et une nouvelle salve de neuf jeux dans le cloud.
Serveurs Blackwell presque partout, perfs de classe RTX 5080
D’après NVIDIA, Stockholm sera la dernière région à recevoir l’upgrade Blackwell, ce qui finaliserait le déploiement global de performances « RTX 5080-class ». L’abonnement Ultimate propose jusqu’à 5K à 120 i/s ou 360 i/s en 1080p, avec ray tracing avancé, HDR, prise en charge des écrans ultralarges et des volants, ainsi que jusqu’à 90 i/s sur consoles portables. L’install-to-play élargit par ailleurs le catalogue à plus de 4 000 titres, sans exigence matérielle côté utilisateur.
Le partenaire 2K salue l’initiative. « Avec GeForce NOW Ultimate, le streaming haut de gamme va vraiment partout », affirme Sean Haran, en référence à Borderlands 4 jouable avec des graphismes poussés et un gameplay fluide depuis des serveurs RTX 5080, y compris sur des appareils non récents.
Concours, bonus en jeu et offre Chromebook
Un concours vidéo communautaire invite les membres à montrer ce que l’offre Ultimate change dans leur façon de jouer. À la clé, deux passes Ultimate d’un jour pour chaque participant et, pour les dix meilleures contributions, un an d’abonnement Ultimate.
Côté récompenses, les membres peuvent récupérer un skin ECHO-4 dans Borderlands 4 et la tenue Bloody Prince dans Guild Wars 2 via le portail de compte GeForce NOW, avec des instructions dédiées pour la récupération en jeu.
Autre nouveauté, le Chromebook Fast Pass donne un an de cloud gaming sans publicité ni file d’attente à 1080p/60 i/s pour les nouveaux propriétaires de Chromebook et Chromebook+, ainsi que pour les nouveaux et actuels utilisateurs du niveau gratuit GeForce NOW. L’accès couvre plus de 2 000 jeux Ready-to-Play.
Neuf jeux rejoignent le service : Apollo Justice: Ace Attorney Trilogy (Steam), Sacred 2 Remaster (Steam), SpongeBob SquarePants: Titans of the Tide (Steam, 18 nov.), Long Drive North (Steam, 18 nov.), Demonschool (Steam, 19 nov.), Moonlighter 2: The Endless Vault (Steam et Xbox, Game Pass, 20 nov.), Monsters Are Coming! Rock & Road (Steam et Xbox, Game Pass, 20 nov.), Prologue: Go Wayback! (Steam, 20 nov.), The Crew Motorfest (Xbox, PC Game Pass, 20 nov.).
Star Wars Outlaws est signalé comme prêt pour RTX 5080 sur Steam et Ubisoft Connect. NVIDIA renvoie à sa documentation pour l’accès aux jeux Ubisoft inclus via Xbox PC Game Pass sur GeForce NOW, notamment The Crew Motorfest.
Enfin, NVIDIA met en avant des mises à jour pour Battlefield 6 avec la Saison 1 California Resistance, de nouvelles cartes, factions, véhicules et gadgets, ainsi qu’une expérience gratuite baptisée REDSEC, transformant terrains de golf et zones urbaines en champs de bataille dynamiques.
Utilitaire gratuit et en français permettant d'offrir de nouvelles fonctionnalités lors de la copie ou du déplacement de fichiers : mise en pause, reprise, limitation de la vitesse de copie...
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Projecteurs Dangbei – Black Friday 2025
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Ces remises ne sont pas permanentes et concernent des modèles haut de gamme. Si l’un de ces projecteurs correspond à votre usage, c’est objectivement le bon moment pour passer commande.