Cap sur les fans de chasse aux monstres : ASRock ouvre les précommandes de sa RX 9070 XT Monster Hunter Wilds à 699,99 dollars, avec sortie fixée au 21 novembre 2025.
Une RX 9070 XT Monster Hunter Wilds avec code jeu inclus
Cette édition limitée arrive avec un code de téléchargement pour Monster Hunter Wilds dans la boîte. Côté refroidissement, ASRock capitalise sur son triple ventilateur avec ARGB, un cadre renforcé et une backplate métal pleine longueur, le tout dans l’esthétique Steel Legend déjà connue en blanc et en noir.
La carte embarque 16 Go de GDDR6 sur bus 256 bits, des fréquences boost annoncées jusqu’à 2970 MHz, et une connectique moderne : PCIe 5.0 x16, HDMI 2.1b et DisplayPort 2.1a. Les précommandes sont ouvertes chez Newegg, avec expéditions prévues le 21 novembre.
Les Arctic P12 Pro Reverse A-RGB viennent d’être lancés pour suivre la tendance 2025. Ces ventilateurs de 120 mm à flux inversé ciblent les configurations où l’esthétique compte autant que les performances. L’air est aspiré par l’arrière pour un rendu propre en mode pull, sans compromettre le refroidissement.
P12 Pro Reverse A-RGB : flux inversé, RGB propre et bruit contenu
Ces nouveaux modèles, complémentaires aux P12 PRO classiques, s’appuient sur une technologie de reverse airflow idéale pour l’aspiration derrière un radiateur ou un panneau filtrant, tout en mettant en valeur les pales et l’éclairage A-RGB sur la face visible.
Douze LED adressables offrent des effets précis et une intégration fluide avec les contrôleurs habituels. Le design des pales et des entretoises a été optimisé : entrée en entonnoir, nervures en goutte d’eau pour réduire la traînée, moins de turbulences et un niveau sonore maîtrisé.
ARCTIC annonce un travail sur les tolérances, l’équilibrage automatique et la mesure haute précision pour réduire les vibrations et améliorer la longévité. Déjà éprouvés dans les boîtiers Xtender, ces Reverse promettent un combo silence/flux efficace et une mise en scène RGB sans compromis côté latéral, ou de plus en plus de boitier offre cette option d’aspiurtion d’air sur le coté à droite de la carte mere.
Prix, packs et modèles à venir
Disponibles dès maintenant avec remise automatique sur la boutique ARCTIC : le P12 Pro Reverse A-RGB single à 12,49 € et le 3-Pack à 28,99 €. La gamme va s’étoffer dans les prochaines semaines avec des versions non éclairées et des déclinaisons 140 mm P14 Pro Reverse, en noir et en blanc, aussi en packs de trois. De quoi couvrir la plupart des scénarios d’aspiration inversée dans un boîtier moderne.
MSI lance une nouvelle opération baptisée « Choisissez votre carte », une offre pensée pour les joueurs et créateurs qui veulent passer à la dernière génération de GPU. Du 17 octobre au 30 novembre 2025, l’achat d’une carte graphique GeForce RTX série 50 éligible chez l’un des revendeurs partenaires donne droit à un bon Steam pouvant aller jusqu’à 100 €.
De quoi s’offrir quelques titres pour profiter immédiatement de sa nouvelle configuration, que vous soyez amateur de RPG, de jeux compétitifs ou de création visuelle.
Modèles MSI RTX 50 éligibles
Selon le modèle choisi, la valeur du code Steam varie :
100 € pour les puissantes RTX 5090, dans leurs versions SUPRIM LIQUID, SUPRIM, VANGUARD ou GAMING TRIO OC.
60 € pour les RTX 5080, disponibles en déclinaisons SUPRIM, VANGUARD, EXPERT, INSPIRE ou GAMING TRIO.
40 € pour les RTX 5070 Ti, dont les modèles VANGUARD, EXPERT et GAMING TRIO OC.
20 € pour les plus accessibles RTX 5060 Ti et RTX 5060.
L’offre est valable chez les principaux distributeurs : Amazon France, Cybertek, Fnac.com, Grosbill, LDLC, Matériel.net, Top Achat et bien sûr sur l’eShop MSI.
Razer continue de surfer sur la vague rétro et dévoile Phantom White, une nouvelle finition blanche translucide qui laisse apparaître les composants et met en valeur les effets Chroma RGB. Un look rétro-futuriste assumé, sans compromis sur l’essentiel. Cette série Phantom White succède à la déclinaison Green lancée en juin.
Phantom White : rétro assumé, design peaufiné
Lancée comme extension de la gamme Phantom, cette déclinaison blanche reprend le châssis translucide et une architecture interne retravaillée pour soigner l’esthétique.
Au programme : composants assortis, effets RGB amplifiés et une finition qui colle aux setups minimalistes. La collection s’ouvre aussi au mobile avec la Kishi V3 Phantom White Edition pour (re)découvrir des classiques en nomade.
Ce qu’on retient : châssis translucides qui révèlent la structure interne, finitions blanches homogènes, intégration Chroma poussée. L’idée : un poste de combat qui brille de l’intérieur et reste cohérent visuellement.
Les modèles annoncés :
Basilisk V3 Pro 35K – Phantom White : souris gaming sans fil, coque translucide, 12 zones Chroma avec underglow, ergonomie taillée pour le compétitif.
BlackWidow V4 75% – Phantom White : clavier mécanique hot‑swap, keycaps translucides, RGB par touche et construction interne soignée.
Barracuda X Chroma – Phantom White : casque sans fil léger, 6 zones RGB personnalisables, design translucide laissant entrevoir les composants.
Firefly V2 Pro – Phantom White : tapis de souris RGB entièrement éclairé, surface translucide qui dévoile le circuit et met la table en valeur.
Kishi V3 – Phantom White : manette pour smartphone pensée pour le remote play, finition translucide assortie à la gamme et format idéal pour la nostalgie en déplacement.
La collection Phantom White vise les joueurs qui veulent un setup propre, lumineux et cohérent, du bureau au mobile, avec une touche rétro assumée.
Colorful surfe sur l’esthétique Borderlands 4 avec une RTX 5070 Ti BattleAx en édition limitée, un modèle qui mise sur un design jaune et noir façon wasteland et un carénage entièrement custom pour attirer autant les fans de looter-shooters que les chasseurs de GPU atypiques.
Une BattleAx aux couleurs de Pandora
Après un teasing centré sur la backplate, la vitrine de Gamescom Asia a permis d’apercevoir la face avant complète : shroud inédit, ventilateurs recolorés, dont un en jaune vif, et motifs type “spray paint” qui tranchent avec le look habituel de la gamme.
L’ensemble reprend la patine industrielle chère à la licence de Gearbox, avec une exécution plus soignée qu’un simple sticker pack.
Colorful n’a pas confirmé une distribution en dehors de l’Asie. Pour l’heure, cette RTX 5070 Ti façon Borderlands n’a été vue qu’en showcase en Thaïlande. Aucun bundle du jeu n’est annoncé non plus, une précision importante pour éviter les déceptions des collectionneurs. Reste que l’objet coche la case “édition limitée” et pourrait intéresser ceux qui veulent une config thématisée et cohérente.
Gros coup pour Intel Foundry : Microsoft aurait choisi le nœud 18A pour fabriquer son accélérateur IA Maia 3, nom de code « Griffin ». Un signal fort pour la fonderie d’Intel qui cherche à séduire des clients externes avec ses technologies de rupture.
Intel 18A-P en ligne de mire, Maia 3 en production chez Intel
D’après les informations relayées par SemiAccurate, Microsoft ferait produire Maia 3 chez Intel sur le nœud 18A ou sa variante 18A-P. Cette évolution du 18A combine RibbonFET et PowerVia, avec des composants à faible Vt, une réduction des fuites et des largeurs de rubans optimisées. Objectif : maximiser le perf/watt, crucial pour des grappes d’accélérateurs en data center.
Si le projet Maia 3 tient la route (rendement, délais), Microsoft pourrait enchaîner sur d’autres nœuds avancés d’Intel, y compris 18A-PT et 14A. Le 18A-PT vise explicitement l’IA/HPC multi-dies avec un backend métallisation revu, TSV, et hybrid bonding à pas compétitif pour des intégrations chiplets plus denses.
Rappel: Maia 100 chez TSMC, cap sur la suite chez Intel
La première génération, Maia 100, sortait du N5 de TSMC avec interposeur CoWoS-S : die de 820 mm², TDP 500 W (MDP 700 W), 64 Go de HBM2E (1,8 To/s), 500 Mo de cache L1/L2, et des pointes à 3 PetaOPS (6 bits), 1,5 PetaOPS (9 bits) et 0,8 PetaFLOPS (BF16).
Côté I/O : 600 Go/s sur le réseau via douze ports 400GbE et 32 Go/s vers l’hôte en PCIe 5.0 x8. La bascule possible vers Intel traduirait une volonté de diversifier la supply chain et d’accélérer le time-to-market des itérations Maia.
Charlie Demerjian a confirmé qu’il s’agit bien du troisième opus, Maia 3, au nom de code « Griffin ». Si Intel livre des rendements élevés rapidement, Microsoft pourrait capitaliser sur les options d’empaquetage avancé (TSV, hybrid bonding) pour des architectures multi-puces encore plus agressives.
NVIDIA et TSMC signent un jalon industriel: la première wafer Blackwell produite sur le sol américain sort de l’usine de Phoenix (Arizona), signal clair que la plateforme GPU d’IA passe en production de volume aux États-Unis.
Blackwell s’ancre aux USA: TSMC Phoenix démarre la cadence
Jensen Huang, auparavant accusé de trahison par Steve Bannon, a rejoint l’équipe de TSMC Arizona pour célébrer et signer cette première wafer, symbole d’une chaîne de valeur IA qui s’onshore progressivement: conception, fabrication avancée et montée en charge opérées localement. Pour TSMC, ce jalon s’appuie sur trois décennies de collaboration technique avec NVIDIA autour des architectures GPU de pointe.
Concrètement, la wafer Blackwell entame le long parcours de la microfabrication : dépôts, lithographie, gravure, découpe, avant de devenir les GPU accélérateurs dédiés à l’inférence et au HPC. Le site de Phoenix doit produire des technologies avancées sur nœuds 2, 3 et 4 nm, ainsi que de futurs procédés A16, au cœur des charges IA, télécoms et calcul intensif.
Au-delà du symbole, l’enjeu est stratégique: sécuriser l’approvisionnement américain en puces IA, améliorer la résilience logistique et soutenir des déploiements massifs d’infrastructures. NVIDIA prévoit aussi de mobiliser ses outils d’IA, de robotique et de jumeaux numériques pour optimiser la conception et l’exploitation des nouvelles capacités de production.
Ce que ça change pour le marché
Calendrier: bascule vers la production en volume, avec une meilleure visibilité d’approvisionnement Blackwell pour les datacenters IA.
Performance/efficience: Blackwell vise un meilleur ratio perf/watt sur l’inférence, critère clé pour les coûts d’exploitation des clusters.
Écosystème US: montée en puissance locale sur les nœuds 2–4 nm, atout pour les intégrateurs et opérateurs cherchant à réduire la dépendance extérieure.
Lumo 2 joue la carte du rétro futé et débarque aujourd’hui sur PC et consoles, avec une aventure isométrique truffée d’énigmes, de salles interconnectées et de secrets à l’ancienne, mais avec le confort d’un jeu moderne.
Plateformer isométrique, puzzles et clins d’œil aux classiques
Suite directe du Lumo de 2016, ce nouvel épisode élargit son labyrinthe de pièces piégées et de passages à débloquer.
On y retrouve une progression metroidvania à base de capacités et d’embranchements, des mini-jeux qui cassent la routine et des portails qui bousculent les perspectives. Les chasseurs de secrets auront de quoi faire avec 25 cassettes vintage et 20 canards cachés, récompensant l’exploration méthodique.
Bonne surprise côté accessibilité linguistique : le titre fait partie des rares jeux entièrement jouables en gallois. Côté support, la sortie est numérique sur Nintendo Switch, Xbox Series X|S, PlayStation 5 et PC, tandis que des éditions physiques arrivent sur Switch et PS5 chez des revendeurs européens. Une édition collector au look 80s inclut notamment une BO sur cassette et des goodies thématiques dans une boîte dédiée.
Disponibilités et prix
Tarifs annoncés : 19,99 £ / 22,99 € / 25,99 $ en numérique. En boîte : édition standard à 34,99 £ / 39,99 €, et édition collector à 49,99 £ / 59,99 €. De quoi redécouvrir le charme arcade-aventure sans sacrifier la finition actuelle.
Intel a récemment intégré sa solution de rack Gaudi 3 avec la technologie de NVIDIA, exploitant ses propres puces d’IA associées à Blackwell pour offrir des améliorations de performance notables. Gaudi 3 et Blackwell : une synergie prometteuse Les puces d’IA d’Intel, en particulier la gamme Gaudi, connaissent une adoption croissante. Face à la concurrence […]
Depuis le 14 octobre 2025, Microsoft ne prend plus en charge Exchange Server 2016 et Exchange Server 2019 : vers quelles versions migrer ? Voici la réponse.
L’expansion fulgurante de l’application mobile ChatGPT semble marquer le pas. Une analyse menée par Apptopia, société spécialisée dans l’intelligence applicative, révèle un ralentissement notable de la croissance des téléchargements et de l’utilisation quotidienne. Les données collectées indiquent que la progression du nombre de nouveaux utilisateurs, mesurée par les variations en pourcentage des téléchargements mondiaux, s’est ... Lire plus
Un poids plume dans un châssis alu massif: l’Epomaker Galaxy100 Lite débarque avec 1,6 kg sur la balance et une réduction d’environ 20 %, sans renier la finition premium ni les options avancées attendues sur un clavier custom.
Ce qui change (et ce qui reste excellent)
Le Galaxy100 Lite reprend la base qui a fait le succès de la série : boîtier en alliage d’aluminium, montage sur joints (gasket) et empilement de couches d’amortissement (Poron, IXPE, PET) pour un son net et feutré. La PCB hot-swap et l’éclairage RGB orienté au sud facilitent la personnalisation, tandis que la connectivité triple mode (2,4 GHz, Bluetooth, USB) couvre tous les usages. Cerise sur le PCB, QMK/VIA est de la partie pour mapper touches, macros et effets lumineux à la carte.
Là où ce Lite s’affirme, c’est sur l’optimisation du châssis: environ 20 % plus léger que le modèle précédent pour atteindre 1,6 kg, tout en conservant la rigidité d’un corps entièrement en aluminium. L’expérience de frappe reste dense et contrôlée grâce à une nouvelle pile d’amortissement à cinq couches, pensée pour enrichir la signature sonore sur toute la surface.
Autre évolution bienvenue: une molette multifonction pour piloter volume, scroll ou actions créatives. Les utilisateurs Mac profitent d’un jeu de keycaps dédié et d’un mapping prêt à l’emploi. L’autonomie suit avec un accu 8000 mAh, de quoi tenir de longues sessions en sans-fil, que ce soit en 2,4 GHz pour la latence minimale ou en Bluetooth pour la polyvalence multi-appareils.
Epomaker propose deux habillages contrastés: White Butter, un dégradé blanc vers jaune ponctué d’accents bleu ciel, et Black Gradient, qui glisse du gris au noir profond. Un parti pris visuel sans excès, qui colle bien à un châssis massif et à l’éclairage RGB sud pour éviter l’éblouissement avec certains profils de keycaps.
Au final, le Galaxy100 Lite coche les bonnes cases du clavier custom prêt à l’emploi: aluminium usiné, tri-mode, QMK/VIA, réglages sonores soignés, molette et compatibilité hot-swap. Et pour son lancement, Epomaker annonce une remise de 15 %, de quoi tenter l’aventure sans trop alourdir la facture qui est déja abordable (94$).
8K ne s’est pas imposé chez les joueurs, mais chez les pros de l’image, la donne change. ASUS confirme l’arrivée mondiale, ce mois-ci, du ProArt 8K PA32KCX, un 32 pouces pensé pour la retouche et l’étalonnage avec une précision colorimétrique chirurgicale.
ProArt 8K PA32KCX : du Mini LED à très haute densité pour la création
Annoncé en mars dernier, le ProArt 8K PA32KCX arrive enfin sur les marchés. Au programme : une dalle 7680×4320 de 32 pouces affichant 275 PPI, soit bien plus que le 4K classique, pour des textes ultra nets et des détails qui tiennent enfin la route en montage, retouche fine ou design. Le rétroéclairage Mini LED est découpé en 4032 zones avec une luminosité crête jusqu’à 1200 nits, de quoi exploiter correctement les métadonnées HDR dans les workflows modernes.
Côté formats, l’écran gère Dolby Vision, HDR10 et HLG. Il s’agit d’un vrai 10 bits, annoncé à 95% Adobe RGB et 97% DCI-P3 avec un Delta E inférieur à 1. On n’est pas sur une couverture intégrale Adobe RGB/DCI-P3, mais la calibration d’usine et les outils fournis visent les pipelines exigeants.
Autre particularité majeure : un colorimètre motorisé intégré capable d’effectuer des calibrations automatiques ou planifiées. Il s’interface avec ASUS ProArt Calibration, Calman et ColourSpace CMS, pratique pour maintenir une cohérence d’un projet à l’autre sans sortir l’arsenal de sondes externes.
La connectique coche les cases pro actuelles : double Thunderbolt 4 pour data/vidéo/alimentation, DisplayPort 2.1 et HDMI 2.1. On retrouve aussi un Auto KVM pour piloter deux machines avec un seul ensemble clavier/souris, très utile en station hybride PC + laptop.
ASUS ProArt 8K PA32KCX: premier écran 8K (vue 4)
Pour qui et pourquoi ?
Le PA32KCXse destine aux monteurs, photographes et étalonneurs qui veulent pousser la précision à l’extrême. Le taux de rafraîchissement reste limité à 60 Hz, un choix logique au vu de la cible professionnelle et de la définition 8K. ASUS inclut trois mois d’Adobe Creative Cloud, un bonus sympathique pour démarrer, même si la plupart des studios sont déjà équipés. Le tarif n’est pas encore public, mais attendez-vous à un positionnement haut de gamme en ligne avec ses ambitions.
En bref, un moniteur 8K Mini LED calibrable et taillé pour le HDR de production, qui vient combler un vide chez les créateurs à la recherche d’une précision extrême plus que de la vitesse d’affichage.
Huawei avance ses pions côté IA avec l’Atlas 300I Duo, une carte double GPU axée mémoire que Gamers Nexus vient de désosser : 96 Go de LPDDR4X au total, un prix tournant autour de 1 400 $ via circuits non officiels, mais une compatibilité très cadrée.
Duo de puces, gros pool mémoire, mais des limites nettes
L’Atlas 300I Duo embarque deux GPU et 48 Go par puce, soit 96 Go au total. Ici, la mémoire passe par de la LPDDR4X et non du GDDR ou HBM : on gagne en capacité, on perd en bande passante. Comptez environ 204 Go/s par GPU, loin des 1,8 To/s des cartes workstation phares de NVIDIA. Le positionnement est clair : donner de la marge aux modèles IA gourmands en VRAM, pas chasser les performances brutes.
Côté refroidissement, le design est simple : radiateur en aluminium, caloducs fins, pads graphite, pas de ventilateurs embarqués. La carte vise environ 150 W et dépend du flux d’air du châssis serveur. La philosophie est serveur d’abord, avec un PCB et une alimentation sans sophistication excessive.
Démontage de l’Atlas 300I dual GPU
Disponibilité et compatibilité restent le vrai sujet. En dehors de la Chine, la carte n’est pas vendue officiellement.
Gamers Nexus indique un achat autour de 1 400 $ en passant par des canaux non officiels. Sur le plan logiciel et matériel, le support est circonscrit aux plateformes Huawei : l’équipe prévoit d’évaluer la carte dans un serveur Atlas 800 équipé de CPU Kunpeng 920, faute de fonctionnement en PC desktop standard.
Un jalon pour l’écosystème IA chinois
Face aux restrictions sur les GPU NVIDIA haut de gamme, l’Atlas 300I Duo matérialise une stratégie locale : privilégier la capacité mémoire et l’intégration serveur, quitte à rester loin des performances des solutions pro occidentales facturées plusieurs milliers de dollars. Prochain épisode attendu : le test complet et un éventuel delid de l’IHS par Gamers Nexus.
Colorful joue la carte de l’écosystème maison avec un PC iGame Vulcan taillé au millimètre, et une carte graphique RTX 50 affublée d’un écran LCD détachable pour surveiller son PC en temps réel.
Un setup Vulcan coordonné : boîtier, carte mère Z890 et GPU RTX 50
Le nouveau C25EA Vulcan X, la carte mère Z890 Vulcan X et une iGame Vulcan de série RTX 50 forment un trio cohérent, avec un design angulaire poussé. La carte graphique adoptée semble se caler sur le format d’un modèle de classe GeForce RTX 5070, et met en avant sa particularité phare : un petit écran LCD aimanté, à clipser directement sur la carte ou à déporter dans le boîtier.
Ce display piloté via le logiciel iGame affiche températures, vitesses de ventilateurs et perfs en direct. L’interface n’a pas la réputation la plus conviviale, mais l’idée est séduisante pour garder un œil sur son hardware sans overlay. Colorful complète l’ensemble avec le LQ360-LCD Vulcan X, un AIO 360 mm assorti et une nouvelle série de ventilateurs à cadre triple relié pour simplifier l’installation et limiter les vibrations.
Un écosystème joli, mais surtout réservé à la Chine
Colorful annonce étendre la gamme Vulcan avec davantage d’accessoires coordonnés. Mauvaise nouvelle : la majorité de ces références restera cantonnée au marché chinois. Moniteurs et alimentations ne sont pas encore au programme.
Régulièrement, depuis la création de l'App Store en 2008, nous publions une petite sélection des applications gratuites sur iPhone et iPad accompagnée de promos.
Google prépare l’intégration de son générateur d’images IA Nano Banana dans l’application Messages. Android Police a découvert des lignes de code et un bouton en forme de banane dissimulé dans l’interface, suggérant une arrivée imminente. Les utilisateurs pourront modifier et probablement créer des visuels grâce à Nano Banana, composante de Gemini 2.5 Flash, directement au ... Lire plus
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Samsung propose actuellement une gamme de smartphones phares robuste déclinée en trois tailles distinctes, permettant aux consommateurs de trouver aisément le modèle correspondant à leurs attentes. Pourtant, si le Galaxy S25+ ne constitue pas la version la plus prisée de la série, le Galaxy S25 Edge pourrait afficher des résultats encore plus décevants. Des informations ... Lire plus
Lors d’une interview avec IGN au Gamescom Asia x Thailand Game Show, le concepteur de jeux vétéran Glen Schofield a exprimé son souhait de voir Dead Space 4 se réaliser. Il a révélé qu’il avait récemment soumis une demande à Electronic Arts, affirmant pouvoir ramener l’ancienne direction de Visceral Games et économiser entre 30 et […]