Après un premier concours vous offrant des lots Intel / Asus / Predator qui a vu deux heureux gagnants parmi notre lectorat, nous continuons notre tour d'horizon de nos partenaires avec cette fois Corsair. L'été n'a pas été profitable qu'à ces deux chanceux, puisque nous avons battu en Août notre n...
On dit que les bonnes choses viennent par trois, et la série de manettes sans fil Xbox Wireless Controller Breaker ne fait pas exception. Cette nouvelle famille audacieuse de manettes en édition spéciale comprend Heart Breaker, Ice Breaker et Storm Breaker. Pour la toute première fois, trois manettes distinctes en édition spéciale sont lancées simultanément, chacune avec sa propre personnalité et ses caractéristiques uniques – des revêtements métalliques aux éléments translucides givrés – offrant aux joueurs plus de choix dès le premier jour. Quelle que soit la manette que vous choisissez, vous prenez la bonne décision. Maintenant, sans plus tarder, il est temps de rencontrer les manettes sans fil Xbox Breakers.
Manette sans fil Xbox – Ice Breaker Édition
La Ice Breaker reste fraiche avec son design lisse et bleu glacier et sa finition givrée et translucide – donnant l’apparence de cristaux fragmentés. Cette manette est en outre complétée par des variations de bleu placées sur les joysticks, les boutons ABXY et les poignées texturées. La Ice Breaker est sûr d’apporter une ambiance cool, calme et recueillie à n’importe quelle configuration de jeu via une connexion sans fil Xbox ou Bluetooth à Xbox Series S|X, Xbox One, PC Windows, appareil Android ou IOS.
Manette sans fil Xbox – Storm Breaker Édition
Avec une palette de couleurs ancrée dans le noir, le blanc, le gris et l’argent, la Storm Breaker présente une alternative sophistiquée à ses compagnons. Ce contrôleur offre plus qu’il n’y paraît, révélant des notes de feuillage argenté lorsque vous faites pivoter l’appareil dans la lumière. La Storm Breaker est dotée d’un d-pad métallique et d’un top case opaque. Comme ses prédécesseurs, la série Breaker en édition spéciale est livrée avec la prise jack 3,5 mm éprouvée, parfaite pour brancher votre casque compatible préféré et discuter avec des amis en ligne.
Manette sans fil Xbox – Heart Breaker Special Edition
Des roses et violets vibrants aux touches intentionnelles de bleu, la Heart Breaker est sûre de faire une déclaration dans n’importe quelle pièce ou collection dans laquelle il se trouve. Le top case translucide ajoute de la profondeur et une sensation de plénitude à une pièce déjà créative.
Mais pour vraiment personnaliser la série de manettes sans fil Xbox Breaker en édition spéciale, aventurez-vous dans l’application Xbox Accessories pour personnaliser les profils de votre manette en remappant les boutons, en échangeant les sticks et les gâchettes, et en configurant les vibrations de la manette à votre guise.
Les trois manettes sans fil Xbox sont disponibles dès aujourd’hui en précommande sur certains marchés Xbox du monde entier au prix de vente conseillé de 79,99 $ US et sortiront le 9 septembre. Pour plus d’informations, rendez-vous sur Xbox.com ou chez votre revendeur local, y compris le Microsoft Store.
Présenté au COMPUTEX cette année, le boîtier HYTE X50 est désormais disponible en précommande. Proposé en six couleurs différentes : Snow White, Pitch Black, Wild Cherry, Strawberry Milk, Taro Milk, et Matcha Milk, le boîtier HYTE X50 se distingue des produits de la concurrence par des rondeurs assumées et des panneaux en mesh sur quasiment toute sa surface (version X50 Air).
Le HYTE X50 est un boîtier moyen-tour ATX d’un volume de 63 L. Il mesure 485 x 510 x 255 mm et il est constitué essentiellement d’acier de 1 mm d’épaisseur d’ABS. Le verre trempé propose une épaisseur de 4 mm (panneau en verre acoustique feuilleté pour réduire le bruit sur la version X50).
HYTE X50 : compatibilité matérielle
Le HYTE X50 pourra recevoir des cartes mères au format E-ATX, ATX, Micro-ATX et ITX avec de la place pour une carte graphique de 430 mm de long et 160 mm de hauteur max, un ventirad de 170 mm de hauteur et une alimentation de 223 mm de long.
À l’intérieur, il sera possible de placer trois ventilateurs de 120 mm à côté de la carte mère, une de 120 m en arrière, trois de 120 mm ou 140 mm en façade et trois de 120 mm en bas (épaisseur max de 32 mm). Les fans de watercooling pourront y loger un radiateur de 360 mm à côté de la carte mère (épaisseur max de 70 mm) et 360 mm en façade (épaisseur max de 80 mm).
Le stockage est assuré par des emplacements pour 2 disques de 2,5″ et un disque de 3,5″. Les E/S comprennent une prise combo micro/casque 3,5 mm, un port USB 3.2 gen 2×2 type C et deux USB type A.
La version HYTE X50 est proposée à un tarif de 159,99$ quelle que soit la couleur. Pour le moment, la version X50 Air n’est pas dispo.
Après le COUGAR FV150 RGB proposé début août, la marque taïwanaise revient avec une version micro-ATX : le COUGARFV150 mini RGB.
Bien évidemment, le nouveau boîtier est plus petit (285 x 365 x 436 mm contre 300 x 400 x 415 mm pour la version ATX). Il sera aussi proposé en trois couleurs : blanc, noir ou rose. Nous avons toujours une conception à double chambre permettant de mettre en valeur vos composants dans la chambre principale encadrée par deux parois en verre trempé, tout en dissimulant le matériel dans la chambre secondaire pour un look plus propre.
Compatibilité matérielle du COUGAR FV150 mini RGB
La compatibilité matérielle est assurée par un espace permettant de loger des cartes mères Mini-ITX, Micro-ATX et à connecteur inversé type ASUS BTF, des GPU jusqu’à 400 mm de longueur, des ventirads de 170 mm de hauteur et des alimentations de 200 mm de long.
Le FV150 Mini RGB dispose aussi d’une capacité de 3 ventilateurs de 120 mm ou 2 x 140 mm en haut et en bas, 2 ventilateurs de 120 mm ou 2 ventilateurs de 140 mm sur le côté, et 1 x120 mm à l’arrière. Le support de refroidissement par eau atteint un maximum de 360 mm sur le dessus et de 240 mm sur le côté. Il peut accueillir jusqu’à 1 disque dur de 3,5 pouces et 1 disque SSD de 2,5 pouces ou 2 disques SSD de 2,5 pouces.
Enfin, le panneau d’E/S du FV150 Mini RGB comprend 1 port USB 3.2 Gen 2 Type-C (10 Gbit/s) et 2 ports USB-A 3.0 (5 Gbit/s). Des filtres anti-poussière magnétiques sont placés en haut et en bas du boîtier.
Nous vous parlions la semaine dernière de la mise à jour 8.3.2.850 du logiciel Samsung Magician pour la maintenance des SSD, cartes mémoire et clés USB de la marque. Samsung ne donnait malheureusement aucune information à ce moment-là sur les améliorations et/ou corrections de cette version 8.3.2.
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Il y a seulement deux petits jours, nous vous expliquions que les processeurs Ryzen 5 9500F et Ryzen 7 9700F d'AMD étaient visiblement tout proches d'être disponibles, puisque certains revendeurs commençaient à les ajouter à leurs catalogues. Un phénomène qui continue à se propager durant ces derniè...
Razer a annoncé le lancement de la bêta ouverte de Razer Synapse 4, offrant aux utilisateurs un accès continu à la prochaine évolution du logiciel de configuration d’appareil de Razer. Disponible en tant qu’expérience optionnelle, la bêta ouverte invite les utilisateurs à contribuer à l’élaboration de Synapse par le biais de commentaires directs et de la collaboration de la communauté, en commençant par le lancement de Workshop, un nouveau hub de personnalisation puissant intégré à la bêta ouverte de Synapse 4.
« La bêta ouverte de Synapse 4 est une étape majeure dans la façon dont Razer crée des logiciels avec notre communauté », a déclaré Quyen Quach, vice-président des logiciels chez Razer. « Nous avons lancé ce programme de vol d’essai pour inviter les joueurs à faire partie du voyage de développement.
Tout au long de l’année, nous donnerons un accès anticipé aux principales fonctionnalités à venir via la bêta ouverte de Synapse 4 pour donner à notre communauté l’occasion de tester, de partager des commentaires et d’aider à affiner les nouvelles fonctionnalités avant leur lancement officiel sur Synapse 4. Workshop est la première étape pour permettre aux utilisateurs de personnaliser et de partager leurs paramètres et profils entre eux. Nous sommes impatients de faire évoluer Workshop et d’autres fonctionnalités de Synapse main dans la main avec notre communauté.
Présentation de Workshop : un arrêt. Un clic. Des options infinies
Workshop est une nouvelle plate-forme communautaire intégrée à Synapse 4 Open Beta, conçue pour faciliter le partage et l’application de profils personnalisés par les utilisateurs. Qu’il s’agisse d’un réglage DPI finement réglé, d’une disposition macro complexe ou d’une configuration complète Razer ChromaRGB, Workshop permettra aux utilisateurs d’explorer et d’adopter les configurations d’autres joueurs du monde entier sans dépendre de liens tiers ou de transferts de fichiers.
Pour soutenir le lancement, Razer s’associe aux meilleurs athlètes d’esports comme Snip3down pour apporter leurs configurations compétitives directement dans Workshop. Les utilisateurs peuvent parcourir les profils sélectionnés de joueurs professionnels et les appliquer instantanément, éliminant ainsi les conjectures et améliorant le gameplay.
Workshop est lancé en exclusivité dans le cadre de la bêta ouverte de Synapse 4, renforçant ainsi l’engagement de Razer à co-créer avec sa communauté. Les utilisateurs de la version bêta seront les premiers à tester les nouvelles fonctionnalités, à donner leur avis et à influencer l’avenir de Synapse. La version actuelle prend en charge les profils et les macros Synapse, et la prise en charge des profils Chroma est attendue prochainement.
La bêta ouverte de Synapse 4 est maintenant en ligne – Essayez dès aujourd’hui
La bêta ouverte de Synapse 4 est maintenant en ligne et disponible pour tous les utilisateurs. Les participants sont invités à explorer Workshop, à tester les fonctionnalités à venir et à aider à définir la prochaine génération de logiciels Razer. Pour plus d’informations, visitez http://rzr.to/Synapse.
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Je viens de lire
un article super intéressant
sur pourquoi les milliardaires sont en train de se faire fabriquer des bunkers un peu partout dans le monde, et franchement, ça me dégoûte.
Ils feraient mieux d’investir pour nous sortir de la merde collective dans laquelle ils nous ont mis plutôt que d’aller se cacher comme des rats. Les mecs n’ont jamais ouvert une conserve de leur vie, et je donne pas cher de leur peau après l’apocalypse.
D’après cet article, Douglas Rushkoff, un théoricien des médias, s’est retrouvé un peu par hasard à une conférence dans le désert pour ultra-riches. Lui pensait qu’il était là pour discuter du futur de l’humanité, mais visiblement, non, les mecs voulaient juste savoir où construire leurs bunkers. Alaska ou Nouvelle-Zélande ? Bitcoin ou Ethereum pour payer la construction ? C’était apparemment leur seule préoccupation.
Et ces bunkers ne sont pas de simples abris, hein… Ce sont de vrais palaces souterrains. Ron Hubbard, qui dirige la société Atlas Survival Shelters et se décrit comme “l’Amazon des bunkers”, a construit des milliers de ces trucs. Il a par exemple bossé pour les frères Tate (vous savez, ceux qui sont accusés de trafic d’êtres humains), pour MrBeast, et même pour Mark Zuckerberg à Hawaii.
D’après Hubbard, un bunker “confortable” d’un demi-million de dollars, ça se compose de huit à neuf pièces, deux chambres, une cuisine, une salle de bain, une salle de décontamination, et même une pièce pour le générateur. Certains ont des salles de cinéma souterraines, des caves à vin climatisées, et même des poteaux de strip-tease (je vous jure, les frères Tate en voulaient dans leur bunker).
Selon Vice
qui a également abordé le sujet, au Kansas, un ancien silo de missiles a été transformé en “Survival Condo Project” où avec 3 millions de dollars vous pouvez acheter un appartement clé en main entouré de 3 mètres de béton armé. En Nouvelle-Zélande, les milliardaires de la Silicon Valley sont également convaincus que ce pays sera l’un des rares à survivre à ce qu’ils appellent sombrement “l’Événement”.
Zuckerberg, par exemple, est en train de se faire
construire un bunker de 460 mètres carrés
sous son ranch à Kauai, avec des espaces de vie, une salle technique, une trappe d’évacuation, des portes insonorisées à code, son propre approvisionnement en nourriture, un réservoir d’eau et un système de pompage. Le tout pour la modique somme de 270 millions de dollars.
Et Douglas Rushkoff leur a expliqué plusieurs fois, en vain, que “la survie réussie est un sport d’équipe”. En gros, pour survivre, vos voisins doivent aussi survivre. Sinon, ils viendront frapper à la porte de votre bunker, vous sortiront de là et vous tueront. Mais bon, ces génies refusent les solutions “pro-sociales”… Leur compréhension du succès est uniquement individuelle. Pour eux, c’est “le gagnant rafle tout” et tant pis pour les autres…
Hubbard précise aussi que 99% de ses clients sont “très chrétiens” et qu’il ne vend quasiment jamais de bunkers à des gens de gauche ou des démocrates. Selon lui, c’est parce que les gens de droite se gèrent eux-même tandis que les gens de gauche pensent que le gouvernement viendra les aider. Lol.
Ron Hubbard
Voilà, et si vous n’avez pas la place pour vous faire creuser un méga-bunker, il y a aussi des entreprises qui installent des panic rooms blindées dans les maisons. Leurs clients vivent souvent dans des villes et ils veulent un endroit où se barricader en cas de cambriolage ou d’assaut. Mais le plus dingue dans tout ça, c’est qu’à présent,
les milliardaires de la tech sont passés à autre chose
… Ils sont quasiment tous convaincus qu’ils pourront “télécharger leur conscience dans le cloud”.
Rushkoff, qui a écrit un livre entier sur le phénomène ("Survival of the Richest: Escape Fantasies of the Tech Billionaires"), explique qu’il a été surpris par le niveau d’intelligence de ces milliardaires de la tech. Et attention c’est pas un compliment : “Aucun de ceux que j’ai rencontrés n’était de vrais programmeurs, de vrais inventeurs, de vrais ingénieurs… La plupart étaient juste les potes de vrais ingénieurs, plus capables de vendre la tech ou de construire un business.”
Photo Ron Hubbard
Dans cet autre article, Douglas Rushkoff
note qu’il y a quand même certaines personnes extrêmement riches qu’il connaît, qui ont eu une expérience mystique qui les a complètement transformés en défenseurs de l’activisme climatique et de l’
économie régénérative
. Mais la plupart des autres ultra riches redoublent d’efforts pour faire cavalier seul et laisser l’humanité derrière eux…
Mais alors moi après avoir lu cet article, je me demande maintenant ce qui se passera après “l’Événement” ? Parce que bon, leur argent ne vaudra peut-être plus rien du tout et après ils feront quoi quand leurs réserves de bouffes commenceront pas se réduire ?
Je ne l’avais pas forcément anticipé, mais plus l’IA s’amuse à générer de fausses infos, plus les gens se réfugient vers les médias traditionnels. En tout cas, c’est à cette conclusion que sont arrivés les chercheurs de Johns Hopkins, de l’Université nationale de Singapour et de Carnegie Mellon dans
une étude publiée récemment
.
Ces derniers ont mis en place une collaboration avec
Süddeutsche Zeitung
, l’un des mastodontes de la presse allemande, pour élaborer un quiz interactif. Le principe c’était de proposer aux lecteurs 5 images et leur demander lesquelles étaient générées par IA. Je vous donne la conclusion direct : 36% des participants ont été incapables d’identifier correctement les fausses images. C’est fou non ?
Ça peut paraître peu, mais pour un média en place qui ronronne depuis longtemps, c’est plutôt pas mal. Et comme si ça ne suffisait pas, le taux de désabonnement a également chuté d’un tiers parmi ceux qui ont participé au quiz.
Filipe Campante, l’un des chercheurs de Johns Hopkins, explique que cette sensibilisation crée en fait une prise de conscience car les gens réalisent soudainement la valeur d’avoir des sources fiables dans un océan de contenus douteux. Plus les participants étaient surpris par leur incapacité à distinguer le vrai du faux, plus ils augmentaient leur consommation de contenus vérifiés par la suite.
C’est une forme de vaccination où une petite dose contrôlée de désinformation renforce les défenses de l’esprit critique (Oui, je sais, les “grosses doses” vous ont déjà eu pour certains d’entre vous… snif.)
Et surtout, il semblerait que
l’effet persiste dans le temps
. Ce n’est donc pas juste un pic temporaire d’intérêt car les lecteurs ont développé une sorte de réflexe de vérification, en se tournant vers des sources fiables quand ils tombaient sur des infos douteuses ailleurs.
Bien sûr, il y a des limites à cette étude car elle a été menée avec un public allemand, déjà habitué à payer pour de l’information de qualité… Faudrait donc voir ce que ça pourrait donner sur le secteur des médias français où tout le monde est habitué à se gaver de confiture gratuite jusqu’à la gerbe…
Quoiqu’il en soit, la tendance de fond reste encourageante.
Pour les médias traditionnels, c’est donc une super opportunité car au lieu de voir l’IA uniquement comme une menace existentielle et de chialer toute la journée sur leur propre sort, ils peuvent l’utiliser comme un argument de différenciation. Cette authenticité peu devenir un sérieux argument marketing et certains journaux commencent déjà à intégrer des modules éducatifs sur la détection de fakes dans leur stratégie d’engagement. C’est pas con, va falloir que j’y pense aussi ^^.
Bref, cette méchante IA, censée remplacer les journalistes et tout ce qui a un cerveau, va peut-être bien finir par renforcer la valeur du journalisme fait par des humains, car les lecteurs ne veulent pas juste de l’information… Non, ils veulent de la confiance. Et pour l’instant (oui, pour l’instant…), cette confiance est encore présente chez les médias qui emploient de vrais journalistes, avec de vraies sources et de vrais processus de vérification…
Quoiqu’il en soit, imaginez ce que pourrait donner si on formait notre jeunesse à tout cela… On pourrait créer une génération beaucoup plus résistante à la désinformation !
Et évidemment, tout cela pourrait s’appliquer à d’autres domaines où l’authenticité devient rare. Je pense par exemple aux artistes qui pourraient bénéficier de cette prolifération d’œuvres générées par IA ou aux photographes qui pourraient voir leur travail à nouveau mis en valeur face aux deepfakes. Visiblement, les gens veulent de l’authenticité donc tout n’est pas foutu, mais bon après, si votre travail est artistiquement sans intérêt et qu’une IA peut faire exactement le même truc que vous, c’est sûr que va falloir vous sortir un peu les doigts ou penser à une reconversion professionnelle.
Voilà, moralité, plus on est bombardé de contenus artificiels, plus on apprécie l’humain qui se cache derrière l’information. En tout cas, pour le moment… ^^
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Doucement, mais surement, chaque acteur de l'industrie du semiconducteur se prépare, à son rythme, à l'adoption des EUV High-NA (High Numerical Aperture Extreme Ultraviolet Lithography). Ayant misé beaucoup sur cette évolution technologique, notamment pour son futur procédé 14A, Intel avait été, en...