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Steam Frame : Valve préparerait une nouvelle console de salon sous SteamOS

Après le succès du Steam Deck, Valve pourrait élargir son écosystème matériel avec une nouvelle machine : la Steam Frame, une nouvelle marque déposée. Le nom a été découvert dans un dépôt de marque auprès de l’USPTO (United States Patent and Trademark Office).

Les documents officiels évoquent à la fois du hardware informatique et des consoles de jeux vidéo, mais aussi des contrôleurs et accessoires dédiés. Tout porte donc à croire que Valve prépare une console pensée pour le salon, et non un simple périphérique.

Une console de salon inspirée du Steam Machine

Le concept rappellerait celui des Steam Machines, lancées puis abandonnées il y a presque dix ans. Cette fois, l’approche serait différente : la Steam Frame serait une console autonome, livrée avec une manette, et démarrant directement sur SteamOS avec toutes les optimisations que l’on connaît déjà sur le Steam Deck.

steamOs

Contrairement à ce dernier, il ne s’agirait pas d’un appareil portable mais bien d’une machine fixe, bénéficiant d’un meilleur refroidissement et d’une puissance accrue, capable de viser des résolutions supérieures et des framerates plus stables.

Fremont et Steam Frame : un seul et même projet ?

Un élément vient renforcer cette hypothèse. Récemment, un prototype baptisé Valve Fremont a été repéré dans la base de données Geekbench. Cette machine embarque un SoC AMD Hawk Point 2 avec 6 cœurs Zen 4 et un GPU RDNA 3 proche d’une Radeon RX 7600. Les performances CPU et GPU affichent un net bond par rapport aux Steam Deck actuels.

steam frame console

Tout indique que Fremont pourrait être le prototype matériel derrière Steam Frame. De quoi imaginer une console de salon taillée pour concurrencer les PS5 et Xbox Series, tout en offrant un accès natif à la bibliothèque Steam.

👉 Lire notre analyse complète de Valve Fremont et de son SoC AMD Hawk Point 2

Une stratégie encore mystérieuse

Valve n’a pas encore communiqué officiellement. On ignore si la Steam Frame sera une machine premium pour viser les performances, ou un modèle plus abordable pensé pour démocratiser le jeu PC dans le salon.

Mais une chose est claire : entre le succès du Steam Deck et les rumeurs autour de la Steam Frame, Valve semble prêt à revenir sur le marché des consoles avec une stratégie plus solide que celle des Steam Machines.

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GeForce NOW avec Blackwell RTX 5080 : dès le 10 septembre

NVIDIA annonce une mise à jour majeure de son service GeForce NOW : dès le 10 septembre 2025, les serveurs basculent sur l’architecture Blackwell RTX 5080. Une montée en puissance déjà esquissée à la Gamescom, où la marque avait présenté les fondations de cette nouvelle ère notre analyse complète de GeForce NOW à la Gamescom 2025.

NVIDIA promet des résolutions plus élevées, un framerate jusqu’à 360 FPS compétitifs et une latence réduite sous les 30 ms. Avec cette évolution, GeForce NOW devient le premier service de cloud gaming à offrir une expérience équivalente à un PC gaming équipé d’une RTX 5080, mais accessible partout en streaming.

Battlefield 6 et des sorties attendues

Parmi les grands rendez-vous, le très attendu Battlefield 6 sera disponible en octobre directement dans le cloud. Mais septembre n’est pas en reste avec plusieurs lancements majeurs :

17 jeux rejoignent GeForce NOW en septembre

geforce now septembre 2025
17 jeux rejoignent GeForce NOW en septembre

En plus de BF6, ce sont 17 nouveaux titres qui débarquent sur GeForce NOW au fil du mois. Parmi eux :

Calendrier GeForce NOW – Septembre 2025

Date Jeu
1 sept.Hell Is Us
2 sept.METAL EDEN
4 sept.Hollow Knight: Silksong
4 sept.Cataclismo
5 sept.Cronos: The New Dawn
9 sept.Firefighting Simulator: Ignite
11 sept.Borderlands 4
15 sept.Fata Deum – The God Sim
19 sept.Dying Light: The Beast
19 sept.Jump Space
19 sept.Warborne: Above Ashes
22 sept.ENDLESS Legend 2
23 sept.Baby Steps
23 sept.Aztecs: The Last Sun
25 sept.Lost Rift
26 sept.Cloverpit
Predecessor (date TBC)

Au total, la bibliothèque GeForce NOW dépasse désormais les 2 200 titres jouables instantanément.

GFN Thursday Hollow Knight Silksong 960x480
GFN Thursday Hell is Us 1680x840
GFN Thursday World of Tanks 2 0 960x480

22 titres qui ont rejoint GeForce Now en août.

Pour rappel, 22 titres supplémentaires ont rejoint le programme. Voici la liste :

Sorties GeForce NOW – Août 2025

Jeu Plateforme
Assassin’s Creed MirageXbox (PC Game Pass)
Amnesia: The Dark DescentEpic Games Store
Blacksmith MasterXbox (PC Game Pass)
Chip ‘n Clawz vs. The BrainioidsSteam
Crash Bandicoot 4: It’s About TimeSteam, Battle.net
GatekeeperSteam
Gears of War: ReloadedSteam, Xbox (PC Game Pass)
GuntouchablesSteam
Heretic + HexenSteam, Xbox (PC Game Pass)
HUNTER×HUNTER NEN×IMPACTSteam
KnighticaSteam
Make WayEpic Games Store (gratuit)
Stick It to the StickmanSteam
Titan Quest IISteam
Total War: MEDIEVAL II – Definitive EditionSteam
Total War: ATTILASteam
A Total War Saga: TroySteam
Total War: NAPOLEON – Definitive EditionSteam
Total War: EMPIRE – Definitive EditionSteam
Total War: PHARAOH DYNASTIESSteam
Total War: ROME REMASTEREDSteam
Total War: SHOGUN 2Steam

⚠ Field of Glory II: Medieval n’a finalement pas rejoint le cloud en août.

Le cloud NVIDIA prend de l’avance

Avec cette mise à jour Blackwell RTX 5080, NVIDIA creuse l’écart sur le marché du cloud gaming. Résolutions 4K, 240 FPS, modes compétitifs et une ludothèque en constante expansion : le service prend une longueur d’avance au moment où les joueurs s’apprêtent à accueillir les blockbusters de fin d’année.

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Console portable Lenovo Legion Go 2 : elle fait envie, mais n'est pas donnée !

La Lenovo Legion Go 2 est là, c'est désormais officiel. De nombreux clichés ainsi que la majorité des caractéristiques de la console portable avaient déjà fuité depuis quelques jours, mais nous attendions l'annonce de la part de Lenovo pour avoir toutes les informations à vous communiquer, y compris...

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Opcode transforme Claude Code en machine de guerre

Marre de jongler entre votre terminal et 15 onglets pour gérer vos sessions Claude Code ? Et bien les amis, je suis tombé sur Opcode , et c’est un super outil pour créer des checkpoints dans vos conversations IA comme vous faites des branches Git, pouvoir revenir en arrière quand Claude part en vrille mais également avoir une vraie vue d’ensemble de tous vos projets et agents…

Développé par Asterisk , une startup passée par Y Combinator, Opcode c’est l’interface graphique qui manquait cruellement à Claude Code. Au lieu de vous battre avec la ligne de commande, vous avez maintenant une vraie application desktop, native, rapide, qui tourne sur macOS, Linux et Windows. Ce truc est construit avec Tauri 2 , donc on parle de performances natives avec une UI moderne en React.

Claude Code est un outil génial pour coder avec de l’IA, et j’en sais quelque chose parce que je l’utilise tous les jours. Mais l’interface CLI peut vite devenir limitante quand vous jonglez avec plusieurs projets. Opcode transforme donc cette expérience en quelque chose de plus visuel et intuitif. Vous naviguez dans vos projets stockés dans ~/.claude/projects/ avec une interface graphique, vous voyez l’historique de vos sessions, et surtout, vous pouvez créer des agents personnalisés avec leurs propres prompts système.

Le système de time-travel m’a particulièrement plu car il permet de créer des checkpoints pendant vos conversations avec Claude. Comme ça, si l’IA part dans une mauvaise direction, hop, vous revenez au checkpoint précédent. C’est comme Git mais pour vos interactions IA. Ça évite de tout recommencer quand Claude comprend de travers ce que vous voulez.

Côté sécurité, les mecs d’Asterisk ne rigolent pas. Opcode utilise du sandboxing au niveau OS (seccomp sur Linux, Seatbelt sur macOS) pour isoler complètement les processus. Chaque agent peut avoir des permissions granulaires et vous décidez exactement ce qu’il peut faire ou ne pas faire. Et le plus important : zéro télémétrie. Toutes vos données restent en local, pas de cloud, pas de tracking. Votre code reste donc votre code.

Pour les agents personnalisés, c’est vraiment bien pensé. Vous créez des agents spécialisés avec leurs propres instructions système. Un agent pour le debug, un autre pour la documentation, un pour les tests unitaires. Chaque agent garde son historique, ses préférences, ses permissions. Vous construisez progressivement votre bibliothèque d’agents spécialisés qui connaissent vos habitudes de travail.

L’interface de tracking des coûts API est super pratique aussi. Vous voyez en temps réel combien de tokens vous consommez, le coût associé, avec des graphiques détaillés. Fini les mauvaises surprises en fin de mois. Comme ça, vous savez exactement où part votre budget Claude.

Pour installer Opcode, vous pouvez télécharger les binaires pour macOS, Linux (Windows arrive bientôt…) directement sur le site d’opcode .

Le code est sur GitHub , propre et bien documenté si ça vous chauffe. Voilà, ça permet de garder toute la puissance de l’outil CLI Claude Code, mais avec une interface qui rend l’expérience bien plus agréable. Si vous êtes un vibe codeur qui passe ses journées avec Claude, vous allez gagner un temps fou.

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rsyncy - Une barre de progression pour suivre l’avancement de Rsync

Vous venez de lancer un bon gros rsync en prod pour migrer 3 téraoctets de données et votre boss vous sur-saoule toutes les 10 minutes avec des : “Alors, ça en est où ?” en boucle et vous, en bonne victime, vous répondez “Ça avance chef, ça avance…”.

On peut faire mieux non ? Et oui, avec rsyncy qui vous permet au lieu d’avoir un rsync muet qui vous laisse dans le noir, de profiter d’une vraie barre de progression visuelle. Comme ça, vous voyez le pourcentage d’avancement, la vitesse de transfert, le volume copié, le temps écoulé, l’ETA, le nombre de fichiers traités… Bref, toutes les infos pour répondre factuellement à votre hiérarchie et prendre des décisions éclairées de grand professionnel qui aura bientôt une augmentation de salaire ^^.

L’installation est super simple. Vous avez plusieurs options selon votre setup :

# One-liner universel
curl https://laktak.github.io/rsyncy.sh|bash

# Sur macOS avec Homebrew
brew install rsyncy

# Avec Go
go install github.com/laktak/rsyncy/v2@latest

# Avec pipx (version Python)
pipx install rsyncy

Et une fois installé, vous pouvez soit lancer rsyncy directement avec les mêmes arguments que rsync :

rsyncy -a /source/ /destination/

Soit piper la sortie de votre rsync habituel vers rsyncy :

rsync -a --info=progress2 -hv /source/ /destination/ | rsyncy

Ce qui est top, c’est qu’avec ce paramètre, rsyncy ajoute automatiquement les arguments nécessaires pour avoir le maximum d’informations comme ça y’a plus besoin de vous rappeler des bonnes options.

La barre de progression affichera quelque chose comme ça :

Et là, vous avez tout… la barre visuelle, le pourcentage, les données transférées, la vitesse actuelle, le temps écoulé et le nombre de fichiers traités. C’est clair, net et précis.

Pour les environnements où les couleurs posent problème (certains logs, scripts automatisés), vous pouvez les désactiver avec :

NO_COLOR=1 rsyncy /source/ /destination/

Pour les devs qui veulent debugger ou enregistrer leurs transferts rsync, l’auteur recommande d’utiliser “ pipevcr ”, un autre de ses outils qui permet d’enregistrer et rejouer des flux de données. Pratique pour tester rsyncy sans lancer de vrais transferts.

Voilà, comme ça avec rsyncy, vous savez exactement où vous en êtes et vous pouvez estimer si vous allez respecter votre fenêtre de maintenance, prévenir si ça va déborder, ou rassurer tout le monde que tout se passe bien.

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Les Final Fantasy Game Boy passent en couleur

Ah, ces longues heures passées sur Final Fantasy Legend, les yeux qui piquent devant l’écran vert monochrome de votre Game Boy. Vous vous souvenez ?

Et bien aujourd’hui, j’ai découvert un truc sympa. Un développeur a réalisé ce dont on rêvait tous à l’époque. Il a transformé ces classiques en véritables oeuvres d’art Game Boy Color, avec des palettes de couleurs méticuleusement choisies pour chaque élément du jeu.

Il s’agit d’Adam Rippon, le mec derrière la série indie Dragon Fantasy qui s’est lancé un défi de ouf : coloriser l’intégralité des jeux Final Fantasy sortis sur Game Boy. Je vous parle bien de quatre titres mythiques ici : Final Fantasy Legend I, II et III (les fameux SaGa au Japon), et Final Fantasy Adventure (le premier Seiken Densetsu).

L’histoire commence simplement… Adam jouait au premier Final Fantasy Legend et se disait que ce serait quand même mieux en couleur. Alors au lieu de râler comme nous on l’aurait fait, il a sorti son éditeur de code assembleur et s’est mis au boulot. Et le résultat a tellement plu à la communauté Game Boy qu’ils l’ont supplié de faire les suites. Et lui, en bon mec solide, il a livré.

Ce qui est vraiment impressionnant dans son travail, c’est le niveau de détail. Il n’a pas juste balancé trois couleurs au pif et basta. Non, chaque sprite, chaque tuile, chaque élément d’interface a été colorisé à la main pour respecter l’esprit des jeux originaux tout en exploitant les capacités de la Game Boy Color. Les romhacks portent même le suffixe “DX”, comme les vraies versions colorisées de Nintendo à l’époque (Zelda Link’s Awakening DX, vous vous souvenez ?).

Techniquement, c’est donc du solide. Les patches fonctionnent sur du vrai hardware Game Boy Color, et pas seulement sur émulateur, ce qui veut dire que si vous avez encore votre vieille console qui traîne dans un tiroir, vous pouvez mettre les ROMs patchées sur une cartouche flash et jouer comme si Nintendo avait sorti ces versions à l’époque.

Pour récupérer ces merveilles, vous avez donc plusieurs options. Les patches sont disponibles sur Romhacking.net , Romhack.ing ou directement sur le GitHub d’Adam si vous préférez compiler depuis les sources. Évidemment, il vous faudra les ROMs originales des jeux (que vous possédez légalement, bien sûr ^^), puis vous appliquez les patches avec un outil comme Lunar IPS.

Voilà, donc si vous êtes nostalgiques de cette époque où Square Enix (enfin, Square et Squaresoft à l’époque) sortait des JRPG sur Game Boy, ou si vous voulez découvrir ces classiques dans leur meilleure version possible, foncez. Les quatre jeux sont complets, testés, approuvés par la communauté. C’est donc le moment parfait pour replonger dans ces aventures, cette fois-ci en couleur.

Respect total à Adam Rippon pour le boulot de titan !

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mkcert - Un outil génial qui simplifie la mise en place de certificats HTTPS en local

Vous aussi, vous en avez marre de cliquer sur “Continuer vers ce site (non sécurisé)” dans votre navigateur à chaque fois que vous testez votre app en local ? Puis surtout, ça fait peur à tout le monde pendant les démos client…

Alors ça tombe bien car j’ai la solution parfaite pour vous.

Ça s’appelle mkcert et c’est un outil transforme la galère des certificats HTTPS locaux en une simple commande. 2 minutes chrono et vous avez des certificats valides, reconnus par votre navigateur, sans avoir à fouiller dans les tréfonds d’OpenSSL.

Le truc cool avec mkcert, c’est qu’il crée automatiquement une autorité de certification locale sur votre machine. Cette CA est ensuite directement installée dans votre système et reconnue par tous vos navigateurs. Comme ça, plus besoin de jongler avec des certificats auto-signés auxquels personne ne fait confiance. Chrome, Firefox, Safari… tout le monde est content et affiche le petit cadenas vert. Trop chouette non ?

Alors, comment ça marche ? Sur macOS avec Homebrew, moi j’ai fait ça :

brew install mkcert nss
mkcert -install

Et voilà, votre autorité de certification locale est créée et installée. Maintenant, vous voulez un certificat pour votre projet ? Une ligne suffit :

mkcert example.com *.example.com localhost 127.0.0.1

Et vous avez alors vos fichiers .pem prêts à être utilisés avec n’importe quel serveur web. Pas de configuration prise de tête, pas de paramètres chelous, juste ce qu’il faut pour bosser tranquillement. Notez que si besoin, vous pouvez renommer le .pem en .crt et le -key.pem en .key, et ça fonctionnera.

Ce qui est vraiment bien pensé, c’est que mkcert gère tous les cas d’usage du développement moderne. Vous pouvez donc créer des certificats pour des domaines spécifiques, des wildcards pour couvrir tous vos sous-domaines, localhost évidemment, mais aussi des adresses IP. Vous développez une API qui doit être accessible depuis votre téléphone sur le réseau local ? Pas de problème, ajoutez l’IP de votre machine et c’est réglé.

D’ailleurs, pour ceux qui bossent sur Windows, l’installation peut se faire via Chocolatey ou Scoop. Et sous Linux, il faut d’abord installer les outils NSS avec libnss3-tools, puis vous pouvez récupérer les binaires directement depuis les URLs stables comme [https://dl.filippo.io/mkcert/latest?for=linux/amd64](https://dl.filippo.io/mkcert/latest?for=linux/amd64).

Un point super important c’est que mkcert n’est PAS fait pour la production. Le fichier rootCA-key.pem généré contient la clé privée de votre autorité de certification locale donc si quelqu’un met la main dessus, il peut créer des certificats valides pour n’importe quel domaine sur votre machine. Pour la prod, on reste donc sur Let’s Encrypt ou une vraie autorité de certification.

Mais après pour le développement local, c’est juste parfait. Plus besoin de se battre avec les configurations Apache ou Nginx pour faire accepter des certificats bidons. Plus de warnings et surtout, vous pouvez enfin tester correctement toutes les fonctionnalités qui nécessitent HTTPS : service workers, API de géolocalisation, caméra, micro… Tout fonctionne comme en prod.

L’outil supporte même des trucs avancés comme la génération de certificats ECDSA si vous préférez les courbes elliptiques, ou le format PKCS12 pour certaines applications Java. Vous pouvez personnaliser l’emplacement de sortie des certificats, créer des certificats pour l’authentification client…

Bref, malgré que ce soit simple à mettre en place, mkcert couvre en réalité tous les besoins. Je vous recommande donc de tester ça !

Merci à Lorenper pour la découverte !

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PCSpecialist Recoil 16 AMD : le 3D V-Cache accessible aux gamers mobiles !

Si vous parcourez nos colonnes, alors le nom de PCSpecialist vous est sûrement familier. En effet, cet assembleur britannique — partenaire de Hardware & Co - officie dans le business depuis plus de 22 ans. Après un premier Fusion 14 très convainquant, la firme nous a gâté de son Recoil 16, une m...

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LED RGB : Sony prépare la contre-attaque de la Mini-LED !

Beaucoup moins impliqué dans l'OLED que LG ou Samsung, Sony s'apprête à faire revenir sur le marché une technologie avec laquelle le fabricant avait déjà un peu joué à partir de 2004 : la LED RGB ! À l'époque, Sony avait lancé quelques téléviseurs équipés des "Triluminos", mais cela avait principale...

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ASUS supporte officiellement la DDR5-7200 JEDEC sur ses cartes LGA1851 avec Core Ultra-S, et ça change quoi ?

Comme vous le savez, depuis l'affaire des processeurs qui grillaient, Intel marche sur des œufs avec Arrow Lake. Pas de Raptor Lake Gate pour les Core Ultra 200S, mais des validations au compte goutte. Alors que le marché regorge de kits de RAM à hautes fréquence et latences correctes, surtout repré...

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Roadmap Noctua : un premier AIO watercooling prévu pour Q2 2026

Noctua vient d’actualiser sa roadmap, et une information attire particulièrement l’attention : le tout premier AIO watercooling de la marque autrichienne est désormais planifié pour le deuxième trimestre 2026. Ce watercooling, très attendu par les passionnés, avait déjà été aperçu au Computex 2025, mais sa sortie a été repoussée afin d’intégrer les dernières optimisations.

L’AIO Noctua, basé sur Asetek G8 V2

Cet AIO repose sur la plateforme Asetek G8 V2, revue et optimisée par Noctua. Parmi les innovations annoncées :

  • Absorbeur de bruit intégré avec trois couches et un système masse-ressort.
  • Ventilateur auxiliaire de 80 mm sur le bloc-pompe pour refroidir VRM et mémoire.
  • Compatibilité SecuFirm2+, garantissant une installation simple et large.
  • Ventilateurs NF-A14x25 G2 (140 mm) ou NF-A12x25 G2 (120 mm) selon les formats 240, 360 ou 420 mm.
noctua watercooling aio 01
noctua watercooling aio
noctua watercooling aio 02

Une roadmap chargée jusqu’en 2026

La roadmap Noctua ne se limite pas à l’AIO. Plusieurs produits sont déjà listés :

Roadmap Noctua 2025–2026

Q4 2025 Q1 2026 Q2 2026
NF-A14x25 G2 chromax.black Antec Flux Pro Noctua Edition All-in-one liquid coolers
NF-A14x25r G2 chromax.black Pulsar Feinman Noctua Edition 140 mm desk fan
NH-D15 G2 chromax.black NF-A12x25 G2 chromax.black USB fan controller
Seasonic PRIME PX HPD Noctua Edition
Antec Flux Pro Noctua Edition
Pulsar Feinman Noctua Edition
noctua nh d15 g2 chromax black 01
noctua nf a12 25 g2 02
Seasonic PRIME PX HPD Noctua Edition

Silence et qualité avant tout

Comme souvent chez Noctua, ce délai supplémentaire n’est pas synonyme de faiblesse mais de rigueur. La marque préfère décaler ses lancements afin de garantir une qualité de fabrication irréprochable et un silence de fonctionnement exemplaire. L’AIO attendu pour 2026 s’inscrit dans cette philosophie, et pourrait bien devenir une nouvelle référence pour les configurations haut de gamme.

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ASUS GeForce RTX 5080 Noctua Edition : championne du silence, mais pour qui à 1850 € ?

Dans notre comparatif des meilleures RTX 5080, la ASUS GeForce RTX 5080 Noctua Edition a obtenu le label champion du froid et du silence. Grâce à ses trois ventilateurs Noctua NF-A12x25 G2 de 120 mm et son pad thermique à changement de phase, elle affiche une maîtrise thermique exemplaire, tout en restant remarquablement discrète en charge.

Un tarif qui grimpe dangereusement

ASUS a confirmé un prix officiel de 1669 € en Europe pour cette carte graphique.

La carte graphique ASUS GeForce RTX 5080 Noctua Edition est dès maintenant disponible en Allemagne, en Autriche et en Suisse au prix public conseillé de 1 699 EUR/CHF TTC, chez les revendeurs spécialisés, en ligne et sur la boutique ASUS (DE/AT et CH).

Mais dans la réalité du marché FR, notamment sur Amazon, la facture monte déjà à 1850 €, soit un tarif qui flirte avec celui d’une RTX 5090 FE. Par ailleurs, la RTX 5080 Astral, fer de lance de la marque, est affichée à 1 471 € au moment d’écrire ces lignes. Ce positionnement crée une ambiguïté.

asus rtx 5080 noctua
rog astral rtx 5080 rog thor 1000w platinum iii 02

Ce positionnement crée une ambiguïté : pourquoi choisir une RTX 5080 Noctua à ce prix, quand la 5090, plus puissante, est à portée de budget ?

À qui s’adresse vraiment cette RTX 5080 Noctua?

La réponse est simple : cette carte n’est pas pensée pour le joueur qui recherche le meilleur rapport performance/prix. Elle vise un public de passionnés exigeants, prêts à investir davantage pour bénéficier :

  • du refroidissement le plus efficace possible,
  • d’un silence quasi total,
  • et d’un design atypique qui sort des sentiers battus.

En clair, la RTX 5080 Noctua Edition est un produit de niche, destiné aux puristes du silence et de l’esthétique Noctua. Mais à un tel tarif, elle s’adresse à un cercle restreint d’enthousiastes, plus qu’au grand public des joueurs.

asus rog rtx 5080 noctua edition
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