La suite de la fameuse bande dessinée Lore Olympus vient tout juste de sortir. En effet, le tome 9 est disponible depuis hier ! Pour rappel, c’est Rachel Smythe qui en est à l’origine.
Le tome 9 de Lore Olympus est disponible en librairie
Le monde souterrain a une reine !
Perséphone et Hadès sont enfin réunis lorsque la déesse du printemps, bannie, retourne aux Enfers pour revendiquer sa place de reine. Maintenant qu’Hadès et Perséphone ont vaincu et emprisonné à nouveau Cronos, assoiffé de pouvoir, plus rien ne peut les séparer, et les années d’éloignement n’ont fait qu’accroître leur désir l’un pour l’autre. Mais les autres Olympiens ne peuvent s’empêcher de s’en mêler, poussant le couple à officialiser les choses par un couronnement – et un mariage.
Ignorant ceux qui tentent de définir leur relation, Hadès et Perséphone s’efforcent de vivre à leur propre rythme et de se concentrer sur la reconstruction des Enfers. Ils commencent par enquêter sur la façon dont Cronos a pu s’échapper et apprennent l’horrible vérité : il a capturé un jeune dieu puissant dont les capacités lui permettent de projeter ses pensées en dehors du Tartare – des pensées qu’il utilise pour tourmenter Héra. Bien que la forme physique de Cronos soit enfermée, l’Olympe ne sera jamais libre tant qu’ils n’auront pas sauvé le jeune dieu de son emprise.
Ce tome 9 est disponible depuis hier en librairie pour le tarif habituel, soit 24,95 €.
AMD ne compte pas laisser Intel seul sur le terrain des processeurs hybrides. Après les Ryzen AI 300, la firme de Lisa Su s’apprête à lancer deux nouvelles références : les Ryzen AI MAX+ 388 et 392, deux APU “Strix Halo plus” qui misent sur une puissance graphique complète avec 40 unités RDNA 3.5 et une architecture Zen 5 optimisée pour le jeu.
Ces modèles, apparus sur PassMark et confirmés par le constructeur SixUnited, marquent un tournant pour la gamme Ryzen AI : ils ciblent désormais les configurations gaming mobiles et compactes.
Ryzen AI MAX+ 388 : 8 cœurs, mais la pleine Radeon 8060S
D’après les entrées de la base PassMark, le Ryzen AI MAX+ 388 embarquerait 8 cœurs Zen 5 / 16 threads et un iGPU complet Radeon 8060S à 40 Compute Units RDNA 3.5. Jusqu’ici, le suffixe “+” restait flou, mais cette fuite clarifie la nomenclature : il désigne désormais les modèles équipés du GPU intégral. Autrement dit, le 388 se positionnerait sous le MAX 390, tout en conservant la même puissance graphique. Un principe comparable à la logique d’Intel, où les variantes “X” des Core Ultra 300 conservent également le plein GPU Xe3.
Le MAX 385, pour mémoire, était limité à 8 cœurs CPU et 32 CU, tandis que le vaisseau amiral MAX+ 395 culmine à 16 cœurs et 40 CU. Le 388 vient donc combler le vide entre les deux, en misant sur un excellent rapport puissance CPU / GPU pour les configurations orientées gaming à budget maîtrisé.
Le listing mentionne également un appareil baptisé “SU AXP77” — une tablette 14 pouces signée Six United, déjà évoquée en octobre. Ce modèle est annoncé avec une variante Strix Halo à 65 W, un écran AMOLED 1800p, et jusqu’à 64 Go de mémoire LPDDR5X, bien que l’exemplaire repéré affiche 24 Go selon PassMark. La présence dans cette base de données est notable : contrairement à Geekbench, PassMark a rarement listé des processeurs fantômes, ce qui confère une crédibilité supplémentaire à la fuite.
Ryzen AI MAX+ 392 : un cran au-dessus, même ADN graphique
En parallèle, le Ryzen AI MAX+ 392 suivrait la même logique, avec 12 cœurs / 24 threads Zen 5 et toujours le Radeon 8060S complet (40 CU). Cette configuration viserait les machines plus puissantes, notamment les laptops haut de gamme et mini-PC compacts à fort TDP.
Les deux APU afficheraient des fréquences maximales de 5,0 GHz, selon des documents techniques partagés par SixUnited, confirmant leur orientation gaming.
Un cap clair pour Strix Halo : IA, jeux et mobilité
La stratégie d’AMD devient lisible : sous le label MAX+, la firme associe désormais les performances CPU Zen 5 et le GPU RDNA 3.5 complet, tout en conservant la puissance IA du NPU XDNA 2. Avec une plage thermique de 45 à 120 W, ces APU peuvent s’adapter aussi bien à des tablettes haut de gamme qu’à des PC de jeu légers, marquant un retour assumé du gaming intégré.
Si le premier produit lié (l’AXP77) n’est pas une console portable, la formule reste idéale pour les mini-PC gaming et les configurations compactes cherchant à éviter le coût et la chaleur d’un GPU dédié. Un positionnement logique dans un marché saturé de machines IA, souvent surdimensionnées pour le jeu.
La gamme Ryzen AI MAX+
Modèle
Cœurs / Threads
GPU
Fréquence max
Architecture
Ryzen AI MAX+ 395
16C / 32T
Radeon 8060S (40 CU)
5.0 GHz
Zen 5 / RDNA 3.5 / XDNA 2
Ryzen AI MAX+ 392
12C / 24T
Radeon 8060S (40 CU)
5.0 GHz
Zen 5 / RDNA 3.5 / XDNA 2
Ryzen AI MAX+ 388
8C / 16T
Radeon 8060S (40 CU)
5.0 GHz
Zen 5 / RDNA 3.5 / XDNA 2
Ryzen AI MAX 385
8C / 16T
Radeon 8050S (32 CU)
5.0 GHz
Zen 5 / RDNA 3.5 / XDNA 2
Conclusion
Le Ryzen AI MAX+ 388 pourrait bien être le maillon manquant dans la gamme Strix Halo. En conservant le GPU complet tout en réduisant le nombre de cœurs CPU, AMD cible un segment clé : les joueurs exigeants, mais rationnels. Avec le MAX+ 392 en renfort, la marque donne un second souffle à sa stratégie hybride, combinant IA, CPU et GPU dans une architecture unique. Si les tarifs se confirment sous les 1 000 dollars, AMD pourrait frapper un grand coup sur le terrain des PC de jeu compacts et tablettes performantes — là où Intel peine encore à convaincre.
Annoncé dès août 2025 par une fuite, le Ryzen 7 9700X3D refait parler de lui après une apparition sur PassMark. Ce modèle 8 cœurs Zen 5 avec 3D V-Cache, pressenti sous les 400 €, viserait à compléter la gamme X3D entre les Ryzen 9600X3D et 9800X3D, consolidant la présence d’AMD sur le segment gaming milieu de gamme.
Un 8 cœurs X3D Zen 5 de plus dans la mêlée
une entrée repérée sur PassMark relance l’intérêt autour de ce modèle. Le Ryzen 7 9700X3D y apparaît comme une alternative potentielle au 9800X3D, avec des spécifications proches mais une fréquence moindre, rappelant la segmentation opérée à l’époque entre les 5800X3D et 5700X3D. Cette nouvelle apparition laisse entrevoir une sortie prochaine, alors qu’AMD peaufine son offensive sur le milieu de gamme X3D.
La rumeur ne s’arrête pas là. Leaker à l’appui, un 9850X3D serait aussi dans les cartons, qui viendrait au-dessus du 9800X3D. Si ces indications se confirment, AMD alignerait trois SKUs 8 cœurs X3D, de quoi densifier l’offre sur cette tranche tarifaire et répondre aux attentes des joueurs en quête d’IPS élevés.
AMD Ryzen 9000 X3D (Zen 5) – Présents et à venir
Modèle
Cœurs CPU
Fréquence max
Cache L3 (3D V-Cache)
TDP
Prix estimé (MSRP)
Ryzen 9 9950X3D2 NEW
16x Zen 5
5.6 GHz
192 MB
200 W
À confirmer
Ryzen 9 9950X3D
16x Zen 5
5.7 GHz
128 MB
170 W
699 €
Ryzen 9 9900X3D
12x Zen 5
5.5 GHz
128 MB
120 W
599 €
Ryzen 7 9850X3D NEW
8x Zen 5
5.6 GHz
96 MB
120 W
À confirmer
Ryzen 7 9800X3D
8x Zen 5
5.2 GHz
96 MB
120 W
479 €
Ryzen 7 9700X3D NEW
8x Zen 5
TBC
96 MB
120 W
À confirmer
Ryzen 5 9600X3D NEW
6x Zen 5
5.4 GHz
32 MB
65 W
À confirmer
Scores préliminaires et horloges douteuses
Selon PassMark, un échantillon du 9700X3D apparaîtrait « légèrement plus rapide que le 9800X3D », mais ce résultat n’est pas représentatif avec un seul sample. Plus étonnant, une fréquence reportée à 5,79 GHz figure dans la fiche, ce qui semble trop élevé pour une configuration standard. Le CPU a peut-être été overclocké, ou les données sont erronées. Prudence donc, les chiffres de pré-série peuvent fluctuer fortement.
À ce stade, la gamme X3D Zen 5 compterait six références au total, dont trois déjà disponibles. Les joueurs surveillent surtout les modèles double X3D et les 8 cœurs les plus véloces. Reste à voir si l’ajout du 9700X3D et, éventuellement, du 9850X3D, consolidera la mainmise d’AMD sur ce segment.
Au cours des dernières semaines, une fuite commerciale apparue au Royaume-Uni a révélé l’existence d’un nouveau processeur AMD de série 7000 X3D, le Ryzen 5 7500X3D, identifié sous le code OPN 100-000001904. Aujourd’hui, cette information a gagné en crédibilité lorsqu’un résultat Geekbench associé à cette puce a été repéré en ligne.
Ce processeur 6 cœurs / 12 threads basé sur l’architecture Zen 4 et doté du 3D V-Cache viserait à renforcer le segment d’entrée de gamme X3D sur le socket AM5. D’après les données issues du benchmark, le Ryzen 5 7500X3D afficherait des fréquences environ 100 MHz inférieures à celles du Ryzen 5 7600X3D. Sa sortie est attendue autour du CES 2026, moment habituel des annonces de nouvelles gammes chez AMD.
Un X3D d’entrée de gamme pour l’AM5, à 4,6/4,0 GHz
Selon Geekbench, le 7500X3D atteindrait 4,6 GHz en boost et 4,0 GHz en base, soit 100 MHz de moins que l’actuel Ryzen 5 7600X3D donné à 4,7/4,1 GHz. Une différence minime sur le papier, qui ne devrait pas bouleverser les performances en jeu. Comme le 7600X3D est déjà un modèle 65 W, rien n’indique qu’AMD modifierait ce TDP sur le 7500X3D.
Feuille de route X3D : annonces attendues au CES 2026
AMD n’a pas encore officialisé ces nouvelles références X3D. D’après la source, la plupart des déclinaisons pourraient être annoncées lors du keynote du CES 2026, avec des modèles double X3D haut de gamme et des versions 6 cœurs plus accessibles. « La liste s’allonge de jour en jour », écrit VideoCardz, et il faut dire que les fuites se multiplient, parfois en provenance des propres listings d’AMD.
Reste à voir si ce 7500X3D deviendra la puce X3D la plus abordable sur AM5 et comment il se positionnera face au 7600X3D. En attendant une annonce officielle, ces informations doivent être prises avec prudence.
Et si une carte graphique pouvait être intégralement watercoolée sans perdre son identité visuelle ? Le moddeur vietnamien Nhenhophach (Amberspider/Modding Cafe) dévoile un concept ROG Astral GeForce RTX 5090/5080 entièrement repensée, où le système de refroidissement liquide est intégré directement au carénage d’origine.
Un watercooling caché, sans tuyaux visibles
Objectif assumé : révolutionner l’approche du watercooling GPU en préservant l’esthétique de la carte. D’après le créateur, les waterblocks classiques obligent souvent à retirer les shrouds et les signatures visuelles. Ici, les tubes et raccords sont dissimulés : aucune tuyauterie apparente, tout est contenu dans le radiateur et la coque.
Cette version watercoolée du modèle Astral embarque radiateur, pompe et réservoir dans la carte elle‑même, formant un ensemble autonome.
La face avant abandonne les trois ventilateurs pour deux fenêtres en acrylique laissant voir les réservoirs, encadrant un écran central dédié aux températures. Il faut dire que l’Astral d’origine combine quatre ventilateurs (trois à l’avant, un à l’arrière), mais aucune photo du dos de ce mod n’a été partagée pour l’instant.
Face aux Astral LC classiques
ASUS propose déjà des ROG Astral LC avec radiateur externe de 360 mm. Cette solution, plus volumineuse, reste différente de l’intégration imaginée par Modding Cafe. Reste à voir si l’efficacité thermique suit : aucune donnée de performance n’a été communiquée, et le moddeur n’a pas détaillé les capacités de dissipation.
Comme souvent avec Modding Cafe, il semblerait que ce soit une pièce vitrine, non destinée à la vente. Rien d’étonnant à ce que le coût soit stratosphérique : les Astral « stock » figurent déjà parmi les cartes graphiques les plus chères, et une fabrication artisanale de ce niveau placerait le tarif bien au‑delà de la portée du grand public.
Le message est clair selon le moddeur : « révolutionner le watercooling GPU » tout en conservant l’ADN visuel. Une approche audacieuse qui pourrait inspirer les fabricants, si les tests confirment l’intérêt pratique.
La grille Panther Lake d’Intel se précise, mais elle s’annonce aussi plus brouillonne que jamais : jusqu’à 16 cœurs CPU, une pointe à 5,1 GHz et des iGPU Arc B390, le tout dans un labyrinthe de références.
Panther Lake : 5,1 GHz en boost et jusqu’à 16 cœurs
D’après les dernières fuites, Intel a revu ses spécifications préliminaires pour les portables grand public et premium. Le plafond de fréquence en simple cœur atteindrait 5,1 GHz au mieux, contrairement à certaines rumeurs plus ambitieuses. Ce pic dépendrait toutefois des réglages d’alimentation et des capacités de refroidissement. Le modèle phare alignerait 4 P-Cores, 8 E-Cores et 4 LP-Cores, soit 16 cœurs au total.
Côté graphique, les séries X9 et X7 devraient embarquer un iGPU Arc B390 en configuration complète de 12 Xe3. Une variante B370 à 10 Xe3 serait prévue sur le Core Ultra 5 338H. Le reste de la gamme se contenterait de 4 Xe3 pour les machines à GPU dédié (gaming) ou de 2 Xe3 pour l’entrée de gamme.
Il faut dire que la segmentation devient délicate à suivre. Les références premium 3_8H aperçues auparavant changent de place, et des 3_6H entrent en scène. On verrait ainsi des Core Ultra X9 386H à côté de Core Ultra X7 368H : mis côte à côte, 386H et 368H ne parlent pas vraiment d’eux-mêmes. Comme le résume la source, « c’est un vrai casse-tête de lecture ».
Modèle
Cœurs
Fréquence max
GPU
TDP (défaut / max)
Core Ultra X9 388H
16 (4P+8E+4LP)
5.1 GHz
Arc B390 (12 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra X9 386H
16 (4P+8E+4LP)
4.9 GHz
Arc B390 (12 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra X7 368H
16 (4P+8E+4LP)
5.0 GHz
Arc B390 (12 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra X7 366H
16 (4P+8E+4LP)
4.8 GHz
Arc B390 (12 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra X7 358H
16 (4P+8E+4LP)
4.8 GHz
Arc B390 (12 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra X7 356H
16 (4P+8E+4LP)
4.7 GHz
Arc B390 (12 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra 5 338H
12 (4P+4E+4LP)
4.7 GHz
Arc B370 (10 Xe3)
25W / 65-80W
Core Ultra 5 336H
12 (4P+4E+4LP)
4.6 GHz
4 Xe3
25W / 65-80W
Core Ultra 7 365
12 (4P+0E+4LP)
4.8 GHz
4 Xe3
25W / 55W
Core Ultra 7 355
12 (4P+0E+4LP)
4.7 GHz
4 Xe3
25W / 55W
Core Ultra 5 335
12 (4P+0E+4LP)
4.6 GHz
4 Xe3
25W / 55W
Core Ultra 5 325
12 (4P+0E+4LP)
4.5 GHz
4 Xe3
25W / 55W
Core Ultra 5 332
6 (2P+0E+4LP)
4.4 GHz
2 Xe3
25W / 55W
Core Ultra 3 322
6 (2P+0E+4LP)
4.4 GHz
2 Xe3
25W / 55W
TDP, nouveaux métriques et bataille des noms
Selon les informations partagées, Panther Lake introduirait deux enveloppes TDP par catégorie. Les modèles haut de gamme auraient un TDP par défaut de 25 W, avec un plafond optionnel de 65 W ou 80 W au choix de l’OEM. Les variantes 8 cœurs et 6 cœurs resteraient à 25 W par défaut avec un maximum de 55 W. Autre nouveauté, Intel introduirait un indicateur « Experience Based PL1 », absent de la présentation d’architecture du Tech Tour de septembre.
En toile de fond, AMD préparerait aussi de nouveaux Ryzen AI MAX 392 et 382. De quoi ajouter à la confusion d’un marché où cohabitent HX 370, 365, B390, B370, 386H, 365H ou encore MAX 392. La source regrette : « il est malheureusement difficile de s’y retrouver, et ni AMD ni Intel ne semblent presser de clarifier ».
Reste à voir si Intel parvient à rendre cette nomenclature lisible pour le grand public. Sur le papier, Panther Lake coche de bonnes cases pour les ultraportables et châssis performants, mais l’acheteur devra lire très finement les fiches techniques.
Plusieurs failles dans Teams, désormais corrigées par Microsoft, permettaient d’usurper l’identité d'utilisateurs et de modifier discrètement des messages.
Le message "Votre version de Windows a atteint la fin de son support" visible sur les machines Windows 10 est un bug d'affichage : voici comment le corriger.
Le calcul explose, la facture thermique aussi : le rack NVL72 « Blackwell Ultra » de NVIDIA frôle les 50 000 dollars de refroidissement, d’après un modèle de Morgan Stanley (environ 46 000 à 47 000 euros).
e NVL72, vitrine des performances… et des kilowatts
Présenté comme la configuration phare GB300, le rack Oberon NVL72 s’appuie sur des Superchips Grace Blackwell Ultra et vise des performances FP4 denses de classe exascale, avec un meilleur débit par mégawatt que les plateformes HGX précédentes. Mais il faut dire que l’extrême densité impose un refroidissement liquide massif : 72 GPU donnés à 1 400 W TDP chacun, soit plus de 100 kW rien que pour les accélérateurs, auxquels s’ajoutent 32 CPU Grace. Les solutions à air ne sont plus une option crédible.
Selon la banque, le rack est modélisé avec 18 tiroirs de calcul, environ 6,6 kW consommés chacun, dont 6,2 kW à évacuer, et 9 tiroirs de commutation. La ligne de refroidissement d’un tiroir de calcul est valorisée autour de 2 260 dollars, soit près de 40 680 dollars à l’échelle du rack. Les tiroirs réseau ajoutent environ 1 020 dollars pièce, donc 9 180 dollars. Au total, on approche ainsi des 50 000 dollars, principalement tirés par les plaques froides hautes performances, « identifiées comme les éléments les plus coûteux » selon le rapport.
La prochaine étape « Vera Rubin » NVL144 coûterait encore plus
Intéressant : la future configuration NVL144 « Vera Rubin » nécessiterait davantage de matériel thermique, GPU et interconnexions augmentant leur enveloppe énergétique. Morgan Stanley anticipe une hausse d’environ 17 %, soit près de 55 710 dollars (environ 51 500 à 52 000 euros). Rien d’étonnant à ce que, à mesure que la densité et le TDP progressent, la note et la complexité d’ingénierie grimpent au même rythme.
Reste à voir si l’optimisation des plaques froides, des boucles et des échangeurs suivra la cadence, car avec des switches plus gourmands, le refroidissement devient un poste budgétaire clé de l’infrastructure IA, autant qu’un défi d’intégration.
SAPPHIRE propose depuis cet été la version 10.0.0 de son célèbre logiciel TriXX qui bénéficie d'une toute nouvelle interface graphique et de nouvelles fonctionnalités pour optimiser et overclocker les cartes graphiques AMD Radeon RX de la marque.
Le fabricant ne s'arrête pas là puisqu'il propose ...
Vous vous êtes déjà demandé comment on est passé de six extensions de domaine en 1985 à plusieurs milliers aujourd’hui ? Ou qui a enregistré le tout premier .com de l’histoire ? Hé bien vous allez pouvoir découvrir tout ça grâce au site
dotcom.press
qui a compilé 40 ans d’histoire des noms de domaine dans une chronologie interactive plutôt bien foutue.
Si comme moi, vous aimez vous plonger dans l’Histoire d’Internet, allez jeter un œil !
L’idée du projet, c’est donc de raconter l’évolution technique et humaine du web à travers le prisme des noms de domaine. Car derrière chaque .com, .org ou .net, il y a une histoire faite de batailles juridiques, de décisions politiques, d’arnaques monumentales, et parfois d’anecdotes complètement WTF.
La page couvre la période allant de 1983 à 2026, avec des événements clés présentés chronologiquement. Vous découvrirez par exemple que les 5 premières extensions (.com, .org, .edu, .gov, .mil) ont été définies en octobre 1984 dans la RFC 920, mais n’ont été mises en ligne qu’en 1985 accompagné de .net ajouté sur le tard. Ou encore que Network Solutions a eu le monopole complet de l’enregistrement des domaines jusqu’en 1999, quand l’ICANN a fini par leur imposer de la concurrence.
Le site explique aussi les enjeux autour des noms de domaine. Par exemple pourquoi Verisign détient toujours le monopole du .com et du .net en 2025, avec plus de 170 millions de domaines enregistrés et 1,5 milliard de dollars de revenus annuels. Ou comment le prix de gros d’un domaine est passé de 100 dollars dans les années 90 à 9 dollars en 1999, puis 6 dollars en 2000.
Il y a aussi des trucs plus exotiques comme
l’histoire du .yu yougoslave
volé pendant les guerres des Balkans ou comment voice.com a été acheté pour 30 millions de dollars en 2019, et n’affiche aujourd’hui qu’un texte moche et une adresse email.
Bref c’est une super timeline avec des images d’époque, des citations d’experts comme Tim Berners-Lee (évidemment), et des liens vers des tas de ressources complémentaires si vous voulez creuser un sujet.
Voilà, je me suis dit que si vous enseignez l’informatique, ou si vous bossez dans le web, ça devrait vous plaire.
La collaboration entre The Simpsons et Fortnite suscite une polémique inattendue suite à une maladresse visuelle qui n’est pas passée inaperçue. Dans le cadre de la nouvelle saison du jeu de bataille royale, Springfield a littéralement envahi la carte avec ses lieux emblématiques et ses multiples clins d’œil disséminés aux quatre coins de l’environnement. Toutefois, certains de ces Easter ... Lire plus
Sale temps en ce moment pour les citoyens américains… Vous avez votre certificat de naissance dans la poche, vous êtes un vrai américain pur et dur. Mais un agent ICE sort son smartphone, scanne votre visage en moins de 2 secondes, et une app officielle lui dit que vous êtes un étranger et que vous n’avez rien à faire là.
C’est faux évidemment, mais devinez qui a raison ?
Hé bien c’est pas vous !
Mobile Fortify, c’est donc l’app que l’ICE (police de l’immigration) et la Border Patrol américaine (l’équivalent de la police aux frontières) ont déployée sur leurs smartphones l’année dernière. Une app de reconnaissance faciale qui tape dans une banque de 200 millions d’images et des dizaines de bases de données gouvernementales : FBI, State Department, DMV, passeports, visas, fichiers criminels, tout y passe et en temps réel s’il vous plaît.
L’app s’appuie principalement sur une fonction baptisée “Super Query”. En gros, un agent de police pointe son téléphone vers votre visage, l’app le scanne, et hop il obtient votre nom complet, votre date de naissance, votre nationalité, votre statut d’immigration, votre casier judiciaire, et tous vos numéros d’identification uniques. Tout ça en quelques secondes et sans votre consentement.
C’est moche. Et même si vous avez vos papiers ou un certificat de naissance, on a appris via le démocrate Bennie Thompson, élu à la Chambre des représentants, que les agents peuvent ignorer tout ça volontairement. Un pauvre algo stupide prime sur un document d’état civil officiel. C’est dingue non ?
D’ailleurs, plusieurs vidéos ont commencé à circuler dès octobre dernier. Par exemple à Chicago, des agents de la Border Patrol
arrêtent deux ados à vélo
. L’un d’eux n’a pas sa pièce d’identité alors l’agent demande à son collègue : “Can you do facial ?” et le collègue sort son smartphone, scanne le visage du gamin (mineur), sans aucune autorisation parentale évidemment.
Autre vidéo, toujours à Chicago, un automobiliste
refuse de montrer sa carte d’identité
. C’est son droit constitutionnel le plus pur, mais l’agent pointe quand même son téléphone vers lui. Le type proteste : “I’m an American citizen, so leave me alone.” Réponse de l’agent : “Alright, we just got to verify that.” Et il lui scanne la tronche.
Le document interne du DHS (U.S. Department of Homeland Security) est très clair : “ICE does not provide the opportunity for individuals to decline or consent to the collection and use of biometric data/photograph collection.” Traduction : on scanne d’abord, on demande jamais. Et votre visage, qu’il soit scanné par erreur ou pas, restera stocké 15 ans dans les bases de données fédérales.
Jeramie Scott, de l’
Electronic Privacy Information Center
, appelle ça une “dérive dystopique pure”. Quatre sénateurs américains, dont Edward Markey, ont également envoyé une lettre à l’ICE en septembre dernier pour exiger l’arrêt immédiat de l’utilisation de Mobile Fortify. Ils y réclament la divulgation complète de la base juridique de l’app, de sa précision, et des contrôles en place.
Mais bien sûr, silence radio de la part de l’ICE.
Bon, rien de nouveau dans la reconnaissance faciale en soi. Ce qui est nouveau vraiment ici, c’est la portabilité de cette techno, l’agrégation instantanée de dizaines de bases de données, et surtout le déploiement sur le terrain sans cadre légal clair. Et surtout c’est l’inversion totale de la preuve où un algorithme devient plus fiable qu’un document officiel.
Et si je vous en parle, c’est parce que ce genre de dérives ne reste jamais confiné aux États-Unis. En Europe, en France, nos gouvernements lorgnent déjà sur ces technologies. Il y a des garde-fous, certes, mais la pression sécuritaire est constante et ces outils se normalisent petit à petit. À l’heure où certains fous rêvent de faire de la France le pays le plus répressif d’Europe, ce glissement vers la techno-police devient franchement flippant.
Bref, le problème n’est ni technique, ni culturel, ni géographique. Il est politique. Et nous devons rester vigilants pour que ce cauchemar dystopique ne débarque pas jusqu’ici. Parce qu’une fois qu’on laissera ces algorithmes décider de quelle est notre identité, on sera foutu.
L’univers Star Wars ne cesse de faire parler de lui avec ses nombreux projets cinématographiques avortés. Parmi eux figure Rogue Squadron, un film qui devait être réalisé par Patty Jenkins et dont l’annonce avait suscité un enthousiasme considérable lors du Disney Investor Day de 2020. Bien que le long-métrage ait initialement bénéficié d’une date de ... Lire plus
La saison 2 de One Piece débarquera sur Netflix au printemps prochain, et le géant du streaming prépare activement le terrain en dévoilant de nouveaux visuels. Officiellement intitulée One Piece Into the Grand Line, la prochaine salve d’épisodes suivra Luffy et son équipage des Chapeaux de Paille alors qu’ils quittent East Blue pour s’aventurer dans les eaux périlleuses de ... Lire plus
Il y a neuf ans jour pour jour, le MCU accueillait l’un de ses héros les plus puissants avec la sortie américaine de Doctor Strange. Incarné par Benedict Cumberbatch, le personnage de Stephen Strange représentait alors un tournant majeur pour Marvel Studios, qui avait longtemps hésité à intégrer la magie dans son univers cinématographique. Pourtant, malgré un ... Lire plus
Habitué aux rôles charmeurs de héros ou d’anti-héros sympathiques, Ryan Reynolds s’apprête à sortir de sa zone de confort pour relever un défi d’envergure. L’acteur canadien incarnera le méchant dans Eloise, adaptation du célèbre livre jeunesse signé Kay Thompson et illustré par Hilary Knight. Produit par Netflix, le projet marque un tournant significatif dans la carrière de Reynolds, ... Lire plus
L’écosystème médiatique américain connaît une transformation majeure : People Inc., l’un des plus grands groupes de presse du pays, vient de conclure un partenariat d’envergure avec Microsoft. L’annonce a été faite lors de la présentation des résultats trimestriels du groupe IAC, sa société mère. Ce nouvel accord marque une étape décisive dans la manière dont ... Lire plus
Une récente modification apportée à la page PlayStation Store de Grand Theft Auto VI enflamme les rumeurs concernant l’arrivée imminente de nouvelles annonces, potentiellement accompagnées d’un nouveau trailer. Considéré comme le jeu le plus attendu de tous les temps, GTA 6 s’apprête vraisemblablement à pulvériser des records commerciaux qui resteront inégalés, hormis peut-être par d’autres productions Rockstar. ... Lire plus
À l’aube de ce mois de novembre 2025, les joueurs de Helldivers 2 bénéficient d’une nouvelle mise à jour qui, bien que modeste en volume, joue un rôle crucial dans l’amélioration globale de l’expérience de jeu. Malgré près de deux ans d’existence, le titre continue de recevoir un soutien actif de la part de ses développeurs, Arrowhead ... Lire plus
La plateforme chinoise TikTok s’impose un peu plus dans le paysage du divertissement mondial. Le réseau social a annoncé le lancement de son tout premier TikTok Awards Show aux États-Unis, un événement qui célébrera les créateurs, artistes et influenceurs ayant marqué l’année. Avec cette initiative, l’entreprise entend consolider son image de véritable acteur culturel, dépassant ... Lire plus