↩ Accueil

Vue lecture

L'arnaque au "refund" : la fraude qui banalise le vol en ligne !

illustration-petits-colis

L'arnaque au "refund" prend une ampleur considérable. Des fraudeurs exploitent les politiques de retour des sites marchands pour se faire rembourser des produits qu'ils conservent précieusement. Ce phénomène, banalisé sur les réseaux sociaux, représente plus d'un milliard d'euros de pertes annuelles pour le secteur en France et force les entreprises à une riposte technologique et logistique.

  •  

TikTok bientôt sous tutelle aux États-Unis : sous pression de l'administration Trump, l'entreprise signe des accords pour céder ses actifs américains à un consortium dirigé par Oracle

TikTok bientôt sous tutelle aux États-Unis : sous pression de Trump, l'entreprise signe des accords pour céder ses actifs américains
à un consortium dirigé par Oracle, un changement de gouvernance est prévu pour janvier

Après des années de tensions géopolitiques, de menaces d'interdiction et de bras de fer réglementaires, TikTok semble enfin sur le point de tourner une page décisive de son histoire aux États-Unis. Selon plusieurs sources concordantes, un accord de création d'une coentreprise...

  •  

Le code à 8 chiffres qui est à l'origine de la perte de milliers de comptes WhatsApp.

Un simple code à 8 chiffres est au cœur d'une escroquerie qui touche des milliers d' utilisateurs de WhatsApp . L'arnaque commence par des messages en apparence anodins, mais vise en réalité à prendre le contrôle du compte . L'escroquerie exploite les publications faisant la promotion de concours ou d'offres , une stratégie qui continue de fonctionner car elle joue sur le désir d'obtenir un prix ou un avantage immédiat. Le scénario vous est peut-être familier, mais il semble fonctionner encore à grande échelle. Des escrocs publient un faux concours sur les réseaux sociaux et diverses plateformes, invitant les participants à saisir leur numéro de téléphone . Immédiatement après, si l'on saisit son numéro, on reçoit un message WhatsApp nous demandant de composer un code à 8 chiffres pour vérifier nos gains. Ce code, en revanche, n'est pas lié au concours. Il provient directement de WhatsApp et sert à vérifier votre compte en liant votre profil à un nouveau numéro. Les criminels l'utilisent pour activer WhatsApp Web , ouvrir le profil et accéder aux informations de la victime. Une fois l'accès obtenu, ils bloquent le compte et empêchent sa récupération . Cela leur permet de diffuser des logiciels malveillants, de contacter d'autres utilisateurs ou d'exploiter des documents confidentiels contenus dans les archives personnelles. Le modèle reste le même, même si l'appât change. Les variations vont des fausses conversations aux coupons de réduction et aux promotions qui semblent fiables, mais qui ne servent qu'à accélérer la réaction impulsive. Pour limiter les risques, il est préférable de suivre quelques règles de base. Les codes de vérification reçus par SMS ou WhatsApp ne doivent jamais être partagés , même s'ils proviennent de contacts habituels (car ils pourraient avoir été victimes de l'arnaque). Les offres trop alléchantes exigent toujours une vérification de l'identité du site ou du profil qui les propose. L'activation de la vérification en deux étapes renforce la sécurité et réduit le risque de piratage de compte. Si vous pensez que votre compte a été compromis, il est recommandé de vous déconnecter de toutes vos sessions WhatsApp Web , de réinstaller l'application et de demander un nouveau code d'accès. Prévenir vos contacts permet de limiter les dégâts et d'interrompre l'escroquerie. La rapidité d'intervention est essentielle pour éviter d'autres conséquences. (Lire la suite)
  •  

Cette ville suédoise a trouvé une étonnante manière d’utiliser les vieilles éoliennes

Construire des centrales éoliennes à tour de bras, c’est une chose. Mais encore faut-il pouvoir recycler leurs composants en fin de vie, au risque de voir ces équipements devenir un nouveau problème environnemental. Dans un projet suédois, les pales d’éoliennes désaffectées ornent les façades d’un parking.
 [Lire la suite]

Le saviez-vous ? Google News vous permet de choisir vos médias. Ne passez pas à côté de Frandroid et Numerama.

  •  

Les téléviseurs Sony, Samsung, LG, Hisense et TCL sont pointés du doigt pour des logiciels espions et la collecte de données.

La plainte déposée par le procureur général du Texas contre cinq fabricants de téléviseurs de renom remet sur le devant de la scène la question de la collecte de données domestiques . L'accusation porte sur la manière dont les plateformes de télévision analysent ce qui apparaît à l'écran pendant le visionnage. Cette affaire concerne des appareils de marques Sony , Samsung , LG , Hisense et TCL , et remet en question le fonctionnement d'une technologie largement utilisée dans les téléviseurs connectés. Le procureur général a contesté l'utilisation par cinq fabricants de la technologie de reconnaissance automatique de contenu , un système qui identifie le contenu affiché à l'écran. Selon les plaintes, cette fonctionnalité prend des captures d'écran toutes les 500 millisecondes et transmet les données aux entreprises sans autorisation explicite . L'ACR permet de suivre en temps réel ce qui est diffusé à la télévision. Les entreprises utilisent ces informations pour établir des profils utiles au ciblage publicitaire . Malheureusement, son fonctionnement le rapproche davantage d' un logiciel espion , étant donné sa capacité à surveiller chaque activité de visionnage. Les plaintes font état de la collecte de données sensibles , notamment des mots de passe et des informations de paiement . La technologie capture également des images provenant de flux vidéo de caméras de sécurité et de sonnettes connectées lorsqu'ils sont diffusés sur le téléviseur. Ces entreprises sont accusées d'avoir enfreint la législation texane sur la protection des consommateurs . Selon les plaintes, les fabricants n'ont pas clairement expliqué le fonctionnement de la collecte de données. Dans de nombreux cas, cette fonctionnalité semble activée par défaut lors de la configuration initiale, et les options permettant de la désactiver sont difficiles à trouver. Le document signale la présence de pratiques trompeuses , ou interfaces qui rendent difficile un choix éclairé. Pour Hisense et TCL , un autre facteur entre en jeu : la possibilité que des données parviennent au gouvernement chinois en vertu de la législation locale. La loi texane sur les pratiques commerciales trompeuses prévoit des amendes pouvant atteindre 250 000 dollars par infraction. Les poursuites judiciaires exigent l'arrêt immédiat de la collecte, du partage et de la vente de données. Aucune des cinq entreprises n'a publié de commentaire officiel . Consumer Reports a publié un guide expliquant comment désactiver les fonctions de surveillance des téléviseurs connectés. Cependant, des utilisateurs se plaignent de la complexité des options disponibles, notamment lors de la configuration initiale. Par ailleurs, un autre problème est apparu concernant les téléviseurs LG : l’installation de Copilot sans consentement . Cette pratique est également mentionnée dans les actes d’accusation. Ces plaintes révèlent un écosystème télévisuel qui collecte bien plus d'informations que beaucoup d'utilisateurs ne l'imaginent . Reste à savoir si cela se vérifie à l'échelle mondiale , mais par précaution, nous allons consulter le guide de Consumer Reports ... (Lire la suite)
  •  

Instagram s'emballe : une avalanche de notifications provenant de profils inconnus déclenche des signalements

Ces dernières heures, plusieurs utilisateurs ont constaté un comportement inhabituel sur l' application Instagram : ils recevaient des notifications les informant de nouvelles stories provenant de profils qu'ils ne suivent pas. Ce problème est apparu soudainement et a touché un nombre important de personnes. Ce phénomène touche principalement les comptes ayant un grand nombre d'abonnés , qui reçoivent des notifications fréquentes et ne disposent pas de paramètres de contrôle précis. L'absence d'une option dédiée rend le problème difficile à gérer. L'analyse la plus détaillée provient d'une discussion très active sur Reddit , où un utilisateur décrit les notifications comme aléatoires et difficiles, voire impossibles, à désactiver. Les réponses montrent que le problème affecte plusieurs profils, sans lien apparent entre eux. De nombreux commentaires soulignent l'absence d'une option dans les paramètres permettant de limiter sélectivement ces types d'alertes. Certains ont choisi de bloquer toutes les notifications Instagram directement depuis leur système d'exploitation, ne trouvant pas d'alternatives plus ciblées. Dans de nombreux cas, les notifications proviennent de comptes que l'utilisateur ne suit pas, ce qui complique encore la situation. Certains ont tenté de mettre à jour l'application, sans succès, tandis que l'hypothèse la plus souvent évoquée reste un bug côté serveur , étant donné l'absence de notification officielle. Si vous essayez de bloquer les notifications de ces profils, vous recevrez un message d'erreur vous indiquant que vous ne pouvez pas bloquer les notifications des personnes que vous ne suivez pas. (Lire la suite)
  •  

Actualité : La polémique sur Firefox souligne notre dépendance critique à Google

Longtemps chouchou de la communauté du libre, Firefox a perdu un peu de sa superbe ces derniers temps en cédant, comme beaucoup d’autres entreprises, à la mode de l’intelligence artificielle. Pour une partie des fans de Firefox, pas question de voir arriver une technologie aussi polémique au sein de leur fenêtre de choix vers le web.Si le responsable...

  •  

Asus Rog Xbox Ally : déjà plus de 100 € de remise pour cette console portable qui renferme un vrai PC

Bonne nouvelle pour ceux qui espéraient une baisse de prix sur la dernière console d’Asus, la ROG Xbox Ally : elle est désormais proposée à 497 euros au lieu de 599 euros.
 [Lire la suite]

Le saviez-vous ? Google News vous permet de choisir vos médias. Ne passez pas à côté de Frandroid et Numerama.

  •  

Voici le design très probable de l’iPhone pliable : il se démarque déjà avec un format original

Le design très probable de l'iPhone pliable se montre enfin et le format à la sauce iPad mini lui permet déjà de se démarquer.
 [Lire la suite]

Utilisez-vous Google News (Actualités en France) ? Vous pouvez suivre vos médias favoris. Suivez Frandroid sur Google News (et Numerama).

  •  

Le WSJ confie la gestion d'un distributeur automatique à un agent d'IA d'Anthropic et ce dernier perd des centaines de dollars, l'occasion pour des observateurs de rappeler que l'IA n'est pas intelligente

Le WSJ confie la gestion d'un distributeur automatique à un agent d'IA d'Anthropic et ce dernier perd des centaines de dollars
L'occasion pour des observateurs de rappeler que l'IA n'est pas intelligente

Anthropic a laissé son IA Claude gérer un distributeur automatique dans la salle de rédaction du Wall Street Journal pendant trois semaines. C'était dans le cadre d'un test de résistance interne appelé Project Vend et l'expérience s'est soldée par une perte financière après des manipulations des...

  •  

ChatGPT Go arrive en France : l’abonnement OpenAI à 8€ par mois veut séduire les utilisateurs « entre deux »

OpenAI élargit son offre en France avec ChatGPT Go, une formule payante pensée comme une porte d’entrée vers un usage plus confortable de l’IA… sans basculer vers des abonnements nettement plus coûteux. Annoncé comme une option plus accessible, ce nouveau forfait se positionne entre la version gratuite et …

Lire la suite

Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article ChatGPT Go arrive en France : l’abonnement OpenAI à 8€ par mois veut séduire les utilisateurs « entre deux » est apparu en premier sur KultureGeek.

  •  

Le Snapdragon 4 apporte un coup de boost pour les téléphones à bas prix

Les smartphones de budget et de milieu de gamme bénéficient d'une sérieuse mise à niveau. Le jeu de puces Snapdragon 4 Gen 4 de Qualcomm promet des jeux plus fluides, du multitâche plus efficace et une efficacité accrue, rendant les appareils Android abordables plus performants que jamais.

Der Beitrag Le Snapdragon 4 apporte un coup de boost pour les téléphones à bas prix erschien zuerst auf nextpit.

  •  

OpenAI lance GPT-5.2-Codex, le positionnant comme le summum des modèles de codage agentique adaptés aux tâches exigeantes d'ingénierie logicielle et de cybersécurité défensive

OpenAI a lancé GPT-5.2-Codex, le positionnant comme le summum des modèles de codage agentique adaptés aux tâches exigeantes d'ingénierie logicielle et de cybersécurité défensive.

OpenAI a lancé GPT-5.2-Codex, le positionnant comme le summum des modèles de codage agentique adaptés aux tâches exigeantes d'ingénierie logicielle et de cybersécurité défensive. Lancée le 18 décembre 2025, cette version s'appuie sur les fondements de GPT-5.2 et apporte des améliorations en matière de compactage du contexte...

  •  

Google va mettre fin à son rapport sur le dark web, qui analyse le dark web à la recherche d'informations personnelles sur les utilisateurs

Google va mettre fin à son rapport sur le dark web, qui analyse le dark web à la recherche d'informations personnelles sur les utilisateurs, les rapports ne fournissaient pas de « mesures utiles à prendre ».

Google a annoncé qu'il allait mettre fin à sa fonctionnalité de rapport sur le dark web, qui analysait le dark web à la recherche d'informations personnelles sur les utilisateurs. Les analyses visant à détecter de nouvelles violations sur le dark web prendront fin le 15 janvier 2026. L'ensemble...

  •  

LG permettra aux propriétaires de téléviseurs de supprimer Microsoft Copilot après le tollé des clients, qui n'apprécient pas que l'assistant IA apparaisse sans prévenir comme une fonctionnalité permanente

LG permettra aux propriétaires de téléviseurs de supprimer Microsoft Copilot après le tollé des clients, qui n'apprécient pas que l'assistant d'IA apparaisse sans prévenir comme une fonctionnalité permanente

LG Electronics va permettre aux propriétaires de ses téléviseurs de supprimer l'assistant d'intelligence artificielle (IA) Copilot de Microsoft, à la suite d'une vague de protestations de la part des consommateurs concernant son apparition inopinée sur les téléviseurs intelligents. LG a indiqué...

  •  

Le CMS PHP libre et open source Drupal 11.3 est disponible et offre la plus grande amélioration de performances depuis dix ans, le format natif HTMX et un module de navigation stable

Le CMS PHP libre et open source Drupal 11.3 est disponible et offre la plus grande amélioration de performances depuis dix ans, le format natif HTMX et un module de navigation stable

Drupal 11.3 est disponible et introduit les améliorations de performances les plus importantes du CMS depuis une décennie. La mise à jour réduit le nombre de requêtes de base de données et d'opérations de cache dans les caches froids et chauds. Les couches de rendu et de mise en cache fusionnent désormais l'activité...

  •  

Les États-Unis ont décidé de suspendre un accord technologique avec le Royaume-Uni

Jusqu'à récemment, les relations technologiques entre Londres et Washington étaient présentées comme le nouveau modèle de coopération à l'ère de l'intelligence artificielle. Aujourd'hui, cette image se fissure. Les États-Unis ont décidé de suspendre un accord technologique très médiatisé avec le Royaume-Uni, en raison des tensions croissantes liées à l'approche britannique en matière de réglementation des contenus en ligne et des systèmes basés sur l'IA. À Washington, on croit de plus en plus que Londres non seulement ne relâche pas son emprise sur les géants technologiques américains, mais tente en réalité d'imposer sa propre vision du contenu acceptable dans l'espace numérique. La principale source de conflit réside dans la loi britannique sur la sécurité en ligne (Online Safety Act), qui confère aux autorités de larges pouvoirs pour sanctionner les entreprises technologiques diffusant des contenus jugés nuisibles ou haineux. Pour les décideurs politiques américains, le problème ne porte pas sur la protection des utilisateurs en elle-même, mais plutôt sur la flexibilité de la définition et du champ d'application de la réglementation, qui inclut des entités opérant hors du Royaume-Uni. L'Ofcom, l'autorité britannique de régulation des communications, a déjà commencé à appliquer la nouvelle réglementation en prononçant des injonctions contre de grandes entreprises de la Silicon Valley. Du point de vue américain, cela apparaît comme une tentative d'étendre sa juridiction sur l'internet mondial, même lorsque l'infrastructure et les équipes de ces entreprises sont situées de l'autre côté de l'Atlantique. À Washington, la nouvelle réglementation s'étend désormais à l'intelligence artificielle générative (IA), suscitant des inquiétudes particulières. Les chatbots comme ChatGPT et Grok sont au cœur du débat sur la responsabilité du contenu et, aux yeux des autorités américaines, ils commencent à ressembler à de potentiels défendeurs dans les procédures administratives britanniques. La situation s'est envenimée début décembre lorsque la secrétaire d'État britannique aux Technologies, Liz Kendall, a annoncé de nouvelles restrictions concernant les chatbots, invoquant la nécessité de renforcer la législation. À ce moment-là, Washington a reconnu que la réglementation britannique empiétait sur le contrôle direct de la parole générée par algorithme. L'accord suspendu, connu sous le nom de « Tech Prosperity Deal », devait représenter 31 milliards de livres sterling et ouvrir une nouvelle ère de coopération dans les domaines de la recherche en intelligence artificielle, du commerce numérique et de l'innovation. Pour la Maison-Blanche, il s'agissait d'une occasion de renforcer les relations avec un allié européen clé. Les négociateurs américains ont alors commencé à percevoir l'accord comme un outil permettant, dans les faits, de légitimer le contrôle britannique sur les contenus diffusés par les plateformes américaines. Sur le plan diplomatique, cela soulève un problème sérieux et, sur le plan politique, incite à la prudence. Comme si le différend sur la liberté d'expression ne suffisait pas, les relations sont encore alourdies par la taxe britannique sur les services numériques. Ce prélèvement de 2 % sur les revenus d'entreprises comme Google, Meta et Amazon était censé être temporaire, mais le gouvernement travailliste a confirmé qu'il resterait en vigueur jusqu'à ce qu'un compromis international soit trouvé. À Washington, cette mesure est perçue comme un nouvel exemple de l'exploitation des géants technologiques américains comme source stable de recettes budgétaires. Le président Donald Trump n'a pas caché son irritation, dénonçant de telles pratiques comme un traitement des États-Unis comme une réserve financière et signalant sa volonté de riposter par des droits de douane. Les décideurs politiques américains perçoivent de plus en plus le droit britannique et la réglementation numérique de l'UE comme s'inscrivant dans une même tendance. La lourde amende récemment infligée à la plateforme X dans l'Union européenne n'a fait que renforcer cette perception. À Washington, la crainte dominante est la création, sous couvert de sécurité, d'un système international de contrôle des contenus qui, à long terme, limitera l'innovation et la liberté de débat. L'approche américaine demeure fidèle aux principes du Premier Amendement, selon lesquels les propos controversés doivent susciter d'autres prises de position, et non une intervention réglementaire. Le gouvernement britannique insiste sur le fait que le dialogue se poursuit et que les deux parties continuent de travailler à un accord qui profitera à des millions d'utilisateurs et d'entreprises. Cependant, le ton de ces déclarations contraste fortement avec l'enthousiasme d'il y a quelques mois, lorsque des investissements américains de plusieurs dizaines de milliards de dollars dans les infrastructures d'IA et les centres de données britanniques avaient été annoncés. (Lire la suite)
  •  

GTA : Vice City dans le navigateur. Les fans réalisent l'impossible.

Alors que le monde du jeu vidéo attend avec impatience Grand Theft Auto VI, certains fans ont décidé de se replonger dans le passé et de faire revivre l'une des villes les plus emblématiques de la série. Grand Theft Auto : Vice City bénéficie ainsi d'un portage non officiel jouable sur navigateur, utilisant HTML5 et un environnement DOS, et est compatible avec les ordinateurs, les smartphones et les tablettes. Le projet est apparu sur le site web DOS Zone et a immédiatement suscité l'intérêt des joueurs et des passionnés de technologie. Jouer à Vice City sans installation, sans émulateur ni matériel dédié, c'est comme un rêve nostalgique devenu réalité. La version HTML5 permet de jouer avec une souris et un clavier, une manette ou un écran tactile, selon votre appareil. Les développeurs ont veillé à la prise en charge des résolutions modernes, à la mise à l'échelle flexible des images et à la compatibilité avec la plupart des navigateurs web actuels. Le jeu s'exécute directement dans une fenêtre de navigateur Chrome, Firefox ou mobile, chose qui semblait totalement impossible il y a encore quelques années. La version disponible publiquement est une démo. Pour jouer en mode complet, il faut prouver que l'on possède une copie authentique du jeu et soumettre les fichiers requis, qui doivent être vérifiés par une somme de contrôle. Sans cela, l'histoire reste inaccessible et le jeu s'arrête au premier point de contrôle, à l'hôtel Ocean View. Ce portage repose sur une version open source du moteur de Vice City, le même moteur qui a permis de développer d'autres projets non officiels, notamment le portage sur Nintendo Switch. Cela a permis de transposer le vaste monde 3D du jeu dans un navigateur tout en conservant la fluidité et les fonctionnalités des versions modernes. Les créateurs du projet soulignent que leur objectif était de démontrer le potentiel des technologies web modernes et la capacité d'exécuter des moteurs de jeu complexes dans un environnement HTML5. Parmi les fonctionnalités avancées, on trouve la sauvegarde des parties dans le cloud, accessible via une touche js-dos dédiée. Comme tout projet non officiel basé sur une marque connue, celui-ci flirte avec les limites du droit d'auteur. Les développeurs assurent n'utiliser que du code source public et exigent que les joueurs possèdent une copie légale du jeu. Le site web du projet propose même une section dédiée au respect de la propriété intellectuelle. Cela ne change rien au fait que la position finale de Rockstar Games reste inconnue. L'histoire montre que l'éditeur peut réagir de manière ferme aux initiatives des fans, même celles faites de bonne foi. (Lire la suite)
  •