Character.AI remplace ses chatbots par des Sories pour protéger les mineurs

Character.AI met fin à l'accès aux discussions libres avec ses chatbots IA pour les utilisateurs de moins de 18 ans et lance dans le même temps un nouveau format Stories.

Character.AI met fin à l'accès aux discussions libres avec ses chatbots IA pour les utilisateurs de moins de 18 ans et lance dans le même temps un nouveau format Stories.

Tu es peut-être à deux clics d’acheter ta prochaine console… mais un doute persiste. Entre la Nintendo Switch OLED et la Switch classique, laquelle te donnera vraiment la meilleure expérience selon ton usage? Profite des offres du Nintendo Switch Black Friday pour faire le meilleur choix.

L'iPad mini, souvent perçu comme le parent pauvre de la gamme, pourrait bien créer la surprise en devenant la première tablette non-Pro d'Apple à adopter la technologie OLED.

Lofree fait évoluer son clavier mécanique compact Flow Lite 84 en version Azerty. C'est donc l'occasion de découvrir cette marque et la proposition de ce robuste clavier au style minimaliste destiné d'abord aux frénétiques de la frappe recherchant un minimum de distraction et une efficacité maximale.

La rumeur enflait, c'est désormais gravé dans le marbre : la franchise culte d'Ubisoft va connaître les honneurs du petit écran. FX a donné son feu vert pour une adaptation ambitieuse pilotée par les créateurs de Fargo et Mythic Quest. Format anthologique, diffusion sur Disney+... voici les premiers détails d'un projet qui sent déjà la poudre.



La hausse des prix de la mémoire entraine quelques changements de pratiques du côté de NVIDIA. Si jusqu’à présent les verts fournissaient à la fois le GPU et la VRAM, ce n’est, à priori, plus le cas. Le caméléon ne semble pas vouloir absorber les coûts de la mémoire. Si cette pratique assurait une certaine stabilité […]
L’article NVIDIA ne vend plus la mémoire avec ses GPU ! est apparu en premier sur Overclocking.com.
Comment simplifier l’exploration du jeu de correspondances de Jeffrey Epstein rendues publiques par la United States House Committee on Oversight sous la forme de PDF difficiles à trier ?
À cette question, les informaticiens Riley Walz et Luke Igel ont proposé une réponse simple : permettre aux internautes de naviguer dans ces informations en les présentant sous la forme d’une boîte mail, en beaucoup de points similaires au service de Google qu’1,8 milliard de personnes utilisent chaque mois.

C’est ainsi qu’est née Jmail, la fausse boîte mail de Jeffrey Epstein, riche de plus de 2 000 messages, dans laquelle tout internaute peut marquer un message comme important (avec une étoile).
La messagerie permet aussi d’identifier des contacts réguliers, parmi lesquels l’ex-conseiller de Donald Trump Steve Bannon, l’associée d’Epstein désormais derrière les barreaux Ghislaine Maxwell, l’ancien directeur du laboratoire de recherche dédié aux nouvelles technologies MIT Media Lab Joichi Ito, ou encore le linguiste Noam Chomsky.
Pour produire cet outil, Riley Walz et Luke Igel ont notamment recouru au LLM de Google Gemini, avec lequel ils ont récupéré le contenu des pdf par reconnaissance optique des caractères (OCR), détaille PC Gamer.
Derrière chaque résultat fourni par le robot, ils permettent aux internautes de cliquer pour voir le document source.


Il y a quelques jours, NVIDIA publiait le hotfix 581.94 basé sur les pilotes 581.80, et qui avait pour seul but de corriger les performances en berne des GeForce sous Windows 11 ayant fait la mise à jour KB5066835 d'octobre 2025 et KB5068861 de novembre 2025. Nous ne sommes pas à une Microsofterie p...




Les parlementaires européens ont voté mercredi en faveur d’un seuil minimal de 16 ans pour accéder aux réseaux sociaux à travers l’Union.
Ils ont aussi voté en faveur de tenir Mark Zuckerberg, Elon Musk et les autres patrons de la tech personnellement responsables si leurs entreprises persistent à ne pas respecter les règles européennes en matière de protection des mineurs en ligne, rapporte Politico.

Ces positions ont été tranchées dans le cadre de la production d’un rapport sur la protection des mineurs en ligne. Les parlementaires y appellent la Commission européenne à harmoniser les limites d’âge à travers l’Union européenne, alors que de nombreux pays travaillent à mettre en place leurs propres seuils, comme la France.
Les décisions du Parlement européen pourraient aussi influencer deux textes européens à venir : la directive sur les services de médias audiovisuels et le règlement sur l’équité numérique (Digital Fairness Act).
La CNIL vient de prononcer une sanction 750 000 euros à l’encontre de la société française Les publications Condé Nast, éditrice de Vanity Fair, Vogue, GQ et AD. En cause, « le non-respect des règles applicables en matière de traceurs (cookies) ». C’est la conclusion d’une très (très) longue procédure, en plusieurs rounds.
L’histoire débute en 2019 par une plainte publique de l’association noyb pour des cookies déposés par le site vanityfair.fr, édité par Les publications Condé Nast. Une mise en demeure est prononcée en septembre 2021 et la procédure est finalement fermée en juillet 2022.
Deux fois en 2023, puis à nouveau en février 2025, la CNIL a effectué des contrôles supplémentaires et constaté que Condé Nast « avait manqué aux obligations prévues par l’article 82 de la loi Informatique et Libertés », en conséquence de quoi elle annonce avoir « prononcé à son encontre une amende de 750 000 euros ».
La CNIL reproche trois principaux griefs : « absence de recueil du consentement des utilisateurs avant dépôt des cookies », « absence de clarté de l’information mise à disposition des utilisateurs » et enfin des « mécanismes de refus et de retrait du consentement défaillants ».
La délibération a été publiée, permettant d’en apprendre davantage sur cette affaire. Tout d’abord, les publications Condé Nast ne conteste pas les observations de la CNIL, à savoir la nécessité de recueillir le consentement dans ce genre de cas ainsi que le dépôt du cookie. Néanmoins, l’entreprise explique « que cette action est due à une erreur technique et avoir procédé à des corrections pour supprimer ce cookie de son site le 12 janvier 2024 ».
Sur le manquement à l’information des personnes, la CNIL pointe du doigt trois cookies « toujours actifs » dont le but est de « mettre en correspondance et combiner des sources de données hors ligne », de « relier différents terminaux » et de « recevoir et utiliser des caractéristiques d’identification d’appareil envoyées automatiquement ».
Ils sont présentés comme des « cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site web » ; il n’est donc pas possible de les supprimer. De son côté, « le rapporteur considère au contraire que ces cookies ne sont pas strictement nécessaires au fonctionnement du site web et que l’information délivrée aux personnes est erronée ».
Condé Nast agite le Transparency and Consent Framework (TCF) de l’Internet Advertising Bureau (IAB) pour justifier son choix. « La société considère qu’en étant liée par le TCF de l’IAB, elle n’a pas le pouvoir de définir les finalités des cookies de fonctionnalités », sous-titre la CNIL.
Argument balayé d’un revers de la main par la Commission : « à supposer que l’adhésion au TCF ait constitué une contrainte professionnelle pour la société, il n’en demeure pas moins que l’information transmise à l’utilisateur restait insuffisante dans la mesure où elle ne renvoyait pas vers les règles de l’IAB ».
Autre grief, sur l’« effectivité du refus par l’utilisateur du dépôt et de la lecture de cookies », puisque retirer son consentement doit être aussi simple que le donner. L’entreprise confirme de nouveau les dépôts malgré le refus, mais explique que c’est encore un problème de paramétrage : : « l’un des cookies a été déposé en raison d’un paramétrage incorrect et a été désactivé en deux semaines. Elle indique pour un deuxième cookie qu’il avait également été désactivé rapidement et n’aborde pas le cas du troisième cookie identifié par le rapporteur ». La CNIL prend acte, mais note tout de même que la société ne tient pas compte du choix de l’utilisateur et « trompe son consentement ».
Enfin dernier point constaté en février 2025 : « des opérations de lecture d’informations dans le terminal de l’utilisateur après que celui-ci a accepté dans un premier temps des opérations de lecture et d’écriture puis retiré son consentement en continuant sa navigation sur le site ».
La CNIL détaille le parcours réalisé par la délégation en charge de l’analyse :
« Elle a d’abord accepté les cookies via le bandeau relatif aux cookies puis s’est rendue, via un lien hypertexte présent sur la page d’accueil, sur la page web comportant l’interface de choix relative aux cookies. Elle a alors constaté l’enregistrement de cinquante cookies sur son navigateur. Puis elle a procédé au retrait de son consentement en cliquant sur le bouton » Tout refuser » de l’interface de choix et constaté l’effacement de douze cookies et le maintien de trente-huit cookies sur son terminal ».
Là encore, la société ne conteste pas, mais précise avoir appliqué des changements depuis le contrôle. Notamment, que le cookie _ga_9C8GH73ZS1 « a été désactivé par la société et qu’aucune donnée ne peut être ni collectée ni partagée avec la société Google », indique la Commission.
La CNIL prend note pour Google, mais précise qu’il « ressort de l’instruction que les données continuent d’être associées aux requêtes envoyées vers le domaine de la société, et donc lues par la société, sans qu’elle justifie d’aucune finalité exemptée à ce titre ».
Dans son délibéré, la formation restreinte de la CNIL retient « la gravité du manquement compte tenu de la nature, de la portée ou de la finalité du traitement, ainsi que du nombre de personnes concernées affectées et du niveau de dommage qu’elles ont subi ». Le site vanityfair.fr revendique, entre juin et octobre 2023, 7,43 millions de visiteurs, dont plus de 6 millions en France.
Autre point important à prendre en compte : la durée des échanges qui ont débuté en 2019, avec encore des manquements début 2025. La formation considère aussi qu’il y a eu négligence aggravée puisque la CNIL a expliqué les règles à l’éditeur à de nombreuses reprises. Si des mesures correctives ont été prises, la formation restreinte ajoute « que cette mise en conformité n’est intervenue qu’après les opérations de contrôle et après échanges avec la délégation, et non de manière autonome et spontanée ».
Enfin, l’avantage financier obtenu suite à ces manquements doit être pris en compte : « la régie publicitaire et l’activité commerciale en vue de la vente d’espaces publicitaires apparaissent comme des activités centrales de la société, au même titre que son activité d’édition. Les cookies font partie de l’écosystème publicitaire sur le web et génèrent ainsi des revenus pour la société ».
Le montant de l’amende tient aussi compte des capacités financières de l’entreprise. Le chiffre d’affaires net de Les publications Condé Nast pour 2023 en France est de 26,4 millions d’euros pour un résultat net de 0,9 million d’euros, contre respectivement 47,6 millions et 3,6 millions d‘euros en 2022.
Au final, le montant de l’amende administrative est de 750 000 euros.
Condé Nast affirme que « la publicité de la sanction n’est pas justifiée », elle ne souhaite ainsi pas que son nom apparaisse. La CNIL n’est pas du même avis : « une telle mesure se justifie compte tenu de la visibilité du site en cause, de la gravité, de la durée des manquements constitués et du nombre de personnes concernées, lesquelles doivent être informées ».
Comme toujours, cette décision peut faire l’objet d’un recours devant le Conseil d’État.
Fin mars, Plex annonçait à la fois une hausse des prix et un changement d’approche pour la diffusion des contenus médias en dehors de son réseau domestique. En clair, il s’agissait de faire passer les utilisateurs à la caisse.
Sans toucher à la diffusion domestique, il était proposé deux manières de payer, selon le contexte. Pour la personne ayant le serveur et les contenus, une formule Plex Pass (6,99 dollars par mois ou 69,99 dollars par an) déverrouillait la possibilité de streamer vers des personnes extérieures au réseau, par internet donc. Dans l’autre sens, une personne peut payer 1,99 dollar par mois (ou 19,99 dollars par an) pour un Remote Watch Pass, permettant l’accès à un serveur Plex distant, sans que son possesseur ait besoin d’un Plex Pass.

Il était prévu que ces règles entrent en vigueur à compter du 29 avril, mais l’application ne se fait réellement que cette semaine, en commençant par l’application Roku. L’équipe a confirmé le changement dans un message dans son forum le 20 novembre et repéré par How-To Geek le 25.
Si cette obligation est limitée pour l’instant, elle sera généralisée l’année prochaine à toutes les autres applications (Android TV, Apple TV, FireTV…) « ainsi qu’à tout client tiers utilisant l’API pour proposer le streaming à distance ».
Rappelons que ces changements concernent l’accès distant pour les serveurs Plex. Les personnes utilisant cette solution de streaming pour de la diffusion locale ne sont pas concernées.

C'est une scène digne d'un film d'action qui s'est jouée ce samedi près de la cité phocéenne. Alors qu'ils contrôlaient une voiture, des motards de la police ont vu débouler un cycliste sans casque les doublant à une allure hallucinante. L'engin, un véritable monstre de puissance maquillé en VTT, a révélé des secrets mécaniques effrayants une fois immobilisé.

Zeekr, la marque premium électrique du groupe Geely, s’apprête à lancer ses premiers modèles en France mi-2026.

[Deal du jour] Envie d'une tablette performante et polyvalente ? L'iPad Air M3 atteint son prix le plus bas jamais vu sur Amazon pour le Black Friday.

