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Au programme aujourd'hui : caméra d'action, PC portable OLED tactile et écouteurs Bluetooth.

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Du 24 au 25 décembre, le père Noël fera le tour du monde pour livrer des jouets par milliers. Vous voulez savoir où il se trouve ? Le NORAD, Flight Radar 24 et Google Maps proposent des outils pour traquer son traîneau.



Des utilisateurs exploitent les IA de Google et OpenAI pour générer des images de femmes en maillots de bain à partir de photos où elles sont vêtues, souvent sans leur consentement. Ce phénomène, facilité par des discussions sur des plateformes comme Reddit, expose les failles des garde-fous et soulève la question de la responsabilité des géants de la tech face à ces abus.

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La licence Monster Hunter cartonne, c'est une source de brouzoufs importante pour Capcom. Alors que le RE Engine est d'ordinaire docile tout en étant visuellement réussi, le dernier opus de la saga, Alias Monster Hunter Wilds, est arrivé tout cabossé. Les textures étaient affreuses, tout juste accep...



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Plus d'une décennie, oui, il aura fallu attendre plus de dix ans avant la sortie d'un nouveau jeu basé sur les aventures de l'agent secret (quelque peu connu) James Bond. 007 First Light s'annonce pour un vague 2026 et pourtant l'annonce a de quoi faire frémir, pour une raison simple, le projet est issu d'une collaboration entre Amazon MGM Studios (désormais détenteur des droits des adaptations des romans de Ian Fleming) et le studio emblématique IO Interactive (Hitman). Le jeu devrait proposer des phases d'infiltration poussée, tout en proposant de l'action légitime, contrairement à la discrétion du crâne chauve. Le jeu sortira sur les plateformes PlayStation 5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2 et PC (Steam et Epic Games), sera basé sur le moteur graphique maison Glacier Engine, malheuresement cela ne devrait pas nous fournir des informations sur le prochain acteur retenu pour camper le fameux 007... […]
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Dans un contexte d’attaques régulières contre les réglementations européennes, les États-Unis ont interdit de visa cinq Européens travaillant sur les questions de modération et de régulation des discours de haine et de la désinformation, dont l’ancien commissaire européen Thierry Breton.
Le ministère des Affaires étrangères (State Department) des États-Unis a interdit à cinq Européens d’entrer sur son territoire, les accusant d’avoir obligé les entreprises de la tech à censurer ou invisibiliser les points de vue de la population américaine.
Le secrétaire d’État Marco Rubio a décrit les cinq personnes visées par l’interdiction de visa en « activistes radicaux et ONG arsenalisées pour pousser la censure et sévir sur les États étrangers – en l’occurrence en visant des personnalités et des entreprises américaines ».
Ancien commissaire européen au Marché intérieur, très actif sur les travaux relatifs au règlement européen sur les services numériques, Thierry Breton est concerné, aux côtés du Britannique Imran Ahmed, directeur exécutif du Center for Countering Digital Hate (CCDH), de Josephine Ballon et Anna-Lena von Hodenberg, directrices de l’ONG allemande de défense des droits numériques HateAid, et de la directrice du Global Disinformation Index (GDI) Clare Melford. Washington précise qu’aucun d’entre elles et eux n’exerce actuellement de fonctions officielles au sein des gouvernements britanniques ou européens.
Sur X, le ministre des Affaires étrangères français Jean-Noël Barrot a dénoncé « avec la plus grande fermeté » les restrictions annoncées. « Le règlement sur les services numériques (DSA) a été démocratiquement adopté en Europe pour que ce qui est illégal hors ligne le soit aussi en ligne. Il n’a absolument aucune portée extraterritoriale et ne concerne en aucun cas les États-Unis. Les peuples de l’Europe sont libres et souverains et ne sauraient se faire imposer par d’autres les règles s’appliquant à leur espace numérique. »
Ministre chargé de l’Europe, Benjamin Haddad a de son côté signifié son « soutien » aux cinq personnes sanctionnées. « Un vent de maccarthysme souffle-t-il à nouveau ? », s’interroge Thierry Breton, qui rappelle que « 90 % du Parlement européen — démocratiquement élu — et les 27 États membres à l’unanimité ont voté le DSA », et conclut : « À nos amis américains : « La censure n’est pas là où vous le pensez ». »
Depuis le début de l’année 2025, les entreprises américaines de la tech ont obtenu un soutien inégalé du pouvoir en place, en particulier sur les questions de soutien au développement de l’intelligence artificielle, des cryptoactifs, et la lutte contre les régulations étrangères, voire des États locaux. Depuis plusieurs mois, les équipes de Trump obligent ainsi les diplomates américains à construire une opposition frontale au DSA, dont l’un des objets est de minimiser la violence et la désinformation en ligne.
L’amende de 120 millions d’euros infligée à X, début décembre, a notamment été décrite par Marco Rubio comme une « attaque contre les plateformes technologiques américaines et le peuple américain par des gouvernements étrangers ». Elle résultait d’une procédure formelle ouverte deux ans plus tôt pour suspicions de violations du DSA.
Outre ces prises de parole très visibles, entamées dès le discours de J.D. Vance à Munich, en février, dans lequel le vice-président critiquait un « recul » de la liberté d’expression en Europe pour mieux soutenir le parti d’extrême-droite Alternative für Deutschland, les États-Unis travaillent par ailleurs officiellement à réduire l’accès aux visas H-1B (qui permettent de travailler sur le territoire) de toute personne travaillant sur les questions de modération.
En pratique, le mémo révélé par Reuters intime aux fonctionnaires de l’administration de vérifier les profils LinkedIn des potentiels candidats, pour mieux empêcher l’entrée sur le territoire à toute personne qui serait « responsable ou complice de censure ou de tentative de censure de l’expression aux États-Unis ». Si tous les secteurs sont théoriquement concernés, le document pousse à vérifier plus spécifiquement les activités des personnes issues des industries de la tech ou des réseaux sociaux.

Le fabricant chinois Biren Intelligent Technology prépare son introduction en bourse à Hong Kong, avec l'ambition de lever jusqu'à 624 millions de dollars américains. Fondée en 2019 à Shanghai, la société développe des GPU destinés à l'intelligence artificielle, capables de rivaliser avec les NVIDIA A100 et H100, mais produits localement. Biren est souvent cité parmi les « quatre petits dragons » chinois du GPU, aux côtés de Moore Threads, MetaX et Enflame. Son modèle phare, le Biren BR100, est un GPU massivement parallèle gravé en 7 nm par TSMC (avant les sanctions américaines). Il embarque 77 milliards de transistors, un bus mémoire HBM2e et affiche des performances proches d'une NVIDIA A100. Une version plus compacte, la BR104, cible les serveurs cloud et les applications IA distribuées. […]
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Selon un article du Times of India, Tencent aurait trouvé une solution habile pour accéder à des GPU NVIDIA Blackwell B200, pourtant interdits d'exportation vers la Chine dans le cadre des sanctions américaines. Le géant chinois, propriétaire de WeChat, QQ et de vastes infrastructures cloud, loue désormais la puissance de calcul de près de 15 000 GPU installés dans les centres de données de la société japonaise Datasection, à Osaka. L'astuce est simple : les puces restent physiquement au Japon, où elles sont exploitées par Datasection, mais Tencent y accède à distance pour entraîner ses modèles d'intelligence artificielle et faire tourner ses services cloud. D'un point de vue légal, aucune exportation vers la Chine n'a lieu, ce qui permet de contourner les contrôles américains sans les enfreindre directement. […]
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Nintendo a trouvé un partenaire inattendu pour améliorer les performances des jeux Switch 2 : Ubisoft, qui a créé un algorithme centré sur le VRR (Variable Frame Rate).

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À l’heure où nous écrivons ces lignes, plusieurs services du groupe La Poste ne fonctionnent toujours pas, notamment le site de Colissimo, rendant le suivi des paquets impossible. La faute à une cyberattaque contre le groupe qui dure depuis plus de 48 heures, sous la forme d’un vaste déni de service distribué (DDoS).
Le ministre de l’Économie, Roland Lescure, a indiqué hier à BFM que l’attaque était toujours en cours, mais qu’elle faiblissait. Il s’était montré rassurant pour les (nombreux) colis attendus en cette période de fêtes de fin d’année : « Si vous avez demandé un colis pour Noël, vous n’avez pas aujourd’hui les moyens d’aller voir sur le site où il en est, mais le colis, lui, est en train d’arriver. La priorité des priorités, c’est de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël ».

Hier soir, l’attaque a été revendiquée par le groupe prorusse NoName057(016), a rapporté franceinfo. Nos confrères indiquent que l’information a été confirmée par le parquet de Paris. Les gendarmes de l’UNC (Unité nationale cyber) et la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) ont été saisis de l’enquête « pour des faits d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données ».
Comme le rappelle franceinfo, ce n’est pas la première fois que le groupe s’en prend à la France. En mars 2023, le site de l’Assemblée nationale avait ainsi disparu pendant presque une journée. Les pirates avaient justifié par un soutien aux protestations contre Emmanuel Macron, « qui a décidé de ne pas se soucier des Français et continue à servir les néonazis ukrainiens, ne se calment pas ». Le parquet de Paris avait pourtant confirmé en juillet dernier le démantèlement de l’infrastructure principale du groupe et l’arrestation de plusieurs pirates présumés, dont deux en France.
Certains doutent cependant que le groupe soit réellement l’auteur de l’attaque. C’est le cas du chercheur en sécurité Baptiste Robert, pour qui certaines informations ne collent pas. Il nie également que la France soit le pays le plus visé par le groupe NoName : « Depuis 2023, avec DDOSia, le pays le plus ciblé, et de très, très loin (roulement de tambour), est l’Ukraine ».




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