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Free devrait proposer l'option eSIM sur d'autres montres connectées que l'Apple Watch
C'était l'arlésienne : alors que la première Apple Watch cellulaire date de 2017, Free Mobile propose (enfin) la possibilité de relier une Apple Watch à un forfait. La bonne nouvelle, c'est que cette option est gratuite si vous avez un forfait Free (sauf celui à 2 €). La mauvaise — pour certains — c'est que l'option est réservée aux Apple Watch, mais ça devrait changer.

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G
Pendant un temps — elle a été modifiée depuis —, une page d'assistance de Free indiquait en effet ceci selon Univers Freebox, qui a été confirmé par un commentaire sur Next : « L’option eSIM Watch sera disponible prochainement pour les montres Wear OS. » Nos confrères indiquent par ailleurs que l'opérateur leur a confirmé en octobre que l'option allait bien être proposée pour d'autres montres connectées.
L'option cellulaire n'est pas généralisée dans les montres connectées, mais elle est tout de même très pratique : elle permet d'effectuer des appels sans smartphone à proximité, ce qui peut être intéressant en cas d'urgence. C'est aussi une option utile avec certains services de streaming pour la musique, pour éviter de passer par un smartphone pour écouter de la musique en déplacement. Reste à voir si Free Mobile va étendre directement le service à toutes les montres sous Wear OS ou si l'option sera mise en place au cas par cas. Pour les Apple Watch, c'est la seconde voie qui a été choisie pour des raisons techniques : une Apple Watch compatible avec watchOS 26.2 est obligatoire, ce qui exclut d'emblée les modèles Series 3 à Series 5.
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Apple prend le Japon en exemple pour contester le DMA européen
Le Japon a suivi l’Union européenne et son DMA en imposant à Apple une série de mesures qui vont l’obliger à ouvrir l’iPhone à la concurrence. On pourrait croire que l’entreprise californienne déteste les deux régulateurs avec la même passion. Dans un entretien accordé à plusieurs médias, dont Numerama et La Tribune (nous n’avons pas été invités…), elle révèle pourtant un favori. Alors qu’Apple n’a jamais caché qu’elle détestait le DMA, le MSCA japonais lui paraît nettement préférable.
Les deux textes sont pourtant proches et ce sont des points de détail qui font peser la balance en faveur du Japon dans le cœur de Cupertino. Ainsi, le Japon exige la possibilité de passer par des boutiques d’apps tierces au lieu de l’App Store. AltStore n’a pas attendu bien longtemps pour ouvrir ses portes dans le pays et d’autres boutiques devraient suivre.
Après l’Europe, le Japon contraint Apple à ouvrir véritablement l’iPhone à la concurrence
Quelques différences à la marge
Apple pointe toutefois quelques différences avec le DMA, à commencer par le passage obligatoire par une boutique. On ne peut pas télécharger une app directement depuis un site web sur les iPhone japonais comme on peut le faire en Europe, tout doit passer par les boutiques et donc par le processus de notarisation géré par ses soins. Ce qui lui permet de garder la main sur les apps autorisées et même si c’est en théorie des problèmes de sécurité qui peuvent justifier un refus, on l’a déjà vu s’en servir pour d’autres raisons.
Apple a bloqué iTorrent sur l’AltStore à la demande de gouvernements
L’Union européenne empêche normalement Apple de refuser une app par le biais de la notarisation et l’entretien semble indiquer que cette option restera ouverte au Japon. Pourtant, les règles destinées au pays n’évoquent pas de contrôle sur le contenu. L’argument de la pornographie a été brandi en guise de preuve, selon Apple, des méfaits du DMA. Pourtant, tout semble indiquer que la catégorie n’est pas interdite dans l’archipel et AltStore ne paraît pas proposer une liste d’apps spécifique au pays. La Pomme n’a manifestement toujours pas digéré la sortie de Hot Tub sur la boutique alternative, malicieusement présentée à l’époque comme approuvée par ses soins.
Apple réprouve totalement la première app porno pour iPhone distribuée par AltStore PAL
Elle a aussi une préférence sur la gestion des paiements externes, requise par le législateur japonais comme par le DMA. Pour commencer, les apps devront systématiquement proposer les deux options et permettre aux utilisateurs de choisir, alors que les développeurs doivent choisir une seule option sur ce continent. L’Union européenne ne tolère par ailleurs aucune restriction sur l’accès à des moyens de paiement qui ne sont pas gérés par ses soins, là où le Japon a accepté de les restreindre pour les mineurs. Les apps destinées aux moins de 13 ans ne pourront pas afficher un lien vers un système de paiement externe et tous les utilisateurs de moins de 18 ans devront obtenir une autorisation parentale pour réaliser un achat hors de l’App Store. Ces différences sont jugées essentielles par Apple pour protéger les enfants, ce qui serait impossible selon elle en Europe.
Le régulateur japonais n’exige pas d’interopérabilité systématique
Le dernier argument est sans doute le plus important : le DMA exige des fonctionnalités interopérables dès leur conception, alors qu’il n’y a rien de tel dans la loi japonaise. Apple juge que l’Europe veut bloquer l’innovation, motivée par des concurrents qui auraient fait preuve d’un « lobbying intense » auprès des institutions européennes. Spotify et Meta ont même été cités pendant l’entretien, ce qui n’est pas une surprise, tant les deux entreprises reviennent régulièrement dans les discussions. Le service de streaming n’a jamais manqué une occasion d’accuser la Pomme de nuire à son propre service en favorisant Apple Music.
Spotify insiste auprès de l’UE pour une condamnation rapide et sévère d’Apple
Apple juge l’approche japonaise bien meilleure, si bien qu’elle ne pense pas devoir bloquer des fonctionnalités nouvelles, comme elle le fait régulièrement en Europe. Outre la recopie de l’iPhone qui n’est toujours pas active sur le continent, on peut aussi évoquer le retrait à venir d’une fonctionnalité liée à l’Apple Watch.
L'Apple Watch va perdre une fonction à cause de l'Union européenne et du DMA
Apple ne rate jamais une occasion de faire pression sur l’Europe
Cette démonstration est avant tout une manière de plus pour Apple de mettre la pression sur l’Union européenne, par le biais de ses propres clients. L’entreprise de Tim Cook veut démontrer qu’il y avait une meilleure manière de faire en utilisant le Japon comme preuve, quand bien même les textes ne sont pas si éloignés qu’elle veut bien le dire.
C’est loin d’être la première fois qu’Apple cherche à mobiliser ses clients européens contre le DMA, à tel point que l’on pourrait aussi parler d’un « lobbying intense » à son sujet. Reste à savoir si le Japon érigé en contre-exemple va finalement faire mouche auprès des citoyens et in fine des institutions.
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Après l'UE, le Japon contraint Apple à ouvrir l'iPhone
Après l'Union européenne et son DMA, c'est maintenant au tour du Japon de contraindre Apple à ouvrir certains aspects logiciels de l'iPhone avec son Mobile Software Competition Act (MSCA). Dans un communiqué de presse, Apple a annoncé de nombreuses modifications concernant les apps iOS au Japon...

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Apple pourrait faire assembler ses écrans OLED en Inde
Quand nous parlons de puces, il y a parfois une confusion, qui est liée à la conception même de ces dernières. Si vous prenez une puce M1, elle comprend la puce elle-même (fabriquée par TSMC) mais aussi deux puces de mémoire et ce qu'on appelle le package, la partie sur laquelle sont placés les composants. Une puce peut donc être en réalité un assemblage de plusieurs composants (qui sont des puces). Et selon The Economic Times, Apple pourrait effectuer cet assemblage en Inde.

C'est la société CG Semi, basée à Sanand dans l'état du Gujarat, qui aurait été choisie. Le but ne serait pas ici d'assembler les puces principales, mais bien des composants liés aux écrans OLED. Dans le cas de ces derniers, les dalles peuvent provenir de trois fournisseurs (Samsungn LG, BOE) alors que les contrôleurs et les circuits de gestion, eux, dépendent d'autres sociétés (Samsung, Himax, LX Semicon et Novatek).

Il y a plusieurs raisons qui pourraient pousser Apple à assembler certains composants en Inde, et il s'agirait ici de discussions à un stade préliminaire, sans officialisation de la part d'Apple. Un des avantages de l'Inde est que le pays pourrait recevoir des composants issus de Corée du Sud, de Chine et de Taiwan, alors que l'installation d'une telle usine en Chine — par exemple — peut amener des problèmes géopolitiques complexes si une partie des composants arrivent de Taiwan. C'est probablement un moyen d'anticiper d'éventuels soucis à ce niveau dans le futur, tant les tensions sont grandes dans cette partie de l'Asie. L'Inde a l'avantage de ne pas être trop éloignée des différents fournisseurs tout en disposant d'une main-d'œuvre formée pour ce genre de travaux : The Economic Times explique qu'Intel a récemment confié à Tata Electronic (un géant local) une partie de l'assemblage de ses produits.
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La diffusion de la TV par satellite commence à disparaître au Royaume-Uni
Imaginée dès les années 60, la diffusion de la télévision par satellite a commencé à devenir réellement importante dans les années 80. Et le 9 décembre 2025, il y a eu un petit événement dans ce milieu : Sky, un opérateur britannique important dans ce domaine, a arrêté son offre Sky Q. Plus exactement, les clients actuels peuvent continuer à recevoir la télévision par satellite, mais la société n'accepte plus de nouveaux clients.

Pendant un temps, les offres par satellites ciblaient les personnes qui voulaient avoir plus de chaînes, grâce à la possibilité d'en diffuser beaucoup plus qu'avec la diffusion hertzienne classique. Au fil des années, ce public a peu à peu été abandonné : en 2025, tant les offres des opérateurs Internet que celles en OTT (over the top, comme Molotov) permettent exactement la même chose pour un prix plus faible et sans la nécessité d'installer une parabole. De même, les plateformes de streaming donnent un accès simplifié aux anciens films ou aux séries qui étaient diffusées sur des services payants dans les années 90 et 2000 (que ce soit sur le câble ou le satellite). Dans le cas de Sky Q, l'offre qui devient inaccessible, c'est assez évident : Sky Stream la remplace directement.
La diffusion par satellites reste importante
L'arrêt de ce type d'offres, logique, ne signifie pas pour autant que la diffusion par satellites va disparaître. En effet, c'est une voie alternative intéressante pour les personnes qui ne peuvent pas recevoir la télévision hertzienne ou par Internet, par exemple. En France, les offres Fransat et TNT Sat diffusent par exemple la TNT pour ceux qui n'ont pas d'autres solutions. De même, les offres par satellites permettent aussi aux immigrés de recevoir des chaînes de télévision issues de différents pays. Enfin, c'est une solution pratique pour certaines chaînes pour couvrir une large zone et — dans certains cas — contourner la censure mise en place par des états. Et pour finir, d'un point de vue purement technique, la diffusion par satellites sert aussi à alimenter les réseaux terrestres.
La fin de Sky Q n'est donc pas la fin de la diffusion par satellites, mais uniquement la fin d'un type d'offres précis.
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France Identité franchit le cap du million de permis de conduire numériques
Un million de permis de conduire ont été importés dans France Identité, annonce France Titres, l’agence gouvernementale en charge de l’application. Lancée en février 2024, cette fonctionnalité a été simplifiée en mai dernier.

Rapporté au nombre total de conducteurs, le chiffre reste modeste. Selon les dernières données officielles disponibles, la France comptait environ 48 millions de titulaires d’un permis de conduire en 2019. À ce stade, seulement 2 % d’entre eux ont donc ajouté une version dématérialisée de leur document sur leur iPhone ou leur smartphone Android.
La dynamique devrait toutefois s’accélérer dans les prochaines années. Une directive européenne récemment adoptée prévoit que, d’ici à 2030, le permis de conduire numérique devienne le format par défaut. La carte en plastique ne disparaîtra pas pour autant, mais la version dématérialisée devrait être fournie en priorité, la version physique devenant une option à demander explicitement.
Le permis de conduire numérique accélère en Europe, sans pour autant écraser le format physique
Pour rappel, il n’est pas nécessaire de posséder un permis au format carte bancaire pour l’importer dans France Identité : l’ancien permis cartonné rose est également pris en charge. En revanche, l’application France Identité nécessite, elle, de détenir une carte d’identité biométrique, puisque l’authentification repose sur sa puce NFC.
À l’occasion du salon Trustech organisé au début du mois, France Titres a également communiqué d’autres chiffres. France Identité compte désormais 3,2 millions d’utilisateurs, dont un peu plus de 500 000 avec un compte « certifié ». Cette certification, qui passe par une vérification en mairie ou dans un consulat, autorise des usages plus sensibles, comme l’établissement d’une procuration de vote. L’agence se fixe pour objectif d’atteindre 5 millions d’utilisateurs d’ici à 2026.
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TP-Link lance un kit Wi-Fi 7 avec de l'Ethernet 10 Gb/s, le Deco BE68
TP-Link, le plus gros fournisseur de Wi-Fi dans le monde, vient de lancer un nouveau kit Wi-Fi 7 : le Deco BE68. Il se place entre le BE65 et le BE85. La différence principale est simple : l'interface Ethernet. Les BE65 se limitent à de l'Ethernet 2,5 Gb/s (quatre prises), ce qui peut limiter les débits réels en Wi-Fi 7. En haut de gamme, les BE85 possèdent deux prises à 10 Gb/s et deux autres à 2,5 Gb/s. Le nouveau modèle se place entre les deux : une prise à 10 Gb/s, une seconde à 2,5 Gb/s et une troisième à 1 Gb/s. Ce choix permet d'obtenir un débit élevé sur des accessoires reliés aux bornes, sans devoir passer sur la gamme supérieure.

Le second changement vient des débits en Wi-Fi 7. Les trois modèles sont Wi-Fi 7 dans les trois bandes (2,4, 5 et 6 GHz) avec des canaux de 320 MHz, mais le BE65 travaille sur deux antennes (2x2 MIMO), le BE68 sur trois antennes (3x3 MIMO) et le BE85 sur quatre (4x4 MIMO). En pratique, le débit maximal est donc de 5,7 Gb/s (6 GHz, 2,8 Gb/s en 5 GHz), 8,6 Gb/s et 11,5 Gb/s.
Des débits très théoriques… mais élevés tout de même
Comme les kits de TP-Link n'ont pas de bande dédiée pour la liaison entre les bornes, le passage à trois antennes sur le BE68 devrait améliorer les performances sur les liens entre les bornes, même s'il est évidemment préférable de les câbler en Ethernet. La raison est simple : une bonne partie des appareils modernes se limite à deux antennes, ce qui laisse une bonne partie de la bande passante pour la liaison elle-même. De même, la présence de trois antennes améliore les performances globales si vous avez plusieurs appareils sur votre réseau, ce qui est probablement le cas si vous investissez dans un kit de ce type.

C'est important de bien le comprendre : vous n'allez pas atteindre 8,6 Gb/s en Wi-Fi 7, même avec une connexion rapide. La majorité des ordinateurs se contente de deux antennes, donc au mieux 5,7 Gb/s en théorie avec des canaux de 320 MHz, et de nombreux appareils (dont ceux d'Apple) ne prennent en charge que les canaux de 160 MHz, ce qui divise de facto le résultat par deux. Mais cette bande passante supplémentaire sur les bornes n'est donc pas inutile : elle permet un bien meilleur partage entre les clients.
C'est aussi ici que la prise Ethernet à 10 Gb/s prend de l'intérêt : elle permet de relier la borne principale à votre box avec le débit maximal si vous avez une connexion rapide. En France, les meilleures offres sont annoncées à 8 Gb/s.

Reste le problème du prix : TP-Link annonce que le kit de trois bornes est prévu à 600 €, et Amazon le propose pour le moment à 650 €. C'est un peu plus que le BE65 (disponible aux alentours de 500 €) mais largement moins que les BE85, qui s'approchent des 1 500 € pour trois. Il est évidemment possible de se contenter d'une ou deux bornes si vous avez un logement adapté.
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L'iMac passerait à un écran OLED dans les prochaines années
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macOS 26.2 jette une ombre sous le Liquid Glass
Apple n’en a pas terminé avec les ajustements de design autour du Liquid Glass. Après macOS et iOS 26.1 qui ont introduit une option pour réduire la transparence du verre, macOS 26.2 apporte une modification plus discrète. Comme l’a remarqué AAPL Ch., l’ombre affichée sous le centre de contrôle est désormais plus large et plus marquée.

Ce changement permet de mieux distinguer les boutons translucides de l’arrière-plan. C’est un écueil commun des interfaces qui misent sur la transparence, les différents plans de profondeur ont tendance à se confondre. Avec cette ombre renforcée, les commandes se détachent plus nettement du fond d’écran ou de l’application à l’arrière-plan. En contrepartie, ce choix éloigne quelque peu le Liquid Glass de la promesse initiale de clarté visuelle. On ne peut pas tout avoir.
Cette ombre est également visible lorsque l’on ouvre le nouvel overlay dédié aux jeux, ce menu en surimpression qui donne accès à certaines fonctions, comme les succès du Game Center.

Pour rappel, le centre de contrôle de macOS Tahoe est largement personnalisable. Comme sur iOS, il est maintenant possible d’ajouter ou de supprimer des commandes. Pour l’instant, encore très peu d’applications tierces proposent des boutons spéciaux.
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De nouvelles pubs sur l'App Store en 2026
La publicité va gagner de la place au sein des résultats de recherche de l'App Store en 2026, annonce Apple. De nouveaux emplacements vont être ajoutés en plus de la très convoitée première position de la liste des résultats. Les emplacements publicitaires se distinguent des autres par leurs...
