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De jolies guirlandes connectées pour le Black Friday… et pour Noël
Noël arrive, et vous avez peut-être envie d'une nouvelle guirlande pour votre sapin. Et si vous lisez iGeneration, vous attendez probablement qu'elle soit connectée. Bonne nouvelle, il y a quelques modèles en promotion.
Chez Twinkly, une société spécialisée dans les guirlandes, la version Strings avec 600 LED est à 100 € au lieu de 230 €, et elle est compatible HomeKit. Une version avec 200 LEDs est à 53 € au lieu de 70 € ou à 47 € (en couleurs chaudes).

Chez Govee, une version avec 375 LED est à 100 € au lieu de 170 €, une autre de 300 LED est à 80 € (90 € affichés, avec un coupon à cocher) et la plus petite (200 LED) est à 70 €.

Enfin, chez Nanoleaf, la guirlande de 300 LED est à 68 € au lieu de 100 €, avec Matter et HomeKit.

La Festavia, la guirlande de la gamme Philips Hue, est quant à elle à 165 € dans sa version 250 LED, au lieu de 230 €. Comme souvent, vous allez donc payer la marque, même si les produits sont généralement d'excellente qualité. Elle est à 220 € sur le site de la marque, et la promotion Black Friday peut être intéressante : si vous achetez deux produits — dont les guirlandes —, vous aurez une réduction de 30 % sur le total.
Test de la Philips Festavia : la guirlande de Noël connectée, pour les fans de l'écosystème Hue
Voiture électrique : des aides maintenues et même augmentées en 2026, mais les détails restent flous
Bonne nouvelle pour l’électrification du parc de véhicules particuliers en France : le dispositif actuel d’aides à l’acquisition d’une voiture électrique sera reconduit en 2026 et même amélioré. C’est ce que le ministre de l’Économie Roland Lescure a annoncé ce matin au micro de France Inter, en indiquant qu’« on prolonge le bonus automobile l'année prochaine » et en ajoutant qu’il « sera même augmenté : si vous achetez un véhicule électrique fait en France, fait en Europe, vous avez jusqu'à 5 700 euros de primes ». Tant mieux pour les futurs clients, même si la complexité de ce dispositif rend la déclaration plus opaque.
Le ministre parle encore de « bonus automobile », preuve que ce nom reste ancré alors que le dispositif a changé. En effet, il ne s’agit plus du bonus écologique que l’État français a financé pendant des années grâce au malus appliqué sur les voitures thermiques les plus polluantes. Depuis l’été dernier, on parle d’un « coup de pouce véhicules particuliers électriques », un changement de nom qui trahit une nouvelle philosophie sous-jacente. Les différents gouvernements successifs d’Emmanuel Macron ont tous cherché à réduire le budget de l’État et c’est pourquoi les aides sur l’achat d’une voiture électrique sont passées sous la responsabilité d’acteurs privés. En effet, ce sont les Certificats d’économie d’énergie (CEE) qui servent désormais à aider les ménages français.
Ces CEE sont payés par les fournisseurs d’énergie pour compenser la pollution de ce qu’ils produisent et vendent. On parle d’énergie au sens large, cela concerne autant les entreprises qui distribuent de l’essence destinée aux véhicules que celles qui fournissent du fioul pour le chauffage, en passant par tous les pétroliers qui commercialisent les matières premières. Tous ces acteurs privés sont contraints par l’État français de financer la transition écologique des ménages, ce qui a longtemps consisté en des aides à la rénovation. Si vous changez une vieille chaudière au fioul par une pompe à chaleur, les CEE permettront d’adoucir la facture. De même, la rénovation globale d’une maison mal isolée peut être couverte en partie par ces aides.
Depuis l’été, les CEE concernent aussi la mobilité avec le financement d’une partie des voitures électriques. Néanmoins, ce n’est pas aussi simple et systématique que l’ancien bonus écologique, qui s’appliquait à l’origine à tous les ménages et à toutes les voitures à batterie. Le gouvernement a choisi de cibler en priorité les ménages les moins aisés, ce qui est parfaitement logique, mais aussi d’éliminer du dispositif les voitures électriques qui ne sont pas produites en Europe. Cette mesure protectionniste qui ne porte pas ce nom, même si elle vise clairement à limiter l’arrivée des constructeurs chinois, complique la situation et oblige l’Ademe à calculer un « éco-score » selon de nombreux critères.
Si cela ne suffisait pas, le montant du coup de pouce varie aussi selon la provenance de la batterie, avec un bonus supplémentaire pour les véhicules équipés d’une batterie produite en Europe. Ces voitures sont encore très rares et cela ne dépend pas seulement d’une marque, pas même d’un modèle, mais bien souvent d’une variante précise d’un modèle. Chez Renault par exemple, seule la Scenic E-Tech avec la grosse batterie de 87 kWh est éligible d’après le constructeur, alors même qu’il a bien d’autres modèles à son catalogue qui sont produits en France.
Ce n’est pas fini ! La somme indiquée par l’État est le minimum prévu par le dispositif, le montant exact varie d’un constructeur à l’autre, car chaque entreprise va signer des accords spécifiques avec des fournisseurs d’énergie. Si le coup de pouce actuel monte officiellement à 4 200 € pour les ménages modestes, vous aurez 4 770 € en commandant chez Renault, alors que Tesla ne vous donnera que le montant requis sur la Model Y produite à Berlin et qui est ainsi éligible.
Grâce aux aides, la Model Y Standard tourne autour des 37 000 € en France et devient une excellente affaire
Ceci posé, qu’a annoncé exactement Roland Lescure ? Que le dispositif ne s’arrêtera pas au 31 décembre 2025 comme c’était prévu lors de sa création en juin dernier, ça c’est très clair. En revanche, le passage à 5 700 € concerne probablement les voitures électriques à moins de 47 000 €, de moins de 2,4 tonnes, produites en Europe et dont la batterie est également européenne, uniquement pour les ménages les plus modestes. C’est une situation exceptionnelle qui ne touchera que très peu de dossiers et on ne sait pas si la somme payée par la majorité, 3 100 € aujourd’hui, sera modifiée.
Il faudra attendre l’officialisation de l’extension du dispositif pour avoir tous les détails. Quoi qu’il en soit, si vous pensiez devoir vous dépêcher de signer le bon de commande avant la fin de l’année, sachez que vous avez du temps pour réfléchir. Ce coup de pouce payé par des entreprises semble bien parti pour durer.
Les offres Black Friday de NordVPN : c’est un grand oui !
Qui dit Black Friday dit traditionnellement les meilleures offres de l’année sur les VPN. Alors, ne perdez pas de temps et laissez-vous tenter par la référence absolue du marché. NordVPN combine vitesse, sécurité et simplicité, avec un chiffrement de haut niveau, des serveurs partout dans le monde et des applications très faciles à prendre en main. Que ce soit pour consulter des réseaux Wi-Fi publics sans stress, accéder à des contenus depuis l’étranger ou simplement protéger sa vie privée au quotidien, il y a forcément une offre qui vous correspond.
Pourquoi opter pour NordVPN ?
Le marché des VPN est ultra-concurrentiel. Certains acteurs arrivent, d’autres disparaissent aussi vite. Fondé en 2012, NordVPN est non seulement l’un des pionniers du secteur, mais aussi l’une de ses références absolues. Et pour s’en convaincre, il suffit de regarder les chiffres : 8 400 serveurs (soit 2 000 de plus qu’il y a un an), répartis dans 126 pays. Une croissance continue, portée par une innovation permanente. NordVPN, c’est depuis longtemps bien plus qu’un « simple » VPN.
C’est un ensemble de solutions qui vous accompagne sur tous vos appareils, du Mac à l’iPhone, en passant par l’Apple TV. Un véritable compagnon du quotidien, toujours là pour protéger votre navigation, empêcher le pistage, contourner les restrictions géographiques, gérer vos mots de passe en toute sécurité ou encore héberger vos fichiers dans le cloud sans stress. NordVPN, c’est tout ça — et plus encore.
Focus sur les offres de NordVPN pour le Black Friday
Les solutions de NordVPN se veulent simples, efficaces… et leurs offres le sont tout autant. Il y en a forcément une qui correspond à vos besoins.
Si vous recherchez une protection essentielle, le forfait NordVPN Basique est proposé à 2,99 €/mois sur 2 ans. Mieux : vous bénéficiez de 3 mois supplémentaires offerts, soit 27 mois au total pour 96,88 € TTC. Une porte d’entrée idéale pour naviguer l’esprit léger, sans se ruiner.
Autre point fort de la formule : vous pouvez protéger jusqu’à 10 appareils simultanément, ce qui permet de sécuriser toute votre flotte de terminaux Apple, du Mac à l’iPhone, en passant par l’iPad et l’Apple TV.
Si vous voulez aller plus loin, le pack NordVPN Plus est sans doute celui qui parlera au plus grand nombre. Il ajoute une couche de sécurité supplémentaire avec une protection anti-malware, une navigation renforcée contre le hameçonnage, un blocage des publicités et des traqueurs, ainsi qu’un gestionnaire de mots de passe multi-plateforme via NordPass. Cette formule est proposée à 3,89 €/mois sur 2 ans, avec toujours 3 mois offerts, soit 126,04 € TTC pour 27 mois d’une cybersécurité renforcée.
Pour celles et ceux qui veulent une protection vraiment complète, le pack Ultime réunit NordVPN, NordPass, NordLocker — un espace de stockage chiffré — ainsi qu’une assurance cyber intégrée. Ce forfait haut de gamme est proposé à 6,39 €/mois sur 2 ans, avec 3 mois offerts, soit 207,04 € TTC pour 27 mois. Une formule tout-en-un pensée pour couvrir chaque aspect de votre vie numérique, sans compromis.
La cybersécurité n’est plus un luxe, c’est une base
Naviguer sur Internet sans protection, c’est un peu comme laisser la porte de sa maison entrouverte en permanence. Les cybercriminels, eux, n’ont pas besoin qu’on les invite : ils se servent. NordVPN agit ici comme un véritable bouclier, en chiffrant l’intégralité du trafic entre votre appareil et Internet. Résultat : vos données personnelles, vos mots de passe ou vos informations bancaires ne circulent plus en clair et ne peuvent pas être interceptés par des tiers mal intentionnés.
Sous le capot, NordVPN s’appuie sur son protocole maison NordLynx, basé sur WireGuard. Une technologie qui offre à la fois un haut niveau de sécurité et des vitesses parmi les plus élevées du marché. Autre point important : ses serveurs fonctionnent uniquement sur mémoire vive (RAM). Concrètement, cela signifie qu’aucune donnée n’est jamais stockée durablement. À chaque redémarrage, tout est automatiquement effacé.
NordVPN propose également des adresses IP dédiées, une option intéressante pour celles et ceux qui veulent une expérience plus fluide et plus stable. Avec une IP rien qu’à vous, fini les CAPTCHA à répétition, les accès bloqués par certaines plateformes ou les soupçons liés aux IP partagées. C’est particulièrement utile pour le télétravail, l’accès à certains services bancaires ou pour sécuriser des connexions professionnelles régulières. On gagne en confort… et en sérénité.
Que vous soyez un professionnel soucieux de la confidentialité de ses données, un voyageur confronté aux restrictions géographiques ou un parent souhaitant protéger les usages numériques de sa famille, NordVPN propose des outils adaptés. Son interface reste simple à prendre en main, tout en intégrant des fonctions avancées comme le bloqueur Anti-Menaces ou le réseau Mesh, directement inclus pour renforcer votre protection au quotidien.
Le Black Friday, c’est une fois dans l’année
Vous entendez peut-être tout au long de l’année parler de VPN, de sécurité et plus généralement des dangers d’Internet. C’est le moment ou jamais d’agir. Non seulement vous vous épargnez bien de mauvaises mésaventures, mais vous profitez du Black Friday pour faire de belles économies. Et si vous hésitez encore, rappelez-vous que NordVPN offre une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. Vous n’avez rien à perdre, mais tout à gagner !
Quel que soit le forfait choisi — Basique, Plus ou Ultime — vous obtenez une cybersécurité d’excellente facture à un tarif imbattable.
Le HMO pourrait remplacer le LTPO dans les écrans OLED (on explique les sigles dans l'article)
Vous connaissez les écrans OLED1 (pour organic light-emitting diode, soit diode électroluminescente organique), qui équipent les iPhone depuis le modèle X. Avec leurs noirs profonds, les écrans OLED ont réussi à s'imposer dans pas mal de domaines, même s'ils restent assez onéreux. Depuis quelques années, pour ses écrans OLED, Apple utilise la technologie LTPO, et elle pourrait être remplacée dans le futur par du HMO.

LTPO2 signifie Low-temperature polycrystalline oxide (silicium polycristallin à basse température). C'est une technologie employée sur les écrans rapides (comme ceux à 120 Hz de certains iPhone) ou a contrario très lents, comme pour les Apple Watch dont la fréquence de rafraîchissement peut descendre à 1 Hz. Sans trop entrer dans les détails, la technologie LPTO permet de mieux gérer la façon dont les pixels des écrans OLED s'allument, mais aussi de réduire la consommation de la dalle. La technologie a tout de même un défaut, qui explique qu'elle n'est pas généralisée : un coût supérieur, qui peut atteindre 10 à 15 %. Pour continuer avec les acronymes, le LTPO s'accompagne d'ailleurs souvent d'IGZO (Indium gallium zinc oxyde).
Nous en arrivons au HMO (High Mobility Oxide). C'est une technologie développée Apple qui va être produite en masse par Samsung dès 2026. La société coréenne a visiblement été choisie pour ses capacités de production et son expertise dans le domaine de l'OLED. Dans les dalles LPTO, il y a deux parties différentes : le O (qui va avec IGZO) est lié aux oxydes, et le LTP vient du LTPS (Low-temperature polycrystalline silicon), une technologie issue des écrans à cristaux liquides (ou LCD). Une partie du surcoût des dalles LTPO vient donc du fait qu'elles combinent en réalité deux technologies. En HMO, il y a uniquement une couche d'oxyde, optimisée pour la consommation et la vitesse.
Le HMO doit en théorie permettre d'obtenir les performances et la consommation faible du LTPO, mais sans le surcoût. yeux1122 (un Coréen) explique que Samsung devrait produire en masse des dalles HMO en 2026, après de nombreux essais depuis 2021. Reste qu'il y a toujours une inconnue dans une nouvelle technologie, même quand elle est prometteuse sur le papier et lors de tests : la production en masse, justement. Samsung va probablement devoir adapter ses usines pour stabiliser la production et surtout obtenir un bon rendement. Et selon Wccftech, ces deux points ne devraient pas permettre à Apple d'intégrer les écrans en 2026 pour la gamme des iPhone 18, mais plutôt en 2027, avec peut-être d'abord une intégration dans les Apple Watch.
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Black Friday TV : la nouvelle Fire TV sous Vega OS à 20 € et autres promotions
Vous cherchez une solution pour accéder à vos services de streaming favoris sur un téléviseur, sans compter sur le système d’exploitation de l’écran et sans trop dépenser ? Les promotions du Black Friday permettent de faire de bonnes affaires sur les Fire TV d’Amazon, des clés HDMI qui offrent grosso modo les mêmes fonctions que l’Apple TV, pour une fraction du prix. La preuve, la Fire TV Stick 4K Select est sortie récemment et elle est déjà en promo à 20 € au lieu de 55, une réduction de pas moins de 64 % !
Pour ce prix, vous aurez un appareil capable de diffuser une vidéo 4K HDR10+ et du son multicanal, la base pour les téléviseurs récents. Elle se connecte au réseau local en Wi-Fi et propose tous les grands services de streaming : Netflix, Disney+, Canal+, Apple TV ou encore Prime Video, évidemment. Sous le capot, c’est le nouveau système d’exploitation Vega OS qui tourne, même si cela ne se voit pas nécessairement.
Dans son test, mon collègue Pierre regrettait la fermeture associée à ce choix qui permet surtout à Amazon de ne plus dépendre de Google comme sur les autres modèles. Mais il jugeait le produit à son prix de base, on sera moins exigeant à 20 € et c’est une bonne option si vous cherchez un équipement pour un téléviseur secondaire.
Test du Fire TV Stick 4K Select sous Vega OS : l'abandon d'Android n'amène que des défauts
Si c’est pour votre téléviseur principal, mieux vaut dépenser à peine plus pour acheter la Fire TV Stick 4K, actuellement en promotion à 30 € au lieu de 70. Pour 10 € de plus, on revient à Android et on gagne surtout les codecs Dolby Vision pour la vidéo HDR et Dolby Atmos pour le son immersif, qui sont souvent les seuls proposés par les services de streaming. On peut aussi compter sur du Wi-Fi 6 plus rapide, même si c’est sans doute moins significatif.
Si vous voulez vraiment dépenser plus, la Fire TV Stick 4K Max est à 47 € au lieu de 80, avec en échange des composants plus puissants, tant du côté du processeur ARM que du Wi-Fi qui passe au 6E. Pour la majorité des usages, cela ne fera pas une différence énorme, mais ce n’est pas beaucoup plus cher non plus. Et si vous voulez le meilleur de ce qu’Amazon propose, le Fire TV Cube est actuellement à 110 € au lieu de 160. On abandonne alors le format clé HDMI au profit, vous l’aurez deviné, d’un cube, ce qui permet notamment de bénéficier d’une prise Ethernet en plus du Wi-Fi 6E.
C’est aussi une enceinte Alexa complète, avec haut-parleurs et microphones intégrés, et ses composants sont les meilleurs de la gamme actuelle. Cela reste nettement moins cher que l’Apple TV, actuellement affichée avec une toute petite promo à 160 € au lieu de 169.
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Des Kindle en promotion dès 92 € et la couleur ou le stylet au meilleur prix
Si vous avez envie d'une liseuse et que vous comptez acheter vos livres sur Amazon — c'est important —, les Kindle sont en promotion. La version de base de la liseuse est 92 € en promotion (au lieu de 110 €) en deux couleurs, vert ou noir. À ce prix, Amazon va ajouter de la publicité sur l'écran de veille, ce qui est parfaitement supportable pour certains… et insupportable pour d'autres. Si vous voulez vous passer de la publicité la version sans réclames est à 100 € au lieu de 120 €. Dans les deux cas, la liseuse est éclairée, se charge en USB-C et dispose de 16 Go de mémoire interne.

La version Paperwhite, avec un écran plus lisible et un peu plus grand, est aussi en promotion. Elle est à 144 € avec de la publicité (au lieu de 170 €) et 152 € sans publicité, au lieu de 180 €.

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle
Il y a aussi des promotions sur le récent Kindle Colorsoft, doté d'un écran couleur. [La version avec 16 Go de stockage est à 185 € au lieu de 270 €, une belle réduction. Attention, il s'agit toujours d'un écran eINK et donc les couleurs sont un peu pastel, mais permettent tout de même de largement égayer les livres. Si vous voulez un adaptateur secteur USB-C (si vous n'en avez pas) et une housse, il y a aussi des promotions sur des packs, dès 222 €. La version dotée de 32 Go de stockage peut aussi être intéressante si vous aimez les bandes dessinées : elle est à 215 € au lieu de 300 €. Elle ajoute la charge sans fil, et [un pack avec une station de charge sans fil et une housse est proposé dès 267 €.

Enfin, les modèles de la gamme Scribe, dotés d'un grand écran et compatibles avec un stylet (fourni) sont aussi en promotion. La version avec 16 Go de mémoire est à 300 € au lieu de 430 €. Amazon ne facture que 20 € de plus pour passer à 32 Go et il faudra débourser 350 € pour la version 64 Go. Comme pour le Colorsoft, Amazon propose des packs avec une housse et un chargeur USB-C pour quelques euros de plus (dès 335 €).

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macOS peut exporter en PDF/A les PDF pour l'archivage
Depuis quelques versions de macOS (macOS Big Sur selon nos constatations), Apple propose d'exporter des documents dans une variante un peu particulière des fichiers PDF, les PDF/A. Le /A indique qu'il s'agit d'une version pensée pour l'archivage et la conservation à long terme. C'est un standard ISO, et son but est de permettre de stocker des PDF pour un usage futur avec une version très précise de la norme.
D'un point de vue pratique, un document PDF/A diffère sur certains points d'un PDF classique. Ou — plus exactement — il impose quelques points. L'intégration de références externes (polices, documents tiers, etc.) est interdite : un PDF/A ne doit contenir ni audio ni vidéo, et les polices doivent être intégrées dans le document. Dans un PDF classique, il est possible de se reposer en théorie sur les polices du système d'exploitation, mais ce n'est pas une solution pérenne. Le chiffrement est interdit, tout comme certaines technologies de compression, pour des raisons de propriété intellectuelle. Vous trouverez une liste des différences en question sur Wikipedia.

Sous macOS, donc, il est possible d'exporter un contenu en PDF/A. Avec Aperçu, il faut choisir Fichier > Exporter, sélectionner le format PDF et cocher la case Créer un PDF/A. Pour le test, nous avons simplement sauvé la page dédiée au PDF/A de Wikipedia avec Safari, puis exporté le même fichier en PDF/A avec Aperçu. La différence principale vient de la taille du fichier : le PDF/A pèse 391 ko, contre 280 ko pour la version classique. Une différence liée notamment à l'intégration des polices.
Par défaut, de nombreux programmes vont ouvrir les PDF/A en lecture seule, mais ce n'est pas le cas d'Aperçu sous macOS. Il faut noter, comme l'indique Howard Oakley, que les PDF/A créés par macOS ne sont pas compatibles totalement avec la norme PDF/A-2b selon un outil Adobe, mais d'autres logiciels de validation, eux, indiquent que les fichiers sont conformes, comme veraPDF. Il faut aussi noter que macOS peut créer un PDF/A avec du chiffrement, ce que la norme ne permet normalement pas.

Reste que même s'il y a visiblement quelques petits points qui peuvent poser des soucis, notamment avec les outils Adobe, la possibilité de créer un PDF/A est intéressante si vous devez fournir des PDF pour de l'archivage à long terme.
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Alexa+ arrive en France (en beta)
L'iPad mini OLED pas avant le troisième trimestre 2026 ?
La prochaine mise à jour de l'iPad mini pourrait être encore lointaine : d'après Instant Digital, ce serait pour le troisième ou quatrième trimestre de 2026 « au plus tôt ». Déjà le mois dernier, Mark Gurman prévenait que le design de ce nouveau modèle n'était pas encore finalisé et ne...

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Black Friday : Adobe offre un an d’accès à Photoshop… mais uniquement dans Chrome
Dans le cadre du Black Friday, Adobe offre un accès gratuit d’un an à Photoshop… mais ce n’est pas aussi excitant que l’on aimerait. Il ne s’agit pas de la version complète du célèbre éditeur d’images, celle que l’on peut installer sur son Mac ou PC sous Windows. C’est en réalité la variante allégée pour tourner dans un navigateur web qui est concernée et encore, uniquement pour les utilisateurs de Chrome. En effet, c’est un partenariat entre Adobe et Google et l’idée est d’obtenir un an d’accès à Photoshop Web à condition d’installer l’extension Chrome dédiée.
J’ai testé de mon côté et en effet, après avoir installé l’extension dans Chrome, j’ai bien eu accès à un abonnement gratuit d’un an. Précisons qu’un compte Adobe est indispensable ; j’en avais déjà un et j’aurais pu en créer un pour l’occasion si c’était nécessaire. Pas besoin en revanche de saisir un moyen de paiement, c’est le gros avantage : vous pouvez tester pendant 12 mois sans payer et avec l’assurance de ne pas être facturé automatiquement par la suite. Adobe espère vous convaincre dans l’intervalle, bien entendu, mais pour autant que je puisse en juger, c’est un essai réellement gratuit qui est proposé.
Reste qu’il s’agit uniquement de la version web de Photoshop, pas du logiciel complet. Selon les besoins, cela pourra suffire et j’étais étonné en testant rapidement la webapp de constater qu’elle est plus proche que je l’imaginais du « vrai » Photoshop. On retrouve vite ses marques grâce aux raccourcis clavier qui fonctionnent encore et le côté web ne gêne pas forcément, d’autant que cela fait bien longtemps que l’app d’Adobe a son propre univers graphique. Les outils de base pour recadrer, modifier la colorimétrie et retoucher les images sont bien là, tout comme ceux qui sont basés sur l’IA générative. Il lui manque toutefois de nombreuses fonctionnalités avancées : il n’y a rien pour dessiner ou gérer des vecteurs, il manque les filtres les plus complexes… bref, cela reste une app allégée.
Les professionnels feront mieux de se tourner vers l’app complète et le Black Friday est l’occasion de bénéficier de réductions intéressantes. L’abonnement d’un an au Creative Cloud Photographie, qui comprend Photoshop et Lightroom, est ainsi vendu moitié prix, soit 105 € la première année. D’autres offres sont également à tarif réduit, comme nous l’avions détaillé dans cet article.
Black Friday : jusqu’à - 63 % sur les offres Creative Cloud, même pour les abonnés existants
Si vos besoins sont plus légers, Photoshop Web peut faire l’affaire et le service a l’avantage de tourner dans tous les navigateurs web, y compris sous Linux. Je l’ai vérifié d’ailleurs : s’il faut passer par Chrome pour activer l’abonnement gratuit d’un an, je peux ensuite l’utiliser sans problème dans Safari. L’offre sera proposée jusqu’au 8 décembre 2025 et il ne semble pas y avoir d’autres conditions, même si j’imagine qu’elle est réservée aux personnes qui n’ont pas encore accès à la webapp.