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Adoption: un NeXT Cube recherche nouveaux parents attentifs et aimants
Suggestion de présentation
Alain @nialap m'a contacté il y a une dizaine de jours, car il a un NeXT Cube qui a besoin d'amour.
Les critères sont de pouvoir effacer proprement les données propriétaires qui y sont conservées, pouvoir le remettre potentiellement en l'état ainsi que ses périphériques, et lui offrir un avenir.
Ce NeXT Cube et ses périphériques ont été conservés depuis 10 ans dans des cartons empilés dans son garage, suite à un déménagement en Bretagne.
Il est donc possible que même si tout fonctionnait au stockage, ça ne soit plus le cas aujourd'hui.
Faut que je vous parle de la configuration et des périphériques, c'est pour moi un bijou!
D'abord le NeXT Cube Motorola 68040, qui a préfiguré nos Mac d'aujourd'hui et surtout Mac OS X, avec des outils de développements incroyablement avancés pour l'époque dont XCode descend, une machine et un OS inégalés.
Ensuite il est équipé d'une carte Dimension, avec son iNTEL i860 aka 80860, une carte graphique vraiment unique, qui accélère toute l'interface et les rendus 2D et surtout 3D en 16 millions de couleurs!
Ce i860 n'est pas juste une GPU mais une sorte de CPU+GPU, unique.
Ça rend ce NeXT Cube encore plus rare!
Mieux que ça, il vient avec un écran couleur, un disque-dur externe SCSI 1 Go, une imprimante laser Postscript, et une imprimante jet d'encre couleur Canon.
Plus équipé ou complet que ça, je ne vois pas!
Alain souhaiterait donner ce matériel, qui a une grande valeur historique, à des personnes ou un musée informatique, qui puisse le faire revivre (si nécessaire) et perdurer!

Le NeXT Cube qui a créé le Web
Souvenez-vous que le Web et son premier navigateur ont été créé sur un NeXT Cube, au CERN Franco-Suisse, par un chercheur Anglais Tim Berners-Lee. Le Web est Européen et NeXT...
Adoptez un morceau d'Histoire de l'informatique et du Web!
Notez que si je n'avais pas été si loin et en 130V, j'aurais sauté sur l'occase!
Fortnite débarque sur les PC Windows ARM, et ce n'est pas un changement anodin
Dans nos tests de PC sous Windows avec une puce ARM, nous avons une complainte récurrente, qui existe depuis le lancement de la plateforme, fin 2017 : l'absence de logiciels. Si quelques développeurs se sont mis à compiler leurs applications pour prendre en charge les puces de Qualcomm1 avec le temps et que les navigateurs majeurs proposent une version native, ce n'est pas le cas des jeux. En dehors du cas de World of Warcraft, aucun titre majeur ne propose de version native. Mais tout ceci vient de changer : Fortnite est enfin disponible et fonctionne sur les PC ARM.

Test de l'Asus Zenbook A14 : un PC portable ARM qui peine à convaincre
Pour le moment, Epic Games ne met pas ce changement en avant, mais la version 38.0 du jeu, sortie récemment, est bien compatible avec les PC ARM équipés d'une puce Snapdragon X. Les différents retours ne permettent pas actuellement de vérifier si les anciennes puces de Qualcomm sont aussi compatibles. Nous avons tenté de l'installer dans une machine virtuelle Windows 11 sur un Mac Apple Silicon, mais sans succès : le jeu indique qu'une puce TPM est nécessaire. La nouveauté se limite donc aux « vrais » PC équipés d'une puce ARM.

Les problèmes de Windows ARM
Le problème des jeux avec Windows ARM a trois causes principales. La première, c'est que certains moteurs de rendu ne sont pas adaptés aux puces de Qualcomm et que la dépendance au x86 est parfois fortes. Une simple recompilation ne suffit pas nécessairement pour obtenir de bonnes performances, surtout quand les programmes emploient des optimisations pensées pour les puces x86, comme l'utilisation des instructions AVX.
La seconde, nous l'avions noté dans nos tests de PC sous Windows ARM, c'est que la partie graphique des puces de Qualcomm est un peu faible, et que la qualité des pilotes est perfectible. Le GPU Adreno est en retrait face à ce que proposent Intel et AMD (en x86) ou Apple (en ARM). Et les GPU en question sont totalement incapables de rivaliser avec des cartes graphiques dédiées. Ce n'est pas nécessairement un problème dans le cas de Fortnite : c'est un jeu compétitif qui est pensé pour fonctionner à peu près correctement sur la partie graphique intégrée d'un PC lambda.
Test de l'Asus Vivobook S15 : enfin un PC Windows ARM qui tient la route grâce au Snapdragon X
Le troisième point, qui était bloquant chez Epic, vient des logiciels contre la triche. De nombreux jeux en ligne reposent sur ces derniers pour éviter que les joueurs trichent et rendent la compétition inégale, et d'autres ont des programmes de ce type pour éviter le piratage. Dans les deux cas, le problème est le même : ils reposent sur des solutions qui doivent avoir des accès bas niveau, et ils ne sont généralement pas adaptés aux puces ARM. Epic a mis à jour le sien il y a quelques mois dans une version bêta, et elle a été déployée avec la dernière mise à jour de Fortnite. Notons que nos confrères qui ont pu tester le jeu sur un PC équipé d'une puce Snapdragon n'indiquent pas si le jeu lui-même a été compilé pour les puces ARM, ou s'il repose encore sur l'émulation Prism de Microsoft. Mais les résultats tendent à prouver qu'il est bien natif.
Des performances correctes, sans plus
Le site Signal65 a pu tester le jeu, et les performances sont correctes, sans plus. Sur un PC Microsoft équipé d'un système sur puce Snapdragon X Elite (X1E-80-100, une variante qui se place dans le haut de la gamme), le jeu atteint 53 images/s en 1080p. C'est suffisant pour jouer de façon à peu près fluide, mais un PC équipé d'un Core Ultra 7 258V (Intel) atteint 74 images/s, et le Ryzen AI HX 370 d'AMD reste intouchable dans le même type de gammes, avec 86 images/s.

Même si les performances ne sont pas extraordinaires, voir arriver un jeu de ce type, très apprécié, est une bonne nouvelle pour l'écosystème. Il ne reste plus qu'à attendre que d'autres jeux arrivent et (surtout) que Microsoft laisse d'autres fabricants de systèmes sur puce proposer des PC sous Windows. Car une solution équipée des dernières puces de Nvidia — et donc d'une partie graphique dérivée des GeForce Blackwell — pourrait créer la surprise dans ce domaine.
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Les seules officiellement prises en charge par Microsoft. ↩︎
Galaxy XR : l'anti-Vision Pro de Samsung confirmé en France pour 2026
iOS 26 : Shazam passe au Liquid Glass et gagne une nouvelle interface
Grosse mise à jour pour Shazam, l’application de reconnaissance de morceaux achetée par Apple en 2018. Celle-ci est désormais prête pour iOS 26 et adopte les effets du Liquid Glass. Elle peut être téléchargée sur l’App Store si ce n’est pas déjà fait.

L’app a gagné une nouvelle barre de navigation en bas de l’écran. Elle permet d’accéder facilement à la page principale et au gros bouton pour lancer l’écoute, mais aussi à sa bibliothèque de titres analysés. Un troisième onglet est dédié aux concerts, au côté duquel se trouve un bouton pour rechercher une piste.
Les titres récemment détectés s’affichent maintenant directement sur l’écran d’accueil, sans avoir à faire glisser depuis le bas de l’app. L’interface est plus transparente avec de nouvelles animations. L’icône a également gagné un style plus Liquid Glass.
Les différentes apps d’Apple n’étaient pas forcément prêtes pour iOS 26 à sa sortie. GarageBand a par exemple été mis à jour en début de semaine afin de récupérer une nouvelle icône. Même chose pour Pixelmator Pro et Photomator, mais on attend toujours du changement pour la suite bureautique d’Apple (Pages, Numbers et Keynote) ou iMovie. Notons qu’il s’agit ici simplement de nouvelles icônes, là où Shazam a eu droit à une refonte plus complète.
GarageBand et Pixelmator Pro améliorent leur stabilité, corrigent des bugs et gagnent une nouvelle icône
Apple a également réglé quelques petites imperfections au fil de l’eau. L’app Assistance Apple a par exemple une bulle au niveau de sa barre de navigation qui dépassait sur le bouton voisin. Cela n’est plus le cas, mais le problème est toujours là dans Music sur notre iPhone 15 Pro.
eufy propose une caméra de surveillance qui peut vous suivre à 360° tout en filmant en 4K en parallèle
eufy, la marque spécialisée dans les objets connectés d'Anker, vient d'annoncer que la eufyCam S4 était disponible en précommande, pour 300 €. Ce modèle très haut de gamme pour eufy est une caméra de surveillance hybride, qui combine plusieurs objectifs, avec un double enregistrement.

La caméra principale filme en 4K et a un angle de vue de 130°, fixe. Elle peut enregistrer en local sur sa mémoire de 32 Go, extensible à 256 Go (une valeur étonnante, les cartes de 512 Go et plus existent) via une carte microSD. La seconde partie, elle, intègre deux objectifs qui filment en 2K (sans plus de précisions, donc probablement en 2 560 x 1 440) avec un suivi à 360° et une inclinaison qui peut atteindre 70°. Cette solution permet de suivre une personne ou un objet, avec un zoom 8x (numérique) et un suivi par IA, si vous avez la base associée. La marque ne donne pas de détails sur la présence de deux objectifs 2K, mais il y a probablement une focale fixe avec un grand angle et une seconde avec un cadre plus resserré. Il est possible d'accéder aux deux flux en parallèle, ce qui rend la solution assez pratique.
Une caméra autonome
La caméra est Wi-Fi, et elle intègre une batterie de 10 000 mAh (la marque ne fournit pas la capacité en Wh). Alors que c'est une option chez beaucoup de fabricants, elle est livrée avec un panneau solaire amovible, qui devrait permettre à la caméra de fonctionner sur batterie (presque) indéfiniment. Le panneau de 5,5 W est en effet capable de charger la batterie de la caméra, mais pas nécessairement de l'alimenter directement. Elle peut donc être placée à peu près n'importe où, tant que votre réseau Wi-Fi est accessible.

Une base pour l'IA
Si la caméra est autonome seule, elle n'est pas capable de filmer en continu, et les fonctions de suivi par IA — ainsi que les traitements d'images qui utilisent aussi l'IA — dépendent de la base HomeBase S380. Elle est livrée en kit avec deux caméras, qui diffèrent généralement du modèle vendu seul : elles n'ont que 16 Go de stockage. En contrepartie, la base peut accepter un disque dur qui peut atteindre 16 To selon eufy. Le kit en question vaut 700 €. Attention, l'enregistrement en continu nécessite d'alimenter la caméra avec un adaptateur secteur, il n'est pas disponible sur batterie.

Si vous êtes amateurs de produit Apple, cette caméra a un petit défaut : alors qu'eufy propose souvent une compatibilité HomeKit sur ses modèles, ce n'est pas le cas ici. La seule manière d'accéder aux flux est de passer par l'app de la société. Et dans le cas d'eufy, ce n'est pas nécessairement une bonne nouvelle : eufy a longtemps « oublié » de chiffrer les flux issus de ses caméras. Et si ce n'est pas un problème dans l'absolu, les choix de la société sont parfois critiquables : elle achète par exemple les vidéos de ses clients pour entraîner son IA, ce qui pose tout de même des questions sur la vie privée.
Reste que les produits offrent généralement un bon rapport qualité/prix dans le domaine, et qu'il est toujours possible de refuser de vendre les vidéos, et d'empêcher les caméras d'accéder à l'extérieur, si vous avez peur des failles de sécurité. Et ce n'est pas une recommandation qui se limite aux caméras d'eufy…
Un milliard d'utilisateurs ? Un objectif pas si fou que ça pour Spotify....
Rumeur: un M5 Ultra en 2026 pour le Mac Studio et le Mac Pro
Une rumeur vient d'arriver, celle d'un M5 Ultra en 2026 pour le Mac Pro et pour chapeauter la gamme Mac Studio. Le M5 Ultra pourrait sortir vers l'été 2026, après les M5 Pro et M5 Max.
Dans certaines famille M Apple Silicon il existe une déclinaison Ultra.
Elle consiste en deux puces Max accouplées via un bus très rapide, permettant de doubler les performances théoriques, que ça soit CPU, GPU ou NPU. Ou même la bande-passante mémoire.
On retrouve ces Ultra dans le Mac Pro et le haut-de-gamme Mac Studio.
Cette déclinaison est apparue dès la première génération M1, suivie par les générations M2 puis M3, mais n'a pas été proposée dans la génération M4.
Ça explique pourquoi le Mac Studio est proposé en M4 Max et M3 Ultra, faute de M4 Ultra.
Il est donc probable qu'apparaisse maintenant un M5 Ultra, le M3 Ultra pouvant être égalé sur certains critères par le M5 Max, afin de continuer à offrir un Mac Pro et un Mac Studio à la pointe des performances.
Les versions Ultra donnent leurs meilleures performances avec des logiciels professionnels (couteux) optimisés pour ce type d'architecture, où certes la mémoire est partagée entre toutes les unités et les deux puces (UMA Apple), mais où les accès à cette mémoire partagée répondent plus aux règles NUMA (mémoire non-unifiée) même entre les 2 CPU accolées !
Ce dernier point s'observant via de médiocres résultats Geekbench 6, ce benchmark n'étant pas optimisé pour cette situation, contrairement à de nombreux logiciels pros pour Mac.
iOS 26.2 amorce l’ouverture des iPhone japonais aux boutiques tierces
Les murs de l’écosystème Apple continuent de s’effriter. Selon l’utilisateur de X @Tzzlala, les utilisateurs d’iPhone au Japon ayant téléchargé la première bêta d’iOS 26.2 peuvent désormais installer des boutiques alternatives comme AltStore PAL ou l'Epic Games Store sur leur iPhone.
iOS 26.2 Beta 1で代替アプリストアが日本でも利用可能になってる!!!!!!
— しずく (@Tzzlala) November 4, 2025
AltStore PALとかEpic Games Store使える! pic.twitter.com/292ncTZrKJ
Cela fait quelques années que le gouvernement japonais a Apple dans le collimateur : une loi inspirée du DMA a été votée en juin 2024 obligeant Cupertino à s’ouvrir à la concurrence sur sa plateforme. Les changements doivent être mis en place avant le 18 décembre 2025, ce qui explique le timing. Cependant, la loi ne se limite pas aux boutiques alternatives.
iOS va également devoir prendre en charge les plateformes de paiement concurrentes dans les apps et donner le choix aux utilisateurs dans les apps par défaut. Cupertino n’aura plus le droit d’utiliser les données des utilisateurs auxquelles les développeurs tiers n’auraient pas accès, et ne pourra plus faire la promotion de ses propres applications sur l’App Store.
La possibilité d’installer des apps tierces est arrivée dans l’UE avec iOS 17.4 afin de se mettre au pas du DMA. Altstore a ouvert le bal, suivi par Epic, mais aussi Setapp ou encore Aptoide. Les rumeurs voulaient qu’Apple ait préparé un système pour ouvrir iOS à travers le monde en cas de passage de lois similaires au DMA : on peut imaginer que c’est celui qui a été utilisé aujourd’hui. L’installation d’apps tierces n’est pour le moment pas possible en dehors de l’Union européenne.
iOS 26.2 devrait donc sortir avant le 18 décembre, probablement entre le 9 et le 16. C’est attendu : Apple laisse traditionnellement la fin d’année tranquille à ses développeurs. La mise à jour n’apporte pas de grosse nouveauté, et on y trouve principalement la traduction en direct des AirPods ainsi qu’un nouveau réglage pour ajuster le Liquid Glass de l’horloge sur l’écran verrouillé.
Recharge des voitures : Tesla active son MultiPass en France
Tesla a activé le MultiPass pour ses clients français, cette idée originale qui transforme la carte NFC qui fait office de clé de voiture en carte de recharge pour les réseaux tiers. La fonctionnalité a été lancée en septembre dernier d’abord aux Pays-Bas et j’ai reçu une notification à l’heure du repas pour me signaler sa disponibilité pour mon compte. Mon collègue Cédric n’avait pas eu d’alerte, mais il a pu malgré tout activer la fonction, alors n’hésitez pas à faire un tour dans les notifications intégrées à votre app Tesla pour vérifier ce qu’il en est.
Pour rappel, le principe du MultiPass est de transformer la carte NFC fournie avec toutes les Tesla en une carte de charge, compatible avec les bornes de charge publiques. Cela ne concerne pas les Superchargeurs de la marque, qui communiquent directement avec la voiture pour l’identifier et initier la charge automatiquement. Cela concerne en revanche la majorité des autres bornes, que ce soit les rapides que l’on trouve sur toutes les aires de service au bord des autoroutes ou les lentes que l’on peut dénicher dans les villes ou sur les parkings de supermarchés.
Ces bornes nécessitent un moyen de paiement, mais disposent rarement d’un lecteur de carte bancaire et on utilise alors une carte NFC pour s’identifier. De nombreux opérateurs fournissent de telles cartes, le plus connu en France étant sans doute Chargemap. Les conducteurs de Tesla n’en auront en théorie plus besoin, ils pourront utiliser la carte fournie avec leur voiture pour réaliser la même tâche. Le paiement sera alors prélevé de la même manière que pour les Superchargeurs. La carte Tesla pourra même fonctionner pour d’autres véhicules, elle n’est pas liée à une voiture en particulier… tout en gardant sa fonction de clé de voiture de secours (on utilise plutôt son smartphone au quotidien).
L’activation du MultiPass se fait dans l’app mobile de Tesla et nécessite de scanner l’une de ses cartes clés avec le lecteur NFC intégré au smartphone. On peut aussi choisir un moyen de paiement différent de celui utilisé pour les Superchargeurs, même si c’est celui qui est sélectionné par défaut. Si vous avez du crédit Tesla pour des charges gratuites, bonne nouvelle : vous pourrez aussi l’utiliser comme moyen de paiement sur les bornes tierces, comme Cédric a pu me le confirmer. Tout n’est pas parfait pour autant et cette carte ne devrait pas être aussi universelle qu’on l’aimerait.
Par rapport aux cartes dédiées à la charge, le MultiPass ne sera pas compatible avec toutes les bornes. Le fabricant indique sur son site que seules celles visibles sur l’écran de la voiture sont prises en charge et comme il en manque beaucoup, mieux vaut encore commencer par là et choisir une borne en fonction de ce que l’ordinateur de bord suggère. Côté tarifs, l’offre de Tesla est intéressante sur le papier, puisque le constructeur ne prélève pas de frais sur chaque session de charge alors que c’est systématiquement le cas avec les cartes dédiées. On aimerait néanmoins davantage de transparence dans ce domaine, où l’opacité est la norme : puisque le prix des bornes tierces n’est pas affiché dans la voiture, on ne saura pas combien on paye le kWh avant de recevoir la facture.
Malgré ces limites, le MultiPass est un plan B intéressant pour pouvoir charger hors du réseau de Superchargeurs. Au lieu d’acheter une carte dédiée, utiliser celle que l’on a déjà dans la voiture est une bonne idée et l’absence de frais supplémentaires prélevés par Tesla est une bonne nouvelle.
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Les puces M5 Max et M5 Ultra attendues sur le Mac Studio en 2026
La prochaine génération de Mac Studio attendue pour 2026 sera équipée des puces Apple M5 Max et M5 Ultra, affirme Mark Gurman sur Bloomberg. En mars dernier, Apple avait lancé une nouvelle gamme de Mac Studio composée de puces M4 Max et M3 Ultra de deux générations différentes. Apple avait...

Le Nintendo Store a maintenant son application iOS
Bonne nouvelle pour les joueurs Switch : Nintendo vient de mettre en ligne une app pour le Nintendo Store. On peut y retrouver les différents jeux de l’eShop, mais aussi consulter les produits matériels de la boutique (consoles, manette…). Elle est dès à présent disponible sur l’App Store et sur Android. On notera qu’elle est directement optimisée pour l’iPad.

Les achats passent toujours par une fenêtre web venant s’ouvrir dans l’app, mais cela reste plus pratique que de lancer Safari pour faire du lèche-vitrine. Un système de notification est en place, tout comme un fil d’actualité permettant de surveiller les dernières sorties. La liste de souhait est également facilement accessible, avec un filtre pour voir les titres en promotion.
Se connecter à son compte Nintendo permet d’accéder à quelques statistiques, comme ses heures passées sur les différents jeux ou les dates des parties. Il est même possible de remonter jusqu’à la 3DS et la Wii U en entrant son identifiant Nintendo Network. Les données vont jusqu’à 2020 et étaient auparavant un peu plus planquées dans les réglages du contrôle parental.

L’app n’est pas complètement nouvelle : elle a fait ses débuts il y a 5 ans… mais était exclusivement réservée au Japon sous le nom de My Nintendo. Ce second départ la rend disponible au Canada, aux États-Unis et dans une bonne partie de l’Europe.
Nintendo n’en finit pas de lancer de nouvelles applications ces derniers temps. Elle a revu l’app compagnon de sa Switch à l’occasion de la sortie de la deuxième génération, améliorant au passage son utilitaire dédié au contrôle parental. Elle a ensuite dévoilé Nintendo Music, une plateforme de streaming avec les OST de ses jeux. Nintendo Today est arrivée par la suite, permettant de suivre les dernières actualités de la marque.
L'Osmo Mobile 8 de DJI débarque avec suivi Apple DockKit
L’Europe ouvre les algorithmes de TikTok, Instagram et Facebook aux chercheurs
Osmo Mobile 8 : DJI présente son premier stabilisateur compatible avec le DockKit d’Apple
DJI vient de mettre à jour son Osmo Mobile, un gimball pour téléphones améliorant grandement la stabilisation des vidéos prises à l’iPhone. Cette huitième version arrive seulement 8 mois après la précédente, avec un atout de poids pour les utilisateurs Apple : la prise en charge de DockKit, une technologie de suivi de sujet native à iOS. Elle fonctionne par exemple directement dans l’app Appareil Photo, évitant d’avoir à télécharger le programme du constructeur.

Le concept de cet Osmo Mobile est similaire aux produits d’Insta360 que nous avions testé. On peut glisser le smartphone dans une pince magnétique avant de le mettre sur cette espèce de perche à selfie motorisée. La poignée va compenser les vibrations si vous filmez en marchant ou en courant pour une image toujours fluide. Des boutons sont présents pour bouger le téléphone, et on peut maintenant le faire tourner à 360°.
DJI recommande évidemment de passer par son application Mimo, bien intégrée à l’accessoire via sa connexion Bluetooth. On peut ainsi zoomer grâce à une molette spéciale ou activer un suivi de sujets maison, qui peut désormais suivre les chats et les chiens. DJI promet un suivi précis en se basant sur le grand-angle et le téléobjectif en simultané.
L’accessoire embarque un petit trépied ainsi qu’une barre d’extension. On y trouve aussi un petit module magnétique situé au niveau du téléphone : il fait office de lampe sur huit niveaux de luminosité et de récepteur pour microphones. Les créateurs pourront y relier un micro DJI Mic 3, Mic 2 ou Mic mini pour enregistrer de manière plus confortable. Il est également utilisé pour le suivi, un atout pour ceux filmant à l’aide d’une app non prise en charge.

L’autonomie annoncée est de 10 heures, et DJI promet du mieux pour la stabilisation des gros téléphones grâce à de meilleurs contrepoids. L’accessoire est désormais disponible sur Amazon pour 159 €. L’ancienne version (sans DockKit mais partageant une grosse partie de la fiche technique) devrait rapidement tomber en promo. On la trouve actuellement pour 89 €.
L'iPad Air M3 en promo à son prix le plus bas depuis le lancement !
Office Mac en licence perpétuelle à son prix le plus bas
iOS 26.2 fait référence à un mystérieux Apple Creator Studio
La version bêta d'iOS 26.2 distribuée hier soir comporte une mystérieuse référence à quelque chose d'appelé « Apple Creator Studio », sans le moindre contexte d'après le développeur Aaron Perris qui fait régulièrement des découvertes en fouillant dans les entrailles des systèmes...

Guide d’achat : plutôt MacBook Pro M5 ou M4 Pro ?
La menace fantôme : les HomePod mini et HomePod 2 souffrent d'un problème d'activation inopinée sur la partie tactile
Apple a visiblement un problème avec les HomePod mini et les HomePod 2 : sur les deux enceintes connectées, de nombreuses personnes souffrent d'un problème lié à la partie tactile, qui s'active sans raison particulière. Un de nos développeurs a ce problème avec un HomePod 2 et votre serviteur a été touché avec un HomePod mini.

Des activations fantômes
Les symptômes sont simples : des activations fantômes de la partie tactile. Le HomePod peut se mettre en pause, démarrer de la musique, augmenter le volume, etc. Et croyez-en mon expérience, quand un HomePod se déclenche seul au milieu de la nuit et mettant le volume à fond, ce n'est pas très amusant. Sans que le souci soit généralisé, il y a de nombreux messages mettant en avant ce problème, que ce soit sur Reddit ou sur nos forums.

D'un point de vue purement pratique, c'est un problème énervant car aléatoire, et surtout bloquant dans certains cas : la méthode officielle pour remettre à zéro un HomePod mini — ce qu'Apple vous demandera probablement de faire si vous appelez le SAV — consiste justement à utiliser la partie tactile… ce qui peut amener une boucle de remise à zéro.
Une solution peu pratique
Le site FixPod, qui est un de nos partenaires, nous a confirmé que le problème touchait autant les HomePod 2 que les HomePod mini. Pour le HomePod 2, ils proposent deux types de réparation : le débranchement de la partie tactile, pour 70 €, ou le remplacement de cette dernière pour 120 €. Dans le premier cas, le problème d'activation fantôme va logiquement disparaître, mais vous perdrez dans la foulée la possibilité de contrôler physiquement l'enceinte. Comme le HomePod 2 peut être contrôlé à la voix ou depuis un autre appareil, ce n'est pas un énorme problème.
Les HomePod 2 menacés par des pannes du pavé tactile et de l’alimentation
Dans le cas du HomePod mini, seul le débranchement de la partie tactile est proposé, là aussi pour 70 €. Une modification qui n'est pas nécessairement intéressante financièrement : un HomePod mini neuf vaut 110 €, avec le risque éventuel que le nouveau modèle soit touché par le même problème. Comme pour le HomePod 2, un HomePod mini sans zone tactile reste fonctionnel. Pour les amateurs, il est possible d'effectuer la manipulation et le HomePod mini se démonte assez facilement… mais est très compliqué à remonter.

Comme le problème semble assez courant, il semble difficile de recommander l'achat d'un HomePod actuellement, sans même prendre en compte le fait que le HomePod 2 et le HomePod mini sont des produits assez anciens dans la gamme Apple. De nombreuses rumeurs indiquent qu'Apple pourrait bientôt les renouveler… en espérant que la marque prenne en compte ce défaut.