Si les rumeurs sur un iPhone pliant sont nombreuses, ce n'est pas le seul appareil de ce type qu'Apple étudierait. Selon Bloomberg, Apple travaillerait sur une tablette pliante, avec un écran de 18 pouces.
La Huawei MateBook Fold serait un modèle pour Apple. Image Huawei.
Sous le nom de code J312, on retrouve un appareil qui n'aurait pas d'écran externe, mais uniquement un écran interne. C'est un choix différent de celui des smartphones pliants, qui combinent un écran interne dans un ratio proche du carré et un écran externe plus allongé, comme nos iPhone. L'appareil, une fois ouvert, serait de la taille d'un ordinateur portable de 13 pouces déployé. La différence principale viendrait évidemment du résultat : la tablette remplacerait le clavier et le trackpad de l'ordinateur portable par un écran tactile qui prendrait toute la surface disponible.
Selon nos confrères, l'appareil emploierait évidemment un écran OLED. La technologie, en dehors du fait d'offrir une excellente qualité d'image, permet de créer des écrans très fins, ce qui est important dans le cas des modèles pliants. Le poids de cet iPad XXL serait du même ordre que celui des MacBook Pro, avec 3,5 livres sur la balance (environ 1,6 kg). C'est nettement plus que les tablettes actuelles : même l'iPad Pro de 13 pouces est sous les 600 grammes.
Le modèle d'Apple serait un périphérique chinois qui existe déjà ; la MateBook Fold de chez Huawei. Avec son écran de 18 pouces pliant et son prix cde 3 400 $ (en Chine uniquement), la tablette serait l'appareil le plus proche des prototypes d'Apple, selon les sources de Mark Gurman.
La question du prix et celle de la date de sortie sont évidemment au cœur des rumeurs. Pour le premier point, Bloomberg annonce un tarif de l'ordre de 3 000 $, ce qui devrait placer la tablette entre 3 000 et 3 500 € dans nos contrées, largement au-delà du prix des iPad Pro actuels. Pour la date de sortie, deux dates sont évoquées : 2028 si tout se passe bien, mais plus probablement début 2029 selon d'autres sources, tant les contraintes techniques sont importantes.
Les tests du nouveau MacBook Pro M5, qui doit arriver chez les premiers clients demain, viennent de tomber. Et comme pour les tests des iPad Pro M5, nos confrères sont généralement conquis, pour une bonne raison : le MacBook Pro M5 est un excellent Mac. Mais ce n'est pas une surprise et même parfois un reproche : le MacBook Pro M5 est un MacBook Pro M4 amélioré.
Le MacBook Pro. Image Les Numériques.
Numerama liste les petits changements : une puce M5 plus rapide, un SSD deux fois plus performant, un chargeur absent dans nos contrées et un prix en baisse (100 € de moins). Le principal reproche, qui est généralisé, est l'absence de Wi-Fi 7. Apple n'a pas intégré sa puce N1 et le Mac se contente du Wi-Fi 6E, ce qui fait dire ceci à nos confrères : « Un choix difficile à justifier pour une machine qui se veut à la pointe de la technologie. ».
Tom's Hardware, habitués aux tests techniques, montre que le SSD est réellement plus rapide, tant dans les tests théoriques que pratiques (environ 6 Go/s). De même, le CPU est nettement plus rapide que le M4, tout comme la partie graphique. L'antique Shadow of the Tomb Raider est jouable à pratiquement 60 images/s en 1200p et l'écran Mini LED est toujours aussi bon, avec une luminosité élevée que les écrans OLED de PC ne peuvent pas égaler. Ils remarquent tout de même, comme toujours depuis une bonne dizaine d'années, que le MacBook Pro ne peut pas être mis à jour, et que les options proposées par Apple sont onéreuses. L'autonomie est visiblement du même ordre (à quelques minutes près) que pour le modèle M4, et ils reprochent (eux aussi) l'absence de Wi-Fi 7.
Aux couleurs de la saison. Image Ars Technica.
Pour The Verge, la note est aussi positive, avec essentiellement deux reproches : c'est une mise à jour ennuyeuse et le coloris sombre (minuit) tend à récupérer un peu trop les traces de doigts. Pour le reste, les gains de performances de l'ordre de 15 à 20 % sont mis en avant, tout comme le SSD nettement plus rapide.
Image Tom's Hardware.
Chez les Numériques, le MacBook Pro a cinq étoiles, avec la mise en avant de la structure du Mac, toujours excellente, et la qualité de son écran et de ses haut-parleurs. Nos confrères notent tout de même que si les performances sont élevées, le MacBook Pro M5 semble un peu plus audible que sa variante M4, avec une hausse notable sur ce point. Comme chez d'autres, c'est l'absence de Wi-Fi 7 qui est mise en avant, un problème plus prégnant en France que dans d'autres pays car les fournisseurs d'accès mettent largement en avant la dernière version de la norme.
Des températures un rien plus élevées que le modèle précédent. Image Les Numériques.
Enfin, Ars Technica loue les performances, tant sur la partie CPU que la partie GPU, mais note que la consommation est plus élevée. Alors que les puces précédentes restaient sous les 20 W, le nouveau système sur puce peut monter à 28 W dans certains cas, une valeur qui commence à être importante. Ils notent tout de même que le MacBook Pro est dans une position un peu inconfortable, entre des MacBook Air plus légers et performants dans l'absolu, et des MacBook Pro 14 et 16 pouces qui peuvent être plus performants. L'écran Mini LED (120 Hz) est pour eux l'argument le plus important face à un MacBook Air, et le Mac est un peu plus épais et lourd que des PC de la même catégorie.
Image the Verge.
Le point qui est aussi visible en creux, et parfois mis en avant vient de l'esthétique : le MacBook Pro M5 est identique au MacBook Pro M3 et même aux MacBook Pro M1 Pro de 2021. C'est un défaut qui n'en est pas nécessairement un car les choix d'Apple restent pertinents, mais pour ceux qui aiment la nouveauté pour la nouveauté, c'est un problème.
Nous vous proposerons bien évidemment un test de ce MacBook Pro M5 dès que possible, dès que notre exemplaire sera arrivé.
Les tests du nouveau Vision Pro M5 sont là eux aussi. Apple met à jour son ordinateur spatial avec une puce M5, une autonomie en légère hausse et, surtout, un nouvel arceau censé régler le problème critique du confort.
OpenAI, comme prévu, a annoncé son navigateur. Nommé Atlas, il débarque en exclusivité sous macOS dès aujourd'hui, uniquement pour les Mac Apple Silicon. C'est un navigateur basé sur Chromium (comme Chrome ou Edge) qui est compatible avec les extensions Chrome. OpenAI a annoncé des versions pour Windows, iOS et Android prochainement (Linux ne semble pas encore de la partie).
Atlas remplace Google par ChatGPT.
Une fois le navigateur téléchargé sur le site dédié, vous devrez vous connecter sur votre compte OpenAI, obligatoire ici. La seconde étape, optionnelle, est l'importation de vos données (par exemple celles de Safari, si vous utilisez le navigateur d'Apple). Atlas demande aussi la permission de mémoriser des informations sur votre navigation et présente un nouvel outil, nommé Cursor. OpenAI fait un peu le forceur avec une fenêtre qui propose de définir Atlas comme navigateur par défaut en échange de 7 jours gratuits d'une version payante de ChatGPT..
Au lancement.ChatGPT est évidemment intégré.Oubliez Safari.
L'interface elle-même est assez proche de celle de Chrome et de nombreux navigateurs, mais s'ouvre évidemment sur ChatGPT. Si vous avez l'habitude de Google (ou de n'importe quel autre moteur de recherches), c'est évidemment un changement assez radical. ChatGPT est globalement efficace selon nos premiers essais rapides, et l'intégration de l'assistant dans le navigateur est importante. Il propose par exemple une barre latérale Demander à ChatGPT qui affiche directement l'assistant avec quelques suggestions, comme un résumé d'un article.
ChatGPT peut vous résumer une page.
Si vous posez des questions sur une page, l'assistant peut vous proposer de la garder en mémoire, pour éventuellement revenir dessus plus tard. Il faut noter que dans certains cas, les résumés de ChatGPT sont plus longs que la page originale, ce qui est surprenant.
Vous verrez assez vite ce problème.
Le principal défaut de ce navigateur pour le moment est que vous allez probablement atteindre assez vite les limites de l'assistant sur sa dernière version en date (GPT-5) si vous ne payez pas un abonnement.
Free vient de confirmer une bonne nouvelle à ses abonnés Freebox Ultra. Malgré la récente augmentation des tarifs de Disney+, l'opérateur de Xavier Niel maintient l'abonnement Disney+ Standard avec pub inclus dans son offre premium, sans surcoût. Les options supérieures, elles, vont par contre augmenter.
Les premiers tests du MacBook Pro M5 14 pouces sont là. Le verdict est unanime : si le design de 2021 commence sérieusement à dater, les performances internes, elles, font un bond notable. La puce M5 brille surtout par son nouveau GPU, ses capacités IA et un SSD enfin ultra-rapide. Mais est-ce suffisant ? Voici l'avis de nos confrères qui ont pu avoir le produit en avant-première.
Comme il l'avait teasé cet après midi, l’éditeur de ChatGPT passe à la vitesse supérieure avec un navigateur web dopé à l’intelligence artificielle, capable de dialoguer directement avec l’utilisateur et d’agir sur le web à sa place.
Stellantis compte produire le SUV chinois Leapmotor B10 en Espagne dès 2026. Selon plusieurs sources, ce véhicule électrique pourrait être rebadgé et intégré directement dans la gamme Opel. Une stratégie carrément surprenante pour contourner les taxes européennes et accélérer sur l'électrique.
Un PenTester raconte comment il a réussi à infiltrer le réseau d’une start-up ultra-sécurisée… en piratant la voiture d’un employé. Une démonstration impressionnante qui illustre parfaitement la règle d’or de la cybersécurité : une chaîne ne vaut que par son maillon le plus faible.
Si vous désirez étendre le stockage disponible au sein de votre nouvelle Nintendo Switch 2, il faut impérativement opter pour un des récents modèles microSD Express afin de profiter des meilleures performances de ce format. Le modèle Play Pro de Lexar est actuellement en promotion
Face aux rumeurs persistantes sur l'arrêt des consoles, Microsoft tape cette fois du poing. Sarah Bond, présidente de Xbox, a confirmé que le matériel de nouvelle génération est bien en développement. Les phases de prototypage sont lancées et un partenariat avec AMD est déjà annoncé pour cette future machine.
Avec le Mini 4K, DJI propose l'un de ses best‑sellers légers et compacts – moins de 249 g ! Une bouffée d’oxygène créative pour les amateurs d’images aériennes à emporter partout avec soi.
Avec plus de 80 000 téléphones dérobés en 2024, Londres est devenue une plaque tournante du vol connecté, et doit faire face à une véritable industrie, savamment organisée et alimentée par un trafic international vers la Chine.
À la veille de leur sortie, les iPad Pro M5 ont été testés par quelques médias triés sur le volet. L’occasion de voir s’il faut se précipiter en boutique dès demain ou bien attendre son tour — et notre test à venir prochainement.
iPad Pro M5. Image Wired.
Système sur puce
Sur la forme, les iPad Pro M5 n’ont pas changé. Il faut dire que la génération précédente avait apporté une finesse impressionnante et un écran OLED tout aussi frappant. Les nouveautés sont donc uniquement internes (à un détail près), à commencer par ce nouveau système sur puce.
Pour The Verge, le gain de performances se fera surtout sentir si vous venez d’un ancien modèle : « Si vous passez d’un iPad Pro M1, vous remarquerez tout de suite l’amélioration. Ce qui prenait du temps à charger ou à se sauvegarder se fait désormais presque instantanément. » En revanche, « le saut depuis le M4 ne se verra vraiment que si vous manipulez d’énormes fichiers vidéo ou des rendus 3D ». Pour la plupart des utilisateurs, « le M4 était et reste largement suffisant ».
Wired a noté des gains concrets sur certaines applications : « Dans l’app Draw Things, l’iPad Pro M5 générait des images en 7 secondes contre 13 pour le M4. » Mais le site regrette encore une limitation très terre-à-terre : « Ce qui m’agace, c’est que cette machine si puissante n’a toujours qu’un seul port USB-C. »
iPad Pro M5. Image The Verge.
Chez MacStories, le verdict est plus amer. Le site constate que le GPU du M5 est 3,5 fois plus rapide que celui du M4, mais ajoute aussitôt que ce bond est dénué de sens car des jeux comme Resident Evil 4 et Assassin’s Creed Mirage ont un framerate bloqué à 30 images par seconde.
Même constat côté intelligence artificielle : « Le “saut” en IA vanté par Apple est réel sur le papier, mais inutile en pratique », écrit MacStories, faute d’applications capables d’exploiter la nouvelle architecture. Le site déplore un écosystème « fragmenté » où chaque app doit télécharger « ses propres modèles tiers », alors que le modèle de base d’Apple « n’est pas assez bon pour la plupart des tâches ». En résumé, la puissance est là, mais iPadOS et les développeurs n’en font encore rien. À noter tout de même la compatibilité avec les écrans externes 4K 120 Hz, « parfaitement fonctionnelle ».
Connexion sans fil
Apple a remplacé les puces réseau de Qualcomm et Broadcom par ses propres composants, les puces C1X et N1, et selon The Verge, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Au contraire, le site a même constaté de meilleurs débits sur iPad Pro M5.
En testant la connexion 5G aux États-Unis, SixColors a pour sa part mesuré un débit descendant inférieur, mais un débit montant beaucoup plus rapide. Difficile de comparer scientifiquement la connexion cellulaire d’une génération à l’autre de toute façon, de multiples éléments affectent les performances.
Recharge rapide
Une nouveauté appréciée concerne la recharge. Il est en effet possible de recharger les iPad plus rapidement que par le passé. The Verge a confirmé les chiffres d’Apple : *« En 30 minutes de charge, l’iPad Pro M5 était à 50 %, contre 33 % pour le M4. » SixColors confirme que la recharge rapide fait la différence au quotidien : « Je l’ai branché alors qu’il était presque vide, et peu après, il avait déjà repris une bonne partie de sa charge. »
Wired souligne pour sa part une autonomie « solide comme toujours », le testeur ayant terminé sa journée de travail avec encore 39 % de batterie à 16 h.
Pour conclure temporairement
Au bout du compte, The Verge conseille de ne pas se précipiter : « Pour la plupart des gens, un bon prix sur un iPad Pro M4 suffira largement. »MacStories est plus sévère : « Le saut “IA” vanté par Apple est vrai sur le papier, mais inutile en pratique pour le moment. »
SixColors conclut sur une note plus enthousiaste : « Utiliser l’iPad Pro, c’est un luxe, d’une certaine façon. Mais si vous aimez votre iPad, vous en tirerez énormément de satisfaction. C’est vraiment l’expression ultime de la vision d’Apple pour la tablette. » Chaque année, les tests finissaient par des critiques (justifiées) sur iPadOS, pas à la hauteur du matériel. C’est moins le cas ce coup-ci, même si des barrières persistent, comme le met bien en avant MacStories dans son test.
Les iPad Pro M5 de 11" et 13" sont en précommande à partir de 1 119 € et 1 469 €. Ils seront disponibles dès demain, mercredi 22 octobre.
OpenAI a publié sur les réseaux sociaux une très brève vidéo qui annonce la tenue d’une conférence dès ce soir, à 19 heures en France. Si la vidéo est courte avec six secondes au compteur, son contenu est assez clair : le message est diffusé sous la forme d’onglets qui évoquent fortement ceux d’un navigateur web. On n’en sait pas plus pour le moment, même s’il ne fait guère de doute que le créateur de ChatGPT va présenter son propre navigateur ce soir.
Vidéo OpenAI.
Un navigateur web qui reprendra probablement les même fondations techniques que Chrome de Google, ce n’est pas sur ce point que l’on attend des innovations de la part d’OpenAI. On verra si l’entreprise de Sam Altman a eu de bonnes idées en matière de design, après tout Jony Ive en personne a désormais un droit de regard sur toutes les interfaces produites par son nouvel employeur. Cela a commencé au printemps dernier et même si le projet de navigateur web avait certainement déjà commencé à l’époque, on peut supposer que l’ancien designer d’Apple a pu mettre son grain de sel.
Cela dit, la vraie particularité de ce navigateur sera son intégration que l’on espère approfondie avec ChatGPT et les grands modèles de langage créés par OpenAI. C’est la dernière tendance du moment, tout le monde propose son propre navigateur web associé à une intelligence artificielle générative, à la fois pour effectuer des recherches, poser des questions sur les onglets ouverts et même parfois réaliser des actions, à partir de questions écrites en langage naturel.
HBO Max, le service de streaming de Warner Bros. Discovery qui s’est appelé Max pendant un moment avant de faire marche arrière, augmente ses prix aux États-Unis sans préavis, comme le signale Variety. Toutes les offres augmentent, avec 1 $ par mois en plus sur celle de base qui est financée en partie par des publicités et qui passe à 10,99 $ et jusqu’à 2 $ de plus pour la formule Premium, qui est désormais facturée 22,99 $. Les abonnés actuels passeront aux nouveau tarifs dès leur prochain renouvellement et si cette hausse n’a pas encore franchi l’Atlantique, la probabilité qu’on y ait aussi droit à terme est forte.
Image iGeneration.
Pour l’heure, HBO Max est facturé en France à partir de 5,99 € par mois, pour la formule « Basic avec pub » qui offre un accès sur deux écrans à la fois en 1080p, avec des coupures publicitaires. Comptez 9,99 € par mois pour l’offre standard, sans la pub et avec la possibilité de télécharger des contenus en local. Enfin, l’abonnement Premium est facturé 13,99 € par mois et pour ce prix, vous aurez la 4K, la lecture sur quatre écrans en même temps et davantage de téléchargements locaux. Ces trois offres peuvent aussi être payées à l’année, avec alors deux mois offerts, soit respectivement 59,9 €, 99,9 € et 139 € par an.
Difficile de connaître les prix à venir, mais on peut probablement s’attendre à une hausse similaire en euro. On commencerait alors à 6,99 € par mois, la formule intermédiaire pourrait être à 10,5 € et la plus complète à 15,99 €. Si vous appréciez le service, s’abonner à l’année dès maintenant, avec les anciens tarifs, est probablement une bonne idée.
Les hausses de prix sont monnaie courante ces derniers mois du côté des services de streaming. En France, Netflix a augmenté ses prix au printemps dernier et le géant du secteur a l’habitude de le faire tous les 18 mois environ. Le service était déjà le plus cher, cela s’est confirmé avec des prix qui varient entre 8 € par mois pour la formule de base avec pub et 22 € pour la version complète.
Disney reste moins cher, même si la dernière hausse de prix date du mois dernier, avec 1 à 2 € d’augmentation selon le niveau d’abonnement choisi. Disney+ débute maintenant à 6,99 € pour l’offre avec publicités et monte à 15,99 € par mois pour celle avec la meilleure qualité.
Du côté d’Apple, la dernière hausse remonte à l’été, mais elle n’a pas encore touché la France, où l’on peut toujours payer 9,99 € par mois « seulement ». À ce prix, on a la meilleure qualité possible et toutes les options, si bien que c’est techniquement le service le moins cher, même si c’est aussi le moins fourni en termes de contenus.
Face à la domination écrasante de Starlink, Airbus, Thales et Leonardo vont fusionner leurs activités satellites. Ce Projet Bromo doit permettre de créer un champion européen unique. Valorisé à près de 10 milliards d'euros, ce géant doit permettre à l'Europe d'exister, mais l'opération sera complexe à mettre en oeuvre.
Les nouveaux iPad Pro M5 ont un petit truc en moins. Apple a supprimé le nom « iPad Pro » jusque-là inscrit au dos de toutes les tablettes haut de gamme. Et ce n’est pas tout : les autres inscriptions, notamment « Designed by Apple in California. Assembled in China », ont elles aussi disparu.
Le dos immaculé d’un iPad Pro M5. Image MacOtakara.
Ce changement n’est pas vraiment une surprise, puisque la Pomme avait déjà amorcé le mouvement sur deux autres modèles. Depuis l’iPad A16 (2024), la mention « iPad » n’est plus dans le dos de l’iPad d’entrée de gamme, tandis que l’iPad Air M3 (2024) a lui aussi perdu son appellation « iPad Air ».
La mention « iPad Pro » au dos d’un iPad Pro M4. Image iGeneration.
L’anomalie, comme souvent, vient de l’iPad mini. Alors que le modèle de 6e génération (2021) portait simplement la mention « iPad », son successeur avec puce A17 Pro (2024) arbore fièrement « iPad mini ». On suppose néanmoins que cette mention disparaitra lors du prochain renouvellement.
iPad mini 6 et iPad mini 7. Image iGeneration.
Ce nettoyage dépasse les iPad. Apple a retiré la mention « iPhone » du dos de ses smartphones dès 2019 avec les iPhone 11. Quant aux MacBook Air et MacBook Pro, ils ont perdu leur nom sous l’écran il y a déjà plusieurs années.
Claude Code a connu un gros succès, par ses aptitudes à modifier le code source de projets variés. Jusque-là, cet outil d’Anthropic devait être installé sur un ordinateur et utilisé depuis un terminal pour fonctionner correctement, même si le grand modèle de langage sous-jacent tournait déjà sur des serveurs distants. Cela change avec l’arrivée de Claude Code sur le web : au lieu de modifier les projet en local, l’outil peut manipuler les fichiers accessibles par le biais d’un dépôt Git en ligne, hébergés sur GitHub comme dans cette démonstration fournie par l’entreprise.
Comme on peut le voir, Anthropic a créé une interface web qui permet de pointer vers le code source sur lequel Claude Code doit travailler, puis de demander à l’intelligence artificielle générative de le modifier. On peut dialoguer avec le modèle pendant son travail, qui peut prendre comme toujours plusieurs minutes. On peut travailler sur plusieurs idées en parallèle, c’est un avantage de la version web, même si c’était aussi possible avec le terminal. Cette nouvelle interface invite toutefois à lancer plusieurs tâches en même temps, ce qui était plus complexe jusque-là, et surtout elle met en avant les exécutions parallèle au sein d’une vue unique.
En fin de processus, Claude Code va créer une suggestion de modification du code, ce qui passe par un pull-request pour GitHub. Cette étape intermédiaire permet de vérifier les modifications apportées par le LLM et éventuellement de les corriger, ce que la démonstration oublie totalement de faire (on espère que ce n’est que pour la démo et qu’aucune entreprise ne travaillera ainsi… ). Git oblige, tous ces changements pourront aisément être annulés par la suite si nécessaire et c’est important, tant cet outil devrait être plus simple à utiliser et donc utilisé davantage. D’autant que Claude Code ne va pas se limiter au web.
En effet, Anthropic annonce l’arrivée de son outil sur iOS. L’app Claude proposée sur l’App Store intégrera un premier aperçu de la fonctionnalité et son créateur promet d’autres changements et des améliorations à venir. L’annonce insiste aussi sur les sécurités mises en place, notamment pour la communication entre Claude Code et le serveur Git utilisé, avec des garde-fous en place pour limiter l’accès du modèle aux seuls dépôts autorisés. Un système de bac à sable a été créé pour l’occasion et vous trouverez quelques détails techniques à cette adresse. Précisons que seul GitHub semble être géré pour le moment, on imagine que d’autres services similaires seront ajoutés par la suite.
Claude Code nécessite un abonnement Pro au minimum, facturé 20 $ par mois ou 200 $ par an pour un utilisateur individuel. L’usage reste malgré tout limité, y compris pour les abonnés Max qui paient 100 $ tous les mois. Comme tous ses concurrents, Anthropic a du mal à être rentable, face à des grands modèles de langage toujours plus gourmands et qui coutent ainsi toujours plus chers à faire tourner.
Attendu comme le renouveau de la gamme, les premières press reviews de l’iPad Pro M5 commencent à sortir. De The Verge à Wired en passant par Tom’s Guide, Gizmodo et TechRadar, les médias semblent unanimes : Apple a conçu une tablette à la fois spectaculaire sur le plan matériel mais frustrante sur le plan logiciel.
Toujours friand des opérations coup de poing, Elon Musk a eu une nouvelle idée pour ramener des sous (et à moindre coût, c'est mieux). En effet, il veut monétiser les noms d’utilisateurs inactifs, avec un marché officiel où certains alias pourront se négocier à prix d’or.
Alors qu'un leak du réputé MLID table sur une production de la PS6 début 2027, une voix historique de Sony, Shuhei Yoshida, prévient que la simple course à la puissance graphique est désormais un marché de "niche". L'avenir de la console se complique.
Après les iPhone et les Mac, les iPad se mettent enfin à la recharge rapide. Les iPad Pro M5 sont les premières tablettes à bénéficier de cette avancée qu’on attendait de pied ferme.
En effet, la recharge rapide compense d’une certaine façon une autonomie qui fait du surplace depuis longtemps. Apple annonce jusqu’à 10 heures d’utilisation en navigation web en Wi‑Fi et 9 heures en connexion cellulaire, pour l’iPad Pro M5 de 11" comme celui de 13". C’est la même autonomie promise depuis… le tout premier iPad. En comparaison, le MacBook Air M4 atteint 15 heures d’utilisation en navigation web.
iPad Pro M5. Image Apple.
Bref, à défaut d’avoir une meilleure autonomie, les iPad Pro M5 se rattrapent sur la vitesse de recharge. Le modèle de 11" récupère jusqu’à 50 % de batterie en 30 minutes environ, contre 35 minutes pour celui de 13". Encore faut-il disposer d’un chargeur à la hauteur, sachant qu’il n’y en a plus dans la boite depuis l’année dernière.
Apple recommande un adaptateur secteur d’au moins 60 W. Le plus proche dans son catalogue est le modèle de 70 W vendu 64,99 €. La Pomme mentionne également son nouvel adaptateur secteur dynamique de 40 W (qui est capable de grimper jusqu’à 60 W), mais celui-ci n’est pas encore disponible en France — il pourrait toutefois arriver prochainement.
Un petit adaptateur secteur Belkin capable de charger rapidement un iPad Pro M5. Image Belkin.
Rien n’oblige d’acheter un chargeur Apple, d’autant que les alternatives sont plus abordables et plus compactes. On trouve de nombreux modèles de 60 W ou plus, comme ce chargeur Belkin 65 W qui coûte une trentaine d’euros. Anker propose un équivalent au même tarif.
Pour recharger plusieurs appareils à la fois, le chargeur Belkin 65 W à deux ports USB-C, en promo à 39,90 € (câble inclus), constitue un choix intéressant. Il délivre toute sa puissance à un seul appareil, mais la partage s’il y en a deux, ce qui ralentira la recharge de l’iPad. Pour alimenter rapidement un iPad Pro M5 tout en chargeant un autre appareil, il faut donc un adaptateur plus costaud, comme ce chargeur Ugreen 100 W à trois ports actuellement proposé autour de 40 €.