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Un SSD externe de bureau de 8 To en promotion à 543 € (268 € en 4 To)
Amazon propose une belle réduction sur le SSD externe de bureau de Sandisk, le Desk Drive. La version de 8 To, lancée à 785 €, est en promotion à 543 €. Si vous vous contentez de 4 To, il est à 268 € au lieu de 427 €.

C'est un modèle un peu particulier : contrairement à beaucoup de SSD externes, il n'est pas alimenté par le bus USB mais nécessite une alimentation externe. En interne, il est compatible USB 3.2 à 10 Gb/s (ce qui permet des débits de l'ordre de 1 Go/s en pratique) et intègre deux SSD M.2 sous sa coque, en RAID0. Si les risques de panne sont un peu plus élevés que la moyenne de façon logique, les soucis sur les SSD restent assez rares et l'essentiel des problèmes vient généralement de l'électronique associée aux SSD ou de bugs de firmware. Même s'il y a donc quelques compromis, c'est tout de même un prix intéressant : la majorité des SSD de 8 To dépasse largement les 600 €. Notons qu'une autre modèle Sandisk, portable, est aussi en promotion : il est à 555 €.

DxO PhotoLab 9 se met enfin aux masques IA et aux photos de l’iPhone
DxO PhotoLab 9 fait sa rentrée avec deux nouveautés majeures dans son sac. Après plusieurs versions marquées par des évolutions plutôt modestes, le logiciel tout-en-un de développement RAW introduit deux fonctions attendues de longue date.
La première, c’est la possibilité de sélectionner instantanément certains éléments de la photo pour pouvoir ensuite les retoucher individuellement. Ces masques IA peuvent être activés de plusieurs façons : en survolant l’élément à isoler ; en traçant un rectangle autour de la zone voulue ; ou encore en faisant son choix parmi une liste prédéfinie (ciel, sujet, arrière-plan, personnes, animaux, cheveux, visages, vêtements…).

Ce nouveau type de masque est un moyen très rapide et efficace pour sélectionner une zone bien précise de l’image. Il permet de gagner un temps précieux et incite même à peaufiner des détails qui auraient autrement été négligés — la couleur des cheveux ici, la netteté des vêtements là, etc.
Les masques IA de Lightroom restent plus poussés dans la reconnaissance des visages (isolation des lèvres, dents…) et plus précis dans les scènes complexes (comme un ciel partiellement dissimulé), néanmoins PhotoLab dispose enfin de l’essentiel. L’analyse est effectuée en local, donc elle prend plus ou moins de temps selon la machine. Sur un MacBook Air M1, il faut compter une dizaine de secondes tout au plus.

Les retouches locales effectuées grâce aux masques IA peuvent être copiés-collées d’une photo à l’autre, ce qui accélère grandement le traitement en série. Les autres outils de réglages locaux, dont les traditionnels Points de contrôle (U Point), restent présents et peuvent même être combinés pour des sélections très précises.
La seconde grande nouveauté de PhotoLab 9 est la prise en charge des photos prises à l’iPhone. Oui, après de longues années d’attente, on peut finalement tirer parti des outils de DxO — notamment l’excellent débruitage DeepPrime — avec les fichiers HEIC/HEIF et ProRAW produits par les iPhone modernes. À cela s’ajoute de petites améliorations pour le flux de travail, alors que DeepPrime XD3 sort de sa phase de bêta et peut désormais traiter les fichiers RAW de tous les boîtiers X-Trans.
Le logiciel français voit son prix augmenter de 10 €. La licence perpétuelle de DxO PhotoLab 9 coûte 239 €, sans remise de lancement comme c’est le cas depuis quelques années. Les détenteurs de PhotoLab 7 ou 9 peuvent faire la mise à niveau pour 119 €. Une version d’essai utilisable pendant 30 jours est disponible sur le site de l’éditeur.
Des archives incroyables sur le Mac
J'ai découvert Vintage Apple grâce à la nouvelle de leur ajout de 158 livres sur la programmation des Mac et parus entre 1986 et 2002 !
Les livres ont été donnés par un collectionneur, acceptant qu'ils soient scannés avec malheureusement destruction physique nécessaire pour cela.
Mais il n'y a pas que ça, je me suis plongé dedans et c'est une mine d'archives de tous poils sur les Mac : si vous aimez les anciens Mac, surtout si vous en avez encore un, la quantité de documents est incroyable.
YouTube commence à sanctionner les utilisateurs Premium Famille en dehors du foyer
Comme d'autres services de streaming, YouTube pourrait à son tour faire la chasse aux comptes Famille utilisés en dehors du foyer. Android Police rend compte d'un courriel envoyé par YouTube à un abonné qui le prévient de limitations à venir dans l'utilisation de son compte Famille.
YouTube a considéré que cet utilisateur n'était pas à la même adresse que l'administrateur du compte Famille. En conséquence de quoi, dans un délai de 14 jours il pourra toujours utiliser la plateforme, mais les avantages du compte Premium seront mis en pause en ce qui le concerne. Ce qui veut dire en particulier le retour des publicités. Pour revenir sur cette limitation, l'utilisateur doit contacter YouTube afin de confirmer son éligibilité et retrouver tous les bénéfices de cet abonnement.

Que YouTube surveille les lieux de connexion n'est pas une nouveauté, cette « vérification électronique » est effectuée tous les 30 jours. Ce qui change, c'est qu'elle est maintenant suivie d'effet lorsque les conditions d'utilisation ne sont plus respectées. YouTube n'a pas communiqué sur sujet, on ne saura pas s'il s'agit d'une véritable évolution dans la politique du service et si plusieurs pays sont concernés. En général ce genre de chose se déploie progressivement.

YouTube Premium va peser plus sur le budget de la famille
Le problème pour les abonnés à cette formule Famille de YouTube est le même que pour les autres plateformes. C'est moins un abonnement partagé par un groupe d'individus qui est proposé en définitive qu'un abonnement associé à un emplacement géographique. Lequel ne tient pas compte des mouvements et changement de situation de chacun.

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Spliiit doit négocier avec Apple, Disney et Netflix sur le partage des abonnements
Dans un monde où l'abonnement est devenu la norme pour de nombreux services, des solutions comme Spliiit, qui permet de partager un abonnement, ont évidemment du succès. Mais elle ne plaît évidemment pas toujours aux grandes entreprises. Dans un bras de fer avec Apple, Netflix et Disney, la justice vient d'imposer une négociation avec la start-up française, selon nos confrères de L'informé.

Au départ, en 2021, les géants du numérique ont attaqué Spliiit sur plusieurs points, dont le parasitisme ou la violation des marques. En effet, pendant un temps — ce n'est plus le cas —, Spliiit affichait les logos des différentes marques associées aux services. Actuellement, vous ne verrez que des vignettes standardisées avec le nom des services (et pas ceux des sociétés qui attaquent Spliiit).
Mais le point important est évidemment celui de la légalité du partage de comptes. Dans beaucoup d'offres, il est possible de partager un compte entre plusieurs personnes du « foyer » ou de « la famille », sans plus de détails. Spliiit joue sur l'ambiguïté des termes mais aussi sur le fait que les marques permettent de partager un abonnement avec un tiers (comme des collègues), ce qui a été constaté par un huissier. Sur le papier, les marques limitent donc à un périmètre restreint, mais dans la pratique, elles tolèrent habituellement un partage plus permissif… mais visiblement sauf quand un autre acteur en profite, en industrialisant ce partage et en prenant une commission.

Devant ce dossier complexe, la justice française a donc choisi d'imposer aux différentes parties de trouver un accord dans le cadre d'une médiation, pour tenter de trouver une solution au problème. Jonathan Lalinec, le PDG de Spliiit, semble confiant et explique à nos confrères que la société permet de vendre plus d'abonnements. Elle revendique 1,6 million d'utilisateurs cumulés en Europe, 320 000 abonnés payants (qui partagent un compte) et 100 000 personnes partageant des abonnements. Toute la question est maintenant de vérifier si Spliiit et les différents services vont trouver un accord, ou si Apple, Disney ou Netflix vont modifier leurs conditions d'utilisation pour durcir les règles et réduire les possibilités de partage dans les abonnements familiaux. Ou tenter encore une fois d'attaquer Spliiit en justice.
Une banque qui appartient à ses clients, ça n'empêche pas les pannes
Vous n'avez pas pu le rater, plusieurs banques françaises ont eu un problème important le samedi 30 août. Pendant plusieurs heures, il était impossible d'effectuer des paiements et des retraits par cartes pour les clients des fédérations du Crédit Mutuel, de la banque CIC et de la banque Monabanq. Si une attaque informatique a pu être envisagée, le communiqué du Crédit Mutuel est très clair : il s'agit d'une panne dans les serveurs d'autorisation des trois banques.

La panne, intervenue à 17 h 20, a empêché les distributeurs de billets et les terminaux de paiement électronique (TPE) de vérifier la présence des fonds nécessaires pour un retrait ou un paiement. La cause de la panne — qui n'est pas indiquée — a été identifiée dès 18 h selon le Crédit Mutuel, et le problème a été corrigé vers 19 h 30 avec un retour complet à la normale 45 minutes plus tard. Le groupe s'excuse évidemment pour les désagréments et indique que des mesures ont été prises pour éviter que la panne se reproduise.

Panne majeure en cours sur les moyens de paiement de nombreuses banques françaises
Enfin, il faut noter que tous les paiements n'ont pas été refusés : dans certains cas, les commerçants peuvent valider manuellement un paiement même si le serveur d'autorisation refuse la transaction. Cette dérogation est aux risques et périls du commerçant et n'est évidemment pas utilisable dans les systèmes automatisés, comme les distributeurs de billets, les stations-service ou les péages sur les autoroutes, par exemple.
Avez-vous fait le choix d'acheter de faux AirPods ?
33 € les AirPods 4 avec réduction active du bruit, au lieu de 199 € chez Apple et un peu moins en promo chez Amazon et cie… Franchement pourquoi se priver ! Mais des AirPods évidemment de contrefaçon qu'on trouve sans effort sur AliExpress et d'autres plateformes. Même pas besoin de regarder les photos des boites avec leur autocollant doré "ANC" pour repérer la magouille, le prix est le meilleur indicateur, le vendeur n'a pas mis plus cher pour faire plus vrai.

Il en est qui se laisseront toutefois prendre. Parce que ces prix canon prévalent sur une élémentaire prudence (après tout, on dirait bien de vrais AirPods). Soit parce qu'ils les auront achetés auprès d'un tiers peu scrupuleux — Reddit est rempli de ces questions "Vrai ou Faux ? " pour des AirPods (on plaint les Genius en Apple Store qui doivent annoncer la mauvaise nouvelle à des clients venus à cause d'un problème).
Puis il y a ceux qui achètent en toute connaissance de cause, car ces copies s'efforcent de reproduire l'expérience utilisateur avec l'appairage automatique ou les options dans les réglages du système. Ce ne sont pas des vrais, l'ANC ne sera pas au même niveau, toutes les fonctions annexes ne seront pas là, mais pour le prix : « Ça suffira bien ».
Pour vos propres AirPods ou ceux peut-être offerts à un proche, avez-vous pris ce parti d'acheter des clones à vil prix plutôt que des originaux ?
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Promo : un robot aspirateur Roborock à 400 €, potentiellement compatible avec Maison
Le robot aspirateur QV 35A Set de Roborock est actuellement en promotion sur Amazon, à son meilleur prix : 400 € au lieu des 600 officiels. C’est un tarif très raisonnable pour cet appareil qui peut nettoyer automatiquement votre logement, à la fois pour aspirer la poussière et autre débris et à la fois pour passer la serpillère. Le robot est associé à une base d’accueil qui intègre un réservoir d’eau propre et il se débrouille pour gérer tout seul ses tâches : il reviendra régulièrement à la base pour se recharger, vider son réservoir ou encore laver puis sécher ses serpillères intégrées.

Ce modèle sorti récemment a reçu beaucoup de critiques très positives et même s’il n’est pas aussi sophistiqué que des produits plus haut de gamme, il en fait beaucoup pour le prix demandé. La plus grosse inconnue nous concernant est du côté de la domotique. Roborock fait partie des constructeurs impliqués dans Matter, le standard qu’Apple prend en charge avec Maison, mais le QV 35A Set n’est pas encore sur sa liste de produits compatibles. Si l’on trouve sur Reddit des témoignages (ici ou là) indiquant qu’une mise à jour a été distribuée par le fabricant pour ajouter cette compatibilité, cela reste à prendre avec des pincettes.
Même sans Matter, le Roborock QV35A semble un bon candidat si vous voulez débuter dans le monde des robots aspirateurs. À 400 €, vous aurez un produit qui semble compétent et qui propose de nombreuses fonctionnalités jusque-là réservées à des modèles nettement plus chers, comme la cartographie du logement qui permet ensuite de lui demander de nettoyer une pièce ou une autre ou encore de modifier les consignes selon les pièces.
Un boîtier USB4 en promotion, pour un SSD externe capable d'atteindre 3,6 Go/s
Dans les boîtiers externes qui permettent de fabriquer un SSD externe, la majorité des modèles se limite à l'USB à 10 Gb/s. Mais quelques versions intègrent des composants capables d'atteindre 40 Gb/s (environ 3,6 Go/s en pratique). Le modèle Ugreen en promotion à 75 € au lieu de 100 € fait partie de ces derniers.

Ce boîtier en aluminium, refroidi passivement, intègre la puce ASM2464PD, gage de performances. Elle permet d'atteindre 40 Gb/s avec les Mac Apple Silicon, et offre de meilleures performances que les puces Thunderbolt, limitées à 32 Gb/s de facto pour les données. Pour accompagner le boîtier, n'importe quel SSD M.2 PCI-Express 4.0 suffit. Vous trouverez des modèles de 1 To aux alentours de 65 €, comme le Crucial P310, l'Acer GM6 ou le MSI M470 Pro.

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UE : Apple aimerait se débarrasser du manuel papier obligatoire

Développement : CocoaPods prépare son passage en lecture seule, prévu fin 2026
Nous étions passé à côté de l’annonce initiale de la fin programmée de CocoaPods, un gestionnaire de paquets très populaire dans le monde du développement Apple. Ce type d’outil est très utilisé par les développeurs, car il permet de simplifier la gestion des dépendances indispensables à toute app un minimum complexe. Pour simplifier, CocoaPods permet de récupérer des briques (frameworks, SDK…) qui vont servir à créer un programme, ce qui évite au développeur d’avoir à tout coder lui-même.

Si ce genre d’utilitaires reste indispensable dans la trousse à outils de tout développeur, il existe plusieurs options et Swift Package Manager (SPM) créé par Apple a largement pris le relai de CocoaPods. Ce gestionnaire de paquets plus récent n’est peut-être pas aussi sophistiqué que son ancêtre, il a pour lui d’être directement intégré à Xcode et son utilisation est ainsi simplifiée dès lors qu’on veut coder une app en Swift. Au fil du temps, il a pris de plus en plus de place, au point où ses alternatives ont perdu progressivement en popularité.

Swift Package Manager, notre série au complet sur le Club iGen
C’est notamment pour cette raison que les créateurs de CocoaPods ont décidé d’arrêter leur propre solution. Ils ont annoncé à l’automne dernier un passage en lecture seule, qui est programmé pour le 2 décembre 2026. L’objectif n’est pas de tout arrêter d’un coup, ce serait une catastrophe pour un outil qui est toujours utilisé par des dizaines de milliers de projets open-source et un nombre probablement très élevé d’apps. L’arrêt se fera progressivement, avec l’envoi de plusieurs alertes aux contributeurs de « Pods », le nom des paquets dans ce gestionnaire.
Surtout, CocoaPods ne cessera pas totalement de fonctionner le 2 décembre 2026 : la bascule en lecture seule empêchera de mettre à jour les paquets existants et il sera aussi impossible d’en ajouter de nouveaux. En revanche, on pourra toujours utiliser le gestionnaire pour récupérer un paquet existant et ainsi maintenir la gestion des dépendances pour tous les projets qui dépendent de lui. Ses créateurs se veulent rassurant de ce côté : il n’est pas question de casser entièrement CocoaPods pour de nombreuses années encore, l’infrastructure qui permet de télécharger les paquets restera active tant que GitHub et jsDeliver (CDN) continuent de fonctionner normalement.
Si vous avez créé des Pods, l’heure est malgré tout venue pour les déplacer vers un autre gestionnaire. Outre SPM d’Apple, Carthage est une option populaire dans l’écosystème.
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150 manuels de développement sur Mac pour retourner dans les années 1980/90
Une large collection d'anciens (mais vraiment anciens) ouvrages de développement sur Mac a été numérisée et mise en ligne sur VintageApple. Des titres remontant aux débuts du Macintosh et allant jusqu'en 2002 avec par exemple des sujets comme la programmation sur Mac en Java, la création de jeu, l'utilisation de Code Warrior ou l'optimisation du code PowerPC. Les livres de la fin des années 80 abordent le Turbo Pascal, l'assembleur, le Basic, ResEdit pour les bidouilleurs de tout poil, l'incontournable HyperTalk ou encore l'intelligence artificielle, déjà en 1986.

Cela réveillera sans aucun doute des souvenirs chez ceux qui développaient à cette époque. Cette collection comprend 158 recueils. Elle vient en compléter d'autres précédemment disponibles sur le site. Toujours dans le registre du développement, on retrouve la fameuse collection des Inside Macintosh édités à l'époque par Apple.

Parmi ces ouvrages techniques destinés à un lectorat averti il y avait le Human Interface Guidelines qui décrivait, par le menu, la logique de l'interface du Mac et les règles à suivre. C'était le seul manuel pour développeurs que l'on pouvait lire et apprécier sans avoir de compétences techniques (autre qu'un peu d'anglais). Juste pour le plaisir de découvrir les réflexions qui avaient conduit à l'élaboration de l'interface du Mac.
- Voyez aussi notre séries d'articles parus à l'occasion des 40 ans du Mac l'année dernière avec des interview de développeurs