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Jusqu'à -24% sur les batteries MagSafe Anker : plus d'autonomie de votre iPhone cet été !
Steam abandonnera macOS Big Sur le 15 octobre prochain
Mauvaise nouvelle pour les joueurs utilisant encore un Mac vieillissant : Steam s’apprête à abandonner la prise en charge de macOS 11 Big Sur. La date fatidique est fixée au 15 octobre 2025. Les utilisateurs seront donc obligés de passer sur Monterey ou plus récent pour continuer d’accéder à leurs jeux.

Ce changement est lié au fait que Steam se base sur une version embarquée de Google Chrome, qui ne prendra plus en charge Big Sur dans les mois qui viennent. Les prochaines moutures de Steam feront également appel à des fonctions et réglages de sécurité uniquement disponibles sur macOS 12 ou plus. Apple ne propose plus de mises à jour de sécurité ou de support technique pour Big Sur depuis 2023.
Les choses accélèrent pour les propriétaires de vieux Mac : Steam a abandonné Catalina au mois de février. En parallèle, ceux ayant une machine récente peuvent depuis peu profiter d’une version optimisée pour les puces Apple Silicon. Disponible en bêta, celle-ci charge beaucoup plus vite et donne une navigation plus fluide. Il faut l’activer dans les paramètres de Steam (section « Interface ») et redémarrer l’app pour avoir droit à cette mise à jour.
TSMC : Donald Trump annonce un investissement de 300 milliards et une taxe sur les semi-conducteurs
Prise en main d'un écran CarPlay sans fil de 7 pouces vendu 49 €
Il y a quelques jours, nous mettions en avant une promotion : un écran CarPlay portable, vendu seulement 49 €. Nous avons donc décidé d'en acheter un pour vérifier la qualité et le fonctionnement. En effet, les produits CarPlay d'entrée de gamme souffrent parfois de défauts rédhibitoires et les fabricants de voitures, eux, facturent parfois au prix fort les intégrations de CarPlay. Nous vous proposons ici une rapide prise en main, avant un test lors d'un déplacement.

Le boîtier est assez léger — 204 grammes — et fin. Si le plastique ne respire pas la qualité, l'ensemble est rigide et ne devrait pas poser de soucis particuliers dans un véhicule. Il est livré avec quelques accessoires : un câble jack 3,5 mm vers 3,5 mm pour le relier à l'entrée auxiliaire d'un autoradio et un support avec une ventouse pour le fixer sur le tableau de bord. Là encore, le plastique est un peu cheap mais semble tout de même solide. Enfin, probablement le point faible le plus évident, un adaptateur allume-cigare vers USB-C propriétaire… et dangereux. Au lieu d'intégrer un convertisseur pour abaisser la tension classique de 12 V (24 V dans certains véhicules) vers le 5 V attendu en USB-C, l'adaptateur envoie directement 12 V dans la prise USB-C, vers le boîtier. Ce n'est pas un problème dans ce cas précis (le boîtier est prévu pour ça) mais il ne faut surtout pas brancher un périphérique USB-C sur la prise USB-C, sous peine de griller les composants. Les smartphones et autres accessoires attendent une négociation et généralement 5 ou 9 V, pas 12 V.

Le boîtier lui-même est assez tolérant : s'il n'accepte pas de s'allumer sur un chargeur USB-C qui suit la norme USB PD (comme un chargeur Apple), il démarre avec un chargeur USB-A et un câble USB-A vers USB-C, par exemple. C'est un souci classique avec les périphériques d'entrée de gamme, qui n'implémentent pas la négociation nécessaire. Il est donc possible de l'alimenter avec la prise USB-A d'un véhicule ou une batterie externe, et nous vous conseillons de le faire, pour éviter les erreurs fatales avec l'adaptateur fourni.

CarPlay, avec un écran capacitif
Le boîtier est compatible CarPlay, avec une liaison sans fil, un bon point. Il émet son propre réseau dans la bande des 5 GHz, ce qui ne pose généralement pas de soucis au niveau des performances. La dalle « HD » offre une définition atypique : 1 082 x 632 selon les captures. Ce n'est pas de la HD (1 280 x 7 20) mais c'est mieux que beaucoup de systèmes intégrés qui se contentent d'une dalle en 800 x 480. De même, la dalle est capacitive (comme nos smartphones) et évite donc de devoir presser physiquement l'écran pour effectuer une action. Les angles de vue sont bons, ce qui implique visiblement une dalle IPS. Sans être le meilleur écran du monde, il est parfaitement utilisable même si l'image tire un peu vers le bleu.


La connexion elle-même est un rien particulière : il faut ajouter le périphérique dans la section Bluetooth de votre iPhone, le connecter manuellement, et ensuite activer CarPlay. Une fois la manipulation effectuée, CarPlay démarre dès que le boîtier est alimenté — il n'a pas de batterie — et à proximité de votre iPhone. CarPlay fonctionne ensuite de façon fluide, comme sur tous les périphériques compatibles.

Dans les points à noter, la partie audio n'est vraiment pas extraordinaire, et une connexion filaire vers l'entrée auxiliaire de votre véhicule (s'il en a une) est recommandée. Le boîtier ne propose pas de boutons physiques pour régler le volume ou la luminosité, et tout passe par une interface virtuelle peu pratique.

Quelques fioritures éventuellement utiles
Le boîtier dispose de quelques réglages, comme la position de conduite. Si l'interface est traduite en français, nous vous conseillons de passer en anglais : l'IA n'est visiblement pas encore arrivée dans les locaux des fabricants et la version française est perfectible et peu compréhensible.

En plus de CarPlay, le boîtier propose une compatibilité Android Auto, que nous n'avons pas essayée. Il est aussi équipé d'un émetteur FM (avec la possibilité de choisir une fréquence qui n'est pas employée) et d'une entrée pour une caméra de recul, en composite. En parallèle d'Android Auto et CarPlay, on retrouve MiraCast — une vieille technologie de recopie d'écran —, un Media Center inutile (pour lire des données sur une carte microSD), la possibilité de recevoir de l'audio en Bluetooth et (plus étonnant) une compatibilité AirPlay.

Elle nécessite de désactiver CarPlay, et il est ensuite possible de recopier l'écran d'un appareil iOS vers l'écran de 7 pouces. C'est une solution qui peut être intéressante pour envoyer un film vers un boîtier placé à l'arrière d'un véhicule, pour distraire des passagers, par exemple. La qualité est perfectible sur la dalle, mais la solution fonctionne.

Une chinoiserie correcte
Est-ce un bon achat ? C'est difficile de répondre. La qualité est vraiment moyenne physiquement avec quelques défauts comme un chargeur dangereux ou l'absence de boutons physiques. Mais compte tenu du prix, la dalle est correcte, CarPlay fonctionne bien selon nos premiers essais et cet écran portable devrait trouver grâce aux yeux de deux qui n'ont pas CarPlay dans leur véhicule1. L'écran de 7 pouces est plus agréable que celui d'un iPhone placé sur le tableau de bord et CarPlay a l'avantage d'être plus lisible et plus sécurisé que le simple affichage de votre application de navigation préférée.
Comparativement à d'autres produits d'entrée de gamme, les risques de problèmes importants sont réduits : il n'y a pas de batterie qui pourrait exploser, pas de risques de pertes de données comme avec une contrefaçon de carte mémoire et le seul point potentiellement problématique est l'adaptateur allume-cigare. Il faut juste accepter de payer pour un produit de qualité très moyenne qui a traversé la moitié du globe.
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Ou pour ceux qui — comme nous — veulent tester CarPlay sans devoir se déplacer dans une voiture. ↩︎
macOS 26 Tahoe renouvelle l'icône du "Macintosh HD"
Ben voilà, les sites s'emballent aujourd'hui, enfin une avancée importante d'Apple, qui a remplacé l'icône ci-dessus par celle ci-dessous.
Mais en continuant d'appeler le stockage interne "Macintosh HD" ce qui n'a strictement aucun sens dans la plupart des cas.
Pour ma part, j'ai remplacé cette icône depuis longtemps par celle-ci, gratuite et qui pour le coup ressemble beaucoup plus à ce qui est soudé sur la carte-mère d'un Mac récent!
Voilà la new Mac la plus récente et la plus "chaude"...
Attention, des millions de PC portables Dell sont vulnérables à un piratage "persistant"
Sonos reconnaît qu’un « petit nombre » d’enceintes Roam peuvent surchauffer
Les temps sont durs pour Sonos. L’entreprise a aujourd’hui reconnu qu’un « petit nombre » de ses enceintes nomades Sonos Roam avaient tendance à surchauffer. Plusieurs utilisateurs se sont plaints que le plastique de l’accessoire avait fondu au niveau de la prise USB-C. L’entreprise a confirmé à Bloomberg qu’elle « suivait de près » ces incidents, sans pour autant organiser un rappel du produit.

Un utilisateur de Reddit a récemment expliqué que son enceinte achetée il y a deux ans et quasiment jamais allumée avait fondu sans raison. L’accessoire n’avait pas été manipulé depuis plusieurs mois, et s’est soudainement mis à sentir le plastique brûlé. Il était branché avec le câble inclus dans la boîte et connecté à un bloc Apple, ce qui semble écarter la piste de chargeurs fautifs. D’autres utilisateurs ont indiqué avoir remarqué la même chose.
Le problème concerne visiblement la première génération du produit sortie en 2021 et qui n’est plus vendue que par une poignée de revendeurs. Les témoignages évoquent une enceinte restée branchée de manière prolongée pendant une longue période. Il ne s’agit pas d’accidents isolés, certains signalements datant d’il y a plusieurs années.
Bien que le nombre d'incidents soit très faible et que les conditions d’environnements semblent jouer un rôle, nous avons pris plusieurs mesures proactives pour réduire encore davantage la probabilité de ce problème, notamment via des mises à jour logicielles et des améliorations matérielles.
Il s’agit d’une galère de plus pour Sonos, qui a connu une année 2024 très compliquée. L’entreprise a lancé une nouvelle app qui a été un véritable fiasco, forçant le CEO à démissionner et Sonos à licencier des centaines d’employés. L’entreprise a dû annuler certains projets afin de corriger le tir.
SFR Box 10+ : la première box Wi-Fi 7 de SFR proposée en avant-première à certains abonnés
La nouvelle box Wi-Fi 7 de SFR commence à être proposée aux abonnés SFR. Dévoilée début juillet, celle-ci a l’avantage d’être compatible Thread, de proposer des débits de 8 Gb/s et d’embarquer un port Ethernet 10 Gb/s natif. Le fouineur @TiinoX83 a remarqué qu’elle était maintenant proposée pour 45 € par mois à certains clients de l’opérateur.

Avec cette nouvelle box, l’opérateur promet une connexion allant jusqu’à 8 Gb/s en envoi comme en réception. Elle est compatible avec la norme de fibre optique XGS-PON, ainsi qu’avec le GPON moins rapide. On y trouve un écran tactile E-ink pour gérer quelques fonctions et du Wi-Fi 7 sur trois bandes de fréquences (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz). Deux répéteurs Wi-Fi 7 bibandes sont inclus.
Ceux étant intéressés devront se rendre dans leur espace client, rubrique « mon offre et équipements ». Un bouton devrait les inviter à ajouter une option, avec une catégorie « Matériel ». La box y sera peut-être proposée pour 45 € sans frais ni réengagement, ce qui est intéressant par rapport à la concurrence et ses offres plus chères sur 12 mois. L’offre SFR Fibre Premium inclut également un décodeur SFR Box 8 TV, les appels illimités vers les fixes/mobiles d’Europe et 9 mois d’abonnement à un service de streaming (Netflix, Disney+ ou Prime Video).
OpenAI répond à DeepSeek avec deux modèles d’IA gratuits et ouverts
Mises à jour critiques pour macOS Sonoma et Sequoia, nouveau firmware MagSafe, fin d'iOS 17.7.8
Avec iOS 26, l’iPhone vous indique combien de temps il lui reste avant d’être chargé à 100 %
iOS 26 apporte une nouveauté pratique : l’iPhone indique désormais le temps de recharge restant avant d'arriver à 100 %. L’information peut être obtenue dans les Réglages, et dans certains cas directement depuis l’écran d’accueil.

En vous rendant dans les Réglages, rubrique Batterie, vous pourrez découvrir une nouvelle barre indiquant où le téléphone en est niveau autonomie. Quand l'iPhone est en charge (que ce soit via MagSafe ou filaire), iOS y ajoute une estimation du temps restant. On peut voir combien de minutes il faudra patienter avant d’arriver à 80 % et à 100 %.
Cet ajout est plutôt pratique car l'estimation permet de savoir facilement si l'on utilise un chargeur rapide ou lent. Quand le téléphone est sous les 80 %, le temps restant apparaît également sur l’écran verrouillé. Le téléphone peut aussi indiquer s’il est relié à un chargeur lent, prévenant ainsi clairement que la manœuvre prendra plus de temps que prévu.

Ce ne sont pas les seules nouveautés liées à la gestion de la batterie sur iOS 26. La rubrique dédiée dans les Réglages a été entièrement revue et permet de mieux comprendre son utilisation à l’échelle d’une semaine. Un nouveau mode d’alimentation adaptative a fait son apparition afin de préserver l’autonomie. Il s’active automatiquement sous la barre des 20 %.
"Apple : les 50 premières années", le livre de David Pogue
Ce n'est un secret pour personne : Apple fêtera son cinquantième anniversaire l'année prochaine. À cette occasion, de nombreux livres ou reportages consacrés à Apple devraient paraitre. David Pogue a tiré en premier en annonçant la sortie de son livre de 600 pages "Apple: The First 50 Years" que l'on peut traduire aisément par "Apple : les 50 premières années".
Chroniqueur tech au New York Times de 2000 à 2013 ainsi qu'à Macworld, il a longtemps été un suiveur privilégié d'Apple. Sa voix comptait autant ou presque que celle d'un Walter Mossberg qui officiait au Wall Street Journal. Il est l'auteur de plus de 120 livres, dont un certain nombre dédié aux produits d'Apple.

Cet ouvrage contient dixit la description 360 photos en couleur, des informations inédites qui rétablissent certains faits et mettent en lumière la culture subversive d’Apple, ainsi que 150 nouvelles interviews des figures emblématiques qui ont façonné l’entreprise telle qu’on la connaît aujourd’hui. Parmi les personnes interrogées, on retrouve Steve Wozniak, John Sculley, Jony Ive, mais également de nombreux responsables, designers et ingénieurs qui ont fait ou qui font le succès d'Apple.
Le livre - uniquement en anglais - peut être précommandé dès maintenant au prix de lancement de 37 € (soit une réduction de 9 € sur son prix normal). Il sortira le 17 mars 2026. Une version Kindle est également disponible.
Pour donner l'eau à la bouche, David Pogue liste 10 surprises qui figurent dans son livre :
A pple n’a pas commencé dans un garage.
Apple était la quatrième aventure entrepreneuriale de Steve Wozniak et Steve Jobs.
Il y avait un troisième fondateur.
Steve Jobs n’a pas été le premier PDG d’Apple — ni le deuxième, le troisième ou le quatrième.
Steve Jobs n’a ni imaginé ni nommé le Macintosh ; en réalité, il a évincé l’homme qui l’a fait.
Ce n’est pas John Sculley qui a licencié Steve Jobs.
La tablette est arrivée avant le téléphone.
Jobs n’a jamais renvoyé quelqu’un qu’il venait juste de croiser dans un ascenseur.
Et ce n’est pas lui qui a écrit la publicité « Think Different ».
Le Newton a sauvé Apple.
Alors, petite question : sur ces dix faits, combien en connaissiez-vous ?
Panther Lake, la prochaine génération Intel, déjà dans la tourmente à cause de la gravure en 18A
Intel va mal, ce n'est pas nouveau, et la génération Panther Lake (qui sera probablement vendue sous le nom Core Ultra 300) doit être l'architecture du renouveau, tant sur les performances que sur la gravure. Mais sur ce dernier point, il y a visiblement un problème : la gravure 18A calerait au démarrage.

Reprenons les bases : Intel a été pendant longtemps le moteur du marché dans la gravure. Mais en 2015, la gravure en 14 nm n'a pas été aussi efficace que prévu et le 10 nm a été un désastre. La marque a traîné le 14 nm pendant cinq ans pour limiter les dégâts, et le 10 nm, finalement sorti sous le nom Intel 7, n'est pas une réussite. Avec les puces Arrow Lake et Lunar Lake, l'impensable s'est même produit : les processeurs sont gravés par TSMC. Panther Lake, donc, doit en théorie marquer le retour d'Intel dans la gravure avec le passage en 18A, qu'Intel essaye par ailleurs de pousser auprès de ses concurrents.

Et si Apple relançait Intel pour diminuer sa dépendance à TSMC
Mais selon Reuters, ça ne se passe pas comme prévu. Selon leurs sources, alors que les puces sont attendues en 2025, le rendement de la production (yield) n'est que de l'ordre de 10 % cet été, une valeur particulièrement basse. Dans le monde de la gravure, le wafer, le composant circulaire sur lequel les puces sont gravées, a un prix fixe et le rendement est le pourcentage de puces utilisables sur un wafer. De façon générale, un rendement de 50 % est attendu pour une production en masse, et il doit être de l'ordre de 70 à 80 % pour faire réellement des profits (une valeur plus élevée est évidemment un avantage). Tout le jeu, pour les fondeurs, est donc d'optimiser la gravure pour améliorer le rendement, tout en stockant les puces déjà produites (à perte) pour le lancement. Mais pour un lancement en 2025, un rendement si faible rend les choses compliquées, surtout pour une société dans la tourmente.
C'est par ailleurs un mauvais signe pour une des solutions attendues par les analystes, qui considèrent qu'Intel pourrait se séparer de ses usines de production (Intel Foundry) pour tenter de sauver le navire. Avec une technologie en retard et peu maîtrisée, la tâche sera rude.
Enfin, dans le cas de Panther Lake, une solution reste envisagée selon certaines rumeurs : produire chez TSMC, que ce soit en partie ou totalement. Une voie qui serait un camouflet de plus pour Intel, avec en plus le risque de créer un précédent si les puces gravées chez TSMC sont de meilleure qualité que celles gravées en interne.
Apple lance son chat propulsé par l'IA en bêta dans l'app Assistance

Une mise à jour logicielle pour le chargeur MagSafe d'Apple

Grok Imagine : le chatbot d’Elon Musk gagne un mode -18… qui peut générer des deepfakes de célébrités
Elon Musk continue de forger Grok à son image. Après avoir ajouté un compagnon IA prenant la forme d’un personnage d’anime en lingerie, le chatbot s’est récemment enrichi d’un mode de génération de vidéos embarquant directement un curseur « -18 ». Celui-ci n’a visiblement que très peu de garde-fous : The Verge l’a essayé et explique qu’il a créé une vidéo de Taylor Swift seins nus… sans particulièrement demander de contenu sexualisé.

Depuis un certain temps, Grok Imagine peut générer des photos réalistes via une simple description textuelle. Contrairement à d’autres, le service peut créer des images de célébrités. Il peut désormais les transformer en vidéos d’une quinzaine de secondes incluant des effets sonores. 4 réglages sont disponibles : Normal, Fun, Personnalisé et Spicy. Notons qu’il n’est pas possible de générer directement une vidéo à partir du texte (il faut obligatoirement partir d’une image).
The Verge a donc demandé une photo de « Taylor Swift célébrant Coachella avec les garçons », ce qui a généré une trentaine de clichés. Certains d’entre eux montraient déjà la chanteuse dans des tenues évocatrices, et Grok a immédiatement généré une vidéo de la star dansant seins nus en activant le mode « Spicy ». Autrement dit, Grok peut créer des deepfakes de stars sans restrictions ni même avoir besoin d’orienter l’algorithme avec des mots-clefs tendancieux. La seule barrière est visiblement une simple fenêtre demandant la date de naissance de l’utilisateur.
L’outil est logiquement sous le feu des critiques, et on peut imaginer qu’une procédure judiciaire ne tardera pas à être engagée. Si le chatbot semble avoir quelques règles internes, les testeurs les décrivent comme facilement contournables. Taylor Swift s’était déjà vue au centre d’une controverse du genre l’année dernière après la découverte de nombreux deepfakes réalisés avec l’outil de création d’images de Bing. Les équipes de X ne semble donc pas avoir réalisé de tests de sécurité basiques sur une des célébrité les plus deepfakée au monde. Grok Imagine est pour le moment réservé aux abonnés à SuperGrok et Premium Plus X via l’app iOS.
La prolifération des deepfakes est un problème mondial. Le sujet a causé une véritable crise en Corée du Sud l’année dernière, plus de 500 écoles et universités ayant été visées par des vagues de fausses images sexuelles. Au mois d’avril, les États-Unis ont passé la loi « Take It Down » visant spécifiquement les fausses images non consenties et le « revenge porn ». Si les services et outils permettant de créer ce type de contenus sont de plus en plus nombreux, leur arrivée sur une plateforme aussi accessible que X pourrait marquer une nouvelle étape dans la banalisation des deepfakes. Et porter atteinte à la dignité de nombreuses personnes, célèbres ou non.
Apple teste un chatbot IA dans son app Assistance (à des années-lumière de ChatGPT...)
Microsoft Office 2021 pour Mac : un atout productivité imbattable à seulement 49,99 €
Les possesseurs de Mac le savent : passer de Pages à Google Docs, puis à d’autres applications, finit souvent en casse-tête. Les incompatibilités s’accumulent et la productivité en prend un coup. C’est là que Microsoft Office conserve toute sa valeur.

Que l’on soit pro, étudiant ou simple particulier, il reste l’outil de référence pour rédiger, analyser, présenter ou gérer ses mails. Avec ses logiciels puissants et parfaitement optimisés pour macOS, on gagne en confort et en efficacité. Et en ce moment, grâce à Godeal24, il est possible de s’équiper à prix mini.
Microsoft Office Home & Business 2021 pour Mac est proposé en licence définitive pour seulement 49,99 € (au lieu de 249 €), soit le tarif le plus bas de l’année. Cette édition comprend Word, Excel, PowerPoint, Outlook et OneNote.
Compatible aussi bien avec les Mac Intel qu’avec ceux équipés de puces Apple Silicon, elle fonctionne nativement sur les deux architectures.
Idéale pour celles et ceux qui privilégient les logiciels installés aux services 100 % cloud, elle permet aussi de travailler hors connexion, que ce soit pour les cours, les affaires ou la gestion quotidienne.
Une fois installée, la licence est activée une seule fois et reste acquise pour votre Mac. On y retrouve tous les classiques : outils d’édition avancés, modèles prêts à l’emploi et intégration complète de la messagerie et du calendrier via Outlook. Pour rédiger un rapport, analyser un budget ou organiser ses échanges professionnels, c’est un investissement solide et durable dans l’écosystème Apple.
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Si Office 2021 fait très bien le travail, il faut garder à l’esprit qu’il n’intègre ni les fonctions d’intelligence artificielle comme Copilot, ni le stockage en ligne OneDrive.
Pour celles et ceux qui misent beaucoup sur la synchronisation cloud et les outils d’assistance à la rédaction ou à la conception, Microsoft Office 2024 sera plus adapté. En ce moment, la licence à vie de Microsoft Office 2024 Home and Business pour Mac ou PC est proposée à seulement 139,99 €, soit 160 € de moins que son prix officiel (299 €).
Cette édition apporte des fonctions avancées dans Excel, des outils d’écriture enrichis dans Word, ainsi que la conception de présentations assistée par IA dans PowerPoint, pour créer en un rien de temps des diaporamas dignes d’un professionnel. Une opportunité à saisir.
- Microsoft Office 2024 Home and Business pour Mac/PC – 139,99 € (au lieu de 299 €)
- Microsoft Office 2024 Home pour Mac/PC – 139,99 € (au lieu de 149 €)
Et sur d'autres versions de Microsoft Office
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- Windows 10 Professional — 2 clés – 14,25 € (soit 7,12 €/clé)
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iOS 26 révèle un écran plus grand pour l'Apple Watch Ultra 3
