Les lunettes sans écran d'Apple en 2027, avec écran en 2029 ?

L’iPhone 17 Air pourrait avoir une caméra TrueDepth légèrement différente de celle des autres iPhone. D’après des photos de protège-écrans publiés par le leaker Majin Bu, l’appareil photo avant de l’iPhone 17 serait situé à gauche de la Dynamic Island, et non à droite comme sur tous les autres modèles.
Si ce changement se confirme, on suppose qu’il est guidé par des contraintes de conception spécifiques à l’iPhone 17 Air, qui devrait être beaucoup plus fin que ses frères. Toujours concernant l’appareil photo avant, les quatre iPhone 17 pourraient avoir un capteur de 24 mégapixels, au lieu de 12.
Inaugurée avec l’iPhone X, la caméra TrueDepth comprend un appareil photo ainsi que plusieurs composants (projecteurs de points, caméra infrarouge…) qui rendent notamment possible Face ID. C’est elle qui a formé l’encoche des iPhone, avant que celle-ci ne se transforme en Dynamic Island sur la plupart des modèles. Apple chercherait à réduire encore l’empreinte de cet ensemble sur la face avant de futurs iPhone.
Les rappels continuent chez Anker. Au début du mois, le fabricant avait organisé un rappel de sa batterie externe PowerCore 10 000 suite à un défaut de confection pouvant conduire à une surchauffe. La marque a aujourd’hui lancé une seconde opération concernant 5 batteries différentes. Elles utilisent toutes les mêmes batteries lithium-ion provenant du même fabricant.
Anker a donc lancé un rappel global dans ce qu’elle affirme être une manœuvre de précaution face à un risque minimal. Pour vérifier si votre batterie fait partie du lot, il faut regarder sur ses côtés : les modèles A1257, A1647, A1652, A1681 et A1689 sont concernés. Plus précisément, il s’agit des suivants :
Les acheteurs malchanceux peuvent ensuite répondre à un formulaire en anglais, où il leur sera demandé une preuve d’achat et un numéro de série. Anker explique que toute unité faisant partie de ce rappel ne doit plus être utilisée même s’il n’y a pas l’air d’avoir de problème, et cela en raison « d’un risque de surchauffe, de fonte, de fumée ou d'incendie ». Attendez tout de même la confirmation du fabricant avant de vous en séparer. Il vous enverra ensuite un modèle de remplacement ou une carte cadeau. Tous les détails sont disponibles sur la page de l’opération.
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Ming-Chi Kuo a publié un joli graphique et surtout un article qui condense toutes ses prédictions pour Apple dans le domaine de la réalité virtuelle et augmentée. L’analyste dévoile ce qui pourrait être le planning d’Apple pour les prochaines années, à la fois du côté des casques comme le Vision Pro et aussi dans la direction des lunettes connectées, similaires aux produits conçus par Ray-Ban en collaboration avec Meta. Ce programme s’étend jusqu’à 2029, alors si vous ne voulez pas gâcher la surprise, arrêtez votre lecture ici.
Le planning débuterait dès cette année, avec une mise à jour très mineure du Vision Pro. Selon les données collectées par Ming-Chi Kuo, Apple préparerait une nouvelle génération équipée d’une future puce M5 à la place de la M2 dans le produit actuel. Ce serait le seul changement matériel, le reste du casque de réalité mixte serait maintenu inchangé. L’analyste ajoute que la production de masse débuterait au troisième trimestre et que les ventes resteraient très modestes, certainement parce que le prix de base serait similaire. Il s’attend à une production de 150 000 à 200 000 unités seulement la première année. Dans une précédente rumeur, il avait indiqué qu’Apple Intelligence devrait être le cœur de cette nouvelle génération.
Le Vision Pro 2 ferait la part belle aux fonctions Apple Intelligence grâce à sa puce M5
La vraie nouveauté côté casque attendrait la fin de l’année 2027 et Ming-Chi Kuo ne s’attend à rien voir sortir de nouveau en 2026. Apple aurait prévu un Vision Pro allégé, qu’il nomme Vision Air, qui serait basé sur une toute nouvelle conception allégée : il évoque une réduction du poids de l’appareil supérieure à 40 % par rapport au modèle actuel. Cette cure passerait notamment par l’utilisation de plastique à la place du verre, d’un alliage de magnésium au lieu de l’aluminium et d’une réduction du nombre de capteurs.
Ce Vision Air serait aussi nettement moins cher, même si l’analyste ne se risque pas à donner une idée plus précise. Il indique toutefois que le casque reposerait sur la meilleure puce pour iPhone du moment, au lieu d’une puce M venue des Mac comme pour le Vision Pro. Pas un mot sur les écrans, sachant que d’autres rumeurs avaient aussi évoqué une baisse de qualité de ce côté, mais peut-être qu’Apple cherche à maintenir cette caractéristique essentielle dans un tel produit, en faisant des concessions sur tout le reste.
Le Vision Pro moins cher attendrait son tour après 2027
Le vrai successeur du Vision Pro pourrait arriver courant 2028 et il aurait lui aussi droit à un tout nouveau design allégé. En revanche, il garderait sa puce M et on imagine toutes les fonctions de l’actuel, si bien qu’il resterait cher, même si son prix de vente pourrait baisser par rapport à l’actuel. Ming-Chi Kuo envisage une production de masse au deuxième trimestre 2028.
En parallèle, Apple développerait aussi des lunettes connectées, similaires aux Ray-Ban Meta et l’entreprise aurait même quatre prototypes différents dans ses tiroirs. La première génération pourrait sortir dès 2027, avec une production de masse lancée au cours du deuxième trimestre et l’espoir d’en produire entre 3 et 5 millions dès la première année. Autant dire qu’on entrerait dans une toute autre catégorie de produits, destinée au grand public à l’inverse du Vision Pro.
Ming-Chi Kuo imagine une première génération en réalité très proche des actuelles Ray-Ban Meta, avec des lunettes dépourvues d’écran. Elles seraient contrôlées par la voix et des gestes et serviraient à écouter de l’audio, enregistrer des photos et vidéos à l’aide de caméras embarquées et faire office de réalité augmentée pour l’environnement, uniquement en audio donc. Ce segment pourrait atteindre les 10 millions de ventes en 2027 et si l’on compile les chiffres, Apple pourrait viser la moitié des parts de marché dès le lancement.
Test des lunettes Ray-Ban Meta : un appareil photo en toutes circonstances
Dès l’année suivante, Apple pourrait présenter de nouvelles lunettes cette fois avec un écran, pour enrichir visuellement la réalité. La production aurait lieu dans la deuxième moitié de 2028, on resterait sur un contrôle à la voix et avec des gestes, tandis que l’affichage en couleur serait de type LCoS (cristaux liquides sur silicium) avec une projection par guide d’ondes. L’intelligence artificielle serait au cœur de ce modèle, précise Ming-Chi Kuo qui ajoute que les générations suivantes seraient plus floues à ce stade.
En plus de ces deux gammes qui devraient évoluer en parallèle, Apple travaillerait bien sur un modèle beaucoup plus simple, destiné à projeter le contenu généré par un iPhone ou un Mac. Au départ, l’entreprise aurait prévu de le commercialiser en 2026, mais le projet aurait été mis en pause depuis la fin de l’année 2024, notamment à cause d’un poids trop élevé. L’entreprise hésiterait sur la direction à suivre et pourrait même repartir sur de nouvelles bases ou l’annuler purement et simplement. L’analyste n’envisage pas de commercialisation avant 2029 à ce stade.
Un MacBook « plus abordable », pour reprendre les termes de Ming-Chi Kuo serait en préparation, il utiliserait un processeur d'iPhone. Dans un tweet surtout axé sur le bénéfice que devrait en retirer Everwin, un fournisseur d'Apple spécialisé dans les châssis, l'analyste évoque un MacBook fonctionnant, non pas avec un processeur "M", mais avec un A18 Pro. C'est à dire la puce utilisée aujourd'hui dans les iPhone 16 Pro.
Par le passé, avant l'arrivée des processeurs Apple Silicon, il était de bon ton de comparer les performances des processeurs Intel des portables Mac avec ceux des iPhone qui gagnaient sans cesse en puissance et les dépassait sur certaines opérations. Cette fois on aurait le processeur d'un smartphone comme moteur d'un Mac. Kuo n'en dit pas beaucoup plus — il cite quatre coloris possibles, argent, bleu, rose et jaune — mais on peut supposer que le recours à un processeur mobile bien rentabilisé participe fortement à l'économie voulue par Apple.
L'analyste ne donne pas non plus de fourchette de prix pour ce modèle qui serait équipé d'un écran de 13". Actuellement le moins cher des MacBook Air M4 démarre à 999 $ (1 199 €) avec un 16/256 Go de 13". Lorsqu'on voit des promotions actuellement sur des M2 vendus 749 €, Apple considère peut-être qu'il y a un créneau à occuper pour un portable suffisamment puissant pour l'essentiel des usages et plus proche des Chromebook sur son tarif. En quelque sorte le retour du MacBook Retina ultra-léger de 2015 (920 grammes) qui avait un écran 12" mais avec le bénéfice d'une puce autrement plus efficace que celles d'Intel à l'époque.
Test du MacBook 12" début 2015 Core M 1,1 GHz
Apple ambitionne de retrouver les niveaux de ventes de MacBook de l'époque du Covid, poursuit Kuo, lorsque les confinements avaient fait exploser la demande en équipements informatiques. Soit un objectif de 25 millions de MacBook pour 2026 contre 20 millions estimés pour 2025. Ce nouveau portable pèserait pour 5 à 7 millions d'unités en 2026. Son entrée en production est attendue dans le courant du dernier trimestre 2025 ou au début du trimestre suivant.
La dernière génération d'iPad mini voit ses prix bien rabotés dans ses versions 128 et 256 Go. Ce modèle coûte 549 € au lieu de 609 € chez Amazon et Cdiscount dans certains coloris, c'est 60 € de moins. Mais si l'on peut investir davantage, la version 256 Go en coloris noir et mauve a chuté à 599 € chez Amazon au lieu de 739 € chez Apple.
C'est une belle économie de 140 € sur la petite tablette — qui a très rarement de telles promos — et cela assure d'un bon confort de stockage pour seulement 50 € de plus (même si 128 Go permettent déjà de bien voir venir).
Cela permet aussi d'envisager l'ajout du Pencil Pro, compatible avec cet iPad, qu'Amazon met en ce moment à 129 € au lieu de 149. Sinon il y a le Pencil USB-C à 66,50 € au lieu de 89 €, suffisant pour crayonner et prendre des notes (il se fixe par aimantation, mais se recharge par USB-C). Ou de prendre une Smart Cover, le coloris Denim par exemple est à 57,89 € au lieu de 69. Mais on en trouvera aussi des bien moins chères de marques tierces.
L'iPad mini 7 (ou A17 Pro du nom de son processeur) est sorti à l'autonome dernier. Il a conservé son format compact très pratique, gagné en puissance avec un processeur (celui des iPhone 15 Pro) qui lui ouvre les fonctions d'Apple Intelligence, modernisé sa partie Wi-Fi et Bluetooth et gommé un effet disgracieux du précédent modèle avec le rafraîchissement de l'écran lorsqu'on faisait défiler des pages. C'est une bonne tablette, facile à emporter partout et avec ici des tarifs bien plus digestes.
Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon
C’est les vacances ! Enfin, pas pour tout le monde : si les mois de juillet et août sont prisés de la plupart d’entre nous, les développeurs Apple historiquement sont en plein boum, les bêtas n’attendant pas ! Mais le reste des équipes étant plutôt au repos, c’est le moment d’imaginer les futures possibilités d’Apple avec l’inénarrable Mark Gurman.
Si la gamme de wearables est déjà bien développée chez Apple, elle a depuis quelques années un souci de plus en plus présent : elle stagne. Les écouteurs sont géniaux, et ont certes été renouvelés pour les AirPods 4 avec plusieurs nouveautés venant des AirPods Pro 2, mais ce sont justement ces derniers que les clients préfèrent, malgré leur prix élevé. Et la pomme a beau leur intégrer de nouvelles fonctions (encore cette année avec de nouveaux gestes de la tête), ce n’est pas pour autant la révolution attendue.
Comment tester les futures nouveautés des AirPods et AirPods Pro
L’Apple Watch ? C’est encore pire. Le design n’a pas vraiment changé depuis maintenant la Watch 4, l’écran ne faisant que se rapprocher des bords, et l’Ultra stagne depuis sa sortie, devant se contenter d’une nouvelle couleur et d’un écran plus lumineux. Alors oui, certains diront que le S9 intégré dans la montre est bien plus capable que le S8. Mais jusqu’à présent, la différence n’était pas flagrante dans watchOS 11. Si les choses sont amenées à changer avec watchOS 26, il est permis de douter d’une réelle nécessité du S9 pour gérer les nouvelles fonctions réservées à l’Ultra 2 : la marque n’en serait pas à son coup d’essai sur les limitations artificielles, poussant le client à changer pour le dernier modèle.
Apple Watch : retour sur 10 ans de succès et d'échecs
Au final, cette platitude des nouveautés dans la gamme wearables se ressent particulièrement sur les résultats : les revenus de la section « Wearables, Maison et Accessoires » d’Apple ont baissé de 7% l’année dernière, et les appareils la composant peinent à séduire depuis maintenant 3 ans. Pire, l’Apple Watch a baissé de 14% sur un an, et cette année ne devrait pas être meilleure que la précédente.
Alors oui, Apple préparerait une nouvelle Apple Watch SE pour la fin de l’année, et une Ultra 3 intégrant les communications satellite sans nécessiter d’iPhone à côté. Mais serait-ce suffisant pour renouveler l’intérêt ? Rien n’est moins sûr.
Apple prépare bien un nouvel appareil dans un coin de ses ateliers, avec des lunettes capables de concurrencer les Ray-Ban (et maintenant Oakley) Meta. Mais en attendant ? Pourquoi pas venir sur le terrain des bagues connectées ? Apple n’a fait aucune annonce en ce sens, et rien ne permet de penser que les équipes soient sur ce sujet. Et pourtant, pour plusieurs raisons, l’idée aurait de l’intérêt.
Dans un premier temps, la sortie d’un anneau connecté permettrait à Apple de trouver un levier de croissance rapide pour sa catégorie wearables : si la création d’une paire de lunettes connectées est encore quelque chose d’assez complexe, une bague connectée est largement à la portée d’Apple en une petite année de recherche, les technologies maison permettant déjà d’avoir une base solide. Il suffit de voir la puissance de calcul intégrée à de simples AirPods Pro, et le nombre de capteurs dans une Apple Watch pour s’en rendre compte. Mais d’autres bonus sont aussi non négligeables :
plus agréable à porter qu’une Apple Watch, surtout durant le sommeil : autant une montre peut être une gêne au poignet, autant un anneau est quasiment imperceptible.
pas d’écran, donc un appareil pouvant tenir plusieurs jours avant de nécessiter de le recharger.
plus discret qu’une Apple Watch, et donc plus facile à porter avec n’importe quelle tenue : là où la montre fait toujours quelque peu « sportswear », un anneau peut toujours se porter discrètement, y compris en soirée guindée.
last but not least, les adorateurs de montres classiques (et il y en a bien plus qu’on ne le pense, l’auteur de ces lignes compris) pourraient enfin porter leur montre mécanique préférée sans perdre pour autant les fonctions de suivi de santé.
Oura lance une Ring 4 plus précise et revoit le design de son app
L’arrivée d’un anneau pourrait aussi apporter de nouvelles fonctions dans d’autres domaines : pourquoi pas en faire un pointeur encore plus précis pour certains usages avec le Vision Pro ? Pour de nouvelles interactions avec Siri ? Lui intégrer Apple Pay, avec une carte par défaut (n’ayant pas d’écran pour choisir la carte à utiliser) ? Permettre d’ouvrir la porte de votre domicile, ou de votre voiture ?
Après Ōura et Samsung, Apple aurait aussi une bague connectée en chantier
L’interaction pourrait aussi être excellente avec les prochaines lunettes connectées de la pomme : l’anneau pourrait servir de télécommande discrète (plutôt qu’une commande vocale ou de tapoter une branche des binocles). Côté santé, l’intégration est parfaite : une autonomie excellente, et des capteurs à foison (oxygène, rythme cardiaque, moniteur de sommeil, etc.) au plus près du doigt, l’un des endroits les plus pratiques pour recueillir ce type de données.
Si l’arrivée d’un anneau est plus qu’hypothétique, même si l’idée est plus qu’intéressante vu l’intégration possible, l’arrivée d’une nouvelle version du Vision Pro allégée et moins chère, elle, se renforce, tout comme celle d’une version liée à un Mac.
Comme à son habitude Apple ne fera aucune annonce dans le domaine tant qu’elle n’a pas prévu une sortie officielle, mais les indices étaient flagrants à la WWDC 2025 : durant cette semaine réservée aux développeurs, l’entreprise a tenu une conférence sur un nouveau système dans SwiftUI, appelé macOS Spatial Rendering. L’idée est de permettre aux développeurs d’effectuer des rendus 3D complexes sur le Mac, avant de l’envoyer sur les écrans du Vision Pro.
Même si le casque de réalité augmentée d’Apple est déjà très puissant, il ne peut rivaliser en capacités de calcul et de rendu avec les puces intégrées dans les Mac. L’idée de sortir une version obligatoirement liée au Mac permettrait non seulement d’effectuer ces rendus de manière plus simple, éliminant par la même occasion la latence due aux réseaux sans-fil dans la version actuelle, et qui sait, peut-être de baisser légèrement le tarif pour ceux qui n’ont pas besoin d’une version autonome du casque.
De son côté, le premier iPhone pliable d’Apple suit toujours son chemin, avec une présentation calée pour le moment à la fin de l’année prochaine. Cependant, il ne faudrait pas s’attendre non plus à ce qu’Apple brise les codes bien installés par Samsung et ses camarades depuis maintenant 5 ans : l’iPhone pliable devrait se présenter sous la même forme que le Samsung Z Fold 6, avec une ouverture sous forme de livre, et un écran externe quand il est replié. Apple compterait se démarquer par une charnière particulièrement travaillée, et l’absence de creux au milieu de l’écran déplié.
iPhone pliable : la production commencerait d’ici la fin de l’année, pour une sortie en 2026
Et les fonctions « vues » par les fuiteurs, mais non annoncées à la WWDC ? Si rien n’a été dit concernant la traduction automatique et instantanée par les AirPods Pro durant la conférence, ni la possibilité de synchroniser les réseaux wi-fi captifs d’hôtels entre les différents appareils, Mark Gurman ne perd pas espoir pour autant : Apple fait bien attention à ne pas dévoiler de fonctions dont elle n’est pas sûre de la date exacte de sortie, ne voulant pas réitérer le fiasco de l’année dernière. Plusieurs fonctions de traduction instantanée ont été présentées durant la WWDC, et du code concernant la nouvelle fonction wi-fi a été trouvée dans iOS 26, il y a donc un fort espoir qu’au moins une de ces deux fonctions soit prête pour une mise à jour au cours de l’année, possiblement iOS 26.4 comme ça arrive souvent chez la pomme.
Si Apple est totalement concentrée sur la sortie des itérations ’26 de ses logiciels, il va sans dire que les équipes continuent de travailler sur les prochains matériels à venir. Aura-t-on une surprise, ou tout est déjà connu par nos taupes habituelles ? L’avenir nous le dira. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !
Amazon Allemagne améliore sa déjà bonne réduction sur l'iPhone 16e dont la version 128 Go dans les 2 coloris est maintenant affichée 589 € qui passent à 598,92 € avec la TVA et les frais de port (réception en France le 2 juillet).
En face, Amazon France et la Fnac sont tous les deux à 669 € et Amazon Italie, habituel repère pour de bons prix, le propose à 649 € en version noire. Sur l'Apple Store cet iPhone coûte 719 €.
Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme, remplace très avantageusement l'iPhone SE dans ce rôle, avec Face ID pour l'identification du visage pour déverrouiller ou payer, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie, la partie photo a fait un bond, la puissance est tout à fait satisfaisante (même processeur que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.
Rosetta 2 est apparu sur le Mac mini DTK, avant même son arrivée sur le MacBook Air M1.
Nous avions reporté à l'époque via @Lionel la surprise de son niveau de performance sur du code x86, proche de 85% des performances natives.
Les limites étant le code AVX (vectoriel) et les logiciels créant dynamiquement du code comme le moteur JavaScript de Chrome compilant ce code en x86 dynamiquement.
Contrairement à Rosetta [1] lors du passage à Intel qui interprétait le code PowerPC "a mano" et émulait son fonctionnement, Rosetta 2 est totalement différent.
Bien sur Rosetta [1] exécutait du code PowerPC sur les Mac Intel, mais Rosetta 2 n'exécute aucune code.
Rosetta 2 prend le code pour Mac Intel et le transpile pour Mac ARM: il analyse le code Intel 64 bits et le recompile pour l'architecture ARM 64 bits.
Le code étant alors exécuté nativement, puisque recompilé nativement pour ARM.
Quand Rosetta [1] émulait tel-que un logiciel pour Mac ARM à chaque exécution, Rosetta 2 au premier lancement investi du temps pour le transformer en son équivalent ARM ou plutôt Apple Silicon.
Après le premier lancement, Rosetta [1] continue à émuler lentement, Rosetta 2 n'intervient plus le code étant déjà traduit pour Apple Silicon et stocké sur le SSD.
Sauf que quand le code était émulé instruction par instruction par Rosetta [1], cacochyme, Rosetta 2 offrait 85% des performances natives (hors AVX vectoriel et code dynamiquement créé) sur les Mac ARM. Quasiment l'expérience native sur le DTK!
Ça a tout changé!
Le Mac mini A12z DTK offrait nativement des performances similaires à mon MacBook Pro 15" 2017 Core-i7.
Pour le coup une vraie puce d'iPhone ou d'iPad. Légèrement plus rapide.
Mais les logiciels x86 ne se trainaient pas dessus, ce qui était une vraie surprise, et la faible perte de performance peu visible, voire pas du tout hors certains cas particuliers.
Il y a une astuce propriétaire Apple dans tout cela, car le x86 a des drapeaux créés lors d'opérations arithmétiques qui n'existent pas dans les architectures ARM, ni 32 bits ni 64 bits.
Apple a créé un mode d'exécution propriétaire dans le A12 puis les Apple Silicon Mx, qui n'existe pas dans aucune CPU ARM, pour générer ces drapeaux "en vol" sans incidence sur les performances.
Les SoC Apple ARM sont absolument uniques en ce sens, propriétaires et créés pour Rosetta 2, une très légère modification que normalement ARM interdit absolument. Mais Apple est un des créateur d'ARM!
Ça explique aussi que lorsque Rosetta 2 offre 85% des performances natives, l'émulation Intel de Microsoft sur les PC ARM est très lente car n'implémentant pas d'extension propriétaire.
ARM a accepté qu'Apple ne respecte pas ses règles, mais aucun autre créateur de puces ou SoC ARM n'en a le droit!
La technologie de Rosetta 2 est parfaite, elle a permis de rendre le passage aux Mac ARM indolore pour la plupart, et ça a probablement pour moi été la plus grande surprise venue avec le Mac mini DTK destiné aux développeurs.
Rosetta 2 + M1 ? Pour le prochain épisode!
Avertissement: ce contenu peut contenir contient du sarcasme que j'espère évident. Le second degré y fourmille. il y a malice. Je ne passe pas le point Godwin, Clear Force l'a défoncé.
Avez-vous déjà eu des problèmes financiers?
Ou des problèmes personnels? Peut-être un divorce ou une séparation?
Comment va votre santé? Les résultats de votre dernière prise de sang vous préoccupent?
Pourquoi ce changement de médicaments? Cette consultation à un spécialiste?
Avez-vous posté des messages inhabituels ou divergents de la norme sur un réseau asocial?
Pourquoi ce coup de colère contre votre gouvernement, êtes-vous extrémiste?
Quel est votre religion au fait?
Avez vous eu reçu récemment une amende pour excès de vitesse? Ou fait des erreurs de jeunesse?
De quelles nationalités sont vos grands-parents?
Est-ce que vous buvez? Un chichon une fois ou deux? Juste le week-end?
Avez-vous été circoncis, on a le reçu pour ça? Pourquoi?
Je vois que vous avez été deux jours à tel endroit, pouvez-vous en justifier la raison?
Qui sont vos amis? Êtes-vous sûr d'eux?
On se souviendra qu'en une autre époque un grand pays Européen avait fait appel à IBM et à son CEO Watson décoré alors par son grand ami ex-peintre moustachu énervé pour l'aide qu'il leur avait apporté pour ficher la population avec des cartes perforées en développant les matériels permettant cela.
Date de naissance, sexe, adresse, opinions religieuses, croyances politiques, handicap, orientation sexuelle, couleur de peau, origines des grands-parents... Êtes-vous un bon à rien?!?
Une grande avancée en terme de Big Data, grâce à IBM. Le fameux Big Data sur nous tous.
Ce Big Data commençait bien! Ce sont là les origines du Big Data!
Dans la plupart des pays occidentaux et grâce à cette fameuse fumeuse expérience, on a maintenant des garde-fous empêchant de collecter ces informations, encore moins de les stocker, de les partager à des "partenaires", et différentes caractéristiques comme la couleur de peau et/ou les origines, le sexe, l'orientation sexuelle, les croyances politiques ou les opinions religieuses étant protégées.
Tous différents, tous protégés (sic), nos différences faisant de nous des individus uniques, apportant de la richesse, la protection assurant notre égalité devant la loi, devant l'emploi, dans tous les angles de la vie. Ou presque...
Clear Force a 6 administrateurs dont 3 (la moitié donc) ont à la fois un passé de Data Broker (vendeurs de vie privée) mais aussi de failles de sécurité massives avec des dizaines ou plus d'une centaine de millions de vies privées exposées. Leurs Big Data Leak.
Cette société commence aussi bien que le Big Data, et on ne sera pas déçu.
Évidemment tout cela est basé sur des IA.
Les IA ne sont pas le problème, mais visiblement la solution finale...
Le Business Plan de Clear Force est d'accumuler des données sur les salariés d'entreprises Américaines (en principe), ainsi que d'en recevoir ou d'en rechercher en temps-réel, tant sur les réseaux sociaux, via la Justice ou les forces de l'ordre, le système de santé dont les assurances privées, les opérateurs cellulaires, votre banque, ce que vous consultez sur Internet, vos catégories de porn préférées, vos achats en-ligne, vos achats physiques via vos cartes de "loyauté", bref tout ce qui peut en raconter sur vous.
Le but étant de prévenir tout risque pour les entreprises, à vos dépends.
Pré-crime est là et bien là.
Pour ma part ayant travaillé pour des entreprises financières, j'ai évidemment du avoir des analyses de risque, que j'ai accepté: antécédents judiciaires, antécédents d'emploi et risque financier. C'est tout.
À chaque fois passé. Je ne mens pas et en général ça suffit sauf a être un criminel.
Mais je n'aime pas.
Clear Force va bien plus loin, en analysant tout cela en temps-réel sur la durée, avec beaucoup plus de sources d'information (réseaux asociaux, opérateurs cellulaires, assurances santé, etc.) et de manière absolument opaque indiquant en temps-réel aux employeurs quels salariés sont à risque et le type de risque, comme "financier", "santé" ou "judiciaire".
L'employé n'est pas informé. Seul l'employeur l'est.
À risque?!?
Une promotion, une prime, l'accès à un projet excitant, ou même votre emploi tout court...
Et cela même si vous êtes honnête, loyal, et produisez de bons résultats. Le bon mouton.
Clear Force pré-crime vous a ciblé. Vous êtes maintenant un cygne noir. Un cygne des temps.
Vous me direz que ça ne vous touche pas, vous ne travaillez pas aux USA.
Mais si votre employeur Français est une filiale d'une société Américaine, êtes-vous vraiment protégé, êtes-vous vraiment à l'abri?
Pensez-vous vraiment qu'une société étrangère comme Clear Force et son pré-crime vont respecter le GDPR?!?
Quand ils n'ont absolument aucune éthique, et que la moitié de leurs administrateurs ont participé à la collecte mais aussi à la diffusion massive de données personnelles. Êtes vous sûr?
Comme le dit le Docteur Jon Padfield, le film Minority Report est maintenant un documentaire.
Vous voulez en savoir plus? Tapez 1.
Ce sujet a un aspect éminemment politique. Lâchez-vous en respectant vos interlocuteurs.
Apple fêtait cette semaine les 20 ans de l'arrivée des podcasts dans iTunes avant que bien plus tard ils ne disposent de leur propre application, signe de leur popularité. Le choix aujourd'hui en émissions à ce format est faramineux. Il y a celles des stations de radio qui permettent ainsi de les écouter sans contrainte d'horaire et tous ces programmes qui n'existent que grâce à ce système de diffusion via internet
Que l'on soit dans la rue, dans sa voiture, devant son ordinateur ou en train de courir, les podcasts, comme la musique, peuvent suivre leurs auditeurs absolument partout. Vous avez un ordinateur, un smartphone, des enceintes ou une montre connectée… ? Alors vous pouvez écouter des podcasts quand bon vous chante.
Est-ce que, pour autant, vous profitez de ce système de diffusion qui s'est désormais banalisé dans le paysage audiovisuel ?
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Deux semaines après la WWDC, Apple est de retour sur le devant de la scène, mais cette fois au cinéma. La superproduction F1 avec Brad Pitt vient de sortir et elle est portée par une campagne publicitaire massive qui s’invite jusque dans nos iPhone. Apple en fait-elle un peu trop pour son film ? On en discute dans cette émission.
Dans cet épisode on revient également sur l’intérêt marqué de Tim Cook pour Perplexity, sur la nouvelle étiquette européenne qui ne plait pas trop à Apple et sur CarPlay Ultra qui semble mal embarqué.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
Bonne écoute et bon week-end !
La sortie des iPad Pro M5 est toujours prévue pour cette année, a priori à l'automne en même temps qu'iPadOS 26 selon les rumeurs. Et sur Weibo (un réseau social chinois), Instant Digital indique que les iPad Pro pourraient se retrouver avec des bordures d'écran plus fines. Une rumeur qui est probablement vraie, car il ne s'avance pas beaucoup : la majorité des acteurs du marché tendent à réduire la taille des bordures et il indique que ce changement pourrait être appliqué à une future génération, c'est-à-dire pas nécessairement l'iPad Pro M5, mais peut-être l'iPad Pro M6.
Il compare les bordures à celles de la tablette Samsung Galaxy Tab Ultra, une tablette qui concurrence les iPad Pro avec des bordures très fines. Par ailleurs, au-delà du fait qu'une réduction de l'épaisseur des bordures est probable, le Liquid Glass d'Apple permet d'imaginer des appareils avec des bordures extrêmement fines (voire invisibles), pour allier l'interface qui reprend une plaque de verre à un rendu physique du même ordre.
Écran pliant, nouveau design : ce que Liquid Glass et iPadOS 26 préfigurent pour les futurs iPhone
Amazon solde le tapis de souris (de bureau, en réalité, étant donné sa taille) Logitech Desk Mate : il est à 6,99 € (en gris) au lieu de 22 €. Un excellent prix pour ce modèle en tissu qui résiste aux éclaboussures. Il mesure 30 x 70 cm, et vous pourrez placer une souris mais aussi un clavier sur la surface antidérapante.
La version rose est à 10 €, le modèle lavande à 13,5 €.
L'iPhone 16 et l'iPhone 14 se retrouvent chacun à des prix attractifs grâce à une réduction de 50 € qui s'applique sur des tarifs de promotion.
Chez Amazon (France) le dernier iPhone 16 peut s'enlever pour 749 € en utilisant un coupon qui s'activera automatiquement au moment du paiement. Les modèles noir, bleu et rose en 128 Go sont en promo à 799 € (au lieu de 869 € chez Apple) et c'est sur ce prix que sont retranchés les 50 €.
Chez Cdiscount c'est l'iPhone 14 de 128 Go en coloris Lumière stellaire que l'on peut acheter pour 549 € au lieu de 599 € en saisissant le 50DES499
à l'étape du paiement.
Cet iPhone 14 est bien sûr compatible avec le prochain iOS 26 attendu en septembre, il a la 5G, le MagSafe pour les accessoires aimantés, une bonne autonomie, mais pas de compatibilité avec Apple Intelligence (contrairement au 16). C'était une évolution sans feu d'artifice à sa sortie, mais à ce prix aujourd'hui c'est un très bon appareil.
Test de l'iPhone 14 : un surcoût pour du surplace
Comme certains l'imaginaient, l'obligation de vérifier la date de naissance des internautes pourrait être étendue à d'autres domaines que les sites pornographiques. Et nous ne parlons pas ici des réseaux sociaux qui pourraient bien être considérés comme des sites pornographiques, mais bien des sites qui vendent des couteaux, c'est-à-dire une bonne partie des sites de e-commerce, d'Amazon à CDiscount en passant par de nombreux autres.
C'est Contexte qui explique le problème, grâce à un projet de décret du ministère de l’Intérieur qu'ils ont pu consulter, et qui contient ceci : « tout site proposant à la vente en ligne des armes par nature telles que définies à l’article R. 311-1 doit comporter un message d’information avertissant que la vente d’armes est interdite aux mineurs de moins de 18 ans, affiché sur les pages d’accueil et de paiement ».
Dans la pratique, les différents sites qui vendent des couteaux de cuisine (qui sont des armes par nature) pourraient être obligés de vérifier l'âge des acheteurs, ce qui pose exactement les mêmes problèmes que pour les sites pour adultes : « Sur Internet, personne ne sait que tu es un chien », comme le dit cette célèbre image. Plus sérieusement, les différentes méthodes qui permettent de vérifier l'âge d'une personne posent souvent des problèmes de respect de la vie privée ou ne sont pas efficaces, et c'est ce que reproche le groupe Aylo à la loi française.
Pornhub, Redtube et YouPorn baisent le rideau en France
Par ailleurs, encore selon Contexte, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance considère que cette obligation poserait de nombreux problèmes, notamment avec les sites de e-commerce qui ne sont pas basés en France mais qui opèrent dans notre pays.