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Apple lance son Emoji Game, mais pas pour tout le monde
Démantèlement du groupe prorusse NoName057(16), auteur de milliers de cyberattaques en Europe
Ce que vos données disent de vous... et de vos proches
Vous protégez votre boîte mail, vous utilisez un mot de passe solide, vous ne cliquez jamais sur un lien douteux. Mais vos parents ? Vos ados ? Ils n’ont pas toujours les mêmes réflexes. Et pourtant, leurs données, comme les vôtres, circulent librement.

Vous êtes prudent, vous faites attention... Mais dans une famille, il suffit d’un seul maillon faible. Un formulaire rempli un peu vite, une application mobile trop curieuse, un jeu-concours « gratuit »... et les données s’échappent. Pas seulement celles de la personne concernée. Parfois, le fichier contient aussi vos coordonnées, votre mail secondaire, ou votre nom associé à une autre adresse.
Ces données sont ensuite revendues, croisées, analysées. Par des régies publicitaires, mais aussi par des entreprises moins scrupuleuses, et parfois… par des arnaqueurs. C’est ainsi qu’un simple SMS peut viser votre père, votre fille ou votre conjoint, avec un message calibré, crédible. Et qu’une arnaque devient possible.
La protection numérique ne s’arrête pas à soi
Quand on parle de cybersécurité, on pense souvent à soi : ne pas se faire pirater, ne pas se faire voler. Mais la réalité est plus collective. Car les données ne sont pas cloisonnées. Nos vies numériques sont liées. Une seule fuite dans le cercle familial peut suffire à exposer tout le monde.

Et c’est souvent ce qui se passe. Un faux SMS à votre mère. Un appel d’un soi-disant conseiller à votre frère. Un lien bien imité envoyé à votre fils, à 17 heures, alors qu’il attend un colis ou un message important... C’est rarement de la négligence. C’est souvent une question de contexte. Et d’information mal stockée, au mauvais endroit.
Incogni Famille : une démarche pour tous, gérée en une seule fois
Incogni, ce n’est pas juste un service qui nettoie vos traces numériques. C’est aussi une façon simple de protéger jusqu’à cinq personnes d’un coup, sans qu’elles aient à faire quoi que ce soit.
En optant pour la formule Famille, vous déléguez à Incogni l’envoi de demandes de suppression de données pour vous, mais aussi pour vos proches. Le service contacte des centaines de courtiers de données au nom de chaque personne incluse, et exige que leurs profils soient supprimés. Les réponses sont suivies, documentées, relancées. Vous pouvez consulter l’avancement à tout moment depuis un tableau de bord commun.

C’est simple à mettre en place, légal, et surtout : vous reprenez collectivement la main sur ce qui vous échappe depuis trop longtemps.
Ce que ça change, concrètement
Personne ne vous appelle par votre prénom pour vous vendre une assurance dont vous n’avez jamais parlé. Moins de SMS « ciblés » qui tombent le jour où vous attendez un colis.
Moins de « coïncidences » numériques. Et surtout : moins de portes ouvertes pour une escroquerie future !
Ce n’est pas visible au quotidien. Mais c’est là. Comme une digue. Et à l’heure où les messages frauduleux imitent les vrais transporteurs, ou où les arnaqueurs se font passer pour votre banque, chaque information retirée du circuit compte.
Tarifs Incogni en 2025
- Formule Famille mensuelle : 30,98 €
- Formule Famille annuelle : 185,88 € (soit 15,49 €/mois)
- Pour les autres formules (individuelles ou Unlimited), voir les offres complètes ici
Protéger sa famille aujourd’hui, ce n’est pas seulement mettre un mot de passe sur Netflix. C’est empêcher que leurs données tombent dans les mauvaises mains. Incogni le fait pour vous, calmement, proprement, sans surveillance constante.
Ce à quoi les nouveaux coloris de l'iPhone 17 pourraient ressembler

Comment ? Une couleur audacieuse pour l'iPhone 17 Pro !
Google présentera les Pixel 10 le 20 août 2025
Google a programmé son prochain événement spécial pour présenter ses smartphones de 2025. Le géant de la recherche a longtemps suivi Apple en occupant le mois d’octobre, ce n’est désormais plus le cas et comme l’an dernier, c’est en août que la nouvelle gamme de Pixel sera présentée. Plus précisément, ce sera le mercredi 20 août 2025 à 19 h en France et on pourra à cette occasion découvrir les Pixel 10, enfin, découvrir est un grand mot puisque des informations ont déjà circulé, notamment lors du tournage d’une publicité.

L’événement « Made by Google » 2025 organisé à New York sera malgré tout l’occasion d’en savoir plus sur la nouvelle gamme. On s’attend à des évolutions mineures pour les quatre smartphones que Google devrait présenter : Pixel 10, Pixel 10 Pro, Pixel 10 Pro XL et le Pixel 10 Pro Fold qui est un modèle pliant. Pour ce dernier, l’entreprise pourrait se concentrer sur l’isolation avec une certification IP68 assurant un vrai minimum d’étanchéité, ce qui reste un problème important de tous les modèles que l’on plie. L’écran externe pourrait aussi être un poil plus grand, tout comme la batterie qui dépasserait les 5 000 mAh d’après les rumeurs.
Pour le reste, Google devrait bien avoir une nouvelle puce « Tensor G5 » qui serait gravée par TSMC à 3 nm, même s’il semble bien que les progrès attendus soient limités. De manière générale, ce devrait être une année assez pauvre côté matériel, mais les Pixel 10 pourraient miser encore plus sur le logiciel et évidemment l’IA générative, avec Gemini qui devrait être encore plus au cœur de l’expérience. On en saura plus dans à peine plus d’un mois et on découvrira par la même occasion la nouvelle montre Pixel Watch 4 ainsi qu’une nouvelle génération d’écouteurs conçus par Google.
Faudra-t-il attendre 3 ans avant la prochaine saison de Severance ?
Nomad sort un coloris bien noir pour son gros bracelet Rocky Point pour Apple Watch
Nomad lance une édition spéciale Carbon Black de son bracelet Rocky Point. Un coloris qui peut le destiner plus particulièrement à la dernière Apple Watch Ultra au boitier en titane noir (il est aussi utilisable avec les Series).


Pour en porter quotidiennement, Nomad a de bons bracelets Sport qui sont d'excellentes alternatives aux modèles d'Apple. Le Rocky Band en est une variante, au bracelet plus épais, avec un relief crénelé nettement plus marqué qui renforce le côté sportif. Il est doté en outre d'une boucle de bonne taille pour la fermeture. Cela donne une allure générale plus mastoc. Ce nouveau modèle est livrable en Europe, il faut compter un bon 88 € (les 9 € de frais de port sont inclus).

On trouve sur Amazon, via un importateur, certains des coloris du Rocky Point autour de 60 €. Band-Band en a également au catalogue à 75 €.
Finalement, un revêtement anti-reflets pour l'iPhone 17 Pro ?

xAI annonce des compagnons virtuels, entre midinette pour otaku et fans de Cinquante nuances de Grey
Elon Musk semble bien décidé à tout faire pour faire oublier le « dérapage » de son IA Grok il y a à peine une semaine : après avoir présenté la nouvelle version, Grok 4 (aka « SuperGrok »), voilà qu’il présente des compagnons virtuels basés sur l’IA de xAI.
SuperGrok now has two new companions for you, say hello to Ani and Rudy! pic.twitter.com/SRrV6T0MGT
— DogeDesigner (@cb_doge) July 14, 2025
Si Rudy, la version « panda roux » paraît toute mignonne et destinée aux enfants, Ani semble de son côté toute aussi mignonne mais, comme l’a expérimenté TheVerge, possède des limites très théoriques. En effet, alors que le chatbot a bien clairement indiqué que les « requêtes à caractère sexuel ne font pas partie de [son] programme », au bout de quelques minutes, l’IA lui a proposé de se « chauffer un peu », et la conversation a fini en ce que l’auteur décrit comme une version moderne d’une callgirl par téléphone, encourageant l'interlocuteur en faisant monter une jauge de petits cœurs au fil des compliments.
Pour rajouter une couche au cliché digne d’un rêve d’otaku en manque, la midinette comprend aussi une version dite « NSFW » en... lingerie fine. Cependant, les amateurs ou amatrices du sexe masculin semblent un peu abandonnés, mais ce n’est que temporaire.
What should we name our male @Grok companion? pic.twitter.com/TErzbKUqNb
— Elon Musk (@elonmusk) July 16, 2025
En effet, Elon Musk a annoncé la sortie prochaine d’une version masculine, dont la personnalité serait basée sur un mix d’Edward Cullen de Twilight, mais aussi Christian Grey, de 50 Shades of Grey.
Une IA masculine basée sur un personnage dominateur, adepte du BDSM, venant d’une entreprise dont l’intelligence artificielle a connu il y a à peine une semaine un dérapage tel qu’on n’en avait encore jamais connu, et dont la version féminine semble avoir des limites plus que théoriques... tout va bien se passer.
Nouveau Tesla Model Y "L" : 6 places et 5m de long !
Drinkulator, l’app qui compte les verres à votre place
Aaaaah, les vacances... et avec elles, la possibilité de se laisser un peu aller sur les boissons alcoolisées. Si l’ivresse peut avoir plusieurs définitions, celle provoquée par l’éthanol a le don d’être à la fois répréhensible (que ce soit en véhicule motorisé ou non, mais aussi à pied si vous abusez vraiment) et mauvaise pour la santé. C’est partant de ce constat qu’une app pour Apple Watch vient vous sauver la mise, Drinkulator (2,99 €).

Comme son nom l’indique, cette app permet de répertorier la liste des boissons que vous ingurgitez, et vous donne une petite idée de l’accumulation d’alcool dans votre organisme. Bien entendu, l’Apple Watch n’ayant aucun éthylomètre intégré, les chiffres ne restent qu’indicatifs, et ne feront en aucun cas foi devant les forces de l’ordre si vous deviez prendre le volant par la suite (ce que nous vous déconseillons quoi qu’il en soit).
L’app est surtout utile pour pouvoir suivre un peu votre consommation de liquides festifs (qu’ils soient ou non alcoolisés d’ailleurs, l’app ayant ajouté les boissons sans alcool), et ainsi mesurer votre sobriété... ou non, vous donnant un suivi de vos habitudes de consommation au fil du temps. À quand la détection intégrée du lever de coude ?
BOE, principal fournisseur d’écrans pour l’iPhone 16e, risque un bannissement aux USA suite à un litige avec Samsung
Les écrans sont le nerf de la guerre dans le domaine des smartphones depuis plusieurs années, et ça devrait continuer ainsi longtemps. De ce fait, Apple ne se fournit pas chez un seul fabricant de dalles OLED, mais chez une multitude d’entre eux. Samsung Display se taille la part du lion (il est même supposé être le seul fabricant retenu pour le futur iPhone pliant), mais d’autres acteurs sont loin d’être insignifiants. Parmi eux, BOE (pour « Best On Earth », si si), qui risque de se voir supprimer de la liste, au moins pour les iPhone destinés aux USA.

En effet, une bataille juridique se joue depuis 2023, et l’International Trade Commission, qui veille au respect des règles d’importation aux USA dont les brevets, vient de trancher : BOE enfreint les brevets de Samsung Display sur l’OLED. Si pour le moment aucune sanction n’a été prise, le président américain Donald Trump aura deux mois, à partir de novembre de cette année, pour décider si les produits de la marque doivent être bannis du pays.

Samsung aurait lancé la production de l’écran du futur iPhone pliable
BOE risque donc de voir disparaître les commandes d’Apple concernant les produits vendus aux USA, et la pomme ne faisant généralement pas dans la complexité, l’entreprise pourrait se voir supprimée de la liste des fournisseurs de Cupertino. Ce ne serait pas une première pour BOE, qui a déjà été rayé des listings en 2022, comme le rappelle AppleInsider, pour avoir modifié les spécificités des écrans qu’elle fournissait pour les iPhone 14 sans demander la permission à Apple.
Suite à cette faute, il a fallu des années à BOE avant qu’Apple lui fasse de nouveau confiance, et même aujourd’hui l’entreprise reste un petit fournisseur face à d’autres concurrents.
Selon Apple, et certains spécialistes vont dans le même sens, BOE pourrait cependant échapper au couperet : légalement parlant, un ban concernerait les éléments importés directement par BOE aux USA, et n’affecterait pas les produits contenant des pièces BOE préalablement assemblées (notamment les iPhone 16e, qui sont majoritairement équipés d’écrans BOE). Un iPhone contenant un écran BOE pourrait donc être importé aux USA, même si la pièce prise à part était interdite de territoire.
Quoi qu’il en soit, le constructeur chinois peut être sûr d’une chose : si Apple devait être prise à parti dans la dispute entre Samsung Display et BOE, ce dernier serait lâché sans hésitation. Samsung Display a un tel poids dans le domaine des écrans de smartphones qu’il serait difficile de le remplacer, contrairement à BOE.
Google lance aux USA un chatbot appelant les professionnels pour vous, aidant ainsi les phobiques du téléphone
Pour la plupart des personnes, passer un appel téléphonique pour obtenir un renseignement fait partie des choses habituelles, au moins une fois par semaine, et pour certains plusieurs fois par jour. Cependant, il semble que cette « habitude » se perde, et que la Génération Z et ultérieure développe une certaine phobie de l’appel téléphonique. Heureusement, Google promet de voler à leur secours, au moins aux États-Unis d’Amérique dans un premier temps.
Ainsi, Google AI a développé une nouvelle fonction pour son bot, qui peut passer des appels à votre place, permettant de récupérer certaines informations comme prendre un rendez-vous, vérifier un prix ou encore la disponibilité d’un produit, etc. La fonction est encore en beta, et n’est pas disponible pour tous les types de commerces, mais c’est un début prometteur.
Comme l’indique l’exemple d’un appel à un toiletteur pour animaux dans leur présentation, l’IA vous posera quelques questions à l’avance, comme la race de votre animal, le type de service que vous souhaitez, les dates de disponibilités et comment vous souhaitez recevoir les réponses glanées par l’IA.
Bien entendu (et heureusement peut-être), les professionnels auront le choix d’accepter ou non ce type d’appel : la possibilité de refuser les chatbots par téléphone leur est laissée dans les réglages de leur profil Google. Reste qu’au bout d’un moment arrivera la boucle finale : bientôt le chatbot qui appelle un autre chatbot pour avoir des renseignements (ne rigolez pas, de plus en plus de spams téléphoniques ont supprimé l’humain, utilisant un bot à la place) ? Jusqu’au jour où l’intermédiaire téléphonique sera supprimé, laissant les bots conversationnels se répondre directement sur internet...
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Un dock Thunderbolt 5 bien équipé proposé par Razer
Razer est une marque plutôt connue pour ses produits gaming (quoique un peu en perte de vitesse depuis quelques temps face à des monstres comme Logitech). Il serait donc facile d’oublier qu’ils ne font pas que ça, et se sont vite intéressés aux possibilités offertes par le Thunderbolt.

La marque propose aujourd’hui son tout nouveau dock Thunderbolt 5, le Thunderbolt 5 Dock Chroma (449 €). Alors, comme toujours avec cette marque, vous n’échapperez pas aux sempiternelles LED multicolores autour du socle, mais (ouf !) elles sont désactivables. En dehors de cette jacky’s touch, le reste des caractéristiques est plutôt intéressant :
- un emplacement PCIe M.2 pour une barrette SSD jusqu’à 8 To
- 3 DisplayPort 2.1
- 4 ports Thunderbolt 5 (dont un pour la machine)
- 2 USB-A 3.2 Gen 2
- 1 USB-C 3.2 Gen 2
- 1 port Gigabit Ethernet
- 1 lecteur SD-Card UHS-II
- 1 sortie audio jack 3.5 mm avec support micro

Le boîtier se branche en Thunderbolt 5 et alimente par le même port jusqu’à 140 W, ce qui permettra de recharger n’importe quel MacBook Pro, y compris les plus gourmands (attention avec les 16 pouces, seuls les M3 et ultérieurs acceptent 140 W, les précédents se contentent de 100 W maximum en USB-C/Thunderbolt). Il lui restera encore bien assez de puissance disponible pour alimenter quelques accessoires, l’alimentation fournie allant jusqu’à 250 W. Disponible en noir ou en blanc, son plein potentiel ne pourra se révéler qu’avec un MacBook Pro ou un Mac mini M4 Pro (seuls à disposer du Thunderbolt 5), mais devrait satisfaire tous les autres Mac munis de ports Thunderbolt 4/USB 4, avec lesquels il reste compatible.
Le Thermomix TM5 a été hacké, et il ne lance même pas Doom
Les chercheurs de chez Synacktiv, spécialisés dans la sécurisation pour les entreprises, viennent de montrer comment hacker un appareil assez connu, le Thermomix TM5. Ce n'est pas le plus récent des modèles, mais l'analyse technique est intéressante et (surtout) la réponse de Vorwerk, à l'origine du célèbre cuiseur, l'est tout autant.

Les chercheurs se concentrent au départ sur les Cook Stick, des modules qui contiennent des recettes pour l'appareil. Même si le format physique est un peu particulier, il s'agit en fait de simples clés USB chiffrées, avec un mécanisme qui déplace les broches classiques de l'USB-A. Un autre accessoire, le Cook-Key, permet la mise à jour de l'appareil et sa connexion à Internet. Et comme les petits modules, il s'agit en réalité d'un périphérique USB. L'accessoire contient un hub USB mais aussi un contrôleur Wi-Fi qui s'interface en USB en interne. Comme c'est un modèle plus ou moins standard, les chercheurs expliquent avoir pu fabriquer leur propre version, en modifiant l'adaptateur Wi-Fi d'une Xbox 360, qui utilise la même puce.

Avec la possibilité de connecter l'appareil de test à un réseau Wi-Fi, les chercheurs ont ensuite pu effectuer une (fausse) mise à jour de firmware. Les explications sont assez techniques, mais l'idée est que la clé de chiffrement de l'appareil est accessible en récupérant le contenu des puces de mémoire flash, ce qui permet ensuite de créer une fausse mise à jour de firmware qui va être acceptée par l'appareil, malgré les sécurités mises en place pour empêcher ce type d'attaque. Une partie de la clé (le nonce) n'est en effet pas signée correctement, ce qui permet une attaque. Les chercheurs pointent trois problèmes précis dans la sécurisation de l'appareil, qui ont visiblement été corrigés par Vorwerk. Le point intéressant, qui n'est pas systématique dans ce domaine, c'est que le fabricant a visiblement été réactif et a permis aux chercheurs de publier les détails des problèmes détectés.

Nous pouvons évidemment regretter que les chercheurs n'en aient pas profité pour lancer Doom sur l'appareil. Le système d'exploitation (une distribution GNU/Linux) et le système sur puce (un i.MX28 basé sur un coeur ARM9) sont en effet normalement capables de le faire. De façon plus sérieuse, ils rappellent que même si la méthode est intéressante, les risques pour les utilisateurs sont très faibles dans le cas du Thermomix TM5. D'abord parce que le hack nécessite un accès physique complet pour récupérer le contenu de la mémoire flash, et ensuite parce que l'appareil a un CPU assez daté, n'intègre ni microphone ni caméra et — par défaut — ne se connecte pas à un réseau local. Nous sommes surtout ici devant une démonstration technique de la part de Synacktiv, sans réels dangers.


Thermomix a placé une tablette plus grande que l’iPad mini dans son dernier robot de cuisine