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OK les darons, j'ai besoin d'un Mac : la présentation PowerPoint d'Apple

Apple vient de mettre en ligne quelque chose d'assez inattendu : une présentation PowerPoint préremplie — elle existe aussi pour Keynote et Google Slides — qui contient de nombreux arguments pour convaincre vos parents de vous acheter un Mac. Elle cible d'un côté les élèves (elle est dans une section dédiée du site d'Apple) et de l'autre les parents de ces derniers.
Nous n'allons pas vous montrer les 81 pages du document d'Apple, mais c'est un peu cringe (comme diraient certaines personnes qui se pensent jeunes) et la cible est clairement les personnes qui s'envoient des chaînes d'email avec des présentations PowerPoint contenant des images « amusantes » (qui ne le sont pas nécessairement). Il y a beaucoup d'emojis, des arguments plus ou moins valables et des astuces pour bien remplir le document (ce que nous n'avons pas fait). Le seul bémol, selon nous, c'est que les jeunes Américains qui entrent à l'université en 2025 ont probablement des parents nés dans les années 70 ou 80 qui ne sont pas des boomers, ni la caricature qu'Apple tente de mettre en avant avec sa présentation1.










Terminons par une vidéo en rapport avec cette présentation, postée sur YouTube.
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Mais c'est un reproche qui est peut-être lié au fait que l'auteur de ces lignes pourrait être un des parents en question. ↩︎
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Les iPad comme les iPhone ont droit à 5 ans de mises à jour logicielles
Les iPad comme les iPhone ont droit à un minimum de 5 années de mises à jour système et correctifs de sécurité. Cette information est gravée dans le marbre des nouvelles étiquettes d'efficacité énergétique qui fleurissent depuis ce matin aux côtés des smartphones et tablettes.

En version détaillée, dans celles pour les iPad, Apple indique ces 5 années de suivi logiciel. Il y a un an, elle l'avait déjà officialisé outre-Manche pour les iPhone, mais elle n'avait pas donné d'indications particulières pour ses tablettes.

Apple officialise une durée des mises à jour d'iOS inférieure à Google et Samsung
Ces 5 ans sont une durée minimale, rien n'empêche Apple de tirer un peu plus longtemps sur la corde. Elle l'a encore fait en janvier dernier avec une importante mise à jour de sécurité pour d'assez vieux iPhone, mais l'exception n'est pas devenue une règle.
En face, de grands acteurs du monde Android ont poussé le curseur à 7 ans, c'est le cas de Google et de Samsung. Pour ce dernier, les tablettes enregistrées dans la base du Registre européen de l’étiquetage énergétique des produits indiquent également 7 ans de suivi et on a même croisé un modèle annonçant 8 ans. La Galaxy Tab Active5 Pro est une tablette conçue pour l'entreprise et les milieux industriels.

Europe : Apple trouve beaucoup à redire sur les tests d'efficacité énergétique et de résistance des iPhone et iPad
Grosse promo chez RED, qui propose un forfait mobile 300 Go en 5G pour 9,99 €
SFR tente de faire passer la pilule de ses gros problèmes techniques du début de semaine. L’opérateur vient de lancer un forfait avec 300 Go de 5G pour 9,99 € via sa marque RED. Le forfait comporte 33 Go à utiliser dans l’UE et les DOM. La carte SIM ou eSIM est facturée 10 €.

Si vous n’avez pas besoin de tant, RED propose également 200 Go de 5G pour 7,99 €, avec 38 Go dans l’UE/les DOM. On peut sinon descendre à 50 Go de 4G pour 4,99 €, ce qui devrait suffire à un grand nombre de profils.
À l’approche des vacances, les opérateurs se sont lancés dans une véritable guerre des prix. Sosh propose 200 Go de 4G pour 10 € par mois, là où les 40 Go sont affichés à 6 €. Bouygues affiche 200 Go de 5G pour 10 €, sachant qu’il revient à 1 € par mois pour les personnes optant pour une box Pure Fibre. La même chose chez Free ne coûte que 9 €, sachant que le forfait passe à 20 € après 12 mois.
Promo : -48 € sur l'Apple Pencil 2, -20 € sur le Pencil Pro
Plusieurs Pencil sont en réduction chez Amazon et pour l'un d'entre eux l'économie est significative. Le Pencil de 2e génération est ainsi vendu 101,75 € au lieu de 149 € chez Apple. Ce n'est pas une baisse brutale, Amazon l'avait mis à 108 € depuis un moment, mais c'est un bon plan. Le Pencil 2 fonctionne avec plusieurs génération d'iPad mini, Air et Pro.

Il se recharge par aimantation, il est sensible à la pression (pour faire varier l’épaisseur du trait), à l’inclinaison (pour ombrer), ainsi qu'au toucher : vous pouvez taper deux fois sur la partie aplatie du stylet pour basculer entre l’outil actif et la gomme, entre autres
L'Apple Pencil USB-C est également en promo à 75 € au lieu de 89 €, mais cette réduction est là depuis un moment. Ce modèle est compatible aussi avec beaucoup d'iPad, mais il ne gère pas la pression pour faire varier l'épaisseur du trait. Cela pourrait manquer s'il s'agit de souvent dessiner avec.

Enfin, le roi des stylets d'Apple, le Pencil Pro est également vendu moins cher depuis un bon moment à 129 € au lieu de 149.

Il marche avec des tablettes plus récentes : iPad mini A17 Pro, iPad Air M2 et M3 et iPad Pro M4. Il est doté de toutes les possibilités : détection de la rotation du corps, retour haptique, fonction survol, compatibilité avec Localiser, etc.

Écrire sur iPad : notre série au complet sur le Club iGen
Meta propose des lunettes connectées avec Oakley
Après avoir travaillé avec Ray-Ban, un grand nom dans le domaine des lunettes, Meta étend ses partenariats. Cette fois, c'est Oakley, une marque américaine spécialisée dans les lunettes pour les sportifs, qui est de la partie. Comme Ray-Ban, Oakley appartient par ailleurs à EssilorLuxottica.

Les Oakley Meta HSTN en édition spéciale (HSTN pour how-stuhn) sont prévues pour 500 $ (550 €) avec une sortie le 11 juillet et une version plus classique est attendue plus tard cet été pour 400 $ (440 €). Les fonctions attendues sont les mêmes que les Ray-Ban Meta : les lunettes intègrent une caméra dans une des branches et des écouteurs ainsi qu'un microphone. Il est donc possible de prendre des photos, d'écouter de la musique, d'effectuer des appels, d'enregistrer des messages vocaux, etc. L'IA de Meta est aussi capable de répondre à certaines questions et même de traduire ce que dit votre interlocuteur.

L'esthétique est évidemment assez différente de celle des modèles de Ray-Ban, avec aussi quelques améliorations. L'autonomie annoncée est meilleure que sur les Ray-Ban, avec 8 heures annoncées (contre 4 heures) et un étui capable de fournir 48 heures d'autonomie au total. Les lunettes sont résistantes (IPX4, ce qui indique qu'une forte pluie ne posera pas de soucis) et le capteur passe du 1080p à du 3K (1620p) pour la vidéo, avec toujours 12 mégapixels pour les photos, ce qui promet une amélioration assez nette de la qualité.

Oakley va proposer plusieurs couleurs (gris, noir, brun et transparent) avec des options pour adapter les verres à votre vue si vous en avez besoin. La sortie est prévue dans nos contrées, mais aussi au Canada, aux États-Unis, en Belgique et dans de nombreux pays européens. Notons qu'une des variantes proposées va intégrer des verres transparents classiques, pour ceux qui ne portent pas des lunettes de soleil en permanence.
L'iPad Air M3 en promo : son prix le plus bas depuis le lancement (-84€) !
Europe : Apple trouve beaucoup à redire sur les tests d'efficacité énergétique et de résistance des iPhone et iPad
L'affichage à partir d'aujourd'hui de nouveaux indices d'efficacité énergétique et de durabilité des smartphones et tablettes a conduit Apple à publier une longue critique de ce système qu'elle soutient sur le fond, mais beaucoup moins sur la forme.
Comme ses concurrents, Apple a désormais une astreinte à afficher sur ses sites européens des indices d'efficacité énergétique et d'écoconception. Les grandes enseignes de vente font de même, comme on le voit depuis des années pour les produits d'électroménager. L'objectif est de donner des clefs aux consommateurs qui ne sont pas mariés pour la vie à un écosystème pour comparer des appareils sur des points tels que leur réparabilité, l'optimisation de leur consommation électrique, leur résistance à la chute, etc.

Ces scores et indices sont établis à partir de tests standardisés réalisés par les fabricants eux-mêmes. Ce sont donc eux qui vont attribuer les résultats à leurs produits à l'issue de leurs tests. Dans un long livre blanc publié en même temps que cette nouvelle réglementation entre en vigueur, Apple détaille les raisons pour lesquelles cette méthode lui paraît bancale. En préambule, la Pomme dit adhérer au principe de régulations destinées à encourager l'innovation pour améliorer le fonctionnement et la durée de vie des smartphones et tablettes.

L'étiquette d'efficacité énergétique et d'écoconception apparait chez Apple et les autres vendeurs
Mais si l'objectif est louable et à soutenir, la mise en œuvre n'est pas sans défauts importants, poursuit Apple, qui déclare :
Le nouveau règlement de l’UE […] prévoit plusieurs méthodes d’essai provisoires dont le libellé est flou. En conséquence, certaines données figurant sur l’étiquette énergétique sont influencées par les choix faits par les fabricants et les laboratoires d’essai dans leur interprétation du règlement.
Dans son document, Apple reprend chacun des tests requis et en souligne les lacunes qui peuvent conduire à des scores foncièrement différents selon la manière dont un fabricant ou un laboratoire indépendant aura appliqué les consignes :
Nous avons constaté des cas où ces méthodes d’essai comportent des paramètres non définis, mal définis ou contradictoires. En conséquence, certaines des données présentées sur l’étiquette énergétique sont affectées par les choix de paramètres effectués par les fabricants ou les laboratoires d’essai lorsqu’ils interprètent la méthode d’essai. Cela peut entraîner des résultats incohérents et des comparaisons trompeuses entre les produits.
Dans certains cas, même en s’efforçant de coller au plus près des explications, Apple a noté que le test de chute de l'appareil pouvait donner 3 scores différents. Lorsque les tests étaient suffisamment clairs et précis, Apple s'est appliquée à les suivre, lorsqu'il y avait des ambiguïtés ou des points sujets à interprétation, Apple dit avoir favorisé un scénario au plus proche d'une utilisation jugée réaliste.
Sur le test de l'autonomie, Apple pose ainsi la question de l'utilisation du FRA, pour Full Resource Allocation. Entre deux simulations de communication en 4G (dans un environnement très contrôlé avec un réseau dédié), si le FRA est désactivé, le téléphone cesse de communiquer et voit ainsi sa dépense énergétique réduite.

Dans le cas contraire, avec le FRA activé, le téléphone continue de tirer sur sa connexion cellulaire même si cela n'a aucune utilité. FRA ou pas FRA ? Le protocole de test de la Commission européenne n'en parle pas. Apple a donc choisi de le désactiver puisque de tout façon, un utilisateur lambda ne peut accéder lui-même à ce réglage. Mais il y a des laboratoires qui activent le FRA lors de leurs évaluations de matériels.
Le réglage du volume du haut-parleur est ensuite pris en exemple avec d'autres lacunes mises en exergue : la nature de la pièce (les matériaux dont elle est faite, si ce doit être ou non une chambre anéchoïque), le type de contenu à jouer pour calibrer le volume, la position du haut-parleur… de nombreux détails manquent pour parvenir à une méthode applicable à l'identique chez tout le monde et qui ne soit pas non plus tributaire du design du téléphone.
Cette litanie de questions sur la manière de conduire ces tests se poursuit à propos des antennes cellulaires, du matériel à utiliser pour simuler la chute des appareils au sol ou du type précis de matériaux à sélectionner pour la surface (au-delà de dire qu'il doit être en bois ou en métal et de telle épaisseur). Toujours dans le test de chute, 26 orientations distinctes de la tablette sont énoncées, mais il n'y a rien sur les angles de position de la tablette, indique Apple. Et cela peut avoir des conséquences. Là encore elle a opté pour un scénario considéré comme cohérent avec ce qu'elle a observé sur le terrain, mais pas forcément favorable à la tablette.

Au vu des tests de résistance qu'elle mène elle-même en interne de manière habituelle, Apple voit dans la méthode européenne une volonté compréhensible de proposer une approche simple et accessible à des constructeurs de toutes tailles. Mais elle considère ses protocoles comme plus proches de la réalité des accidents constatés au quotidien :
Notre vaste expérience montre que les méthodes d’essai prescrites par le règlement sont tout simplement inadéquates pour mesurer la résistance aux chutes. Par conséquent, nous ne pensons pas que les scores finaux que nous avons rapportés à partir des tests prescrits par l’UE reflètent réellement la durabilité des iPhone et des iPad.
Au bout du bout, Apple dit avoir abaissé d'autorité ses scores de durabilité et d'efficacité énergétique de manière à « prendre en compte les ambiguïtés et les variations des méthodes d’essai » :
Par exemple, les indices d’efficacité énergétique des modèles d’iPhone sur le marché européen en juin 2025 correspondaient tous à la meilleure note « A », mais Apple a choisi de rétrograder volontairement ces scores à la note « B » afin de minimiser le risque qu’un testeur tiers, interprétant le règlement différemment, obtienne une note inférieure. Nous avons également abaissé les scores de la classe de fiabilité aux chutes répétées pour la même raison.
En conclusion, Apple répète son soutien à de telles réglementations, mais elle déplore les zones de flou qui laissent chaque fabricant face à différentes possibilités d'interprétation et des résultats qui peuvent varier tout autant. Avec le risque, in fine, ne pas apporter une information fiable aux consommateurs.
Ces tests qui servent de référence aux fabricants ont été mis au point en Bretagne par la société SmartViser. Dans un entretien avec Frandroid, Xavier Frere, le dirigeant de cette société de conseil qui a épaulé la Commission — et qu'Apple a également consulté — a détaillé le protocole utilisé, celui-ci devant être reproduit à l'identique par chaque fabricant. Cela semble relever d'une gageure car beaucoup de petites choses peuvent influer sur les résultats et certaines décisions techniques, à des fins de simplification du protocole, éloignent les tests de la réalité d'usage. Sans oublier l'une des principales critiques, celle que chaque fabricant exécute lui-même ses tests et peut orienter les résultats à son avantage.
Contre toute attente, les ventes de Mac ont explosé en Chine !
Que faire d'un vieil iPhone 8 ? L'utiliser pour analyser des milliers d'images en l'alimentant avec des panneaux solaires
Que faire d'un vieil iPhone 8, qui se limite à iOS 16 ? Certains le mettront dans un tiroir, d'autres le recycleront pour une personne qui a peu de besoins ou tenteront de le revendre. Mais Hemant Kumar, un Canadien, a eu une autre idée : lui faire analyser des images en masse, en l'alimentant avec des panneaux solaires.

Le développeur avait besoin d'analyser de nombreuses images, pour effectuer une reconnaissance de caractères (OCR) sur des milliers de pages1. Il a développé un petit logiciel en employant le framework Apple Vision d'Apple (qui n'a aucun rapport avec le Vision Pro) et qui permet d'effectuer la totalité des traitements en local. Le modèle d'Apple est rapide, totalement offline et fonctionne visiblement bien selon Hemant. Il explique qu'il a traité plus de 83 000 images, environ 48 Go de données, en un peu plus d'un an.
Pour la partie matérielle, il a alimenté l'iPhone avec des panneaux solaires basiques (220 W) reliés à une station EcoFlow River 2 Pro, d'une capacité de 768 Wh. L'ensemble était off grid, c'est-à-dire que la seule source d'énergie était les panneaux. La station alimentait aussi un mini PC qui prenait notamment en charge la partie réseau.

Les gains de son installation ne se limitent pas à l'électricité économisée par les panneaux solaires : les images traitées servent visiblement à un projet plus étendu, et il aurait donc dû payer pour effectuer les mêmes traitements (le coût est de l'ordre de 1 à 1,5 $ canadiens pour 1 000 images, soit environ 1 € dans la fourchette haute). L'ensemble a été réglé pour éviter les pannes de courant : si les panneaux fournissent entre 150 et 220 W en été, ils descendent à une valeur comprise entre 20 à 60 W au printemps et en automne, et se limitent à une puissance de 5 à 20 W en hiver. À cette saison, l'ensemble tourne donc essentiellement sur la batterie. La batterie a été réglée pour couper le PC automatiquement (qui consomme plus que l'iPhone) en cas d'autonomie faible, avant de couper l'alimentation de l'iPhone, capable de fonctionner plusieurs heures sur sa batterie.
Dans tous les cas, c'est une utilisation assez inventive d'un ancien appareil, considéré parfois comme totalement dépassé et inutilisable.
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Il ne précise pas la finalité des traitements. ↩︎
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Un dongle permet d'accéder à la prise Lightning cachée des Apple TV
Le premier modèle d'Apple TV sous tvOS, le modèle HD de 2015, avait une prise USB-C (c'est un des premiers périphériques à cette norme) qui était là pour notamment permettre la restauration du petit appareil. Sur les modèles suivants, 4K, la prise a disparu mais Apple ne l'a pas réellement supprimée. Plus exactement, les modèles 4K avec Ethernet disposent d'une prise Lightning cachée dans l'emplacement RJ45. Et il existe évidemment un dongle Apple pour en profiter.

Le dongle en question se trouve assez facilement sous le nom Foxlink X892 ou Golden Eye, pour quelques dizaines de dollars. Visuellement, il ressemble à un dongle Apple, avec un marquage classique, mais nous n'avons pas pu confirmer qu'il provient réellement de la marque. D'un côté, il propose une prise RJ45 mâle avec quelques broches en plus, de l'autre une prise RJ45 femelle et une prise Lightning femelle.


Pour la restauration
Techniquement, le dongle sert essentiellement à la restauration. Si jamais l'Apple TV a un problème avec tvOS, il suffit de brancher le boîtier à un Mac avec un câble Lightning et l'Apple TV apparaît dans le Finder, avec la possibilité de restaurer le système d'exploitation comme sur un iPhone ou un iPod. Il n'y a pas d'autres options, contrairement aux appareils mobiles.

En théorie, il est possible de mettre à jour tvOS vers une bêta de tvOS 26 par exemple, mais en pratique Apple ne fournit le nécessaire que pour l'Apple TV HD et sa prise USB-C.

Le dongle a tout de même une utilité dans un cas précis : si vous avez l'Apple TV 4K de 1e génération (à base d'A10X), il est possible de jailbreaker le boîtier pour installer plus facilement des applications, par exemple. Vous aurez besoin d'outils comme checkra1n et d'un câble Lightning spécifique, connu sous le nom DCSD. Si vous avez un modèle d'Apple TV plus récent, c'est par contre impossible : le jailbreak se casse les dents sur les puces Apple plus récentes que l'A11.
Dans tous les cas, le dongle est surtout une curiosité pratique pour les bidouilleurs, un peu à la manière des câbles de diagnostic pour les Apple Watch.
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Blocage terminé : Pornhub, Redtube et YouPorn reprennent la main en France
Si vous êtes majeurs, vous pouvez couper vos VPN : Pornhub, Redtube et YouPorn sont de nouveau accessibles en France. À la suite d’une décision de justice favorable au secteur, le groupe Aylo a rouvert ses trois sites pornographiques qu’il avait lui-même fermé il y a deux semaines.

Cette mesure d’auto-censure avait été prise juste avant l’entrée en vigueur d’une loi permettant à l’Arcom de sanctionner les sites pornos hébergés dans l’Union européenne qui ne vérifient pas l’âge de leurs visiteurs. Sauf que le tribunal administratif de Paris a suspendu cette semaine ce dispositif.
Il faut savoir que lorsqu’elle vise des sites hébergés dans des pays européens autres que la France, l’Arcom doit notifier la Commission européenne et les États membres concernés afin de respecter le droit européen. C’est ce qui a été fait avec un arrêté listant 17 sites basés à Chypre, au Portugal ou encore en Hongrie, mais cet arrêté, attaqué en justice par Xhamster, a été suspendu en début de semaine. Pourquoi ? Parce qu’il ne respectait toujours pas le droit européen, selon le tribunal administratif de Paris. Le gouvernement français veut se pourvoir en cassation devant le Conseil d’Etat pour contester cette décision.

La bataille des sites pornos s'intensifie, et s'étend à l'Union européenne
« Les autorités françaises sont dans leur rôle en protégeant les mineurs, mais restent à côté de la plaque lorsqu’elles légifèrent dans leur coin. Ce sont des sujets qui se décident à Bruxelles, où un groupe de travail se focalise sur des dispositifs juridiques qui semblent beaucoup plus solides », analyse l’avocat Alexandre Archambault, spécialisé dans le numérique, auprès de L’Informé.
En attendant le prochain épisode, Pornhub, qui revendique 7 millions de visites quotidiennes dans l’Hexagone, Redtube et YouPorn sont de retour. Ces trois sites n’ont donc toujours pas de système de contrôle de l’âge, contrairement à d’autres (SpankBang, Cam4…) qui se sont mis en règle.
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Project Indigo : Adobe lance son alternative à l’Appareil Photo d’Apple
Adobe a récemment lancé une nouvelle app d’appareil photo : Project Indigo. Dès à présent disponible sur l’App Store, celle-ci est gratuite et ne nécessite pas de compte Adobe. L’app va prendre une rafale de clichés avant de les combiner pour produire une photo « avec moins de bruit et une gamme dynamique plus élevée » pour un rendu cherchant à se rapprocher de celui d’un Reflex.

Un billet de présentation a été publié, dans lequel on peut en apprendre plus sur le traitement apporté à l’image. En pratique, l’application prend jusqu’à 32 images sous-exposées, qu’elle combine et réajuste pour réduire le bruit. Des algorithmes de machine learning servent ensuite à peaufiner le résultat. Le traitement se veut plus léger, n’appliquant « qu'un léger traitement des tons, une augmentation de la saturation des couleurs et un renforcement de la netteté ».
L'interface de l'app est plutôt bien pensée. Des commandes manuelles sont disponibles permettant de modifier l’ISO, la balance des blancs ou l’exposition. L’app propose d’exporter en JPEG ou en RAW. On y trouve également quelques fonctions d’IA d’Adobe, l’une d’entre elles permettant par exemple de supprimer les reflets des photos.
Project Indigo n’est pour le moment pas disponible sur Android et nécessite un iPhone 12 Pro/Pro Max, un iPhone 13/13 Pro Max ou un iPhone 14 et supérieurs. Elle embarque une intégration avec Lightroom permettant de facilement modifier ses clichés. L’app est gratuite et sans achat in-app, mais uniquement proposée en anglais. Elle va continuer d’être mise à jour et pourra servir à Adobe de laboratoire pour essayer de nouvelles fonctions. Récemment, l’entreprise a également lancé une version revue de Photoshop pour iOS ainsi qu’une app pour générer images et vidéos.
La fin des cartes prépayées de Bouygues Telecom, c'est dans 10 jours
Alors que Free mobile devrait annoncer ses cartes prépayées d'ici peu — les détails sur les offres sont déjà en partie disponibles —, Bouygues Telecom abandonne les siennes. L'opérateur l'avait annoncé en septembre 2024, les cartes sont plus disponibles à la vente depuis début 2025, mais pour ceux qui passent par une offre prépayée, tout fonctionne encore… pour quelques jours.

La fin des offres est en effet prévue pour le 30 juin 2025, dans une dizaine de jours. Si vous avez encore une carte avec un numéro valide, il est donc plus que temps de vous occuper du problème et de migrer vers une offre prépayée d'un autre opérateur — Orange ou SFR — ou vers un abonnement. Attention, le passage sur un abonnement à quelques coûts cachés : la carte SIM est généralement payante et Bouygues Telecom a ajouté récemment des frais de résiliation sur ses offres mobiles, si vous décidez finalement d'abandonner l'opérateur.
Dans tous les cas, si vous ne faites rien avant le 30 juin, votre ligne va être coupée et le numéro de téléphone lié ne sera pas récupérable. Enfin, Bouygues Telecom n'indique pas si le crédit inutilisé potentiellement restant peut être récupéré, même s'il est peu probable que vous en ayez encore (il faudrait avoir rechargé avec l'offre la plus onéreuse — 40 € — quelques jours avant la fin de la commercialisation des recharges).

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L'étiquette d'efficacité énergétique et d'écoconception apparait chez Apple et les autres vendeurs
Ce 20 juin marque le lancement de l'étiquetage énergétique des smartphones et tablettes vendus en Europe, il s'y ajoute des renseignements sur la durabilité de ces produits.
Un nouveau jeu d'étiquettes a commencé à apparaître chez les vendeurs de smartphones et tablettes en Europe. Cela a commencé par exemple à la Fnac/Darty qui fait figurer ces logos et indicateurs à côté des iPhone, Galaxy et autres. L'étiquette complète a une allure familière puisqu'elle est inspirée de celles que l'on a déjà sur l'électroménager.

Elle doit renseigner le consommateur sur l'efficacité énergétique de son produit (qu'idéalement on devrait pouvoir utiliser le plus longtemps possible entre deux recharges qui sont synonyme de consommation), sa résistance à des chutes successives (autre poste de dépenses à diminuer autant que faire se peut), sa réparabilité (même topo), l'endurance de sa batterie (qu'elle dure le plus longtemps possible avant un changement inévitable) ou encore la résistance à l'eau et la poussière.
Chaque étiquette sur le site des vendeurs renvoie vers une page plus détaillée pour chacun de ces appareils (exemple pour un iPhone). Cette information est présente également sur les pages descriptives du produit chez son fabricant. Le site d'Apple en France s'est ainsi paré de petits logos verts (ou d'autres couleurs) sur les pages concernées.

Parmi les critères retenus il y a donc celui de l'endurance de la batterie. C'est à dire le temps d'utilisation entre le moment où la batterie est remplie à bloc et celui où elle arrive à zéro. Chacun a sa méthode d'évaluation, ce qui donne des écarts significatifs entre les chiffres d'Apple et ceux issus du protocole utilisé pour le Registre européen de l'étiquetage énergétique des produits (EPREL).

Apple donne trois mesures d'autonomie pour les iPhone : un pour la lecture vidéo, un pour la lecture vidéo en streaming et un dernier pour la lecture audio qui écrase les deux précédents. La lecture vidéo en local est toujours supérieure à celle en streaming, c'est celle-ci que nous avons retenu pour cette tentative de comparaison.
Le protocole de l'EPREL colle (un peu) plus à un usage réaliste que celui d'Apple qui se borne à une seule tâche jusqu'à épuisement de la batterie. La Commission européenne a ainsi défini une procédure standard où les temps d'opération sont simplement allongés pour les tablettes :
- Appel téléphonique (4 min.);
- Veille (30 min.);
- Navigation web (9 min.);
- Veille (30 min.);
- Streaming vidéo (4 min.);
- Jeu (1 min.);
- Veille (30 min.);
- Transfert de données (8 min.);
- Veille (30 min.);
- Lecture vidéo (4 min.);
Le temps obtenu (l’endurance, « END ») est utilisé dans une équation avec les caractéristiques de la batterie (tension « U » et capacité nominale « C ») pour obtenir l’indice d’efficacité énergétique.
Tous les iPhone 16e à 16 Pro Max enregistrent un score identique sur l'efficacité énergétique avec une note de B (de A à G) et de C (de A à E) pour les chutes répétées et la réparabilité. Les signaux virent aux orange et rouge et les notes sont mauvaises pour les iPad qui ont la pire note possible pour le test d’une chute répétée (E), le même C que les iPhone pour leur réparabilité et une efficacité énergétique classée G, il n'y a pas plus bas.

Une étiquette énergie et des règles d’écoconception bientôt obligatoires pour les smartphones
Les YouTubeurs forment les IA vidéo de Google, souvent sans le savoir
Google a présenté le mois dernier Veo 3, un nouveau modèle de génération de vidéos similaire au Sora d’OpenAI pouvant également générer du son. L’entreprise a confirmé à CNBC qu’elle se servait des vidéos hébergées sur YouTube pour former son modèle ainsi que Gemini. La nouvelle pourrait créer une secousse dans le monde des créateurs, qui ne sont pas clairement au courant de cette utilisation.
Cette utilisation avait en effet été précisée au détour d’un billet de blog datant de septembre dernier, et les conditions d’utilisations de YouTube impliquent de céder une licence à Google. Cependant, les créateurs ne peuvent pas refuser cette utilisation et Google ne la met pas clairement en avant. Selon les experts interrogés par CNBC, les créateurs et les médias hébergeant leurs vidéos sur YouTube ne comprennent pas très bien que leurs créations peuvent être utilisées pour former des modèles d'IA.
La question est délicate, les YouTubeurs étant directement en train d’aider à former un outil visant à leur créer de la concurrence. Google a indiqué ne pas utiliser toutes les vidéos de sa plateforme, et qu’elle le faisait dans le cas d’accords spécifiques conclut avec les créateurs et les sociétés de médias. Dans une déclaration, l’entreprise rappelle que cette utilisation n’est pas nouvelle :
Nous avons toujours utilisé le contenu de YouTube pour améliorer nos produits, et cela n'a pas changé avec l'avènement de l'IA. Nous reconnaissons également la nécessité de garde-fous, c'est pourquoi nous avons investi dans des protections robustes qui permettent aux créateurs de protéger leur image et leur ressemblance à l'ère de l'IA - ce que nous nous engageons à poursuivre.
L’immense catalogue de YouTube (plus de 20 milliards de vidéos) est un avantage considérable pour Google. 1 % de ce catalogue représenterait 2,3 milliards de minutes de contenu, soit plus de 40 fois les données d'entraînement utilisées par les modèles d'IA concurrents. Google compte bien remplir YouTube de vidéo générée par IA. Le CEO de la plateforme a annoncé que Veo 3 allait être intégré à YouTube Shorts dans le courant de l'été. De son côté, Meta va vendre des publicités vidéo générées par IA et a prévu de noyer ses plateformes sous les contenus artificiels.
Huawei promet des batteries de 3000 km d'autonomie qui se rechargent en 5 minutes
Le MacBook Air M4 de 13,6'' disponible sur le Refurb Store

WhatsApp : pas de publicités en Europe… pour l’instant
iOS 26 cache une version alternative de la sonnerie par défaut
iOS 26 n’a pas fini de révéler tous ses secrets. Le compte Twitter @8810cfw a remarqué la présence d’une nouvelle sonnerie cachée dans les fichiers système et inaccessible à l’utilisateur. Baptisée « ReflectionAlt1-EncoreRemix », il s’agit d’une version revue de « Reflet », la sonnerie active par défaut depuis l’iPhone X.

Le fichier n’est pas présent sur macOS 26, et le fait que la sonnerie ne soit pas directement accessible sur la bêta a de quoi étonner. Il s’agira peut-être d’une exclusivité de l’iPhone 17 ou d’une surprise qu’Apple comptait garder pour son keynote de septembre. Vous pouvez la télécharger à ce lien ou l'écouter ici :
D’autres nouveautés sont à noter pour les fans de sonneries personnalisées. Il est désormais possible de facilement en définir une nouvelle pour peu qu’elle ne fasse pas plus de 30 secondes. Il faut pour cela trouver son enregistrement audio dans l’app Fichiers avant d’appuyer sur le menu Partager : un bouton « Utiliser comme sonnerie » devrait être présent. L’option est également apparue dans l'app Dictaphone.
La manipulation est faisable sur iOS 18, mais il faut un peu bidouiller en passant par GarageBand. Apple continue de vendre des sonneries depuis l’iTunes Store. Il n’est malheureusement pas possible de choisir une piste Apple Music comme sonnerie, même pour les abonnés.