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Les SSD PCI-Express 6.0 annoncés : jusqu'à 28 Go/s
Dans le monde des SSD, la solution choisie par la majorité des constructeurs — sauf Apple, nous le verrons plus bas — pour améliorer les débits est simple : travailler avec des liens plus rapides. Après les SSD PCI-Express 3.0 (à peu près 3,5 Go/s), 4.0 (vers 7 Go/s) et 5.0 (vers 14 Go/s), les SSD PCI-Express 6.0 arrivent. Celui montré par Micron garde le nombre de lignes PCI-Express habituel (quatre) et permet donc un débit maximal en lecture de 28 Go/s.

Le Micron 9650 emploie de la mémoire TLC (3 bits par cellule) et la marque annonce aussi 14 Go/s en écriture (un gain plus faible qu'en lecture, les SSD PCIe 5.0 atteignent 14 Go/s en lecture et 10 à 12 Go/s en écriture), 5,5 millions d'IOPS sur la lecture aléatoire (une valeur élevée) et 900 000 en écriture. Ce premier modèle PCIe 6.0 cible le monde professionnel et sera disponible en E1.S (un format en barrettes plus grand que le M.2, 33,75 mm x 118,75 mm) et en E3.S, un format plus proche du 2,5 pouces, mais adapté aux serveurs (112 x 76 x 7,5 mm).
Le principal problème du PCI-Express 6.0 vient de sa disponibilité et de ses débits. L'augmentation de la fréquence de fonctionnement, nécessaire pour doubler le débit par ligne face au PCI-Express 5.0, pose en effet de nombreux problèmes pour l'intégration. La norme demande des circuits imprimés de grande qualité et impose des liaisons courtes entre le contrôleur (généralement placé dans le processeur) et les périphériques. Le passage au PCI-Express 5.0 avait déjà posé des soucis dans les PC à ce niveau : seules les cartes mères haut de gamme proposent du PCIe 5.0 et le simple fait d'ajouter une rallonge ou une équerre peut amener des instabilités. Le PCI-Express 7.0, montré récemment, a les mêmes soucis.
Le cas Apple
Les fabricants classiques de SSD gardent généralement le même nombre de lignes (quatre) et doublent le débit du lien, comme ici. Chez Apple, le débit du lien est fixe depuis quelques générations (du PCI-Express 4.0) mais la marque emploie plus ou moins de liens, en fonction de la capacité. Les SSD de petite capacité (256 Go) n'ont donc parfois qu'un lien (ce qui limite les débits) alors que les modèles de grande capacité (8 To) peuvent en avoir huit, ce qui améliore directement les performances. Un choix qui a des défauts, mais aussi des avantages : la consommation est généralement plus faible et l'intégration plus simple. Reste que pour atteindre les débits des futurs SSD PCIe 6.0, Apple devra tout de même probablement passer sur une technologie plus rapide car il est improbable de voir un MacBook Pro avec seize puces de mémoire flash, pour des questions liées à la taille de la carte mère. Actuellement, il est possible de s'approcher de 11 Go/s dans un MacBook Pro avec 8 To de stockage.
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Astuce : désactiver pour de bon l’aperçu des liens dans Mail
Mail convertit par défaut les URL que l’on colle dans un message sous la forme d’un aperçu. Cette nouveauté remonte à 2022 avec les sorties d’iOS 16 et de macOS Ventura et l’aperçu offre un petit peu de contexte en reprenant le titre de la page correspondante au lien inséré dans le courriel. Si c’est possible, le client mail d’Apple ira aussi chercher une image qui correspond au lien. Voici ce que cela donne avec un lien copié depuis MacGeneration.
Vous n’aimez pas ces aperçus ? Il est naturellement possible de s’en débarrasser, soit au cas par cas, soit systématiquement. Commençons par la première option : en passant le curseur sur l’aperçu sur un Mac ou un iPad, ou bien en touchant l’aperçu avec un iPhone, vous verrez un petit chevron dans le coin associé à un menu contextuel. Dans ce menu, vous trouverez une option pour convertir un aperçu en lien simple ou à l’inverse, reconvertir le lien en aperçu.
Si vous n’aimez vraiment pas ces aperçus, Apple propose aussi une option pour s’en débarrasser pour de bon, comme le rappelle mon collègue Pierre. On la retrouve aussi bien sur macOS que côté iOS. Sur le Mac, c’est dans les préférences de Mail, puis dans l’onglet « Rédaction » ; sur les iPhone et iPad, c’est dans l’app Réglages, puis « Apps » et « Mail ». Dans les deux cas, l’option se nomme « Ajouter l’aperçu des liens » et si vous la décochez, vous ne verrez que des URL dans vos courriels.
Sur le Mac, on a aussi une autre option, plus radicale encore. Toujours dans les préférences de rédaction, vous pouvez aussi modifier le format de message en haut et opter pour « Format texte » au lieu du défaut qui est « Format texte enrichi ». Ce faisant, vous n’utiliserez par défaut que du texte brut dans les messages que vous rédigerez et par conséquent, les liens seront envoyés sous la forme de texte eux aussi, donc sans aperçu.

Dans les deux cas, un retour aux aperçus est toujours possible si vous le souhaitez pour un courriel en particulier. Même si vous avez désactivé la création automatique, il est toujours possible de passer par le menu contextuel pour rétablir un aperçu à partir d’une URL. Et si vous avez activé le mode texte sous macOS, Mail est suffisamment malin pour vous proposer de convertir en texte enrichi le message en cours de rédaction si nécessaire. Ce sera le cas notamment si vous voulez ajouter du gras, de l’italique ou tout autre mise en forme du texte. Une fois que c’est fait, un lien pourra de nouveau être transformé en un aperçu.
Free va éteindre ses femtocell en septembre 2025
Au début des années 2010, les opérateurs de téléphonie mobile avaient une solution miracle pour amener une couverture correcte chez les utilisateurs : les femtocell. Ces petits boîtiers fournis par les opérateurs permettaient de générer un réseau cellulaire local1, pour que les smartphones puissent passer des appels en 3G dans des zones qui n'étaient pas couvertes. Avec le temps, la technologie a montré ses limites et a été avantageusement remplacée par les appels Wi-Fi, qui offrent des services du même ordre sans devoir déployer du matériel dédié. Après Orange en 2021, c'est donc au tour de Free d'annoncer la fin de la technologie.

Si Orange fournissait un boîtier séparé, ce n'est pas le cas de Free : la technologie était intégrée dans les Freebox mini 4K et optionnelle dans les Freebox Revolution, à travers un emplacement interne. Selon Busyspider, Free a envoyé une lettre aux utilisateurs pour indiquer que le service allait être arrêté le 1er septembre 2025.
Free indique que la technologie employée (la 3G) est en fin de vie et a été remplacée par la 4G et la 5G. Dans la majorité des cas, les appels Wi-Fi peuvent parfaitement remplacer un boîtier femtocell, avec essentiellement une contrainte : la technologie demande un smartphone qui a moins de 10 ans, alors que les boîtiers femtocell fonctionnent avec la majorité des téléphones et smartphones 3G. Free n'indique pas ce qu'il faut faire des boîtiers, mais — rappelons-le —, ils appartiennent à l'opérateur, comme les Freebox.
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femto est un préfixe qui représente un millionième de milliardième d'une unité, et est souvent employé pour caractériser des choses de petite taille. ↩︎
CarPlay se modernise avec iOS 26 : on fait le tour de toutes les nouveautés
Une faille 0-day corrigée chez Apple
Apple propose au téléchargement les mises à jour iOS 18.6, iPadOS 18.6 et macOS Sequoia 15.6.
Elle corrigent une faille déjà exploitée par des pirates. Cette faille qui est présente dans un des code open source utilisé par la société permet à des pirates de créer des pages web spécialement formatées pour sortir de la sandbox et exécuter à distance du code arbitraire sur les appareils vulnérables.
Google a corrigé cette faille sous Chrome il y a deux semaines. Selon Apple, la même présente sous Safari ne présentait pas la même dangerosité et ne provoquait qu'un plantage du navigateur.
Dans tous les cas il est urgent de mettre à jour vos appareils vulnérables.
« J’ai failli cliquer » : la nouvelle génération d’arnaques fait tomber les défenses
Ils ne font plus de fautes. Ils vous appellent par votre prénom. Et leurs SMS tombent à l’instant précis où vous attendez un colis ou un virement. Longtemps cantonnés aux marges, les fraudeurs numériques s’appliquent désormais à brouiller les lignes. Et ça marche.

La dernière en date commence presque comme un message anodin. « Bonjour, je suis passé ce matin, le colis ne rentrait pas dans la boîte aux lettres. Vous préférez un point relais ou que je repasse demain ? » Le numéro semble mobile, le ton est naturel. Et pourtant, c’est une manœuvre frauduleuse bien rodée.
Une fois la victime engagée dans l’échange, un lien lui est envoyé, qui imite à la perfection le site de Mondial Relay. Le piège, lui, reste classique : il s’agit de récolter des données personnelles, bancaires de préférence, sous prétexte de « reprogrammation » de livraison. Coût affiché : 1,99 €.
Le coût réel, lui, peut se chiffrer en milliers d’euros, voire plus si les escrocs réutilisent les informations récoltées dans une seconde vague, sous forme de faux appel bancaire.
Un scénario de plus en plus affûté
Ce qui frappe ici, ce n’est pas tant le procédé que son degré de personnalisation. Certains messages utilisent même des noms et prénoms exacts. Loin des campagnes de phishing massives des années 2010, cette nouvelle génération de fraudes s’appuie sur des données concrètes — souvent issues de courtiers d’informations, les fameux data brokers, qui agrègent à la chaîne ce que nous avons laissé traîner sur la toile.

Cette infrastructure parallèle, invisible du grand public, alimente en silence une mécanique dangereuse. Vos achats, vos formulaires, vos inscriptions — tout ce qui compose votre « vie numérique » se retrouve parfois dans les bases de ces acteurs, qui les revendent à des tiers sans que vous puissiez en suivre la trace.
Ce qu’on ne peut plus ignorer
Face à ces techniques, l’équipement classique ne suffit plus. Un antivirus ou un bloqueur d’appels ne détectera pas un SMS bien formulé. Et il ne peut rien contre l’exploitation de vos données personnelles, bien en amont du piège.
Pour répondre à cette menace en profondeur, certaines initiatives se sont structurées. C’est le cas d’Incogni, un service pensé pour agir directement auprès des courtiers de données. Une fois mandaté, Incogni se charge de réclamer la suppression de vos informations personnelles à des centaines de brokers, en s’appuyant sur le RGPD. La procédure est automatisée, documentée, et suivie dans un tableau de bord accessible.

Ce n’est pas un outil magique. Mais c’est, pour l’instant, l’un des seuls moyens concrets d’interrompre le cycle en amont. Moins vos données circulent, moins elles peuvent être utilisées à mauvais escient.
Tarifs Incogni en 2025
- 14,48 €/mois sans engagement
- 87,48 €/an en formule individuelle (soit 7,29 €/mois)
- 185,88 €/an pour la formule Famille (jusqu’à 5 personnes)
- Des options Unlimited sont également proposées à 12,99 €/mois (individuel) ou 25,49 €/mois (famille), facturées à l’année.
Une nouvelle publicité Apple fait la polémique

L’automobiliste de Miami qui a publié la photo au début du mois pose une question intéressante : que voit-on en premier sur cette immense publicité d’Apple ? Une pieuvre toute mignonne au bout du doigt de ce plongeur dessiné à l’iPad par dessus une photo prise à l’iPhone ou bien une aubergine ? Allez, ne mentez pas…
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Apple s'offrirait un nouveau campus à Sunnyvale

A la fin, ce sont toujours les éditeurs de VPN qui gagnent !
À la fin, ce sont toujours les NordVPN, CyberGhost et autre Proton VPN qui gagnent. À chaque fois qu’une interdiction se fait jour, ce sont eux qui tirent les marrons du feu. Depuis que la plupart des contenus pour adultes ont été bloqués sur X au Royaume-Uni, l’utilisation de ce type d’outils a bondi. ProtonVPN note depuis une augmentation de 1 400 % du nombre d’inscriptions par heure.

Les contenus pour adultes bloqués en grande partie sur X à cause du Royaume-Uni
À ce petit jeu, les Anglais font d’ailleurs mieux que les Français. Proton avait constaté dans l’Hexagone une hausse de 1000 % de ses inscriptions dans la demi-heure qui a suivi la mise en œuvre du blocage de plusieurs sites pornographiques. Proton VPN n’est pas un cas isolé : d’autres sociétés comme AdGuard VPN ont révélé que leur base d’abonnés avait considérablement augmenté ces derniers jours au Royaume-Uni. Sur l’App Store, les apps de VPN étaient également en tête des téléchargements.

Dans leurs agendas, les éditeurs de VPN ont dû souligner la date du 10 décembre. C’est à cette date en théorie que l’accès à plusieurs sites, dont TikTok, YouTube, Instagram, Facebook, X ou Snapchat, sera interdit aux moins de 16 ans en Australie.

L’Australie inclut YouTube dans les sites interdits aux moins de 16 ans
Une chose est certaine, après avoir longtemps été un espace libre, Internet est toujours plus régulé et cadenassé. Le succès des VPN semble toutefois agacer les politiques. En Angleterre, le secrétaire d’État britannique à la Science, Peter Kyle, a déclaré que le gouvernement allait suivre de très près l’usage qui était fait des VPN, tout en assurant en même temps, qu’il n’y avait aucun projet d’interdiction des VPN dans les tuyaux.
En attendant, plutôt que de faire la fortune des services de VPN, quitte à mettre des restrictions en place, il serait intéressant que les principaux acteurs de la tech se réunissent et proposent une solution sûre et simple d’utilisation. Toutefois, sur ce sujet comme bien d’autres, les avis s’opposent et tout le monde se refile la patate chaude.
iPhone 17 : une hausse de 50 dollars pour trois des quatre modèles ?

Apple recule à la 8ᵉ place du Fortune Global 500
Ah ben putain : YouTube autorise (enfin) les gros mots en début de vidéo
Faille critique dans macOS et iOS : ne trainez pas avec les mises à jour de la semaine
Voici une bonne raison d’installer rapidement les dernières versions de macOS et iOS. Les mises à jour sorties cette semaine, corrigent une faille critique qui a été exploitée dans le cadre d’attaques zero-day ciblant les utilisateurs de Google Chrome et présente dans Webkit.

Identifiée sous le nom CVE-2025-6558, elle se trouvait dans Chrome dans ANGLE (Almost Native Graphics Layer Engine), une couche d’abstraction graphique open source qui gère les instructions GPU, laquelle est utilisée par Apple dans différents projets. La vulnérabilité permet à des attaquants distants d’exécuter du code arbitraire dans le processus GPU du navigateur à l’aide de pages HTML spécialement conçues, ce qui pourrait leur permettre de contourner le bac à sable censé isoler les processus du navigateur du système d’exploitation sous-jacent.

Soirée mise à jour chez Apple : iOS 18.6, iPadOS 18.6, macOS 15.6, watchOS 11.6 et cie sont disponibles au téléchargement
Cette faille a été découverte mi-juin par Vlad Stolyarov et Clément Lecigne, deux membres de l’équipe Threat Analysis Group (TAG) de Google. Ce groupe a pour vocation de défendre les utilisateurs contre les attaques parrainées par des États.
Depuis, Google a mis son navigateur à jour pour corriger le problème. Cette semaine, Apple a fait de même en publiant un correctif pour corriger la faille CVE-2025-6558 dans Webkit. Ce patch a été déployé dans iOS 18.6, iPad OS 18.6, macOS 15.6, iPadOS 17.7.9, tvOS 18.6, visionOS 2.6 et watchOS 11.6. On ignore si cette faille a d’ores et déjà été corrigée dans les bêtas d’iOS 26 et macOS 26.
Concernant cette faille, Apple précise juste :
« Le traitement de contenus web malveillamment conçus peut entraîner un plantage inattendu de Safari », ajoutant que « cette faille affecte du code open source, et les logiciels Apple font partie des projets concernés ».
Comme le note le site dédié à la sécurité BleepingComputer, il s’agit de la sixième faille zero-day (autrement dit critique) corrigée par Apple depuis le début de l’année.
Que pensez-vous du design de l'iPhone 17 ?
Évidemment, ce ne sont que des rumeurs. Il y a toujours une possibilité que Tim Cook puisse surprendre son monde lorsqu’en septembre, il dévoilera la nouvelle gamme d’iPhone.

iPhone SE 4, iPhone 17 Air… À quoi va ressembler la gamme 2025 de l'iPhone ?
Toutefois, entre les enjeux industriels et le fait qu’Apple a toujours de plus en plus de mal à garder le secret autour de ses produits, tout laisse à penser que l’iPhone 17 Pro ressemblera à cela.

Alors, vous aurez remarqué que les différents rendus concernant les nouveaux iPhone se concentrent avant tout sur sa face arrière. Il est vrai que la face avant est souvent moins intéressante. Sauf quand Apple décide de s’attaquer aux bordures ou de réduire la place occupée par l’encoche. Lorsque ces nouveaux iPhone seront en magasins, il y aura à coup sûr deux choses qui feront beaucoup parler.
La première, c’est bien entendu le positionnement du logo Apple, qui est légèrement plus bas qu’à l’habitude. Mais c’est peu de chose par rapport à la seconde qui est évidemment la nouvelle disposition des capteurs photo. Certains semblent déstabilisés, alors que d’autres adorent, estimant que cela apporte du changement. Et vous ?
Le magazine des 25 ans de MacGeneration est enfin imprimé !

Ceci n’est pas une image générée par une intelligence artificielle. Du moins, on l’espère ! Juste un petit mot pour vous dire que notre magazine des 25 ans est bien né. Il vient tout juste de partir de l’imprimerie et on a hâte de voir le résultat en vrai.
Ce projet nous a beaucoup occupés ces derniers mois. Nous espérons tous que cela vous plaira. Alors, on ne va pas (encore) le dévoiler, mais sachez qu’on ne vous a pas tout dit. Il contient des petites surprises.

Sachant que le mois d’aout est synonyme de vacances, on a pris la décision de retarder quelque peu les envois afin d’éviter les retours. On prévoit d’envoyer les magazines et les goodies durant la dernière semaine d’aout. Vous aurez ainsi une excellente lecture en attendant le keynote de mi-septembre.
Au passage, on en profite pour vous remercier, pour remercier tous ceux qui ont cru à notre projet, ainsi que nos partenaires : Free, OVH et Druide.
image accroche : crédit Museums Victoria / CC BY
Quand le compte officiel Apple sur Weibo fait la promo du Galaxy Z Flip7
La communication chez Apple tient une place prépondérante, et est généralement bien huilée (et très encadrée). Malgré tout, il arrive parfois qu’elle se prenne les pieds dans le tapis, comme durant le dernier keynote où Apple a lâché les communiqués de presse dès les premières secondes de la conférence. En Chine, un gros couac n’est pas passé inaperçu, même s’il a été très rapidement retiré de Weibo : un post du compte officiel d’Apple a posté... une publicité pour le Samsung Galaxy Z Flip7 !
A mix-up occurred when China's official "Apple Support" Weibo account accidentally posted a promotional video for the Samsung Galaxy Z Flip7, which was later promptly taken down. pic.twitter.com/CvxT0EVWx7
— PhoneArt (@UniverseIce) July 30, 2025
Alors que le texte indiquait qu’en « activant les contrôles parentaux depuis votre iPhone, vous pouvez contrôler les téléchargements et achats effectués par votre enfant sur l’App Store de son appareil », la vidéo, elle, reprenait la publicité du concurrent d’Apple pour son dernier smartphone pliant.
Si dans un premier temps la faute semblait venir du gestionnaire du compte officiel d’Apple, il semble cependant que la réalité soit un peu plus complexe : après vérification par certains spécialistes chinois, le coupable serait la gestion du cache de l’app Weibo, qui peut de temps en temps faire apparaître une vidéo qui n’a rien à voir avec le contenu d’un post. Le hasard a voulu que chez plusieurs utilisateurs la vidéo d’origine d’Apple ait été remplacée par cette publicité pour le Samsung Galaxy Z Flip7.