iOS 18.4 : nouvelle app pour l'Apple Vision Pro, nouveau mode invité
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Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Le voilà enfin ! Après des années de rumeur, Apple a finalement présenté cette semaine le nouvel iPhone d’entrée de gamme. Il ne s’appelle pas iPhone SE, mais iPhone 16e, un changement de nom qui dit beaucoup de choses sur sa nature. Est-ce que ce nouvel iPhone répond aux attentes qu’on avait placées en lui ? On en discute dans cet épisode.
Dans le reste de l’actu, le lancement de l’iPhone 16e marque aussi le lancement du premier modem d’Apple, on vous donne des conseils pour faire des économies sur les produits Apple et le gadget qui devrait remplacer les smartphones est d’ores et déjà abandonné.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
Bonne écoute et bon week-end !
Parmi les applications de messagerie sécurisée, Signal fait partie des plus prisées par les personnes voulant discuter d’éléments sensibles, et donc entre autres par les militaires, agents et autres responsables ukrainiens par exemple.
Malheureusement, toute sécurisée qu’elle soit, l’app ne peut rien face à la faille se situant entre la chaise et le clavier : l’une des façons les plus simples d’accéder à un système protégé reste en passant par le « social engineering ». C’est ainsi que, selon une information du Google Threat Intelligence Group relayée par Bloomberg, des pirates russes se sont rendus compte qu’ils pouvaient accéder facilement à la messagerie protégée d’un opposant en lui envoyant un QR Code, maquillé le plus souvent en alerte de sécurité, en invitation de groupe ou même en accès à des apps militaires.
L’astuce consiste à envoyer un QR Code qui liera automatiquement le téléphone ciblé à celui du pirate. Une fois fait, la canaille pourra lire à loisir tout ce qui passe par la messagerie de la victime, comme s’il était devant l’écran. Cette faille profite de la possibilité de la messagerie de lier son compte à plusieurs appareils, afin d’avoir ses messages sur plusieurs machines à la fois.
Cette fourberie est amenée à s’étendre à d’autres domaines que l’espionnage des russes sur les ukrainiens, et commence déjà à être rencontrée auprès d’autres cibles, comme des journalistes, des lanceurs d’alerte ou des responsables politiques. Elle serait aussi exploitable sur d’autres messageries comme WhatsApp ou Telegram, sans avoir besoin de beaucoup d’adaptations.
Pour rappel, vous pouvez dans ces messageries vérifier de manière très simple si vous êtes en sécurité : dans les réglages, vous avez accès à la liste des appareils autorisés à se connecter à votre compte. Si le moindre appareil dans la liste vous paraît suspect, n’hésitez pas à le supprimer, ce qui révoquera automatiquement son autorisation. Enfin, avant d’utiliser le moindre QR Code, demandez-vous en premier lieu s’il vient d’une source sure : ce n’est pas la première fois que ces petits tags bien pratiques sont utilisés à mauvais escient, comme nous le signalions déjà dans cet article de 2023.
Image Playground arrive en français avec la beta d’iOS/iPadOS 18.4. Si vous pouvez retrouver le test complet de la fonction dans notre article dédié, c’est toutefois le moment de rappeler quelques limitations.
Dans un premier temps, l’app ne vous permettra pas de faire une demande avec une marque précise. Vous aurez beau tenter, l’app vous dira systématiquement qu’il est impossible d’accéder à votre demande.
Concernant les images représentant une personne, l’app est moins casse-pieds, mais impose certaines limitations : elle refusera de faire des poses suggestives (c’est heureux), et le plus souvent se contentera de faire des portraits centrés sur le visage.
Pour finir, n’oubliez pas qu’il s’agit d’une bêta... et que les résultats peuvent être un peu éloignés de votre demande...
Dans les petites touches ajoutées à iOS 18.4, Apple a pensé à votre bien-être sonore : quatre playlists spécialement créées pour donner un fond sonore sont désormais utilisables directement à partir du centre de contrôle.
Ainsi, vous aurez le choix entre quatre ambiances prédéfinies, à savoir Sommeil, Repos, Productivité et Bien-être. De manière surprenante, ces playlists et leur fonctionnement sont totalement séparés de l’app Musique, qui ne contrôlera pas leur utilisation. Pour avoir accès à quelques contrôles, il faut taper sur la Dynamic Island, qui donnera accès au changement de musique, à la pause, ainsi qu’au nom de la musique en cours de lecture.
L'iPhone 16e, dévoilé il y a quelques jours et qui est disponible en précommande, n'est pas compatible MagSafe. Une absence qui n'est pas nécessairement un problème pour le public, mais qui l'est un peu plus pour les Apple Store. En effet, Apple aime bien mettre en avant ses smartphones sur des supports qui semblent laisser l'appareil flotter, et donc la marque a développé une version dédiée.
Ce support, montré par Majun Bu sur X, ressemble à du MagSafe… mais ce n'est pas du MagSafe. L'iPhone 16e va simplement reposer sur la partie circulaire (probablement compatible Qi) en étant placé dans une encoche située dans le pied du support. Pour les autres iPhone, Apple utilise un support compatible MagSafe, plus aéré dans sa conception. Dans les deux cas, la partie qui semble dépasser au niveau de la tige est un antivol.
iPhone 16e : l’absence de MagSafe, un faux problème ?
Alors que le Vision Pro n’était pas vraiment parti pour bénéficier d’Apple Intelligence au fil des premières versions de ce dernier, Cupertino a ce soir confirmé la surprise attendue : les équipes de la firme à la pomme ont réussi à intégrer Apple Intelligence dans le casque de réalité augmentée d’Apple.
Si les développeurs peuvent d’ores et déjà tester cette intégration avec la première bêta de visionOS 2.4, ce n’est que début avril que les utilisateurs finaux devraient pouvoir en profiter, comme le signale Apple dans un communiqué de presse.
Si quelques rumeurs faisaient état de cette possibilité ces dernières semaines, l’arrivée d’Apple Intelligence sur visionOS est une bonne surprise. Le casque AR d’Apple se met ainsi au niveau des autres produits récents de la pomme, et profitera des mêmes atouts.
Ainsi, seront présents dès avril, y compris en français, la réécriture de texte, la fonction résumé, la génération de texte par ChatGPT, Image Playground ou encore les Genmoji.
L’app Photos bénéficiera de la possibilité de recherche en langage naturel, permettant à visionOS de retrouver vos photos avec une phrase réelle, plutôt que des mots-clés, et permettra aussi la création de films souvenirs.
Si le gros morceau de cette mise à jour est bien Apple Intelligence, d’autres ajouts bienvenus font partie du package.
Une nouvelle app fait son apparition, la galerie spatiale, permettant de regrouper toute une sélection de photos spatiales ou panoramiques, et même de vidéos spatiales créées par Apple pour le Vision Pro. Ça va d’images de nature à des sponsors comme RedBull ou Porsche, en passant par des contenus additionnels exclusifs de certaines séries Apple TV.
Comme pour l’Apple Watch, les utilisateurs de Vision Pro pourront avec la prochaine version du système lancer l’installation de nouvelles apps sur leur casque à partir de leur iPhone, à partir d’une app spéciale qui apparaîtra avec la mise à jour d’iOS 18.4 qui devrait se comporter peu ou prou comme l’app Watch déjà présente.
Pour finir, l’utilisation de l’appareil par un invité est améliorée, avec la sauvegarde du profil invité jusqu’à 30 jours après la dernière utilisation. L’utilisateur principal pourra à partir de son iPhone décider de déverrouiller le casque, et quelles applications seront accessibles à l’invité l’utilisant.
Si pour nous européens ces prochaines mises à jour annoncent surtout le rattrapage du retard pris sur nos amis anglo-saxons, la version 2.4 de visionOS apporte bien plus, et semble combler des manques qui rendront son utilisation bien plus facile, surtout en cas de partage de l’appareil avec des proches. Apple n’a pas chômé, et prouve ici qu’elle croit toujours en sa vision.
Depuis quelques années, Apple prévient de façon régulière ses utilisateurs quand une infection par le logiciel espion Pegasus (développé par la société israélienne NSO Group) a été détectée. Mais une société spécialisée, iVerify, pense qu'Apple n'est pas capable de détecter tous les cas.
iVerify est une application iOS payante (1 €) qui permet de tenter de vérifier si vous avez été infecté par le logiciel espion. Ses créateurs affirment qu'ils peuvent détecter la présence du logiciel espion, et que les détections ont été confirmées. Selon eux, sur à peu près 21 000 personnes ayant téléchargé l'application, une petite vingtaine de personnes (19) étaient infectées par Pegasus. Il semble difficile d'extrapoler sur la population générale, étant donné que les personnes qui tentent de vérifier si leur iPhone est infecté ont probablement plus de risques de l'être qu'un utilisateur lambda. Mais ce qu'indique iVerify, c'est qu'environ la moitié des utilisateurs ont été prévenus d'une infection par Apple et les chercheurs considèrent donc qu'Apple n'a pas détecté le problème dans les autres cas, même s'il semble encore une fois difficile d'extrapoler dans ce cas de figure.
C'est évidemment un problème avec ce genre de logiciel : le but de NSO avec Pegasus est de cacher sa présence, avec des évolutions régulières tant sur la manière de se cacher que sur les méthodes employées pour infecter les iPhone, à travers des failles de sécurité qui sont encore inconnues (ou pas encore corrigées). Les chercheurs ne peuvent donc pas affirmer que toutes les infections sont détectées, ni même extrapoler sur le nombre d'infections, mais ils peuvent par contre montrer qu'ils en détectent plus qu'Apple.
Apple prévient des utilisateurs d’un possible piratage de leur iPhone
Apple distribue ce soir la première bêta de visionOS 2.4 aux développeurs. Il y a une belle surprise, quoi que éventée par les dernières rumeurs, avec l’arrivée d’Apple Intelligence dans le Vision Pro ! Comme pour les autres plateformes d’Apple, cette arrivée se fait par ailleurs aussi en Europe et dans plusieurs langues, dont le français. Si vous avez la chance d’avoir le casque de réalité augmentée, vous pourrez tester tout cela dès ce soir si vous avez un compte développeur.
Une version de macOS en chasse autre. Quelques semaines après le lancement officiel de macOS 15.3, macOS 15.4 fait ses débuts en bêta pour les développeurs. La principale nouveauté pour nous sera l’activation d’Apple Intelligence, qui est désormais disponible en Europe et dans plusieurs langues, dont le français.
La version finale sera disponible pour tout le monde dans les prochaines semaines.
iOS 18.3 étant disponible en version finale depuis le 27 janvier, au tour d’iOS 18.4 de pointer le bout de son nez. Apple livre ce soir la première bêta de ce système, ainsi que d’iPadOS 18.4, aux développeurs. Elle apporte Apple Intelligence en français.
Les versions x.4 sont généralement des mises à jour intermédiaires qui apportent pas mal de nouveautés, la plus grosse nous concernant étant certainement l’arrivée d’Apple Intelligence en Europe et dans plusieurs nouvelles langues, dont le français. Toutes les fonctionnalités présentées jusque-là sont désormais proposées dans notre langue et il sera possible de les utiliser sans changer la langue de son appareil ou de Siri.
La version finale est attendue dans les prochaines semaines.
Après douze ans et quatre générations, Google abandonne le Chromecast. Les deux clés « Chromecast avec Google TV » encore commercialisées, le modèle HD à 39,99 € et le modèle 4K à 69,99 €, ne sont plus disponibles depuis quelques heures. Le petit dongle est remplacé par le boitier Google TV Streamer… qui vaut trois fois plus cher.
Google avait annoncé suspendre la production en aout dernier, assurant qu’il ne restait plus personne pour acheter ces petites clés HDMI maintenant que tous les téléviseurs ou presque étaient connectés. Amazon vend pourtant toujours son Fire Stick et la firme de Mountain View se vantait encore récemment d’avoir vendu plus de 100 millions de Chromecast.
Mais pourquoi vendre un dongle à 39,99 € quand on peut vendre un boitier à 119,99 € ? Google mise maintenant sur le Streamer, un gros galet qui fait tourner l’interface Google TV au-dessus d’un système Android. S’il n’est pas plus puissant qu’un Chromecast et se contente d’une puce Wi-Fi 5, il possède un port Ethernet et une puce Thread, et peut ainsi jouer le rôle de concentrateur domotique avec Matter.
Quelques revendeurs plus ou moins réputés n’ont pas encore vidé leurs stocks de Chromecast, mais Google semble avoir oublié sa promesse d’une mise à jour vers Android 14. La technologie de casting permettant d’envoyer un contenu depuis un appareil vers le téléviseur, elle, reste plus que jamais d’actualité. Avec Amazon, qui possède une technologie similaire, Google soutient sa standardisation au travers de Matter.
Apple annonce que ses clients britanniques ne pourront plus activer le chiffrement de bout en bout sur leur compte iCloud. La mesure a été prise en réponse à une demande du gouvernement britannique, qui souhaitait que l’entreprise mette en place une porte dérobée permettant d’accéder aux données de n’importe quel utilisateur d’iPhone dans le monde entier. À défaut de céder à cette exigence qui remettait en cause toute la sécurité de sa plateforme, Apple a manifestement trouvé un compromis en désactivant la protection avancée des données iCloud.
Cette fonctionnalité a été ajoutée avec iOS 16.3. Une fois active, elle chiffre de bout en bout quasiment toutes les données iCloud, ce qui empêche quiconque d’y avoir accès, y compris Apple. Si un gouvernement demande à l’entreprise les données d’un utilisateur dans le cadre d’une enquête, Apple ne peut techniquement pas répondre à la requête dès lors que cet utilisateur a activé la protection avancée.
Les utilisateurs au Royaume-Uni ne peuvent plus activer la protection avancée des données pour iCloud s’ils ne l’avaient pas fait avant ce jour (le changement a été appliqué côté serveurs ce vendredi 21 février à 15 heures sur place, soit 16 h en France). Ceux qui l’avaient activée depuis son apparition il y a deux ans continuent d’être protégés par le chiffrement de bout en bout et on ne sait pas encore exactement si cela continuera. Pour l’heure, Apple a indiqué à Bloomberg que ses clients britanniques doivent désactiver eux-mêmes la protection avancée des données. L’entreprise compte envoyer à une future date des instructions pour expliquer comment procéder, mais ajoute qu’elle ne peut pas le faire à leur place.
Si c’est vrai, cela voudrait dire que tous les utilisateurs britanniques qui avaient activé la protection avancée des données sur leur compte iCloud resteront protégés jusqu’à nouvel ordre par le chiffrement de bout en bout. Naturellement, le gouvernement britannique peut rendre cette protection illégale ou forcer Apple à la désactiver pour tout le monde. Tout ceci est encore assez flou, même si une chose semble sûre : la Pomme ne veut pas céder en créant une porte dérobée qui permettrait d’accéder aux données de tous ses clients. L’entreprise souligne bien qu’elle regrette d’avoir à désactiver la protection avancée des données au Royaume-Uni, mais cette réduction de la sécurité ne concerne a priori qu’un seul pays… pour le moment.
Ajoutons que seule la protection avancée des données disparait pour le moment, le chiffrement de bout en bout est maintenu pour d’autres éléments, comme les échanges effectués avec Messages, les mots de passe du trousseau iCloud ou encore les données de l’app Santé. Cela pourrait changer si les autorités britanniques l’exigent, mais pour l’heure, elles restent chiffrées et techniquement hors d’accès.
Laura Chambers devait « assurer une transition en douceur » à la tête de Mozilla, le temps de préparer la succession de Mitchell Baker, qui devait retrouver son poste de présidente exécutive. Un an plus tard, la première est encore en poste et la deuxième quitte le navire. « Nous sommes extrêmement reconnaissants pour tout ce que Mitchell a fait pour Mozilla et nous nous engageons à faire vivre son héritage », dit Mark Surman… avant de proclamer l’entrée de Mozilla « dans un nouveau chapitre ».
Avocate de Netscape et autrice de la Mozilla Public License, Mitchell Baker a cofondé la fondation Mozilla, dont elle a longtemps assuré la présidence. De sa création en 2005 jusqu’en 2008, puis une nouvelle fois entre 2020 et 2024, elle a aussi dirigé la filiale commerciale de la fondation. « Nous sommes à la croisée des chemins », expliquait-elle en février 2024, « un moment critique où la confiance du public dans les institutions, les gouvernements et la fabrique de l’internet n’a jamais été aussi basse. »
« Mozilla peut et doit forger un avenir meilleur », ajoutait-elle pour justifier sa mise en retrait au profit d’une direction « à plein temps ». Membre du conseil d’administration passée par Airbnb et PayPal, Laura Chambers avait alors été nommée CEO pour un bref intérim, Baker devant retrouver sa place de présidente exécutive. Quelques jours plus tard pourtant, Chambers avait annoncé le licenciement de soixante personnes et annoncé la fermeture de la plupart des services de Mozilla.
Un an plus tard, l’Australienne qui voulait rentrer dans son pays natal « pour des raisons familiales » est toujours en poste, et incorpore même le nouveau « comité de direction de Mozilla ». Mark Surman, déjà président de la fondation Mozilla, prend la tête de ce groupe composé des dirigeants des différentes entités du groupe. « L’objectif de ce groupe », explique-t-il, « est de mieux coordonner le travail de nos entreprises et de faire en sorte que Mozilla soit plus que la somme de ses parties ».
Autrement dit : le rôle de “tour de contrôle” autrefois dévolu à Mitchell Baker est aujourd’hui assuré par une direction collégiale. Baker quitte donc le conseil d’administration de la fondation Mozilla et celui de son bras commercial. Surman confirme la direction prise par Chambers : « nous devons défendre ce qui est bon dans le web et guider le modèle économique et les technologies de l’ère des intelligences artificielles dans une meilleure direction ». Cela commencera avec l’intégration d’une “IA responsable”, quoi que cela veuille dire, dans Firefox.
Depuis quelques années, Google teste régulièrement des versions moins onéreuses de son offre Premium pour YouTube, qui vaut actuellement 13 €/mois en France. Une version Lite était par exemple proposée outre-Quiévrain pour 7 €/mois, avec une grosse limite : elle ne faisait que supprimer les publicités, sans donner accès à YouTube Musique. Cette variante a été abandonnée en octobre 2023, mais elle pourrait revenir dans certains pays sous une autre forme.
Selon Bloomberg, une nouvelle version Premium Lite est prévue aux États-Unis, en Allemagne, en Australie et en Thaïlande. Cette version ne supprimerait pas totalement la publicité comme l'ancienne formule : les irritantes annonces resteraient présentes sur les contenus musicaux. Ce qui implique probablement que cette variante donnera accès à YouTube Musique, mais avec de la publicité, donc. Dans les autres contenus, les publicités seraient donc (heureusement) absentes, mais Google ne proposera probablement pas le 1080p optimisé qui est disponible avec l'abonnement classique.
Comme il s'agit d'une rumeur, le prix n'est pas encore connu. L'ancienne version Lite valait 7 € en Belgique (9 € avec un paiement depuis un iPhone). Les différents essais actuels montrent que le prix pourrait être plus faible. Frandroid parle d'un prix de 6 €/mois en Allemagne, The Verge évoque 9 $ australien (contre 17 $ australien pour la version classique). On peut donc supposer que Google va s'aligner sur les offres avec publicités de Netflix ou Disney+, proposées à 6 €/mois.