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Free TV : l’accès aux programmes de TF1 et France TV bridé pour calmer les chaînes
Le coup de pression de TF1 et France Télévisions aura fait son effet. Deux semaines après le lancement de son ambitieux service de télévision, Free a discrètement modifié l’accès au replay des programmes des deux groupes.

Les chaînes en direct de France Télévisions (France 2, France 3, France 4…) restent accessibles dans l’offre gratuite Free TV, mais le replay et la diffusion en 4K font désormais partie de la formule payante Free TV+, comme le rapporte Univers Freebox.
Quant aux chaînes du groupe Bouygues (TF1, TMC, TFX…), elles sont toujours disponibles en direct dans la formule Free TV+ (incluse pour les abonnés Free avec télé ou 0,99 €/mois pendant un an puis 5,99 €/mois), mais tout le replay a disparu. Pour regarder en différé Star Academy, La villa des cœurs brisés ou encore 90’ Enquêtes, il faut donc passer par l’application TF1+ ou une autre plateforme avec une offre payante, comme Molotov ou l’app Canal+.
Ce revirement intervient après le tollé provoqué par le lancement surprise de Free TV. TF1 et France TV avaient dénoncé l’intégration de leurs programmes sans accord préalable. Les deux groupes arguaient que leurs contrats de distribution passés avec Free portaient uniquement sur OQEE, un service réservé aux abonnés Free, alors que son successeur Free TV vise un public bien plus large.
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Le prix de la mémoire vive en très forte hausse : +170 %, et ça ne risque pas de s'arrêter
Nous en parlions il y a quelques semaines, le prix de la mémoire vive (et celui de la mémoire flash) est en très forte hausse actuellement, de l'ordre de 170 % sur le prix des composants. Et ce n'est visiblement pas près de s'arrêter.

Le premier point à comprendre, c'est comment fonctionne ce marché. Les fabricants de puces de mémoire vendent des puces, dont le prix a justement augmenté assez fortement ces dernières semaines. Ensuite des fabricants de barrettes (qui peuvent être les mêmes que ceux qui fabriquent les puces) les intègrent. Puis les barrettes sont soit intégrées dans des ordinateurs, soit vendues seules. Cet enchaînement implique toujours un délai entre la hausse de la mémoire et le prix des barrettes chez votre revendeur préféré, mais elle est bien visible depuis quelques semaines.
Des hausses prévues sur la mémoire flash, les disques durs et la mémoire vive
Si vous prenez un produit assez standard, un kit de deux barrettes de DDR5-4800, d'une capacité de 32 Go, il est affiché actuellement à environ 120 €. Si vous remontez quelques mois en arrière, il était vendu à peine 80 €. La différence est même plus importante pour de la mémoire rapide, comme de la DDR5-6000 : un kit vendu 160 € actuellement se trouvait pour moins de 100 € il y a quelques semaines. La hausse touche en effet plus durement les versions haut de gamme, généralement plus récentes : les puces sont plus onéreuses et les fabricants ont moins de stocks à écouler.

Une hausse qui ne touche pas que les produits finis : MiniMachines rapporte que Minisforum, un fabricant de mini PC, augmente ses prix à cause de la hausse de la mémoire vive. Car là aussi, les petits fabricants sont plus touchés que les gros, à cause d'une particularité du marché de la mémoire : les contrats d'approvisionnement.
Samsung ne prend plus de contrats
Dans le monde de la mémoire vive et de la mémoire flash, les grands fabricants de PC (HP, Lenovo, Dell, etc.) signent habituellement des contrats avec les fabricants de mémoire, pour s'approvisionner à un prix fixe sur une durée déterminée. C'est une solution qui permet d’éviter les hausses inattendues (par exemple liée à un problème dans une usine) mais qui empêche aussi de profiter des éventuelles baisses. Mais pour les fabricants, c'est intéressant, car ils peuvent anticiper les coûts.
Et ce système est en train de craquer : comme nous sommes dans une période où la demande est extrêmement forte à cause de l'IA (et en partie à cause des smartphones), Samsung a décidé de ne plus prendre de contrats de ce type, selon DigiTimes. Un choix qui a évidemment un impact sur le prix des appareils qui intègrent de la mémoire vive — PC portables, smartphones, etc. — en grande quantité, avec un effet secondaire gênant. Comme les fabricants de produits finis ne peuvent pas obtenir un prix fixe et que le cours de la mémoire est volatile, ils utilisent une estimation artificiellement élevée, pour éviter de perdre de l'argent, ce qui augmente le prix des appareils dans les étals.

Compte tenu de la demande actuelle dans le monde de l'IA et de l'arrivée des fêtes, qui amènent souvent des pics de ventes sur les produits finis, les hausses ne sont donc pas terminées. Et si d'autres constructeurs suivent la voie de Samsung, le marché de la mémoire pourrait être totalement désorganisé.
Le cas Apple
Le cas d'Apple est un peu particulier. Dans le domaine de la mémoire flash, Apple utilise des puces propriétaires, dont le prix est nettement plus élevé que la moyenne. C'est aussi en partie le cas (dans une moindre mesure) pour la mémoire vive : la société est moins touchée par les variations de l'offre et la demande car elle emploie des puces peu courantes. Le dernier MacBook Pro M5, par exemple, intègre de la mémoire LPDDR5X-9600, récente, dans un format compact, avec l'équivalent de plusieurs puces de DDR5 classiques empilées.

Et puis il faut bien avouer que même si le prix de la DDR5 en barrette explose, il reste assez loin de ce qu'Apple facture. Sur un MacBook Pro M5, le passage de 16 à 32 Go de RAM est par exemple facturé 500 €. Même en partant du principe que la LPDDR5X rapide est plus onéreuse au départ que la DDR5 classique, il faudrait une hausse bien plus forte pour que le prix de la mémoire s'approche de celui facturé par Apple… en supposant que la société ne modifie pas ses prix.
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WhatsApp enfin disponible sur Apple Watch
Utilisateurs de WhatsApp, réjouissez-vous : vous pouvez enfin avoir vos affaires de famille, vos blagues entre potes et les messages de votre copro’ au poignet. Vous l’avez compris, WhatsApp est maintenant disponible sur Apple Watch.

Comme la bêta sortie récemment l’avait montré, cette application offre les fonctions essentielles. On peut parcourir la liste de conversations et lire les messages en entier, même les plus longs. On peut aussi y répondre par texte, dictée ou message vocal, ainsi que réagir avec un emoji d’un simple appui prolongé. L’application présente par ailleurs les notifications d’appel, pour savoir qui appelle sans regarder son iPhone. Le tout avec une interface qui reprend les codes de watchOS, comme l’indicateur de connexion (synchro ou perte de lien avec l’iPhone).
Cette app, qui demande watchOS 10 au minimum (Apple Watch Series 4 au moins), reste dépendante de l’iPhone. Pour l’instant, impossible de laisser son smartphone à la maison et de répondre à ses messages uniquement depuis la montre.
En l’espace de quelques mois, WhatsApp a fait de grandes avancées dans l’écosystème Apple. En mai, l’iPad a enfin eu droit à sa propre application. Aujourd’hui, c’est donc l’Apple Watch qui est servie. Entre-temps, la mouture Mac a été améliorée, sans oublier bien sûr la version iPhone toujours aussi centrale. Ne manque plus qu’une version Apple TV (eh oui, c’est possible techniquement depuis quelques années) et Vision Pro.
Destins croisés : WhatsApp s’améliore sur Mac et se dégrade sur Windows
Meta déploie actuellement une nouveauté pour WhatsApp sur Mac : il est désormais possible de choisir le thème par défaut des discussions parmi 23 options, ainsi que de personnaliser séparément la couleur des différents éléments de l’interface.

L’application Mac s’aligne ainsi sur l’app iPhone… ou presque. Cette dernière permet en plus de créer des arrières-plans grâce à l’IA générative de Meta. Les suggestions sont horribles, mais en faisant parler sa science du prompt, on peut obtenir de meilleurs résultats. L’app iPhone offre aussi la possibilité de définir des thèmes distincts pour chaque conversation. Il faudra encore un peu de patience avant de retrouver des environnements vraiment identiques entre Mac et iPhone, sauf si vous restez sur le thème par défaut.

Pendant ce temps, la version Windows de WhatsApp s’apprête à recevoir une grosse mise à jour moins réjouissante. L’application va délaisser sa conception en UWP, la technologie de Microsoft pour bâtir des apps natives, au profit de, vous l’aurez deviné, Chromium.
D’après le site Windows Latest, cette nouvelle mouture, qui est donc une web app encapsulée, consomme nettement plus de mémoire vive : 206 Mo contre 10 Mo auparavant, rien que sur l’écran de connexion.

Fut un temps où la direction de Microsoft présentait WhatsApp comme un exemple à suivre sur sa plateforme. Ce n’est plus le cas. Le déploiement de cette nouvelle version commencera demain, le 5 novembre. La version Mac est, elle, une application native. Pourvu que ça dure.
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Le retour de la cassette audio touche aussi les AirPods
Elago, qui s'est spécialisé dans les accessoires de protection, propose une petite réduction sur deux accessoires pour les AirPods Pro 3 : des housses de boîtiers aux couleurs des cassettes audio. La première housse est à 19,79 € avec un coupon à cocher, au lieu de 22 €. Elle reprend l'esthétique d'une cassette audio. La seconde est à 18 € au lieu de 20 €, aussi avec un coupon à cocher. Et elle s'inspire du premier Walkman de Sony. Dans les deux cas, le but est de protéger le boîtier des AirPods Pro 3.

La société propose les mêmes protections pour le boîtier des AirPods 4, à 18 € (Walkman) et 20 € (cassette).

Si vous aimez les cassettes audio, qui reviennent (un peu) à la mode, il y a aussi une promotion sur un pack de cinq cassettes de 90 minutes, qui est 13,6 € au lieu de 16 €. Et pour rester dans le thème, Orico vend aussi un boîtier pour HDD ou SSD (SATA, 2,5 pouces) à 18 €. Il est compatible USB-C et reprend lui aussi l'esthétique d'une cassette audio.

Avez-vous mis un film de protection sur l'écran de votre iPhone ?
C’est un changement invisible au premier abord, mais qui a son importance sur long terme : les iPhone 17 (Pro) et Air ont un écran protégé par du Ceramic Shield 2, présenté comme trois fois plus résistant aux rayures que la génération précédente. Le premier Ceramic Shield, apparu avec les iPhone 12, mettait surtout l’accent sur la résistance aux chutes pour sa part.

Pour en revenir au Ceramic Shield 2, je n’ai noté aucune rayure pour l’instant sur l’iPhone 17 Pro que j’utilise au quotidien depuis un mois environ. J’ai toutefois pris soin de ne pas le glisser dans la même poche que des clés ou des pièces. Je suis courageux, mais pas téméraire.
Avec ces progrès, vous avez peut-être choisi de ne plus protéger l’écran de votre iPhone… ou bien vous n’en avez jamais eu besoin. C’est la question de notre nouveau sondage. À noter que certaines protections font aussi office de filtre de confidentialité, pratique pour ceux qui veulent garder leur iPhone à l’abri des regards curieux.
Avez-vous apposé un film de protection sur l’écran de votre iPhone ? Par « film », on entend aussi bien les vitres en verre que les films en plastique ou autre.
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Les versions 26.1 des systèmes d'Apple permettent les mises à jour de sécurité urgente en arrière-plan
C'était prévu, les versions 26.1 des systèmes d'exploitation d'Apple — macOS, iOS, iPadOS — activent un nouveau type de mise à jour. Enfin, nouveau est un bien grand mot : c'est une remise à plat des mises à jour de sécurité urgente d'iOS 16. Elles offrent la possibilité à Apple de pousser plus facilement des mises à jour de sécurité en arrière-plan, sans devoir passer par des mises à jour complètes et parfois assez lourdes.

Selon la page dédiée d'Apple, les mises à jour en question peuvent s'installer en arrière-plan et corrigent des problèmes de sécurité avec des mises à jour plus légères que d'habitude. L'option pour les activer (ou les désactiver) est dans les réglages, dans la section Confidentialité et sécurité. Que ce soit sur iPad, iPhone ou Mac, vous verrez une option Améliorations de la sécurité en arrière-plan. Si vous choisissez de désactiver les mises à jour en question, Apple précise qu'elles seront appliquées avec la mise à jour mineure suivante (26.1.1 ou 26.2 par exemple).
Mise à jour : la page liste le navigateur Safari, les frameworks liés à WebKit et « d’autres bibliothèques système » sans plus de précisions.
Apple travaille sur une nouvelle version des mises à jour de sécurité urgentes
Dans une autre page, Apple liste le périmètre de ces mises à jour, avec ce qui était déjà disponibles dans les systèmes précédents. Premièrement, cette fonction permet de mettre à jour les bases de données liées à la sécurité, qui contient les applications considérées comme incompatibles avec un système précis par Apple, la liste des mises à jour d'EFI (pour éviter une éventuelle mise à jour malveillante), les données liées à Gatekeeper, la liste des extensions considérées comme incompatibles et la liste des malware connus bloqués par XProtect.
Beaucoup de mise à jour de firmware
Cette nouvelle fonction ne peut pas mettre à jour tous les composants du système d'exploitation. La liste comprend des données annexes, comme les polices, les services de dictées, toutes les données liées à la prise en charge des langues (correction automatique, dictionnaire, etc.) et beaucoup de données liées aux suggestions du système. Apple peut donc mettre à jour les suggestions proposées par Safari lorsque vous tapez dans la barre de recherches, par exemple. On trouve aussi la liste des certificats SSL, la prise en charge des différents formats RAW des appareils photo ou les mises à jour de firmware de nombreux accessoires Apple (clavier, souris, trackpad, écrans, adaptateurs secteur, etc.).

Globalement, la fonction devrait donc permettre à Apple de mettre à jour rapidement ses systèmes d'exploitation pour corriger des failles liées à des services annexes, mais pas une faille qui touche le noyau ou un composant important d'iOS, iPadOS ou macOS. Ce n'est donc pas une avancée majeure dans la sécurité des systèmes, mais c'est au moins une simplification dans certains cas : si certaines mises à jour étaient déjà exécutées en arrière-plan (par exemple la base de données de Xprotect), ce n'était pas le cas pour d'autres, comme la prise en charge des fichiers RAW. Et la possibilité de mettre à jour Safari en arrière-plan plutôt que via une mise à jour dédiée est toujours bon à prendre.
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« Balayer l'écran verrouillé pour ouvrir Appareil photo » : iOS 26.1 permet finalement de désactiver ce geste de l’iPhone
iOS 26.1, désormais disponible en version finale, introduit une option surprenante tant elle arrive tardivement. On peut finalement désactiver le geste de balayage vers la gauche sur l’écran verrouillé de l’iPhone qui ouvre l’appareil photo. L’option se situe ici : Réglages > Appareil photo > Balayer l’écran verrouillé pour ouvrir Appareil photo. Elle est également disponible sur iPadOS 26.1.

Ce geste reste activé par défaut, mais peut donc être coupé très facilement si vous le trouvez gênant. Il arrive en effet qu’il provoque une ouverture accidentelle de l’appareil photo. Ce raccourci a fait ses débuts dans iOS 10, en 2016, l’année de la sortie des iPhone 7 — l’iPhone X est arrivé un an plus tard.
Pourquoi avoir attendu neuf ans pour offrir cette option réclamée depuis si longtemps par certains utilisateurs ? On suppose que la multiplication des boutons sur les iPhone récents a joué un rôle dans cette décision. Le bouton Action apparu avec les iPhone 15 Pro a permis le premier d’ouvrir l’appareil photo d’un clic sur un bouton physique. Puis un bouton dédié a carrément été ajouté aux iPhone 16 et aux suivants.
Dans ce contexte, le swipe sur l’écran verrouillé est moins utile que par le passé. Maintenant, une nouvelle question se pose : Apple permettra-t-elle un jour de réattribuer ce geste pour une autre action ? À moins qu’il ne serve une fonction spéciale d’un éventuel iPhone à écran pliable ?
Debian pourrait abandonner le support des m68k et ppc en 2026

Debian Linux est une distribution Linux de référence, peut-être même la distribution Linux de référence, beaucoup d'autres étant bâties dessus comme Ubuntu.
Debian Linux supporte encore aujourd'hui les m68k et ppc, deux architectures qui ont marqué l'Histoire de la micro-informatique y-compris via les Macintosh.
Un choix radical et surprenant pour un technicien a été fait: à partir de 2026 des core utils (utilitaires au cœur du système), actuellement fournis par GNU et très stables, seront écrits avec le langage Rust. La réécriture est en cours. apt aussi y passera.
Il se trouve que Rust a un support variable coté PowerPC, tiers 1 ou tiers 2, mais surtout que le support m68k est "expérimental" (tiers 3), donc sans aucune garantie!
Indépendamment des qualités ou défauts de Rust, du zèle de ses fidèles pour essayer de l'imposer partout, souvent contre les évidences, je ne pense pas que des core utilities doivent restreindre les plateformes supportées au travers des limitations de son compilateur (et ses backends).
Il y a un autre point que Rust dans cette affaire, avec cette réécriture, c'est qu'elle est basée sur une licence de type MIT, plus permissive que la GPL des actuels core utilities, s'intégrant bien mieux dans un écosystème mélangeant logiciels libres, open-source de tous poils et logiciels commerciaux dont ceux sans accès aux sources.
Pour moi un progrès, c'est la licence que j'utilise pour mes projets!
Malheureusement les conséquences risquent d'être tragiques pour les possesseurs de vieux Mac désirant faire tourner Linux dessus, de très nombreuses distribution étant basées sur celle de Debian.