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FEROCIOUS libérera ses dinosaures le 4 décembre et proposera d’en faire des amis pour la vie

Durant l’OTK Winter Games Expo qui s’est déroulé le 22 novembre, OMYOG, le studio derrière le développement du FEROCIOUS, a dévoilé que leur FPS d’action et de dinosaures apprivoisables sortira le 4 décembre. À la rédac, on restait un peu dubitatif par cette annonce, car on aurait parié que les devs auraient préféré s’accorder plus temps pour peaufiner leur jeu, vu la dernière vidéo de gameplay. Finalement, il n’en est rien. Pour marquer l’occasion, une nouvelle bande-annonce a été diffusée et on y découvre un nouvel équipement de haute technologie, le DCD, pour transformer les dinosaures en super alliés. Ici, c’est de la science, pas comme un certain Far Cry où on balance de la viande avariée et des câlins pour faire ami-ami avec les prédateurs de la nature.

De plus, il y a des séquences de gunfight nerveux avec une IA débile, des explosions, un ragdoll marrant et des dinosaures qui sont de véritables bulldozers. Difficile d’être hype par ce trailer, à moins que vous soyez fans de grosses dindes. Si on baisse drastiquement nos attentes et en faisant abstraction de quelques défauts comme la modélisation de ce bras par exemple, l’expérience pourrait être sympa malgré tout. Et voir des dinos bouffer des gens, c’est trop marrant !

Préparez vos bagages et votre kit de survie pour le voyage exotique dans le monde de FEROCIOUS prévu ce 4 décembre. En attendant sa sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé. À la rédac, on ne l’est pas du tout : la démo était nulle à chier.

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The Mall, une nouvelle mise à jour pour PIGFACE

En octobre dernier, le développeur de PIGFACE a publié sa roadmap, annonçant de nouveaux ajouts dès le mois de novembre. Dans cette mise à jour, on découvre l’ajout d’une nouvelle map, The Mall. Ce grand centre commercial sera l’occasion pour Exit de faire un petit tour de montagnes russes, tout en dézinguant les gangs qui se sont appropriés le lieu. Pour ceux qui découvre PIGFACE, il s’agit d’un rétro-FPS ultra violent et nerveux, où votre protagoniste doit exécuter des contrats reçus par téléphone sous peine de se faire exploser la tronche par le biais d’une bombe implantée dans le crâne.

Avec cette première mise à jour, le jeu s’étoffe également de nouvelles armes comme une tronçonneuse, une crosse de hockey ou encore un USAS-12. De nouveaux ennemis et un nouveau masque axé sur le combat au corps à corps ont aussi été ajoutés. Une bonne excuse pour retourner sur le jeu, qui malgré une durée de vie beaucoup trop courte, procure de bonnes sensations de de tir old-school avec un gameplay simple, mais efficace. Notre test vous en dira un peu plus. S vous souhaitez découvrir l’intégralité du cette MAJ, c’est par ici.

PIGFACE est toujours en accès anticipé sur Steam et récolte de très bon avis. Pour moins de 10 €, pourquoi s’en priver ? Si vous êtes une personne pingre, la démo est toujours disponible.

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Wrack Remake change son nom en Wrack: Reclamation juste avant sa sortie pour être sûr de faire un plus gros bide

Sorti dans l’indifférence générale ce 23 novembre, Wrack: Reclamation, anciennement le remake du rétro-FPS Wrack de 2014, a eu un démarrage bien difficile avec un pic de 10 joueurs. En premier lieu, vous aurez remarqué qu’il n’est plus de question de Wrack Remake. En effet, en ce début de mois, les devs ont eu une illumination en publiant un billet de blog Steam qui était passé sous nos radars, pour annoncer que les deux projets bien distincts, Wrack: Reclamation et Wrack Remake, deviendraient un unique jeu Wrack: Reclamation. En deuxième lieu, à l’instar du jeu d’origine, Wrack: Reclamation sera composé de trois épisodes dont le deuxième est en cours de production et l’avenir du troisième est plus qu’incertain.

Notre expert Bulincette avait pu faire une preview sur une build de ce que fut Wrack Remake et l’avait plutôt apprécié, même si quelques défauts devaient être encore corrigés (équilibrage des armes et de l’IA). Le jeu a l’air plutôt sympa avec un style graphique emprunté aux comics et un gunplay qui a l’air assez nerveux. Mais vu l’engouement actuel, le studio aura fort à faire pour convaincre les joueurs avec l’épisode deux qui n’a pas de date de sortie.

Si vous êtes malgré tout emballé et nostalgique de cette licence, Wrack: Reclamation bénéficie actuellement d’une promotion de lancement de -10 % jusqu’au 29 novembre sur Steam, soit un peu moins de 14 €.

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TEST Call of Duty: Black Ops 7 : le multijoueur pour sauver les meubles

En cette fin d’année 2025, les joueurs ont l’embarras du choix en matière de jeux de tir multijoueur : Battlefield 6, ARC Raiders ou encore Call of Duty: Black Ops 7. C’est ce dernier qui nous intéresse aujourd’hui, puisque nous avons pu tester le nouvel opus signé Treyarch, lequel propose une fois de plus un contenu conséquent. Cependant, si le mot quantité rime avec qualité, ce dicton ne s’applique pas forcément à cet épisode… bien au contraire.

Test réalisé sur PS5 Pro grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

Une campagne complètement à l’Ouest

Ce premier intertitre fera sans doute sourire les fans de la franchise : qui achète un Call of Duty pour sa campagne solo ? Et pourtant, plus de joueurs qu’on ne l’imagine investissent chaque année dans le titre pour profiter d’une histoire volontairement nanardesque. Il est donc important de lui accorder un certain temps, contrairement aux développeurs qui semblent lui en avoir consacré bien trop peu. Premier détail révélateur : ce mode ne s’appelle pas « Campagne », mais « Campagne en Coop ». Jouable jusqu’à quatre joueurs en ligne (sans coopération locale), il reste accessible en solo… mais avec une connexion Internet obligatoire. Et gare aux pauses trop longues : vous serez éjecté du serveur et renvoyé à la case départ, regrettable en 2025.

La campagne de Call of Duty: Black Ops 7 débute en 2035, dans un monde ravagé par des conflits brutaux et une guerre psychologique. David Mason et son unité du JSOC sont envoyés en mission secrète dans la cité méditerranéenne d’Avalon, où ils découvrent un complot capable de plonger la planète dans le chaos. Un pitch qui rappelle les films de série Z diffusés sur MCM le dimanche soir, et qui devient rapidement embarrassant au fil des onze missions. Chaque joueur incarne un membre de l’unité, avec à la clé des plongeons des séquences de folie et de paranoïa en raison d’un mystérieux poison. On y croise des scènes surréalistes : couteaux géants, boss dignes d’un Megazord… Seules lueurs d’espoir : des cinématiques photoréalistes réussies et une OST solide, portée par le compositeur américain Jack Wall (Mass Effect, Black Ops 2, Black Ops 3, Cold War), qui démontre une nouvelle fois sa maîtrise avec des compositions parfaitement dans le ton.

TEST COD Black Ops 7 - Campagne de rêve
Certaines séquences sont assez surréalistes pour un Call of Duty

Comptez cinq à six heures pour boucler la campagne, avec ses onze missions. Pour un jeu vendu plein tarif, on pourrait critiquer cette durée réduite, mais face à une bouillie scénaristique, ce n’est peut-être pas plus mal. La fin réserve toutefois un bonus accessible à tous depuis la mise à jour du 21 novembre 2025 : le mode Phase Finale. Débloqué après la campagne, il propose une carte principale jouable jusqu’à 32 joueurs, répartis en escouades de quatre soldats. L’objectif : explorer Aragon, accomplir des missions générées aléatoirement et survivre malgré une difficulté croissante. Attention : en cas de mort, vous perdez vos équipements, il faut donc réussir son exfiltration. Sur le papier, ce mode est une bonne idée. Mais dans les faits, les objectifs répétitifs n’incitent pas à prolonger l’expérience. Dommage.

Un mode Zombies qui manque de variété

Comme pour chaque épisode de Black Ops, les joueurs attendent avec impatience l’arrivée du mode Zombies. Cette année, une seule nouvelle carte est proposée : Ashes of the Damned. Présentée comme la plus grande jamais conçue pour ce mode, elle offre un terrain de jeu vaste, avec quelques zones d’exploration et surtout de nombreuses routes à parcourir en véhicule. Grande, certes, mais loin d’être la plus vaste à explorer à pied. Pour les débutants, le mode reste peu accessible, les explications étant limitées.

On retrouve néanmoins les atouts, les pouvoirs spéciaux et des armes toujours plus extravagantes, mais redoutablement efficaces face à des infectés de plus en plus coriaces. Plusieurs variantes sont disponibles : un mode survie pure, ou une progression plus classique avec des objectifs à remplir pour avancer dans la quête visant à enrayer l’épidémie. À noter que sur PC et consoles nouvelle génération, le mode est jouable en local jusqu’à deux joueurs (ou quatre en ligne), ce qui n’est pas possible sur PS4 et Xbox One pour des raisons techniques selon l’éditeur.

TEST COD Black Ops 7 - Mode Zombies avec véhicule
On passera du temps à traverser les routes du mode Zombies

La bonne surprise du Zombies cette année vient du retour de Dead Ops Arcade, désormais dans une quatrième version. On y retrouve une mise en scène ubuesque, bien plus légère que la campagne solo, avec une caméra en vue de dessus et un gameplay résolument arcade. Le principe reste simple : éliminer des hordes de zombies en coopération locale ou en ligne, dans ce twin-stick shooter qui avait déjà fait ses preuves dans les opus précédents. L’objectif est de survivre le plus longtemps possible, mais les infectés ne vous lâcheront pas d’une semelle. Jouable jusqu’à quatre joueurs en ligne, ce mode constitue sans doute l’une des réussites de cet épisode, aux côtés d’un multijoueur classique toujours aussi solide.

Le mode multijoueur : baroud d’honneur

Tous les modes de jeu de Call of Duty: Black Ops 7 sont jouables en ligne avec des amis, mais le principal attrait de cet opus reste son multijoueur, qui nous a une nouvelle fois convaincus malgré quelques couacs. On retrouve un gameplay nerveux, exigeant une concentration constante pour éviter de mourir à répétition. Ce dynamisme repose sur deux points : l’un positif, l’autre moins. Côté positif, les wall jumps apportent un déplacement plus naturel que dans certains épisodes futuristes. Cette mécanique est plaisante, mais reste sous-exploitée, la majorité des cartes n’en tirant pas pleinement parti.

En revanche, les séances de réapparition et de morts quasi instantanées s’enchaînent rapidement. Avec une vitesse de déplacement accrue et un time to kill encore plus bas que dans les précédents épisodes, quelques balles suffisent à éliminer un adversaire. La carte Nuketown 2025, de retour dans cet opus, illustre parfaitement ce problème : son terrain réduit entraîne des spawns mal calibrés et des enchaînements de morts frustrantes. Heureusement, le jeu ne se limite pas à Nuketown : pas moins de 18 cartes sont disponibles, dont 16 en 6v6 et 2 à grande échelle pour le mode Engagement. Les cartes 6v6 accueillent les modes classiques (match à mort par équipe, élimination confirmée, mêlée générale…) qui fonctionnent toujours aussi bien. Toutefois, aucune carte ne se démarque réellement cette année.

TEST COD Black Ops 7 - Opérateurs
De nombreux opérateurs sont déjà accessibles dès le lancement du titre

Comme dans les précédents opus, il faut choisir un opérateur en fonction de la faction attribuée en début de partie. Ces opérateurs ne disposent d’aucun pouvoir spécifique : il s’agit simplement de skins, ce qui évite les déséquilibres liés aux capacités spéciales. Un choix pertinent, surtout face à une boutique en ligne déjà bien garnie, avec deux packs proposés à 29,99 € et 19,99 €. Les classes sont toujours présentes, avec la possibilité de combiner des atouts issus de différentes branches (rouge, vert, bleu). Chaque arme nécessite d’enchaîner les éliminations pour gagner de l’XP et débloquer des accessoires supplémentaires, afin de trouver la configuration idéale. Les killstreaks restent incontournables et leur sélection doit être adaptée au mode de jeu choisi. La gestion est relativement simple, mais les menus mal organisés compliquent inutilement la navigation.

Verdict

Call of Duty: Black Ops 7 n’est clairement pas un bon épisode de la franchise : c’est indéniable. Avec une campagne complètement lunaire et un mode Zombies en manque de panache, les fans se rabattront sur un multijoueur heureusement toujours solide, porté par des cartes plutôt intéressantes et un gameplay toujours très nerveux. Le mode Phase Finale, quant à lui, reste dispensable, même si l’idée est séduisante sur le papier. Cette année, la concurrence s’est montrée plus convaincante, et nous vous recommandons donc de vous tourner vers ces autres propositions.

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Assassin’s Creed Shadows : une collaboration avec un célèbre shōnen manga en approche

L’actualité autour de Assassin’s Creed Shadows ne faiblit décidément pas. Alors que le portage sur Nintendo Switch 2 est attendu la semaine prochaine, Ubisoft vient d’annoncer une nouvelle mission spéciale marquant une collaboration avec un célèbre shōnen manga.

Dès le mardi 25 novembre 2025, les joueurs pourront accéder à cette quête annexe exclusive, mais attention : elle ne sera disponible que jusqu’au 15 décembre 2025. Cette mission, inspirée de L’Attaque des Titans, mettra en scène nos deux protagonistes, chargés de traverser une mystérieuse caverne de cristal peuplée d’ennemis étranges, avant d’affronter un combattant final colossal.

En parallèle, des objets uniques liés à l’univers du manga seront proposés dans le store interne du jeu, également jusqu’au 15 décembre. Pour accompagner cette annonce, Ubisoft a diffusé une courte bande-annonce afin de donner un premier aperçu de cette collaboration événement.

Pour rappel, Assassin’s Creed Shadows est disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PC et bientôt sur Nintendo Switch 2.

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Ultime bafouille - Avec la Xbox 360, Microsoft a accompli l'exploit d'une génération face à Sony

Sur les quatre générations de consoles Xbox qui ont vu le jour depuis novembre 2001, la Xbox 360 garde une place à part dans la mémoire des fans. Comment pourrait-il en être autrement quand jamais une autre console estampillée Microsoft n'a autant brillé face à son concurrent direct japonais ? C'est au sortir d'une PlayStation 2 intouchable, au moment où l'on pensait Sony inébranlable, que la Xbox 360 est venue mettre un coup de fusil à pompe dans la fourmilière et bousculer l'ordre établi. Pour honorer le 20e anniversaire de cette brillante machine, retour sur ces années durant lesquelles un Microsoft conquérant a fait tomber de son piédestal le tout-puissant empire PlayStation.

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Udo Kier, légende du cinéma de genre et du jeu vidéo, s’éteint à 81 ans

Udo Kier, acteur fétiche du cinéma de genre et figure familière des fans de jeux vidéo, est décédé à l’âge de 81 ans. La cause du décès n’a pas été communiquée.

Né en Allemagne, Udo Kier entame sa carrière en 1966 dans la série télévisée Road to Saint Tropez. Très vite, il se fait remarquer par ses collaborations répétées avec l’artiste Andy Warhol et par ses rôles dans le cinéma de vampires, qui en font un visage iconique pour les amateurs de films de genre. Dans les années 1990, il touche un public plus large grâce à des apparitions dans des productions marquantes comme Ace Ventura: Pet Detective, Blade ou encore Johnny Mnemonic.

L’acteur s’est également illustré dans plusieurs adaptations de jeux vidéo au cinéma, notamment Far Cry et BloodRayne. Sa voix et sa présence ont traversé le médium vidéoludique au fil des décennies : il a incarné le personnage de Yuri dans Command & Conquer: Alerte Rouge 2 et son extension Yuri’s Revenge, le Dr Peter Staub dans Call of Duty: WWII, ainsi qu’Erich dans Martha Is Dead. Ces rôles, souvent militaires ou inquiétants, collaient à son aura singulière.

L’un de ses projets à venir les plus attendus était OD, le prochain grand jeu d’horreur de Kojima Productions, développé en partenariat avec Xbox Game Studios. Udo Kier y avait été annoncé aux côtés de Hunter Schafer et Sophia Lillis lors des Game Awards 2023. Hideo Kojima a toutefois indiqué sur X (Twitter) que le tournage avec l’acteur devait seulement commencer au printemps prochain, laissant entendre que Kier n’avait pas encore pu tourner ses scènes. On ignore pour l’instant si son rôle sera recasté, réécrit ou abandonné dans la version finale du projet.

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Gamekult awards - Gamekult Awards 2025 : l'année n'est pas finie, mais il faut élire le GOTY

Oui, c'est assez difficile de voter pour les jeux de l'année quand nous sommes seulement le 24 novembre et que nous pourrions être surpris par Half-Life 3 à n'importe quel moment (source : mes petites pilules rouges et mon doomscrolling compulsif sur Twitter), mais les Gamekult Awards 2025 sont déjà ouverts et vous pouvez toujours changer votre vote d'ici la fin du scrutin, donc c'est toujours le bon moment pour remplir l'urne virtuelle.

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GTA 6 : voici les messages Discord qui seraient derrière le licenciement de 34 syndicalistes

Poursuivi en justice pour avoir limogé 34 syndicalistes du jour au lendemain, Rockstar se défend publiquement d'avoir mal usé de son pouvoir et affirme que les personnes concernées ont divulgué des informations confidentielles hors de l'entreprise. Une version décrédibilisée par une enquête de People Make Games, qui a eu accès aux messages Discord incriminés. Ils suggèrent que Rockstar a bel et bien limogé 34 personnes sur un prétexte maigre pour entraver l'activité syndicale au sein de l'entreprise.

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FBC : Firebreak reporte finalement la sortie de son mode roguelike, Endless Shift

Est-ce que Remedy va arriver à atteindre le bout du tunnel avec FBC : Firebreak ? Le titre a eu des ventes décevantes et les équipes du studio cherchent tant bien que mal à se dépatouiller pour lui redonner une seconde chance. Mais cela est encore plus compliqué que prévu puisque la seconde grosse mise à jour du titre, intégrant notamment le mode roguelike Endless Shift, n’arrivera finalement pas avant l’année prochaine.

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Après Silksong, Team Cherry ne ferme pas la porte à d’autres jeux Hollow Knight

Vous avez peut-être exploré les moindres recoins de Pharloom et êtes sur le qui-vive, à l’affût de la moindre information sur l’avenir de Silksong ou même de la franchise Hollow Knight. Et bien sachez que Team Cherry n’est pas fermé à l’idée de développer de nouveaux jeux dans cet univers très riche. Ils seront juste un peu différents à chaque fois.

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