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Le réalisateur des Devil May Cry rêve de faire un jeu de baston, et Capcom vs SNK 3 si possible

Hideaki Itsuno, vétéran de Capcom et figure emblématique derrière Devil May Cry et Dragon’s Dogma, nourrit depuis longtemps une passion profonde pour les jeux de combat. Il a quitté Capcom l’an dernier après trente années passées au sein de l’entreprise et dirige désormais le studio Lightspeed Japan, propriété de Tencent, avec un nouveau jeu d'action AAA dans les tuyaux. Et il n’a rien perdu de son envie de retourner dans le versus.

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Tokyo Xtreme Racer sort bientôt d’accès anticipé

Genki, studio de développement japonais fondé en 1990, qui a réalisé plus de jeux que j’ai n’ai de cheveux sur la tête, n’avait plus sorti d’opus depuis plus de dix ans. Leur série la plus emblématique est peut-être les Tokyo Xtreme Racer, dont on ne compte pas moins de six épisodes avec les spin-off. Enfin plutôt sept, car depuis janvier 2025 la licence est revenue sur Steam en accès anticipé dans un reboot complet de la série. Le jeu de course semi-arcarde et...

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TEST Star Wars Outlaws : Ubisoft signe un portage de référence sur Nintendo Switch 2

Lors de chaque sortie d’une nouvelle console Nintendo depuis maintenant plusieurs années, Ubisoft réussissait toujours à inclure un ou plusieurs jeux dans le line-up de lancement. Mais cette fois-ci, l’éditeur français a décidé de dégainer quelques mois plus tard avec un titre qui n’avait pas fait l’unanimité lors de sa sortie en 2024 : Star Wars Outlaws. Après avoir passé plusieurs heures de jeu sur Nintendo Switch 2, on peut dire que le choix de l’éditeur français est payant avec l’un des meilleurs portages parus à ce jour.

Test réalisé sur Nintendo Switch 2 grâce à une version numérique fournie par l’éditeur

Un premier essai sur Nintendo Switch 2 qui joue de malchance

Il n’y a pas à dire : Star Wars Outlaws est véritablement l’un des jeux les plus malchanceux de ces dernières années pour Ubisoft. Souvenez-vous, lors de sa sortie fin août 2024, le titre sortait sur consoles et PC avec un manque de finition remarquable, mais pas au point d’être injouable. La toile et notamment de nombreux joueurs s’emparent du phénomène pour exposer tous les bugs rencontrés dans le jeu, faisant ainsi mauvaise presse à ce dernier malgré de bonnes critiques dans l’ensemble, avec par exemple un score de 75 sur Metacritic.

Depuis, des mises à jour ont été déployées pour corriger les problèmes rencontrés et modifier un gameplay qui, effectivement, n’était pas des plus raffinés lors de son lancement. Malheureusement, le mal était fait et les joueurs n’ont pas forcément tenté de redonner une nouvelle chance au titre, la faute notamment à un calendrier des sorties chargé. Pour un premier portage sur la récente console de Nintendo, les paris ne s’orientaient pas vers la dernière production de Massive Entertainment, mais davantage vers un portage d’un récent Assassin’s Creed. Certainement un essai pour tâter le terrain avant d’autres sorties pour l’année prochaine, à n’en pas douter.

Mode Photo Star Wars Outlaws
Le mode photo est toujours très complet !

Ainsi, ce portage Nintendo Switch 2 de Star Wars Outlaws est donc calé au 4 septembre 2025 : une date loin d’être anodine puisque le jeu arrive en pleine rentrée scolaire avec aucun autre concurrent durant cette période sur la dernière console de Nintendo… du moins c’est ce que nous pensions tous il y a encore moins de deux semaines. En effet, la Team Cherry annonce la sortie d’Hollow Knight: Silksong pour cette même date à un prix défiant toute concurrence. De quoi faire encore de l’ombre à Star Wars Outlaws qui a tenté une relance pour capter l’attention sur lui, mais le sort en a décidé autrement.

Kay et Nix en quête perpétuelle de liberté

En quête de liberté et désireuse de s’offrir une nouvelle vie loin de sa planète natale, Kay se retrouve rapidement dans une situation délicate dès les premières minutes de jeu. Accompagnée de sa créature aussi mignonne qu’attachante, Nix, Star Wars Outlaws nous plonge immédiatement dans l’essence même de son gameplay, qui rythmera les 20 heures nécessaires pour boucler la trame principale, sans trop s’attarder sur les activités annexes.

Ce Star Wars Outlaws n’est pas un FPS comme Avatar: Frontiers of Pandora, mais bien un TPS dans lequel vous incarnez Kay tout au long de l’aventure. La caméra à hauteur d’épaule s’avère parfaitement adaptée, notamment lors des phases d’infiltration et d’exploration, à la recherche de pièces ou de monnaie disséminées sur les nombreux comptoirs des habitants. Trois planètes seront explorables, chacune avec ses secrets et ses quêtes uniques. Les déplacements dans ces zones ouvertes s’effectuent via votre speeder, offrant une rapidité bienvenue, surtout quand on sait qu’une planète équivaut à deux à trois régions d’Assassin’s Creed Odyssey.

Environnement Star Wars Outlaws
Kay s’invite en toute discrétion à la fête

Le principal défaut du jeu réside dans son gameplay d’infiltration, souvent impitoyable. Une seule erreur peut entraîner un game-over. L’IA se montre parfois incohérente : elle peut vous ignorer malgré une action douteuse, mais ensuite vous repérer sans raison apparente. Si vous espériez un TPS orienté action, avec la liberté de choisir entre approche brutale ou discrète, Star Wars Outlaws risque de ne pas répondre à vos attentes. Cela dit, le jeu propose de bonnes idées, notamment un système de compétences évolutives via des missions confiées par des experts rencontrés au fil de l’aventure. Une mécanique astucieuse qui vous incite à varier votre style de jeu pour améliorer les capacités de Kay.

Comme dans tout jeu Ubisoft, la personnalisation est bien présente : héros, speeder, et Trailblazer – le vaisseau que vous tenterez de réparer dès les premières heures – sont entièrement modifiables. Un système de réputation vient enrichir l’expérience : selon votre notoriété, certaines zones pourront être bloquées ou des embuscades vous seront tendues. Concernant la partie sonore, les différents thèmes ainsi que le doublage français restent d’excellente facture. Mention spéciale également à toutes les options d’accessibilité disponibles : daltonisme, HUD, commandes, langues… Tout est paramétrable et personnalisable pour disposer d’une expérience unique.

Antagoniste Star Wars Outlaws
Sliro Barsha est l’antagoniste principal de ce Star Wars Outlaws

Pour en savoir plus sur le gameplay et l’histoire de Star Wars Outlaws, nous vous invitons à consulter notre test complet réalisé lors de sa sortie initiale sur PS5, Xbox Series X|S et PC en vous rendant à cette adresse. De ce côté, il est désormais temps de se concentrer sur cette version Nintendo Switch 2, qui s’impose comme l’un des portages les plus réussis pour un jeu en monde ouvert en 3D sur la nouvelle console du constructeur japonais.

La nouvelle référence des portages sur Nintendo Switch 2

Depuis sa sortie le 5 juin 2025, les exclusivités pertinentes se comptent sur les doigts d’une main, avec un Mario Kart World qui a tout raflé sur son passage. Les regards se sont donc tournés vers les éditeurs tiers, avec de nombreux portages : Hogwarts LegacySplit Fiction ou encore Cyberpunk 2077, chacun disposant d’une version Nintendo Switch 2 satisfaisante. S’ensuit alors le débat des cartes clés de jeu, véritable pied-de-nez aux collectionneurs, bien que cette formule permette toujours de revendre ou de prêter son jeu à des amis : Ubisoft a opté pour ce format de cartouche pour Star Wars Outlaws pour des raisons techniques (vitesse de lecture trop lente par rapport à la mémoire interne de la console). Le titre occupera ainsi 20,5 Go sur votre console, auxquels vous pouvez ajouter 1,2 Go supplémentaires si vous souhaitez disposer des voix françaises via un pack téléchargeable sur le Nintendo eShop (par défaut, les voix anglaises seront appliquées).

Exploration et monde ouvert Star Wars Outlaws
L’exploration du monde ouvert est l’une des réussites de ce portage : fluidité et de très jolis panoramas

N’oublions pas que lors de sa sortie en 2024, le titre nécessitait 65 Go minimum pour être installé sur consoles ou PC. Contrairement au portage de Split Fiction, qui occupait quasiment le même espace sur tous les supports, Star Wars Outlaws a bénéficié d’un véritable travail des développeurs ainsi que d’une réelle optimisation pour alléger au maximum le jeu sur Nintendo Switch 2. D’autant plus que dans les 20,5 Go de l’installation principale, on retrouve les deux contenus téléchargeables solo Wild Card et A Pirate’s Fortune, la mission exclusive Le pari de Jabba, le pack personnage Raid de Kessel, le pack Héritage du Chasseur et le pack Ronin du Cartel.

Vous l’avez compris, Star Wars Outlaws est donc proposé sur la dernière console de Nintendo avec tout le contenu précédemment publié, à un prix de vente cohérent : 59,99 €. Mais une fois l’installation finalisée et le jeu lancé, le résultat est-il à la hauteur des espérances pour un jeu en monde ouvert ? Eh bien oui. Il faut le reconnaître, ce portage de Star Wars Outlaws est l’un des meilleurs disponibles sur la Nintendo Switch 2 à l’heure où nous écrivons ces lignes. Lors de nos six heures de jeu, nous avons alterné entre niveaux à couloirs et exploration sur Toshara, la première planète du jeu. Aussi bien en version portable qu’en version dockée, Star Wars Outlaws maintient les 30 FPS sans faiblir, et le moteur Snowdrop a tenu bon durant toute notre aventure.

Activités annexes Star Wars Outlaws
D’autres activités annexes seront toujours de la partie

Graphiquement, nul doute que le DLSS intégré à la Nintendo Switch 2 a aidé les développeurs dans ce portage. Avec un signal produit de base entre 605p et 635p selon les chaînes spécialisées, la technologie proposée par NVIDIA permet un upscaling vers du 1080p. Bien évidemment, pas de 4K pour la version dockée, mais l’inverse aurait été surprenant, puisque cette mouture peut très largement être comparée à une Xbox Series S. Le seul petit bémol de ce portage concerne les temps de chargement, nettement plus longs que sur les autres supports : le moindre échec vous imposera une attente d’environ 15 secondes avant de pouvoir retenter votre chance. Notons également que les fonctionnalités souris des Joy-Con 2 ne sont pas prises en compte.

Bien entendu, pour que Star Wars Outlaws tourne sans accroc, des concessions ont été faites sur la qualité des textures, un aliasing plus prononcé, des éléments retirés des décors ou encore une densité moindre des PNJ, mais l’essentiel est ailleurs. En effet, Star Wars Outlaws reste agréable aussi bien en mode portable qu’en mode docké. Légèrement plus flou en version portable, le titre s’offre tout de même le luxe d’être, à ce jour, le portage le plus solide et le plus surprenant du début de vie de la Nintendo Switch 2. Certains joueurs avaient pu l’essayer lors de précédents salons, avec des retours négatifs, mais il faut dire que cette version 1.0.3 a mis tout le monde d’accord, dans le bon sens du terme. On se rapproche bien entendu d’une version Xbox Series S, mais n’est-ce pas là l’objectif de la Nintendo Switch 2 ?

Crédits Star Wars Outlaws
Mention spéciale à Ubisoft qui a remis en avant tous les développeurs qui ont travaillé sur le titre, le portage ou les extensions

Enfin, la dernière grande satisfaction vient d’Ubisoft Connect : perçue comme une contrainte par de nombreux joueurs, cette interconnexion entre toutes vos plateformes est toutefois indispensable pour profiter du cross-save mis en place depuis plusieurs années par l’éditeur français. Il sera ainsi possible de récupérer une sauvegarde précédemment stockée dans le cloud et de la poursuivre sur votre Nintendo Switch 2, sans avoir à tout recommencer depuis le début. Pour des jeux plus courts, cette fonctionnalité est davantage optionnelle, mais pour un open world comme Star Wars Outlaws, on peut se demander si cette possibilité n’est pas aujourd’hui indispensable. Après Cyberpunk 2077, la production de Massive Entertainment est donc le second jeu à proposer cette option, au grand dam des fans de Hogwarts Legacy.

Verdict

Star Wars Outlaws est un véritable tour de force sur Nintendo Switch 2. Bien qu’il conserve les défauts du jeu de base, il bénéficie d’une stabilité accrue depuis sa sortie en 2024. Ce portage est aussi plaisant à jouer en mode portable que depuis son canapé, via la station d’accueil de la console. Certes, des concessions ont été faites sur les textures, avec un aliasing et un popping plus marqués que sur consoles et PC, mais le jeu reste fluide en toute circonstance. Cette nouvelle version est fournie avec le Season Pass, qui apporte deux nouveaux contenus téléchargeables narratifs. Et cerise sur le gâteau : il est possible, via Ubisoft Connect, de récupérer sa sauvegarde depuis un autre support pour poursuivre son aventure sur Nintendo Switch 2. Si vous recherchez un jeu en monde ouvert sur Nintendo Switch 2, Star Wars Outlaws constitue une excellente proposition que nous vous recommandons chaudement.

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Un YouTuber ressuscite un vieux MMO de 1999, presque laissé à l'abandon

En 1999, le studio sud-coréen Nexon proposait sur PC Dark Ages, un MMO-RPG basé sur la mythologie celtique qui a eu son petit succès. Vous vous en doutez toutefois, entretenir un jeu sur plusieurs décennies n'est pas donné à tout le monde : c'est désormais l'entreprise Kru Interactive, branche de Nexon, qui s'occupe de maintenir le jeu en vie car oui, il y a toujours des serveurs actifs. À vrai dire, le titre est en train de connaître un retour en force particulièrement inopiné.
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Gamescom 2025 : premier retour dans le passé avec l'Atari 2600 Plus aux couleurs de Pac-Man

Vu la moyenne d’âge des lecteurs et lectrices de Factornews, je me suis dit qu’il serait intéressant d’aller voir cet “Unannounced hardware” chez Atari, même si je ne me préparais pas à une énorme nouvelle. Finalement, je n’attendais rien et je n’ai pas été déçu. Peut-être aussi parce que les consoles Atari, ce n’était déjà pas mon truc à l’époque.

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Le DLC L’Ordre des Géants pour Indiana Jones et le Cercle Ancien : 20 balles pour une grosse quête

Comme prévu, le DLC L’Ordre des Géants pour Indiana Jones et le Cercle Ancien est sorti le 4 septembre. Il prend place en marge de l’aventure principale, à Rome, et se déroule essentiellement dans les égouts. D’après les premiers retours, le contenu est un peu léger : c’est uniquement une grosse quête, qui dure environ trois heures, pour une histoire très linéaire. A priori, le gameplay reste très correct – comme le jeu de base –, mais 20 €, ça fait quand même un peu mal au cul.

Comme c’est un jeu solo, pas besoin de se précipiter pour l’acheter. Si vous êtes fan de l’archéologue, autant attendre une baisse de prix. Sinon, vous pouvez toujours opter pour l’édition deluxe qui contient le DLC, proposée à –10 % chez notre partenaire Gamesplanet, soit 90 €. Mais ça fait toujours plus cher que l’édition de base en promo + le DLC à 20 € sur Steam, surtout qu’il ne semble pas qu’un second DLC soit prévu.

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No More Room In Hell 2 prolonge son accès anticipé jusqu’à mi-2026 et abandonne ses enfants zombies

Dans un long post sur Steam publié fin août, les développeurs de Torn Banner Studios sont revenus sur la première année de l’accès anticipé de No More Room In Hell 2. Ils commencent par indiquer qu’elle sera d’ailleurs prolongée jusqu’à la mi-2026, car ils se rendent compte qu’ils ne pourront pas proposer une version 1.0 de qualité suffisante dès octobre prochain. Ils précisent que si, jusqu’à présent, beaucoup de nouvelles fonctionnalités ont été ajoutées au fil des patchs, les prochaines mises à jour se concentreront principalement sur les améliorations générales du jeu. Ils annoncent également, à notre plus grand désarroi, que les enfants zombies ne font plus partie du programme. Les intégrer les priveraient de certains marchés, en plus de prendre du temps de développement supplémentaire. Tant pis, il faudra se rabattre sur les bébés de Sons of the Forest. Blague à part, alors que la sortie avait été catastrophique, on peut vraiment saluer le travail réalisé au fur et à mesure, car le titre est maintenant très sympa à jouer – tant qu’on a une bonne machine.

No More Room In Hell 2 - new map
Un aperçu d’une des prochaines cartes de No More Room In Hell 2

Les développeurs nous parlent également de l’optimisation, puisqu’ils bossent encore dessus, et qu’ils ont prévu des améliorations dans les prochaines updates. Cela pourrait être un tournant dans les avis Steam, car ils restent, pour l’instant, toujours « moyens ». De nouveaux contenus sont aussi dans les cartons, comme l’ajout de plusieurs cartes et un second mode de jeu. Enfin, l’équipe répond à quelques questions donnant quelques détails sur les sujets déjà abordés. Si ça vous intéresse, n’hésitez pas à les consulter sur le billet de blog Steam dédié.

No More Room In Hell 2 est donc encore en accès anticipé pour un petit moment. Néanmoins, s’il vous intéresse, vous pouvez le retrouver sur Steam pour 29 €. On organise souvent des soirées avec les nofragés sur le jeu via Discord, si ça vous tente.

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Planescape Torment, fameux RPG Donjons & Dragons par les créateurs de Fallout, n'a pas dit son dernier mot

Sorti en 1999, Planescape : Torment demeure toujours l'un des titres les plus marquants de l'industrie du RPG. Déjà, il a été conçu par Black Isle Studios, illustre firme à qui l'on doit les deux premiers Fallout : le jeu s'est rapidement imposé comme une œuvre singulière, grâce à une écriture d'une rare densité et un univers tiré de l'édition Dungeons & Dragons. Il est souvent considéré comme une pépite de renom et il aura enfin droit à une première extension.

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​Gamescom 2025 : les indés (ou presque) en vrac #2

Comme Billou, j’ai passé la plupart de mes rendez-vous Gamescom dans des lieux assez cool, situés dans les halls business, loin du bruit, de la foule, et souvent très bien installé avec un petit café et des gâteaux. Et puis parfois, on sent que le budget n’est pas forcément très présent. Alors, on partage les rendez-vous, on fait un test sur un coin de table, on nous installe un PC juste pour nous. Ou bien on file dans les halls 10.1 et 10.2 du Koelnmesse à la recherche de cette...

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Ce crossover entre Sonic et Hello Kitty prouve que SEGA mise énormément sur la culture kawai

Nintendo comme SEGA l'ont compris depuis belle lurette : le merchandising, c'est sacré et à ne surtout pas sous-estimer. Pour le coup, la firme derrière Sonic vient d'officialiser une poignée de main avec Sanrio, le studio derrière Hello Kitty, pour une production de peluches qui risquent de se vendre par palettes.

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Oasis, le driver source naturelle de VR

Fin 2024, Microsoft (aka le Grand Satan Vidéoludique) a décidé de lâcher l'affaire de la VR en supprimant purement et simplement le support de la plateforme Windows Mixed Reality (WMR) lors du passage à la version 24H2 de Windows 11. Le souci, c'est que cette plateforme était utilisée par quelques casques VR dont le HP Reverb G2 très prisé des joueurs de simulation en tout genre. Ces casques sont alors devenus de facto de très jolis attrape-poussières jusqu'à ce qu'un...

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Mortal Kombat 1 : face à une histoire devenue trop complexe, un reboot était nécessaire

Depuis ses débuts dans les années 90, Mortal Kombat s'est toujours appuyé sur un univers riche en mythologie, des personnages emblématiques et une profondeur certaine. Mais à partir de Mortal Kombat (l'opus de 2011), NetherRealm a décidé de donner une véritable continuité scénaristique à la série, chaque nouvel épisode reprenant ainsi les événements du précédent, tissant un fil narratif de plus en plus dense. Le hic, c'est qu'à force de multiplier les enjeux et les menaces, la saga a fini par se retrouver piégée dans sa propre complexité.

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StarRupture sortira en accès anticipé le 6 janvier 2026

Au milieu du mois d’août, le studio Creepy Jar a partagé un nouveau trailer à propos de leur prochain jeu, StarRupture. L’info principale, c’est que l’accès anticipé arrivera le 6 janvier 2026. Pour rappel, c’est un jeu de survie, de craft et de construction de chaînes de production, avec une pointe d’exploration et de combat. En plus, des sortes de cataclysmes météorologiques surviennent régulièrement, ce qui est censé modifier un peu le gameplay. On avait participé aux playtests il y a quelques semaines, et on avait trouvé ça étonnamment correct, notamment sur la partie chaîne de production et sur le feeling du flingue. Malheureusement, les combats étaient un peu nuls, à cause des ennemis franchement inintéressants qui réapparaissaient au bout de quelques minutes. Et la partie construction des rails et toutes les machines pour extraire les minerais ne semblait pas vraiment apporter davantage de choses que le très bon Satisfactory.

Mais il reste encore quelques mois aux développeurs pour améliorer tout ça et pour trouver comment se démarquer de la concurrence. On le surveillera avec attention, car on avait tout de même passé un bon moment dessus.

En attendant le 6 janvier pour la sortie en accès anticipé de StarRupture, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits sur Steam, s’il vous tente.

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Saints Row : avant le reboot qui a tué la franchise, une suite directe à Saints Row 3 était prévue

Il fut un temps où la franchise Saints Row était peut-être considérée comme l'alternative la plus solide aux GTA, misant volontairement sur le too-much, le fun et l'irrévérence pour en faire sa marque de fabrique. C'était avant. Aujourd'hui, la licence doit sa mort présumée à un reboot mal accueilli (et aussi à la "croissance" catastrophique d'Embracer, ne nous mentons pas), lui-même découlant d'un changement de directive inopiné en cours de route.

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Un Call of Duty à la 3ᵉ personne au Vietnam a été proposé, mais Activision a préféré Modern Warfare 3

Après sa fondation en 2009, Sledgehammer Games s'est rapidement mis au boulot sur la précieuse saga Call of Duty et comptait bien, déjà, en bousculer les codes. La firme travaillait sur une version très différente de Call of Duty, un projet à la troisième personne intitulé Call of Duty: Fog of War, situé dans une guerre du Vietnam à la limite de l'horreur.

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Gamescom 2025 : premiers Animas avec Serial World

Parfois, à la Gamescom, il y a des moments plus intimistes que d’autres. On peut commencer la journée par tester un gros AAA américain un peu générique à sortir dans quelques mois. Et puis il est aussi possible d’essayer un petit jeu japonais qui tente un truc, développé par deux personnes via un studio indé. C’est le cas de Serial World. Et c’était très chouette.

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Test : The Rogue Prince of Persia a beaucoup changé et pour le mieux

Oui, tout le monde est sur Silksong, mais attendez, parce que le jeu dont nous allons parler n'est pas si mal. Après une période d’early access qui a connu des hauts et des bas, The Rogue Prince of Persia est disponible en 1.0 depuis le 20 août et le résultat s’avère de bonne facture, se reposant sur les forces d’Evil Empire (Dead Cells) avec une touche persane très juste.

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Sans surprise, Metal Gear Solid Delta: Snake Eater tape dans le million

Pour beaucoup parmi les anciens, Metal Gear Solid 3: Snake Eater / Subsistence est leur MGS préféré. Pour d’autres ce sera Metal Gear Solid V: The Phantom Pain. Personnellement, c'est le premier Metal Gear Solid, car le jeu m’aura fait acheter la première PlayStation directement après l'avoir vu tourner chez un ami ! Le point commun entre ces trois œuvres, c'est Hideo Kojima. Que l’on aime ou pas le bonhomme, il a quand même laissé un gros héritage...

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METAL EDEN est sorti dans l’indifférence générale

Comme prévu, METAL EDEN est sorti le 2 septembre dernier. Sur Steam, on peut voir que les premiers joueurs semblent très contents de l’expérience, même si elle est plutôt courte (quatre heures environ). Contrairement à ce qu’on aurait pu penser en voyant les trailers mous du gland joués à la manette, le gameplay est plutôt frénétique, et les retours parlent d’un bon feeling, malgré des ennemis principalement constitués de robots. Mais 40 €, ça fait cher l’heure de FPS, même si on peut se transformer en boule sur quelques niveaux. Le prix pourrait être expliqué par le fait que le jeu est édité par Deep Silver (Kingdom Come: Deliverance II, Dead Island 2, la série Metro…), mais il ne se démarque pas spécialement plus que nombre de jeux indépendants sur sa qualité de réalisation. C’est sans doute pour cette raison que le nombre de joueurs n’est franchement pas énorme, comme on peut le constater sur SteamDB.

On ne peut donc que vous conseiller d’attendre une promo pour le découvrir. Il y a plein d’autres FPS nerveux et viscéraux, notamment chez les indés, qui n’attendent que vous et souvent pour deux fois moins cher.

Si vous êtes néanmoins curieux, vous pouvez retrouver METAL EDEN sur Steam en promotion à –10 % pour la semaine de sa sortie, soit 36 €.

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