Nintendo continue de vouloir proposer de gros titres sur sa nouvelle console de salon portable, la Nintendo Switch 2. Alors que nous avions déjà Cyberpunk 2077 ou encore Final Fantasy 7 Remake comme exemple de titre imposant, il se pourrait que Stellar Blade rejoigne le line-up pour la console. De quoi se poser la question quant à la qualité graphique du titre ou encore de sa disponibilité.
Après une sortie en fanfare sur PC, recevant des retours mitigés côté optimisation, Stellar Blade risque fort d’arriver sur la Nintendo Switch 2. C’est ce qu’un nouveau rapport affirme : le développeur Shift Up serait actuellement en développement d’une version pour la console portable pour faire suite à la sortie PC. Selon le magazine PlayForum, média coréen spécialisé, les employés du studio auraient reçu des Switch 2 ainsi qu’un kit de développement pour concevoir le portage dans de meilleures conditions. Ce dernier contiendrait des API non publiées, des logiciels de test ainsi que des outils de débogage. Toutefois, la conception de la Switch 2 étant très différente des consoles de salon, l’architecture de faible puissance de la console ainsi que l’interface portable propriétaire risquent fort de freiner le studio.
Stellar Blade, publié l’année dernière sur PlayStation 5, a reçu pas mal d’éloges à son sujet avant d’arriver récemment sur PC. Cette dernière monture se vit proposer le DLSS 4 ou encore le FSR 3, introduisant une mise à jour technologique sur le titre.
Toutefois, le studio a déclaré au magazine que rien n’est officiellement confirmé concernant un potentiel développement d’une version Switch 2, mais que les développeurs envisagent diverses possibilités en interne.
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Il y a des jeux qui, dès les premières minutes, parviennent à nous happer par leur atmosphère ou leur narration. C’est le cas de Crown Gambit, le tout premier jeu du studio rennais Wild Wits Games, un jeu mélangeant habilement deck-building, stratégie au tour par tour et décisions aux lourdes conséquences. C’est dans cet univers de dark fantasy à la direction artistique affirmée que nous avons plongé avec plaisir. À la croisée de Voice of Cards ou de Foretales dans son ton, le titre entend marier narration profonde et mécaniques exigeantes. Un pari réussi pour ce premier essai.
Test réalisé sur PC à l’aide d’une version numérique envoyée par l’éditeur
Crown Gambit nous plonge dans une dark fantasy où les choix narratifs ont autant de poids que la stratégie sur le champ de bataille. Dans ce jeu tactique en tour par tour, le joueur incarne un trio de paladins : Aliza Targesang une noble épéiste, Rollo un marin reconverti et Hael un clerc orphelin. Les paladins sont les seuls à avoir le droit de porter des reliques, des armes possédant des pouvoirs impressionnants comme la manipulation du sang pour Aliza ou une masse d’armes aveuglante pour Hael. Ces trois protagonistes sont chargés de protéger le roi ainsi que son jeune fils, dont les vies sont menacées par une grave crise politique, cherchant à bouleverser la succession du trône.
Dès les premières minutes, l’ambiance se veut pesante, portée par une direction artistique léchée, où les couleurs froides participent à cette atmosphère sinistre. Le récit s’épaissit rapidement à travers des dialogues finement écrits, où chaque décision influence autant la perception entre les personnages, que les relations avec les différentes familles et la population du royaume de Meodred. Et si certains protagonistes peuvent sembler stéréotypés au départ, la suite de l’aventure laisse entrevoir des nuances, qui promettent une complexité concernant les enjeux du royaume, mais aussi des relations entre protagonistes.
Concernant le gameplay, le système de combat allie jeu de cartes et placement tactique sur une grille, demandant réflexion et adaptation. Chaque paladin possède son propre deck et ses points d’action, avec des compétences uniques à combiner intelligemment. Comme tout bon jeu de deckbuilding, les combats sont exigeants, mais justes. Plusieurs niveaux de difficulté, allant du plus simple au plus complexe, sont présents dans le jeu et il ne sera pas possible de changer en cours de route.
N’étant pas de fins stratèges, nous avons opté pour le mode facile qui nous a parfaitement convenu. Les affrontements demandent un effort d’analyse, que ce soit concernant les synergies entre alliés ou l’anticipation des mouvements ennemis. Un arbre de compétences est présent et peut être amélioré en fin de chapitre. Il permet d’améliorer ses cartes, d’en acquérir de nouvelles ou de modifier leur coût en action, incitant à une progression personnalisée en fonction du style de jeu. On apprécie particulièrement l’équilibre entre le hasard (lié au tirage des cartes) et le contrôle (via les builds), qui donne une bonne sensation de montée en puissance au fil des affrontements.
Le rythme des batailles est soutenu, avec des effets visuels clairs et percutants qui rendent chaque action lisible. Les actions sont simples : utiliser une carte, changer de position sur une tuile adjacente (la diagonale n’étant pas possible), attaquer ou encourager un allié adjacent pour qu’il fasse plus de dégâts. Bien évidemment, il est possible de finir le tour sans effectuer aucune de ces actions. À la fin du tour, toutes les cartes seront remises dans la défausse, sauf les cartes dites Réserve qui se conservent d’un tour à l’autre. Ce sera ensuite au tour de l’ennemi de riposter.
L’un des éléments clé de Crown Gambit réside dans la grâce ancestrale. Cette mécanique permet d’activer un pouvoir spécial pour chaque paladin, développant un pouvoir dévastateur, mais en contrepartie, cela augmente la jauge d’influence astrale de chaque héros. Cette dernière affecte non seulement les combats, mais aussi les dialogues et les réactions de nos personnages, pouvant aller jusqu’à déclencher des actions inattendues. Des batailles non prévues, des insultes sorties de nulle part, une notion de chaos qui influence l’histoire sans que nous ayons véritablement notre mot à dire.
Cela alimente l’importance de chaque décision dans l’évolution de l’histoire, que ce soit pendant l’aspect tactique ou dans l’aspect narratif du jeu. Elle s’ajoute ainsi aux nombreux embranchements narratifs, où l’on ressent que nos choix ont de véritables conséquences sur l’univers et la manière dont il nous perçoit, notamment lors de la deuxième partie du jeu. Une première run peut prendre une dizaine d’heures pour être terminée, sachant que de nombreux choix sont possibles. Le nombre d’héritiers possibles au trône pouvant aller jusqu’à 4 personnages, les possibilités sont multiples.
La difficulté du jeu monte progressivement en puissance, avec des pics bien dosés qui forcent à revoir ses habitudes de combat. Si les premières heures servent de mise en bouche, les heures suivantes introduisent des ennemis plus complexes, mais surtout des boss aux mécaniques originales et visuellement marquants. Chaque boss possède son propre univers – bulle de savon dévastatrice, tornades déplaçant nos héros, prières en tout genre ou gel du champ de bataille – qui oblige le joueur à revoir sa stratégie. Ces affrontements constituent autant de moments mémorables, mêlant le stress de réussir à la beauté du combat engagé. Chacun d’entre eux est accompagné d’une illustration attrayante dans laquelle on se plaît à se perdre en observant les différents détails, avant de vivre avec difficulté l’affrontement proposé.
En parallèle, les récompenses obtenues à la fin de ces combats ne sont pas à négliger : un peu de vie, un peu de défense. Ces choix sont aléatoires, mais appréciables quand on sait que la vie et la défense sont inchangées entre les oppositions. De plus, à la fin de chaque chapitre, trois récompenses sont proposées entre augmenter la vie, la défense ou apporter une compétence particulière pendant la prochaine bataille (une esquive, des dégâts supplémentaires…). Cette courbe de progression, tant en combat qu’au niveau narratif, donne au titre un sentiment de montée en tension très appréciable.
L’une des forces majeures du titre reste l’impact réel de nos choix tout au long de l’aventure. Ce n’est qu’une fois arrivé dans la seconde moitié du jeu qu’on réalise à quel point nos décisions passées conditionnent les événements à venir. Les rapports entre personnages changent, certaines options narratives se ferment tandis que d’autres s’ouvrent, et nos anciennes actions reviennent souvent nous hanter. Qui semble le mieux placé pour occuper le trône, qui va vraiment prendre en main la population de Meodred, quelles décisions devons-nous prendre, qui devons-nous tuer ou épargner ?
La tension dramatique s’accentue et les enjeux moraux prennent le dessus : faut-il faire preuve de clémence envers les nobles responsables de tant d’injustices, ou au contraire incarner une figure de vengeance, quitte à faire souffrir le peuple à son tour ? Doit-on détruire les reliques ou les garder précieusement ? Ce sont ces questions qui construisent le véritable cœur de Crown Gambit, avec plusieurs fins possibles à la clé, toutes teintées des traces laissées par notre parcours. Cette richesse narrative confère au jeu une véritable rejouabilité, tant pour explorer les autres chemins que pour affiner ses choix dans une deuxième run.
Crown Gambit surprend aussi par la richesse de son lore. On sent que l’univers a été longuement mûri; avec des conflits politiques, religieux et sociaux entremêlés, qui donnent de la profondeur à chaque faction. Tous les personnages, même ceux moins mis en avant, bénéficient d’un traitement soigné. Il n’est pas rare de se surprendre à comprendre le point de vue de chacun, alternant entre notre cœur et notre esprit. On aurait néanmoins apprécié des dialogues doublés pour accentuer encore l’émotion de certains moments-clés, bien que cela reste un détail. De la même manière, la musique d’ambiance est envoûtante dans les menus, mais plutôt absente lors de la phase de combat. On se trouve face à une ambiance médiévale qui colle à merveille avec l’univers proposé.
Crown Gambit nous laisse une impression plus que positive. Avec son univers sombre, ses personnages troublés et uniques, son système de combat mêlant stratégie et hasard maîtrisé, et sa direction artistique absolument somptueuse, le titre de Wild Wits Games pose les bases d’un univers riche, au potentiel narratif évident. L’ambition du studio réussit à nous plonger dans une profondeur qui se maintient tout au long du jeu, qu’il s’agisse des choix, des musiques ou des mécaniques. Le pari de mêler narration forte et deck-building est audacieux, mais tient la route. Si vous aimez les jeux narratifs, avec un peu de challenge, vous pourriez bien tomber amoureux de cette œuvre de dark fantasy française.
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Comme prévu, FBC: Firebreak est arrivé le 17 juin sur Steam et sur le Xbox Game Pass. Mais sur la plateforme de Gaben, seulement quelques heures après la sortie, les retours n’affichaient que 25 % d’avis positifs. En cause ? Des joueurs se plaignant d’un contenu absolument rachitique : cinq missions terminables en cinq minutes chacune. D’autres en profitaient pour décrire une expérience chiante comme la mort et un gunfeel proche d’un pistolet à billes. Comme à la rédac’, on avait été plutôt hypés par les présentations, on a décidé de se lancer dans l’aventure pour voir ce qu’il en était réellement.
Déjà, ce qu’on peut dire, c’est que Remedy Entertainment sait y faire pour la direction artistique : les environnements sont très jolis, et niveau performances, c’est plutôt correct. Ça devient tout de même un peu juste en 4K, tout à fond avec le Ray Tracing, même avec le DLSS qualité, la frame gen x2 et une 4090. Du côté du feeling, c’est une bonne surprise : les armes ont de la patate, notamment le revolver et le fusil à canon scié, qui procurent un sacré feedback. Les avis qui disent le contraire sont tout simplement faux. Par contre, on peut déplorer un manque de variété dans les ennemis, puisqu’il n’y en a qu’une poignée. Mais venons-en au fait : oui, il y a cinq « missions » différentes, mais chacune propose trois niveaux « d’accréditation », proposant chacun une expérience plus longue que le précédent. Enfin, c’est un jeu à grind : il faut donc faire et refaire les missions pour gagner en expérience et trouver certaines ressources afin de débloquer de l’équipement et des capacités. Hier soir, on a joué deux bonnes heures, et on sent qu’on en est qu’au début avec nos personnages, et on s’est beaucoup amusés. Certes, ce n’est pas un genre de jeu qui plaira à tout le monde, mais il faut être sacrément con pour écrire que le titre de Remedy peut se terminer en 25 minutes.
En résumé, FBC: Firebreak est une bonne surprise vu les premiers commentaires, qui commencent d’ailleurs à se diluer dans les avis plus raisonnables, puisqu’on est maintenant plus proche des 60 % de retours positifs. La presse n’a pas l’air tout à fait conquise non plus, car le score Metacritic est de 65. De notre côté, on a prévu un test détaillé lorsqu’on aura pu avancer, mais ce ne sera, à vue de nez, pas avant quelques semaines.
En attendant, si vous êtes tout de même convaincu et que vous avez deux amis, vous pouvez retrouver FBC: Firebreak sur Steam pour 40 €, ou dans le Xbox Game Pass.
Minecraft poursuit sa transformation avec la mise à jour Chase the Skies, qui introduit un ensemble de nouveautés mêlant améliorations graphiques et optimisations techniques.
Sur le plan esthétique et audio, Chase the Skies apporte un véritable coup de jeune à l’univers visuel, avec des effets lumineux dynamiques et des textures plus détaillées ainsi que de nouvelles musiques d’ambiance. Côté gameplay, Chase the Skies intègre une monture volante inédite : le ghast, qui sera capable de transporter jusqu’à quatre joueurs dans les airs, à cela s’ajoutent des outils pratiques comme la barre de localisation pour mieux se repérer, des selles craftables, et la possibilité d’attacher objets ou créatures à la monture.
Avec Chase the Skies, Minecraft propose une mise à jour qui séduira aussi bien les vétérans que les nouveaux venus. Plus de détails sur le site officiel.
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Le studio Bungie a officiellement repoussé la sortie de Marathon. Prévu initialement pour le 23 septembre 2025, le titre voit son lancement reporté afin de permettre à l’équipe de développement de peaufiner l’expérience de jeu, après des retours mitigés sur les premiers tests en alpha.
Dans un communiqué, Bungie explique que ce délai est nécessaire pour offrir une expérience fidèle à l’ambition du studio et à l’attente des joueurs. Le jeu, décrit comme un produit premium, avait reçu des critiques mitigées lors de ses premières phases de test, notamment en raison de problèmes de gameplay et d’une controverse liée à l’utilisation d’œuvres volées. Le studio souhaite désormais recentrer le développement sur les éléments clés : une survie sous pression, une atmosphère prenante, et des défis d’endgame dignes de raids.
Ce report sera mis à profit pour renforcer plusieurs aspects du jeu. Bungie prévoit notamment d’améliorer l’intelligence artificielle, de rendre les parties plus gratifiantes et stratégiques, et d’approfondir l’univers narratif du jeu. L’ambiance visuelle sera assombrie, et le récit davantage mis en avant. Des fonctionnalités sociales enrichies, comme le chat de proximité et une meilleure expérience en solo ou en duo, viendront également étoffer l’offre du titre.
Cette annonce intervient dans un contexte plus large de difficultés pour les jeux en live service de PlayStation, déjà marqués par l’échec du titre Concord l’an passé. Bungie, de son côté, affirme vouloir renforcer le lien entre développeurs et communauté à travers des phases de tests fermés dans les mois à venir. Une nouvelle date de sortie sera annoncée à l’automne, tandis que les retours des joueurs continueront de guider l’évolution de Marathon.
Marathon est attendu sur PC, Xbox Series X|S et PS5.
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Comme au cinéma, certains jeux vidéo sont basés sur des thèmes réservés aux adultes. Il s’agit notamment des thèmes tels que les casinos et jeux d’argent, l’horreur et la violence. On peut également inclure les jeux vidéo qui montrent des fumeurs et des personnes consommant de l’alcool de façon à encourager ces comportements. Si vous souhaitez sortir des sentiers battus et tester des jeux à enjeux sérieux, vous pouvez essayer les titres que nous avons mis en exemple pour chaque thème.
Dans la plupart des pays du monde, les jeux de casino sont réservés aux majeurs, c’est-à-dire aux personnes ayant au moins 18 ans. C’est donc normal que tout jeu inspiré des casinos soit réservé uniquement aux adultes.
GTA est l’un des meilleurs jeux incluant des éléments de jeux d’argent et de hasard. Dans ce jeu très ouvert, les joueurs peuvent visiter un casino dans lequel ils prendront part à des jeux et pourront gagner de l’argent virtuel. Celui-ci peut être utilisé toujours dans le jeu pour acheter des articles tels que des voitures, des armes, etc.
C’est un monde fascinant à découvrir, surtout lorsqu’on aime les quêtes alternatives. Si l’envie vous prend de vivre une authentique expérience de casino, connectez-vous sur le meilleur casino en ligne France pour jouer pour de vrai. Ici, vous découvrirez des machines à sous en tous genres. Vous pouvez même jouer en live avec d’autres personnes situées à l’autre bout de la planète. En plus, les meilleurs sites vous paient des gains en argent réel, en quelques minutes.
Un autre jeu vidéo de haute qualité qui inclut des éléments de casino est Red Dead Redemption 2. Ici, la partie casino a une plus grande importance. Les développeurs de ce jeu l’ont conçu de sorte que vous puissiez ressentir l’angoisse et la tension qui accompagnent les parties de poker et blackjack auxquelles vous participerez. En fait, dans Red Dead Redemption 2, votre vie dépend littéralement de votre victoire au jeu.
Le thème gothique dans les jeux vidéo est souvent utilisé pour créer des atmosphères sombres, mystérieuses et immersives. Il peut inclure des éléments inspirés de l’esthétique gothique. Ici, l’architecture et le décor sont particuliers. En effet, les châteaux, cathédrales et ruines sont des cadres emblématiques du gothique. Des jeux comme Castlevania exploitent ces environnements pour établir un sentiment de grandeur et de mélancolie.
En outre, la musique joue un rôle essentiel dans l’immersion gothique. Des compositions orchestrales, souvent mêlées d’orgues et de chœurs, renforcent le caractère sombre et dramatique des lieux et des événements tout au long du jeu. Quant aux protagonistes et antagonistes, ils sont généralement vêtus de tenues élaborées qui reflètent l’époque victorienne ou médiévale. Les vampires, les fantômes et les créatures surnaturelles sont des figures récurrentes.
Les récits gothiques dans les jeux explorent souvent des thèmes de tragédie, perte, amour interdit et confrontations avec des forces surnaturelles. Par ailleurs, l’influence de la littérature gothique est évidente dans les intrigues. Les palettes de couleurs sont dominées par des tons sombres (gris, noir, bordeaux et violets profonds) accentués par des éclats de lumière dramatique. Ces éléments se combinent pour transporter les joueurs dans un monde dans lequel mystère et danger coexistent.
Autant les films d’horreur sont interdits aux moins de 16 ou 18 ans, autant les jeux vidéo basés sur ce thème devraient l’être. Dans les titres comme Silent Hill 2, on retrouve tous les éléments d’un film d’horreur typique. Le protagoniste, James Sunderland, se transforme en véritable symbole d’horreur pour semer le chaos dans la ville terrifiante de Silent Hill. Il faut avoir un mental solide pour jouer à ce jeu, car on y retrouve les thèmes de dépression, culpabilité, traumatismes dormants et même folie meurtrière. Silent Hill 2 vous plongera dans un monde de montagnes russes psychologique et émotionnel.
Un autre jeu notable dans le genre de l’horreur est Outlast. Il se déroule dans un univers d’hôpital abandonné. Les joueurs doivent se déplacer dans cet environnement terrifiant tout en évitant les habitants devenus dangereux. Les sous-thèmes abordés ici sont la maladie mentale, la corruption et les jeux de pouvoir.
La violence, en particulier dans le contexte de la criminalité, est un autre thème qui devrait être réservé aux adultes dans les jeux vidéo. Ici encore, on retrouve GTA V, l’un des jeux les plus vendus cette année. Ce jeu plonge le joueur dans un univers où le personnage principal peut essentiellement s’en prendre à n’importe quel personnage du jeu, sans raison particulière. C’est un monde crimes, de gangs, d’armes à feu et de violence qui s’offre au joueur.
Tout ce qui peut être fait de façon illégale dans une ville est proposé dans GTA V : courses-poursuites, braquages, vols de voiture, meurtres, excès de vitesse, etc. Le jeu critique la glorification du crime et les structures sociétales qui le sous-tendent.
The Last of Us Part II examine également la violence d’une manière profondément émotionnelle. Ici, la protagoniste, Ellie, se lance dans une mission de vengeance brutale. Le jeu permet surtout de mesurer les effets de la violence sur celui ou celle qui l’exerce.
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Le 12 juin dernier, Running With Scissors, les développeurs des controversés Postal et Postal 2 (entre autres), ont annoncé lancer une campagne Kickstarter cet été pour Postal 2 Redux. Comment ? Encore un nouveau projet après la révélation d’une version VR en mars dernier ? Eh bien apparemment non oui, car comme on nous l’a fait remarquer en commentaires, la news postée sur Steam indique que c’est un autre jeu, même si les contributeurs semblent les mêmes ici. Pour la restauration du jeu — qui tournait initialement sous Unreal Engine 1.5 et passe désormais sur Unity —, ils sont épaulés par Team Beef et Flat2VR Studios, tous deux reconnus pour la qualité de leurs portages VR de titres initialement non prévus pour ça.
Dans la description de la vidéo, il est assez étonnant de ne voir aucune référence à la version VR, mais il serait tout de même bizarre qu’il y ait deux projets en parallèle sur un jeu de ce calibre. La page Kickstarter est déjà en ligne, mais aucune date n’a encore été indiquée pour le démarrage de la campagne.
En attendant d’en savoir plus, vous pouvez toujours faire un tour sur leur serveur Discord si vous voulez creuser un peu le sujet.
Prochain gros jeu de chez Pearl Abyss attendu depuis 2019, Crimson Desert pourrait bien sortir cette année. C’est via un rapport exclusif que l’information aurait été captée, nous permettant de découvrir une date fixée juste avant les fêtes. De quoi bien préparer son armure pour combattre des hordes d’ennemis.
C’est via une fuite du rapport exclusif au média sud-coréen MTN que l’information aurait été apprise. Crimson Desert, le jeu en monde ouvert médiéval fantastique de Pearl Abyss, sortirait pour le 2 novembre 2025. En effet, le rapport confirme une discussion avec des membres de l’équipe de développement et que cette date serait provisoire, le jeu approchant de la fin de son développement.
Toutefois, difficile de savoir si cela est vrai, il faudra donc prendre l’information avec des pincettes, sachant que le 2 novembre tombe un dimanche, peu probable pour une sortie d’un titre aussi attendu. Mais il est à noter que Pearl Abyss hésitait à sortir Crimson Desert cette année du fait de l’énorme concurrent qu’est GTA VI. Avec un report de la date de sortie de celui-ci, cela laisse le champ libre pour que Crimson Desert soit une réussite.
Ainsi, et selon le média MTN, Crimson Desert devrait sortir le 2 novembre 2025 sur PlayStation 5, Xbox Series X|S et PC. Il y est aussi précisé que Pearl Abyss compte publier un communiqué sous peu pour éclaircir ce point.
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Avez-vous vu cette rumeur circuler sur la toile comme quoi une annonce autour de Red Dead Redemption arriverait sous peu ? Si vous ne l’avez pas vu, cette potentielle annonce fut amenée par un des comédiens de doublage original lors d’un livestream. Pour autant, ce dernier est connu pour diffuser un peu trop d’espoir, jusqu’à ce qu’un autre comédien vienne ajouter de l’huile sur le feu.
Suggéré une première fois par Rob Wiethoff, voix originale de John Marston, lors d’un live autour de la franchise Red Dead. Ce dernier aurait émis l’hypothèse que des nouvelles « très excitantes » arriveraient autour de la licence, sans pour autant détailler ses propos. Pour autant, lors de sa discussion, de nombreux indices auraient été trouvés concernant un potentiel projet autour de la licence Red Dead Redemption et que ceux-ci seraient potentiellement en préparation, voire qu’une annonce arriverait avant vendredi.
Pour autant, il faut toujours se méfier des annonces isolées comme c’est le cas ici. Cela permet de ne pas trop s’emballer et espérer voir quelque chose de gros arriver, surtout que Rockstar semble davantage se concentrer sur GTA VI. Mais cela est vrai jusqu’à ce qu’un autre comédien de doublage, Roger Clark, ne remette de l’huile sur le feu. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas ce comédien, il n’est nul autre que celui-ci qui incarne Arthur Morgan.
Do you know what the red dead news is rob mentioned you don’t have to tell me what it id I just wanna know if yk
— samgougest (@samgoug10) June 15, 2025
Peu subtil, Roger a répondu à un fan sur X à l’aide d’un GIF explicite après que celui-ci aurait demandé s’il savait quelle était la nouvelle à venir suggérée par Rob. Dans le même humeur que Roger, Roshir Dalal, qui prête la voix de Charlie, aurait lui aussi répondu avec un GIF.
Avec l’ensemble de ces rumeurs, il se peut que Rockstar nous cache quelque chose autour de Red Dead Redemption. Il y a fort à parier qu’il s’agisse avant tout d’un patch current-gen pour le jeu, ou que cela ne soit absolument pas lié au jeu mais plutôt à une potentielle série ? À noter que le casting original semble impliqué, ce qui veut dire qu’ils sont tous soumis à un NDA strict imposé par Rockstar interdisant explicitement ce genre de teasing sur les médias sociaux.
Autre piste intéressante à noter serait l’arrivée de Red Dead Redemption 2 sur Switch 2, alors que le PDF de Take-Two aurait répondu que l’éditeur prévoyait de soutenir le lancement de la console de chez Nintendo. Cela se prouve avec le fait que Take-Two prévoit de sortir Borderlands 4 sur Switch 2 cette année ainsi que les futurs volets des séries WWE 2K et NBA 2K.
Qu’est-ce que Rockstar souhaite cacher au grand public ? Est-ce une grande annonce que les fans attendent ou encore un portage vers une console récemment sortie ? Seul l’avenir nous le dira.
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Cela fait déjà un moment que l’idée d’un remake de Prince of Persia : les Sables du Temps fut mise sur la table. Pour autant, peu d’information fut dévoilée à son sujet en raison des difficultés que rencontre le studio depuis ces cinq dernières années. Après presque un an sans réelle nouvelle, Ubisoft rassure les fans quant à son développement.
Annoncé il y a de cela cinq ans, en septembre 2020, le remake de Prince of Persia : Les Sables du Temps fut lancé pour le plus grand plaisir des fans. Pour faire patienter, deux titres en side scrolling furent proposés, rencontrant chacun un petit succès. Le premier, Prince of Persia: The Lost Crown en 2024, et le second, The Rogue Prince of Persia en 2025, signent tous deux le retour de la licence après presque 15 ans d’absence. Malheureusement, compte tenu des difficultés que le studio rencontre, le remake resta assez discret.
Prévu initialement pour janvier 2021, celui-ci se voit reporter à 2026 suite à un redémarre de zéro après une première bande-annonce peu concluante. Depuis maintenant une année, Ubisoft est assez avare en information concernant ce remake, jusqu’à aujourd’hui. Malgré un message assez bref, le studio à donné des nouvelles du titre via les réseaux sociaux précisant que le jeu était toujours en développement.
Yep, we’re still deep in the game — exploring, building, and ensuring the sands move with purpose.
— Prince of Persia
This game is being crafted by a team that truly cares, and they're pouring their hearts (and a lot of coffee) into every step.
Thank you for sticking with us.pic.twitter.com/9bKjZHjmur
(@princeofpersia) June 16, 2025
Pour rappel, le remake des Sables du temps fut initialement prévu par Ubisoft Pune et Mumbai avant d’être transféré à celui de Ubisoft Montréal. Malheureusement, et avec les derniers échecs du studio ainsi qu’une chute des actions, le studio à connu une série de licenciement et de fermutures. De ce fait, et dans une tentatives de redresser le bateau, Ubisoft avait annoncé une nouvelle fililale qui se concentrera sur ses titres phares comme Assassin’s Creed, Rainbow Six et Far Cry.
Dernièrement, c’est lors de son dernier bilan financier qu’Ubisoft aurait discrètement amené une potentielle fenêtre de sortie : en mars 2026.
Le remake de Prince of Persia: Les Sables du Temps sera potentiellement disponible en mars 2026 sur PC, PS5,PS4, Xbox Series X|S et Xbox One.
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